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mardi, 13 janvier 2015

Charlie Hebdo : 3 millions d'exemplaires à ne pas acheter !

3326131459.jpgYves Darchicourt

Quasiment en état de cessation des paiements depuis des lustres, ne tirant guère qu'à 60 000 exemplaires dont une bonne part alimentait ses stocks de bouillons, Charlie-Hebdo va tenter de rebondir en surfant sur la grande vague d'indignation lacrymogène - suscitée par l'attentat islamiste qui a pratiquement éliminé son état-major et ses "grandes signatures" - admirablement, il faut le reconnaître, alimentée et soutenue par les propagandistes et les réseaux de la pensée unique.

Il faut croire que la manipulation des esprits est fort prometteuse pour la feuille - déjà bénéficiaire d'une aide d'un million€ de fonds publics, ce qui va sans doute satisfaire les français sans ressources que l'on laisse croupir dans la misère - qui vient d'annoncer par l'intermédiaire de son "porte-parole" l'avocat Richard "charlie" Malka qu'à la demande de son distributeur - qui n'en doutons pas a assuré ses arrières y compris peut-être avec l'assurance que pouvoirs publics, lobbies et associations rafleront les invendus - le prochain numéro sera tiré à 3 millions d'exemplaires et distribué dans 25 pays.

Le bourrage de crâne va donc s'intensifier d'ici à demain mercredi et les jours suivant la sortie du "journal irresponsable" pour que chaque "indigné" y aille de son obole en achetant le numéro des survivants "écrit avec le sang et les larmes". Un numéro où figure en première page un Charlie Mahomet qui y va de sa petite larme! Un numéro quasi en vente forcée que les français de simple bon sens devraient avoir à coeur de ne surtout pas acheter même pour le parcourir d'un derrière distrait.

Sortez des rangs bêlants des moutons du Système ! Parce que l'idéologie dictatoriale actuellement en place vous y incite : ne continuez pas à être ou à suivre Charlie ! N'achetez pas Charlie-Hebdo !

22:07 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« CHARLIE HEBDO, LIBÉRAL-LIBERTAIRE, ETAIT DEVENU L’UN DES ORGANES DE L’IDÉOLOGIE DOMINANTE »

adb1.jpgUn entretien avec Alain de Benoist

Source Metamag cliquez ici

Au-delà de l’indignation légitime quant au massacre perpétré dans les locaux de Charlie Hebdo, quelles leçons tirer de cet événement ? Faut-il y voir, comme certains médias, la preuve qu’une « guerre totale » est déclarée entre islam et chrétienté, Orient et Occident ?

La manière abominable dont ont été massacrés les collaborateurs de Charlie Hebdo soulève le cœur, bien entendu. Et ce qu’il y a de plus difficile quand l’émotion submerge tout, c’est de raison garder. C’est pourtant ce qui est le plus nécessaire. S’imposer la distance intérieure qui permet d’analyser l’événement et d’en tirer des leçons. En face de quoi nous trouvons-nous ? En face d’une forme nouvelle de terrorisme, inaugurée en France avec les affaires Khaled Kelkal et Mohammed Merah. Elle se distingue des vagues de terrorisme précédentes (type 11 septembre ou attentat de Madrid), qui étaient conçues et mises en œuvre à partir de l’étranger par de grands réseaux internationaux organisés.

Ici, nous avons affaire à des attentats conçus en France par des individus qui se sont radicalisés de façon plus ou moins autonome. Ils sont passés progressivement de la délinquance au djihadisme, mais ce sont le plus souvent des recalés du djihad. Ils sont d’un grand sang-froid, savent utiliser leurs armes, et sont parfaitement indifférents à la vie d’autrui. En même temps, ce sont des amateurs, des branquignols, comme ces frères Kouachi qui décident d’aller décimer une rédaction « pour venger le prophète », mais commencent par se tromper d’adresse, laissent des traces partout, ne prévoient aucune stratégie de repli et oublient leur carte d’identité dans la voiture qu’ils viennent d’abandonner. Des branquignols imprévisibles, ce qui les rend d’autant plus dangereux.

Il faut aussi être attentif à la contagion mimétique. La même logique mimétique qui a suscité la communion émotionnelle des rassemblements spontanés en faveur de Charlie Hebdo ne va pas manquer d’inspirer les émules potentiels de Merah, des frères Kouachi ou d’Amedy Coulibaly. Imaginez l’hystérisation sociale que pourrait provoquer la répétition à brefs intervalles d’attentats tels que celui auquel nous venons d’assister. Dans un tel climat, toutes les manipulations deviennent possibles. On a déjà vu cela dans le passé. Cela s’appelle la « stratégie de la tension ».

Il faut évidemment faire la guerre à ceux qui nous la font, et la faire avec tous les moyens nécessaires. Mais parler de « guerre totale » ne veut pas dire grand-chose. Les djihadistes (ou les lanceurs de fatwas) sont aussi représentatifs de l’islam que le Ku Klux Klan est représentatif de la chrétienté. Au demeurant, ce ne sont pas les djihadistes, mais les Occidentaux qui ont les premiers agité le spectre du « clash des civilisations » après s’être employés à déstabiliser tout le Proche-Orient et à éliminer tous les chefs d’État arabo-musulmans qui, de Saddam Hussein à Kadhafi, avaient érigé des barrages contre l’islamisme radical. La nécessité de lutter contre les conséquences immédiates ne doit pas faire oublier la réflexion sur les causes premières.

Ce n’est pas la première fois qu’un journal est attaqué de façon violente. On se souvient notamment des attentats contre « Minute » ou « Le Choc du mois », certes sans victimes à déplorer. Pour autant, on avait enregistré moins d’empathie médiatique lors de ces violences qui auraient pu se révéler mortelles. Toujours la même histoire du deux poids deux mesures ?

Disons que si, au lieu de s’en prendre à la rédaction de Charlie Hebdo, des terroristes avaient décimé celle de Valeurs actuelles, il est fort à parier que les réactions n’auraient pas été les mêmes. On n’aurait pas vu fleurir les « Je suis Valeurs » comme on a vu fleurir les « Je suis Charlie » (du verbe « être », je suppose, pas du verbe « suivre »). La classe politique gouvernementale n’aurait certainement pas parlé d’« union nationale » (thème mystificateur par excellence, d’ailleurs, car une telle « union » profite toujours à ceux qui détiennent le pouvoir et veulent bénéficier d’un consensus). Contrairement à son prédécesseur Hara Kiri, Charlie Hebdo, journal libéral-libertaire, était devenu l’un des organes de l’idéologie dominante. Celle-ci sait reconnaître les siens.

Il nous est dit, de manière unanime, que Charlie Hebdo avait fait de la liberté d’expression son cheval de bataille. Mais quid des campagnes de délation ayant appelé à mettre Richard Millet à la porte du comité de lecture des Éditions Gallimard, à faire renvoyer Fabrice Le Quintrec de France Inter, ou Robert Ménard et Éric Zemmour d’i>Télé ? La liberté d’expression peut-elle avoir des limites ?

Assez d’hypocrisie. Le 26 avril 1999, les dirigeants de Charlie Hebdo avaient apporté au ministère de l’Intérieur des cartons contenant 173.700 signatures réclamant l’interdiction du Front national. En matière de défense de la liberté d’expression, on a fait mieux ! Voici quelques semaines encore, Manuel Valls déclarait que « le livre de Zemmour ne mérite pas qu’on le lise », tandis qu’un autre ministre demandait sans honte que « les plateaux TV et les colonnes des journaux cessent d’abriter de tels propos ». Et ne reparlons même pas de l’affaire Dieudonné. Cela dit, soyons justes : parmi ceux qui célèbrent la liberté d’expression quand il s’agit de Zemmour, il y en a malheureusement fort peu qui seraient prêts à la réclamer pour leurs adversaires. Or, « la liberté est toujours la liberté de celui qui pense autrement » (Rosa Luxemburg), ce qui veut dire qu’on n’a de mérite à la défendre que lorsqu’on est prêt à en faire aussi bénéficier ceux qu’on exècre. Mais c’est précisément ce que refuse l’idéologie dominante, y compris aux États-Unis, où le premier amendement permet à tout un chacun de dire ou d’écrire ce qu’il veut, mais où les opinions non conformistes sont encore plus marginalisées qu’elles ne le sont en France. De même que le droit au travail n’a jamais fourni un emploi, le droit de parler ne garantit pas la possibilité d’être entendu !

13:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ON A PLUS MARCHÉ DIMANCHE À RENNES, QU’À MARSEILLE OU À LILLE ! ALLEZ SAVOIR POURQUOI ?

561x360_heure-avant-debut-manifestation-esplanade-gaulle-deja-noire-monde.jpgPierre Picace

Le nouveau NH cliquez ici

Je ne voudrais pas plomber l’ambiance euphorique qui prévaut en ce lendemain de fête à Neuneu, ni même troubler la dégoulinante béatitude des observateurs politiques qui n’ont de cesse de nous marteler en boucle combien est historique (hystérique conviendrait mieux) la journée d’hier, qu’il y aura un avant et un après du style, la France Black, Blanc,Beur de 98.

Combien étaient-ils ? Nombreux, très nombreux à Paris ça ne fait aucun doute, mais combien exactement, nous le saurons jamais la Préfecture de police de Paris ne sachant pas compter au-delà du million, ce qui entre parenthèse arrange bien les médias et le gouvernement.

Succès donc… Oui, si l’on accepte le chiffre de 3,7 millions de participants pour cette marche « républicaine », c’est à dire moins de 6% des habitants de ce pays. Exprimée en pourcentage, l’unité nationale est beaucoup moins flamboyante.

Si à Paris, les pouvoirs publics ont mis les petits transports dans les grands pour assurer le succès de la « marche », en province les rassemblements ont été diversement suivis.

Il est intéressant de noter par exemple que dans la très comunautariste ville de Marseille, ils n’étaient que 60 000 à battre le pavé dimanche pour défendre la « liberté d’expression », le « vivre ensemble » et le « pasdamalgame ». C’est peu pour la seconde ville de France (850 636 habitants) en comparaison avec les 115 000 personnes qui selon le comptage des autorités ont défilé à Rennes (onzième commune la plus peuplée avec 209 860 habitants). De même Samedi, Lille et sa banlieue « multiculti » n’avaient mobilisé que 37 000 « Charlie » (Lille métropole, 1,2 million d’habitants, tout de même), quant au rassemblement du dimanche à peine 3 000 personnes y ont pris part, c’est dire…

Cependant pas de panique, les politologues de toutes obédiences trouveront à coup sûr une bonne explication à ces décalages.

13:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charlie'Barnum : Hollande, le survivant et le pigeon !

2157401980.jpgYves Darchicourt

Il n'y a pas que la Taubira à s'être bien fendue la poire lors de la cérémonie d'apothéose de dimanche dernier. Le dessinateur et disc-jockey Renald Luzier, (alias Luz, à gauche sur la photo) y est allé aussi de son fou rire lors du passage pourtant compassé de François Hollande, ému aux larmes à pouvoir serrer la pogne d'un "survivant" de la tuerie islamiste, lequel d'ailleurs ne doit son salut qu'au fait d être arrivé en retard à la conférence de rédaction à l'aboutissement tragique pour ses collègues de Charlie-Hebdo.

Il paraît que l'irrépressible rire du "survivant" était due à un pigeon facétieux qui, dans un piqué impeccable au nez et à la barbe des services de protection, était parvenu à déposer une fiente (très probablement islamiste, les analyses sont en cours) sur la veste présidentielle. Comme quoi on peut rire de tout en n'importe quelle circonstance ! Surtout de François Hollande !

13:00 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charlie et la pleurnicherie

563248010.2.jpgLa chronique

de Philippe Randa

L’hécatombe autour de la rédaction de Charlie hebdo et ses victimes collatérales(un agent d’entretien et un policier) horrifie à juste titre le pays tout entier. Une journée de deuil national a été déclarée et les drapeaux de la nation resteront en berne deux autres journées !

Beaucoup d’honneurs, donc… pour beaucoup de haine !

Et des condamnations unanimes de part et d’autres… mais qui, à part une poignée d’abrutis qui pour des raisons politiques, qui pour des raisons religieuses, pourraient donc bien approuver de tels crimes ?

Traitons, néanmoins, cet événement dramatique avec objectivité, ce qui n’a pas été le cas de la plupart des médias enivrés par l’emballement de l’audimat… et encore moins de la classe politique, particulièrement hypocrite en l’occurrence.

Rectifions déjà le motif exact de celle-ci : les journalistes de Charlie hebdo n’ont pas payé de leur vie un combat pour la liberté d’expression qui ne leur a jamais été remise en cause par le gouvernement actuel, ni par les précédents ; ils n’ont pas subi les foudres des lois Gayssot et Pleven des années 70 et 80 ou, plus récemment, comme Dieudonné a vu l’interdiction de ses spectacles…

Les journalistes de Charlie hebdo ont été abattus au seul motif des idées qu’ils défendaient. Ce que l’on ne peut que respecter, même si on ne les partage pas… et qui les assurent désormais d’une postérité indéniable.

Relativisons ensuite les manifestations à travers le pays : ce n’est pas la liberté d’expression, là non plus, que les foules sont venus défendre, mais simplement un sentiment de légitime révolte face à une tuerie sanglante. Là aussi, c’est respectable, à condition de ne tromper personne.

Guère d’entre ces manifestants indignés ne songeaient à défendre la liberté d’expression avant ce mercredi 7 janvier lorsqu’il aurait fallu la soutenir financièrement : comme l’ensemble de la presse française à de rares exceptions près, l’hebdo dirigé par Charb voyait ses abonnements chuter et ses ventes régulièrement diminuer.

Quant à la classe politique qui ne tarît plus déloges à son égard, elle doit être tout de même soulagé dans son ensemble par la disparition possible du titre, même s’il est déjà annoncé qu’il devrait perdurer, pendant un temps en tout cas et avec une équipe forcément différente et bien justement traumatisée !

L’hebdomadaire satirique n’épargnait en effet personne, même s’il maltraitait certains plus que d’autres… Et se voir, ou risquer de se voir, croquer dans des positions humiliantes ou très régulièrement recouvert d’injures devait finir par en irriter plus d’un tout de même !

Les croyants, catholiques et musulmans en premier, mais sans doute tous les croyants de quelque confession qu’il soit, une fois l’émotion passée – et l’actualité médiatique  va s’y entendre pour cela – ne seront pas peinés pas outre mesure par la disparition de dessins blasphématoires et de textes orduriers dont la défunte équipe s’était faite une spécialité. Si une nouvelle équipe devait se mettre en place, suivra-t-elle l’exemple ou se montrera-t-elle plus prudente ?

Pour ce qui est des musulmans les plus radicaux, ils ne tarderont guère, si ce n’est déjà fait ! à louer comme il se doit les deux frères « vengeurs du prophète » comme ils se sont eux-mêmes auto-proclamés… 

Trop de larmes de crocodiles n’aura sans doute pas été la façon la plus digne de saluer le départ d’une telle génération de journalistes… On se consolera en songeant que s’il s’était agit de la rédaction du quotidien Présent ou encore de celle de TV Libertés, par exemple, on n’aurait guère assisté à de tels simulacres de compassion. Peut-être aurait-on même pu entendre quelques bouchons de champagne sauter en certaines rédactions, dites pourtant satiriques…

 

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08:24 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : Manifestation contre l’abattage Halal : samedi 17 Janvier à St Martial le Vieux dans la Creuse.

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Un communiqué de l'association Vigilance Halal :

Vigilance Halal et son President le Dr Alain de Peretti vous invitent à participer à la manifestation du 17 Janvier contre l’usine d’engraissement de St Martial le Vieux (NDLR : dans la Creuse). Cette réalisation cumule toutes les tares de notre société assujettie au « veau d’or ».

Tout d’abord en terme de respect de la condition animale, on cumule un élevage industriel concentrationnaire ne respectant pas la physiologie des animaux finalisé par un abattage halal pour répondre à un marché appelé pudiquement « méditerranéen ». C’est la double peine pour ces animaux et c’est le premier scandale !

De plus, cet élevage est situé dans une zone où les espaces ne manquent pas, et régie par une charte de Parc Naturel Régional, qui est normalement le gage d’un développement durable et éthique : où sont passés les élus régionaux qui auraient dû s’opposer à cette réalisation ? Une fois de plus, on ne peut compter sur nos élus, cela devient la règle. Des arguments écologiques comme les panneaux photovoltaiques et la charpente en bois local ne peuvent occulter le problème des effluents et de la circulation des poids lourds .

Enfin, on peut s’interroger sur la viabilité du montage commercial, car avec un client unique la catastrophe financière semble inévitable : les Ets Jean Rozé trouveront certainement un fournisseur encore plus compréhensif, encore plus subventionné par le contribuable.

En conclusion on n’hésite pas à tout brader, par mercantilisme effréné, pour répondre au marché porteur en expansion de la viande halal. C’est oublier que, par exemple, la Nouvelle Zelande est restée le premier fournisseur mondial de viande de mouton vers les terres d’islam après avoir interdit l’abattage halal sur son territoire, tout simplement parce que sa production est de qualité et à un prix attractif. Il y a donc une énorme tartufferie derrière tout cela et des enjeux financiers énormes car n’oublions pas que la labellisation halal rapporte beaucoup d’argent dans des circuits particulièrement opaques. Cette analyse globale du problème nous donne des solutions d’actions diverses, notamment judiciaires.

Une 2e manifestation est prévue le 31 Janvier à l‘initiative de l’OEDA, abondance de biens ne nuit pas, la cause est juste et le nécessite, et cela permettra à tous de s’exprimer. 

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06:20 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang à Toulouse le samedi 31 janvier

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05:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 12 janvier 2015

Chard n'est pas Charlie

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Dans Présent d'aujourd'hui cliquez là

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Charlie hebdo ou le bal des tartuffes

10636367_337022503173610_2919285997295686973_o.jpgThibaut de Chassey

Renouveau français cliquez ici

Les réactions ayant suivi les assassinats de la semaine dernière ont bien illustré le culot et le cynisme absolus du Système politico-médiatique.

Instrumentalisant sans scrupule l’émotion populaire, l’oligarchie en place a tout tenté pour détourner l’attention des citoyens des véritables enjeux et problèmes.

Elle n’a pas oublié non plus de promouvoir l’idéologie cosmopolite et mondialiste dont certains effets pervers commencent pourtant à se faire douloureusement sentir.

Le souci de la vérité nous oblige à rappeler pour notre part que :

- l’invocation d’une « liberté d’expression » inviolable relève de l’hypocrisie la plus pure, tant de la part des gouvernants (songeons à la récente affaire « Dieudonné ») que de celle des partisans d’un journal qui, par exemple, soutenait la loi liberticide Fabius-Gayssot ou qui avait réclamé l’interdiction du Front national.

– ces effusions de sang (comme d’autres, moins spectaculaires, mais qui touchent chaque semaine des Français sans que les médias le soulignent) sont liées à l’invasion migratoire que subit la France.

– le système politico-médiatique et son multiculturalisme ont une responsabilité écrasante dans les tragédies que connaît notre pays et qui se multiplieront, toujours plus graves, leurs causes n’étant pas traitées mais au contraire favorisées. L’immigration de masse et la prolifération de foyers de guerre intérieure, avec leurs caches d’armes et leurs voyous déshumanisés, sont imputables à ceux qui se succèdent au pouvoir depuis des décennies.

- profitant de l’émotion et de la peur, le Système va sans scrupules renforcer ses moyens de flicage et de censure de la population (notamment des patriotes), comme il le fait en pareil cas et à l’instar du gouvernement américain après les attentats du 11 Septembre. Le totalitarisme actuel va se renforcer, sous prétexte de sécurité et par la manipulation de la mémoire des morts.

– les Français doivent sortir de la fausse alternative qu’on leur présente entre d’un côté la barbarie islamiste, et de l’autre la décadence libertaire et antispirituelle.

Dans une société civilisée, un torchon comme l’était Charlie Hebdo n’aurait pas la capacité de répandre ses ignominies agressives, comme il l’a fait encore récemment avec des affiches blasphématoires antichrétiennes affichées partout au moment de Noël.

Notons aussi que les grands « républicains », qui se présentent abusivement comme l’opposition à l’islamisme violent, ne se privent pas de tuer ou de laisser tuer abondamment que ce soit en France (criminalité étrangère tolérée voire encouragée, infanticides promus et remboursés par la Sécurité sociale, etc.) ou à l’étranger, où les mêmes islamistes ont été soutenus plus ou moins directement (Syrie, Lybie, Irak, etc.)

Nous refusons ce faux choix qui n’offre finalement que la mort du corps ou pire, celle de l’âme.

Nous voulons que la France soit libérée de ceux qui occupent indûment son sol ou son Etat, qu’elle soit libérée des idéologies funestes d’où qu’elles viennent.

Nous voulons et nous aurons un Etat qui se soucie véritablement des intérêts des Français, qui garantisse les libertés essentielles, qui respecte le véritable sacré, qui préserve l’identité nationale et la sécurité des Français. Pour ce renouveau français, il faut une véritable révolution.

20:26 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sans commentaire…

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20:07 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

T'as bien pigé ?

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Le Charlie Leviathan

6a00d83453bcda69e201543412fc6c970c-800wi.jpgClaude Bourrinet

Il n'était certes pas question, pour moi, de défiler avec ceux qui ont armé les islamistes en Libye, en Syrie et en Irak, et, plus généralement, qui prêchent pour des interventions contre les Nations ayant quelque velléité de rester libres, indépendantes de notre maître, l'empire américain.

Cependant, le mérite d'une telle journée de dupes aura donné l'occasion de nettoyer, en un geste de terreur transformé en gestuelle théâtrale, tout le passif d'une caste politique qui n'a cessé de trahir la patrie depuis au moins quarante ans. Oubliés le chômage, la crise, les affaires, l'Otan, la dislocation de l’État au profit d'intérêts transnationaux ! L'entourloupe n'a peut-être pas été télécommandée, comme ce fut le cas, dans les années 70, les années de plomb, en Italie, mais tout le monde sait qu'un bon politique saute toujours sur les occasions pour tourner la situation à son avantage.

Et voilà qui est fait. Lisez Le Prince, de Machiavel. Et aussi Gouverner par le chaos, aux éditions La Fabrique. Tout y est.

La première loi de l'esclavage, de la « servitude volontaire », dirait La Boëtie, c'est la règle de l'unanimité. Tous ensemble ! Qui ne voit le lien entre le délire de 1998, et celui qui s'est emparé des masses ?

Oui, des masses, c'est le mot. Qu'est-ce qu'une « masse » ? C'est un pâté compact, malléable, sans aucune singularité en lui, collant, visqueux, affalé, et destiné à gaver. C'est une foule. L'exact contraire de la liberté, de l'esprit critique. Nul doute que, comme dans le Quart Livre de notre bon Rabelais, quelque Panurge ne sacrifierait le troupeau entier, en lui faisant suivre, bêlant, la première bête qu'il jetterait à la mer !

Tel est le totalitarisme. Le totalitarisme, c'est le pâté transformé en « pensée ». Quelle différence avec les fanatiques islamistes, qui agissent aussi dans le pathos, l'affectivité outrancière, la folie idéologique ?

Or, qu'est-ce que la « pensée » d'une masse ? Sa liberté ? Sa « paix », sinon celle du cimetière ? Orwell retournait ces termes comme des gants, en dévoilant la vérité des choses.

La société française, comme celles qui ont été empoisonnées par le postmodernisme, est constituée d'éléments interchangeables, tous alignés sur les mêmes réflexes, les mêmes émotions, la même inculture crasse, le même conformisme formaté par l’École et les médias. C'est l'Amérique de Tocqueville parvenue à son stade final d'atrophie, d'ânerie, de haine bon enfant de tout ce qui est singulier. C'est le résultat d'un Grand Remplacement, celui de l'esprit français par le nihilisme universel.

Nous avons trop l'habitude de conceptualiser à partir de schémas désuets, dépassés. La lutte de classes n'existe plus. La politique s'est évaporée. La nation n'est plus qu'un souvenir. La liberté est un slogan publicitaire, comme la lessive qui lave plus blanc que blanc. Reste les affects infra-humains, la caricature... Oui, Charlie, c'est vraiment notre image ! Nous sommes devenus Charlie !

09:47 Publié dans Claude Bourrinet, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 11 janvier 2015

On se marre pendant les manifs...

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Cet après-midi le gang des hypocrites était de sortie.

Rassurez-vous, il s'est bien amusé...

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23:00 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Attentat contre Charlie Hebdo : le bal des hypocrites

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Charlotte d'Ornellas

Boulevard Voltaire cliquez ici

Voitures folles, attentats, prises d’otages, fusillades… Le réveil est douloureux. L’insécurité n’est pas nouvelle mais le message conquérant de l’ennemi devient plus clair. Et le bilan est déjà trop lourd pour la France.

La réponse ? Un défilé d’hypocrites en tous genres. D’abord chez nous.

Que les hommes politiques qui encouragent immigration massive et islamisation du pays depuis des décennies aient la décence de se taire plutôt que de se lancer dans une « union nationale » de laquelle ils excluent le seul parti politique à qui il faut au moins reconnaître la constante clairvoyance sur la menace qui devient aujourd’hui bien réelle.

Ils se sont précipités, non-musulmans qu’ils sont tous, pour expliquer que ces islamistes n’avaient rien à voir avec l’islam pendant que des centaines d’enfants musulmans refusaient, en France, d’observer une minute de silence et que des milliers d’autres « fêtaient » partout dans le monde cet attentat…

Des attentats islamistes en pagaille, un soutien inquiétant de la part d’une grande partie de nos « chances pour la France », et c’est encore l’angélisme criminel qui sert de réplique : une marche contre « la barbarie » non identifiée, contre le racisme et les amalgames des Français… Il fallait bien que ce soit de notre faute à un moment donné.

Mais nos « élites » ne sont pas les seules à verser dans une hypocrisie révulsante. Tous les pays arabes ont dénoncé les attentats, et l’Arabie saoudite s’est même fendue d’une présentation de ses condoléances…

À quand les condoléances de cette même Arabie saoudite aux centaines de milliers de familles syriennes endeuillées par les djihadistes « modérés » qu’elle soutient ? À quand les condoléances aux familles de ces personnes exécutées parce qu’elles avaient choisi de quitter l’islam pour embrasser le christianisme ? Quelle est la sincérité d’un pays qui fait mine de pleurnicher après le meurtre de caricaturistes quand il condamne à dix ans de prison et 1.000 coups de fouet un blogueur pour « insulte envers l’islam » ?

Qui peut penser que l’Arabie saoudite condamne ces attentats ignobles quand un rapport du Parlement américain sur le 11 septembre est tenu secret en raison des très probables révélations du soutien financier de l’Arabie saoudite aux terroristes qu’il contient ?
Qui peut saluer ces larmes de crocodiles d’un pays qui consacre des milliards de dollars à la promotion de l’islam sunnite le plus radical qui soit ? Même constat pour le Qatar.

Pareil pour la Turquie dont le Premier ministre sera à Paris dimanche aux côtés de notre gouvernement. Cette même Turquie qui refuse de fermer ses frontières et accepte d’être le passage privilégié de tous ces djihadistes qui se rendent en Syrie tuer des innocents.

Fabius est muet et il a bien raison. La France vient d’être touchée par des monstres qui ont des milliers de frères de lutte qui tuent partout dans le monde, à commencer par ces « rebelles modérés » que nous soutenons depuis quatre ans avec nos alliés du Golfe.

Si nous sommes aujourd’hui déterminés à rester debout, c’est parce que nous sommes Français.

Nul besoin, pour cela, de prétendre être « Charlie » ou de marcher derrière les responsables de la situation dans laquelle nous sommes.

Nul besoin, non plus, de croire aux fables de ces pays arabes qui prétendent condamner ce qu’ils continuent plus ou moins directement à encourager.

22:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il y a trois ans, après la tuerie de Toulouse : propos de Dominique Venner

DV SP.jpgIl y a un peu moins de trois ans, au lendemain de « la tuerie de Toulouse », Dominique Venner répondait dans un entretien :

Question à Dominique Venner par Pauline Lecomte : Pour reprendre le thème de votre nouveau livre, L’Imprévu dans l’Histoire. Treize meurtres exemplaires (Editions Pierre-Guillaume de Roux), la tuerie de Toulouse entre-t-elle dans ce type d’imprévus ?

Dominique Venner : Oui, c’est un imprévu. Sans préjuger de toutes ses conséquences, c’est un événement qui laissera des traces. On pensait que le terrorisme islamiste était en voie d’extinction. Et l’on découvre qu’avec l’immigration, la France a couvé un nid de terrorisme pouvant frapper à tout instant et de façon imprévisible.

Question : Y aura-t-il un avant et un après Mohammed Merah ?

DV : Je viens de lire les propos de Claude Klein, professeur à l’Université hébraïque de Jérusalem (rapportés par Adrien Jaulmes dans Le Figaro du 26 mars 2012, page 2) : « L’affaire, dit M. Klein, met au jour des réalités sociologiques inéluctables : la France, qui abrite la troisième plus grande communauté juive du monde, après Israël et les Etats-Unis, avec quelques 600 000 Juifs, est aussi le pays qui compte la plus importante minorité arabe musulmane. Et c’est dans cette communauté que se développe le phénomène de l’islamisme radical. » Autrement dit, le drame de Toulouse révèle une réalité occultée par la bienséance officielle : la France est divisée en communautés ethniques différentes, parfois hostiles. Des réflexes communautaires antagonistes se révèlent face à un événement qui les touche particulièrement. Sans doute le savait-on. Mais voici que le drame de Toulouse en souligne la réalité.

Question : Plusieurs articles de presse ont été consacrés à votre livre L’Imprévu dans l’Histoire. Je vais en citer un, lu dans Valeurs Actuelles, sous la signature de Frédéric Valloire : « Dans son essai précédent, écrit ce chroniqueur, Le Choc de l’Histoire (Via Romana), Dominique Venner avait présenté sa philosophie de l’Histoire. En voici l’expérimentation : à travers treize meurtres politiques du XXe siècle surgit l’inattendu. Celui-ci bouscule tout sens de l’Histoire, emporte un ordre établi, ou au contraire le consolide, élimine un concurrent, avertit d’une intention, dévoile un adversaire, révèle une fragilité… » N’est-ce pas à tout cela que fait penser le drame de Toulouse ?

DV : C’est un événement sanglant dont nous ignorons la portée. Il me semble révélateur de réalités que l’on s’efforce de masquer, celles de l’énorme immigration extra-européenne et, comme je l’ai dit, de réflexes ethniques et communautaires perturbateurs. Nous ne sommes qu’au début d’un processus conflictuel qui rendra consciente les permanences identitaires.

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Les Charlot en tête du cortège des Charlie

images.jpgArnaud Raffard de Brienne

Ainsi donc les véritables responsables de la situation actuelle de la France et des drames qu’elle a subis ces derniers jours paraderont-ils en tête d’importantes manifestations de centaines de milliers de Charlie. Ce sera en quelque sorte les Charlot entrainant les Charlie dans des marches dont on ne voit pas vraiment en quoi elles entraveront de quelque manière que ce soit la montée d’un terrorisme parfaitement prévisible et que nous annonçons depuis des lustres. Il est au passage cocasse de penser que 99,99% des manifestants n’ont jamais acheté, lu ou ouvert le moindre numéro de Charlie Hebdo et, jusqu’à mercredi dernier, en ignoraient jusqu’à l’existence. On mesure ainsi le niveau d’ahurissement et le degré de sidération mentale entretenus par les grands media, formidables caisses de résonance de la pensée unique. Droite et gauche rassemblées en une sorte de syndicat des faillitaires s’arc-boutent contre l’expression de prétendus amalgames dont ils savent pertinemment qu’ils ne sont que des rapprochements logiques mais dont la propagation serait fatale à leur carrière, avantages, honneurs et prébendes liés. Ces hommes sans conviction sont au service du système et ne doivent leur siège (éjectable) qu’à leur soumission aveugle à ses dogmes. Souvenons-nous du volontariste candidat socialiste Hollande annonçant tranquillement sa conversion ultra-libérale, à plat ventre devant le grand capitalisme international. Souvenons-nous aussi du redoutable Sarkozy remisant, aussitôt élu, son virtuel Kärcher, pour pratiquer la plus laxiste des politiques migratoires. Ceci, après avoir truffé son premier gouvernement d’opposants à son camp politique. Qui peut encore croire ces bouffons ? Au-dessus d’un certain seuil, la crédulité devient indécente et devrait être proscrite, voire taxée.

Les seuls à qui est intimé aujourd’hui le silence sont précisément les plus clairvoyants, ceux qui ont à temps et à contretemps alerté sur les dangers d’une immigration massive et incontrôlée, ceux qui ont eu raison deux, trois ou quatre décennies avant les douloureuses et tardives prises de conscience actuelles. Leur parole et leurs écrits constituent un reproche permanent que seuls de puissants… amalgames ont permis, avec plus ou moins de bonheur, de juguler jusqu’à ces dernières années. Hélas pour la nomenklatura, aujourd’hui le mur du silence se fissure, la crise économique, les enjeux sociétaux, les dangers qui nous menacent et Internet contribuant à un inéluctable réveil des peuples.

La classe politique, droite et gauche confondues, n’a rien appris, rien compris et et s’avère incapable d’assumer son incurie et son aveuglement, réduite à de pauvres manipulations de masses, assorties de mensonges manipulatoires. Ils portent l’entière responsabilité de la situation actuelle.

Ultime preuve, s’il en était besoin, de la mascarade en cours : le premier ministre turc, l’ultra-islamiste Ahmet Davutoglu devrait aujourd’hui participer à la manifestation alors que la Turquie s’affichait, il y a peu, comme un fervent soutien de « Daesch ». C’est à ce genre d’information, parmi quelques centaines d’autres que l’on mesure mieux l’importance de la manipulation idéologique en cours.

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13:50 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aura t-on encore longtemps le droit de ne pas être Charlie ?

10906050_10203293475366943_509539688175256914_n.jpgYves Darchicourt

Au train où çà va ce n'est pas certain du tout! On a pu voir aujourd'hui les prémisses de ce qui demain dimanche devrait être l'Apothéose, non pas des 17 victimes de la furie mahométane de ces derniers jours, mais de quelques unes d'entre-elles et notamment du quarteron de signatures préférées des médias et de la bobosphère : Cabu, Wolinski, Charb et Tignous érigés en martyrs tout à la fois de la République, de la liberté de la presse, de la laïcité, de la tolérance, de la France plurielle, du vivre ensemble, de l'Islam de France et de l'humour talentueux au service de l'Universel.

Bref oser dire qu'on n'appréciait que modérément voire pas du tout une feuille de bobos éditée pour les bobos et qui n'avait pas même l'intérêt de pouvoir être parcourue d'un derrière distrait va bientôt relever de la même inconscience qu'une critique des lois mémorielles. Et pourtant - au-delà du drame humain infiniment regrettable pour les victimes et leurs proches mais qui n'est pas plus sinistre par exemple que la mort prématurée de dizaines de soldats français pendant les diverses interventions exotiques "contre le terrorisme" (et pour les multinationales) de ces dernières années - en quoi le Gaulois devrait y aller du lacrymogène sur la disparition probable d'une parution qui, dans une très large proportion, s'attachait surtout à discréditer tout ce qui se rattache à la patrie, à la nation, à la famille naturelle, à l'identité européenne, aux traditions religieuses... bref à déverser son fiel anti-blanc et anti-national enrobé d'humour scatologique sauce perverse avec, pour donner le change, quelques saillies -qui se révèleront aussi financièrement profitables que malencontreuses- en direction d'une sensibilité religieuse d'importation fort réactive au blasphème.

Avancer que demain le grandiose panthéonesque va confiner au grotesque sera certainement politiquement incorrect, tout comme pronostiquer qu'après-demain le "beauf" contribuable va trouver sévère que Charlie "citoyen d'honneur de Paris" soit arrosé d' un million d'euros d'aide publique à fonds perdus pour renflouer une trésorerie défaillante depuis des lustres faute de lecteurs. Un Charlie qui va en outre bénéficier d'un million d'exemplaires d'un "spécial survivants" tiré et "publicité" gratos et ratisser le produit d'un geste citoyen salutaire qui s'apparente presque à de la vente forcée tant la pression morale est déjà forte sur le populaire.

Alors pendant que c'est encore possible sans encourir le lynchage médiatique et la mort civique, je persiste à dire que je ne suis décidément pas Charlie !

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13:34 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Des colleurs d'affiches du Parti de la France arrêtés cette nuit à Paris : le pouvoir retrouve ses priorités !

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Cette nuit, lors d'un collage d'affiches à Paris sur le parcours de la « marche républicaine » de cet après-midi, des militants du Parti de la France ont été arrêtés Place de la Nation, interrogés au poste pendant 4h et leurs affiches ont été confisquées sur ordre d'un juge. La République française semble avoir retrouvé ses priorités...

Pourquoi le PdF ne défilera pas aujourd'hui ? cliquez ici

13:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manifestation Charlie hebdo : dimanche après-midi, on reste chez nous !

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09:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre l’islamisme et le régime failli : sursaut national

P1020958.JPGAndré Gandillon

Directeur de la revue Militant

Fait divers tragique, bien sûr, notamment pour les familles touchées. Toutefois, l’émotion orchestrée autour de cet attentat provient uniquement de ce que Charlie hebdo est un journal ordurier qui reflète la nature de la classe politique régimiste à la mentalité nauséeuse. Et il faut noter que la compassion  médiatique concerne plus les journalistes défunts que les policiers et l’ouvrier qui y ont aussi laissé leur vie.

Tout se passe comme si la classe politique régimiste et mondialisée s’était sentie directement touchée par les balles ayant atteint leurs complices. Cet hebdomadaire n’est pas l’emblème de la liberté d’expression, mais des vomissures de la pensée dominante de leur république à l’encontre de la France et de la civilisation européenne, l’injure étant sa signature. Quant à la liberté d’expression, elle n’existe plus en France depuis les lois Pleven et Gayssot.

Charlie Hebdo appelait à l’interdiction du Front national dans la mesure où il est réputé « fasciste », multipliait les caricatures blasphématoires et sacrilèges contre les chrétiens. Il avait cru s’en prendre impunément à l’islam : les mahométans ont suivi des préceptes coraniques et ont vengé ce qu’ils considéraient comme une injure. Ces assassinats sont moins des actes terroristes que des actes politico-religieux.

Cette affaire illustre la faillite et la nuisance de ce régime et du personnel qui s’y agrège. Factuellement, ils ont été incapables de protéger la vie de gens auxquels ils apportaient une protection policière personnelle, ce qui montre leur incurie foncière. Des ministres de l’Intérieur ont jadis démissionné pour moins que ça.

Surtout, ils sont la cause de la situation qu’ils déplorent : ils ont favorisé l’implantation et la diffusion de l’islam en France et en Europe, facilitant l’immigration extra-européenne et finançant les mosquées ; ils sont allés chercher noise à des États musulmans qui ne les menaçaient pas. S’il y a un terrorisme islamique, ils ont leur part dans son existence. Sous l’impulsion de la maçonnerie, ils ont suscité une société de mort qui ne peut qu’inspirer le mépris et le dégoût, ne respectant la vie ni avant la naissance, ni dans la vieillesse.

Le défilé de dirigeants politiques appelant les uns après les autres à « l’union nationale » est une odieuse opération de récupération politique, dans la mesure où ils sont responsables de la situation présente qu’ils sont incapables de juguler. Et le Front national montre sa nature en faisant tout pour s’agréger aux fossoyeurs de la France. De même, l’épiscopat, au lieu de sonner le glas pour des anti-chrétiens militants, il devrait sonner le tocsin depuis longtemps contre ce régime.

La solution aux problèmes présents n’est pas dans une unité nationale de circonstance autour du syndicat de faillite de la France et dans un phénomène d’hystérie collective organisée, mais dans un sursaut national devant rendre la France à elle-même.

09:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 10 janvier 2015

Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

18:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La vérité :

592bfe96545823139a07ac761c088575.pngDisons que si, au lieu de s’en prendre à la rédaction de Charlie Hebdo, des terroristes avaient décimé celle de Valeurs actuelles, il est fort à parier que les réactions n’auraient pas été les mêmes. On n’aurait pas vu fleurir les « Je suis Valeurs » comme on a vu fleurir les « Je suis Charlie » (du verbe « être », je suppose, pas du verbe « suivre »). La classe politique gouvernementale n’aurait certainement pas parlé d’« union nationale » (thème mystificateur par excellence, d’ailleurs, car une telle « union » profite toujours à ceux qui détiennent le pouvoir et veulent bénéficier d’un consensus). Contrairement à son prédécesseur Hara Kiri, Charlie Hebdo, journal libéral-libertaire, était devenu l’un des organes de l’idéologie dominante. Celle-ci sait reconnaître les siens.


Alain de Benoist

17:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Liberté d’expression » : quand Charlie Hebdo réclamait l’interdiction du FN

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Extrait d’un article paru dans Libération en 1996 :

« Le 26 avril, Cavanna, Val et Charb (trois piliers du journal Charlie Hebdo) débarquent en estafette dans une annexe du ministère de l’Intérieur. Dans leur coffre, des cartons remplis de signatures qu’ils apportent à un conseiller de Jean-Louis Debré. En huit mois, 173 704 personnes ont répondu à l’appel « pionnier » de l’hebdomadaire pour demander l’interdiction du Front national. Loin de l’anonymat des sondages ou de la sempiternelle discussion sur la montée du FN, ces milliers de signataires ont apposé leur nom, profession, adresse, au bas d’un texte réclamant « de dissoudre le Front national, cette ligue dont le but politique est de faire disparaître la République ». Adressé au président de la République et au ministre de l’Intérieur, la pétition est précédée des articles 1, 2, 4, 6 et 7 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (elle constitue le préambule de la Constitution), avec lesquels « le Front national est en contradiction flagrante ».

Fin juin 1995, Cabu dessine, à la une de Charlie Hebdo, Jean-Marie Le Pen menottes aux mains entre deux policiers. En titre: « Que faire contre le Front national? L’interdire ! » »

Source Contre info.com cliquez ici

14:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Guerre islamiste : réaction de Carl Lang, Président du PdF.

14:00 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Faites attention en sortant de chez vous :

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13:28 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Que peuvent bien penser les morts de Charlie hebdo ?

Randa Philippe 11 2014 quadri.jpgLa chronique

de Philippe Randa

La France vit dans l’émotionnel : 17 morts, ce n’est pas rien, il est vrai… Des morts brutales, à motif terroriste ; si ce n’était le cas, qui s’en soucierait au-delà du cercle forcément restreint des proches ?

La Nation entière est ainsi appelée à se rassembler le dimanche 11 janvier pour une manifestation où on se devra d’être vu. S’y bousculera la quasi-totalité des personnalités politiques et sans doute people de notre pays, Président Hollande en tête. Mais aussi, nous annonce-t-on, bien des Chefs d’État d’Angela Merkel à David Cameron, en passant par Matteo Renzi, Mariano Rajoy… qui à peu près tous, ont eu pourtant à subir qui les caricatures humiliantes, qui les jeux de mots scatologiques de l’hebdomadaire satirique…

Même Marine Le Pen et les responsables du Front national, sans doute le mouvement le plus traîné dans la sanie par celui-ci, se plaignent d’en être écartés par le Parti socialiste et l’extrême-gauche, tandis que l’UMP et les centristes se trouve bien gênés d’une telle promiscuité…

Polémique qui consterne pourtant tous ceux qui ne veulent voir là qu’une occasion formidable de rassembler le peuple de France.

Occasion manquée, donc… Reste la récupération. Si ce n’est la nation française, qui donc tirera bénéfice de la « semaine sanglante » ?

Sûrement pas la mémoire des victimes des deux tueries, qu’elles soient celles du siège de Charlie hebdo ou de l’épicerie casher, deux jours plus tard.

Tout d’abord, il y a les victimes collatérales : le policier et l’agent d’entretien de la rue Nicolas-Appert, la policière municipale de Montrouge et les clients anonymes de la Porte de Vincennes… L’histoire ne retiendra pas plus leur nom ou leurs visages que ceux des « petites mains » de la rédaction ; seuls les quatre noms déjà connus de Cabu, Charb, Tignous et Wolinsky sont systématiquement repris par les médias…

D’ailleurs, que peuvent bien penser eux-mêmes ces quatre-là, où ils sont désormais, de ces démonstrations pour la plupart hypocrites, intéressées… ou contraire à tous leurs engagements passés ?

Que pensent-ils de ces trois jours de deuil national en leur honneur dans une Nation française qu’ils n’ont eu de cesse de singer ?

Que pensent-ils de ces Marseillaises qu’ils ont tant moquées, entonnées à leur mémoire dans tout le pays ?

Que pensent-ils de ces catholiques qu’ils ont tant injuriés, salis et moqués qui prient pour le salut de leur âme, appliquant leur principe du pardon des offenses ?

Que pensent-ils de ces responsables de la communauté musulmane proclamer “Je suis musulman, je suis Charlie”, malgré l’insulte faite à leur prophète ?

Que pensent-ils de ce Front national qu’ils combattaient et qui, seul de la classe politique, sonnait en vain le tocsin contre le danger islamiste… Combat frontiste, qui plus est, dénoncé avec tant de haine par Charlie hebdo ?

Que pensent-ils de ce million d’euros dont il est question que l’État donne pour que leur hebdomadaire puisse continuer à paraître, alors qu’il se faisait un point d’honneur, jusqu’alors, à ne pas accepter d’argent de la publicité ?

Trop d’honneurs tue l’honneur, dit-on… N’y aurait-il pas chez beaucoup un désir de vengeance à peine dissimulé à tuer ainsi la mémoire des morts de Charlie hebdo, alors que les tueurs fous d’Allah n’avaient pris que leur vie ?

12:25 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le commencement...

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Serge Ayoub Porte parole du courant solidariste français

Source Solidarisme cliquez ici

Je ne suis pas Charlie. Je suis français.

Moi et les miens avons été traités de beaufs, de racistes, de paranos, de brutes, de pro-Bachar, voire d’assassins haineux, par Charlie Hebdo. Aujourd’hui Charlie Hebdo est mort, décapité par de vrais assassins nourrissant contre lui une haine véritable. Charlie Hebdo est mort, quand bien même il continuerait quelques temps à paraître. Charb, Wolinski, Cabu, Tignous sont morts, et nous sommes tristes pour eux et pour leurs familles. Malgré leur détestation pavlovienne de ma personne, de ceux que j’admire et de ceux que je peux éventuellement inspirer, malgré les amalgames et les raccourcis, et l’humour de mauvais goût, ce sont douze et probablement plus de mes compatriotes qui sont morts aujourd’hui sous les balles d’ennemis féroces.

Quel message nous envoient-ils, ces ennemis ?

Une attaque contre la liberté de la presse ? Oui, mais ce n’est pas seulement ça. Il ne s’agit pas d’une campagne de musulmans conservateurs militants pour faire retirer tel numéro de Charlie Hebdo jugé insultant ou blasphématoire, afin de « faire jurisprudence » et d’imposer les nécessaires dérogations à l’émancipation d’un islam politique et juridique sur le territoire.

En réalité ce message est celui d’une vengeance et comme toute vengeance d’une sanction à valeur d’exemple. « Le prophète Mohammed a été vengé » a-t-on pu entendre l’un des tueurs s’exclamer. Vengé de quoi ? Des blasphèmes réitérés et assumés de la rédaction de Charlie Hebdo contre Mahomet et l’Islam. Une banalité dans notre République laïque, mais impensable en Islam. Il fallait laver l’affront dans le sang. Et en lavant cet affront, adresser un avertissement non pas seulement à toute la presse, mais à tous les Français : « Ne parlez pas mal de l’Islam. » Les terroristes se foutent de la liberté de la presse en France. Savoir si les journalistes sont écoutés, payés par des conglomérats, tenus en laisse idéologiquement par la précarisation de leurs revenus : tout cela n’a aucune espèce d’importance par rapport à leur projet qui est d’augmenter la puissance de leur courant religieux. Ce qui compte, c’est que tous les Français s’habituent à l’idée qu’on ne parle pas mal de l’Islam impunément. Moi la dernière fois que j’ai entendu parler d’atteinte à la liberté de la presse, c’est quand le FN a refoulé Mediapart d’un meeting. Et la fois d’avant, c’était quand Mélenchon s’était emporté contre le Petit Journal. Très honnêtement, je vois mal le rapport avec l’acte de terroriser tout un peuple en lui intimant le silence et un respect craintif.

Ce respect craintif transpire d’ailleurs dans chacune des interventions mesurées de nos responsables politiques. Dire que l’Islam n’a rien à voir avec cette barbarie n’est ni vrai ni faux. C’est simplement un moyen de ne pas attirer l’attention des terroristes. Inversement l’attitude guerrière, consiste justement dans l’amalgame et l’outrance. Historiquement, aussi injuste quelle soit la vengeance aveugle a toujours été une méthode très dissuasive. En cela, ceux qui parlent de ne pas rentrer dans le jeu guerrier des terroristes sont précisément ceux qui font leur jeu : ils se laissent terroriser.

Je vais préciser ce que je pense de cette fausse question de l’amalgame. On lit partout, « L’immense majorité des musulmans ne veut pas la guerre ou la violence. » C’est probable. « L’immense majorité des musulmans veut simplement qu’on la laisse pratiquer sa religion tranquille. » Comme la plupart des croyants, admettons-le. « L’immense majorité des musulmans n’aurait jamais fait de mal aux dessinateurs de Charlie Hebdo. » On peut le croire, et il y a même fort à parier que le policier nommé Ahmed, mort en service pour les défendre, achevé au sol parce qu’il représentait la France par son uniforme, était musulman. Cela ne change au demeurant rien au fait que l’Islam soit fondamentalement aussi exotique en Europe que le bouddhisme. Mais soit, oui, c’est vrai, « l’immense majorité des musulmans » n’a rien à voir avec la violence terroriste.

Et c’est pour ça qu’elle ne compte pas. Les musulmans qui comptent, ce sont ceux qui nous forcent à parler de l’Islam. Ceux qui nous forcent à nous inquiéter. Ceux sans lesquels la religion musulmane en tant que telle ne provoquerait que notre  indifférence, une indifférence identique à celle que suscite le culte des bouddhistes venus en nombre croissants de l’Empire du milieu, ou des chrétiens évangélistes, africains ou pas. Y a-t-il une bouddhistophobie ? Non.

Les musulmans qui comptent, ce sont ceux qui nous ont déclaré la guerre. S’il n’y avait pas de menace, cette inquiétude qui s’appelle islamophobie n’existerait pas. Le musulman qui compte, celui avec lequel il faut désormais compter c’est celui qui a la force d’instaurer un califat, pas celui qui a son petit rond de serviette au dîner du CRIF pour donner bonne conscience aux crétins qui nous gouvernent, et qui ne représente personne.

Car c’est bien une bande de crétins qui nous a amenés où nous sommes. Les vrais coupables ce sont eux, et c’est précisément dans ces moments de rage et de colère que c’est un devoir de le rappeler.

Quel est leur crime ?

Faire et laisser venir des immigrés musulmans par millions sans pouvoir les intégrer ni socialement ni culturellement.

Laisser la religion comme seule identité positive à leurs enfants déracinés.

Abrutir ceux-ci avec un discours antiraciste pour qu’ils votent pour eux.

Les manipuler pour qu’ils participent à leurs tentatives de coups d’État en Syrie ou ailleurs.

Les laisser, au nom de l’ouverture des frontières, revenir entrainés et aguerris.

Il faut y penser lorsqu’ils appellent à une marche « républicaine » pour les victimes de Charlie Hebdo, et pour celles qui suivront.

Les criminels, ce sont la gauche française, celle qui mérite de disparaître. Celle d’un gouvernement qui a décidé en août dernier de bombarder l’État islamique en dépit du bon sens, de l’efficacité tactique, et de nos intérêts stratégiques. En effet non seulement les frappes renforcent l’État Islamique, ainsi que nous l’avions prévu dans notre article contre ce que j’ai appelé Doctrine Chauprade, mais en s’y joignant, notre gouvernement a fait de la France une cible, et bientôt peut-être un champ de bataille. On ne rappellera néanmoins jamais assez leur trahison, et l’importance de se débarrasser de ces gens le plus vite possible.

Ce qui doit venir à la place de ces traîtres qui nous ont fabriqués un ennemi au sein de notre propre société ? Une force politique légitime, qui assume la violence de la réalité à laquelle nos sociétés européennes font face, et qui sache lui opposer une violence adéquate, légale et proportionnée à la menace. Ce rôle ne peut pas être tenu par le gouvernement socialiste. D’abord parce que ces assassinats islamistes sont une métastase de l’idéologie immigrationiste du PS. Ensuite parce que le ministre de l’Intérieur de ce gouvernement, malgré les menaces et ses services de renseignements, a été incapable de défendre ni ses concitoyens ni ses fonctionnaires. Il a donc failli à sa mission. D’ailleurs, quand bien même ils voudraient nous défendre, il suffit de les regarder pour savoir qu’ils en sont incapables.

Ce rôle ne peut pas être tenu non plus par une droite à moitié inféodée aux émirs qataris, dont le rôle dans la pseudo révolution syrienne (devenue un bourbier djihadistes) est pour le moins trouble.

Je vais être plus clair : le Front National est, d’après moi, non pas la solution, mais le seul espoir de solution et de victoire. Lui seul a eu le bon diagnostic sur la situation actuelle, lui seul, au-delà de toutes les erreurs de recrutement et de tactique qu’il peut commettre, est capable d’être porté par un peuple français qui retrouverait foi dans son destin, foi dans sa force et dans sa capacité à défendre ce qu’il est et ce qu’il doit rester.

Votez FN. Ce sera un commencement.

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vendredi, 09 janvier 2015

Ce soir, plusieurs familles juives peuvent dire merci à Taubira...

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Amedy Coulibaly, le tueur de policière de Montrouge jeudi matin et preneur d'otages dans une épicerie casher à Saint-Mandé, porte de Vincennes, a rencontré le Président Nicolas Sarkozy en 2009.

En passant, l'homme devrait se trouver en prison depuis 2013 mais libéré il y a deux mois suite à la loi Taubira qui autorise la libération de prisonniers pour les condamnations de allant jusqu'à 5 ans d'enfermement. Merci beaucoup Madame.

Source Le blog de Thomas Joly cliquez ici

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Confidence : je ne suis pas Charlie

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Arnaud Raffard de Brienne

Les réactions officielles, officieuses, politiques et médiatiques de l’ensemble de la société convergent pour condamner l’attentat effroyable commis contre le journal satyrique Charlie Hebdo. Cet acte inspiré par la barbarie obscurantiste au front bas ne peut trouver aucune justification d’aucune sorte et au moins, sur ce point, il y a consensus, ce qui est plutôt rassurant et les victimes méritent tout le recueillement qui leur est dû. Est-on obligé pour autant de vénérer à posteriori ce journal provocateur, blasphémateur, souvent méchant et presque toujours vulgaire ? Doit-on psalmodier avec la foule « je suis Charlie », une affichette à la main et un badge à la boutonnière ? En tout cas, je me permets une confidence, je ne suis pas Charlie mais alors pas du tout, je serais même plutôt du genre anti-Charlie, ce qui ne m’empêche nullement de défendre farouchement la liberté d’expression, y compris celle de Charlie Hebdo.

Le plus crispant dans tout cela, c’est le rabâchage en boucle des media, dupliquant à l’infini, avec gourmandise parfois, les poncifs éculés, les clichés, les expressions usées jusqu’à la corde. Dans un climat de lâcheté et d’individualisme, on y parle de fermeté, d’union – de qui, de quoi, pour quoi faire ? – tout en psalmodiant « pas d’amalgame, pas d’amalgame », de crainte que les Français ne fassent certains rapprochements interdits. On nous annonce même une « manifestation républicaine » (sic) et je me demande bien à quoi peut ressembler une manifestation républicaine. J’observerai attentivement, soucieux d’élargir mon champ culturel. Cette république n’en peut d’ailleurs plus d’être mise à toutes les sauces du débat républicain au front républicain et j’en passe… J’espère au moins que nous seront épargnés les marches blanches, les lâchers de ballons et autres veillées avec cierges sur fond de slogans débilitants. Il serait plutôt grand temps de prendre conscience de la situation réelle et beaucoup plus pertinent de commencer à envisager un gouvernement de salut public ?

Jamais bien entendu ne sera abordé le vrai débat, les politiciens n’ayant d’autre rôle que d’endormir nos concitoyens dont une grande partie n’en demandent d’ailleurs guère plus. Responsables de l’état de la France, ils ne peuvent que biaiser, finasser et édulcorer le débat dans l’espoir que jamais ne soit évoquée leur culpabilité accablante. Prétendre qu’islamisme n’a aucun rapport avec islam en réussissant à ne pas sourire relève presque du tour de force et à ma connaissance, aucun attentat de ces dernières décennies n’a été commis au cri de « Jésus-Christ vaincra », « Yavhé au pouvoir » ou « Bouddah seul dieu sur terre ». Ou alors cela m’a échappé. Aucun des politiciens, ni des journalistes du système, pourtant fort prolixes depuis hier, n’a jugé bon de rappeler les manquements et erreurs gravissimes de ces dernières décennies en matière d’immigration incontrôlée, débridée, folle même. Ils n’ont pas plus évoqué l’échec patent mais prévisible de l’intégration et de l’assimilation, la montée du communautarisme et de l’intégrisme islamiste dont nous déplorons aujourd’hui les funestes conséquences. Leur pauvre camouflage de ces dernières semaines consistant à ne voir que des « actes isolés » et des « déséquilibrés », comme s’il en pleuvait, ne trompe plus grand monde et gageons que ces distorsions sémantiques s’avéreront de plus en plus inopérantes dans les mois à venir à mesure que se multiplieront des actes de moins en moins isolés.Faites un don à SN.jpg

20:19 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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