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vendredi, 29 août 2014

L'antidote à l'Histoire officielle...

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18:59 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un gouvernement affairo-féministe. Retour sur le gouvernement de la conjonction des pires

Najat-Vallaud-Belkacem-et-Christiane-Taubira_visuel_galerie2_ab.jpgRaoul Fougax

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Le Valls 2 confirme toutes nos analyses sur l’état du Ps et de la gauche. Elle renonce au socialisme et se soumet à l’ordre financier international. Un ministre  de l’économie aux gènes de banquier rotchildien en est presque une démonstration par l’absurde. Certes le socialisme type Montebourg est un échec, mais il avait une dimension nationale. Le Ps se voulait un temps international, il n’est plus comme la finance, que cosmopolite. Au niveau économique on a donc le pire, la soumission, que dire la reddition sans condition à la finance internationale qu’Hollande voulait mettre au pas.

Incapable d’agir sur l’économie cette gauche de gouvernement tente de  calmer son électorat par une fuite sociétale. On fait de la surenchère gauchiste. On fait du féminisme idéologique pour détruire les fondations des traditions qui ont fait notre civilisation, notre pays et encore pour certains ce que nous sommes. Taubira est maintenue comme symbole d’une obsession anti colonialiste pour qui le diable est le «  male blanc ». C’est, dans un domaine élargi à l’éducation nationale, la vision  de Najat Valaud Belkacem. La guerre contre différences naturelles et culturelles au profit  d’un genre unique mais défavorables aux garçons va être relancé.  Histoire, orthographe, notation, tout est à craindre de ce ministre de la diversité  dans l’uniformité.

Ce gouvernement les Français n’ y croient pas

Près des deux tiers des Français se déclarent mécontents de la composition du gouvernement et la moitié d’entre eux (51%) sont insatisfaits de la reconduction de Manuel Valls à Matignon, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Sud-Radio diffusé mercredi. A l’opposé, 37% affirment qu’ils sont satisfaits de la composition du nouveau gouvernement, et 49% par la reconduction du Premier ministre.

Les Français sont partagés sur le passage de Najat Vallaud-Belkacem au ministère de l’Education nationale (41% satisfaits, 43% mécontents), ainsi que sur la nomination d’Emmanuel Macron (28% satisfaits, 30% mécontents, 42% ne le connaissant pas suffisamment). Enfin la majorité des Français souhaite la dissolution de l’Assemblée nationale: 55%, contre 20% qui ne la souhaitent pas et 16% qui ne se prononcent pas. »

Le «  putsch rikiki » du président et de son premier ministre risque fort de  rater son objectif. La finance et les patrons semblent contents, les talibanes sans doute aussi. Mais Macron est attendu au tournant et la nomination de Najat Vallaud Belkacem ressemble à une fuite en avant d’une gauche qui, s’étant  reniée  économiquement, tente de changer la société autrement. Mais cet autrement, les Français en veulent encore moins que d’une austérité honteuse qui cache son nom et qui rampe devant la finance.

Coincé entre la gauche sociale et la contestation diverse de la dérive sociétale, pour Manuel Valls et François Hollande, il ne reste plus qu'une marche avant la chute finale et la logique dissolution-sanction d’un échec indiscutable.

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Dès à présent, vous pouvez prendre votre billet d'entrée (ou acheter un carnet de billets) pour la 8e journée de Synthèse nationale (dimanche 8 octobre à Rungis)

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Avez-vous lu le N°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à François Duprat et au nationalisme révolutionnaire ?

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Le n°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme est consacré à François Duprat et au nationalisme révolutionnaire.

Après l'énorme succès du premier numéro consacré à Léon Degrelle (plus de 1 000 exemplaires vendus à ce jour) cliquez ici, le numéro 2 continue sur la lancée...

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Samedi 4 octobre à Bruxelles : conférence sur l'Aube dorée avec Gabriele Adinolfi

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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

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jeudi, 28 août 2014

Sanctions économiques contre la Russie : halte à la soumission aveugle aux Etats-Unis

mnr actu.jpgUn communiqué du MNR :
 
Barack Obama a déclaré récemment que la Russie « refuse de reconnaître que l'Ukraine peut suivre sa propre voie ». Quel que soit le jugement que l'on porte sur la crise ukrainienne, on ne voit pas à quel titre le président américain porte une telle appréciation, et en quoi son pays est concerné.
 
Les mêmes remarques s'appliquent à l'union Européenne qui,  le 29 juillet dernier, a mis en œuvre un certain nombre de sanctions à l'encontre de la Russie : sanctions économiques, militaires, technologiques et énergétiques. En conséquence, la Russie a mis en place une interdiction d'importer des produits alimentaires en provenance de l'Union Européenne, des États-Unis, de l'Australie, du Canada et de la Norvège.  Ces mesures inquiètent, à juste titre, les industriels français de l'agro-alimentaire. Le problème est que nos gouvernants mènent une politique qui fait fi des intérêts de notre pays, aveuglés qu'ils sont par leur hostilité à la Russie et leur inféodation aux attitudes américaines. Dans la situation économique actuelle de notre pays, on pourrait espérer que nos dirigeants regardent à deux fois avant de prendre des décisions qui nous sont manifestement défavorables sur le plan économique.
 
Avec tous les patriotes, luttons pour mettre au pouvoir des dirigeants vraiment soucieux de notre intérêt national, et sachant résister aux pressions extérieures, d'où qu'elles viennent.

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

03:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 27 août 2014

La biographie de François Brigneau signée Anne Le Pape vient de sortir !

I-Moyenne-16917-brigneau-qui-suis-je.net.jpgSous de multiples noms, il a été journaliste, travaillant aussi bien pour la presse à grand tirage que pour des feuilles confidentielles voire clandestines. En 1965, rédacteur en chef d'un jeune mais vigoureux hebdomadaire (*), un sondage IFOP le désigna comme le deuxième journaliste le plus connu de France.

En 2012, à sa mort, le quotidien Le Monde, qui mettait un point d'honneur à ne pas le citer, se trouva toutefois obligé de lui consacrer une nécrologie.

Il laisse une oeuvre publiée abondante et variée : chroniques en langue parlée, romans policiers (il reçut en 1954 le Grand prix de littérature policière pour La beauté qui meurt), reportages à travers le monde, évocations de lieux, livres historiques, souvenirs de la vie journalistique et politique, etc.

Il a été apprécié par des hommes et des femmes aussi différents que Frédéric Dard et Jean Madiran, Céline et Hubert Beuve-Méry, Robert Brasillach et Jean Gabin, Arletty et Marcel Pagnol, sans oublier Pierre Lazareff ou Alphonse Boudard. Pourquoi alors, pour reprendre un mot d'Alexandre Vialatte, fait-il aujourd'hui partie des auteurs "notoirement méconnus" ? Tout simplement parce qu'au long de sa vie, fils d'un instituteur syndicaliste révolutionnaire mais s'étant toujours défini comme un Français de souche bretonne, François Brigneau, dont la plume valait une épée, a obstinément et fidèlement choisi "le mauvais camp", celui de "la France française", selon sa propre expression.

Ce "Qui suis-je ?" Brigneau constitue la première biographie de ce journaliste de combat. Il s'appuie sur de nombreux entretiens avec lui et sur des archives familiales.

Anne Le Pape, docteur ès Lettres (thèse soutenue à la Sorbonne sur la critique littéraire de Léon Daudet), s'est consacrée au journalisme. Elle a été directrice des éditions fondées par François Brigneau, a eu de très nombreux entretiens avec lui ainsi que l'accès à une documentation ample et précise, notamment aux archives familiales.

(*) Minute

François Brigneau, par Anne Le Pape, Editions Pardès, collection Qui suis-je ?, 128 pages, 12 €

Ce livre vient de sortir.

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RAPPEL : Samedi 27 septembre à Lille, 2e grande journée de la famille en Flandre...

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Stand de Synthèse nationale sur place

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L’impasse socialiste...

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Un communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :

Les derniers soubresauts gouvernementaux démontrent l’état de division et d’impuissance du Parti socialiste confronté aux réalités économiques et sociales.

Les discours socialistes archaïques et démagogiques ainsi que les promesses et engagements électoraux totalement utopiques du candidat Hollande lui ont certes permis de se faire élire à la présidence de la République mais sont bien impuissants à sortir la France de l’enlisement économique. Les désillusions de ses électeurs sont à la hauteur de leurs illusions de 2012.

La vérité tient en une phrase ; le socialisme sous toutes ses formes est une impasse.

Qu’il s’agisse du socialisme archaïque à la Mélenchon ou à la Montebourg ou de la social-démocratie à la Valls ou à la Hollande, l’idéologie économique de la redistribution agressive, du fiscalisme étouffant, de l’immigration de masse et du mythe de la relance de la croissance par la consommation ou par les dépenses publiques a conduit la France droit dans le mur.

Le socialisme, cette vieille idéologie héritée du XIXe siècle n’est pas seulement une impasse économique et une utopie sociale, c’est une calamité nationale.

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Le n°43 du Magazine des Amis de Jean Mabire

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Les Amis de Jean Mabire cliquez ici

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Serge Ayoub soutient la révolte des Québecquois

1310940757810_ORIGINAL-270x179.jpgSource Solidarisme.fr cliquez ici

Au Québec, les employés municipaux luttent pour la sauvegarde de leur régimes de retraites. Le gouvernement Couillard tente depuis plusieurs mois de faire passer la « loi 3″ supprimant unilatéralement l’indexation des retraites sur le coût de la vie. Une mesure que les syndicats et le troisième âge, les aînés, considèrent comme un facteur d’appauvrissement. Le conflit a débouché sur le saccage de l’Hôtel de Ville de Montréal par les pompiers le 18 août dernier, sous le regard des policiers qui ne sont pas intervenus. C’est dans ce contexte que Serge Ayoub a décidé de soutenir, au nom des principes solidaristes, la révolte québécoise.

Monsieur Coderre, maire de Montréal, ne devine pas, après les événements du vingt août, jusqu’à quel point il a raison lorsqu’il martèle que « c’est un accroc majeur à la démocratie ». Le refus obstiné de négocier avec les syndicats sur un sujet aussi important pour tous les citoyens que les retraites est en soit une grave atteinte à la démocratie. C’est une véritable insulte pour les travailleurs et leurs représentants qui tourne à la provocation et à l’incitation aux troubles. Décider unilatéralement de l’avenir et du passé de dizaines de milliers de travailleurs municipaux en crachant ou plus exactement en modifiant rétroactivement les ententes conventionnelles, c’est encore une atteinte à la démocratie. En effet tout régime démocratique digne de ce nom se refuse à appliquer des lois rétroactives, c’est même à cela que l’on distingue un État de droit d’une zone de non droit. Faire payer aux sans grades, aux obscurs, au peuple, les erreurs, les malversations et les errements de certains dirigeants de ces grandes villes et cela durant des décennies, c’est plus qu’une atteinte à la démocratie, c’est du vol et c’est purement dégueulasse.

Tout au contraire, lorsque le premier ministre Couillard et le ministre Moreau déclarent en substance, après ce saccage perpétré dans les locaux de la mairie de Montréal, qu’ils resteront inflexibles face à la populace, que la rue ne dictera pas sa loi et « qu’il ne pouvait rester silencieux » devant la menace qui pesait  » sur un enjeu fondamental de la vie en société, dans une société qui est basée sur la regelé de droit », ils se trompent tous deux lourdement. Quelles règles de quel droit accepte de faire payer rétroactivement par les victimes les fautes des responsables ? Où se cache la justice dans un tel projet ? Et surtout messieurs les ministres et autres élus municipaux vous oubliez ce principe fondamental de la démocratie qui fait de tout élu un représentant du peuple, un porte parole de celui ci et non un potentat qui s’arroge tous les droits, néglige tous ses devoirs et ne daigne rendre aucun compte durant son mandat. La vraie démocratie c’est tout autre chose, elle se réalise grâce à des hommes investis de parler pour le peuple et non à sa place ! Alors, lorsque le peuple s’exprime, et il le fait souvent dans la rue, un démocrate, un vrai, se doit de l’écouter toujours.

Pour toutes ces atteintes aux droits les plus élémentaires la cause des employés de mairie est légitime et mérite tout le soutient nécessaire. Messieurs « qui ne rendaient jamais de compte » il va falloir, pour une fois, tenir vos engagements et payer ce que vous devez !

Mais pour que ces sourds à leurs devoirs entendent raison il faut une adhésion massive, franche et populaire qui supporte cette légitime revendication des travailleurs municipaux. Il faut que les syndicats dépassent leurs mauvaises habitudes corporatistes et créent ensemble un élan de solidarité qui emporte avec lui tous les travailleurs québecquois. Pour cela, il faut aller encore plus loin dans les revendications et y adjoindre une réforme profonde des régimes des retraites au Québec. Il faut proposer pour tous les travailleurs québecquois un régime qui unifie et simplifie les retraites. Un régime qui soit moins injuste et moins dangereux que ce modèle nord américain ou canadien actuel qui est, comme le prouve cette crise, intrinsèquement mauvais. Il faut un régime de caisse indépendant, sous l’œil de l’Etat, qui soit contrôlé par les travailleurs eux mêmes pour éviter les détournements et les vols purs et simples. Une sorte de banque coopérative où chaque travailleur aurait une voix au conseil d’administration et où il voterait pour élire ses responsables. Un régime plus égalitaire, qui correspond mieux à l’esprit, à l’identité profonde du Français du nouveau monde. Ce régime existe et en plus il a l’avantage de résister à la crise économique qui frappe le monde, c’est ce que l’on nomme le régime des retraites suédois (1) imaginé par un Français et adopté par la Suède avec succès. C’est un sytème de comptes individuels de cotisations proposé par les économistes français Thomas Piketti et Antoine Bozio. C’est un procédé très simple où le montant des pensions versées est défini au départ à la retraite en fonction de critères tels que le montant des cotisations versées par l’individu, l’espérance de vie estimée de sa génération dans le type d’emploi et l’âge du départ à la retraite. Hormis sa simplicité d’exécution et de compréhension cette idée a de nombreux avantages. Elle est beaucoup plus égalitaire car à cotisation égale, retraites égales ! Elle permet aussi de choisir soi même le moment de son départ à la retraite.

Retournons le malheur et profitons ensemble de cette crise initiée par la loi n°3 pour montrer du doigt les faiblesses d’un système économique et social manifestement injuste et proposons de sortir de cette mauvaise passe par un élan novateur, positif et solidaire. La solution ne pourra sortir que de notre cœur et de notre raison. Elle ne peut jaillir que du fond de notre identité française profonde à la fois généreuse, égalitaire et sociale. Car aujourd’hui et encore plus demain la réponse ne pourra venir que du peuple, des travailleurs québecquois et sûrement plus d’un régime fédéral économiquement et politiquement à bout de souffle. Ce n’est qu’ensemble que nous vaincrons !

Note

(1) Sans vouloir rentrer dans les détails, le régime des retraites suédois est à un système dit par répartition, mais qui par construction reste à l’équilibre. Chaque travailleur se constitue un compte individuel « virtuel » dans le sens où les montants cotisés servent à financer les retraites actuelles. Ce capital  » virtuel » est revalorisé chaque année et se convertit à la fin en rente viagère au moment de la liquidation de la pension, c’est à dire au moment du départ à la retraite.

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mardi, 26 août 2014

Le JT de TV Libertés de mardi soir :

22:04 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 12 octobre : on se retrouve tous à la 8e Journée de Synthèse nationale...

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13:58 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Strasbourg : le GUD tapisse...

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Le JT de TV Libertés de lundi soir :

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Un grand entretien avec Jean-Marie Le Pen publié sur le site Métamag

jean-marie-le-pen.jpgSource Métamag cliquez ici

Métamag : L’évènement international concerne, outre les avancées de l’Etat islamique, l’Ukraine. Pour la majorité des médias et des hommes politiques européens, la Russie devrait respecter une « intégrité » territoriale du pays. N’est-ce pas faire fi de la géopolitique et de l’histoire de ce pays ?

Ne devrions-nous pas regarder, avant toute prise de décision, l’intérêt de notre pays, comme le font d’ailleurs les autres états européens et les Etats-Unis tout au long de leur histoire ? (vente de Mistral à la Russie par exemple).

Jean-Marie Le Pen : Bien sûr, nous avons un contrat de fourniture de bateaux, qui aurait été payé par avance, par conséquent, je ne vois pas comment nous pouvons nous soustraire à cette obligation. Je ne vois d’ailleurs pas de raison politique de le faire. Après tout entre l’Ukraine et la Russie, c’est une affaire de famille et, moins nous y mettrons le doigt et mieux cela vaudra alors que l’on sait très bien que les Etats-Unis ont largement poussé les gens de Maïdan à prendre une position hostile à la Russie de Poutine et l’on sait très bien aussi qu’il y a en Ukraine un bataillon de « volontaires » comme ceux d’ailleurs qu’emploie l’armée américaine en Afghanistan, en Irak et ailleurs qui sont des mercenaires venus des 4 coins du monde et qui sont payés pour combattre à la place des américains. L’avantage pour les américains est que leurs pertes ne figurent pas dans les chiffres de l’armée américaine.

RÉGIONALES : « NOUS PRENDRONS LA DIRECTION DE LA RÉGION »

En région PACA, les dernières élections européennes et municipales, notamment avec l’élection de David Rachline à Fréjus, laissent augurer de bons scores à la liste que vous mènerez aux Régionales et une possibilité d’avoir un élu aux sénatoriales du Var le 28 septembre. Concernant les Régionales, si le Rassemblement Bleu Marine arrive en tête en région PACA, allez-vous réclamer la Présidence de la région ? Pour vous ? Pour un membre du RBM ? 

JMLP : Je pense qu’il y a une chance sérieuse de prendre la direction de la région en vertu du mode de scrutin qui, jusqu’à présent, nous a écarté mais qui peut se révéler maintenant comme un boomerang en notre faveur. Je crois que c’est possible aussi dans la région Nord-Pas de Calais et par conséquent, ceci serait un élément fondamental du changement dans notre pays et nous allons donc essayer de gagner. 

Allez-vous négocier et éventuellement participer à un gouvernement de la Région sans exiger la présidence ? Si OUI avec quel parti ?

JMLP : Nous allons gagner probablement seuls, en tout cas en attirant sur notre liste des gens qui ne seront pas là, es –qualité des partis de la décadence comme l’UMPS mais qui pourront être des personnalités individuelles qui nous apporteraient leur soutien. Il faut aussi souligner l’espoir d’être élus avec les nôtres. Moi je crois que c’est possible et c’est en tout cas ce qui doit tenté d’être fait car que je pense qu’entre la France et le désastre il n’y a plus que le Front National. Par conséquent celui-ci doit acquérir le plus vite possible la force, l’expérience et la volonté de diriger le pays rapidement.

Certaines informations laissent penser que Nicolas Sarkozy, par calcul électoral, ne serait pas candidat à la présidence de l’UMP pour être certainement candidat (primaire ou non) à la prochaine présidentielle de 2017. Que penser, Christian Estrosi souhaitant devenir président de l’UMP, d’un duel entre lui et vous-même sur la Région ?

JMLP : Cela ne me gêne pas beaucoup. Pas plus que je ne crains la candidature de Monsieur Sarkozy aux élections présidentielles, je ne craindrais la candidature de son séide Monsieur Estrosi à la candidature aux régionales. Je ne crois pas que ce soit son projet, ni sa volonté. Il a d’ailleurs été apporté par la vague et il se retirera avec elle.

Avez-vous eu, sur cette région PACA, qui est, en quelque sorte votre fief, des contacts avec des responsables politiques locaux en prévision de ces futures élections ? Sans les citer, des responsables de quelles formations ?

JMLP : NON ! Pour l’instant Non. Mon objectif immédiat sont les élections sénatoriales et nous avons des espoirs pas seulement dans le Var mais aussi dans les Alpes-Maritimes et dans les Bouches du Rhône. Ce sont trois départements où il est possible qu’un certain nombre de grands électeurs non-inscrits ou de centre-droit qui n’appartiennent pas à l’UMP votent pour nos candidats.

IMMIGRATION : « IL FAUT ARRIVER A UNE IMMIGRATION ZÉRO »

En 2050, plus de 40% des naissances mondiales auront lieu en Afrique, d’après un récent rapport de l’UNICEF. Cela semble être le problème crucial des 50 prochaines années. Comment, de façon réaliste, empêcher l’immigration qui en découlera avec ces problèmes (Ebola notamment) pour l’Europe ? Quel développement pour l’Afrique ?

JMLP : Il faut arriver à une immigration zéro ! Et même au retour d’un certain nombre d’immigrés qui sont chez nous et qui n’y ont pas leur place, qui n’ont pas de travail et qui constituent une charge considérable pour la France. On évalue à 120 milliards d’Euros le coût global annuel de cette immigration. Ceci est une culpabilité terrible  pour les gens de droite et de gauche, qui nous ont gouverné depuis plus de trente ans. Ceci doit s’arrêter. 

Comment l’Europe peut-elle contribuer à ce développement indispensable ?

JMLP : Pour cela il faut que nous sortions des disciplines européennes car ce sont elles qui nous ont fait supprimer nos frontières. Il faut retrouver la souveraineté de notre pays et le mettre en face de ses responsabilités. C’est du peuple français que va dépendre sa survie. Il faut qu’il le sache car personne d’autre ne viendra à son secours que lui-même.

ACTUALITÉ : « LA POLITIQUE AMÉRICAINE A RUINÉ LES NATIONALISMES ARABES »

A TOULON, à l’occasion du 70ème anniversaire du débarquement en Provence, ce vendredi 15 août, François Hollande a déclaré : «  le terrorisme islamiste, c’est l’ennemi que nous devons terrasser ». Alors pour vous, l’ennemi, c’est le terrorisme ou la finance? 

JMLP : Ce sont les deux, mon général ! En l’occurrence je suis ravi d’entendre ces prises de position lucides de Monsieur Hollande qui s’est jusqu’à présent trompé complètement. Je rappelle qu’il n’y a pas très longtemps, il voulait que l’on intervienne en Syrie contre le gouvernement de Monsieur Bachar El-Assad et que nous venions au secours des terroristes qui sont les adversaires du Président Assad. Je constate que la politique américaine que nous suivons servilement avec les différents gouvernements de droite ou de gauche a consisté à ruiner les nationalismes arabes et laïques pour les remplacer par le chaos et l’anarchie qui font le lit de l’islamisme conquérant, porté par la vague démographique terrifiante qui est en train de se mettre en place.

Autre phrase du Président : « Les jeunes français issus de l’immigration sont les héritiers de notre histoire » Que vous inspire cette phrase au regard des manifestations communautaristes de cette immigration ? Une communauté, c’est quoi? Comme Renan qui écrit : «une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses, qui, à vrai dire, n’en font qu’une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis ».

JMLP : Encore faut-il que ce message soit porté d’abord par les gouvernants et que l’appareil social de l’Etat et son appareil d’éducation soient mis au service de cette cause. Ce qui n’est pas le cas jusqu’à présent. Il est évident que le redressement est impossible avec les gens qui nous gouvernent  car il va à l’inverse des politiques menées depuis plus de 30 ou 40 ans. Il n’y a qu’un parti, le Front National, qui porte ces valeurs depuis la même période et qui soit susceptible de recevoir la confiance des Français. Il ne faudra pas qu’il se trompe car nous avons quelques années devant nous, pas beaucoup plus.

SYSTEME ELECTORAL : «  UN SCRUTIN MAJORITAIRE EST PRÉFÉRABLE»

Tous les commentateurs politiques et spécialistes de droit constitutionnel affirment que notre système électoral demande à être modifié par l’introduction d’une composante proportionnelle. François Hollande, après avoir envisagé une cohabitation, semble s’acheminer vers l’introduction d’une proportionnelle intégrale, par conviction autant que par opportunisme. François Mitterrand l’avait fait en 1986 permettant l’élection de 86 députés du Front National. Certes la gauche fut battue mais de peu. Une simulation montre que le FN aurait, en 2012, récolté 85 sièges. François Rebsamen, président du groupe socialiste au Sénat, dans la Croix du 24 janvier 2014 proposait d’appliquer le scrutin proportionnel aux prochaines élections législatives. Quelles conséquences voyez-vous pour la vie politique française ? Pour le RBM ? 

JMLP : On peut, à ce stade, hésiter parce que la proportionnelle intégrale aurait pour résultat, c’est vrai, de sauver le Parti Socialiste du désastre comme il le sauva sous la Présidence Mitterrand. Cela aurait comme avantage de passer le manche à la Droite et de la laisser aux prises avec une situation inextricable dont elle est largement responsable aussi. Je me demande si ces « échappatoires » ne sont pas nuisibles à la cause de la France parce que si les choses doivent changer, pourquoi ne le seraient-elles pas avec un scrutin majoritaire. A ce moment là, il y aurait une majorité absolue en faveur du Front National et de la réforme générale de nos institutions alors qu’avec la proportionnelle, il y aurait une division qui nous obligerait à des accords avec des gens en partie responsables de la situation actuelle.

EUROPE : « ELLE NE PEUT SURVIVRE QU’EN S’APPUYANT SUR SES NATIONS »

L’un des reproches fait au RBM, notamment par des courants d’idées qui vous soutiennent concerne votre position sur l’Europe. Jean de Brem, dans « Le testament d’un Européen » écrivait : «  Je sens peser sur mes épaules misérables, le poids démesuré du plus glorieux des héritages. A moi, qui ne suis rien et qui n’apporte rien, la civilisation fait un cadeau gigantesque : le patrimoine de l’Europe. Il est fait de trésors et de souvenirs. Chacun de nous, je crois, à Londres et à Vienne, à Berlin et à Madrid, à Athènes et à Varsovie, à Rome et à Paris, à Sofia et à Belgrade doit ressentir le même drame. Chacun de nous est le dernier des Européens. Taxez-moi de romantisme, qu’importe ! Pour moi, le trésor du monde, c’est une infante de Vélasquez, un opéra de Wagner ou une cathédrale gothique. C’est un calvaire breton ou une nécropole de champagne.». N’y-a-t-il pas pour vous une culture européenne à défendre ? Au-delà des critiques légitimes et fondées adressées à cette Europe technocratique et sans âme, ne peut-on, dans ce monde qui deviendra multipolaire faire en sorte que l’Europe, notre Europe, devienne une Europe puissance rivalisant avec les futurs blocs en voie de constitution ? Ne peut-elle pas se concevoir avec des régions puissantes ?

JMLP : NON ! Je crois au contraire que l’institution de régions puissantes aboutirait au démantèlement de la Nation française. Je suis convaincu que l’Europe ne peut survivre qu’en s’appuyant sur ses nations constitutives avec leurs particularités parce que l’Espagne n’est pas le Portugal, l’Angleterre pas l’Allemagne si non plus l’Italie. Par conséquent il faut respecter l’Histoire, il faut respecter les peuples. Il faut qu’ils soient responsables vis-à-vis d’eux-mêmes. On n’a pas attendu le Parlement européen pour apprécier les sonates de Brahms, les symphonies de Beethoven ou les tableaux de Van Eyck. Tout cela fait partie bien sûr, d’un patrimoine commun auquel la France a apporté sa pierre dans un certain nombre de domaines en particulier la peinture, la littérature, la sculpture, la musique. Même si nous n’avons pas tous apporté le même poids car il y a par exemple l’Allemagne qui a apporté beaucoup plus que nous-mêmes dans le domaine de la musique, ou les Hollandais dans le domaine de la peinture. Cet ensemble a fait la culture et la civilisation européenne. Mais celle-ci ne peut survivre qu’en respectant la vitalité profonde et l’attachement charnel aux terres nationales. La Nation reste au XXIème siècle, la formule la plus efficace dans la défense des libertés, de la sécurité, de l’identité, de la prospérité, de la culture et de la langue des peuples. Ce n’est pas incompatible avec l’idée de Jean de Brem d’une civilisation commune et je me sens très à l’aise avec la culture européenne en étant un patriote et un nationaliste français.

Peut-on encore sauver ce que nous sommes ?

JMLP : Il nous reste peu de temps. Je dis souvent dans mes discours que toutes les courbes de notre activité vont dans le mur. Par conséquent, sur le papier, tout est foutu. Mais nous ne devons pas oublier que nous appartenons à un peuple qui, tout au long de son histoire, a connu des périodes de sursaut imprévues, improbables et pourtant qui se sont réalisées quelquefois même de façon providentielle. Par conséquent ceci doit nous interdire de baisser les bras et de poser le sac. Nous allons continuer à nous battre avec l’espoir de réussir et de sauver notre pays.

Le Rassemblement Bleu Marine est-il en train d’abandonner l’essentiel pour le mirage de la dédiabolisation ?

JMLP : Le RBM n’est qu’une formation électorale. La formation politique fondamentale, c’est la Front National. C’est le Front National qui doit porter la responsabilité et c’est lui qui a d’ailleurs 70 000 adhérents alors que le RBM doit avoir moins de 1000 adhérents. J’ai fait aussi un Rassemblement National en 1986. Ce sont des formules destinées à élargir notre audience au moment des élections mais dans la bataille politique « normale », c’est le Front National qui est la formation des Français. Marine Le Pen est la présidente du Front national et il va y avoir un congrès du Front National.

Interview effectuée le samedi 16 août 2014.

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lundi, 25 août 2014

Races ? Le retour du réel...

111111-Pierre-Vial.jpgPierre Vial

Président de

Terre et peuple cliquez là

Les bonnes âmes voulaient s’en convaincre. Avec l’élection d’Obama, l’installation d’un Nègre à la Maison Blanche (quel symbole !) avait fait disparaître des Etats-Unis le problème racial. D’ailleurs il l’avait dit lui-même, c’était acquis, donc pas de souci… Mais l’arbre Obama cachait la forêt. La forêt des réalités raciales. Qui sont venues se rappeler au bon souvenir des utopistes avec l’affaire Ferguson.

Ferguson : une banlieue de Saint-Louis, dans l’Etat du Missouri. Secouée par dix nuits d’émeutes et de pillages. La ville est peuplée aux deux tiers par des « Afro-Américains » (terme plus politiquement correct que celui de Nègres)  alors que la population blanche était encore majoritaire il y a vingt ans. C’est la mort d’un jeune Afro-Américain de dix-huit ans qui a mis le feu aux poudres car il a été tué par un policier (Blanc) après avoir volé dans une boutique dont il avait menacé le vendeur. D’où déclenchement d’une insurrection. Schéma classique (aussi bien aux Etats-Unis qu’en France) : les Nègres se mobilisent immédiatement pour affirmer leur solidarité raciale inconditionnelle avec l’un des leurs, qu’il soit coupable ou non n’ayant aucune importance. C’est ce que le journal Le Monde, ce catéchisme des bien-pensants mondialistes et cosmopolites, est obligé d’appeler « la persistance de la fracture raciale américaine ». Une fracture qui remonte aux origines mêmes d’un pays né au nom d’une idéologie des Lumières dont la base est le refus, la négation des réalités organiques et tout spécialement des réalités raciales. Des réalités dont l’utopie égalitariste devrait venir à bout, selon les zélotes du grand métissage mondial. Mais… Mais « c’est un vaste programme. Notre pays y travaille depuis deux siècles », déclare Obama. Il peut y travailler encore longtemps… et en vain car refuser la réalité ne l’a jamais et ne la fera jamais disparaître (Dick Howard, philosophe pourtant farouche adepte d’une société multiraciale genre bisounours, doit admettre, dans Le Monde du 20 août, que cela relève des « mirages d’une Amérique postraciale ».

C’est ce qui explique que les partisans  du réalisme biologique et du racialisme, dont nous sommes, peuvent avoir à juste titre la conviction que l’Histoire leur donnera raison.

13:57 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau numéro du Chêne (n°77), organe du MNR, est sorti

img_53ef95721b32d.jpgLa classe politique en pleine décomposition

Au sommaire de ce numéro :

Editorial : La classe politique en pleine décomposition.

Actualité, communiqués de presse

Des figurants au pouvoir (par Bruno Mégret).

Un Piège : le traité transatlantique.

Pour un capitalisme français et européen

Faut-il interdire la binationalité ?

Vie du mouvement.

Pour le consulter cliquez ici

13:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 24 août 2014

M. HOLLANDE, AVEZ-VOUS BIEN MESURE LA GRAVITE DE LA SITUATION ?

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Philippe Gibelin

Président de NCI (Nationalité citoyenneté identité)

Le président de la république aura passé tout l’été à commémorer des événements liés à la première et à la seconde guerre mondiale.

A N.C.I. et au Réseau Identités nous ne pouvons que nous réjouir de voir que la plus haute personnalité de l’État se préoccupe de notre passé et de notre histoire.

C’est bien, qui s’en plaindrait ?

Mais à deux conditions :

1) Ne pas se limiter au XXe siècle en privilégiant la deuxième guerre mondiale et de soi-disant apports décisifs des populations étrangères dans le conflit.

Où étaient M. Hollande et les membres de son gouvernement lors de la célébration du 800e anniversaire de la bataille de Bouvines, moment fondateur de la France ; Où sont-ils lors des fêtes qui continuent à se poursuivre pour le 800e anniversaire de la naissance de Saint-Louis, incarnation de la royauté et d’une France triomphante ; où not-ils pour magnifier le 1200e anniversaire de la mort de l’Empereur Charlemagne, premier Prince Européen ?

Ils ne sont nulle part, si ce n’est à espérer un retournement de conjoncture pour espérer être réélus et garder leurs places !

2) Ne pas oublier de construire le futur et regarder ce qui de passe autour de nous : des milliers de migrants africains débarquent tous les jours en Italie et en Espagne. Ils sont originaires d’Afrique subsaharienne qui est en proie à une grave épidémie du virus Ebola que l’on est incapable de soigner.

L’OMS décrète une urgence mondiale sur Ebola. À Lampedusa, les policiers fuient en masse par peur de la contagion que pourraient amener les immigrants. En Grande-Bretagne un cas suspect a été découvert.

Et pendant ce temps, vous et votre gouvernement prévoyait un assouplissement du droit d’asile qui va aggraver encore l’immigration sauvage et le grand remplacement de population en France. Vous ne pensez qu’à la possibilité de donner le droit de vote à ces gens afin de pouvoir vous maintenir au pouvoir.

NOUS NE VOUS LAISSERONS PAS FAIRE !

Nous continuerons d’alerter l’opinion sur vos pratiques néfastes : nous avons déjà recueilli des milliers de signatures contre une réforme du droit d’asile laxiste et de continuerons d’expliquer aux parlementaires les dangers de votre texte ; déjà, Guillaume LARRIVE, député de l’Yonne, a pris position contre votre projet et propose une expulsion obligatoire et immédiate en cas de rejet de la demande d’asile.

M. Hollande, la France est menacée culturellement, économiquement, sanitairement et dans sa substance même. Nous vous tiendrons responsable de ces dérives néfastes alors que par les pouvoirs que vous détenez vous avez la possibilité de redresser la situation.

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Fantômas à la plage : Morano se déchaîne !

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La chronique de Philippe Randa

Nadine Morano, ancienne ministre sous Sarkozy, vilipende sur Facebook une femme qu’elle a surprise habillée et voilée sur une plage de France ; elle s’insurge de sa condition qu’elle juge ainsi soumise au « pays des droits-de-l’homme ». Fort bien !

Son indignation a été largement répercutée en ce mois peu ensoleillé et a fait le « buzz », ce qui était sans nul doute son but. Soutenue à l’étonnement général par l’ancien numéro 1 du PS Harlem Désir, mais taclée à l’intérieur de sa propre formation politique, la toute nouvelle députée européenne aura « tenu » deux jours à la une de l’actualité…

Au fait, quel est le scandale ? Une femme voilée, mais visage découvert, sur une plage est-elle vraiment plus inconvenante que dans les rues d’une ville ? Que l’on sache, Nadine Morano et les siens ne s’en sont jamais vraiment offusqués quand ils étaient aux commandes de la France et qu’ils auraient eu alors les moyens de faire changer les choses.

Qu’est-ce qui lui permet d’affirmer par ailleurs que cette femme était contrainte d’assister, passive, au bain de son époux qui, lui, ne cachait à la vue de personne « un corps bien fait » ? Avait-elle seulement envie de se baigner ? Peut-être… ou peut-être pas.

Toutes les épouses musulmanes vivent-elles obligatoirement passives, contraintes, sinon terrorisées par leur époux ? La charge de l’ancienne porte-parole de l’UMP semble l’accréditer. Est-il permis d’être sceptique ?

Qu’il existe des cas, même nombreux, de patriarcat oppressant, personne ne le nierait, mais est-ce le monopole d’une seule religion ?

Il serait intéressant de connaître – mais cela n’est pas autorisé aux pays des Droits de l’homme, rappelons-le – l’origine des milliers de femmes subissant brimades, menaces et coups répétés, voir décès prématurés pour cause d’incompatibilité matrimoniale. Une majorité de musulmanes parmi de telles victimes serait significatif… Mais, là encore, il semble imprudent d’être trop affirmatif sans preuve !

Rappelons qu’au début du XXe siècle, il n’était pas si courant de voir des dames se baigner, pas beaucoup plus les hommes, d’ailleurs… et de toute façon, enfants compris, leurs obligatoires costumes de bain ne laissaient guère de peau exposée au soleil… À l’époque, personne n’y trouvait à redire et la sainte, catholique et apostolique église y veillait d’ailleurs avec attention.

Quant au grotesque de parler de culture en comparant cette femme trop habillée à notre Brigitte Bardot nationale très déshabillée, c’est ne vouloir retenir que la première partie du mot seulement. Pourquoi pas ! C’est juste un autre débat !

Mais peut-être Don Quichotte Morano préfère-t-elle les Femen dépoitraillées, exhibant leurs « charmes » dans les églises en une danse du ventre n’ayant que peu à voir avec la religion du Prophète…

Non, ce n’est pas un femme habillée et voilée qui ne se baigne pas, quelle qu’en soit la raison, qui est inquiétant, mais la perspective qu’un jour, certains intégristes religieux – et pas seulement musulmans – ne veuillent empêcher les femmes, les hommes et les enfants à se baigner en simple maillot ou nu(e)s… voire de se baigner tout court !

Et pire encore, qu’un maire ou un préfet soit assez lâche pour interdire la plage aux baigneurs trop peu vêtus par souci d’éviter des « troubles à l’ordre public »…

Gageons que les élus estampillés UMP, comme Nadine Morano, ne seraient sans doute pas les derniers pour cela !

10:54 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 23 août 2014

Le 23 août 1939 : pacte germano-soviétique et devoir d’oubli !

stalinribentrop.jpgPieter Kerstens

Car comme chacun le sait l’Histoire est écrite par les plus puissants et les vainqueurs qui masquent leurs turpitudes et leurs crimes – dont celui de Katyn, attribué pendant 50 ans aux Allemands par les juges du Tribunal de Nuremberg, alors que c’était bien les troupes de l’URSS qui étaient coupables - afin de salir encore plus les vaincus.  Contrairement à ce que les gouvernements tentent de nous faire croire, le Bien n’est pas forcément où l’on pense et le Mal souvent très éloigné de ce que l’on veut bien nous montrer.

Il y a déjà 75 ans !

Deux hommes sont à la manœuvre. Joachim VON RIBBENTROP, Ministre des Affaires Etrangères du 3ème Reich allemand, de 1938 à 1945.  Le tribunal de Nuremberg le condamna à mort et il fut pendu en 1946. Viatcheslav Mikhaïlovitch SKRIABINE dit MOLOTOV, Commissaire du peuple aux Affaires Etrangères soviétiques de 1939 à 1949, puis de 1953 à 1956.  Fidèle de Staline, il fut écarté du pouvoir en 1957 pour avoir voulu éliminer Nikita Khrouchtchev (autre grand humaniste).  Il meurt dans son lit en 1986, à l’âge de 96 ans.

Le 23 août 1939, ils signent à Moscou le traité de non agression conclu entre l’Allemagne et l’URSS, dont une annexe prévoit le partage de la Pologne.

La mémoire à l’endroit.

Et pendant plus de sept décennies, aucun prof d’Histoire, de Lille à Nice ou de Colmar à Biarritz, n’a jamais appris à ses élèves que le 24 août 1939 le quotidien « L’Humanité » salue dans ce pacte « une politique à la fois énergique et intelligente, seule conforme à la cause de la paix… ».

Mais le 26 septembre 1939, le PCF est dissous par le gouvernement.

Le 28 septembre, un nouveau traité est signé entre l’Allemagne et l’URSS, après l’invasion de la Pologne, « traité d’amitié et de délimitation des frontières » qui permet ainsi à Moscou et à Berlin de resserrer leurs liens politiques et économiques.

Le 1er octobre, Jacques DUCLOS, premier secrétaire du PCF écrit à Edouard HERRIOT, président de l’Assemblée nationale, pour exiger l’ouverture de négociations de paix avec l’Allemagne.

Le 4 octobre, c’est Maurice THOREZ, numéro 1 du PCF qui déserte sa compagnie pour s’enfuir à Bruxelles, avant de s’installer à Moscou jusqu’en août 1944.

Mois après mois, les communistes français et leurs complices en Italie, ou en Belgique ont été, au début de la seconde guerre mondiale les véritables collaborateurs du 3ème Reich.  Du haut en bas de la hiérarchie du PCF, c’est avec conviction et allégresse que les militants appelaient au défaitisme et à la désertion.  Dans les usines d’armement, les communistes et leurs complices sabotent le matériel ce qui contribuera à tuer d’innombrables compatriotes en mai 1940.

« Non à la guerre impérialiste », et « Contre les impérialistes de Londres et de Paris » peut-on lire dans la prose clandestine de l’Humanité.

Le 18 juin 1940, la direction clandestine du Parti Communiste Français a très clairement défini sa position : du côté de l’alliance Hitler-Staline !

Le 14 juillet 1940, on peut lire dans le quotidien communiste interdit, l’Humanité : « Au sujet de la fraternité franco-allemande, les conversations amicales entre travailleurs parisiens et soldats allemands se multiplient.  Nous en sommes heureux ! ».

OUI, les communistes français (et européens) ont été les premiers collaborateurs avec l’Allemagne nationale-socialiste, aidés par les valets de la finance apatride, et ce, jusqu’au 22 juin 1941 – soit pendant presque 2 ans – ils ont encouragé et soutenu la politique menée par Adolf Hitler.  

Aujourd’hui, les marxistes et leurs alliés peuvent tout juste « fermer leur gu..le », arrêter de nous donner des leçons de civisme ou de patriotisme et retourner dans les poubelles de l’Histoire ! Crapules !

00:07 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 21 août 2014

Disparition de Pierre Lagaillarde

lagaillarde-286x300.jpgPierre LAGAILLARDE est né le 15 mai 1931 à Courbevoie.

En 1932, alors qu’il n’a qu’un an, ses parents, tous deux avocats, s’installent à Alger.

Il fait ses études au lycée Duveyrier de Blida qu’il quitte avec un baccalauréat de philosophie en 1948. Il suit des études de droit à l’université d’Alger jusqu’en 1950, puis Paris où il obtient sa licence en 1951. 

En novembre de la même année il s’inscrit au barreau de Blida

Après avoir résilié son sursis, il est affecté au 66e Régiment d’Artillerie à Oran, au G.A.O.A. n°3 à Sétif, puis à l’école d’artillerie de Châlons-sur-Marne en avril 1956 dont il sort 34e sur 226. Il effectue un stage à la B.E.T.A.P. à Pau en septembre-octobre 1956, y obtient son brevet parachutiste et rejoint le 20e Groupe d’Artillerie Parachutiste en Algérie.

Démobilisé en 1957 avec le grade de sous-lieutenant (parachutiste au 3e RPIMA), 2 citations et la Croix de la valeur militaire

Le 2 décembre 1957, il devient président de l'Association Générale des Étudiants (Européens) d'Algérie (A.G.E.A.).

Le 26 avril 1958, M. Delbecque, chef de cabinet du ministre de la Défense nationale M. Chaban-Delmas et membre de l’USRAF, organise à Alger une manifestation encadrée par des hommes du DPU : Lagaillarde rassemble 2 000 étudiants.

Le 12 mai 1958, à 21 heures, une réunion se tient chez le Dr Lefèvre à Hydra : Martel, Crespin, Me Baille, Goutailler, Ortiz, Kerdavid, Lagaillarde

Le 13 mai 1958, les partisans de l'Algérie française s’empare, notamment grâce à Martel et Lagaillarde, du Gouvernement Général (GG) d’Alger. C'est derrière un drapeau marqué des lettres U.F.F (Union et Fraternité Française) que les troupes de Lagaillarde donnèrent le 13 mai l'assaut au Gouvernement Général

Le comité des « Sept » précède les Comités de Salut Public du 22 mai 1958 : Lagaillarde, Martel, Dr Lefebvre, Goutailler, Crespin, Maître Baille.

Le 30 novembre 1958, il devient député sans étiquette d’Alger-ville (1ère circonscription), élu sur une liste Algérie française

Le 24 janvier 1960, un millier d’hommes du Mouvement populaire du 13 mai (MP 13 cliquez ici) fait jonction avec les Unités territoriales (UT) en armes de Sapin-Lignières (Kerdavid, Ronda) au pied de la statue de Jeanne d’Arc.

Vers 16 heures, des groupes de manifestants vont rejoindre Lagaillarde, qui s’est installé avec ses hommes du commando Alcazar dans les locaux déserts de la Faculté d’Alger dans la nuit du 23 au 24 janvier.

Le général Challe avait refusé d'envoyer des paras pour enlever le réduit de Lagaillarde, en déclarant : « C'est deux compagnies de paras au tapis. » Lagaillarde était surtout très populaire parmi les paras.

Le 1er février 1960, Lagaillarde, Crespin, de Galbert se rendent.

Le 3 novembre 1960 s’ouvre le procès des Barricades : Lagaillarde (dont l’avocat est Jean Gaillot), Ronda et Susini, à qui le tribunal accorde la liberté provisoire, en profitent pour gagner l’Espagne.

Le 9 janvier 1961, Lagaillarde lance de Madrid un appel aux armées : « Européens et musulmans, hommes et femmes, soldats, hommes des villages et des campagnes, unissez-vous, car nous allons nous battre. »

Le 10 février 1961, à Madrid, 3 hommes entourent le général Salan : Lagaillarde, Susini et Ronda.

En mars 1961, il est condamné par contumace à 10 ans de réclusion criminelle pour attentat contre la sûreté de l’Etat et la loi du 24 mai 1834 sur les détenteurs d’armes, et déchu de son mandat de député le 18 juillet 1961 (et non le 5 mai 1961 comme il est indiqué parfois).

Fin 1961 paraît On a triché avec l'Honneur : Texte intégral de l'interrogatoire et de la plaidoirie des audiences du 15 et 16 Novembre 1960, par Pierre Lagaillarde, préface de Jean Gallot (éditions de la table Ronde)

Fin 1966, il est responsable de l’économat puis surveillant général du Lycée Français d’Alicante, où son épouse est professeur.

En 1968, il bénéficie de la loi d'amnistie, rentre en France et reprend son métier d’avocat : il ouvre un cabinet à Auch où son fils Pierre-Jean lui succède.

Il est décédé le 17 août 2014.

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Serge Ayoub revient sur la "doctrine Chauprade"...

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Le Parti de la France participera à la manif du dimanche 7 septembre à Calais contre l'invasion de la ville...

Affiche1cf2004.JPGCommuniqué du Parti de la France :

A l'appel du Collectif Sauvons Calais, le Parti de la France participera au grand rassemblement contre la colonisation migratoire de Calais, de la France et de l'Europe organisé le dimanche 7 septembre Place d'Armes à Calais.

Thomas Joly, secrétaire général du PdF, prendra la parole afin de dénoncer la submersion migratoire et la substitution de notre peuple méthodiquement manigancées par nos gouvernants depuis des décennies.

Le peuple français a encore des droits chez lui, notamment celui de vouloir rester français et de refuser que toute la misère du monde ne vienne s'y installer.

Le Parti de la France a pour objectif la décolonisation migratoire et la désislamisation de la France et de l'Europe menacées tant par les forces mondialistes que par des peuples conquérants et fanatisés par une religion étrangère à notre civilisation.

Tous les militants, adhérents et sympathisants du Parti de la France sont invités à participer à ce rassemblement unitaire contre l'immigration-invasion.

00:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 20 août 2014

FERGUSON, MISSOURI, USA, UN REMAKE DE « LA CHALEUR DANS LA NUIT » ?…

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Le bloc-notes

de Jean-Claude Rolinat

L’actualité a,  de nouveau, fixé les regards sur la  question « raciale » aux Etats-Unis. Le fait divers de Ferguson,  au cours  duquel un jeune adolescent noir a été tué par un policier de la ville est, certes, regrettable, mais   tout de même, cette  affaire est montée en épingle par tous ceux qui ont intérêt à ressusciter des événements qui se déroulèrent dans les années soixante,visant à instaurer l’égalité juridique entre Blancs et Noirs. Pour ma part, je suis alléonze ou douze fois aux Etats-Unis.J’ai visité ou parcouru une bonne vingtaine d’Etats. J’ai séjourné quelques jours dans certaines grandes métropoles. Jamais je n’ai été témoin d’un acte de ségrégation dans les lieux publics, même dans les Etats du Sud. Atlanta, par exemple, est une ville où les Noirs, majoritaires, détiennent la mairie et où le chef de la police est l’un des leurs. Ils  occupent des postes officiels et, si parfois, ils sont employés comme  « gens de maison », c’est tout simplement leur « job ». Le rapport de maître à esclave, c’est fini ! Plus de séparation dans les transports, les bars, les restaurants, les universités. L’humiliation n’est plus de mise. Et si, comme je l’ai vu en Géorgie, les Eglises baptistes peuvent être séparées, c’est que les Noirs ont une sorte de liturgie propre à eux, qui les met en transe, ce qui ne convient pas forcément au « Yankee » comme au Sudiste. J’ai une petite idée de ce pays-continent, de ses tares comme de ses succès ; ce qui me fait dire, contrairement à un certain nombre de nos amis, « qu’il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain » !

Lors de mon premier déplacement à Houston, Texas, mon cousin m’avait dit en me prêtant sa voiture, « surtout, si tu es interpellé par un flic, ne bouge pas ». Quelques années plus tard, dans l’Etat de Virginie occidentale, sirène hurlant derrière mon véhicule, je m’arrêtais sur le bas-côté de la route, mains, bien en évidence, immobiles sur mon volant. Comme au cinéma, le « cop » fit  le tour de la voiture tout en contrôlant mes papiers. Il termina son interception en m’adressant un « warning », c’est-à-dire un avertissement, pour un léger dépassement de la vitesse autorisée. Moralité de l’histoire, quand on est dans un tel pays où ça grouille d’uniformes – statetroopers, highwaypatrol, shérifs et autres rangers - et où un nombre important d’hommes et de femmes portent un « gun » à la ceinture ou dans leur  sac, on ne fait pas le mariole avec les forces de l’ordre, et on obtempère ! La victime de Ferguson était-elle « clean » au regard des critères policiers ? L’enquête le dira. Dans votre cas, sachez que votre statut de « Frenchie » ne vous protègera pas et Lafayette n’est plus là !

Des Ferguson, j’en ai traversé des tas, à pied ou en voiture. Il ne m’est jamais rien arrivé. Si l’Afro-américain qui a été abattu, encore une fois, dans des circonstances douteuses, avait été un citoyen blanc, assisterait-on à une mobilisation d’une telle ampleur médiatique, complaisamment relayée par nos chers « professeurs de morale » qui sévissent sur nos petits écrans ? L’occasion est trop belle, malgré la tristesse qu’une mort stupide peut engendrer, d’accuser ce pelé, ce galeux, d’homme blanc, toujours coupable, forcément. J’ignore tout de ce lamentable fait divers. Je constate simplement qu’il permet d’accuser une institution – qui n’a pas toujours, d’évidence, les mains blanches (sans jeu de mot….) – bien utile tout de même pour assurer  la sécurité des  braves gens. La justice fera la part des choses au pays de la « Law and Order ».

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mardi, 19 août 2014

François Duprat… toujours présent !

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Patrick Parment

Drieu la Rochelle disait qu’il y avait beaucoup de rêves d’action chez les intellectuels mais l’inverse est aussi vrai. Rares sont les hommes qui ont su marier la réflexion à l’action. Incontestablement, François Duprat est de cette race-là. Le brillant historien s’épanouissait dans le militant qu’il était viscéralement.

Ce qui frappe d’emblée dans l’édition de ces Cahiers de l’histoire du nationalisme, c’est l’extrême actualité des écrits de François Duprat plus de trente ans après sa mort.

Les jeunes esprits trouveront là une réponse à bien des questions et la lecture de ces textes lèveront bien des doutes. Doutes légitimes dans une époque qui a réduit l’homme à un simple produit de consommation. Nombreux sont les jeunes gens d’aujourd’hui (mais aussi d’hier), qui ne se reconnaissent pas dans la pâture qui leur est servie par un monde intello-politique faisandé qui a rendu les armes face au libéralisme. C’est la raison pour laquelle le Nationalisme-Révolutionnaire que prônait François Duprat est toujours d’actualité et prend tout son relief. Parce qu’il est d’abord une adaptation permanente de l’action aux réalités du moment. Et, c’est la grande leçon de Duprat : il est inutile de clamer haut et fort un fascisme – voire un nazisme – de pacotille quand le combat pour la survie de nos racines, de notre histoire et de notre culture est l’enjeu majeur. Défendre ce que l’on est, sans complexe aucun, s’organiser, pénétrer les strates de la société française dans une saine alliance du travailleur, du paysan et du guerrier, voici ce que prônait François Duprat. Faire de « l’agit prop » au quotidien, tel est la mission dévolue au militant national-révolutionnaire.

Enfin, cette édition des Cahiers bénéficie des éclairages pertinents d’Alain Renault qui fut un précieux collaborateur et un indéfectible ami de Duprat. Ce nulméro deux des Cahiers sonne comme un bréviaire intemporel pour tous les rebelles nationaux révolutionnaires d’aujourd’hui et de demain.

François Duprat et le nationalisme-révolutionnaire, Cahier d'histoire du nationalisme n°2 réalisé sous la direction d’Alain Renault, Synthèse nationale éditeur, 200 p., 20 €.  A commander : 116, rue de Charenton, 75012 Paris – 3 € de port.

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La TURQUIE doit-elle absolument intégrer l’Union européenne ?

index.jpgPieter Kerstens

Au sommet d’Helsinki (en décembre 1999) les ministres des Quinze avaient reconnu à la Turquie son statut de pays candidat, le début des négociations devant rester lié à la conformation aux « critères de Copenhague » quant aux droits de l’homme.

Comment ces droits sont-ils respectés lorsqu’un pays (la Turquie) occupe militairement un membre de l’Union économique tel que Chypre ?  L’ensemble de la communauté internationale a condamné cette invasion militaire et une résolution de l’ONU a exigé en 1974 le retrait immédiat des troupes turques.

Depuis 40 ans ANKARA maintient son occupation militaire et spolie la population chypriote.

Il faut se souvenir que MM. Valéry Giscard d’Estaing (ancien président de la République française) et Robert Badinter (ex-garde des Sceaux du président François Mitterrand) étaient résolument contre l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne

Le 18 juin 1987, le Parlement européen votait une résolution en 15 points.  Celle-ci subordonnait l’admission de la Turquie dans la Communauté européenne à plusieurs conditions précises.  Parmi celles-ci, la reconnaissance du génocide arménien et l’évacuation de la partie nord de Chypre, occupée militairement par les turcs depuis leur invasion en 1974.

Ces deux faits suffisent amplement à refuser l’entrée de ce pays asiatique et peuplé à 92% de musulmans, dans l’Union européenne !

Et 27 ans après, cette résolution du Parlement européen n’a pas été appliquée. Entre-temps, Chypre est devenue membre de l’UE.

L’obligation faite à la Turquie est restée sans effet.  Elle garde cependant tout son sens car le P.E avait adopté le 26/02/2004 un rapport du député Per Gahrton qui réitère sa position telle que la résolution l’avait énoncée le 18 juin 1987.

A ce jour, Ankara n’a pas changé de position sur les deux points ci-dessus.

L’on pourrait donc se demander si pour faire respecter le droit international, comme cela c’est passé en Irak, en Yougoslavie, en Lybie ou ailleurs, après avoir fait bombarder Bagdad, Belgrade et Tripoli, l’ONU ne devrait pas prendre la résolution de faire bombarder Istanbul ou Ankara ?

Avant de commencer à imaginer une quelconque alliance avec les pays de l’Est, d’Asie ou du Maghreb, la Commission serait mieux inspirée de convaincre la NORVEGE, L’ISLANDE et la SUISSE de rejoindre le noyau dur des pays européens à vocation et culture identiques qui, comme mentionné dans le Traité de Maastricht, s’engageaient à défendre la préférence européenne …on perdrait moins de temps !

19:02 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 18 août 2014

Libye : entre nuées démocratiques et réalités tribales

images.jpgBernard Lugan

L'Afrique réelle cliquez ici

Au moment où le parlement libyen appelle à une intervention étrangère "pour protéger les civils", nous pouvons lire dans le quotidien Le Monde en date du 12 août 2014 un titre insolite: "La transition en Libye est un échec, il faut la repenser".

Que s'est-il donc passé pour que la "bible des bien-pensants", ce point oméga du conformisme intellectuel français, se laisse ainsi aller à une telle constatation après avoir soutenu avec une arrogante indécence l'intervention militaire contre le colonel Kadhafi, cause directe de la situation actuelle ?
 
Le but de la guerre calamiteuse décidée par Nicolas Sarkozy était officiellement l'établissement d'un Etat de droit à la place d'un régime dictatorial. Après le lynchage du colonel Kadhafi par les islamo-mafieux de Misrata, un processus démocratique fut imposé aux nouveaux maîtres du pays. Il se mit en place à travers plusieurs élections et par la rédaction d'une Constitution. Les observateurs, à commencer par les journalistes du Monde, louèrent alors ces "avancées démocratiques", preuve de la "maturité politique" des "démocrates" libyens. La "guerre du droit" ayant été gagnée, accompagné de BHL, Nicolas Sarkozy alla ensuite sur place goûter aux félicités triomphales du "libérateur"...
 
Le résultat de ces illusions, de cet aveuglement, de ce décalage entre l'idéologie et la réalité, de cet abîme existant entre les spasmes émotionnels et les intérêts nationaux français, est aujourd'hui tragiquement observable. Les dernières structures étatiques libyennes achèvent en effet de se dissoudre dans des affrontements aux formes multiples s'expliquant d'abord par des logiques tribales. Sur ces dernières viennent, ici ou là, se greffer avec opportunisme des groupuscules islamistes soutenus par le Qatar et la Turquie.
 
Un retour au réel s'impose donc afin de tenter de sortir la Libye de l'impasse. Or, ce réel tient en quatre  points :
 
1) La Libye n'a jamais existé comme Etat de facture occidentale.

2) Le  colonel Kadhafi avait réussi à établir une réelle stabilité en se plaçant au centre, à la jonction, des deux grandes confédérations tribales de Cyrénaïque et de Tripolitaine.

3) Son assassinat a fait que, ayant perdu leur "point d'engrenage", ces deux confédérations se sont tournées sur elles-mêmes dans une logique d'affrontements tribaux régionaux ayant pour but la conquête du pouvoir dans chacune des deux grandes régions du pays éclatées en cités-milices aux intérêts tribalo-centrés.
 
4) La clé de la stabilité libyenne passe par la reconstitution du système d'alliances tribales mis en place par le colonel Kadhafi. Or, les responsables politiques libyens ne sont pas en mesure de mener cette politique car ils sont tous sont ethno-géographiquement liés par leurs origines.
 
Le seul qui, dans l'état actuel de la complexe situation libyenne pourrait jouer ce rôle de rassembleur-catalyseur est Seif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi. Actuellement détenu avec des égards par les miliciens berbères de Zenten qui constituent le fer de lance des forces anti-islamistes en Tripolitaine, il est soutenu par les Warfallah, la principale tribu de Tripolitaine, par les tribus de la région de Syrte, par sa propre tribu et il pourrait l'être également par les Barasa, la tribu royale de Cyrénaïque, sa mère étant Barasa. Autour de lui pourrait être refondée l'alchimie politico-tribale, le pacte social tribal de Libye.

Mais pour cela il importe que la CPI, perçue en Afrique comme un instrument du néocolonialisme "occidental",  lève le mandat d'arrêt de circonstance lancé contre lui.

11:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |