jeudi, 26 mars 2015
Le président al-Assad reçoit une délégation de parlementaires flamand conduite par Filip Dewinter
Source SANA cliquez ici
Le président Bachar al-Assad a reçu aujourd’hui une délégation parlementaire et partisane belge présidée par le membre du Parlement flamand, Filip Dewinter.
Au cours de l’entretien, le président al-Assad a affirmé que ce qui se déroule en Syrie est tout à faire différent de ce qui est dépeint par des politiciens et des mass médias qui déforment l’Opinion publique dans leurs pays, au service d’une déficience visuelle et d’intérêts étroits qui ne servent pas leurs peuples.
Le président al-Assad a ajouté que les délégations qui visitent la Syrie et rencontrent les Syriens pourraient contribuer à la correction de l’opinion publique de leurs peuples à propos de la vérité de la guerre antiterroriste en Syrie.
Il a ajouté que certains pays européens commettent des erreurs graves en s’alliant avec des pays soutenant le terrorisme qui déforme l’image de l’Islam, affirmant que les organisations terroristes et les parties qui les soutiennent ne représentent pas l’Islam juste qui rejette toute forme de violence et qui se base sur la tolérance et la fraternité.
Les membres de la délégation belge ont affirmé que la Syrie est en 1ère ligne de front face à l’extrémisme et au terrorisme, et qu’elle est la seule qui fait face aux terroristes, précisant qu’en cas de l’effondrement de cette ligne le terrorisme parviendra aux pays européens, « ce qui implique la solidarité avec la Syrie dans sa guerre », ont-il ajouté, précisant qu’un nombre de partis et de responsables occidentaux ont maintenant cette conviction.
Ils ont affirmé avoir saisi en Syrie la volonté de vie en dépit de la souffrance quotidienne dont souffrent les Syriens en raison des crimes perpétrés par les groupes terroristes et de l’embargo imposé au pays depuis plusieurs années.
Mouallem souligne le rôle des parlements européens dans la transmission de la vérité des événements en Syrie à leurs peuples.
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mercredi, 25 mars 2015
Mercredi soir, Gabriele Adinolfi parmi les invités de Martial Bild sur Radio Courtoisie
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mardi, 24 mars 2015
Le Vlaams Belang offre dix billets d’avion pour le retour de musulmans...
Sous le slogan : « Ce que les autorités ne font pas, le Vlaams Belang le fait ! », le Vlaams Belang d’Anvers a lancé ce jeudi 19 mars 2015 une campagne intitulée : « Est, Ouest ? Le mieux est chez soi ! » La conférence de presse s’est déroulée symboliquement à l’aéroport de Deurne.
Le Vlaams belang va distribuer 60.000 dépliants au sein des quartiers d’Anvers à forte densité de population musulmane de Borgerhout, Anvers-Nord, Deurne-Nord et Hoboken. Dans cet imprimé se trouve un concours. Les personnes qui le désirent sont invitées à répondre à sept questions à propos de l’islam et à donner leurs coordonnées afin de gagner un aller simple vers un pays musulman au choix.
Source Lionel Baland cliquez ici
Voir le dépliant en néerlandais : cliquez là
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Samedi 28 mars : soirée "Amour, absinthe, révolution..." au Crabe Tambour à Paris
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RAPPEL : conférence d'Arnaud Raffard de Brienne à Berhen (59) samedi 28 mars :
NON, NOUS NE SOMMES PAS CHARLIE cliquez ici
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lundi, 23 mars 2015
POUR CONNAÎTRE MAURICE BARDÈCHE Un livre collectif : « Maurice Bardèche l’insoumis »
Pierre Le Vigan Métamag cliquez ici
Polémiste, écrivain politique, critique littéraire, Maurice Bardèche (1907-1998) a été tout cela. Son image reste sulfureuse. Elle l’est même beaucoup plus que dans les années 1950, preuve que nous avons fait un grand pas vers le schématisme, l’intolérance et l’inculture. Philippe Junod, aidé de sa femme, a voulu mieux faire connaître celui qui fut le beau-frère et l’ami de Robert Brasillach mais qui avait, bien entendu, son tempérament, ses goûts et son histoire propres. Le pari de mieux connaître Bardèche est tenu dans le cadre des Cahiers des Amis de Robert Brasillach cliquez ici.
Officiellement apolitique jusqu’en 1945, ses activités hors enseignement n’allèrent guère au-delà, sous l’Occupation, d’essayer de sauver Jean Cavaillès. Plus handicapé qu’aidé par ses liens familiaux trop voyants, il passe de maître de conférence à la Sorbonne à professeur à l’Université de Lille où il n’avait aucune attache.
Ce qu’il ressort des études consacrées à Bardèche, est l’unité de sa vision des choses, du politique au littéraire. Cela ne veut évidemment pas dire que l’on soit obligé d’être « fasciste » pour, en même temps, lui reconnaître d’avoir beaucoup apporté à la connaissance de Balzac ou de Proust. Mais il faut reconnaître que ce qu’il appelle « fascisme » est en fait quelque chose qui va au-delà d’un épisode historique, aussi important qu’il ait été (et sachant qu’il fut définitivement clos en 1945). Au-delà : c’est-à-dire une critique de la domination de l’économie sur nos vies, et une critique de la domestication de l’homme par le monde moderne.
Bardèche était non pas un homme de concepts mais un homme de principes. Il été pionnier en maints domaines dans une large mouvance intellectuelle : la critique de la « conscience universelle », c’est-à-dire l’appareil idéologique du nouvel ordre mondial américain, le refus de l’uniformisation planétaire par le règne des marchands, le souci de la liberté des peuples et de la continuité de ceux-ci qui doivent rester fidèles à leurs instincts (thèse assez rousseauiste), l’appel à l’indépendance de l’Europe. Pour des raisons parfaitement évidentes, il était conscient de ne pouvoir être à la bonne distance pour juger de l’action du général de Gaulle. Aussi demandait-il des avis autour de lui. Il faisait partie de ceux qui, à tort ou à raison (je m’interroge moi-même), ne prenait pas au sérieux la troisième voie gaullienne.
De la création du modeste Mouvement Social Européen, qui n’était certes pas un mouvement de masse, à novembre 1982, date de la parution du dernier numéro de sa revue Défense de l’Occident (elle accueillit quelques uns de mes premiers articles), fondée trente ans plus tôt, Bardèche a été le principal « doctrinaire » (mais on hésite à employer ce terme un peu trop sec et désincarné) mais plus encore le principal écrivain du nationalisme européen. Il a permis à beaucoup de ceux qui l’ont lu d’aller au-delà, ou ailleurs, preuve que c’était avant tout un homme libre, un rebelle non aligné.
Les témoignages regroupés dans le cahier des ARB, souvent chaleureux, mais aussi bien sûr parfois critiques, aident à mieux connaître celui que l’on veut réduire à des caricatures, tant notre époque aime les idées simples, et fausses de préférence. Ce sont les idées les plus confortables, et notre époque aime son petit confort. Un excellent libraire, bibliophile de province, juif, et parfaitement (sic) de gauche me disait, à propos de la biographie de Balzac par Bardèche (Julliard, 1980) : « Il faut reconnaître que c’est quand même la meilleure des études parue sur Balzac ».
de Robert Brasillach,
N°51/52,
Maurice Bardèche l'insoumis cliquez ici
courriel : brasillach@europe.ch
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Les Brigandes : La loge des Jacobins
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Le JT de TV Libertés de lundi soir :
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Départementales : le grand ouf tabagique de Manuel Valls
Son parti ne représente plus que 6,34% des inscrits au corps électoral et la "gauche" dont il se veut le représentant emblématique sera absente au second tour dans près d'un canton sur trois.
Et pourtant le gandin de Matignon a semblé content de lui lors de la soirée électorale. Il faut dire que la déculottée reçue a été un peu moins dure que prévue et que le gazeur de femmes et d'enfants devrait conserver sa sinécure gouvernementale.
C'est sans doute pourquoi, après les déclarations de circonstances, repu et bien calé, le bellâtre soulagé s'est allumé un barreau de chaise à la cubaine et a suivi la retransmission télévisée du match de football opposant le Real de Madrid au club de Barcelone qu'il soutient ardemment par atavisme. C'est aussi cela un politicard !
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Réinfos, le mag hebdomadaire du Parti de la France...
18:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Départementales : le front des abstentonnistes largement en tête au premier tour !
Selon le Ministère de l'Intérieur, 50,17% des 42 693 54 citoyens inscrits sur les listes électorales ont pris le chemins des urnes pour les élections départementales. Il y a donc eu 21 273 037 (49,83%) irréductibles gaulois à se refuser à sacrifier à la ripoublique, auxquels on peut ajouter les 702 354 (1,65%) qui ont choisi de voter "blanc".
C'est donc plus de la moitié des électeurs français qui se sont refusés à cautionner un des candidats du Système ou le Système lui-même. La satisfaction affichée par les politiciens et leurs relais médiatiques suite au "réveil citoyen" et au "recul de l'abstention" ressort donc surtout de la méthode Coué. Les chiffres sont là dans leur dure réalité: la représentativité des différents partis politiques en lice dans le corps électoral est ridiculement faible.
Le pourcentage des inscrits obtenu par les "grands" partis est révélateur: en tête le Front marinien avec 12,04%, suivi par la nébuleuse Union de la Droite (UMP UDI) 9,96% puis le PS 6,34%; pour mémoire citons le Front de Gauche (2,25%), le PC"F" (0,63%), les écolos (0,97%) ou le Modem (0,17%) Bref, à l'issue du premier tout ou l'électeur se détermine selon des orientations politiques précises, les partis du Système ne regroupent chacun qu'une faible voire insignifiante partie de l'électorat.
C'est donc la porte ouverte aux traditionnelles magouilles d'entre les deux tours, aux marchandages soukesques sur les désistements réciproques entre les "grands" partis et leurs nébuleuses, aux stigmatisations, aux anathèmes, aux déclarations péremptoires de principe, aux ni/ni, oui/si, non/sauf, aux menaces, aux révélations scabreuses... pour la répartition des sinécures entre larrons, habitués à faire deux grandes parts et quelques toutes petites, menacés par l'intrusion d'une nouveau convive aux dents longues. Spectacle lamentable couronné de grands principes. De quoi susciter des vocations nouvelles pour le FAF (Front des Abstentionnistes de France)... c'est à dire de futurs insoumis, de futurs résistants, de futurs révoltés !
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Le discrédit des partis du Système...
En ce lendemain du premier tour des élections départementales, puisque c’est ainsi qu’il faut maintenant appeler les cantonales, quel constat pouvons-nous faire ?
Hier soir les journalistes et analystes qui se succédaient sur les plateaux avaient l’air plutôt rassurés. Leur France (celle qui se veut républicaine et ouverte à tous) échappait de justesse au pire : le FN n’arrivait pas en tête comme les sondages semblaient le prévoir.
Ainsi, dès que les premières estimations furent annoncées, le pathétique Manuel Valls, sans doute plus compétent pour gazer et embastiller ses opposants que pour sauver la mise du Parti socialiste, s’empressa de faire croire que celui-ci n’était pas en si mauvaise forme que ses résultats l’indiquaient (il fallait oser…) et de rabâcher la vieille ruse usée du sempiternel « Front républicain ».
A peine Valls avait-il fermé son clapet que Sarkozy, « le sauveur » inattendu, apparaissait sur les écrans avec l’air plutôt satisfait de celui qui revient de loin. Il proclama, avec la solennité qui s’impose et au cas où cela aurait encore échappé à certains, que l’UMP n’avait rien de commun avec le Front national. Cela va sans dire, mais ça va mieux en le disant… En réalité, si l’UMP arrive en tête c’est parce qu’elle bénéficie de l’implantation de nombreux notables « divers droite » ou indépendants locaux qui, grâce au réel travail des uns ou au clientélisme des autres, enregistrent généralement des bons résultats dans les cantons ruraux.
En fait, même si le FN n’atteint pas les scores annoncés par les sondeurs, il n’en demeure pas moins que celui-ci confirme ses résultats là où il est traditionnellement fort et qu’il les renforce dans ce qu’il est convenu d’appeler « la France profonde ». Le déplacement d’un nombre croissant des habitants des villes vers la campagne expliquant en partie cette nouvelle donne.
Il convient aussi de noter, même si cela est marginal compte tenu du nombre restreint de candidats, les scores non négligeables obtenus ici et là par le Parti de la France, la Ligue du Sud ou encore Alsace d’abord.
Quoi qu’il en soit, et quoi qu’en disent les chiens de garde du Système, ces élections prouvent que l’exaspération croissante de notre peuple se traduit par un vote de plus en plus affirmé pour la Droite nationale. Les partis en place sont discrédités. Les résultats de dimanche prochain confirmeront sans doute cette tendance.
Synthèse nationale
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dimanche, 22 mars 2015
30 millions d’euros : Pelloux veut sa part du magot Charlie
Caroline Corbières Riposte laïque cliquez ici
« Solidarité bien ordonnée commence par soi-même », telle pourrait être la nouvelle devise de l’Esprit Charlie et de 11 de ses salariés qui réclament à la direction un statut » d’actionnaires salariés à parts égales. »
Il faut dire qu’en novembre 2014, quand le journal se trouvait en état de mort clinique, les ventes atteignaient péniblement 30.000 exemplaires ; depuis les attentats de janvier, Charlie s’est vendu à 7 millions d’exemplaires permettant d’engranger 30 millions d’euros.
Laurent Léger (journaliste à Charlie), l’urgentiste Patrick Pelloux et le dessinateur Luz, avec 8 autres salariés ont donc créé un » collectif » pour ouvrir » des négociations sur une répartition égalitaire du capital « , ce doit être logique, ou normal, normalement logique et même logiquement normal pour des soixante-huitards qui vomissent le capitalisme…
Motif invoqué par le collectif : être associés aux choix du journal afin de devenir acteurs de l’entreprise. Un geste citoyen , en somme…
Au fond, avant, l’esprit Charlie, ce n’était pas ça. Pour preuve, les propos de P.Pelloux pour justifier la création du collectif : « à partir du moment où une entreprise est décimée, vous vous sentez complètement liés à elle. » Avant donc, ils étaient liés à Charlie… mais pas trop. A entendre les révélations du bon docteur et celles du digne Luz à l’enterrement de leur » femme » et de leur « amant » Charb, c’est surprenant.
" Qu’est-ce qu’on s’est enc… toutes ces années…… " : y pas à dire, être Charlie, c’est la classe !
Information : Charlie Hebdo, c’était donc Stéphane Charbonnier – ses héritiers à présent – actionnaire à 40%, c’est Riss – toujours à l’hôpital – détenteur de 40 %, et 20% appartiennent à Eric Portheault, cogérant.
Revendiquer des parts dans l’actionnariat existant quand la succession des personnes décédées est loin d’être réglée, c’est ça, l’esprit Charlie ? En outre, la confiance règne dans la famille pour engager pas moins de deux avocats afin de mener à bien la négociation ; le moins que l’on puisse dire, c’est que Pelloux, Luz et les 9 autres intéressés font montre d’une belle détermination.
» Riss est encore à l’hôpital, les parts de Charb sont gelées par la succession de Charb. Tout cet argent fait plus de mal que de bien. Cela fait penser à ces enterrements où on se bat déjà en revenant du cimetière pour les bijoux de la grand-mère « , déplore la direction. Et les bijoux de Charb étaient, semble-t-il, très appréciés…
Mais Charlie Pelloux se veut rassurant : (…) Il n’y a rien contre la direction actuelle, aucun conflit avec qui que ce soit, mais par rapport à ce qui s’est passé, les salariés veulent être davantage acteurs de l’entreprise. » Autrement dit on continuera de s’aimer très fort…du moment qu’on prend notre part du magot !
Et quel magot ! La direction n’est pas venue à eux ? Pelloux, Luz and co sont allés à elle. 30 millions d’euros, en mémoire de leurs liens très serrés avec Stéphane Charbonnier, il n’en fallait pas moins ou pas plus !
Mais mauvaises langues que nous sommes ! Patrick Pelloux nous l’assure : » Il ne s’agit pas de se partager le gâteau. L’argent ne nous intéresse pas. »
Si c’est lui qui le dit…
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samedi, 21 mars 2015
Europe : combien de terroristes islamistes parmi les "migrants" ?
Yves Darchicourt
Gilles de Kerchove, Coordonnateur de l'Union Européenne contre le terrorisme, vient de déclarer à Vienne en marge d'une réunion avec des ministres des nations des Balkans, d'Autriche et d'Italie : "Nous devons être vigilants. Il est relativement facile de pénétrer dans l'Union européenne quand on se mêle au flux de migrants"
Les écailles semblent être enfin tombées des yeux de certains eurocrates. Le belge Gilles de Kerchove, qui reconnaît avoir jusqu'alors "évité d'évoquer le risque d'infiltrations par voies humanitaires", admet qu'il fallait désormais "être vigilant". Il a en outre reconnu que l'Europe, jusqu'ici confrontée à des infiltrations ponctuelles de terroristes de l'Etat Islamique, devait s'attendre à des attentats de "grande ampleur". Ce qui est intéressant c'est que le Coordonnateur a mis ses constatations en parallèle avec le fait que, selon Eurostat (office européen de statistiques), les demandes d'asile politique dans l'Union ont explosé en 2014 pour avoisiner le demi million (dont 20% de "syriens").
C'est un premier pas. Le raisonnement qui en découle n'est que de bon sens : s'il y a - ou s'il est seulement possible qu'il y ait- nombre grandissant de suppôts de l'Etat Islamique noyés dans la masse des "migrants" en provenance de pays islamisés, et si ces gens là sont d'évidence des terroristes potentiels formés au djihad, l'accueil massif des "migrants" constitue donc un danger et en vertu du simple principe de précaution il importe donc d'interdire et d'empêcher toute cette immigration dont, de toutes façons, l'Europe n'a aucune utilité.
Ne rêvons pas trop tout de même, même si les dirigeants de l'UE prennent conscience du risque grandissant de puissante pénétration djihadiste dans les fourgons de l'immigration allogène, il est peu probable qu'ils en tireront les conséquences qui s'imposent, des conséquences jugées indignes au nom des angéliques et castrateurs droid'lomes ou impensablement hostiles aux desiderata du "nouvel ordre mondial" lequel in fine vise à éradiquer le caucasien. Et la politique du "grand remplacement" risque de continuer quelles qu'en soient les dégâts collatéraux... jusqu'à ce que le populaire souchien se débarrasse de toute cette engeance, au besoin manu militari, et prenne son destin en main.
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POUTINE : COMME ILS AIMERAIENT QU’IL SOIT MALADE Vol sur un nid de charognards
Jean Bonnevey Metamag cliquez ici
On ne sait pas pourquoi Poutine s’est absenté une grosse semaine. Ce qui est sûr, c’est que notre belle presse humaniste aurait souhaité qu’il soit très malade, sinon mort. Et les commentateurs de souligner que ce silence était le signe des régimes totalitaires, comme si on nous avait tout dit, dans notre admirable démocratie, sur les absences médicales de Pompidou et Mitterrand.
La haine de Poutine au nom d’un dogme démocratique porté par les médias empêche toute retenue et mise en perspective. Il en est de même pour Assad d’ailleurs où la France, bien seule, s’accroche pour, au nom de principes, prendre le risque de faire fracasser la région sur les réalités. Et puis faut-il, même quand on n’aime pas poutine, se réjouir de son éventuel effacement ? Il faut le dire aux benêts médiatiques qui avaient vu la démocratie s'instaurer en Egypte, si Poutine s'en va, d’une manière ou d’une autre, il ne sera pas remplacé par un gentil démocrate mais par un plus nationaliste que lui.
Tous les yeux étaient tournés vers Moscou, ce lundi 16 mars, pour découvrir si Vladimir Poutine, après une absence inhabituelle de dix jours, ferait bel et bien son retour sur le devant de la scène publique à l'occasion d'une visite du président kirghiz Almazbek Atambaïev. Comme l'avait assuré un porte-parole en début de matinée, la rencontre entre les deux chefs d'État a été maintenue. Interrogé sur le sujet, le président a alors ironisé que "l'on s'ennuierait s'il n'y avait pas de ragots", sans pour autant donner d'explications sur ses activités pendant ces dix jours. Cette absence a provoqué une hystérie de rumeurs dans les médias russes et européens. Démenti immédiat du Kremlin : Poutine est « tout à fait en bonne santé ». Mais, pas de quoi décourager les curieux. Vendredi 13 mars, deux médias suisses, le tabloïd Blick et la Radio Télévision Suisse italienne, ont affirmé que la maîtresse de Vladimir Poutine, l'ex-gymnaste médaillée olympique et députée Alina Kabaieva, se trouverait à la clinique Sant'Anna, à Sorengo, pour y mettre au monde leur bébé. Dimanche 15 mars, alors que l'absence de Poutine se prolonge, plusieurs médias citent des sources différentes rapportant que Poutine est vivant mais qu'il a été renversé. "Il y a des signes de coup d'État", estime un ancien ambassadeur israélien en Russie auprès du journal Haaretz alors que le directeur du Comité Islamique de la Russie juge que le président a été "neutralisé" et remplacé à la tête du pays.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, bombardé la semaine dernière de questions sur toutes les rumeurs circulant à propos de Vladimir Poutine, a ironisé. « Bon alors, vous avez tous vu un président paralysé, enlevé par des généraux, et qui est arrivé en avion de Suisse où il a lui-même accouché ? », a-t-il déclaré. « Nous ne voulons plus parler de ce sujet, tout va bien ».
A la veille des commémorations pour le premier anniversaire du retour de la Crimée dans le giron de la Russie, le président russe fait des confidences bien plus intéressantes sur le déroulé du conflit qui s’est déroulé dans l’ex-péninsule ukrainienne. Tout d’abord, il confie qu’il était prêt, il y a un an, à mettre en état d’alerte les forces nucléaires face à une éventuelle intervention militaire occidentale. « Nous étions prêts à le faire », à mettre en état d’alerte le dispositif nucléaire face « à la tournure la plus défavorable qu’auraient pu prendre les événements », a déclaré Vladimir Poutine dans ce documentaire tourné il y a près de huit mois. L’armée russe avait également positionné en Crimée des batteries de missiles de défense côtière « Bastion », des armes susceptibles de dissuader un navire de guerre américain qui était alors en mer Noire de s’immiscer, a raconté Vladimir Poutine. « On ignorait alors » si l’Occident allait intervenir militairement, poursuit-t-il. « C’est pourquoi j’ai été obligé de donner les instructions qu’il fallait à nos forces armées (...), de donner des ordres sur l’attitude de la Russie et de nos forces armées en toutes circonstances », a également dit Vladimir Poutine. « J’ai parlé avec mes collègues et je leur ai dit que c’était notre territoire historique, que des Russes habitaient là-bas, qu’ils étaient en danger et que nous ne pouvions pas les abandonner », a poursuivi le président. « C’était une position franche et ouverte. Et c’est pourquoi, je ne pense pas que quelqu’un ait eu envie de déclencher un conflit mondial », a-t-il ajouté. Voilà qui devrait donner à réfléchir.
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Pourquoi le FN pourrait perdre une partie de l’électorat catholique en 2017
La Nouvelle Gazette française cliquez ici
Hier sans surprise, l’Assemblée Nationale a voté la loi sur la fin de vie par 436 pour, 34 contre et 83 absentions. On savait déjà qu’il y a avait un large consensus entre gauche et droite malgré des voix discordantes, notamment à droite. Il ne faut pas tenir compte de l’abstention de la majorité des députés écologistes (ndlr : 17 absentions et un vote pour. Le groupe écologiste était donc au complet) qui estime sans aucun doute que la loi ne va pas assez loin, quand on connait leur position sur ce sujet. En revanche, on note une fois de plus l’absence des deux députés du FN comme lors de la première fois, une absence qui pourrait agacer un certain électorat catholique.
Malgré ses affirmations, le FN ne fait plus du sociétal une priorité car il considère qu’il y perdrait beaucoup trop de points et que cela pourrait mettre fin à ses rêves de présidentielles. On sait que sur le mariage homosexuel, la position du parti est beaucoup plus ambigüe qu’il ne veut bien le montrer. Marine Le Pen n’a pas voulu engager plus en avant son parti dans cette bataille et le bureau politique a été houleux pour savoir s’il fallait manifester ou pas. Au final, les élus frontistes ont manifesté mais la présidente n’est pas venue. Nous avons déjà écrit que la position du parti sur l’abrogation de la loi Taubira était très proche de celle de l’UMP, la différence se faisant sur la formulation. Le ralliement de Sébastien Chenu était un autre geste symbolique. Ces nouvelles orientations politiques ont déjà agacé certains tandis que les autres préfèrent fermer les yeux dans une indulgence qu’on aurait envie de qualifier d’hypocrite.
Sur la loi sur la fin de vie, le gouvernement a su habilement manœuvrer, agissant assez rapidement et ne parlant pas d’euthanasie. A part Alliance Vita, le collectif Soulager mais pas tuer et deux ou trois députés UMP, on n’a eu ni débat ni opposition. Les amendements dit euthanasiques, ayant été rejetés, il a été facile à la majorité socialiste de faire passer la loi Claeys/Leonetti dans la plus grande facilité. Le FN en a été totalement absent non seulement lors des deux votes mais aussi dans le débat. Il faut dire que cela tombe en pleine campagne électorale pour les départementales et que Marion Maréchale-Le Pen est sans doute trop occupée dans le Vaucluse, en pleine guerre avec Jacques Bompard. Ce n’est pas tout de dénoncer les absences des autres, encore faut-il être présent à moins qu’on ne juge que le dossier ne soit pas important. Certes le FN n’a que deux députés mais il a une certaine force de frappe médiatique que n’a pas un Jacques Bompard, par exemple. Résultat l’opposition est venue de députés UMP comme Jean-Frédéric Poisson ou Xavier Breton qui ont voté contre tout comme Hervé Mariton, Nicolas Dhuicq ou bien un certain Gérald Darmarnin, ancien porte-parole de Nicolas Sarkozy lors de sa campagne pour la présidence de l’UMP. En tout, 25 députés UMP ont voté contre et 25 se sont abstenus. Les 144 autres présents ont voté pour. Ils n’auraient pas pu faire pencher la balance mais ils auraient, cependant, été plus nombreux à se prononcer contre si une véritable campagne avait été menée. Or sur ce sujet, ils ne se sentent pas du tout débordés par leur droite, bien au contraire !
On savait déjà que cette droite bourgeoise et catholique, qui a formé en majorité les rangs de la Manif Pour Tous, n’était pas très encline à voter FN. D’ailleurs, pendant longtemps, les élus FN se sont plaints d’avoir été ostracisés et cachés au détriment de l’UMP. Cela a bien été le cas surtout à l’époque Frigide Barjot et un changement s’est opéré à l’arrivée de Ludovine de la Rochère. Toutefois, sur le terrain des débats sociétaux, le FN est loin d’avoir gagné d’avance surtout avec la nouvelle génération au sein de l’UMP comme Sens Commun. C’est d’autant plus vrai que Marine Le Pen semble vouloir s’appuyer sur un électorat ouvrier et qu’elle adopte un discours plus proche de Jean-Luc Mélenchon : anti-capitalisme, anti-UE et euro. Son soutien à Syriza, dont un certain membre du gouvernement menace aujourd’hui de déverser des milliers d’immigrants sur l’Europe et la France, a été plutôt mal perçu. Elle s’en est sortie par une « pirouette » via un communiqué de presse, qui ne peut convaincre que ceux qui ne veulent pas voir la réalité, alors que d’autres observateurs reconnaissent que le nouveau gouvernement grec a obtenu des concessions lors des négociations. En attendant, lors d’un meeting à Belfort la semaine dernière, Nicolas Sarkoy n’a pas manqué de rappeler le soutien du FN à un parti pro-immigration.
Occupé depuis longtemps à sa conquête du pouvoir, le FN n’accorde plus la même importance aux questions sociétales, qui lui ont permis d’attirer un certain électorat catholique conservateur quand le parti était diabolisé. Se voulant défenseur de l’héritage chrétien tout en étant une barrière à l’islamisme plus qu’à l’islamisation, le parti prône une laïcité la plus stricte qu’il soit mais il n’est pas le seul parti à être en porte-à-faux sur ces questions de laïcité républicaine. Il n’en reste pas moins que Nicolas Sarkozy s’est toujours senti proche des questions relatives à la religion, notamment le christianisme, avec une part de sincérité mais aussi d’électoralisme. L’UMP est loin d’être battue même s’il a de plus en plus tendance à faire jeu égal avec le FN. L’électorat catholique est bien sûr loin d’être important au moment des élections mais il apporte toutefois des voix non négligeables. Marine Le Pen pourrait en avoir besoin pour 2017 !
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
Pour télécharger, cliquez ICI
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vendredi, 20 mars 2015
Pierre Drieu La Rochelle
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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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Strasbourg : Jacques Cordonnier, Président d'Alsace d'abord, est candidat
Jacques Cordonnier, président du mouvement Alsace d’Abord, et Renée Kuss, membre du comité directeur, sont les candidats régionalistes aux élections départementales, dans le canton de Strasbourg 6. Ce nouveau canton regroupe les quartiers suivants : Meinau, Neudorf, Stockfeld, Canardière, Plaine des Bouchers, Neudorf Est, Musau.
Dans cette campagne, ils portent les idées que défend Alsace d’Abord depuis toujours :
- rétablissement de la sécurité
- refus de l’islamisation de la société
- maintien en Alsace d’une partie de la TVA collectée
- régionalisation du système éducatif
- défense du droit local et du régime local de sécurité sociale
- protection des l’environnement
- Abrogation de la fusion et retour à l’Alsace rhénane
En outre, les candidats mènent une action déterminée contre le projet de construction des plus hauts minarets d’Europe dans ce canton, à Strasbourg. Ce projet démesuré est voulu par la communauté turque de Strasbourg et par Roland Ries, maire de Strasbourg.
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"SHOAH, la saga des réparations", le nouveau livre d'Anne Kling est sorti...
La shoah génère depuis soixante-dix ans un flot ininterrompu de sommes astronomiques au titre des « réparations/compensations » aux victimes juives. En se penchant sur l’historique de ces versements, une convergence d’intérêts saute aux yeux : celle qui unit les dirigeants américains et certaines organisations juives d’outre-Atlantique, ligués pour faire payer les Européens et les obliger à traduire en espèces sonnantes et trébuchantes leur inépuisable culpabilité et leur autoflagellation permanente, bien soigneusement entretenues.
C’est l’histoire de cette véritable saga, aux implications politiques et financières évidentes, qui est ici contée. Depuis les premières restitutions opérées dès la fin du conflit jusqu’aux développements les plus récents. Mais non les moins lucratifs.
Shoah, la saga des réparations, Anne Kling, Editions Mithra, mars 2015, 256 pages, 18,00 €
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08:58 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Guerre à l'Occident, guerre en Occident !
Comme dans toute guerre révolutionnaire, dans la guerre menée par les tenants du Système islamique contre les nations occidentales :
• il n’est pas fait de distinction entre « l’état de paix et l’état de guerre » ;
• la tromperie (ou « taqiyya ») est très largement utilisée par les tenants du Système islamique et les islamo-collabos, s’appuyant sur la méconnaissance totale qu’ont les citoyens occidentaux des réalités du Système islamique, de ses buts et de ses objectifs ;
• les citoyens des nations occidentales ne perçoivent pas la réalité de la guerre qui leur est faite, ils ont la tête dans le sable, comme de bonnes autruches, et ils sont roulés dans la farine grâce à l’utilisation de la taqiyya ;
• il s’agit d’anéantir les nations occidentales de l’intérieur même, d’annihiler les capacités de réaction des citoyens, en imposant insidieusement l’hégémonie du Système islamique sur les religions, les mœurs, le politique, le social, le culturel, l’économique, le juridique, plus particulièrement...
Guerre à l'Occident, guerre en Occident, Lieutenant-colonel Jean-François Cerisier, Riposte laïque, 413 pages, 19,00 €. En savoir plus cliquez ici
08:53 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Gabriele Adinolfi, auteur du livre "Années de plomb et semelles de vent", est l'invité du journal de TV LIbertés...
L'entretien lors du Journal de TV Libertés de mercredi soir.
Grand angle à la fin du journal
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08:52 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après son triomphe à la dernière journée de Synthèse nationale, le 12 octobre 2014, Nothmen Impakt récidive à Lyon...
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jeudi, 19 mars 2015
Contre la loi Leonetti, le Renouveau français manifeste devant l'assemblée
Communiqué du Renouveau français - Paris :
A l’Assemblée Nationale se déroulait hier soir le vote de la loi Leonetti. Les militants parisiens du Renouveau français ont tenu à protester contre cette loi infecte. Une quinzaine d’entre eux s’est retrouvée devant l’assemblée, munie d’une banderole où l’on pouvait lire « Soigner n’est pas tuer ».
Des tracts ont été distribués aux passants, lesquels, pour la plupart, ignoraient que cette loi en faveur de l’euthanasie était sur le point de passer, et partageaient notre avis.
Les forces de « l’ordre » sont bien évidemment venues déloger nos militants, leur intimant l’ordre de rentrer chez eux, en les raccompagnant « courtoisement » jusqu’au métro le plus proche.
Le combat contre la loi Leonetti et contre l’euthanasie n’est pas terminé, il nous faut continuer de lutter pour que soit amélioré l’accompagnement à la personne, pour que le souci de nos législateurs soit de résoudre le problème et non de le supprimer !
16:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Assises pour la Liberté d'expression : séance de dimanche après-midi (fin)
Dominique Jamet (journaliste et fondateur de Boulevard Voltaire)
Renaud Camus (écrivain et président du Parti de l’In-nocence)
Philippe Milliau (président et fondateur de TV Libertés)
Discours de conclusion de
Pierre Cassen (président de Riposte laïque)
16:10 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
14:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir". Jean de La Fontaine
12:45 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’ « extrême droite » est-elle un ramassis de crétins ?
En vérité, c'est toute la société libérale et utilitariste actuelle qui s'est appauvrie culturellement.
Claude Bourrinet Boulevard Voltaire cliquez ici
Le raid qu’a subi, dernièrement, le musée de l’Immigration, dont la façade a été recouverte, par un groupe de résistants, d’affiches appelant à la « remigration », a suscité, le mercredi 17 mars, sur le site du Figaro, le commentaire, probablement profond, d’un « spécialiste » de l’« extrême droite ». On trouve toujours de cette engeance universitaire pour meubler le vide intellectuel et culturel de notre vie politique. Et il faut bien offrir aux citoyens les idées reçues sans lesquelles ils pourraient se trouver détournés du bien.
Or, Nicolas Lebourg, « chercheur à l’université de Perpignan Via Domitia et membre de l’Observatoire des radicalités politiques de la fondation Jean-Jaurès » – autrement dit, un homme puissant dans le façonnement de l’opinion -, n’y va pas par quatre chemins. Il voit dans ce sacrilège, cet attentat blasphématoire, qui s’est attaqué à l’un des temples de l’ordre mondial, l’aboutissement du divorce entre l’extrême droite et la culture.
Quel est le rapport entre le problème social, politique, civilisationnel, de l’immigration de masse et la culture ? Que celui qui le connaît lève le doigt. On peut chercher longtemps, sauf si l’on considère que les immigrés, comme les enfants, sont des artistes, qui s’ignorent parfois, et que les contester, c’est nier agressivement les talents qui gisent au fond de leurs entrailles.
Toujours est-il que cette tête chercheuse est allée fouiner jusqu’entre les deux guerres (période fort à la mode, en ce moment) pour constater, in fine, que la frange de la population qui gravite autour des mouvements nationaux ne sont plus, contrairement aux grands ancêtres, comme Maurras et Bardèche – intellectuels raffinés -, que des béotiens, des abrutis sans diplômes ni bagage culturel. Il se peut. Soyons modestes !
Il est fort possible aussi que l’on déniche, parmi le personnel politique actuel, des ignares parfaits, des patauds qui ne savent ni manier notre langue, ni tourner les pages d’un livre intéressant. Ou qui n’ont pas lu depuis des lustres. Ou qui, carrément, se foutent de toute culture, hormis quand il s’agit de se faire mousser (et là, il existe des conseillers idoines pour tendre le bon papier).
Il est probable, de même, que l’obtention de diplôme et le succès scolaire (dont on sait quelle valeur lui accorder, maintenant) n’octroient nullement l’intelligence, ni la sagesse, ni le goût, ni même la culture authentique, qui est l’art de discerner et de mettre en perspective, du haut de ce promontoire de la pensée dont parle Montaigne.
En vérité, on pourrait rétorquer que c’est toute la société libérale et utilitariste actuelle qui s’est appauvrie culturellement. Et que l’on trouverait la même proportion de sots dans tous les camps. À vrai dire, la tentation est grande, parfois, de découvrir, chez certains « ploucs », ou « beaufs », beaucoup plus de compréhension de la vie réelle que chez certains rats de bibliothèque, surtout quand ils sont gavés de fromage.
10:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |