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mardi, 05 mai 2015

Manuels scolaires pro-islam : retour à l’expéditeur ?

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Véronique Bouzou Boulevard Voltaire cliquez ici

La réforme du collège portée par Najat Vallaud-Belkacem a de quoi faire bondir : le projet de révision du programme d’histoire pour la classe de cinquième prévoit qu’à la rentée 2016, l’enseignement de l’islam restera obligatoire tandis que la chrétienté au Moyen Âge ou le siècle des Lumières deviendront… facultatifs ! Ce qui n’a pas manqué de provoquer – à juste titre – une levée de boucliers de la part de nombreux historiens, intellectuels, enseignants et politiques, à gauche comme à droite.

La décision de rendre obligatoire l’enseignement de l’islam dans l’école publique ne date pas d’hier : depuis 2010 déjà, les parents d’élèves de cinquième peuvent constater que dans certains manuels d’histoire de leur progéniture, c’est sur les débuts de l’islam à travers ses « fondements » et sa « civilisation brillante » que s’ouvrait l’année scolaire, faisant fi de la chronologie. Et si le chapitre sur « L’Église en Occident », relégué en quatrième position, fait naturellement mention de l’Inquisition, la religion musulmane n’est abordée que sous l’angle positif d’une religion de paix, tolérante à l’égard des infidèles. Sans aucune approche historique critique, comment dès lors s’étonner que certains élèves soient tentés d’aller faire le djihad ?

Alors que faire contre cette tentative éhontée de travestir l’Histoire ? Prendre la plume comme le font certains intellectuels ? À quoi bon : tout le monde sait que deux intellectuels assis vont moins loin qu’une brute qui marche. Soutenir les enseignants dans la grève programmée le 19 mai dans toute la France contre ces nouveaux programmes ? Pourquoi pas… Mais quand on sait le peu de cas fait par le gouvernement envers ceux qui ont défilé contre les nouveaux rythmes scolaires, on peut s’interroger sur l’efficacité de battre le bitume. Ne vaudrait-il pas mieux que les parents d’élèves de cinquième, écœurés par ces tentatives éhontées de manipulation des esprits, tapent là où ça fait mal – à savoir au portefeuille – et décident de renvoyer les manuels d’histoire en question aux différents éditeurs concernés ? Ce serait, sans doute, un bon moyen de leur signifier que non, ils ne sont pas d’accord, et que oui, ils ont décidé d’entrer en résistance !

Concluons sur cette anecdote rapportée publiquement par Éric Zemmour qui, après une émission télé où il avait débattu avec « un historien sociologue antiraciste », indique que ce dernier avait clos la discussion par cette conclusion triomphante : « De toute façon, tu peux dire ce que tu veux, on tient les programmes scolaires. » Les programmes scolaires, peut-être, mais pas les élèves à qui ils sont destinés. N’est-il pas grand temps de sonner la fin de la récréation et de poser clairement la question de l’indépendance de l’Éducation nationale face à la montée des revendications des communautarismes ?

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Gabriele Adinolfie publie aux Bouquins de Synthèse nationale un livre sur l'Europe

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Gabriele Adinolfi nous expose dans ce petit livre de 80 pages, initialement édité en Italie, sa vision de l'Europe.

Partant du constat que dans le monde globalisé actuel les nations européennes ne peuvent plus, seules, avoir la force nécessaire pour faire face aux blocs (USA, Chine, Inde, pays émergents...), celles-ci risquent d'être amenées à disparaître de la compétition internationale.

Seule la création d'une Europe forte et unie, reposant sur la défense de ses identités nationales et régionales, peut inverser les choses. C'est ce à quoi Gabriele Adinolfi nous invite à réfléchir.

Jeudi prochain, 9 avril, Gabriele Adinolfi présentera son livre à Paris :

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lundi, 04 mai 2015

Deux ouvrages essentiels pour clarifier les choses...

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Rennes : depuis plusieurs mois des gauchistes occupent l'appartement d'une octogenaire

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L'indignation populaire amplifie de jour en jour. Vendredi dernier une première manifestation s'est déroulée à Rennes :

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dimanche, 03 mai 2015

Après Ninive, Poissy

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Floris de Bonneville Boulevard Voltaire cliquez ici

Rien sur les chaînes nationales sur un acte terriblement révélateur : la destruction à coups de massue de la belle statue de Saint Louis qui trônait, à deux mètres de hauteur, dans la nef de la collégiale de Poissy-sur-Seine, là où le glorieux roi avait été baptisé !

Jeudi soir, 30 avril, Alain Marschall et sa comparse Ruth Elkrief passaient une bonne dizaine de minutes à parler d’un incident mineur concernant la longueur de la jupe d’une lycéenne provocatrice. Mais rien, et rien sur les chaînes nationales sur un acte terriblement révélateur : la destruction à coups de massue de la belle statue de Saint Louis qui trônait, à deux mètres de hauteur, dans la nef de la collégiale de Poissy-sur-Seine, là où le glorieux roi avait été baptisé !

Briser en cent morceaux ce symbole de la France chrétienne, de l’histoire de la France, est sûrement l’œuvre d’un déséquilibré. C’est en tout cas la version policière qui a suggéré que, peut-être, la statue est tombée toute seule, en déséquilibre qu’elle était, elle aussi… Mais alors, elle aurait attendu un jour anniversaire pour choir ? On peut penser que le ou les criminels auront exécuté leur basse œuvre 801 ans, jour pour jour, après la naissance de ce grand roi dans cette même ville de Poissy.

Et nous revient ces terribles vidéos de l’État islamique où les barbus enrobés détruisent avec haine et fanatisme les statues du musée de Ninive comme s’ils voulaient effacer des mémoires de l’humanité toute une civilisation d’où l’islam était évidemment absent puisque Mahomet allait naître 2.000 ans plus tard…

À Poissy-sur-Seine, c’est vraisemblablement la même idéologie ravageuse qui a voulu effacer de notre histoire l’image de ce roi saint, en se vengeant du même coup de l’audace qu’avait eue ce chef croisé en tentant de délivrer Jérusalem de la présence musulmane dans les lieux les plus saints de la chrétienté.

Et pourtant la police locale, qui ne doit pas trop lire les journaux, a déclaré au Courrier des Yveline , l’un des rares médias à avoir évoqué ce sacrilège, que « cet acte isolé n’est pas dirigé contre l’église ». Sous-entendu, si l’église avait été le but de cet acte, il aurait pu y avoir tentative d’incendie de l’édifice religieux, comme ce fut le cas le 17 avril à Saint-Martin-le-Beau dans le Loir-et-Cher, dont l’église a été presque entièrement détruite. Un fait plus que divers passé inaperçu, là encore, de la grande presse. Les journaux locaux ont, d’ailleurs, pris prétexte de l’incendie de 4 voitures garées au pied de l’église pour ne pas évoquer la possibilité d’un attentat. Là encore, ce ne fut qu’un incendie accidentel dont seul le clocher du XIIe siècle fut épargné. Ce ne pouvait être un acte volontaire, ou alors, peut-être au pire, l’acte volontaire d’un déséquilibré dont la religion ne peut pas être évidemment la cause.

Il ne serait, évidemment, pas politiquement correct de trouver l’empreinte d’un islamisme radical, voire la main d’un calife devant ces destructions religieuses et historiques qui semblent, au fil des jours, devenir de plus en plus nombreuses, et ce dans le silence complice de nos médias et d’un gouvernement qui ne veut surtout pas mettre de l’huile sur le feu… Il ne faut surtout pas faire monter la mayonnaise contre une communauté déjà meurtrie qui laisse pourtant agir ses membres radicaux sans les mettre au ban.

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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samedi, 02 mai 2015

LA FRANCE DOIT CHANGER DE POLITIQUE Les temps de Lawrence d'Arabie ou de Sykes-Picot sont révolus !

LAWRENCE D ARABIE.jpgMichel Lhomme Métamag cliquez ici

La persistance de conflits anciens au Proche-Orient nourrit des tensions et des haines tenaces qui se combinent avec des conflits transnationaux nouveaux. Il existe des interactions complexes et multiples entre le lancinant conflit israélo-palestinien, les conséquences dévastatrices de l’intervention américaine en Irak de 2003, la question du nucléaire avec l’Iran, la guerre civile en Syrie, les rivalités multiséculaires entre le monde sunnite et chiite, (la guerre civile actuelle au Yémen et l’antagonisme entre l’Iran et l’Arabie Saoudite), la question des Kurdes et le développement de « l’Etat Islamique », mouvement terroriste nihiliste, souvent instrumentalisé par les puissances de la région et l'Occident.

L’ensemble de ces rivalités et de ces conflits, compliqués par les arrière-pensées et le jeu de poker menteur de certains Etats de la région mais aussi par la tricherie des Etats-Unis font du Proche et du Moyen-Orient la poudrière dont les effets polémogènes seront ravageurs pour l'avenir, menaçant directement des Etats stables comme la Jordanie ou plus encore le Liban, et touchant directement la France donc l’Europe, jusqu’à mettre en péril la stabilité du monde. 
 
Revenir sur le conflit israélo-palestinien.

Récemment, le rapport de la mission d'information du Proche et Moyen Orient de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale a proposé de remettre dans le jeu diplomatique le Conseil de Sécurité afin d’élaborer une solution au conflit israélo-palestinien. En effet, les Etats-Unis, seul acteur de poids impliqué dans les négociations de paix depuis l'abandon par l'Europe d'une politique internationale autonome et surtout depuis l'alignement de la France sur Israël paraissent incapables d’arracher un accord de paix. Il apparaît que seule une initiative internationale ferme et concertée, aux objectifs et au calendrier clairement identifiés, est à même de revivifier un processus de paix moribond. C'est en se repositionnant dans un cadre multilatéral que la France doit, avec ses partenaires européens et les Etats arabes œuvrer en faveur du règlement de ce conflit sur la base de la reconnaissance mutuelle de deux Etats, vivant en paix et en sécurité.
 
Renouer avec l'Iran et la Syrie
 
Dans ce cadre, la Commission de l'Assemblée nationale recommande aussi de réinsérer dans le jeu diplomatique l’Iran, puissance régionale, en favorisant une solution au dossier nucléaire sans céder sur le fond. C'est la bonne voie. Seul un accord équilibré avec d’un côté, l’Iran qui s’engagerait à donner des garanties pour rester au seuil et de l’autre les 5+1 qui accepteraient que l’Iran développe en toute transparence son programme civil, permettra de stabiliser la région. Il faut aussi rechercher au plus vite une solution politique à la guerre civile en Syrie sans poser de préalable à l’éviction de Bachar El-Assad puisqu'il est maintenant évident qu’une solution militaire semble impossible et que l’Armée Syrienne Libre, divisée, est totalement amoindrie.
 
De plus, la France aurait tout intérêt à rétablir au plus vite ses relations diplomatiques avec Damas dans l’intérêt de sa lutte contre le terrorisme puisqu'elle devrait avec la Syrie laïque mieux coordonner la lutte contre « l’Etat islamique », noyau du terrorisme, et protéger les minorités chrétiennes. La France est entrée dans une nouvelle croisade qui ne la concerne en rien, qui ne correspond à aucun de ses intérêts vitaux. Elle a cru sans doute (le rêve israélien de l'Eretz biblique) que l’on pourrait remodeler à sa guise sur un coin de table la carte de la région. 

Opérer un virage à 180° et changer de ministre

Il est  impératif que la France redéfinisse au plus vite toute sa politique étrangère dans la région. Ses responsabilités spécifiques à l'extérieur mais aussi à l'intérieur (le fameux ''Islam de France'') l’y engagent tout particulièrement. A défaut, elle perdra toute influence mais surtout et c'est plus grave, tout respect dans la région.
 
En un mot, la France doit retrouver une politique étrangère indépendante conforme à ses intérêts : elle doit se départir du suivisme atlantiste et européen qui est aujourd’hui sa ligne de conduite, abandonner ses postures et rigidités idéologiques stériles, et prendre en compte les réalités géostratégiques nouvelles de la région. 

Or, à Paris et contre toute attente chez les diplomates, on garde le dinosaure Fabius aux affaires étrangères, paralysant de fait tout changement urgent de position diplomatique au Proche-Orient. La réalité est là. Avec un Bandar saoudien intriguant à Jérusalem, un Liban recevant lundi dernier la première livraison d’armes françaises financées par un « don » saoudien de 3 milliards de dollars, certaines pièces du jeu d'échec oriental ont bougé et si l'on s'avance petit à petit vers la fin de la partie, ce sera forcément avec un nouvel Iran, un Iran qui se sera d'une certaine manière finalement « américanisé » et « chinoisé » !

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vendredi, 01 mai 2015

Carl Lang invité par Réinfos, le mag du Parti de la France

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Bernard Maris, Houellebecq économiste...

houellebecq_michel_4_5.jpgPierre Le Vigan

Bernard Maris, Houellebecq économiste, Flammarion, 2014.

Ce qu’a montré magistralement l’économiste et moraliste Bernard Maris dans son dernier livre, paru au même moment que son assassinat (on pense au roman Plateforme), c’est que le cœur des livres de Houellebecq c’est une protestation passionnée, vitale contre la domination de l’économie sur nos vies. La science économique libérale, c’est-à-dire la théorie classique est fausse. « « Bien entendu, les hommes ne sont ni rationnels ni calculateurs, écrit Bernard Maris. C’est pourquoi ils sont surprenants, avec leurs passions, leurs peurs, leurs joies, leurs doutes, leurs naïfs désirs, leurs frustrations, et beaucoup de choses comme le mal au dos. » Mais Houellebecq ne se contente pas de critiquer la « science » économique, sa prétention, sa vacuité. Il voit la nocivité de la domination des préoccupations économiques. C’est ce que Viviane Forrester appelait « l’horreur économique ». Le bilan du libéralisme c’est la lutte de tous contre tous, c’est l’exacerbation des besoins. C’est le développement de l’individualisme, véritable tumeur maladive. « La conséquence logique de l’individualisme c’est le meurtre et le malheur » indique Houellebecq. L’homme est rabaissé et soumis à la logique des désirs, avec comme seul idéal de « se goinfrer comme des enfants ». C’est l’homme infantilisé et l’homme malheureux car la loi tendancielle de baisse du taux de désir (en fait, le corollaire anthropologique de la baisse tendancielle du taux de profit) oblige à en mettre sans cesse de nouveaux sur le marché, toujours plus débiles, soumis à une obsolescence toujours plus rapide. 

On voit que toutes les leçons de Michel Clouscard sont comprises et reformulées. Le monde est devenu le résidu de la production d’argent. « Le libéralisme redessinait la géographie du monde en fonction des attentes de la clientèle ». Contrairement à l’extrême gauche qui critique le capitalisme sans mettre en cause l’individualisme absolu et libertaire, Houellebecq va à la racine : le règne du moi-je, le règne du « tout à l’ego », Ainsi « nous avançons vers le désastre, guidé par une image fausse du monde […].  Cela fait cinq siècles que l’idée du moi occupe le terrain ; il est temps de bifurquer ». 

Sur quoi est fondée l’économie ? Sur l’organisation de la rareté. S’il y a abondance il n’y a plus d’économie (justement, Marx voyait le communisme comme surmontant la rareté de l’accès aux biens essentiels). C’est pourquoi l’économie libérale est l’organisation de la frustration. En période d’abondance et notamment d’abondance de travail la domination de l’économie et des puissances d’argent ne disparait pas mais elle s’affaiblit. C’est ce que remarque Houellebecq, dans la lignée de George Orwell : « En période de plein emploi, il y a une vraie dignité des classes prolétariennes. […] » Elles « vivent de leur travail, et n’ont jamais eu à tendre la main. » C’est évidemment pour cela que le capitalisme ne veut pas se donner pour objectif le plein emploi et pousse à la précarité, à l’immigration, à la flexibilité du travail, à un droit du travail réduit à des cendres. Le capitalisme pousse ainsi à l’homogénéisation du producteur-consommateur, à l’exception de différences illusoires qui constituent des niches de marché. Lucide sur le diagnostic, Michel Houellebecq n’y va pas par quatre chemins dans ses conclusions : « Nous refusons l’idéologie libérale parce qu’elle est incapable de fournir un sens, une voie à la réconciliation de l’individu avec son semblable dans une communauté que l’on pourrait qualifier d’humaine ». Il écrit encore : « Nous devons lutter pour la mise en tutelle de l’économie et pour sa soumission à certains critères  que j’oserai appeler éthiques ».

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jeudi, 30 avril 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER RIVAROL N° 3185 du 23 avril 2015

 

FLORIAN PHILIPPOT AIME LE MÉTISSAGE

 

On connaissait les propos de Nicolas Sarkozy, à la gloire du métissage. Rappel : « L’objectif c’est relever le défi du métissage. Le défi du métissage […] ce n’est pas un choix, c’est une obligation, c’est un impératif », et puis ceux de François Hollande : « Il faut croire au métissage », et enfin ceux de Jean-Luc Mélenchon — « Notre chance c’est le métissage ». Mais voici qu’apparaît aussi le vice-président du Front mariniste, Florian Philippot, qui a éructé : « Moi j’aime le drapeau métissé français. Le bleu, le blanc et le rouge. » Consternant…

 

MARION MARÉCHAL-LE PEN DÉZINGUE GOLLNISCH ET CONDAMNE SON AÏEUL

 

Marion Maréchal Le Pen a confirmé sa candidature en Paca, aux élections régionales, mais refuse absolument de faire un tandem avec Bruno Gollnisch, que Jean-Marie Le Pen imaginait, vu son expérience, en cas de victoire, voir présider la Région. Bruno Gollnisch incarne en effet, aux yeux de la petite-fille du Menhir, « le Front d’une certaine époque » (les années les plus sombres de l’Histoire ?), « une époque qui (lui) semble un peu révolue ». Elle insiste au cas où l’on n’aurait pas compris : « Je n’accepterai pas d’en faire (un ticket) avec Bruno Gollnisch ». Et elle précise : « Je ne me reconnais pas dans sa ligne, même si je sais que l’on nous met souvent dans le même lot mais c’est un raccourci grossier et faux. Moi, je suis clairement dans le Front national de Marine Le Pen. » Elle poursuit avec ces fortes paroles : « J’ai un immense respect pour Jean-Marie Le Pen. Je lui dois énormément. Mais je ne me trompe pas de combat. Je ne me sens pas une femme d’extrême droite. Le totalitarisme, le racisme, ce n’est pas moi » (Mais c’est Jean-Marie Le Pen, si l’on décrypte les propos de la benjamine !). Et puis, elle l’affirme : « Je n’ai jamais été l’objet de mon grand-père. Je m’étais détachée de ses propos lors de l’épisode sur “la fournée”. Je ne cautionne ce qu’il a dit ni sur la forme, ni sur le fond. ». Sa conclusion : Bruno Gollnisch est un ringard : « Je ne peux pas être d’accord avec lui. Je ne suis pas de ce FN des années 1970, de l’après-guerre d’Algérie. » a-t-elle confié sans ménagement à La Provence. Nous voici informés. Merci, Marion… On s’en souviendra.

 

CE COLLARD DE COLLARD VEUT MAINTENANT ADHÉRER AU FN

 

Ce « collard de Collard », qualificatif imagé que JMLP a attribué à l’avocat-député mariniste, que tous les Rivaroliens sauront décrypter, saute le pas. Il vient de déclarer sur Radio Classique : « J’ai toujours dit que je suis mariniste. Moi, je n’ai pas adhéré au FN parce que Jean-Marie Le Pen y était. J’ai toujours dit que je ne pouvais pas adhérer à certains de ses propos. C’est la raison pour laquelle je suis apparenté Front national au Parlement, mais je n’ai pas ma carte. Mais là, maintenant, je considère que plus rien ne s’oppose, vu la mise en retrait de Jean-Marie Le Pen à ce que j’aie ma carte. » On n’en attendait pas moins de ce Collard.

 

FLORIAN PHILIPPOT N’A JAMAIS VOTÉ JEAN-MARIE LE PEN

 

On est soulagé de l’apprendre. Florian Philippot dévoile, dans une interview, cette information sensationnelle : il assure n’avoir « jamais voté Jean-Marie Le Pen ». Il déclare avoir « voté blanc » lors du second tour de l’élection présidentielle de 2002, et ajoute « Je ne l’ai jamais diabolisé », soulignant : « Je ne vais pas dire que j’approuve tout ce qu’il a dit, bien évidemment, mais je lui reconnais un grand courage, celui d’avoir porté le thème de l’immigration très tôt, à un moment où ce n’était franchement pas facile ». Et Philippot de conclure : « on aurait mieux fait de l’écouter ».

Houlà, mais que se passe-t-il ? Philippot deviendrai-il humaniste à l’égard de Jean-Marie qu’il vouait aux gémonies trois jours plus tôt, déclarant, à la suite de ses propos à RIVAROL que « la solution préférable » était que le président d’honneur du FN parte « de lui-même » car « il s’est mis de lui-même en marginalité du mouvement ». Explication de texte : Philippot est mort de trouille à l’idée que le Chef commence à envisager de s’énerver d’importance à son encontre… Mais il n’en démord pas : Le Pen ne peut plus occuper un poste de direction au sein du FN, il doit « prendre du champ » dit-il avec arrogance.

 

JEAN-MARIE LE PEN A RENCONTRÉ LES NATIONALISTES EUROPÉENS

 

Il s’agit du premier pied de nez de Jean-Marie Le Pen à sa fille et à sa clique. Et sans doute pas le dernier, parions-le. Le président d’honneur du FN vient de rencontrer le 13 avril (et se faire prendre en photo, voir le site de Lionel Balland), au Parlement européen de Bruxelles des personnages considérés par la camarilla comme hautement sulfureux : le fasciste italien Roberto Fiore (Forza Nuova-Italie), Nick Griffin (Royaume-Uni) du British national Party et le député du parti ultranationaliste allemand NPD (que les âmes sensibles décrivent volontiers comme étant néo-nazi), le révisionniste Udo Voigt. Mais comment, diable, la camarilla pouvait-elle imaginer qu’un combattant comme Jean-Marie Le Pen se laisse poignarder dans le dos sans contre-attaquer ? Ils n’ont pas fini de souffrir…

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L’AUSTRALIE RÉSISTE ! “PAS QUESTION, VOUS NE SEREZ PAS CHEZ VOUS EN AUSTRALIE !

 

Le gouvernement australien vient de mettre en place les mesures de protection de ses frontières les plus sévères de tous les temps. Voici les textes des affichettes et de la propagande internet qu’il vient de diffuser :

– « Si vous montez sur un bateau sans visa, vous n’arriverez pas jusqu’en Australie.

– Toute embarcation qui cherche à gagner illégalement l’Australie sera interceptée et reconduite

hors des eaux territoriales.

– Ces règles s’appliquent à tout le monde : familles, enfants accompagnés ou non, travailleurs qualifiés.

– Peu importe qui vous êtes et d’où vous venez, vous ne serez pas chez vous en Australie. Pensez-y à deux fois avant de gaspiller votre argent, les passeurs sont des menteurs… »

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RUQUIER : “J’AI ENFIN COMPRIS LE CALVAIRE DU PRÉSIDENT

 

« J’ai compris enfin le calvaire qu’a vécu notre président de la République pendant des années ! » a plaisanté Laurent Ruquier sur le plateau de On n’est pas couché. Il y avait eu, une semaine plus tôt, un violent clash entre Valérie Trierweiler et Laurent Ruquier. Valérie, qui avait sans doute abusé de certaines substances ou n’avait pas bu que de l’eau, avait reproché à Laurent Ruquier d’avoir dit à l’antenne que François Hollande était le père de Léonard Trierweiler, propos qu’il n’avait jamais tenus. Folle de rage, pour des raisons parfaitement fantaisistes, elle avait enjoint à Ruquier d’« apprendre à parler distinctement » et à faire preuve de « rigueur sur l’essentiel ». « Amuseur public est aussi un métier, à défaut d’être journaliste », avait-elle conclu. Du coup, Ruquier s’est amusé à se déchaîner, quelques jours plus tard, sur le plateau de son émission, envoyant perfidement une invitation à Trierweiler : « Nous vous convions à venir parce que je crois que votre œuvre littéraire de grande journaliste sort en livre de poche. Je serais ravi de recevoir vos cours de distinction ». Amusant quand les cloportes invectivent les cloportes…

 

TENTATIVE D’ASSASSINAT EN FLANDRES DE NOTRE CAMARADE FILIP DEWINTER

 

Un homme masqué et armé s’est introduit au domicile de Filip Dewinter, l’un des leaders du Vlaams Belang, parti national flamand, très en pointe contre l’islamisation de la Flandre et de l’Europe. Filip Dewinter était absent au moment des faits, ce qui lui a probablement sauvé la vie. Mais l’une des filles de Filip Dewinter, enceinte, ainsi que son mari et leur petit garçon de trois ans, étaient dans la maison et ont échappé au pire. Lorsque l’individu masqué et armé s’est retrouvé face au gendre de Filip Dewinter, il lui a demandé dans un anglais approximatif si Filip Dewinter habitait bien là. Le gendre de Dewinter a nié et l’intrus s’est enfui. Une voisine qui avait remarqué l’intrusion avait appelé la police qui est arrivée trop tard pour interpeller l’individu. La police locale d’Anvers vient de confirmer la “menace” qui pèse sur Filip et assure enfin sa protection, et celle de sa famille.

 

SÉVÈRE REPROCHE D’ELKABBACH À LA SOEUR DE BHL: “POURQUOI VOUS N’ÊTES PAS RESTÉE JUIVE ?

 

Jean-Pierre Elkabbach recevait Véronique Lévy, la sœur de BHL, qui livre un témoignage de sa conversion au “catholicisme” (conciliaire). Il y eut comme un petit moment de malaise, le journaliste lui posant cette question en forme de reproche : « Pourquoi vous n’êtes pas restée juive ? » Réponse qui étonnera peut-être certains de nos lecteurs mais qui est tout à fait dans l’esprit de Vatican II : « Je suis restée juive en devenant catholique. Catholique veut d’ailleurs dire universel. Un chrétien est un juif accompli. » Elkabbach ne lâche cependant pas le morceau de Torah : « Vous dites “je suis devenue catholique parce que je suis juive”. Mais est-ce que l’avenir d’un juif c’est de se convertir au Christ, est-ce que ça ne sonnerait pas comme la fin du peuple de Moïse ? » Véronique Lévy réplique : « Non, pour moi, c’est un accomplissement absolu. » Et puis Elkabbach de monter au front, avec ces fortes paroles : « Mais il vaut mieux que pour les juifs leur destinée ne soit pas de se fondre dans des conversions qui les fassent disparaître pire que d’autres ont essayé de la faire ». Alors là, amis Rivaroliens, il a touché à l’essentiel, au grandiose ! Dernière minute : la vidéo de la chaîne Public Sénat où Elkabbach tenait ces propos vient de se volatiliser. Incroyable…

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici. 

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mercredi, 29 avril 2015

Destruction sociale et destruction culturelle

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Jean-Gilles Malliarakis L’Insolent cliquez ici

Certains se demandent parfois si la déconstruction culturelle, entraînant la trahison des élites, n'engendre pas des conséquences plus graves encore que l'arasement social, étranglant les classes moyennes et se traduisant par la perte du sens du travail et de l'entreprise.

Des deux processus de subversion et de décadence lequel doit-on combattre par priorité ?

L'actualité nous fournit sa réponse par la simultanéité de deux mouvements.

D'une part, ce 27 avril, les artisans, commerçants et autres travailleurs indépendants manifestaient leur légitime révolte contre les abus, contre les dysfonctionnements et, en bonne logique, contre le monopole du lamentable RSI. Ce "régime social des indépendants" a été créé sans véritable débat par le fourre-tout de la loi Fillon de 2003. Il fut mis en place, sans que personne ne s'en aperçoive, sauf les assujettis incorporés de force, sous la présidence Sarkozy. Droite et gauche peuvent donc s'enorgueillir de concourir  à la même nuisance.

Et, d'autre part, depuis la révélation de son projet d'abaissement des programmes scolaires par la citoyenne Vallaud-Belkacem, on peut aussi observer et nous devons soutenir de toutes nos forces, la protestation grandissante contre les atteintes tendant à effacer la culture classique et les langues européennes de l'école publique en France.

Dans un cas comme dans l'autre nous ne subissons peut-être pas la même opération, mais elle vient de la même famille d'opérateurs, poursuivant un même but, par le pouvoir des bureaux dont les ministres et sous-ministres ne sont que les communicants.

Ils ont alors bonne mine ceux qui voudraient seulement accélérer le rythme de ce qu'on désigne de manière trop vague et trop indistincte comme des "réformes", trouvant trop lent, trop lourd et trop incertain le pas destructeur de Monsieur Normal et de ses comparses.

Hypocritement le 24 avril, la citoyenne Vallaud-Belkacem, ce personnage incompétent, inculte et non-élu, qui fut promue, on ne sait pourquoi, ministre de l'Éducation, a osé produire un communiqué faisant semblant de concéder que "les débats sont légitimes"… mais que le 12 juin tout sera bouclé, après "consultation", consultation de pure forme cela va sans dire, "des" enseignants… (lesquels ?)

Dans un cas comme dans l'autre, on doit par conséquent cesser de demander des améliorations au monopole, qu'il s'agisse du monopole scolaire ou du monopole social : on doit combattre le monopole.

Le même jour, où s'étaient dressés des gens écrasés par la lourdeur des charges on apprenait les nouveaux chiffres du chômage, la belle réussite de Hollande depuis 3 ans.

Il faut vraiment se situer dans le sillage de l'étatisme et du conformisme le plus absolu pour faire encore semblant de s'interroger sur les causes, alors qu'elles ne datent pas d'hier, même si leur comptabilité officielle vient de franchir la barre symbolique et historique des 3,5 millions de chômeurs.

On peut se demander en fait combien de politiciens français ont daigné observer un bulletin de paie français qu'il s'agisse de celui d'un ouvrier professionnel, d'une caissière de supermarché, d'un cadre moyen ou supérieur. Inutile par conséquent de les inviter à comparer un tel document avec son homologue en Allemagne ou au Royaume Uni. Dans le gouvernement actuel, essentiellement composé de fonctionnaires, personne ne semble capable de comprendre à quel point le modèle social français "que le monde nous envie" tue l'emploi en France, à quel point le poids des charges sociales monopolistes ont fait sombrer l'économie privée française

Songeons aussi que le conseil d'orientations des retraites est composé de gens qui, sans être eux-mêmes assujettis au régime général, bénéficient de la garantie accordée aux privilégiés de la haute fonction publique.

On va fêter bientôt le 20e anniversaire du plan Juppé de 1995 : depuis cette date, l'État, ou plutôt l'étatisme de la haute administration a mis la main sur les régimes sociaux et en a évacué l'ombre de démocratie syndicale qu'ils étaient supposés intégrer.

Dans un cas comme dans l'autre il est temps d'en finir avec ces mini-dictatures de l'incompétence, de l'arrogance et de la jactance.

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Dimanche 7 juin, TOUS à Poitiers pour la 1ère Rencontre Charles Martel

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Le colloque de l'Institut Iliade sur l'esthétique européen samedi dernier à Paris

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L'entretien avec Carl Lang publié dans Synthèse nationale

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Voici l'entretien que Carl Lang, Président du Parti de la France, a accordé dernièrement à l'excellente revue Synthèse nationale (n°39, avril-mai 2015). Pour l'acheter en ligne, cliquez ici

Question : Carl Lang, vous avez été à deux reprises le Secrétaire général du Front national et vous avez été exclu par Jean-Marie le Pen pour vous être opposé à sa fille lors des élections européennes de 2009. Comment analysez-vous les récents déchirements entre JMLP et Marine Le Pen à la tête du Front national ?

Nous assistons à l’accélération du processus de normalisation politique et de soumission de Marine Le Pen à la dictature de la pensée unique. En refusant à Jean-Marie Le Pen l’expression de sa liberté d’opinion et de parole, elle espère continuer à s’attirer les bonnes grâces des maîtres de l’information et des médias. Elle a décidé de sacrifier son père sur l’autel de la soi-disant dédiabolisation et c’est pourquoi j’ai parlé d’une tentative d’euthanasie électorale et politique.

Ce que Madame Le Pen et son entourage ne comprennent pas est que la dédiabolisation est un mirage et une course sans fin pour complaire au système idéologique dominant et totalitaire. Après avoir liquidé Jean-Marie Le Pen, il faudra se débarrasser du FN qui est le mouvement de Jean-Marie Le Pen. Mais cela ne suffira pas : il faudra aller encore plus loin dans le reniement et l’allégeance. Après avoir abandonné le discours de droite économique et s’être alignée comme cela est déjà fait sur la bien-pensance laïciste, citoyenne et républicaine et le souverainisme de gauche, après avoir refusé de participer aux manifestations du combat pour nos valeurs de la Manif pour Tous, elle devra finir par abandonner la préférence nationale et la défense de l’identité nationale. En effet celles-ci ne sont pas compatibles avec les soi-disant valeurs de leur république socialiste. Et tout au bout de cette longue marche politique de la honte, Madame Le Pen aura encore un problème : elle s’appelle Le Pen.
Et puis, au-delà de l’aspect politique et du reniement de nos valeurs, nous assistons au lamentable spectacle de l’infamie morale.

Toutes les sociétés humaines se fondent sur le premier socle qui est le socle familial. Dans les sociétés chrétiennes cela s’exprime par le quatrième commandement du Décalogue : « Tu honoreras ton père et ta mère ».

Marine Le Pen doit politiquement tout à son père qui l’a embauchée au service juridique du Front National et imposée dans les instances dirigeantes et ce, contre l’avis de nombreux cadres du Front National durant les années 2000. Lors du Congrès de Nice en 2003, Marine Le Pen qui a été classée 34ème à l’élection du comité central fut nommée vice-présidente du FN et donc membre du Bureau Exécutif par son père. Au congrès de 2007, Bruno Gollnisch voit disparaître la délégation générale dont il était le responsable et se retrouve relégué à une fonction de vice-président exécutif chargé des affaires internationales alors que Madame Le Pen est nommée par son père vice-présidente exécutive chargée de la direction du Front National. J’avais à l’époque résumé la nouvelle situation de la direction par la formule suivante : « Il y a dorénavant une vice-présidente exécutive et un vice-président exécuté ».

Je n’oublie pas non plus la manière ignoble dont notre amie Marie-France Stirbois, militante et élue exceptionnelle a été traitée pour s’être opposée dès le début avec lucidité et courage au double jeu et aux impostures de Marine Le Pen. Marie-France est décédée suspendue du FN mais pas exclue car Jean-Marie Le Pen ne trouvait pas de majorité au Bureau exécutif ou au Bureau politique pour l’exclure. L’ancien président du FN a ainsi épuré de manière systématique, impitoyable et sans aucun état d’âme tous ceux qui osaient contester les ambitions ou les idées de sa fille. Ce n’était plus le Front National et la préférence nationale mais le Front familial et la préférence familiale. Et puis, cerise sur le gâteau, Jean-Marie Le Pen a soutenu ouvertement et totalement sa fille contre Bruno Gollnisch à l’occasion de la grande mascarade du congrès de succession à la présidence du Front National. Chacun se souvient des formules élégantes du style : « il arrive que les dauphins s’échouent sur les plages » ou bien « on ne compare pas une 2 CV à une Formule 1 », etc…

La tentative de mise à mort électorale et politique de Jean-Marie Le Pen par sa fille est, dans ce contexte, particulièrement infâme. Il est bien évident que Jean-Marie Le Pen ne récolte que ce qu’il a semé et qu’il a lui-même creusé le trou dans lequel sa fille veut le jeter, mais la preuve est faite que Marine Le Pen ne respecte rien ni personne, ni même le père à qui elle doit tout. Elle portera toute sa vie l’infâme souillure de ce parricide politique et le discrédit moral définitif qui l’accompagne.

Cela faisait 35 ans que les partis du système rêvaient de se débarrasser de Jean-Marie Le Pen qui avait échappé jusqu’à présent à tous les peletons d’exécution médiatiques. Personne n’aurait pu imaginer que le coup de grâce lui soit porté par sa propre fille. Quelle jubilation pour tous les ennemis de la cause nationale.

Question : Quel est selon vous à ce stade la marche de manœuvre de Jean-Marie Le Pen ?

Elle est très faible. La peine de mort électorale a déjà été appliquée car il a dû renoncer par la force à sa candidature en PACA au profit de sa petite fille qui s’est d’ailleurs empressée d’indiquer quelle ne voulait pas d’un « ticket » avec Bruno Gollnisch. Bruno fera ainsi partie de la même fournée que Jean-Marie Le Pen. Ite missa est.

Jean-Marie Le Pen qui est le dos au mur en est réduit à essayer de survivre politiquement en sauvant la présidence d’honneur du parti qu’il a fondé en 1972 et dont il a été le président durant 40 ans. Je pense qu’il dispose d’arguments statutaires et juridiques solides. Par ailleurs la multiplication des mises en examen dans l’entourage de Marine Le Pen devrait l’inciter à réaffirmer son rôle de président d’honneur en exigeant des explications sur ces affaires et la mise en place d’un audit sur le financement des campagnes électorales ainsi que la création sous sa présidence d’honneur d’une commission d’enquête…

Mais je ne connais pas quel est son niveau de détermination et comme disait un célèbre humoriste : « En termes de prédictions l’avenir c’est compliqué ».

Question : Compte tenu de l’évolution du FN comment voyez-vous l’avenir de la droite nationale ?

Une chose est acquise aujourd’hui, M. Philippot et Madame Le Pen ne représentent plus les idées ni les valeurs de la droite nationale française. Leur populisme de gauche, leur souverainisme de gauche et leur démagogie électoraliste les ont classés dans le camp de l’imposture. Je pense souvent, puisque Monsieur Philippot se dit Gaulliste, à nos compatriotes pieds noirs qui en 1958 acclamaient de Gaulle en croyant qu’il allait sauver l’Algérie française alors qu’il avait déjà décidé de l’abandonner et de la livrer aux tueurs du FLN en trahissant ainsi tous ceux, militaires et civils, qui s’étaient rangés du côté de la France. Le Gaullisme est décidemment une belle école de l’imposture politique.

Le Front national canal historique dont je faisais partie avec fierté défendait des convictions même si celles-ci n’étaient pas populaires. Marine Le Pen ne défend que ce qui est populaire ou dans l’air du temps et ce, quelles que soient les convictions.

Entre les reniements politiques et personnels, l’allégeance idéologique à la pensée unique, la démagogie grossière et les mises en examen de ses proches, on peut dire que le parti de Madame Le Pen est vraiment devenu un parti comme les autres. Elle est entrée de plain pied dans le système UMPSFN, le système de la bande des trois.

Lorsque j’ai fondé avec de nombreux anciens cadres du Front National le Parti de la France, j’avais indiqué publiquement que je n’avais aucune confiance ni politique ni personnelle en Marine Le Pen. Les faits ne cessent de nous donner raison.

Voilà pourquoi il est plus que jamais nécessaire d’œuvrer à la refondation de la droite nationale et c’est la vocation du Parti de la France. Notre porte est ouverte à tous les nationaux qui veulent défendre nos valeurs européennes et chrétiennes de civilisation, notre identité nationale, le droit du peuple français à rester lui-même et à disposer de lui-même, notre programme de droite économique et notre projet de patriotisme social.

Il est temps que tous ceux qui veulent mener la bataille politique, culturelle et historique de résistance nous rejoignent. Ne soyons pas les spectateurs de la débâcle française.

Nous pourrons ainsi défendre ensemble notre idéal, nos valeurs, nos convictions, nos familles, notre France et notre Europe.

C’est notre devoir et ce sera notre fierté.

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mardi, 28 avril 2015

Combien vaut la survie d’un trafiquant ?

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de Philippe Randa

En 2007, le français Serge Atlaoui a été condamné à mort en Indonésie pour avoir travaillé à la construction d’un laboratoire clandestin d’ecstasy. Depuis huit ans, il hantait les couloirs de la mort, mais son ultime recours en révision vient d’être rejeté.

Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon lui-même a demandé aux autorités locales de ne plus avoir recours à la peine capitale. Une dizaine de condamnés sont ainsi dans l’attente de leur exécution. Partisans et adversaires de la peine de mort s’affrontent donc à nouveau. Mais si le gouvernement indonésien devait commuer en détention perpétuelle les peines de tous les condamnés ou d’une partie seulement d’entre eux, cette clémence ne serait-elle pas perçue comme un signe de faiblesse, voire de soumission à des puissances étrangères ? Prendra-t-il le risque ?

En février dernier, Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères, avait plaidé sa cause… sans succès ! Depuis, c’est François Hollande lui-même qui intervient pour sauver sa tête, brandissant des menaces de « conséquences diplomatiques » (sic !).

Et si les Indonésiens avaient tout simplement négocié depuis huit ans la survie de Serge Atlaoui dans leurs geôles pour répondre à des marchandages bassement politiciens de nos élus, soucieux de grapiller le moment venu quelques points de popularité dans les sondages ? Cela n’avait pas trop mal réussi au précédent locataire de l’Élysée lorsqu’il s’était agi d’infirmières bulgares incarcérées en Libye…

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lundi, 27 avril 2015

La 3e Journée régionale (Flandre-Artois- Hainaut) de Synthèse nationale à Nieppe près de Lille

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Luc Pécharman, délégué de Synthèse nationale à Lille, ouvre la séance. Première table-ronde : Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, Robert Spieler, chroniqueur à Rivarol, et Arnaud Raffard de Brienne, essayiste...

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Toute la journée, les stands ne désemplissent pas...

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Seconde table-ronde : Hervé Van Laethem (Nation -Belgique), Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Luc Pécharman, Konstantinos Boviatsos (L'Aube dorée, Grèce) et un camarade de la revue Zénit qui assurait la traduction...

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Et le célèbre groupe Frakass a terminé la journée en beauté en nous offrant un concert acoustique  pour le plus grand plaisir des nombreux jeunes patriotes présents.

13:23 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Malgré les perfides tentatives du pouvoir pour empécher sa tenue, la 3e Journée régionale nordiste de Synthèse nationale a reporté un franc sussès...

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A la tribune, lors de la première table-ronde : Thomas Joly, Robert Spieler, Luc Pécharman, Arnaud Raffard de Bienne

Une fois de plus, une minable manœuvre a été tentée cette fin de semaine pour empêcher la bonne tenue de la  journée régionale annuelle de Synthèse nationale dans le Nord.

On se souvient qu'il y a deux ans la salle que nous avions retenue pour la première édition de ces rendez-vous militants nous avait été "sucrée" au dernier moment par le pleutre maire de Marcq-en-Baroeul cliquez ici qui avait lamentablement cédé aux injonctions de l'officine stipendiée SOS-Racisme. En catastrophe, nous avions alors trouvé une salle de remplacement dans laquelle nous avons, depuis, tenu nos journées régionales.

L’an dernier, à la veille de notre deuxième journée, quelques barbouillages nocturnes avaient dégradé les murs avoisinant mais il en faut plus que ça pour nous impressionner.

Cette année les larbins du Système ont sournoisement tenté un stratagème qui a, lui aussi, lamentablement échoué. En effet, vendredi dernier le directeur de la salle a été informé par la police que son local ne correspondait plus aux normes en vigueur (la commission de contrôle avait pourtant récemment apprécié la bonne tenue des lieux) et que, par conséquent, il fallait annuler notre réunion de dimanche. Dont acte, puisque la salle prévue n’est pas autorisée à recevoir une réunion publique, une autre salle voisine qui appartient au même propriétaire, peut, elle, recevoir une réunion privée. Sans que personne ne s’en soit rendu compte, notre réunion qui avait été publiquement annoncée s’est donc privativement tenue.

C'est donc dans une ambiance amicale que s'est déroulée la 3e Journée régionale (Flandre, Artois, Hainaut) de Synthèse nationale ce dimanche 26 avril à Nieppe, près de Lille, en présence d'une centaine de participants, et cela malgré les fourberies du pouvoir socialiste en place.

Ironie du sort, le thème de cette réunion était "La liberté menacée". Les intervenants qui se succédèrent au cours des deux tables-rondes animées par Luc Pécharman purent donc dresser un véritable réquisitoire contre la clique Hollande-Valls-Taubira qui est actuellement sensée gouverner la France et qui semble plus préoccupée par ses obsessions antifascistes que par le bien être de notre peuple. 

Dès l'ouverture le public était au rendez-vous. Plusieurs stands associatifs et politiques l’attendaient, comme ceux du Parti de la France, de Terre et peuple, des associations identitaires flamandes, de Rivarol, d'une librairie nationaliste et bien-sûr celui de Synthèse nationale qui présentait le nouveau numéro (n°39) de la revue. De nombreux nouveaux abonnements furent d'ailleurs enregistrés.

Au cours de la première table-ronde, en tout début d'après-midi, prirent la parole successivement Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, venu en voisin puisqu'il est un ancien élu de Picardie, Robert Spieler, le fameux chroniqueur de l'hebdomadaire Rivarol qui vient de faire parler de lui en publiant un entretien avec Jean-Marie Le Pen, et Arnaud Raffard de Brienne, essayiste et spécialiste de la désinformation.

La seconde table-ronde avait une dimension européenne puisque Synthèse nationale recevait deux amis venus de Grèce et de Belgique. A savoir Konstantinos Boviatsos de l'Aube dorée, qui nous exposa la situation peu enviable pour ses compatriotes en général et pour ses camarades en particulier qui sont victimes d'une hallucinante répression, et Hervé Van Laethem, du mouvement belge francophone Nation, qui petit à petit réussit à s'imposer en Wallonie et cela malgré les manœuvres peu reluisantes de la police belge.

Enfin, il revenait à Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, de conclure les travaux de cette journée. Il demanda à Konstantinos Boviatsos de bien vouloir transmettre aux dirigeants de son mouvement actuellement emprisonnés un fraternel message de solidarité de la part de l'assemblée présente et il termina en appelant l'ensemble des militants et sympathisants nationalistes et identitaires présents, quelles que soient les organisations auxquelles ils appartiennent à amplifier sans cesse leur combat pour sauver notre civilisation européenne.

La journée s'est terminée par un concert acoustique du groupe Frakass qui enchanta les nombreux jeunes présents.

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Nous publierons dans la semaine d'autres photos sur cette belle réunion de Synthèse nationale dans le Nord..

03:21 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 26 avril 2015

SORTIE DU N°39 (Avril-Mai 2015) DE LA REVUE SYNTHESE NATIONALE

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112 pages - 12 €

AU SOMMAIRE :

Contre le Système : devoir de dissidence ! Roland Hélie

Tentative d’assassinat à Anvers contre Filip Dewinter

Temps obscurs, avenir incertain… Patrick Parment

Moi je mange à la cantine… Marc Vidal

Pour en finir avec «Charlie» Charles-Henri d’Elloy

En finir avec le pseudo «islamo fascisme» Guirec Sèvres

Entretien avec Carl Lang Propos recueillis par Anne Ravinet

Aviation : une Europe qui gagne ! Jean-Claude Rolinat

Faut-il sacrifier le dimanche au profit des marchands

et du « vivre-ensemble » ? Arnaud Raffard de Brienne

« La saga de l’oncle Sam » Pieter Kerstens

Les pages du Marquis  Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

Livres : Quand le Marquis se met à table… Aramis

Jacques Laurent revient, et c’est tant mieux Francis Bergeron

Mannerheim, le Maréchal qui sauva la Finlande Robert Spieler

Lectures au crible Georges Feltin-Tracol

Dynastie luxembourgeoise, les «anti modernes» ?

Errements et grandeur des Bourbon Parme

L’actualité de Synthèse nationale

ABONNEZ-VOUS EN LIGNE : CLIQUEZ-ICI

6 numéros : 50 € - Europe : 60 €

Reste du monde : 70 € - Soutien : 100 €

BULLETIN D'ABONNEMENT

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Immigration : les Européens doivent se réveiller et agir

unnamed1.jpgYann Vallerie

Pas une journée ne se passe sans que les côtes de la Méditerranée ne soient submergées dans leur versant européen par des hordes d’africains, qui ont fait de l’Europe leur nouvelle cible de guerre. Car quelles que soient les raisons – humanitaires, économiques, ou guerrières selon les plans de l’Etat Islamique – de leurs assauts répétés, et bien que derrière chaque africain tentant de rejoindre l’Europe se trouve une histoire, un passé, une aventure personnelle, il s’agit d’une guerre menée, collectivement, à l’Europe, à notre civilisation.

Face à cette nouvelle marée noire, sans précédent dans l’histoire et qui fût en son temps prédite par Jean Raspail dans « Le camp des saints », politiques et médias cherchent à nouveau à faire pleurer les familles d’Europe, à les culpabiliser et à les responsabiliser au « devoir d’accueil » au nom de l’humanité dont toute l’Europe devrait faire part. Ces journalistes, ces responsables politiques, agissent ainsi en criminels, car pour chaque bateau qu’ils laissent rentrer sur notre sol, notre terre d’Europe, c’est une graine de la guerre civile à venir qu’ils sèment.

Comment en effet tolérer plus longtemps que des centaines de milliers, et pourquoi pas des millions d’africains arrivent chez nous, bénéficient de droits automatiques, sans consultation des populations censées les accueillir ?

Comment accepter un réfugié, un immigré de plus – à l’heure où les pays d’Europe subissent, surtout à l’Ouest, de profonds changements ethniques et identitaires ?

Comment ne pas se révolter en sachant pertinemment que parmi ces réfugiés, ces futurs demandeurs d’asiles, et ces futurs détenteurs de papiers européens en puissance, se cachent des individus qui porteront le Djihad et la guerre sainte sur notre sol ?

Comment se résigner à voir une Europe ne devenir qu’un agrégat de civilisations et d’ethnies n’ayant rien en commun ?

Il est maintenant de notre devoir à tous – politiciens en tête – de se lever et de dire non à cette politique d’immigration folle. Il faut détourner les bateaux et les renvoyer à leurs expéditeurs. Qu’importe leur sort, cela ne nous regarde pas, nous, peuples d’Europe. Il faut également songer à bombarder, une bonne fois pour toutes, les bases de ceux qui se servent de l’immigration comme d’un chantage fait à nos patries. Voilà qui rachèterait au moins en partie les guerres absurdes dont nous payons les conséquences aujourd’hui, menées en Libye notamment. Il faut enfin laisser les Africains construire leur continent comme ils le souhaitent, et leur dire une bonne fois pour toute la vérité, comme le réclame Bernard Lugan.

Face à la marée noire d’Afrique, les côtes d’Europe doivent se garnir de milliers d’Européens debout afin de préserver leur continent et leur civilisation.

Il s’agit d’accomplir notre devoir, et de prendre nos responsabilités face à l’histoire.

Source La Ligue du Midi cliquez ici

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samedi, 25 avril 2015

RAPPEL : dimanche 26 avril, 3e Journée régionale de Syntnèse nationale à Nieppe (près de Lille)

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Tract à imprimer et à diffuser cliquez ici

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Pour télécharger, cliquez ICI

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Le communautarisme, une solution ? Un entretien Martial Bild / Julien Rochedy sur TV Libertés

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vendredi, 24 avril 2015

Dans le n°39 de la revue Synthèse nationale : un grand entretien avec Carl Lang, Président du Parti de la France

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23:24 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 26 avril 2015 : FRAKASS en concert lors de la 3e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale

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Un entretien avec Anne Kling publié dans Présent

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Anne Kling a écrit une demi-douzaine de livres dont plusieurs sont consacrés à "l’antiracisme" institutionnalisé et à l’influence de certaines organisations comme la LICRA et le CRIF dans la vie politique de notre pays. Il y a quelques semaines est sorti son nouveau livre : Shoah, la saga des réparations. Un sujet peu connu jusque là. Voici le texte de l’entretien qu’elle a eu avec le quotidien Présent sur ce livre.

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Entretien publié dans Présent cliquez ici du 21 avril 2015

- Quelle a été votre motivation pour écrire ce livre ?

Ce livre constitue la suite logique de ceux qui l’ont précédé. Au départ, en 2000, j’ai été amenée à m’intéresser aux agissements de la LICRA lorsque j’ai été, par ses bons soins, renvoyée en correctionnelle pour avoir tenu dans un tract des propos aussi évidents que ceux-ci : "Non seulement les violences urbaines progressent, mais elles changent de nature, devenant de plus en plus le fait de mineurs, ce qui est nouveau et inquiétant. Osons le dire: ces jeunes violents, dans une forte proportion, sont des Français issus de l'immigration maghrébine et africaine, culturellement mal assimilés et socialement mal intégrés. C'est une réalité, pas un fantasme". A l’époque, il était strictement interdit d’énoncer de telles vérités et la LICRA jouait avec zèle son rôle de chien de garde. Aujourd’hui, on a davantage le droit de le dire, pour certaines raisons liées à l’antisémitisme qui monterait, nous dit-on, dans les quartiers dits sensibles.

Toujours est-il qu’après m’être penchée sur les origines communistes de la LICRA, j’ai poursuivi avec les révolutionnaires juifs bolcheviques. De fil en aiguille, j’ai élargi mes recherches au CRIF, puis aux menteurs de la shoah. Ceux-ci m’ont conduite presque naturellement à me pencher sur  l’historique des sommes astronomiques déboursées par les contribuables européens depuis 70 ans au titre de l’inextinguible repentance.

- La page de couverture représente le fameux tonneau des Danaïdes. Cela veut-il signifier que nous sommes condamnés à une repentance et des réparations ad vitam aeternam ?

Ad vitam aeternam je ne sais pas, car qui peut prévoir l’avenir ? Mais en tout cas, pour le moment, le filon continue à être très largement exploité. Voyez les dernières exigences concernant la SNCF. Et cela fait 70 ans que ça dure. Dans mon livre, j’explique le contexte des premières restitutions et compensations intervenues dès la fin de la guerre. En 1952, les accords « historiques » avec l’Allemagne d’Adenauer ont semblé mettre un terme à la question. Et durant les premières décennies d’après-guerre, on ne parlait quasiment plus de ce qui sera appelé plus tard la shoah. Mais tout a changé en 1967, lorsque la guerre des Six Jours a démontré à la diaspora l’urgence de soutenir Israël. La shoah s’est révélée à ce moment-là un très puissant levier à la fois politique et financier. A partir des années 1980/90, sous la houlette du nouveau président du Congrès juif mondial, Edgar Bronfman, les réclamations auprès des pays européens ont atteint des niveaux inédits. Et sans cesse dépassés.

- Comment définiriez-vous cette "religion de la Shoah" ?

Disons d’emblée que cette « religion » n’a pas grand-chose à voir avec le spirituel, mais tout avec le matériel. Elle s’est développée après 1967, soit plus de vingt ans après la fin de la guerre. L’Etat hébreu, présenté comme entouré d’ennemis, a alors été dépeint comme peuplé essentiellement de rescapés des camps. Qui était à l’origine des malheurs de ces derniers ? Les pays européens, naturellement. Ceux-ci devaient donc soutenir Israël à fond pour tenter de se faire pardonner leurs errements passés. Au fil des ans, les médias aidant largement, les souffrances juives, sans cesse ressassées, sont passées de spécifiques à uniques. Puis à indicibles. Quoique indicibles, elles continuent pourtant à faire parler chaque jour que Dieu fait. Il est clair qu’Israël et la diaspora ont bel et bien réussi à installer la shoah au cœur du discours public du monde occidental. Cette « reconnaissance » s’est naturellement accompagnée des exigences  financières que nous ne connaissons que trop.

- Quel est l'intérêt pour les Etats-Unis d'un tel suivisme des organisations juives voulant imposer la shoah ?

Que les organisations juives américaines aient un intérêt évident à imposer obsessionnellement la shoah est facile à comprendre. Quoique n’ayant nullement souffert de la guerre, elles ont pris en main ce business car elles en ont mesuré toutes les opportunités. Elles n’ont en effet pas été longues à découvrir que cette évocation obsessionnelle leur procurait les trois biens sociaux primaires définis par la sociologie américaine, les fameux trois P : Power, Property, Prestige. Trois P faciles à traduire : Pouvoir, Pognon, Prestige.

S’agissant du suivisme observé par les Etats-Unis, on peut trouver quelques éléments de réponse dans le système électoral américain, passablement compliqué, pour ne pas dire pervers. Car fortement lié à l’argent. Or, sans entrer dans les détails, le vote juif apparaît, à tort ou à raison, de nature à faire basculer le scrutin dans certains Etats clés. Et donc au niveau national. De plus, et peut-être surtout, la communauté juive remplit très largement les caisses des deux grands partis. Il en résulte que le soutien à Israël est central aux Etats-Unis et ne se voit jamais remis en question par aucun candidat. Le gagnant, quel qu’il soit, aura soin ensuite de renvoyer l’ascenseur aux organisations si généreuses en favorisant autant qu’il le pourra leurs objectifs. Et ce, d’autant plus volontiers que l’addition sera payée par les Européens.

De toute façon, les dirigeants américains ont compris eux aussi tout l’intérêt qu’il y avait pour eux à entretenir la culpabilité obsessionnelle et l’auto-flagellation permanente des pays européens. C’est un excellent moyen de maintenir le vieux continent en état de vassalité. Une vassalité à laquelle souscrivent les « élites » européennes, trop heureuses de courber l’échine devant les diktats venus d’outre-Atlantique. Nous en avons des exemples innombrables. Il y a donc clairement convergence d’intérêts entre ces partners que sont organisations juives et dirigeants yankees.

- Comment faire pour que les peuples européens en finissent avec cette "prison" construite par ces organisations juives et les Etats-Unis ?

La saga des réparations juives est fortement révélatrice de la faiblesse des démocraties européennes face au rouleau compresseur américain. Et de la veulerie très généralisée du personnel politique européen, incapable de dire simplement une bonne fois : ça suffit. Nous avons assez payé pour des faits commis il y a deux générations. Tournons définitivement la page et occupons-nous en priorité des injustices présentes. Il y a largement de quoi faire et de quoi employer efficacement l’argent public. Voilà le discours que de plus en plus de citoyens excédés aimeraient entendre.

Mais quel responsable politique aura le cran de tenir un tel discours ? Le moins que l’on puisse dire est qu’aucun héros de ce type n’apparaît à l’horizon. Ce serait à la droite dite nationale de le faire, en France, mais elle s’est désormais embarquée dans de tels efforts effrénés de normalisation qu’il ne faut malheureusement plus rien en attendre. Car n’ayons garde d’oublier que la dédiabolisation tant vantée n’est en fait rien d’autre qu’une soumission au dogme dominant. La récompense en étant  le large accès aux médias que l’on peut constater.

Propos recueillis par Louis Pasquerel

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jeudi, 23 avril 2015

L’Italie submergée

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Xavier Eman Présent cliquez ici

Les drames liés à la pression migratoire chaque jour croissante ne cessent d’endeuiller les côtes italiennes. Les cadavres que charrie la Méditerranée sont le terrible et tragique révélateur d’une situation de plus en plus intenable : l’explosion ces derniers mois de l’arrivée, dans des conditions toujours plus précaires, d’immigrés clandestins en provenance d’Afrique. Plus de 11 000 pour la seule première quinzaine d’avril ! Une situation dont les Italiens rendent en partie responsables – non sans une certaine légitimité – la France et plus particulièrement l’ex-président Nicolas Sarkozy et son ministre des Affaires étrangères-bis Bernard-Henri Lévy qui, en déstabilisant la Libye et en faisant assassiner le président Kadhafi, ont fait sauter le dernier verrou contrôlant des flux migratoires de plus en plus massifs.

C’est désormais le plus grand désarroi qui règne dans une Italie déjà lourdement frappée par la crise économique et en cours de paupérisation. Le peuple italien, écartelé entre son émotion face aux drames du canal de Sicile et son exaspération devant le chaos suscité par l’afflux de clandestins, se sent abandonnée par l’Union européenne et par ses voisins. Dans les grandes villes, les couches populaires ont de plus en plus de difficultés à accepter de voir des établissements publics récemment fermés pour causes de restrictions budgétaires (maisons de retraite, centres sociaux, crèches…) rouvrir subitement pour accueillir des immigrés clandestins, et les incidents ne sont pas rares entre les communautés.

Des gouvernants sans réponses

Face à cette situation de plus en plus explosive, le gouvernement de Mateo Renzi semble totalement dépassé, se bornant à des discours larmoyants et des « appels à la solidarité » qui recoupent largement les déclarations des autorités de l’Eglise catholique. Celles-ci ne parviennent en effet pas à dépasser les imprécations sur « l’accueil » et la « charité », dans l’acception la plus étroite et la plus aveugle de ces deux termes, se refusant à considérer les drames innombrables que risque de provoquer dans l’avenir proche une « charité » inconséquente et déconnectée des réalités politiques et sociales.

Pour sa part, Matteo Salvini, le chef de file de la Ligue du Nord, parti identitaire et anti-immigration, a déclaré : « Qu’est-ce qui a changé en 18 mois à Lampedusa ? Faudra-t-il encore 700 morts pour se décider à bloquer les départs des bateaux de migrants ? Si les institutions de l’Union européenne ont un tant soit peu de bon sens, elles doivent organiser un blocus maritime et déterminer qui est un véritable réfugié et qui est un immigré clandestin. C’est l’hypocrisie de Renzi (ndlr : le président de centre gauche du Conseil italien) et d’Alfano (ndlr : le ministre de l’Intérieur de centre droit) qui provoque ces morts ! »

Une colère partagée par Simone Di Stefano, le vice-président du mouvement de la droite radicale Casapound Italia qui, de son côté, a affirmé : « L’Europe nous a abandonné. Il est temps de se rendre en Libye et d’occuper militairement la côte d’où partent les barges de clandestins, c’est la seule solution ! Sans cela, rien n’arrêtera une invasion qui a déjà franchi depuis longtemps le seuil de tolérance. Le peuple italien n’en peut plus, il faut agir. »

Une déclaration vigoureuse qui tranche avec l’impéritie du pouvoir italien et ses impuissantes jérémiades, le président de la région Toscane appelant même les Italiens, à « ouvrir leurs maisons aux réfugiés ».

Quant aux « responsables » de l’Union européenne, ils ont annoncé qu’ils allaient « se réunir très rapidement », sans doute jeudi, pour trouver les réponses qui s’imposent, mais, comme le dit avec justesse l’écrivain et militant de la droite radicale Gabriele Adinolfi, « comment ose-t-on ainsi nous avouer que l’on n’a pas encore réfléchi sérieusement à une question qui se pose depuis des années et met en cause, non seulement la sécurité des migrants, mais aussi l’identité des Européens » ? Une nouvelle démonstration, encore plus tragique que les autres car souillée de sang, de l’incapacité des institutions bruxelloises à gérer efficacement les dossiers les plus sensibles pour l’avenir des peuples européens qu’elles prétendent représenter.

10:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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L'école privée... de liberté, le livre de Pierre de Laubier désormais diffusé par Synthèse-éditions

couv2encorereduite.jpgDe plus en plus de parents se tournent vers l’enseignement privé malgré leur indifférence envers la foi catholique. Que reste-t-il alors du « caractère propre » des écoles privées ? Devenu professeur dans un établissement parisien, l’auteur a pu observer la situation de l’intérieur. Il raconte son expérience… riche en faits bizarres et inquiétants.

Les empiétements de l’Etat sur les libertés de l’école privée sont connus. Ce qui l’est moins, c’est le rôle de directions diocésaines laïcisées, bureaucratisées, voire noyautées.

La lumière est faite ici sur les agissements d’organismes opaques et illégitimes qui ont confisqué la liberté d’écoles qu’on n’ose plus qualifier de libres. Au point que les catholiques convaincus s’y sentent désormais considérés comme des gêneurs. L’auteur ne raconte ici rien d’autre que ce qu’il aurait aimé savoir quand il n’était qu’un vulgaire parent d’élève. Un document choc qui pose la question : l’enseignement catholique sert-il encore à quelque chose ?

L'école privée... de liberté, Pierre de Laubier, 165 pages, 11,00 € (+ 3,00 € de port)

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