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mercredi, 22 juillet 2015

Le trotsko-lambertisme à l'agonie ?

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Patrick Gofman*

Oui. C'est ce que proclament – avec une jubilation craintive et avide – les boutiquiers d'en-face : NPA de Besancenot, Médiapart et compagnie. « Crise sans précédent du lambertisme : l'explosion du POI [Parti ouvrier indépendant] est en cours », titre "Nina Pradier" le 9 juillet 2015 sur le site Tendance claire (NPA) cliquez ici.

…Avec cette comparaison : « Même l'exclusion [en 1984] de Stéphane Just, le n° 2 de l'OCI [Organisation communiste internationaliste], (…) avait frappé "seulement" 150 militant-e-s (sic)…»

"Nina" oublie qu'en 1986 Monsieur le Camarade Jean-Christophe Cambadélis avait embarqué environ 500 militants au Parti "socialiste" ; anéantissant les "fractions" jeunes et étudiants de la secte Lambert. Qui ne s'en est jamais remise : une réunion du POI, héritier dégénéré du lambertisme, c'est désormais le goûter des cheveux blancs.

Mais quel est donc l'événement "sans précédent" qui soulève l'enthousiasme au NPA, avec l'espoir non dissimulé de ramasser les morceaux ?

Il est vrai qu'il n'est pas mince : Monsieur le Camarade Daniel Gluckstein, président à vie débauché de la LCR de Krivine et promu par Boussel dit Lambert il y a 35 ans (à la fureur muette des vétérans soumis), vient d'être mis en minorité ! Un tiers seulement de ses quelque 4 000 adeptes soutient son opposition au virage "trade-unioniste" voulu par la majorité – c'est-à-dire l'adaptation étroite à la seule réussite du lambertisme, le noyautage, "l'entrisme" dans les syndicats, Force ouvrière en particulier.

Le conflit bureaucratique est violent, comme toujours dans la secte. Et il pourrait bien déboucher sur une scission massive… à l'échelle sectaire.

Mais au NPA on ne peut pas, ne veut pas comprendre que le trotskisme "à l'agonie" est en fait déjà mort ; qu'il n'était qu'un appendice du stalinisme, et qu'il l'a suivi dans la tombe.

Le plus probable est donc que nous ayons bientôt un groupuscule de plus, et plus encore d'impuissance et de dégénérescence dans le tout petit monde du marxisme dogmatique et opportuniste.

« Tout ce qui naît est digne de périr », écrivait déjà l'ancêtre Hegel. Alors c'est Georges Brassens qui montre le sentier lumineux : « Il creusa lui-même sa tombe, En faisant vite, en se cachant, Pour ne pas déranger les gens. »

(*) L'auteur de cet article – trotsko-lambertiste de 1967 à 1979 – est aussi celui d'un livre, "Le Trotskisme dégénéré". 18 € (3 € de port) sur papier aux éditions Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez là

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Cet ouvrage est aussi en vente 3,92 € en e-book "Kindle" @amazon.fr.

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mardi, 21 juillet 2015

EPIDÉMIE ? CE N’EST QU’UN DÉBUT

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Pierre Vial Président de Terre et peuple

Il m’a été reproché, par des représentants de la sacro-sainte légalité républicaine, d’avoir écrit que nous étions en guerre. Il paraît que cela constitue même une « incitation à la haine raciale » (sic). Ce qui soulève un léger problème – et va compliquer la tâche de mes éventuels persécuteurs – c’est que l’illustre Manuel Valls n’a pas dit autre chose, ainsi que l’ont répercuté les media, ce que tout un chacun peut vérifier. A vrai dire, il ne s’alignait pas sur les élucubrations d’un méchant fasciste mais n’exprimait là, tout bonnement, qu’une évidence.

En effet l’actualité apporte régulièrement un lot d’informations qui sont autant de confirmations de nos analyses. Prenons quelques exemples :

les trois individus arrêtés le 13 juillet (tiens ! La veille du 14… ça tombait bien pour le plan com du locataire de l’Elysée…) ont un « profil » qui « a de quoi interpeller » (Le Monde, 17 juillet). Agés de 17, 19 et 23 ans ils ont avoué préparer l’assassinat, filmé, des militaires présents sur le site de Port-Vendres (Pyrénées Orientales), en décapitant (c’est une manie chez les djihadistes) un officier du Centre national d’entraînement de l’armée de terre (CNEC). La tête pensante du groupe (un type de 17 ans, prénommé Ismaël) s’est dit « hypnotisé » par les vidéos djihadistes diffusées sur le Net. L’un de ses voisins a déclaré à la télévision qu’il « avait l’air d’un bon garçon » (ben voyons…). Quant à l’individu de 23 ans, un certain Djebril, c’est un ancien matelot de la marine française. Il illustre un phénomène capital dans le recrutement des djihadistes : ceux-ci peuvent facilement trouver des adeptes dans les rangs de l’armée compte tenu de la politique officielle de recrutement des militaires, qui privilégie les candidats « issus de la diversité » au nom de l’idéologie du « vivre ensemble ». C’est tout bénéfice pour les djihadistes que de trouver de nouveaux combattants bien formés sur le plan militaire, qui savent où il faut aller pour se procurer armes, munitions, tout en ayant repéré des cibles symboliques. Fait caractéristique : faute de pouvoir partir faire le djihad en Syrie ou ailleurs (car l’un d’eux était repéré par les services de renseignement) les trois terroristes ont voulu frapper sur le sol français, en application des consignes de l’Etat islamique adressées à ses partisans.

Etats-Unis : quatre militaires américains ont été tués, le 16 juillet, dans une base située à Chatanooga (Tennessee). Le tireur s’appelle Mohammad Youssef Abdulazeez. C’est « un Américain d’origine koweitienne » de 24 ans. Les autorités américaines se sont dépêchées d’affirmer qu’il serait « prématuré » de spéculer sur les raisons de la fusillade… Aux Etats-Unis comme en France et en Europe règne la même lâche hypocrisie : il ne faut surtout pas « stigmatiser » une certaine population.

11 juillet : le premier ministre serbe, qui cherche à tout prix à être bien vu des Eurocrates, a voulu faire acte de repentance en se rendant à Srebenica. Il a été lapidé par les musulmans de Bosnie au cri de « Allah Akbar ! ». Le ministre de l’intérieur serbe a parlé d’une « tentative de meurtre ». Certes. On aimerait apprendre à ces repentants la chanson « Ah il fallait pas, il fallait pas qu’il y aille, ah il fallait pas, il fallait pas y aller ».

- nuit du 5 au 6 juillet : vol de nombreux détonateurs et pains de plastic sur le site militaire de Miramas (Bouches du Rhône). A quelques kilomètres de là, à Berre-l’Etang, le 14 juillet, trois cuves d’hydrocarbures du site pétrochimique étaient visées par des dispositifs explosifs, dont deux ont provoqué un énorme incendie. Le ministre de l’intérieur Cazeneuve a affirmé devant l’Assemblée nationale qu’il s’agissait, certes, d’un « acte criminel » mais dont « la motivation n’est pas établie ». S’il le dit…

14 juillet : cette fête bien française et franchement républicaine a été agrémentée d’incendies et de destructions multiples et variées. Bien entendu, silence des media, qui préfèrent parler du tour de France.

NDLR : 17 commissariats ou gendarmeries attaqués en moins de 15 jours cliquez ici

PS : Le psychodrame grec est lourd de signification. Tsipras a dû passer sous les fourches caudines : « Le leader de la gauche radicale, épuisé, humilié, a dû accepter une liste de réformes d’une dureté qui heurte même les fonctionnaires européens – ils évoquent une mise sous tutelle de la Grèce. « C’est le catalogue des horreurs » écrit le magazine Der Spiegel. Le tout imposé à un chef de gouvernement élu sur un programme anti-austérité, anti- « troïka » - Commission de Bruxelles, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international -, anti-« diktat de Bruxelles » (Le Monde, 14 juillet). Une photo vaut parfois mieux que tous les discours : sur celle publiée par le quotidien que je viens de citer (page 6), on voit Christine Lagarde, patronne du FMI, passer derrière Euclide Tsakalatos, le ministre grec des finances, lors d’une séance à Bruxelles, et lui jeter un regard de haine. Mais la Grèce n’a peut-être pas fini de gâcher les nuits des Eurocrates de Bruxelles…

11:15 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le prix de la bêtise

2589545471.jpgLe billet de

Patrick Parment

Les agriculteurs français sont furieux, et pour cause, leur train de vie ne cesse de fondre comme neige au soleil et certains sont même en mode survie. Hier encore, grâce aux aides européennes, ils arrivaient à s’en sortir. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. 

Et, il est vrai qu’il n’est pas normal qu’un éleveur ou un producteur ne gagne pas décemment sa vie quand les branleurs qui tapotent sur un ordinateur branché sur les marchés financiers se goinfrent de bénéfices exorbitants. 

Le problème est que l’Europe, comme nous venons de le voir avec la Grèce, est une construction financière, monétaire et non charnelle qui n’en a rien à foutre des peuples et des économies locales. 

Comble de la bêtise, c’est cette même Europe, la France de Hollande en particulier,  qui a décidé un embargo contre la Russie pour complaire à Washington. Comble de l’ironie, cet embargo se retourne contre les européens et pénalise nos paysans qui voient débarquer, par exemple, du porc allemand destiné à l’origine à la Russie, à prix cassés, sur le marché français, pour la plus grande joie de la grande distribution française. Nos paysans sont pénalisés de tous les côtés de la chaîne. En un mot, on a ajouté de la crise à la crise. 

On aimerait savoir si, un jour, nous aurons, pauvres de nous, des politiques à la hauteur, moins stupides, pour rester poli, que les branquignols qui, du haut de leur incompétence, nous gouvernent. Et c’est ainsi qu’Allah est grand !

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lundi, 20 juillet 2015

Mort de Jean Lacouture : nécessaire rappel !

medium_communismepoubelle.jpgUn communiqué de Bernard Antony
Président de Chrétienté solidarité
 
« Manuel Valls en premier, toute la nomenklatura politico-médiatique bobo-gaucharde a rendu hommage au « journaliste » Jean Lacouture qui, à l’âge de 94 ans, a enfin rejoint dans leur au-delà Ho-Chi-Monh et Pol-Pot.
 
Jean Lacouture fut un habile collabo propagandiste qui, lorsque cela devenait trop énorme et même grotesque d’encenser de pareils criminels, sut juste à temps se raviser et émettre de judicieux salmigondis d’auto-critique « progressiste » et de repentance pseudo-catholique. Alors, la tartufferie régnante non seulement pardonnait à ce collabo-là mais l’honorait d’autant plus.
 
Après avoir aussi tranquillement passé les années de l’occupation allemande que son modèle Jean-Paul Sartre, Lacouture se débrouilla comme ce dernier, à la 11° heure et demi, pour s’auto-décerner les palmes d’une résistance… intellectuelle.
 
On sait combien ce résistancialisme était à vomir pour les véritables résistants de la première heure, pour la plupart sinon tous issus des rangs des droites nationales, cependant que le parti communiste célébrait l’alliance hitléro-stalinienne.
 
C’est ensuite dans la plus abjecte des collaborations propagandistes avec les abominations du communisme sous les masques de l’anticolonialisme que ce « chrétien de gauche » s’illustra durablement : dans Le Monde, le nouvel Observateur et autres médias audio-visuels de même facture.
 
Lacouture n’était pas de ces hommes de gauche anti-totalitaires qui avaient approuvé les propos et l’action libératrice décisive de l’héroïque Jules Moch, le grand ministre de l’Intérieur socialiste. Ce dernier, le 16 novembre 1948, devant faire face aux menées insurrectionnelles du parti communiste moscoutaire et de sa CGT, avait lancé dans son célèbre discours devant l’Assemblée Nationale : « Le bolchévisme est la plus gigantesque entreprise de dépravation de l’homme qui ait jamais existé ».   
 
Lacouture, lui, ne s’en était pas aperçu et au mépris donc de tout ce que l’on savait déjà des abominations du communisme et de ses relais subversifs, participait en très utile compagnon de route « chrétien » au système de désinformation marxiste-léniniste. Ce spécialiste parisien de l’Indochine encensa d’abord Ho-Chi-Minh autant qu’un Aragon glorifiant les crimes de son maître Staline.
 
Il devint bien sûr ensuite et simultanément un ardent prosélyte du FLN algérien dans le déni de réalité de ses attentats terroristes, de ses massacres de masse et cruautés sans limites.
 
Mais là où ce journaliste « chrétien » se hissa à un niveau d’abjection mensongère quasiment indépassable, ce fut dans la collaboration propagandiste avec les génocideurs communistes maoïstes du Cambodge.
 
Au mépris total de tout ce qui parvenait d’informations fiables sur leur entreprise de « régénération révolutionnaire » par les tortures aussi monstrueusement sadiques que celles des Jeunes-Turcs, et des charniers sans cesse ouverts, Lacouture louangeait les Khmers rouges comme Aragon la Tchéka et le Guépeou.
 
Il faut rappeler ce qui suit.
 
Le 14 avril 1975, le grand Soljenitsyne, dûment informé, lui, avait pu s’exprimer dans l’émission télévisée « Apostrophes » et annoncer les immenses abominations qui, dans la continuité des exterminations de masse lénino-trotskystes et stalino-maoïstes, allaient s’abattre sur le Vietnam et le Cambodge. Il suscita le scepticisme condescendant et ironique de Jean Daniel, le patron du nouvel Observateur, dégoulinant de sa suffisance de grand bourgeois de gauche.
 
Jean Lacouture, son éditorialiste, le dépassa très vite  dans le déni de réalité.  Quelques jours plus tard en effet, le 17 mai, les Khmers rouges s’emparaient de Pnom-Penh et en vidaient la population en de longues colonnes ne relevant pas d’un tourisme de masse… Le 30, le Viêt-Cong entrait dans Saïgon. On connaît la suite.
 
Peu après, au mois de mai, dans le nouvel Observateur, le « chrétien » Lacouture, si admiré par une grande partie de l’épiscopat français et de la cléricature « progressiste », osait se vautrer dans l’infâme ironie que voici : « Un observateur étranger est libre de juger inutilement expéditifs ou abusivement contraignants les procédés appliqués par les Khmers rouges au Cambodge ».
 
Il n’hésitait donc pas à commenter sans vergogne la déportation de la population comme « une audacieuse transfusion de peuple, le retour à la terre d’une masse citadine inorganisée, foisonnante et rapace ».     
 
Comment pouvait-il écrire une telle phrase sans peser que de très semblables propos avaient été émis pour justifier la déportation des Juifs !
 
Et deux ans plus tard, sous sa garantie morale, on pouvait encore lire dans Le Monde les propos de Pol Pot : « La situation du Cambodge est excellente, tant sur le plan du ravitaillement que sur celui de la sécurité ».
 
Comme, tout de même, l’énormité désinformatrice de ses assertions était de moins en moins tenable, et de plus en plus impossible le négationnisme du génocide, Lacouture s’avisa qu’il était temps pour lui, une fois de plus, de changer de positionnement. Avec trois ans de retard, sur les premières indéniables révélations de l‘atrocité, il découvrit enfin la réalité du génocide.
 
Il ne lésina pas alors à émettre un salmigondis d’auto-critique à la façon marxiste et de repentance à la manière catholique. Tant qu’à faire, il n’hésita pas à écrire : « Hitler et Staline étaient des timides comparés aux Pol Pot, Yen Sary et autres gribouilles sanglantes qui transforment le Cambodge en cimetière ». Dieu, qu’il avait fallu du temps à ce grand journaliste, à ce spécialiste très informé pour apprendre la réalité et dire la vérité ! Sur pareille chose et tant d’autres encore, on peut juger de la fiabilité informative du journal Le Monde.
 
Lacouture ayant héroïquement fait sa contrition pénitentielle et comme il était avant tout un grand humaniste de gauche, il put continuer d’autant mieux une belle carrière de grand journaliste. Il méritait bien l’hommage de ce grand défenseur de la vertu républicaine qu’est Manuel Valls.   

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Carl Lang nous parle de la crise grecque....

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dimanche, 19 juillet 2015

30 juillet - 2 août : université d'été de Civitas

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Pour en savoir plus cliquez ici

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Le député Jean-Frédéric Poisson revient de Syrie où il a rencontré le Président Bachar al-Assad

RAPPEL : un nouveau voyage organisé en Syrie début août

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 Pour en savoir plus sur le voyage du mois d'avril cliquez ici

Pour s'inscrire au voyage du mois d'août 06 05 60 56 79

ou écrire à : rcsfrance@gmail.com 

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Parution du nouveau numéro d'Eléments

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N°156 - 5,50 €

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samedi, 18 juillet 2015

Une conséquence de l'islamisation : la psychose se développe en région lyonnaise

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Le 4 juillet dernier, les convives d'un mariage à Anse (Rhône) se sont offert une bonne frayeur. Ils ont pris peur en voyant l'accoutrement de visiteurs qui n'étaient manifestement pas sur la liste des invités. Ces trois intrus étaient tranquillement installés dans l'église avec leurs djellabas...Il faut dire qu'il s'agissait en fait de trois pèlerins, en chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle et vêtus de toges blanches que les convives n'avaient pas identifiées. Ils avaient décidé de faire escale dans l'église de la commune, pour une halte spirituelle, malgré le déroulement de la cérémonie. Un passage qui n'a pas été du goût de tous. Certains invités, inquiets de cette présence inhabituelle, ont contacté le service de gendarmerie qui a débarqué sur les lieux pour interroger ces étranges visiteurs.

La gendarmerie appelée à la rescousse

« Les individus ne se sont pas du tout montrés agressifs, bien au contraire. Ils ont dit être habillés en apôtre et faire le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle », a précisé la gendarmerie du village de la banlieue lyonnaise sur Lyoncapitale.fr. Il faut dire que, le 26 juin dernier, la commune de Saint-Quentin-Fallavier, située à une cinquantaine de kilomètres, avait été l'objet d'un attentat. Le mariage a finalement pu se terminer sans aucun souci et les époux se sont dit « oui », au cours d'une cérémonie dont ils se souviendront longtemps.Chaque année, des milliers de fidèles prennent les routes de France et se rendent, à pied, jusqu'à la ville sainte pour les chrétiens, se situant en Galice, dans le nord de l'Espagne.

Source Le Point.fr cliquez là

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Lucien Rebatet invité de Jacques Chancel (10 décembre 1969)

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vendredi, 17 juillet 2015

Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Le Président Le Pen s'émancipe du Front chevènementiste

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Jean-Marie Le Pen parle de la Bretagne

Source Breizh info cliquez ici

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Un entretien de Francis Bergeron avec Jean Mabire

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Jean Mabire fut un journaliste et un écrivain, mais aussi un soldat et un militant. En 1995, Francis Bergeron a réalisé une interview fleuve de l’auteur de la fameuse trilogie sur l’histoire des SS français, auteur également de livres cultes pour toute une génération : Commando de chasse, Drieu parmi nous, Les Paras perdus. Le texte de cette rencontre était resté inédit pendant près de 20 ans.

Pourtant cet entretien constitue l’amorce passionnante d’une autobiographie, un retour en arrière, qui éclaire toute l’œuvre de celui que Didier Patte, président du Mouvement normand, et beaucoup de ses amis appelaient affectueusement Mait’Jean ; il nous aide à comprendre ce que celui-ci nous a apporté. C’est le « chantre de tous les braves », comme l’explique l’historien Éric Lefèvre, et coauteur de certains de ses livres : « Il voulait célébrer la grande aventure, les prouesses guerrières, sous n’importe quel drapeau. »

Jean Mabire est aussi le chantre des aventures maritimes. Et, sur les pas de La Varende, un passionné de sa Normandie.

« Nous ne changerons pas le monde, il ne faut pas se faire d’illusion, mais le monde ne nous changera pas. »

Auteur de plus d’une centaine de livres, dont certains eurent un énorme succès de vente, et de milliers d’articles, préfaces et participations à des ouvrages collectifs, Jean Mabire restera enfin comme l’une des figures majeures du politiquement incorrect des années 60 à l’an 2000.

Ses essais et ses ouvrages d’histoire contemporaine sont d’ores et déjà recherchés, collectionnés, réédités, gages de la pérennité d’une vision historique, de l’influence de celui qui fut et restera un conteur et un trans­metteur de premier plan, mais aussi et peut-être d’abord un maître à vivre.

Francis Bergeron a publié une soixantaine de livres dont la série « Clan des Bordesoule » (qui s’adresse à des jeunes lecteurs de 8 à 12 ans), plusieurs biographies d’écrivains et des ouvrages sur la politique et la littérature non-conformiste.

Entretien avec Jean Mabire conteur des guerres et de la mer, Francis Bergeron, Editions Dualpha, 150 pages, 21,00 € (+ 3,00 € de port, Chèque à l’ordre de Synthèse nationale à retourner  à SN 116, rue de Charenton 75012 Paris).

Le commander en ligne cliquez ici

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Bardot à Ségo : « Comment pouvez-vous être une telle catastrophe écologique ? »

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Arnaud Guyot-Jeannin Boulevard Voltaire cliquez ici

Dans les années 50-60, les puritains de droite clouaient au pilori Brigitte Bardot parce qu’elle représentait la beauté, la féminité et la liberté. De nos jours, elle est considérée comme « réac » et « facho » par les néo-puritains de la gauche bobo parce qu’elle vilipende la décadence morale, le relâchement généralisé et la branchitude cosmopolite. Libre, toujours libre, BB ! Toujours en porte-à-faux avec son temps et ses modes dominantes. Entière, droite et de la droite la plus décomplexée ! Toute une vie marquée par la fierté solaire, le courage et l’indépendance d’esprit en honorant la France, au service des animaux et de la nature.

C’est parce qu’elle a toujours été la proie des photographes, des producteurs et des bien-pensants que Brigitte Bardot comprend et aime tant les animaux qui représentent ses frères et sœurs de la Création, pour s’inscrire dans une perspective franciscaine. Victime de la maltraitance des hommes, cette biche sait se comporter en véritable tigresse lorsque les chasseurs/prédateurs de la bonne société se conduisent comme des hyènes (et encore, celle-ci ne sont pas méchantes et ne se font pas passer pour autre que ce qu’elles sont). La bonne société n’a jamais été une société bonne.

Ainsi, le 7 juillet dernier, BB a adressé une lettre forte, juste et sans concessions à Segolène Royale, ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie. Il faut citer l’intégralité de celle-ci et savoir que les femmes et hommes politiques n’ont jamais aidé la sœur des animaux. Appeler un chat un chat reste ainsi la seule méthode salutaire…

Madame la Ministre,

Encore une fois, je suis sidérée par votre capacité de nuisance, votre politique désastreuse en terme de préservation de la biodiversité, votre allégeance au monde de la chasse et de l’élevage… comment pouvez-vous être une telle catastrophe écologique ?

Les arrêtés que vous venez de prendre pour faciliter le tir aux loups, espèce protégée très peu présente en France, montre une fois de plus, une fois de trop, que votre vision de la « gestion » passe par les armes et la destruction.

Ma Fondation tente, en vain, depuis des mois de vous présenter les expérimentations menées pour protéger les troupeaux d’éventuelles attaques de loups. Le collectif Cap Loup, dont ma Fondation est membre, essuie le même refus de dialogue, le même mépris, mais vous ouvrez votre porte aux lobbies de ceux pour qui la nature doit être sacrifiée. Autoriser les tirs sur une espèce protégée, au cœur des parcs nationaux, est une honte, un scandale !

Plutôt qu’armer les chasseurs et les éleveurs, vous feriez mieux de prendre des mesures utiles, qui relèvent de vos compétences, comme abolir la chasse à courre, le déterrage et toutes ces pratiques barbares, interdire l’exploitation des animaux dans les cirques, delphinariums et autres lieux où l’animal est réduit à l’esclavage, supprimer la liste des “nuisibles” et reconnaître à l’animal sauvage le caractère d’être sensible… S’il fallait établir la liste des espèces nuisibles, la nôtre serait en tête et vous en seriez la Reine !

Madame la Ministre, annulez ces arrêtés lâches et écoutez, enfin, les arguments de ceux qui agissent pour la préservation de la biodiversité, la cohabitation des espèces sauvages et du pastoralisme.

Assumez avec courage et impartialité le poste capital qui vous est imparti et pour lequel vous manquez, hélas, de compétence…

Brigitte Bardot, Présidente de la Fondation Bardot.

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jeudi, 16 juillet 2015

Lydia Schénardi (FN) : Le lierre qui envahit l'arbre finira par l'étouffer...

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Lydia SCHENARDI, conseiller régional et seconde vice-présidente du groupe FN de PACA, soutient ses collègues BOUGUEREAU et COMAS suspendus par le FN.

Suite à l’initiative de Maître BOUGUEREAU, conseiller régional de PACA, vice-président du groupe, de demander publiquement à Monsieur PHILIPPOT, vice-président du FN de donner sa démission, maître BOUGUEREAU ainsi que Laurent COMAS viennent d’être « suspendus » par le Front National dans l’attente d’un passage en commission des conflits.

« Je suis interloquée par cette sanction qui se veut, sans la moindre équivoque, être un avertissement d’intimidation à tous ceux qui oseraient s’unir à la démarche de Maître BOUGUEREAU… Voire, manifester leur désapprobation sur telle ou telle décision émanant de notre hiérarchie. Je sais ce que je risque et ne le crains pas car le FN que nous impose Monsieur PHILIPPOT n’est absolument plus le Mouvement pour lequel j’ai milité pendant 34 ans. Il me semble qu’un parti qui prône la démocratie devrait écouter ses militants et tenter de les entendre. C’est d’ailleurs le sens du courrier que nous recevions en juin dernier de notre Présidente, promettant plus de démocratie et nous invitant à adopter de nouveaux statuts… Consultation par correspondance s’étant pourtant avérée elle-même un déni de démocratie…

Des promesses alors que c’est l’inverse qui se produit… C’est notre lot quotidien. Que se passe-t-il exactement dans les départements ? Les militants écrivent sans jamais un accusé de réception, sans jamais une réponse. Toutes les décisions sont imposées de Nanterre, allant souvent à l’encontre des réalités de terrain tout particulièrement ici dans les Alpes Maritimes. C’est sans aucune concertation que sont imposés à la fois une tête de liste non FN pour les régionales, décriée par les militants, et un secrétaire départemental peu apprécié du fait de ses déboires judiciaires…

Que reste-t-il alors pour s’exprimer ? Les médias. C’est d’ailleurs l’exemple que nous offrent au quotidien aussi bien notre Présidente Marine LE PEN que Jean-Marie LE PEN qui communiquent par médias interposés.

Oui, j’ose l’affirmer, Monsieur PHILIPPOT aussi brillant soit-il, n’est que le lierre invasif qui s’accroche au FN et à sa Présidente, pour monter toujours plus haut avec une influence néfaste pour notre Mouvement, néfaste pour les valeurs que nous défendons, avec de surcroît l’abandon de fondamentaux qui ont justifié pendant des années notre combat et des promesses électorales populistes gauchisantes totalement irréalistes.

Or l’on sait que le lierre finit par étouffer l’arbre… »

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Entretien avec Christian Rol, auteur du "Roman vrai d'un fasciste français"...

11717576_10154139870674782_8868194020983586545_o-310x174.jpgEntretien publié

sur le site du

Club Roger Nimier

cliquez ici

 

 

Christian Rol, pourriez-vous s’il vous plaît vous présenter à nos lecteurs en quelques mots ?

Je mesure un mètre quatre-vingts, j’ai les épaules larges et le compte en banque mince. J’ai dépassé l’âge de Drieu lorsqu’il s’est suicidé et j’aime la même femme depuis 12 ans.

En simple guise de rappel pour ceux qui nous lisent et ne connaîtraient pas encore vos récents efforts, vous êtes l’auteur du « Roman vrai d’un fasciste français », un ouvrage publié par les éditions « La manufacture de livres » en avril dernier ; aussi l’avez-vous sous-titré : Vies et mort de l’homme qui tua Pierre Goldman et Henri Curiel.

Ce fasciste français aux vies multiples, né en 1951 et mort en 2012, c’est à l’état civil le Marquis René Resciniti de Says ; connu comme « l’élégant » dans le Milieu, il était Néné pour les intimes. L’un de ses compagnons d’armes a choisi de dresser son portrait de la manière qui suit : « C’était un aristocrate en recherche. Mi-voyou, mi-dandy. Il oscillait toujours entre l’oisiveté et l’action, entre l’activisme et la dolce vita sur les Champs-Elysées dont il était un pilier ; entre l’uniforme des commandos parachutistes et les sapes des grands faiseurs. Et puis, il était obsédé par les femmes! D’ailleurs, la première chose qu’il a faite en arrivant en Amérique centrale, c’est d’aller au bordel. Je venais juste de lui remettre sa première solde! »

Est-ce là selon vous un résumé à peu près exhaustif de ce véritable personnage, dont la vie aura été digne d’un roman ?

Non. Néné était plus complexe que cela. Il avait notamment une culture encyclopédique dont on se demandait où il l’avait puisée compte tenu de son style de vie qui n’était pas exactement celui d’un sage retiré dans sa thébaïde. D’ailleurs, un de ses amis a pu dire de lui qu’il se cachait pour lire, comme d’autres se cachent pour boire. 

Quelle est l’origine de son surnom « l’élégant » ?

« René l’Elégant », c’était au départ un clin d’œil au monde des voyous à l’ancienne, dans le registre de Simonin. Mais René était vraiment un dandy (et un voyou); à la fois dans sa vie (pas toujours) et dans le choix de ses vêtements.

Il a consacré des fortunes aux fringues dont il savait tout. Mais il n’avait pas l’élégance endimanchée ni provinciale. C’était une élégance sans ostentation, donc de grande classe.

Avant d’incarner ce personnage qui vous a inspiré un livre, René était d’abord et avant tout votre ami. Quelles furent les circonstances de votre rencontre ?

Cela remonte au début des années 70 quand il avait vingt ans…

Et moi dix ans.

A l’époque, il était très ami avec des gens de ma famille et il passait de temps à autres pour écouter du rock et parler politique. Il avait quelque chose de James Dean qui me fascinait. Quand il arrivait dans le grand appartement bourgeois de mes parents, c’était un vent d’aventure qui s’engouffrait. Sa réputation de dur le précédait partout d’un quart d’heure et moi, j’étais plus sensible à ce genre de personnage qu’aux bourgeois pépères. Et puis, c’était aussi un type adorable…

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Un livre entretien avec Geneviève Dormann proposé par Francis Bergeron

Genevieve-Dormann-e.jpgEditions Dualpha

190 pages, 25 €

Préface de Marc Vidal – postface d’Isabelle Parmentier.

Auteur de nombreux romans à grand succès comme La Fanfaronne (1959), Le Chemin des dames (1964), La Passion selon Saint Jules (1967), Je t’apporterai des orages (1971), Le Bateau du courrier (1974), Mickey l’ange (1980), Le Bal du dodo (1989), La Petite Main (1995), d’ouvrages sur Apollinaire, Colette ou… le point de croix, engagée (à droite), proclamant haut et fort ses opinions royalistes, Geneviève Dormann (1933-2015) fut l’une des « grandes gueules » du monde littéraire de la seconde moitié du XXe siècle.

À la fin des années cinquante, Geneviève Dormann est une jeune femme très jolie, très piquante. Les photos de l’époque nous montrent une blonde aux cheveux taillés court, fine, de taille moyenne. Son charme est très particulier et repose sans doute d’abord sur ses grands yeux et son large sourire qui révèle une rangée de dents bien plantées.

Geneviève rêvait de devenir écrivain. Sa route va croiser très vite celle des fameux « hussards » : Roger Nimier, Jaques Laurent, Michel Déon, Antoine Blondin. Elle en est en quelque sorte la « petite sœur ». Ce combat des hussards, fait d’impertinence, d’insouciance et de panache, lui va comme un gant. Mais chez Geneviève Dormann, il y a quelque chose de plus : une incroyable capacité de refus. Refus du conformisme, refus de la banalité, refus de la répétition des jours qui se ressemblent. Toute son œuvre littéraire repose sur des bases autobiographiques. Et toute son œuvre est donc celle d’une révoltée, d’une passionnée, d’un corsaire des lettres, en quelque sorte.

Son franc-parler, ses idées politiques exprimées sans circonlocutions (elle s’était fait tatouer une fleur de lys sur le poignet), ses sautes d’humeur, pouvaient lui valoir quelques inimitiés. Mais son talent, sa générosité, son caractère passionné étaient aussi au rendez-vous. Elle crevait l’écran, à la télévision, et avait toute sa place aux « grosses têtes » de Philippe Bouvard. Tout cela restera. Et plusieurs livres de ce hussard en jupons : Le Roman de Sophie Trébuchet (1983), Amoureuse Colette (1984) peuvent être considérés comme de vrais classiques. Elle laisse une œuvre, mais aussi le souvenir d’une très forte personnalité, ce qui a marqué à jamais tous ceux qui ont croisé sa route.

Francis Bergeron a publié une soixantaine de livres, dont la série à succès « Clan des Bordesoule » (qui s’adresse à un public ce 8 à 12 ans), ainsi que des biographies d’écrivains, des ouvrages sur la politique, l’histoire contemporaine, la littéraire, et, dans cette collection, un Entretien avec Jean Mabire conteur des guerres et de la mer.

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ou à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (chèque de 28 € à l'ordre de Synthèse nationale).

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3196 du 9 juillet 2015

 

RIVAROL avait informé ses lecteurs, la semaine dernière de cette infamie. Voici quelques informations complémentaires. La Commission des affaires juridiques du Parlement européen a voté le mercredi 24 juin 2015 en faveur de la levée de l’immunité parlementaire du Député européen Udo Voigt, membre du parti nationaliste allemand NPD. Il avait, il est vrai, commis une abomination en 2006. Udo Voigt avait diffusé une image assez sobre, qui affirmait : « Blanc : pas seulement une couleur de maillot. Pour une vraie équipe nationale (de football). » Cela lui avait valu une ahurissante condamnation en 2014 par le tribunal du Land de Berlin à un an de prison avec sursis pour « appel à la haine raciale et offense ». Oui mais, pour qu’il fût définitivement condamné et égorgé, il fallait que son immunité de parlementaire européen fût levée. Pas de problème : les députés européens ont voté la remise d’Udo Voigt à la satrapie justicière allemande. On ne dira jamais assez à quel point l’Allemagne est aujourd’hui un pays dégénéré et tyrannique à l’encontre des résistants.

 

UN DÉPUTÉ EUROPÉEN, NATIONALISTE ALLEMAND, LIVRÉ AUX CHIENS PAR LE FN MARINISTE (SUITE)

 

Ah, au fait, deux Français figuraient dans le peloton d’exécution. Deux Français élus sur les listes du FN mariniste. Parmi eux, le très brillant Gilles Lebreton, que rigoureusement personne ne connaît ni ne connaitra jamais, qui, il y a quelques années, avait jugé que le FN était trop radical, avant de rejoindre avec amour le FN mariniste ; et puis il y aussi, une étonnante oiselle, Joëlle Bergeron, qui, au lendemain de son élection, s’aperçut avec horreur que le FN mariniste était trop radical (si, si, c’est possible !), se déclarant en faveur du droit de vote des étrangers. Elle rejoignit le groupe formé autour de l’UKIP britannique. Certains lecteurs ont sans doute vu cette vidéo filmée au Parlement européen. Jean-Marie Le Pen était interviewé par une télévision, dans l’aula du parlement. Arrive un député de l’UKIP qui bouscule volontairement le Menhir lors de l’interview. Voilà les méthodes que pratiquent ces abrutis à l’encontre des résistants… Mais revenons, en conclusion, au fascinant Lebreton, que j’ai décidé de mettre dans ma ménagerie. Il a déclaré : « Marine Le Pen, à laquelle j’ai personnellement exposé cette affaire, a appelé toute la délégation FN à voter comme moi ». Rappelons à Marine Le Pen cet adage latin : Hodie mihi cras tibi… (nous traduisons pour l’illettrée de Nanterre : aujourd’hui moi, demain toi). Le mépris est bien plus meurtrier que les balles, croyez-le. Et puis, chantons le chant des Lansquenets : « Un jour viendra, où tous les traîtres paieront !

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MAIS QUI EST LE MARINISTE LEBRETON ?

 

Membre du SIEL, groupuscule fondé par Paul-Marie Coûteaux, et conseiller politique de Marine Le Pen pour l’enseignement supérieur, Gilles Lebreton avait rejoint le FN en 2014. Il fut élu sous l’étiquette du Rassemblement bleu marine et devint immédiatement membre du bureau politique. Professeur de droit public, il a fait paraître en 2008, aux éditions Dalloz, Libertés publiques et droits de l’Homme, un ouvrage où il se montrait très critique à l’égard du Front national. Il lui reprochait alors d’avoir fait référence dans des écrits théoriques à Carl Schmitt, célèbre juriste allemand présenté par certains (on devine lesquels) comme un des théoriciens officiels du 3e Reich. Carl Schmitt est tenu en très haute estime par les juristes. Pas par Lebreton, qui, à l’époque déjà, maniait avec enthousiasme la brosse à reluire à l’égard de qui nous savons. Il avait écrit : « Cette pensée (celle de Carl Schmitt) doit être analysée parce qu’elle constitue désormais une menace réelle pour l’avenir de nos libertés publiques. Elle n’est, en effet, rien d’autre qu’une philosophie de l’exclusion d’autant plus dangereuse qu’un parti politique français, le Front national, s’en est emparé. En prêchant l’obéissance à l’instinct d’identité, il ouvre la voie à de dangereuses tentations d’exclusion, poursuivait-il. Tous ceux qui sont perçus comme autres sont potentiellement menacés dans leurs libertés. Les immigrés et les juifs ont été les premières victimes désignées. Puis, est venu le tour des “sidaïques”, qu’il a proposé d’incarcérer dans des établissements spéciaux. À quand le tour des homosexuels, des vagabonds, des universitaires mal pensants ? » Oui mais, depuis, l’inénarrable universitaire a rejoint Marine Le Pen, ce qui n’étonnera aucun Rivarolien. Son argument est implacable : « Le Front a considérablement évolué ces dernières années. Pour ma part, j’ai émis un certain nombre de critiques constructives et elles ont été entendues. J’ai la certitude que les références à Carl Schmitt, qui datent de 1990, ne sont plus d’actualité ». Sur onze membres de la Commission des affaires juridiques du Parlement européen, onze, dont Lebreton et Joëlle Bergeron, ont voté la levée de l’immunité parlementaire du député européen nationaliste allemand Udo Voigt. C’est ainsi que cela se passe chez ces gens-là…

 

TENDONS LA MAIN, AVANT DE NOUS LA FAIRE COUPER, AUX JEUNES DJIHADISTES…

 

Les djihadistes coupent les têtes, mais pas question de couper le contact humaniste avec eux. C’est l’avis inspiré d’Eva Joly, ancienne candidate à l’élection présidentielle pour le compte des Verts. Elle vient de déclarer : « Il ne faut pas couper le lien avec les jeunes partis en zone de guerre. La société doit leur donner une deuxième chance, leur tendre la main ». On est émerveillé devant cet Everest d’imbécillité, mais on tient à la disposition de nos camarades djihadistes les coordonnées d’Eva Joly, histoire qu’ils viennent engager un dialogue fructueux avec elle…

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GRAND PRIX DE L’HUMOUR POLITIQUE

 

Nicolas Sarkozy s’est vu récompenser du Grand prix de l’humour politique 2015 pour sa saillie à l’encontre de François Bayrou : « Pour désespérer de François Bayrou, encore faudrait-il que j’aie un jour placé de l’espoir en lui. » Qu’il est méchant ! (mais lucide) !

 

DE VRAIS SOURNOIS IMAGINATIFS, CES JUIFS ORTHODOXES NEW-YORKAIS !

 

Contrairement aux grands media, les juifs orthodoxes new-yorkais n’aiment pas du tout l’homosexualité. Du coup, ils ont créé un Comité juif d’action politique et organisé une contre-manifestation lors du défilé en faveur du “mariage” homosexuel, dimanche 28 juin à New York, la fameuse gay-pride. Oui mais des journalistes du quotidien américain The New York Times ont été intrigués par l’allure de plusieurs hommes portant de larges pancartes, vêtus du châle de prière juif, clamant que « le judaïsme interdit l’homosexualité » et autres slogans du même acabit. Les journalistes « intrigués par l’allure » des manifestants ? Bon, il faut comprendre qu’ils n’avaient pas vraiment des bobines de juifs, si tant est que les juifs soient physiquement identifiables, ce qui reste à prouver, Georges Montandon n’étant plus là pour nous apporter son expertise (il fut ethnologue au musée de l’Homme, l’un des théoriciens d’un racisme dit “scientifique” avant la Seconde Guerre mondiale, et fut abattu, ainsi que sa femme, par des résistants, à la fin de la guerre).

 

Explication du questionnement du New-York Times : les supposés juifs orthodoxes qui manifestaient étaient en fait… des travailleurs mexicains payés pour protester. Ces hommes ont été embauchés pour grossir les troupes un peu maigrelettes des manifestants juifs et surtout pour pallier l’absence d’étudiants juifs qui auraient normalement dû participer à l’événement. Mais pourquoi une telle absence ? Explication : « Les rabbins ont dit que les “yechivah boys” [les jeunes gens étudiant la Torah, le Talmud et le judaïsme] ne devaient pas venir, à cause de ce qu’ils pourraient voir au défilé. » Ils auraient en effet risqué de croiser plusieurs paires homosexuelles en train de s’embrasser — au risque de les choquer. Toujours est-il que les contre-manifestants ont reçu des jets de bouteilles d’eau (remarquez que cela aurait pu être pire), ce qui prouverait l’existence d’un antisémitisme avéré chez les homosexuels, les trans, et les lesbiennes américains…

 

GÉRIN VENT DEBOUT CONTRE L’ISLAMISME

 

André Gérin est le maire communiste de Vénissieux. Il vient de faire paraître un texte audacieux dans lequel il évoque un « espace public gangrené », une « évolution vestimentaire », des « imams qui tiennent un discours anti-France », des « territoires où se mêlent mafia et islamisme », et il conclut en assénant : « l’ennemi de la France, c’est l’islamisme ». 

 

Voici son libelle dont le titre est « L’intégrisme islamique : une menace de l’intérieur » : 

 

« Va-t-on enfin regarder la vérité en face ? L’intégrisme et le salafisme qui rongent nos banlieues représentent un danger mortifère.

 

Depuis les années 1990, nous ne voulons pas voir la radicalisation d’une fraction des musulmans de France. Cela se traduit par l’enfermement et l’endoctrinement d’enfants, d’adolescents. Cela se voit à travers l’évolution vestimentaire sur la voie publique, à l’exemple du voile intégral et cela s’entend par l’entremise de prédicateurs ou d’imams autoproclamés qui tiennent un discours radical, voire anti-France.

 

Actuellement, sur certains territoires, se mêlent drogue, mafia et islamisme afin d’exercer un contrôle dans des quartiers.

 

Oui, la menace islamiste est intérieure au territoire national. Ce sont nos enfants de France qui sont conditionnés. Comme je l’ai souvent dit, l’espace public est désormais gangrené.

 

Aujourd’hui, on ne peut plus se contenter de la moindre demi-mesure. Les responsables de l’autorité du pays et les responsables politiques doivent le dire clairement, l’ennemi de la France, c’est l’islamisme.

 

Il faut combattre ce fanatisme et ses hordes d’assassins tout en restant fidèles à nos valeurs républicaines et à celles qui fondent la démocratie et l’humanisme. Nous devons mener une guerre idéologique car nous n’avons plus rien à attendre et plus rien à tolérer sur le sujet ».

 

Et il conclut par cette phrase : « La parade policière, judiciaire voire militaire se pose alors de manière sérieuse. » 

 

Mais ce n’est pas avec les « valeurs républicaines » que l’on peut combattre efficacement l’islamisme.

 

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici. 

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Quelques rendez-vous cet été :

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- 28 juillet au 4 août : université d'été de Chrétienté solidarité dans le Var sur le thème "Les religions et la politique". Renseignements Centre Charlier 01 40 51 74 07 cliquez ici

- Première semaine d'août, un voyage en Syrie organisé par les Communautés syriennes de France, en collaboration avec le ministère syrien du Tourisme sur le thème "Visite de la Syrie héroïque, soutien au peuple syrien" Renseignements 06 05 60 58 79 cliquez ici

- 15 au 23 août, université nationaliste du Renouveau français en Bourgogne. Renseignements 06 21 22 16 32 cliquez ici

- 16 au 23 août : camp Maxime Réal del Sarte, près de Roanne, organisé par l'Action française sur le thème "Les Rois ont fait la France. A la France, il faut un Roi" (PAF 130 €) Renseignements 06 88 97 00 40 cliquez ici

- 5 et 6 septembre à Marseille : université d'été du FN

- 5 et 6 septembre à Chiré-en-Montreuil (86) : 45e Journées chouanes organisées par Diffusion de la pensée française. Avec de nombreux écrivains dont Roger Holeindre, Philippe Randa, Thierry Bouclier, Jean-Pierre Disques, Philippe Gautier, Francis Bergeron... Cliquez ici

- 27 septembre, en Normandie, réunion annuelle de l'Association des Amis de Jean Mabire, présidée par Didier Patte, avec Pierre Vial, Philippe Randa et Francis Bergeron cliquez ici

- 11 octobre, à Rungis (94), IXe Journée nationaliste et identitaire organisée par Synthèse nationale...

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mercredi, 15 juillet 2015

La Ligue du Midi exige la libération de René Galinier

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Au bout de cinq années de procédure, René Galinier vient d’être reconnu coupable, de tentative d’homicide et condamné à un an ferme et quatre avec sursis.  Le 5 août 2010  deux jeunes roms avaient pénétré par effraction dans sa maison de Nissan (34) pour le cambrioler alors que celui-ci faisait  la sieste. Réveillé par le bruit, il avait saisi son fusil de chasse et tiré.

La Ligue du midi, en ce jour de fête nationale, avait décidé de manifester en deux lieux emblématiques de cette affaire : le Centre Pénitentiaire de Béziers dans lequel René Galinier est incarcéré et son village de Nissan. Voici quelques extraits du discours qu’a prononcé, à cette occasion, Olivier Roudier, porte-parole de la Ligue.

« Avec cette condamnation, nous assistons à une véritable inversion des valeurs, et le peuple ne s’y trompe pas qui considère à une large majorité que, dans notre société, les délinquants sont mieux traités que les victimes surtout quand celles-ci sont des « de souche ». Maître Collard, avocat de Galinier, avait mis en exergue dans sa plaidoirie le fait que « les deux cambrioleuses n’avaient jamais été poursuivies en justice pour cette tentative de vol ».

« Cette « affaire Galinier » est emblématique du sort réservé aux gens de ce pays, parce que demain cela peut arriver à chacun d’entre nous, parce que la jurisprudence ne doit pas dénaturer la loi, parce que la légitime défense est un droit fondamental. En effet, à travers toutes les époques et en tous lieux, on a le droit de se défendre quand on est attaqué, surtout chez soi, la notion de riposte proportionnée, n’étant qu’un faux nez destiné à incapaciter les braves gens en raison du discours ambiant droit de l’hommiste qui met  sur le même pied une racaille et un honnête citoyen.

« On se souvient qu’à l’époque, un membre du parquet avait déclaré sans vergogne : « Galinier aurait dû s’enfermer dans une pièce et téléphoner à la gendarmerie ». Le problème, c’est que « Papy » avait téléphoné à deux reprises aux forces de l’ordre et que, se sentant abandonné et tenaillé par la peur, il avait fait ce que son devoir d’homme lui imposait, à savoir assurer sa défense quand la société n’était pas capable d’y pourvoir. Si cette réaction ne rentre pas dans le cadre juridique actuel de la légitime défense, nombreux considèrent  que sa défense était légitime.

« Présente au procès, la Ligue du Midi, qui soutient activement  René Galinier depuis 2010, a dénoncé une telle condamnation et réclamé une modification de la loi en instaurant, par la sanctuarisation du domicile, une présomption absolue de légitime défense dès lors que ce dernier subit une intrusion de jour comme de nuit.

« Nous invitons tous nos concitoyens, quelles que soient leurs opinions politiques, à nous rejoindre dans ce combat pour la liberté et le droit et ence 14 juillet nous demandons au président de la république d’user de son droit régalien afin d’accorder la grâce présidentielle au papy de Nissan lez Ensérune, parce qu’un jour de prison de plus serait une injustice de plus pour celui qui n’avait jamais demandé à personne de pénétrer chez lui un jour d’été pour le cambrioler… »

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mardi, 14 juillet 2015

« Petit abécédaire d’un Français incorrect » passé au crible dans Rivarol...

1225097535.jpgRobert Spieler, Rivarol n°3191

« Petit abécédaire d’un Français incorrect… et quelques joyeuses impertinences » est le titre d’un livre proposé par Charles-Henri d’Elloy. Le livre se veut être un recueil de quelques impostures, de quelques exemples de mots, de sigles ou expressions convenues. Il dénonce la vanité, la mode, le grégarisme, la cuistrerie, l’ignorance, la couardise, la propagande et ce charabia dont nous sommes abreuvés. Ses billets d’humeur mêlent humour et indignation, un mélange qui n’est pas forcément des plus aisés à maitriser. Mais Charles-Henri d’Elloy s’en sort plutôt bien.

« A l’aube du troisième millénaire » ? La sentence tombe : « Cette expression est un modèle de stéréotype présent dans le charabia des bavards insipides ». L’Art contemporain ? « Ou comment prendre des vessies pour des lanternes ». Elloy fustige évidemment les monstrueux anglicismes : faire un come-back plutôt qu’un retour, sponsors pour mécènes, look pour style ou allure (qu’il définit excellemment comme la « recherche personnalisée de l’apparence extérieure proportionnelle au vide intérieur »), training pour entrainement, e-mail pour courriel ,best of au lieu de florilège, et cet abominable « merci à vous », traduction de « thank you » alors qu’un simple « merci »  ou « merci Monsieur (ou Madame !) » fait l’affaire. Et bien sûr, il y a « Black » pour noir. Il note que voilà un mot qui rassemble et contient à lui seul toutes les hypocrisies et la bêtise du politiquement correct, et estime que son emploi rejoint le summum de l’imbécilité langagière. En quoi, en effet, le mot « black » est-il plus précis ou approprié que le mot « noir » ? Il s’en prend aussi au mot magique « citoyen », prenant un exemple de crétinisme langagier : « Faire un geste citoyen pour le développement durable », plutôt que de trier ses ordures ménagères…  

Il sulfate aussi sans aucune humanité le concept de ‘déjeuner républicain’ et s’interroge quant au menu : « Mangerait-on les restes d’un aristocrate déchiqueté la veille ? Allait-on nous servir des spaghettis composés des boyaux d’un curé réfractaire ? Devait-on porter un bonnet phrygien ? Fallait-il venir sans culotte ? » Le devoir de mémoire est, quant à lui, de l’ « héroïsme par procuration ». Qu’Elloy continue ainsi avec ses insolences, et il finira dans les raviolis d’un déjeuner mémoriel…

Les féministes ont aussi droit à son ire. Il estime que « la femme féministe n’aime pas l’homme mais tient absolument à le devenir » et rappelle que l’affirmation que l’Eglise catholique n’aurait reconnu une âme aux femmes qu’au concile de Trente de 1545 est une imbécilité. A propos des « gens du voyage », qui ne sont surtout pas des ‘nomades’, il nous apprend que les gendarmes ont inventé un nouveau sigle : le « MENS » dont la déclinaison est « Minorité  Ethnique Non Sédentaire ». Au détour d’une page, Elloy nous rappelle que De Gaulle, qui se voulait homme de lettre, commettait aussi des fantaisies langagières. On se souvient du mot ‘quarteron’ dont il usa pour désigner les quatre  généraux putschistes d’Alger. Problème : il eût fallu vingt-cinq généraux pour que le terme fût adéquat. Dénonçant par ailleurs l’impérialisme de la langue anglaise, il évoque le « snobisme saugrenu et le panurgisme imbécile » de beaucoup de nos compatriotes. Et les « Heures les plus sombres de notre Histoire » ? Il écrit qu’  « il n’y a pas que durant les cinq années de la dernière guerre que les Français ont souffert », rappelant quelques exemples de l’Histoire,et que l’ «  Histoire est écrite par les vainqueurs ». Nul doute que la Licra et le Crif sont en train de se pencher sur le cas de ce dangereux inconscient…

Par contre les régionalistes (dont je suis) n’apprécient pas son propos quand il s’en prend aux langues régionales, ne faisant guère de différence entre langue, dialecte et patois, évoquant la « funeste ratification de la charte des langues régionales », qui aurait pour improbable conséquence de « démanteler la France ». Rien que cela… Ajoutons à cela qu’Elloy s’en prend aussi à la décentralisation, dénonçant un « coup de burin pour l’unité nationale ». On est en plein discours jacobin, digne de Mélenchon et de Marine Philippot…

Pour ce qui concerne le mariage, l’auteur note avec pertinence qu’il ne reste que deux catégories à vouloir absolument se marier : les homosexuels et les curés. Rien que pour cette formule, les régionalistes lui pardonneront ses péchés…

Petit abécédaire d’un Français incorrect, et joyeuses impertinences, de Charles-Henri d’Elloy, 114 pages, à commander à Synthèse nationale, 116, rue de Charenton 75012 Paris, 23 euros, frais de port inclus.

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Mercredi soir, sur Radio Courtoisie, Charles-Henri d'Elloy s'entretient avec Martial Bild sur son "Petit abécédaire d'un Français incorrect..."

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lundi, 13 juillet 2015

Le nouveau numéro de Terre et Peuple magazine

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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dimanche, 12 juillet 2015

LE PIEGE DE "FLAMBY"

Flamby2.jpgGeorges Feltin-Tracol

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Dans le n° 397 de l’excellente lettre confidentielle Faits et Documents, Emmanuel Ratier rapporte des rumeurs, infondées ou non, colportées par quelques grands titres de la presse officielle.  Notre « Flamby » hexagonal aurait l’intention en 2016 de réformer le mode de scrutin des élections législatives.

L’émergence d’une tripolarisation partisane durable (P.S., Les Républicains ex-U.M.P. et F.N.) (1), une abstention massive désormais structurelle et la très grande volatilité de l’électorat qui, d’une élection à l’autre, choisit des candidats d’étiquettes différentes qui bouleversent les subtiles équilibres institutionnels au point que les résultats ne reflètent plus la réalité politique.

En s’appuyant sur un article paru dans Le Monde du 21 mai 2015, Emmanuel Ratier envisage une manœuvre très mitterrandienne de l’actuel Président. En 1985, François Mitterrand imposait le mode de scrutin proportionnel par liste départementale avec un seuil minimal de 5 % afin de freiner l’effondrement du P.S. comme ce sera le cas lors des législatives de 1993 (57 sièges !). Hollande l’appliquerait en la jumelant avec une mesure populaire : la réduction du nombre de députés de 577 à 400. Pour éviter toute polémique supplémentaire, la réforme supprimerait les actuelles circonscriptions redessinées avant 2012. Le scrutin se déroulerait dans le cadre des nouvelles régions qui deviendraient ainsi légitimes aux yeux de l’opinion. Elle imposerait aussi une parfaite parité hommes – femmes, ce qui freinerait la constitution de listes alternatives (P.D.F. de Carl Lang, M.E.I. d’Antoine Waechter, Nouvelle Donne de Pierre Larrouturou…) qui, faute d’un nombre suffisant de militants, ne peuvent se plier à cette contrainte supplémentaire et aberrante. La parité nuit au nécessaire renouvellement politique.

2016 étant une année sans échéances électorales prévues, ce projet serait soumis à un référendum. Mais, « astuce suprême (car il y a évidemment un piège), François Hollande, en disciple de François Mitterrand, écrit Emmanuel Ratier, couplerait ce référendum avec d’autres questions, comme le vote des immigrés étrangers aux élections locales (2) ». Après le « mariage pour tous » (mais pas encore à tout âge… – les sociétalistes demeurent d’incurables féministes), ce serait le « vote pour tous » avec le secret espoir de sauver des prochains désastres électoraux les ultimes vestiges du sociétalisme gendériste et financialiste agonisant… En outre, l’unique réponse à ces deux réformes en soi aisément séparables « créerait, toujours selon Emmanuel Ratier, un dilemme pour les électeurs F.N. : accepter le seul scrutin qui leur soit favorable tout en acceptant le vote des étrangers (3) ». Il y a peu, le 7 juin 2015, les électeurs luxembourgeois ont massivement rejeté (78,02 %) le droit de vote des étrangers à la surprise de la coalition gouvernementale libérale – verte – P.S. et des médiats (4).

Sur ce sujet délicat, soyons explicites, quitte à mécontenter les « nationaux-républicains » hexagonaux. En tant qu’Européen de langue française, accorder aux autres Européens de racines albo-boréennes le droit de vote et l’éligibilité à toutes les élections, y compris nationales et pas seulement locales, n’est pas scandaleux. On a bien un Premier ministre d’origine ibérique (c’est sa politique qui est lamentable) et l’histoire de France se souvient du rôle majeur joué au milieu du XVIIe siècle par deux étrangers : la reine-régente Anne d’Autriche, mère de Louis XIV, et son principal ministre, le cardinal italien Jules Mazarin, et au XVIIIe siècle par le Maréchal de Saxe.

Quant à la proportionnelle, est-elle vraiment la panacée ? Sans l’application du vote préférentiel, voire du panachage, la composition des candidatures repose sur les seuls états-majors politiciens. Les plus serviles peuvent espérer une lucrative place éligible s’ils savent bien courber la tête tandis que les meilleurs éléments intellectuels et militants seraient relégués en position inéligible.

Par ailleurs, le rétablissement du scrutin proportionnel pourrait in fine entraver légalement le gouvernement de la France par des forces populistes. Proposons une hypothèse quelque peu osée. Un accident politique (comme il existe des accidents statistiques) porte à l’Élysée le candidat (la candidate ?) populiste. La logique institutionnelle de la Ve République – renforcée par le quinquennat – lui donnerait, le cas échéant, une majorité à l’Assemblée nationale grâce au scrutin majoritaire uninominal à deux tours et aux inévitables ralliements entre le soir du premier tour de la présidentielle et la clôture des candidatures législatives. Longtemps desservi par ce mode de scrutin, le populisme obtiendrait ainsi une majorité réelle. Avec la proportionnelle, il lui serait plus difficile de réunir une majorité stable. Les oppositions s’entendraient facilement afin de déchoir le chef de l’État populiste en reproduisant dans le contexte français le récent exemple égyptien. La proportionnelle tant espérée deviendrait ainsi le tombeau des espérances populistes.

Dans un ouvrage remarquable consacré aux écrits constitutionnels de Carl Schmitt et de René Capitant, Gwénaël Le Brazidec observe que les deux constitutionnalistes « s’accordent […] sur la nocivité de la représentation proportionnelle : certes ils reconnaissent qu’elle réduit les fortes distorsions entre le nombre de suffrages et le nombre de mandats et apparaît donc plus juste; mais, pour les deux juristes, elle permet l’emprise du parti sur les élus et substitue le régime des partis, qu’ils condamnent l’un comme l’autre, au régime parlementaire. Cependant, Capitant insiste essentiellement sur le fait que ce mode de scrutin est contraire au régime parlementaire car il vise non à donner naissance au pouvoir mais à représenter les opinions et les intérêts devant le pouvoir, caractéristique du régime parlementaire; de plus, il favorise l’éclatement de partis ce qui rend difficile la formation de majorités sinon par coalition et entente. Schmitt préfère souligner que la représentation proportionnelle rompt la relation personnelle entre l’électeur et le chef du parti au profit des appareils de parti. Leurs analyses sont donc en définitive complémentaires (5) ». En outre, « il serait inexact de tenir le système proportionnel pour plus démocratique que d’autres, ajoute Carl Schmitt. Les divisions qu’il introduit ne sont certes pas territoriales mais elles n’en traversent que plus fortement l’État entier (6) ».

Que des formations populistes revendiquent le scrutin proportionnel témoignent d’un refus implicite à gouverner, plus soucieux de privilégier une fonction tribunicienne. « Les politiciens de partis n’ont aucun intérêt à exercer la direction politique, prévenait Carl Schmitt : ils veulent préserver leur parti des remous et ne peuvent pas à assumer le risque de l’activité politique qui reste toujours lié à une véritable direction (7). » Pour sa part, Gwénaël Le Brazidec précise que « le mode de scrutin proportionnel tend à réduire jusqu’à la crainte de la dissolution chez les chefs de partis. Elle a pour conséquence d’absorber une grande partie des fluctuations électorales que le scrutin majoritaire, au contraire, amplifie (8) ».

Par conséquent, en dépit de ses nombreux défauts, le scrutin majoritaire est un pis-aller honorable. Il importe néanmoins qu’il soit à un seul tour (comme le réclamaient les gaullistes Michel Debré et Philippe Seguin). Aux élections départementales de mars 2015, au soir du premier tour, le F.N. se trouvait en tête dans près de 322 cantons (au lieu de 62) ! L’idéal serait en fait le tirage au sort des candidats et le recours généralisé à tous les niveaux du référendum de choix non lié à un simple oui ou non. En attendant ces conditions propices, si cette éventuelle manœuvre politique se concrétisait, la réforme politicienne de « Flamby » ne peut qu’inciter au non.

Notes

1 : Le terme de « tripolarisation » paraît plus approprié pour désigner la situation actuelle du paysage politique français que le mot historiquement daté de « tripartisme » qui concernait la coopération gouvernementale entre 1945 et 1947 des socialistes, des communistes et des démocrates-chrétiens du M.R.P. (Mouvement républicain populaire).

2 : Emmanuel Ratier, Faits et Documents, n° 397, 1er – 15 juin 2015, p. 3.

3 : Idem.

4 : Ce référendum portait sur trois questions (droit de vote des étrangers à toutes les élections, droit de vote à partir de 16 ans et limitation à dix ans du mandat ministériel). Les trois réponses furent négatives. Cette réaction signifierait-elle le réveil des Luxembourgeois tel que le prévoyaient Joseph Joly et Vincent Lefebvre, Luxembourg. La dynastie prisonnière (Éditions de l’Aspirant, 2014) ?

5 : Gwénaël Le Brazidec, René Capitant, Carl Schmitt : crise et réforme du parlementarisme. De Weimar à la Cinquième République, L’Harmattan, coll. « Logiques juridiques », 1998, pp. 100 – 101.

6 : Carl Schmitt, Théorie de la Constitution, P.U.F., coll. « Quadrige – Grands Textes », 2008, p. 378.

7 : Carl Schmitt, op. cit., p. 497.

8 : Gwénaël Le Brazidec, op. cit., p. 141.

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samedi, 11 juillet 2015

Le Président Le Pen dénonce la mainmise du lobby sioniste sur le Front national

19:09 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, lâchement agressé en plein Paris

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Notre confrère et ami Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, vient d’être victime d’une odieuse agression en plein Paris.

Lâchement, des individus aux origines indéterminées l’ont frappé et ont diffusé sur les réseaux sociaux le film de leur méfait. Fort heureusement Jérôme Bourbon a réussi à leur échapper rapidement, limitant ainsi les blessures que ses agresseurs voulaient lui infliger.

Depuis qu’il dirige l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne, Jérôme Bourbon maintient une ligne radicale et refuse toutes compromissions avec le Système. On peut ne pas être d’accord avec lui mais force est de reconnaître son courage et sa rectitude idéologique. Il sait que ses prises de position ne sont pas toujours du goût de tous et il n’ignore pas les risques qu’il prend, que ceux-ci soient judiciaires ou physiques. L’agression dont il vient d’être la cible en est la preuve flagrante. C'est, hélas, le prix à payer lorsque l'on veut rester libre et debout.

Enfin, je vous laisse imaginer les réactions d’indignation de la part de l’intelligentsia politico-médiatique si, à la place de Bourbon, s’était fait agresser un quelconque plumitif de la pensée unique.

Synthèse nationale adresse à Jérôme Bourbon, et à toute l’équipe de Rivarol, le témoignage de sa totale solidarité militante.

Roland Hélie

10:57 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 10 juillet 2015

Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

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11:57 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |