vendredi, 08 janvier 2016
Emmanuel Albach sera demain samedi à midi l'invité de Pascal Lassalle sur Radio Courtoisie
Dans le cadre de son "Libre Journal" sur Radio Courtoisie (samedi à midi), Pascal Lassalle aura le plaisir et l'honneur de recevoir Emmanuel Albach pour son ouvrage "Beyrouth 1976, des français aux côtés des phalangistes", publié chez Synthèse nationale cliquez ici
A l'heure où certains Européens décident de mettre leur peau au bout de leurs idées en allant combattre l'État islamique en Irak, pour défendre certaines minorités ethniques et/ou religieuses menacées, notre invité nous rappellera que certains ont fait de même, il y a quatre décennies, au cours d'une terrible guerre civile qui avait commencé à ensanglanter le Liban, cette perle de la Méditerranée, ce qui sera l’occasion de revenir sur ce pays et ce conflit un peu oubliés.
En deuxième partie d'émission sera joint l'éditeur Lionel Bosserelle qui vient de rééditer un ouvrage de fiction qui apparaît aujourd'hui presque visionnaire en ces temps de califat autoproclamé au levant, "L'invasion noire" (Éditions Gribeauval) cliquez là du fameux colonel Émile Driant – Capitaine Danrit en littérature – ce "Jules Vernes militaire" à propos duquel est parue récemment une petite monographie inédite de notre regretté Jean Mabire et dont le centenaire de la mort héroïque sera commémoré le 22 février de cette année.
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Samedi à Paris : la traditionnelle marche pour Ste Geneviève et un concert de Dr Merlin organisés par Paris Fierté
Un communiqué de Paris Fierté :
Suite aux attentats du 13 novembre dernier, vous avez peut-être, comme beaucoup, redécouvert la fierté d’être parisien. Les salopards s’en sont pris à notre ville, à notre peuple, à notre culture ; vous avez alors réalisé qu’au plus profond de vous-même, vous aimiez passionnément cette ville, ce peuple, cette culture.
Mais ressentir cet amour pour Paris ne suffit pas : il faut maintenant agir, le concrétiser dans nos rues, sur le pavé parisien. Il faut montrer que, reprenant la belle devise de Paris, nous avons peut-être été ballottés, mais que nous ne sombrerons jamais !
A Paris Fierté, nous organisons tous les ans la Journée de la Fierté Parisienne, où nous exaltons l’extraordinaire patrimoine de Paris. Depuis 2005, nous célébrons notre ville à travers la Marche Sainte-Geneviève, organisée en l’honneur de la Patronne de Paris.
Samedi 9 janvier 2016
La Journée de la Fierté Parisienne se tiendra de 13 h à 17 h, sur une péniche, quai de Bercy (Paris 12e, métro Bercy ou cour Saint-Emilion). Chacun pourra gratuitement profiter des nombreux stands célébrant les multiples facettes de notre ville. Les enfants auront leurs propres stands, où ils seront encadrés par des professionnelles.
La Marche Sainte-Geneviève débutera au pont de la Tournelle (Paris V, métro Pont Marie) à 18 h, au niveau de la statue de Sainte-Geneviève. Ce sera festif et animé, slogans parisiens et chants populaires seront au rendez-vous !
Pour finir la journée, un concert exceptionnel se tiendra à 20 h 30 sur la péniche. Le chanteur Folk « Docteur Merlin » sera suivi par le groupe électro « Section Grabuge ». Pour le concert, une participation de quinze euros (donnant droit à une consommation) sera demandée.
Cette journée sera l’occasion de faire vivre votre fierté d’être parisien. Seul, en couple, en famille ou entre amis, venez vivre la culture parisienne le temps d’une journée. Venez participer à cet évènement populaire, afin que tous ensemble, nous répondions aux terroristes par la devise de notre ville : « Fluctuat Nec Mergitur ! »
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Deux mondes : l'un va crever, l'autre se réveille...
D'un côté, il y a les bobos écervelés qui s'extasient devant ce qu'ils appellent un "artiste"...
De l'autre, une nation fière et enthousiaste qui exalte son identité et qui renoue avec ses traditions !
Tout n'est pas perdu...
10:05 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Droit en République bananière
Il y a belle lurette qu’est devenue désuète la jolie phrase du poète vantant « France, terre des arts, des armes et des lois ». Notre art est innommable. Nos armes sont obsolètes et de toute façon nous n’avons même pas assez de réserves en munitions pour envahir le Luxembourg ! Quant à nos lois, elles sont devenues mouvantes, les nobles juges les adaptant de telle manière que notre législation en devient aérodynamique, plus exactement à géométrie variable selon les vents politico-financiers dominants.
En ce début d’année (qui promet d’être un grand cru en matière d’ignominies), viennent d’être jugés des rappeurs « français », suant la haine par tous les pores, éructant par ce qui leur sert de bouche des phrases encourageant au meurtre de policiers ou de simples passants « à face de craie », conseillant à leurs auditeurs enthousiastes de « bourrer des petits culs blancs », de « niquer la France, cette putain », etc. Pour ces appels à la haine raciale, au meurtre et à la subversion, ces belles âmes s’en sont tirées avec trois mois de prison, peine assortie du sursis et immédiatement transformée en « travaux d’intérêt général », pour redonner une virginité à leur casier judiciaire (qui redevient « tout zouli, zouli »).
Avec leurs textes immondes et leur musique débile, plus répétitive que celle d’un Philip Glass (qui, du moins, a du talent), les nouveaux Mozart ont récolté un pactole, mais on ne les attaque pas au portefeuille, à la différence de ce que font les nobles juges avec des écrivains d’histoire « révisionnistes », coupables d’un délire de négation sur un point bien précis, ce qui relèverait au pire d’un traitement antipsychotique, plus simplement d’un haussement d’épaules (en régime de libre expression de la pensée).
Imaginons un court instant le scénario inverse de celui des honorables rappeurs quasiment « blanchis » (sans jeu de mots) par la « Justice » à la sauce taubiresque. Mettons en scène un ignoble travailleur-contribuable français de souche européenne, soit un Blanc (pardon : « une tête de craie », « un fromage blanc »), qui, excédé, aurait traité un honorable délinquant ou criminel issu du monde merveilleux de l’immigration africaine ou moyen-orientale de « voyou nègre », de « violeur arabe », de « branleur vivant d’allocations-chômage », de « vandale musulman » etc.
Quels hurlements, quel déchaînement de haine médiatique blesseraient nos tympans ! « L’immonde raciste » blanc devrait s’attendre à une peine de prison ferme (avec les douceurs arabo-africano-musulmanes associées), à de multiples amendes en faveur de l’honorable délinquant ou criminel « ignoblement insulté », de sa famille « scandalisée » (variante : « choquée ») et des innombrables et si utiles associations de lutte contre le racisme (à sens unique).
Tentons d’élever le débat, puisqu’aussi bien nos brillants élus, magistrats, philosophes et autres sociologues n’en semblent plus capables. Notre mère, la Grèce des VIe et Ve siècles avant JC, notre père, le Droit romain, avaient établi en principe éthique fondamental l’égalité de tous les citoyens devant la Justice (on reconnaît que ce n’était pas le cas pour les esclaves, considérés comme des choses et non comme des êtres, ou les métèques, soit les immigrés de l’époque).
Plus tard, le Droit fut modifié. Au temps de Louis XIV, pâle soleil du royaume de France, un profond auteur écrivait : « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de Cour [de justice] vous rendront ou tout blanc ou tout noir » (des adjectifs dépourvus de connotation raciste chez La Fontaine, il est bon de le préciser en notre époque d’inculture ahurissante et d’exceptionnelle mauvaise foi judiciaire).
Depuis lors, il y eut cette grande avancée politique et sociale de la Révolution de 1789 sq. C’est du moins ce que prétendent les pitres qui font semblant de nous gouverner et de nous administrer. Nous en bassine–t-on assez des « valeurs républicaines », des « acquis de la Grande Révolution » ! On en admire quotidiennement les résultats : des élus corrompus (savez-vous, braves électeurs qu’une députée ex-socialiste siège au Palais-Bourbon munie d’un joli bracelet électronique, car c’est une escroc condamnée par la Justice : il existe encore des juges intègres et courageux), une administration politisée et maçonnisée, une armée en état pitoyable, l’insécurité dans les villes et même dans les villages, 2000 cités de non-droit où règnent imams et racaille, une immigration-invasion qui impose ses règlements religieux en dépit de la Loi de 1905 séparant les Églises de l’État, enfin un terrorisme tellement peu réprimé que le bon Président lui-même en prévoit la recrudescence pour cette année… et l’on ne parle même pas du marasme économique, hors-sujet ici.
Élevons encore le débat, au plan international cette fois-ci, en définissant ce qu’est une « République bananière ». C’est un État colonisé par une ou des multinationales qui ont asservi le milieu (dans toutes les acceptions de ce terme) des politiciens, des administrations et des fabricants d’opinion publique. Par exemple, l’on pourrait – hypothèse romanesque, figure de style, licence poétique – imaginer un État européen, de très vieille civilisation et riche d’un somptueux passé historique, dirigé par des multinationales du pétrole, du négoce agro-alimentaire et automobile, où « l’élite » serait soumise aux caprices de potentats-évergètes divers, où prédomineraient des islamo-pétroliers.
L’avocat-politicien Cicéron était une andouille ou un hypocrite lorsqu’il écrivait : « Cedant arma togae ». Depuis l’aube de l’humanité organisée en cités, le Droit n’a jamais été écrit que par le détenteur de la Force. Les sociétés ont toujours été dominées par les puissants qui étaient généralement les plus riches, sauf en régime populiste… et il faut voir comment les bons auteurs, qui révèrent la vraie puissance, celle de l’argent, traitent la mémoire des chefs populistes ! De nos jours, le pétrodollar, dans sa variété US et islamique, règne. Il est logique que le Droit, qui est l’une des grandes variables de l’histoire sociale, s’adapte à cette fantaisie du destin.
Bananière notre Ripoublique hollando-vallso-taubiresque ? Pas tout à fait. La qualification exacte serait islamo-pétro-dollaresque… en attendant d’être mauresque tout court. De façon logique, les Européens doivent cesser de commémorer le centenaire de la Grande Guerre. Les prostitués du pétrodollar, les Dhimmis de l’islam conquérant n’en sont pas dignes. Une Nation trop aveulie pour supporter un régime tyrannique et corrompu, vendu à l’étranger, ne mérite que l’esclavage ou l’extinction.
09:45 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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NOUS SOMMES TOUS DES CORSES….FRANÇAIS !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
L’actualité à la charnière de 2015 et de 2016, aura affiché la Corse à son menu pourtant déjà bien garni. Les faits. Comme partout en France continentale, des bandes de « jeunes » qui ne sont ni Patagons, ni Papous, ni Lapons ou encore moins Inuits, ont attaqué le 24 décembre des pompiers venus éteindre les incendies qu’ils avaient eux-mêmes allumés, notamment à la cité de l’Empereur à Ajaccio. (« Reviens Napoléon, ils sont devenus fous ! »). Lorsque les soldats du feu arrivèrent sur les lieux du sinistre, une soixantaine « d’encagoulés » qui n’étaient pas membres du FLNC, ceux-là, les attendaient pour un accueil… « corsé » à coups de jets de pierres et de barres de fer, avec un accompagnement d’insultes qui aurait effrayé le plus petit militant de base de la LICRA ou de SOS Racisme. Mais si, dans le cas précis, ces deux associations de la morale obligatoire et « républicaine » étaient aux abonnés absents, elles ont grimpé aux créneaux dès que les slogans criés par le bon peuple corse écœuré devant une telle lâcheté, leur sont montés aux oreilles. Pour ne pas perturber le « bien vivre ensemble » de la fête de Noël, aucune interpellation, dans un premier temps, n’a eu lieu. C’est alors que des centaines de citoyens en colère se sont rassemblés devant la préfecture d’Ajaccio pour manifester leur indignation et leur soutien aux pompiers victimes des méfaits des voyous. Cortège, drapeaux à la tête de Maure déployés, insultes regrettables mais bien compréhensibles proférées à l’égard de ceux qui ne respectent rien : « Arabi fora », ou encore slogans criés, du type « on est chez nous ». Dans la foulée, un restaurant Kebab et un lieu de culte musulman, plus ou moins clandestin, ont pâti de la colère des manifestants. La classe politique s’est immédiatement déchainée, non pas contre les incendiaires, mais contre les braves gens excédés devenus des « gens braves », immédiatement qualifiés de « racistes » et de « xénophobes ». L’interdiction de rassemblement décrétée par le Préfet n’a pas empêché la population, le jour suivant, de continuer à exprimer sa colère dans la rue. Puis est venu le temps de l’apaisement, avec l’arrestation – provisoire – de deux suspects et une opération « portes ouvertes » à la caserne même des hommes du feu.
Des « Nationalistes » en peau de lapin
Que dame Taubira y aille de son petit couplet indigné, de sa condamnation à sens unique, ce n’est pas pour nous étonner, les coupables dans l’affaire sont les Corses qui ont crié tout haut ce que bon nombre de leurs compatriotes insulaires et continentaux pensent tout bas, mais pas les « jeunes ». Eux, pourtant s’en prennent cycliquement aux forces de l’ordre et, en général, à tout ce qui porte un uniforme symbolisant un Etat qu’ils haïssent. Non, mais que des « patriotes », des « nationalistes » corses comme les nouveaux dirigeants de la collectivité régionale, Messieurs Jean-Guy Talamoni ou Gilles Siméoni, déposent leur petite crotte médiatique contre les leurs, a de quoi surprendre. Le premier, en référence aux slogans « musclés » scandés par les manifestants, a parlé d’une « idéologie importée », tandis que le second a déclaré que c’est « en quelque sorte profaner la langue corse » que de l’utiliser pour crier « Arabi fora ». Sur la station de radio EUROPE 1, Gilles Siméoni, le « fils de son père », le nouveau Président du conseil exécutif de l’Assemblée régionale, a juré que « la conception du peuple corse est une conception ouverte, généreuse (et) accueillante… ». Les propriétaires de villas, de villages de vacances détruits, les familles des forces de l’ordre habitant dans des gendarmeries mitraillées par les poseurs de bombes auto-proclamés « nationalistes », apprécieront « l’iconoclaste » commentaire du leader autonomiste. Et puis surtout, n’oublions pas que ces donneurs de leçons de morale au jugement simpliste et asymétrique, sont MINORITAIRES en voix bien qu’arrivés le plus légalement du monde aux manettes de l’île par un mode de scrutin inique.
La nouvelle majorité régionale corse n’a aucune légitimité
La coalition « Per a Corsica », fusion des listes des deux protagonistes cités précédemment, a obtenu 35,4 % des suffrages, ce qui, dans une confrontation électorale quadrangulaire, la plaçait forcément en tête devant ses concurrents de gauche (28,49 %), des Républicains (27,07 %) et du FN (9,09 %). La loi électorale étant actuellement ce qu’elle est, l’addition des électeurs séparatistes et autonomistes – minoritaires en voix – ont donné une majorité absolue en sièges pour ceux qui veulent séparer l’île de sa mère-patrie. Un tiers des électeurs contre deux tiers… Si d’aventure Talamoni, le leader le plus en pointe dans les revendications indépendantistes, voulait conduire l’île sur les chemins de la dissidence, il devrait en passer par un référendum. Et là, comme en Ecosse, au Québec ou même en Catalogne (1), il n’est pas certain que le corps électoral insulaire le suivrait dans cette voie. Il existe des moyens juridiques de satisfaire tout à la fois les exigences d’une administration locale, d’une décentralisation totale, d’une reconnaissance de la personnalité corse, avec l’absolue nécessité de maintenir l’intégrité du territoire de la République. Il n’y a pas d’incompatibilité. De nombreux exemples institutionnels réussis sont là en Europe, sous nos yeux, pour nous servir d’exemples : le statut de l’archipel des Açores, de Madère, des îles Canaries, des îles Féroé ou encore celui des îles Åland en mer Baltique,(exceptionnel), de la Sicile, de la Sardaigne ou du Haut Adige.
La Corse, c’est la France
En résumé, les incidents de Corse sont-ils un révélateur ou une crise à caractère prémonitoire ? Les Corses dans l’expression de leur exaspération sont-ils allés plus loin que les continentaux ? Les auteurs de mauvais coups contre les forces de l’ordre ou les pompiers ne sont, généralement, que faiblement sanctionnés et certains magistrats – certains - les présentent d’ailleurs le plus souvent comme des victimes de la societé ! De fait, le « ras-le-bol » de la partie saine de la population est monté en puissance. Se généralisera-t-il partout en France, chez les usagers des transports en commun, comme chez les riverains des « zadistes » nantais par exemple ? Et les habitants des « zones de non droit » et autres « quartiers sensibles » qui, par la force des choses, rasent les murs de leurs cités, qu’en pensent-ils ? Les Français attendent de leur gouvernement qu’il assure l’ordre et la justice. L’état d’urgence lui en donne l’un des moyens. Mais, connaissant les penchants totalitaires des socialistes, ces derniers se contenteront-ils de les utiliser contre l’ennemi intérieur ou, comme le laisse entendre Manuel Valls, les orientera-t-il insidieusement contre les patriotes, nationaux et autres identitaires ? En attendant, les évènements de « la plus proche de nos iles lointaines » nous démontrent que si la politique a horreur du vide, la sécurité, elle, en a encore plus horreur ! Il ne faudrait pas que du Nord au Midi, à terme, des milices incontrôlées fassent le travail des forces de l’ordre, ces dernières restant l’arme à la bretelle faute d’une volonté politique et d’une justice ferme et équitable. (Ce qui est loin d’être le cas !). En attendant, constatons que dans « l’île de beauté » des gens ont spontanément hurlé leur ras-le-bol face à une situation à la dérive. Et, par la faute des gouvernements successifs et de l’incurie des responsables politique locaux adeptes du clanisme et du clientélisme poussés à outrance, la Corse, provisoirement, n’est plus cette « Belle île d’amour » que chantait Tino Rossi. Mais elle restera quoiqu’il advienne, une terre française !
Note
(1) Les récentes élections qui ont porté au pouvoir à Barcelone une coalition hétéroclite – aucun gouvernement viable n’en est sorti ! - n’ont pas donné une majorité en faveur de l’indépendance. Sur le fil du rasoir, certes, mais le plus grand nombre des Catalans est encore hostile à une sortie de leur province de l’Espagne.
09:38 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 07 janvier 2016
L'intervention de Pierre Vial lors de la XXe Table-ronde de Terre et peuple le 29 novembre dernier
22:02 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Saint-Brieuc. « Sauvons notre pays », une manifestation contre l’immigration, le 6 février prochain
Saint-Brieuc (Breizh-info.com) – Le samedi 6 février prochain, plusieurs associations annoncent des manifestations partout en Europe, afin de dénoncer notamment l’islamisation et l’immigration en Europe. Ces manifestations – initiées par le mouvement PEGIDA – se tiendront dans plusieurs grandes villes d’Europe… ainsi qu’à Saint-Brieuc, où la section bretonne de Résistance républicaine, « une association loi 1901 a-politique, qui lutte contre l’islamisation de la France et pour le respect des lois et de la culture française.». Une association assez peu implantée en Bretagne, mais déjà vue à l’occasion de plusieurs manifestations unitaires contre des projets de mosquée notamment. Rencontre avec Mickaël Bussart, animateur local de l’association dirigée par Christine Tasin.
Breizh-info.com : Vous organisez une manifestation « sauvons notre pays » le 6 février prochain, pour quelles raisons ?
M. Bussart : Nous nous associons aux manifestations européennes prévues ce jour-là pour protester contre le terrorisme, l’invasion de nos pays par de prétendus réfugiés, parmi lesquels de nombreux membres de l’État islamique se sont infiltrés, comme l’ont fait deux des tueurs du Bataclan et contre l’islamisation de nos pays. Partout l’égalité homme-femme régresse à cause de l’islam, partout le communautarisme musulman pousse les non musulmans à fuir les quartiers ou villes islamisés, partout les demandes de traitement spécifique pour et par les musulmans séparent les gens, avec les vêtements, kamis ou voiles, avec le halal ou le sans porc, avec les prières dans l’entreprise ou la pratique du ramadan…
Il s’agit donc d’une initiative européenne ? Quelles autres manifestations sont prévues ?
Les patriotes européens manifesteront dans une douzaine de pays, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Autriche, la Belgique, l’Espagne, la France, la Hollande, la Pologne, le Portugal, la Slovaquie, la Suisse, la Tchéquie… En France il y aura des manifestations dans plusieurs villes, à Bordeaux, à Montpellier, à Paris, à Saint-Brieuc et peut-être dans d’autres villes encore. Nous sommes confiants dans la mobilisation des Francais, qui ont compris les dangers qui menacent notre pays.
Combien de personnes attendez-vous ? Pourquoi faites vous un lien entre l’immigration et les attentats ?
Nous espérons que de nombreuses personnes se déplaceront pour dire non à l’immigration musulmane.
L’Etat islamique a annoncé depuis bien longtemps qu’il enverrait des milliers de djihadistes en Europe parmi les nombreux réfugiés qui sont dispatchés a droite et à gauche en France et bien sûr en Bretagne (4000 seraient déjà passés pendant l’été 2015). Il est étrange que ceux qui fuient soi-disant des pays en guerre soient en majorité des hommes jeunes…
Les réfugiés des guerres que nous avons connues en Europe étaient majoritairement des femmes et des enfants…
La Bretagne n’a pas été touchée par ces attentats. Pourquoi y organiser une manifestation de ce type ?
Nous sommes tous concernés en France, nous sommes tous menacés, comme le prouvent les tentatives d’attentat, dernièrement, à Orléans, dans le Thalys, à Valence… Et par ailleurs la Bretagne est dûrement touchée par l’islamisation, les mosquées se multiplient et avec les mosquées l’endoctrinement de futurs djihadistes…
Comment voyez vous l’avenir de la France ? de l’Europe ?
Si une solution politique claire n’est pas trouvée très vite, avec arrêt de l’immigration, qui nous impose l’accueil des réfugiés et une politique de discrimination positive avec les immigrés, sans parler du développement de l’islam, le risque de guerre civile sera très fort, je ne vois pas les Français accepter de gaieté de coeur de perdre leur identité à cause d’une soi-disant religion qui voile leurs filles et qui restreint leurs libertés.
21:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ivan Blot présente son nouveau livre "La Russie de Poutine" sur TV Libertés
15:40 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi 23 janvier : Charles-Henri d'Elloy dédicacera son "Petit abécédaire d'un Français incorrect" à la librairie Duquesne Diffusion...
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Les bonnes et les mauvaises Milices
Dr Bernard Plouvier
En Hollando-Vallserie taubiresque & cazeneuvienne, on ne manque certes pas d’occasions de mourir de rire. La fin de l’An 2015, cru exceptionnel du terrorisme musulman dans notre ex-beau pays, nous a apporté cette merveilleuse distinction entre « bonnes milices », composées de « gentils musulmans », et « mauvaises milices », composées d’honnêtes citoyens français exaspérés.
Durant le second semestre de l’an 2015, un préfet fort sourcilleux du Bien public (à moins que ce ne soit un simple carriériste) avait conspué un maire - en l’occurrence celui de Béziers, ville où l’immigration africano-musulmane fait de longue date peser une insécurité devenue de notoriété nationale. Le fonctionnaire de l’État, payé avec le produit des impôts versés par les contribuables, se proclamait « scandalisé » par la création d’une milice citoyenne destinée à protéger les personnes et les biens des honnêtes gens, menacés par une racaille trop bien connue et fortement typée. C’était l’archétype de la « mauvaise milice »… c’est tout juste si l’on n’évoquait pas les mânes de feu Joseph Darnand (par ailleurs, héros de 1916-18 et de 1939-40 : huit citations ; déclaré « artisan de la victoire » en 1918 et « premier soldat de France », en 1940 ; il est bon de le rappeler, car beaucoup d’historiens patentés semblent oublier ces faits).
En contrepoint, les pitres de l’hiver 2015-2016 nous vantent les « bonnes milices ». Des musulmans ont décidé de former des piquets près des églises et des temples pour assurer la tranquillité des chrétiens lors des messes de minuit et des célébrations diurnes du culte. Je vois d’ici le regard et le coup de gueule de mon père si on lui avait fait le coup ! Mon grand-père maternel, mort des suites de ses blessures de la Grande Guerre, n’avait guère l’occasion de sortir de chez lui avant de mourir un quart de siècle avant ma naissance, mais mon autre grand-père, qui avait fait – et plutôt honorablement - les deux guerres, en serait mort, soit de colère, soit d’un éclat de rire homérique.
En France, christianisée depuis près de deux millénaires, des musulmans – repoussés avec pertes et fracas il y a 12 siècles et réintroduits subrepticement il y a 40 ans par des politiciens, car l’on « fête » cette année le 40e anniversaire du décret Giscard-Chirac sur le regroupement familial des travailleurs immigrés – osent jouer les « bons Samaritains » (qui sont des Juifs ultra-orthodoxes n’acceptant que la Torah)… alors même que ce sont des musulmans qui pillent, vandalisent, incendient églises, temples et synagogues, qui ravagent des cimetières chrétiens, qui tuent, violent et mutilent des Blancs et des Blanches.
Que les bons apôtres musulmans caressent rudement l’échine et nous débarrassent définitivement – de quelque façon que ce soit - de leurs rejetons maudits, pillards, vandales, incendiaires, violeurs, assassins, terroristes : OUI, mille fois OUI. Cela épargnera du temps et de la peine aux forces de l’ordre. Mais qu’ils ne viennent pas, CHEZ NOUS, jouer la comédie du gentil, du douceâtre, du « faiseur de beau geste », des « pères nobles » (alors qu’ils se sont avérés totalement incapables d’éduquer leurs rejetons, de les policer, de les amener au niveau minimal de civilisation) !
Hélas, il est des « Français » de souche, même des prêtres pour saluer cette « délicate initiative » ! Comme l’écrivait Jean Cau : « Nous sommes devenues les précieuses ridicules sodomisées »… enfin, certains capons et certaines femelles se comportent de cette façon. Il ne faudrait surtout pas que les musulmans, à la condescendance hautaine, jugent la masse des Français à l’aune des collaborateurs, des dhimmis et des soumis.
2015 fut l’année de la haine musulmane (en lecteur – peu sympathique, voire même franchement hostile - du coran, je me refuse à dissocier l’islamiste du musulman, puisque le djihâd est un impératif catégorique pour « tout musulman en bonne santé »). 2016 pourrait devenir bien moins paisible pour certaine communauté si ses rejetons pourris recommençaient à assassiner du Blanc pour le plaisir, que ce soit celui d’allah ou celui de ses tueurs. La patience, la mansuétude, les bonnes manières de gens hautement civilisés, face à des barbares, ont leurs limites, qu’il serait hasardeux de surestimer.
14:09 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Mahomet au volant, la charia au tournant : livre-choc contre les barbus de la RATP publié par Riposte laïque
Source Riposte laïque cliquez ici
Juste un an après les attentats de Charlie Hebdo, les éditions Riposte Laïque vous proposent un témoignage choc d’une machiniste de la RATP, Ghislaine Dumesnil, qui signe son premier livre, intitulé : « Mahomet au volant, la charia au tournant« .
C’est une histoire qui commence en 2012. Femme de gauche, enfant de communistes, syndiquée à la CGT, Ghislaine travaille à la RATP depuis 1999, où elle a rencontré son mari, avec qui elle aura cinq enfants.
Profondément laïque, elle constate, au fur et à mesure que le recrutement de la RATP, axé sur la discrimination positive, favorise les enfants issus de l’immigration maghrébine, que l’ambiance dans son dépôt de Nanterre change.
Des machinistes se laissent pousser la barbe, refusent de saluer leurs collègues femmes, imposent des prières dans les lieux communs, voire dans leur bus, ne veulent plus s’asseoir sur le siège d’un bus conduit auparavant par une femme, et transforment totalement, par la pression qu’ils exercent sur l’ensemble du personnel, les relations de travail fraternelles qui prévalaient jusqu’alors.
Elle se tourne vers son organisation syndicale, puis vers la direction. Elle constate alors que personne ne veut s’attaquer à ce problème, de peur des conséquences que cela peut provoquer. Exaspérée, elle contacte alors Riposte Laïque, qu’elle a découvert sur internet quelques semaines auparavant. Cette femme de gauche n’y voit rien d’extrémiste, encore moins du racisme et d’un discours d’extrême droite, quand elle lit les textes de Pascal Hilout, ou les éditos de Cyrano, qu’elle contacte.
Celui-ci la met alors en contact avec Guy Sauvage et Caroline Alamachère, qui feront un reportage et une vidéo, chez elle, avec une vingtaine de machinistes de la RATP, qui témoigneront, en visage caché, dans une vidéo qui provoquera un véritable séisme à la RATP, quand elle sortira le 14 décembre 2012.
Immédiatement, les intimidations, les insultes et les menaces commencent…. Pendant les trois années qui suivront, Ghislaine, considérée comme la meneuse, sera la femme à abattre, et par les plus radicaux des musulmans, et par la direction, et par certains syndicats qui ne doivent leurs scores électoraux qu’à un recrutement communautariste musulman. On lui mettra sur le dos l’étiquette infamante « d’extrême droite » et de « raciste ». Pour survivre, elle devra travailler sur des horaires très matinaux, épuisants quand on doit élever cinq enfants.
Dans cet ouvrage, elle multiplie des témoignages accablants sur la démission de la direction, la capitulation des organisations syndicales, et la chape de plomb qui s’est abattu sur ce dépôt, et sur bien d’autres.
Mais, enfant de la banlieue, avec son mari, elle décrit aussi la lente dégradation d’un environnement ouvrier, solidaire et fraternel, qui se transforme petit à petit, poussant les Français d’origine, comme elle, à fuir ces endroits où ils n’étaient plus chez eux.
Mère de cinq enfants, elle doit prendre des décisions difficiles, pour assurer une bonne scolarité à son fils et à ses quatre filles, et leur permettre de grandir dans un environnement rassurant. Elle choisira, avec son mari, d’aller s’installer à une centaine de kilomètres de Paris, tout en continuant à travailler à la RATP.
Dans une préface touchante et émouvante, Christine Tasin parle ainsi de Ghislaine : « Ghislaine, c’est aussi un humour féroce. Elle vous dépeint en trois coups de crayon les toilettes de la RATP régulièrement bouchées par les gobelets en plastique utilisés par les musulmans pour purifier leur sexe, comme l’exigent leurs textes sacrés… Dans son livre, elle raconte une foultitude de choses tout aussi énormes et, quand elle les évoque devant un café ou un bon petit vin, elle a pris le parti d’en rire et de nous faire rire à chaque fois que c’est possible, de peur d’avoir trop à pleurer. C’est que c’est un sacré personnage Ghislaine ! Elle a l’âge de l’islamisation de la France et elle nous la donne à voir, peu à peu, par petites touches, au détour d’une phrase évoquant son enfance dans les Hauts-de-Seine et ses parents, militants communistes dont elle avait embrassé valeurs et engagements. Elle réussit à nous transmettre la nostalgie de cette époque où les ouvriers croyaient aux lendemains qui chantent, où l’on passait des soirées entières à refaire le monde, où l’on s’émerveillait du confort des HLM, de la convivialité entre voisins, du sentiment de sécurité ressenti par les femmes et les enfants… C’était avant, c’était il n’y a pas si longtemps, avant les pneus crevés, avant les voitures brûlées, les insultes aux « Céfrancs », les tournantes dans les caves pour ces « putes de Françaises »… (…)
(…) Puisse Mahomet au volant, la charia au tournant créer un sursaut nécessaire, afin que La Vénus de Milo, le Déjeuner sur l’herbe ou la Joconde ne subissent pas le sort des bouddhas de Bamiyan ou l’Arc de Triomphe de Palmyre.
Le 13 novembre 2015, trois ans après le début de cette aventure, Samy Amimour, qui fut machiniste à la RATP, fera partie des assassins du Bataclan, et se fera exploser. Son épouse, française, lui rendra un hommage d’une rare indécence, appelant, depuis la Syrie à tuer un maximum de Français. Combien de classés S, combien de futurs Amimour dans les milliers de nouveaux salariés recrutés par la RATP depuis dix ans ?
Quand Charlie Hebdo capitule en rase campagne en publiant, un an après les assassinats de ses dessinateurs, une couverture lâche de Riss, tapant « courageusement » sur le dieu des chrétiens, quand ce gouvernement ose proclamer l’Etat d’urgence et nous dire en guerre, sans déclarer le nom de notre ennemi, Ghislaine Dumesnil, elle, dit la vérité.
Cette fille de communiste, qui se dit fière de son pays la France, reste fidèle à Jaurès, qui disait : « Le courage, c’est de chercher la vérité, et de la dire« .
En ce début d’année, il faut acheter, lire et faire connaître ce témoignage-choc d’une femme courageuse qui a refusé de baisser la tête, et s’est battue jusqu’au bout, en osant témoigner d’une réalité que nos politiques connaissent, mais refusent d’admettre, tant elle est accablante pour le bilan de leurs trente dernières années.
Amis lecteurs, pour assurer le succès que mérite ce livre, nous ne pouvons compter que sur nous, et sur vous.
Commander « Mahomet au volant, la charia au tournant », de Ghislaine Dumesnil :
Chèque de 18 euros à l’ordre de Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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mercredi, 06 janvier 2016
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3216 du 24 déc. 2015 au 6 janv. 2016
BONNE chance ! Le porte-avions Charles De Gaulle est parti pour la Syrie. Un dixième des militaires sont de confession musulmane. Et alors ? Et alors, on se souvient de la mutinerie qui eut lieu en 1999 à bord du porte-avion Foch, des marins musulmans s’étant insurgés contre les frappes sur le Kossovo islamiste. Ils avaient même pris des officiers en otage et les commandos durent intervenir pour rétablir l’ordre. Autre exemple émouvant : en 2009 des militaires musulmans refusèrent de partir en Afghanistan combattre leurs frères de religion. C’est une vieille histoire qui ne fait que se répéter. En 1990, Jean-Pierre Chevènement avait reçu un rapport sur les Beurs et le service national qui précisait que « les JFOM (jeunes Français d’origine maghrébine) commettent 3,5 fois plus de désertions, 6 fois plus de refus d’obéissance, 6 fois plus d’outrages à supérieurs et 8 fois plus d’insoumission » (source : Centre d’études sur la sélection du personnel de l’armée de terre).
ESTROSI, UN CLOWN À LA BOTTE DES LOBBYS
Christian Estrosi (Les Républicains), qui a remporté la région Paca face au FN grâce notamment aux voix de gauche, estime, se démarquant de Nicolas Sarkozy, que « plus on va à droite, plus on fait monter le FN ». L’ex-supposé droitiste qui a certes du talent (quand il pilote une moto) n’est pas, sur le plan politique, à une clownerie près. Ce zozo d’envergure avait déjà tenté de remettre, devant les caméras, le dernier livre de tante Simone Veil à Marion Maréchal-Le Pen, cadeau que cette dernière avait fort justement refusé d’accepter. L’individu que j’évoque (les mots que j’aimerais utiliser tombent sous le coup de la loi, et RIVAROL a suffisamment de procès en cours. Au fait, aidez-nous !) a, avec une puissance de pensée inouïe, précisé « faire une différence entre le Parti socialiste et le Front national, qui est un mouvement sectaire et nauséabond », alors que des élus PS « m’ont, ici, apporté un soutien sans faille et sans contrepartie ». Sans commentaires !
HITLER « N’EN AVAIT PEUT-ÊTRE PAS TUÉ ASSEZ »
Gilles Bourdouleix (ex-UDI) est le député-maire de Cholet. Il s’était un tout petit peu lâché lors d’une altercation avec des « gens du voyage », déclarant qu’« Hitler n’en avait peut-être pas tué assez ». Du coup, il avait été condamné à 3 000 euros d’amende, somme relativement modeste si on la compare aux condamnations que subit RIVAROL pour des propos infiniment plus modérés. Bref, la Cour de cassation a annulé la condamnation de Bourdouleix dans la mesure où, selon elle, le délit d’apologie de crime contre l’Humanité ne peut être constitué que si la volonté de leur auteur de rendre publics ses propos est établie, ce qui n’est pas le cas ici. Heureux homme qui a l’avantage de faire partie, il est vrai, du Système.
LA RÉPRESSION POLITIQUE EN ALLEMAGNE
Je l’ai souvent exprimé dans ces chroniques. L’Allemagne est sans doute le pays le plus répressif d’Europe à l’encontre du politiquement incorrect. Pire que la France, ce qui n’est pas peu dire. Le journaliste de Die Welt (l’équivalent du Monde) Matthias Matussek avait déclaré, de façon tout à fait inconsidérée, après les attentats du 13 novembre à Paris, que les actes de terreur dans la capitale de la France « vont donner une nouvelle direction au débat sur les frontières ouvertes et le quart de million de jeunes hommes non enregistrés qui circulent librement en Allemagne ». Il était tout simplement devenu fou, le pauvre homme. La réaction ne tarda pas. Le rédacteur en chef de Die Welt avait immédiatement répondu en « prenant ses distances, au nom de Die Welt, un journal qui défend d’autres valeurs, des valeurs de liberté et d’humanisme. » Il ajouta plus loin « …pour le reste, nous en discuterons en interne ». La discussion fut des plus rapides. Matthias Matussek a été licencié, ce qui était la moindre des choses, à défaut d’être traduit devant le tribunal de Nuremberg et pendu haut et court.
LE FILS DU GRAND VIOLONISTE JUIF YEHUDI MENUHI RÉVISIONNISTE !
Incroyable. Gerard Menuhin, le fils de Yehudi Menuhin, le grand violoniste, vient de faire paraître un livre dont le titre est « Sag die Wahrheit, auch wenn sie weh tut » ! (dis la vérité, même si elle fait mal). Il y écrit : « L’holocauste est le plus grand mensonge de l’Histoire », ajoutant : « L’Allemagne n’a aucune responsabilité dans la Seconde Guerre mondiale et Adolf Hitler était le seul homme d’Etat au monde qui aurait pu délivrer le monde de la menace ploutocratique et juive. » Que subirait-on si RIVAROL se permettait d’écrire de telles choses !
HONTEUSE CONDAMNATION D’ÉRIC ZEMMOUR
L’interview avait été publiée en octobre 2014, dans le journal italien Corriere della Sera (en italien). Zemmour avait déclaré que les musulmans « ont leur code civil, c’est le Coran », qu’ils « vivent entre eux, dans les périphéries » si bien que « les Français ont été obligés de s’en aller ». « Cette situation d’un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile ». Le jeudi 17 décembre, Eric Zemmour a été condamné à 3 000 euros d’amende pour provocation à la haine raciale. Il avait, il est vrai, fait fort, déclarant « Je pense que nous nous dirigeons vers le chaos. Cette situation de peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile » et répondant avec une insolence inouïe au journaliste qui lui posait la sournoise question : « Mais alors, que suggérez-vous de faire : déporter 5 millions de musulmans français ? », il déclara : « Je sais, c’est irréaliste, mais l’histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 qu’un million de Pieds-Noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d’Algérie pour revenir en France ? » En attendant, Philippe de Villiers et Robert Ménard ont lancé une pétition dénonçant cette décision inique de la justice supposée française. Silence radio du côté du FN mariniste… Au fait, que dit Zemmour des résultats des récentes élections ? « La dédiabolisation a été inutile et vain le parricide. Il ne s’agit même pas de ligne politique. Le social-colbertisme de Philippot, le social-ouvriérisme de Marine ou le libéralisme réac de Marion ont également été balayés ». Et de prôner un grand rassemblement, style RPF. Bof…
CHRISTINE BOUTIN MARTYRISÉE PAR LA “JUSTICE”
Christine Boutin vient d’être condamnée le vendredi 18 décembre à 5 000 euros d’amende pour « provocation publique à la haine ou à la violence » envers les homosexuels pour avoir dit que « l’homosexualité est une abomination ». Le tribunal correctionnel a été au-delà des réquisitions du procureur, qui avait réclamé à l’audience fin octobre une amende de 3 000 euros à son encontre. Christine Boutin a également été condamnée à verser 2 000 euros de dommages et intérêts à chacune des deux associations, Mousse et Le Refuge, qui s’étaient constituées parties civiles. A ce rythme-là le jour viendra bientôt où l’on ordonnera de brûler la Bible et le catéchisme pour crimes d’“homophobie” ?
DES MILITAIRES FRANÇAIS TRAITÉS COMME DES CHIENS
C’est tout simplement une ignominie dont personne, à droite ou à gauche n’a parlé ni ne parle. Merci à mon camarade rivarolien, le général A.V., de nous avoir transmis cette lettre d’une épouse de militaire adressée au ministre de la Défense et au Premier Ministre. Voici sa lettre, qui ne demande aucun commentaire :
« Monsieur le Ministre,
Je suis une épouse de militaire outrée, outragée de constater le mépris que vous portez à notre armée. Ces hommes et ces femmes sont déployés sur le territoire national afin d’assurer la sécurité des Français et de leurs institutions dans le cadre du plan Vigipirate. Nos soldats sont logés, pour la plus grande majorité, dans des conditions honteuses dans nos villes.
Certains, à Paris, dorment sous des tentes, d’autres sont hébergés dans des bâtiments désaffectés sans rien pour assurer leur confort minimum (hygiène corporelle et vestimentaire). Nos militaires sont obligés de prendre sur leurs deniers personnels pour pallier vos manquements inacceptables.
Je prends pour exemple la situation des hommes que vous avez déployés à Nice. Ils sont 150 militaires logés dans une ancienne maison de retraite délabrée, ils ont 2 douches et aucun lavabo avec miroir pour pouvoir se raser correctement.
Monsieur le Ministre, un gouvernement qui se permet de loger, de nourrir, de distribuer des aides à n’en plus finir à des clandestins aux frais des contribuables et qui ne montre aucun respect, aucun honneur envers nos militaires est un gouvernement que je vomis !
J’en terminerai, Monsieur le Ministre, en vous signifiant que je ne lâcherai rien pour nos militaires, que je suis prête à aller très loin dans mon combat pour nos soldats qui, eux, œuvrent chaque jour, en France ou à l’étranger, pour notre sécurité.
Vous comprendrez, Monsieur le Ministre, que je ne vous salue point. »
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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L'hystérie médiatique à propos de "Mein kampf"...
La sœur et unique héritière d’Adolf Hitler, Paula, est morte de maladie à Berchtesgaden en 1960. Ceci n’est d’ailleurs d’aucune importance pour le sujet, puisque toutes les publications de la maison d’éditions Eher de Munich (devenues les éditions du NSDAP dès 1920, par rachat à tempérament de cette société, les paiements étant échelonnés jusqu’en 1929) ont été confisquées par l’Occupant US en octobre 1945 et les droits d’auteurs transférés par lui, l’année suivante, au Land de Bavière. 70 ans plus tard, les textes des éditions Eher passent dans le domaine public, soit en 2016.
L’hystérie se déclenche aussitôt. Pour les uns, il faut interdire la réédition du premier livre d’Adolf Hitler (qui avait déjà écrit en 1923 une brochure antijudaïque, publiée sous la forme d’un dialogue entre lui et Dietrich Eckart en 1924… cette brochure, Der Bolchevismus von Moses bis Lenin, est en libre lecture sur le Net depuis des années, sans que cela ait ému quiconque) ; pour d’autres, il faut « combattre » ce livre… comme si depuis 1933, n’existait pas une littérature antinazie pléthorique, au point qu’une vie entière de chercheur ne suffit pas à tout lire de cette très inégale production, qui croît d’année en année, avec des pics éditoriaux généralement couplés à une reprise des revendications pécuniaires de déportés raciaux ou de leurs nombreux ayants-droit.
Or le premier livre d’Adolf Hitler est d’abord et avant tout un document historique, indispensable à l’étudiant en histoire, en sociologie ou en sciences politiques et bien davantage encore au chercheur. Le volume I, dicté par le Führer du NSDAP à Rudolf Hess dans la prison-forteresse de Landsberg en 1924, a été publié en juillet 1925. Le second tome, dicté en 1926 au directeur des Eher-Verlag, Max Amann, camarade de guerre du Führer et grand blessé de guerre, est paru en juillet 1926, les deux tomes étant ensuite édités en un seul volume, diffusé à plus de 10 millions d’exemplaires, en 16 langues, avant 1945.
La traduction française de 1934 fut illégale, financée & diffusée par la LICA (Ligue Internationale Contre l’Antisémitisme) dirigée par Bernard Lecache. Il est amusant de constater qu’en 1934 sq., les plus farouches antinazis voulaient à toute force faire connaître les idées hitlériennes, pour mieux les combattre… au point de braver les lois sur la propriété commerciale et les droits d’auteurs. Le Tribunal de commerce de la Seine, saisi par la société Eher-Verlag, interdit la vente par décision du 18 juin 1934 – la date est symbolique : c’est celle de Waterloo… voire celle d’un autre anniversaire -, mais la LICA poursuivit la diffusion clandestine des 8 000 exemplaires de cette édition pirate, rééditée plusieurs fois après 1945. De nos jours, une foule de littérateurs, qui n’ont probablement jamais lu ce document, veulent à toute force en interdire sa (énième) réédition… peut-être pour augmenter la valeur marchande des exemplaires de bouquinistes.
Personne n’a jamais grogné lorsque furent commercialisés le Second Livre d’Adolf Hitler (surtout consacré à la politique étrangère), écrit en 1928, paru pour la première fois en 1961, les Libres Propos sur la guerre et la paix, édités à partir de 1952 (avec diverses variantes selon l’interprète des notes prises en sténographie) ou les Discours d’avant et d’après l’accès au Pouvoir.
Or cinq minutes de réflexions suffisent à calmer l’hystérie. La situation européenne – et singulièrement l’allemande – est radicalement différente de celle des années 1920-32. En outre, et surtout, il n’existe plus – du moins en nombre suffisant pour créer de réels problèmes et pas seulement la « mousse journalistique » – d’Européens de la trempe des militants politiques exaltés de l’entre-deux-guerres (de quelque bord et nationalité que ce soit). Très peu nombreux sont, de nos jours, les Européens prêts à mourir pour défendre leur patrie et bien moins nombreux encore sont ceux qui accepteraient de mourir pour propager leurs idées.
Laissons les faiseurs de vacarme et les agités donner de la voix et s’indigner. Mais offrons à ceux qui le veulent réellement la possibilité d’obtenir, à un prix raisonnable, un document d’histoire, singulièrement plus lisible que Das Kapital ou que les ultra-soporifiques œuvres de « Lénine »-Oulianov, de « Trotsky »-Bronstein ou de Rosa Luxemburg, qui jamais ne furent interdites de publication… alors même que la barbarie marxiste, en toutes ses applications aussi meurtrières les unes que les autres, a directement provoqué la mort prématurée de 110 à 120 millions d’êtres humains, de 1917 à nos jours, et a gâché irrémédiablement la vie de milliards d’autres.
Nul n’est jamais obligé, en régime démocratique, de lire une œuvre qui paraît en librairie. En revanche, la Démocratie est, par définition, un régime de libre expression de la pensée, de toutes les formes de pensée, même les plus atypiques ou les plus absurdes. Après tout, le Deutéronome, les Livres d’Esdras et de Néhémie sont, entre bien d’autres choses, des manuels de racisme matrimonial et L’Exode, les Livres de Josué, des Rois ou de Samuel sont farcis d’apologies de génocides, crimes jugés imprescriptibles de nos jours par presque tous les Codes de lois… et nul ne songe à les interdire d’impression et de diffusion.
NDLR : sur le NSDAP, lire le n°8 des Cahiers d'Histoire du nationalisme
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Toujours Ignace :
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Porto Rico, revu et corrigé par Jean-Claude Rolinat
Soyons honnêtes. On ne connaît souvent de Porto Rico, en France, que West Side Story, l’œuvre de Leonard Bernstein et Stephen Sondheim. Créée en 1957 à Broadway, elle fut portée à l’écran par Robert Wise et Jerome Robbins en 1961.
On nous dira que c’est un peu court pour appréhender les réalités de cette île des Antilles et de ses petites sœurs, Vieques, Culebra et Isla Mona. Certes. Et c’est là, justement, qu’entre en scène Jean-Claude Rolinat. Avec l’œil de l’entomologiste Fabre, il est le cicerone idéal pour nous faire découvrir l’histoire assez compliquée de Porto Rico (qu’on appelle aussi Puerto Rico). Il ne laisse rien au hasard : ère précolombienne, colonisation espagnole, installation nord-américaine, partis politiques (un vrai panier de crabes), considérations géopolitiques, économie, religion, tourisme, gastronomie. Avec un petit supplément d’âme qui, le livre refermé, vous donnera sans doute l’envie d’aller voir in situ.
Porto Rico, colonie, État libre associé ou, à terme, 51e État des USA ? C’est exactement la question que traite Jean-Claude Rolinat. Il écrit : « Alors Porto Rico, latina ou américaine ? Les deux, mon colonel… Elle est comme la chauve-souris, voyez mes ailes, je suis oiseau, voyez mes pattes, je suis souris… Elle est d’une couleur spécifique dans l’univers américain. Pas du tout anglo-saxonne, mais pas complètement non plus afro-caraïbe comme la Jamaïque, Trinidad et Tobago, la Barbade. Elle est un cocktail d’un peu tout ça à la fois ».
Porto Rico 51e étoile ou dernière colonie américaine ? Jean-Claude Rolinat, Atelier Fol'fer, 2016, 150 pages, 16 € (+ 4,50 € de port) cliquez ici
NDLR : autres livres de Jean-Claude Rolinat cliquez là
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Habituez-vous à la nouvelle Europe : en Allemagne, des femmes « chassées comme du gibier » par les réfugiés
Jean-Patrick Grumbert - Dreuz info cliquez là
Cologne, Hambourg, Stuttgart… la police et les Allemands inquiets après une nouvelle série d’agressions sexuelles le soir du réveillon du nouvel An dans plusieurs villes allemandes, toutes sur le même modèle : des meutes d’hommes d’origine arabe et africaine pourchassent, harcèlent sexuellement, volent, violent des jeunes femmes.
L’Allemagne découvre avec effarement les bienfaits d’une population réfugiée musulmane misogyne, homophobe, et éduquée dans l’idée qu’une femme doit être soumise aux désirs des hommes.
L’Allemagne qui accélère son suicide (son très faible taux de natalité a déjà signé sa volonté de disparaitre) a accueilli les bras ouverts une population de réfugiés mâles arrivés sans femmes – et nous avions annoncé que cela ne pouvait pas ne pas poser des problèmes de viols, car ces hommes ont besoin de satisfaire leurs besoins sexuels, et si dans leurs pays ils sont freinés par les burqas, ils ne sont pas habitués aux mini-jupes et tenues occidentales qu’ils considèrent comme une invite.
L’Allemagne peut toujours feindre de se plaindre de la situation explosive, mais quand on est con on est con, et ça se paye. Et il faut vraiment être sacrément con pour ne pas avoir vu venir ce qui arrive. Con ou politiquement correct, cela revient au même rejet du bon sens.
Donc. Pendant la nuit de la Saint-Sylvestre, plusieurs dizaines de femmes ont été agressées sexuellement par des groupes composés de centaines d’hommes musulmans, dans plusieurs grandes villes, rapporte la police et quelques médias.
A Cologne, le chef de la police, Wolfgang Albers a déclaré au Süddeutsche Zeitung que « l’ampleur des crimes a atteint une nouvelle dimension », laissant au lecteur le soin d’imaginer cette nouvelle dimension…
Albers confirme au quotidien allemand – et c’est bienvenu car la plupart des journalistes travaillent dur pour enterrer la réalité contraire à leur idéologie xénophile, que les agresseurs étaient nord-africains et arabes, selon les victimes et les témoins.
Quelques rares médias (en Allemagne, tous les médias ne sont pas en état avancé de décomposition morale comme en France) affirment que de « meutes d’hommes » s’en sont pris à des femmes, parfois très jeunes.
A Cologne, elles ont été dérobées de leurs téléphones, argent et effets personnels, violées, agressées, harcelées, principalement près de la gare principale de Cologne.
Près de la gare centrale et de la place de la Cathédrale, 400 à 500 hommes jeunes d’origine nord africaine ont commencé à faire éclater des pétards dans la foule…
Pour l’instant, nous avons reçu 60 plaintes, a déclaré la police, qui suspecte qu’un plus grand nombre va suivre : « les agressions sont d’une toute nouvelle envergure », a déclaré le chef de la police de Cologne Wolfgang Albers.
Environ 15 jeunes femmes ont déclaré avoir été sexuellement agressées, et il y a même eu un cas de « viol par plusieurs hommes » a déclaré Albers.
Des groupes d’hommes de 15 à 35 ans se sont regroupés pour voler et harceler des jeunes femmes. Ils se sont livrés à des attouchements, a précisé Albers, au point que le maire de Cologne a immédiatement réuni une cellule de crise.
143 officiers de police furent envoyés à la garde centrale pour donner renfort aux 70 policiers fédéraux déjà sur place. Selon le commissaire de police Wolfgang Wurm, les victimes et les témoins ont tous déclaré que la plupart des agresseurs « semblaient venir d’Afrique du nord et avaient l’apparence arabe ».
Le maire de Cologne, Henriette Reker a d’abord décrit les évènements comme « outrageants ». Mais plus tard, lors d’une conférence de presse, elle a accusé les jeunes femmes agressées d’être responsables de leur sort en raison de leur comportement, qui devrait être adapté à la présence et à la culture de ces nouveaux venus.
A Hambourg, Bild parle de « chasse aux jeunes femmes comme du gibier» par des hordes musulmanes sauvages, dans la Reeperbahn, la rue animée de Hambourg.
Plusieurs groupes d’environ 5 à 15 hommes se sont littéralement engagés dans « une chasse aux jeunes femmes comme on chasse du gibier ».
Le premier incident s’est produit vers minuit dans Hans-Albers-Platz et Grosse Freiheit. Selon des témoins, la plupart des agresseurs étaient des jeunes étrangers probablement nord africains qui se sont mis en bandes pour harceler des jeunes femmes, d’abord verbalement en les traitant de « salopes », « vicieuses », « putes ». Puis les proies étaient entourées puis violentées et volées. Les hommes se sont ensuite livrés à des attouchements, attrapant leur poitrine et leur sexe.
Leurs téléphones portables furent volés, rapporte le porte parole de la police Holger Vehren: « pour l’instant, sur les 6 plaintes que nous avons enregistré, les victimes ont entre 18 et 24 ans… » mais il semble qu’il y ait beaucoup, beaucoup plus de victimes.
Beaucoup sortaient de clubs ou de pubs, et ont commencé à paniquer puis à éclater en sanglot, et de honte, n’ont pas alerté la police.
Denise, 17 ans (le prénom a été changé) déclare : « Deux amies à moi ont été attaquées. Des filles étaient pourchassées comme on chasse des animaux. Qu’une chose pareille soit possible à Hambourg me rend malade. Maintenant on a peur de faire la fête dans le quartier. «
D’autres jeunes femmes, sur les réseaux sociaux, avouent avoir été attouchées sous leurs jupes, et si elles résistaient, ils leurs immobilisaient les poignets.
La police a ouvert une enquête pour harcèlement sexuel, vol et agression.
Puis les agresseurs se rendirent dans les rues de Reeperbahn. La police a fait un appel à témoins qui sont priés d’appeler le 040/4 28 65 67 89.
A Stuttgart, deux jeunes filles ont été sexuellement violentées par un groupe d’hommes, puis volées et frappées, témoigne le magazine Focus citant la police municipale.
Deux jeunes filles de 18 ans marchaient dans Schlossplatz vers 23h30 quand elles furent soudainement encerclées par environ 15 hommes qui les empêchèrent de s’enfuir. Ils se sont alors livrés à des attouchements, et leur ont dérobé leurs smartphones et leurs sacs. Elles doivent de ne pas avoir été violées à la présence de passants qui leur ont permis de partir en courant.
Dans un communiqué, la police a lancé cet appel à témoin pour retrouver les perpétrateurs : « il s’agit d’Arabes de type nord africains aux cheveux noirs, agés d’environ 30 à 40 ans. Les gens qui sont venus en aide des jeunes femmes, et les autres témoins de l’incident sont priés de se faire connaitre auprès des autorités du département d’enquêtes criminelles aux numéros suivants : 8990/5778.
Mais rassurez-vous, devant l’évidence, il se trouve aussi en Allemagne de nombreux journalistes complices et franchement abjectes qui affirment « qu’il n’existe aucune preuve pour le moment que les réfugiés soient les auteurs de cette nouvelle violence ». Ces mêmes journalistes sont les premiers à condamner l’extrême droite sans s’embarrasser de la moindre preuve, lorsqu’ils peuvent.
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François Hollande-Émile Loubet : la continuité dans le changement.
Dr Bernard Plouvier
Certes, la Constitution de 1875 a été remplacée moult fois (elle fut remaniée en 1879, 1884, 1926, avant d’être abolie en 1940) et l’actuelle, celle de 1958, remaniée en 1962, fait de nous les (mal)heureux citoyens d’une Ve République, de plus en plus vacillante, entrée en état d’agonie, par l’indignité d’une foule de politiciens corrompus, voire repris de justice, et par leur totale incapacité à résoudre les vrais problèmes actuels : chômage d’une ampleur inédite, destruction progressive de l’industrie française, fiscalité écrasante, insécurité liée à une racaille immigrée pléthorique ainsi qu’au fanatisme musulman qui nous ramène à la pire époque médiévale.
Toutefois, la ressemblance est frappante entre le Président Émile Loubet (qui somnola au Palais de l’Élysée de février 1899 à février 1906, soit à la pire époque de l’affaire Dreyfus : lors de la phase d’assouvissement de la vengeance du « syndicat dreyfusard ») et notre merveilleux Président. Durant toutes ses années de présidence, Loubet ne se manifesta que par sa haine du catholicisme et par son activité « d’inaugurateur des chrysanthèmes » : c’est pour lui que l’expression fut créée, reprise soixante ans plus tard par Charles de Gaulle qui, dans ses écrits et ses discours, ne citait jamais ses sources.
Notre Loubet-bis se caractérise par une vigoureuse action contre ce qu’il considère comme l’ennemi public N° 1 de la France : le Front National, et par une activité débordante d’inaugurateur de plaques commémoratives, de cérémonies expiatoires, de célébrations funèbres et de commémorations d’icelles, une année plus tard, enfin de remises de décorations. En janvier, il célèbre l’anniversaire des premiers massacres parisiens perpétrés par des fous d’Allah ; en décembre, il en fera autant avec la seconde série, où les djihadistes ont décuplé leur score. Entretemps, il aura pu déplorer dignement les autres attentats dont il a prédit la survenue lors de ses « vœux », durant lesquels il a félicité les Français de leur grande victoire… sur le Front National, à défaut de pouvoir célébrer une victoire contre le chômage, contre le terrorisme ou contre l’État islamique. On a les victoires qu’on peut, surtout lorsqu’on manque de capacités et de munitions.
Tout cela est excellent pour sa grimpette périodique dans les sondages d’opinion. Hélas, monsieur « Je vais résorber le chômage en 2016 » (comme il l’avait promis pour les années 2013, 2014 et 2015) n’étant guère brillant sur ce point fort délicat, les scores de popularité s’effriteront jusqu’à la nouvelle cérémonie commémorative ou le prochain attentat qu’il condamnera dignement, ce qui inversera de nouveau la tendance. Les Montagnes russes de la popularité présidentielle nous amèneront doucement aux prochaines présidentielles, à moins que la guerre raciale et religieuse n’ait, d’ici là, dégénéré en authentique guerre civile.
Car, pendant que notre beau Président inaugure, décore et commémore, les Français de souche européenne continuent à souffrir de la très durable crise économique, à vivre dans l’angoisse des attentats contre les biens et les personnes. Au cours de l’année 2015, l’on a assisté à une spectaculaire augmentation des agressions physiques (ayons une pensée émue pour les oubliés de la propagande officielle : les Français poignardés, les innombrables femmes et jeunes filles violées, les passants et usagers des transports publics molestés, et même – c’est une nouveauté – les vieillards, malades et infirmes menacés d’incendie par le sabotage de l’installation électrique d’un petit hôpital). Parallèlement, les vols à l’arrachée, les cambriolages, les actes de vandalisme se sont multipliés.
Mais au ministère de l’Intérieur on s’est surtout ému de l’augmentation des « actes antimusulmans », soit des slogans et défilés de citoyens exaspérés. Le saccage de dizaines d’églises, durant l’année 2015, n’est guère mentionné par nos brillants ministres, mais le saccage d’une « salle de prières-salle de sports » (eh oui , dans certaine religion, il arrive qu’on mêle les genres : après tout quand on prône le Djihad, il est bon d’entraîner les ouailles aux sports de combat) est condamné avec une virulence proportionnelle aux espérances de soutien financier en provenance de la péninsule arabique (où l’on commence à entrer en récession du fait de la persistance des faibles prix du pétrole).
Loubet, par ailleurs financièrement honnête, avait gagné la reconnaissance de ses confrères politiciens corrompus en protégeant, par le secret de l’instruction les « Chéquards du Panama ». Notre bon Président semble n’avoir pas trop sévi envers les repris de justice de son Parti. Ces messieurs de la Ve ressemblent de plus en plus à ceux de la IIIe. C’est inquiétant, car ce troisième avatar avait fini dans l’abjection, par la plus écrasante défaite de notre histoire et l’invasion du territoire national.
12:52 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 05 janvier 2016
Il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir...
17:34 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Quand Michel Galabru rendait hommage à la clairvoyance de la bourgeoisie
01:09 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 04 janvier 2016
Ce lundi soir, sur TV Libertés, Emmanuel Albach est l'invité de Martial Bild au sujet du livre "Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes"
Le journal de TV Libertés de lundi soir :
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Existe-t-il une xénophobie en France ?
Dr Bernard Plouvier
Comme pour tout sujet, quelle qu’en soit la nature, il faut commencer par une définition… ce que ne font jamais nos pitres politico-médiatiques, qui pratiquent le flou artistique soit pour mieux tromper le public (qui est, de fait, d’une crédulité confinant parfois au crétinisme), soit parce qu’ils sont eux-mêmes des ignares, adeptes du psittacisme.
Xénophobie est un terme forgé du grec antique et signifie : peur de l’étranger. Nos grands ancêtres Grecs et Romains méprisaient les Barbares et en avaient peur, car ces Barbares étaient fort nombreux, même si leur organisation militaire et leurs connaissances techniques étaient nettement inférieures aux leurs… la cuisine, l’urbanisme et le luxe des Barbares étant parfois supérieurs : c’était une cause de faiblesse et non de force !
À l’évidence, les étrangers – du moins en période de paix, car on sait ce qu’il advint des envahisseurs à toute époque – ont toujours été bien accueillis à titre individuel dans notre pays. Certes, divers chroniqueurs US et germains se sont plaints d’un soi-disant mauvais accueil des commerçants français… mais qui a fréquenté des touristes US loin de chez eux – surtout s’ils ont laissé leur mégère à domicile – comprendra aisément la réserve voire la discrète irritation de Français réactionnelle à la goujaterie, l’arrogance et au débraillé de certains touristes US, comme d’ailleurs de certains allemands.
À toute époque et en tout pays, l’on a connu des marchands mal lunés mais en petit nombre, incomparablement inférieur aux praticiens du « sourire commercial » ou de l’affabilité parfois pesante. Il existe même en France des fonctionnaires sympathiques, voire serviables, et en plus grand nombre qu’en Allemagne, en Italie ou en Belgique… les Suisses et les Autrichiens étant généralement fort courtois et plutôt patients.
Les immigrés d’origine asiatique (Chinois, Coréens, Japonais et Indochinois) n’ont guère à se plaindre d’un éventuel mauvais accueil. Calmes et travailleurs, courtois et discrets, ils sont fort bien perçus par les Français de leur voisinage, d’autant que les jeunes manient en virtuoses (à la différence des grands-mères qui restent cloîtrées chez elles) la langue française. Ils ont même la remarquable courtoisie de régler en interne les problèmes de délinquance de leurs (inévitables) rejetons mâles indociles, beaucoup moins fréquents que les écoliers, lycéens, étudiants asiatiques discrets, intelligents et travailleurs. N’aurions-nous eu que cette seule immigration que jamais aucun problème ne se serait posé. La France (et l’Europe occidentale) s’est indéniablement enrichie en les accueillant.
Un peu plus de 41 années d’exercice de la médecine en hôpital public m’ont prouvé que les étudiants d’origine extra-européenne n’avaient pas à souffrir d’une quelconque xénophobie de la part des médecins de souche européenne et qu’ils bénéficiaient de la même qualité d’enseignement que leurs collègues nés Français de souche européenne.
Je n’ai jamais constaté la moindre répugnance d’un patient français de souche européenne à se faire interroger puis examiner par un étudiant ou un médecin diplômé d’origine extra-européenne. Il en va différemment pour les malades maghrébins face à des Noirs, qu’ils considèrent généralement comme « une race d’esclaves » : j’ai entendu cette ritournelle plus de cent fois. Abid en arabe signifie indistinctement noirs et esclaves, m’a expliqué l’un de ces racistes qui n’avait, sur sa table de nuit, qu’un livre : le coran. Plus tard, j’ai appris que, depuis le VIIIe siècle, de « savants » auteurs de langue arabe utilisaient indistinctement le pluriel abid pour désigner esclaves et Noirs ! De même, si les Noirs acceptaient de se faire soigner par des Blancs ou des Asiatiques, ils ne faisaient pas trop confiance aux Maghrébins… allez savoir pourquoi ?
La peur des étrangers, en tant que tels (ce qui définit la xénophobie), est-elle diffuse en France ? Non, du moins en période de paix. Mais sommes-nous encore en paix ? Sûrement pas !
Depuis le début des années 1980, il existe un état subintrant de guérilla civile dans des dizaines de villes de France. Cette guérilla a été débutée, est constamment entretenue par des voyous issus de l’immigration africaine (noire et maghrébine), avec la complicité active de politiciens, initialement simples démagogues, devenus ensuite des clients d’évergètes islamo-pétroliers. Vivre dans l’insécurité, avoir peur d’être la victime d’un énième épisode du terrorisme aveugle islamiste, ce n’est pas de la xénophobie, mais une légitime inquiétude.
Enfin, il faut dire un mot du racisme qui – à la différence de la xénophobie, qui s’apparente à un complexe d’infériorité – est lui-même une manifestation de paranoïa collective, soit un stupide complexe de supériorité. Ce racisme existe en France : c’est le racisme anti-Blancs et anti-Asiatiques de nos honorables immigrés-envahisseurs d’origine africaine et proche-orientale, comme chacun ayant des yeux et des oreilles peut quotidiennement s’en rendre compte.
La sémantique et le bon sens ont leurs exigences. La Nation – du moins dans ses couches les moins abêties par la grotesque propagande gouvernementale – commence à s’en apercevoir. C’est un peu tard, mais « mieux vaut tard que jamais », dit-on.
23:43 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Lundi 18 janvier : colloque à Paris sur les origines de l'Islam contemporain
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2016, année primaire
Le billet de Patrick Parment
Un sondage vient de tomber, reflet de l’humeur primesautière des Français : ils ne veulent ni de Nicolas Sarkozy ni de François Hollande en 2017. Nous disons bien primesautière, car lors des élections régionales, ils n’ont pas voulu confirmer leur humeur du premier tour qui donnait le Front national largement en tête. Ce qui semble bien vouloir dire que Marine Le Pen risque de ramer encore longtemps.
Sans être une Madame Irma qui lit l’avenir dans sa boule de cristal, on peut déjà augurer que si Marine le Pen passe le premier tour des présidentielles, elle sera battue au second quel que soit le candidat. Ainsi va l’humeur des Français, malgré les claques qu’ils ne cessent de se prendre dans la figure. Peuple éminemment masochiste comme en atteste sa néolithique classe politique et ses intellectuels du ruisseau.
Une fois de plus, on se retrouve avec une martingale impossible. A gauche, le vote d’une loi sur la déchéance de nationalité sème la zizanie. Beaucoup de bruit pour rien, car cette loi sera quasi inapplicable. Le claque bourbonnais n’est pas Vichy. Enfin, l’ultime question qui se pose aux socialistes est la suivante : où est le socialisme ? En attendant, les électeurs de gauche, déboussolés, ont voté à droite aux régionales suffisamment du moins pour éliminer les velleités Front national.
A droite, le chaos n’est pas moindre.Avec cette nouveauté qui mérite d’être confirmé : la dégringolade de Sarkozy. Du coup la cote de Juppé remonte en flèche. Avec ce supplément d’âme qu’il est pour la gauche le moins mauvais des communs dénominateurs. A cette nuance près que Juppé vient de droitiser son discours comme jamais, réclamant un Etat fort – c’est quoi un Etat fort pour une couille molle ? - , l’affirmation de l’identité française, le rappel que l’Europe est une terre chrétienne. Certes, Juppé a compris que l’échéance suprême se jouerait vraisemblablement à droite. Et ça ne mange pas de pain que de brandir l’étendard de la patrie reconnaissante à la face des zozos du Front national.
Sauf qu’il ne faut pas oublier qu’en bon féal de Chirac, Juppé a la laïcité franc-maçonne et l’anti-racisme du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) où il va régulièrement à la gamelle. Un passage obligé de la classe politique française, me direz-vous. Marine Le Pen ne demande qu’à aller à Canossa, mais les instances juives n’en veulent pas, elle est bien trop utile comme épouvantail à moineaux fascistes. Business is Business !
Comme le disait Pasqua imitant Henri Queuille, « les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent ». Et Juppé connaît la chanson, c’est même un expert.
Pendant ce temps, le chômage continue sa course et les patrons, petits ou grands, artisans et paysans se débattent avec un code du travail illisible, des lois ridicules et des normes surréalistes ripolinées par Bruxelles. Comment voulez-vous que l’on s’en sorte. Une année rock’n’roll, je vous dis.
Seul Poutine est grand !
16:39 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Médias Presse Info consacre un article très élogieux au "Petit abécédaire d'un Français incorrect" de Charles-Henri d'Elloy
Les auditeurs de Radio Courtoisie connaissent bien Charles-Henri d’Elloy. chroniqueur maniant avec dextérité l’humour politiquement incorrect et jouant avec les mots en fin connaisseur de la langue française.
Ce Petit abécédaire d’un Français incorrect est une version complétée, actualisée et enrichie de l’édition de 2007. Parce que bien parler n’est pas qu’une élégance désuète mais aussi une défense contre la manipulation des mots, Charles-Henri d’Elloy dresse un recueil de quelques impostures du langage moderne. Effets de mode, grégarisme, ignorance, propagande et tromperie délibérée fournissent à nos contemporains un charabia pour langue de bois que l’auteur décortique avec une ironie bien sentie.
Les lecteurs se régaleront des commentaires de Charles-Henri d’Elloy à propos de l’art contemporain, du mot black, du devoir de mémoire, de la discrimination positive, de la famille recomposée, de la féministe, des gens du voyage, des heures les plus sombres de notre Histoire, de la mixité sociale, des sans-papiers et de bien d’autres expressions dont notre polémiste démonte les dérives sémantiques et les pitreries des bien-pensants conditionnés par le politiquement correct ambiant.
Petit abécédaire d’un Français incorrect… et quelques joyeuses impertinences !, Charles-Henri d’Elloy, éditions Synthèse Nationale, 113 pages, 18 euros
A commander en ligne sur le site de l’éditeur
Source Médias Presse info cliquez ici
NDLR : rappelons que Charles-Heni d'Elloy dédicacera son livre samedi 23 janvier, de 15 h à 18 h, à la librairie Duquesne diffusion (27, avenue Duquesne Paris VIIe) cliquez ici
15:12 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Excellent Ignace...
Source Médias Presse infos cliquez ici
11:53 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 03 janvier 2016
2016 : "Rêve de reconquête", le nouveau tube des Brigandes
Avez-vous acheté "Le Grand remplacement", le premier album des Brigandes ?
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Les Brigandes en concert cliquez là
17:49 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Vrai...
16:02 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sur TV Libertés, Bernard Lugan nous parle de la situation en Libye...
15:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Hercules de foire ou Tartarins ?
Dr Bernard Plouvier
Il y a quelques années, lorsque j’étais encore chef de service hospitalier, un monsieur ordurier à la fois plus grand et beaucoup plus gros que moi m’avait menacé, en dépit de mes explications claires et répétées, de « m’écraser la g… » si son épouse, mourante d’un cancer, ne « guérissait pas vite ». N’étant pas précisément patient, j’ai enlevé mes lunettes – remises à la jeune interne que le gros monsieur avait initialement injuriée -, j’ai fermé les poings et l’ai assuré que j’attendais le premier coup pour riposter… et le matamore est parti en maugréant. Cela m’avait fait souvenir d’une phrase de mon grand-père paternel sur « les coqs de villages qui était parfois de simples chapons »… j’avais 7 ans et n’avais rien compris, mon aïeul m’assurant que « je pigerai plus tard ».
Nos glorieuses opérations aéronavales en méditerranée orientale et dans l’espace aérien de Syrie me font évoquer ces deux épisodes et cela n’a rien de risible. Sous Napoléon Ier, l’armée française était la meilleure de la planète, mais Napoléon était un logisticien, un tacticien et un stratège d’exception (hélas moins intéressé par le perfectionnement technique des armes). En 1918, l’on pouvait affirmer que l’armée française – bien qu’elle ait été conduite par des ânes ou des assassins, à l’exception des Lanrezac, Pétain et Franchet d’Espèrey – avait au moins fait jeu égal avec l’armée impériale allemande.
En 2015, une vingtaine de jours d’opérations auront suffi à tarir les provisions de bombes et de roquettes ! En outre, l’étude balistique précise de l’assaut du RAID contre un repaire d’assassins djihadistes – le grand spectacle télévisé de la fin de l’année - a démontré que sur les milliers de balles tirées, aucune (soyons gentils : « très peu ») n’avait touché les cibles visées !
Alors se pose une question angoissante. Faut-il féliciter nos militaires de « leur sang-froid » lorsqu’ils ne tuent pas un fou furieux qui attaque à la voiture-bélier un piquet armé de garde… ou faut-il incriminer un défaut d’entraînement au tir ? En temps de guerre – et nous y sommes -, l’essentiel est d’exterminer l’ennemi tant qu’il est armé (et une voiture-bélier est une arme bien plus redoutable qu’une « Kala » manipulée par des néophytes qui ne savent pas contrôler le tir de leur arme).
2016 commence… et l’on peut parier que, même si nos « chefs » sauront manipuler en virtuoses les media et se montrer de nouveau des rois du lamento et de l’imprécation lors des prochaines tueries de djihadistes, les Français de souche européenne, cibles visées prioritairement par les assassins susnommés, vont « déguster » et qu’ils ne seront même pas vengés.
De Gaulle était fort critiquable dans ses choix et n’a pas fait son devoir de chef en 1944-46 ou de 1958 à 1962, alors qu’il se devait de réconcilier les Français après deux guerres aux effroyables conséquences morales. Du moins, était-il un chef ; il l’a démontré en juin 40. Nos « chefs » actuels ne lui ressemblent guère ; on les comparerait plus volontiers au Tarasconnais des contes d’Alphonse Daudet.
13:14 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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