mardi, 09 juin 2015
Calais, le pouvoir complice des immigrés a interdit la manif des patriotes prévue dimanche dernier... Cela n'a pas empêché Sauvons Calais de s'exprimer !
Thomas Joly, secrétaire général du PdF, lors de son intervention
A Calais, chacun le sait, la situation devient insupportable. La présence de milliers de clandestins dans cette ville portuaire engendre des problèmes de plus en plus graves pour ceux qui ont à la supporter.
Depuis plusieurs mois, à l'initiative d'un jeune calaisien conscient que seule une mobilisation populaire pourra faire prendre aux autorités les mesures qui s'imposent pour que la ville redevienne paisible, un collectif Sauvons Calais s'est créé. Kevin Reche est donc parti en campagne pour faire connaître ce collectif et il a le soutien du Parti de la France de Carl Lang, ce qui lui donne une légitimité politique appréciable.
Mais les autorités ne voient pas les choses de la même façon que le Collectif Sauvons Calais. Au lieu de reconduire hors de France les perturbateurs venus d'Afrique et d'ailleurs, elles préfèrent interdire les manifestations et réunions organisées par Kevin et ses camarades.
Ainsi, dimanche dernier, la manifestation prévue par Sauvons Calais a été interdite. Le pouvoir préférant mater les patriotes calaisiens dans leur ville que faire respecter les lois françaises par les étrangers.
Mais il en faut plus que cela pour décourager ceux qui veulent rester chez eux à Calais et la manifestation s'est transformée en réunion militante et en conférence de presse. Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, et Yvan Benedetti, directeur du site Jeune Nation, sont donc venus apporter leur soutien à Kevin Reche et dénoncer la duplicité du pouvoir complice de la situation intenable que doivent supporter les calaisiens.
A Calais comme ailleurs, le combat continue !
De nombreux calaisiens ont assisté à cette réunion
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Dimanche prochain, 14 juin, élections municipales partielles à Asnières (92) : la liste authentiquement nationale d'Henri Massol reçoit le soutien de Jean-Marie Le Pen
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Poitiers : réussite totale de la 1ère Rencontre Charles Martel organisée dimanche
Un public nombreux, plus de 150 personnes ont assisté à la 1ère Rencontre Charles Martel
Organisée à l'initiative de l'association poitevine Le Cercle des Chats bottés, présidée par Jacques Soulis, la 1ère Rencontre Charles Martel s'est déroulée dans une ambiance à la fois studieuse et festive ce dimanche à Jaunay Clan près de Poitiers.
Malgré la présence en cette fin de semaine d'une bande de malfaiteurs réunis en congrès dans la capitale poitevine, cette belle réunion nationaliste et identitaire s'est tenue sans aucun incident. Le Cercle des Chats bottés avait parfaitement encadré le magnifique château où les 150 participants se réunirent. Pierre Cassen, Président de Riposte laïque, dirigea cette journée d'une main de maître. Qu'il en soit ici félicité.
Le stand de Synthèse nationale sur lequel de nombreux abonnements à notre revue ainsi qu'aux Cahiers d'Histoire du nationalisme ont été enregistrés
Toute la journée des stands étaient ouverts au public. Notons la présence de Terre et peuple avec son secrétaire général Roberto Fiorini, de Riposte laïque, du Réseau Identités, du Parti de la France, des Editions de Chiré, venues en voisines, les Editions Dualpha et Déterna de notre ami Philippe Randa qui couvrait l'événement pour le quotidien Présent, et bien sûr de Synthèse nationale.
Richard Roudier nous retrace les prémices de la Bataille de Poitiers
Toute la matinée fut consacrée à Charles Martel, héros national que le pouvoir voudrait bien laisser tomber dans l'oublie.
Quatre exposés étaient programmés : Richard Roudier, porte parole du Réseau identités et militant occitan, nous raconta les prémices de la Bataille de Poitiers, puis Pierre Vial intervint en tant que médiéviste reconnu pour nous parler justement de cette bataille historique qui vit la victoire de Charles Martel contre les armées musulmanes.Hugues Bouchu, président de la Ligue francilienne, embraya sur le côté politique de ce combat en le plaçant dans une dimension nietzschéenne.
Enfin il revenait à Roland Hélie, directeur de notre revue, de terminer cette matinée en parlant de l'actualité du combat de Charles Martel qui, aujourd'hui comme hier, se résume en un seul mot : RECONQUETE !
Pierre Vial, universitaire, médiéviste et Président de Terre et peuple nous offre un exposé remarquable
Hugues Bouchu, militant identitaire, replace avec brio la Bataille de Poitiers dans sa dimension politique
Roland Hélie termina la matinée en dénonçant les responsables de l'islamisation de l'Europe et en appelant à l'institutionnalisation de ces Rencontres Charles Martel à Poitiers
Puis arriva l'heure de passer à table comme dirait le Marquis. Justement un sympathique banquet gaulois était prévu et ce fut un régal. Du cochon et du tourteau fromager, spécialité niortaise, étaient au menu. Remercions Patricia et toute l'équipe de militantes de la région qui ont préparé ce repas en plein air. L'ambiance de franche camaraderie qui caractérise généralement les banquets patriotiques était de mise.
Mais, dès 14 heures, il fallait rejoindre la grande tente dressée près du château pour assister au meeting politique de l'après midi.
Christine Tasin dénonce les dangers de l'islamisation de la France et de l'Europe
Ce fut d'abord Christine Tasin, la dynamique et rayonnante présidente de Résistance républicaine. Femme de gauche mais surtout militante anti-islam, Christine nous fit un exposé passionnant et alarmant sur l'implantation de cette civilisation venue d'ailleurs en France.
Applaudissements nourris pour saluer l'intervention décapante des jeunes identitaires poitevins
Ce fut le tour de deux jeunes militants identitaires de Poitiers qui enthousiasmèrent la salle en nous exposant le sens de leur engagement.
Paul Marie Couteaux, talentueux et captivant
Paul-Marie Couteaux, brillant écrivain et fondateur du SIEL, intervint pour nous parler de Poitiers et de sa région, haut lieu de l'art roman. Il faut dire que cet ancien collaborateur de Michel Jobert est installé pas très loin de là.
Il serait regrettable que cette belle région devienne une terre d'islam. Un musulman converti au christianisme, Joseph, nous parla ensuite du Coran et appela les Français à le lire pour bien comprendre ce qui va leur arriver.
Carl Lang, un discours qui enflamma la salle
Justement, il y a un français qui a bien lu ce livre et qui sait donc de quoi il s'agit. Ce Français, c'est Carl Lang, le président du Parti de la France, à qui il revenait de conclure cette journée. Son discours fut un véritable appel au réveil des forces authentiquement nationales, nationalistes et identitaires pour que la France redevienne française et l'Europe européenne. Discours qui, vous vous en doutez, enflamma l'assistance.
Hugues Bouchu, Richard Roudier, Pierre Vial, Christine Tasin, Pierre Cassen, Jacques Soulis, Roland Hélie, Carl Lang : le Front des patriotes s'organise...
Bravo et merci à Jacques Soulis et aux membres du Cercle des Chats bottés pour leur accueil et pour le travail militant qu'ils effectuent avec courage et détermination dans leur région.
Dans les jours qui viennent, nous mettrons en ligne les différentes interventions qui ont été filmées. Les textes de ces interventions seront aussi rassemblés dans un livre qui sera prochainement publié par Les Bouquins de Synthèse nationale.
Lire aussi :
Le site de Riposte laïque cliquez ici
La bande annonce :
07:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 08 juin 2015
Réinfo, le mag du Parti de la France, de cette semaine
16:51 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 06 juin 2015
Dimanche 7 juin, TOUS A POITIERS pour la 1ère Recontre Charles Martel
13:53 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Versailles humilié, Versailles souillé...
Claude Bourrinet
Le château de Versailles aura subi toutes les avanies. Je ne parle pas uniquement du sort tragique du pauvre Louis XVI, de Marie-Antoinette, de leurs enfants, ni des hordes de touristes qui ont au moins le mérite, par leur présence, de rendre hommage à la beauté, mais de ce que lui fait subir la bande de parvenus qui s'est emparée des commandes de la Nation.
En effet, depuis 2008, des artistes dits bêtement « contemporains » ont occupé les lieux, comme des parasites tentant de tirer pathétiquement de ce cadre prestigieux une légitimité artistique qu'ils sont en peine d'avoir, au contraire de l'argent qu'ils amassent . Se sont ainsi succédé, avec plus ou moins de bon goût, et, somme toute, une prédilection pour le clinquant et le pétant, histoire d'épater le bobo, Jeff Koon, Xavier Velhan, Takashl Marakani, Bernar Venet, Joana Vasconcelos, Penone, Lee Ufan, et, le dernier, Anish Kapoor, qui veut « bousculer » Le Nôtre (on le croit sans peine), qui mettra le « souk » dans les jardins en installant une sorte de sculpture ressemblant furieusement à un vagin, «le vagin de la reine qui prend le pouvoir », sans doute pour faire écho au Plug anal monumental que Paul MacCarthy avait érigé Place Vendôme, avant qu'il ne connût la piteuse débandaison qu'on sait. Notre « artiste » n'est pas en reste, car il veut, dans la salle du Jeu de Paume, présenter une « œuvre » dont le titre romantique est « Shooting into corner », et qui serait un canon tirant de la cire rouge vif. « Nous sommes là dans une espèce d’éjaculation qui se produit », commente finement notre génie, un symbole phallique dirigé vers un tableau censé transmettre les idées de liberté, d'égalité, de fraternité : on ne pouvait mieux trouver comme emblème du libéralisme triomphant.
Et, pour couronner le tout (comme il se doit dans la demeure du grand Roi), on apprend qu'une « fête galante » est donnée, une sorte de sauterie pour bobos parisiens, à cent-vingt euros le billet d'entrée, et costumes d'époque obligatoires, histoire de dissuader le vilain, le manant (qui pouvait pénétrer dans Versailles, du temps de Louis XIV). L'oligarchie vulgaire, qui a remplacé la bourgeoisie d'antan autrement plus cultivée, ces nouveaux riches dont l'occupation favorite est de cracher sur l'Histoire de France, d'en effacer toutes les traces, s'est mise dans son petit crâne d'épicier une folie bovaresque, histoire de s'enivrer dans les ors de la monarchie, en oubliant, à travers ces froufrous, que le chômage a battu son record historique, et que les Français souffrent d'avoir perdu leurs racines.
Mais à vouloir trop singer, on risque de terminer dans un affreux laboratoire d'expérimentations plus ou moins cruelles de l'Histoire telle qu'elle est. Il n'y a guère de kilomètres entre le Palais des Glaces et la Place de la Concorde, où les ancêtres fanatiques de ces minables pataugeaient dans le fleuve du sang innocent.
13:52 Publié dans Claude Bourrinet | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tarek Aziz, mort en prison le 5 juin 2015 pour avoir voulu sauver la Paix
12:45 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Collectif Sauvons Calais, dont la manif prévue pour dimanche est interdite, présente son plan d'urgence pour la ville :
12:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 05 juin 2015
Jeudi 11 juin : Pierre Hillard à Lille
18:47 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le voyage en Syrie : des témoignages des participants
Une délégation française s'est rendue en Syrie cliquez ici
Un article sur ce voyage cliquez ici
01:22 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3190 du 28 mai 2015
JEAN-MARIE Le Pen, interrogé par nos soins, il y a quelques jours quant à l’avancement de son projet d’association qui ne serait cependant pas un parti politique concurrent du FN, nous a répondu ceci : « Chez nous, la réflexion précède l’action (sous-entendu, ce n’est pas le cas chez d’autres, suivez son regard). Nous nous consultons de façon à parfaire l’enfant, le petit Jean-Marie ». Trop mignon…
LE “PETIT JEAN-MARIE” VA BIENTÔT NAÎTRE
Il ajoute que l’on peut être à la fois au FN et dans une structure « non partitique ». Les statuts ne l’interdisent pas. L’association, que certains ont imaginé baptiser « Association des Amis de Jean-Marie Le Pen » (mais rien n’est encore sûr) est donc « en création, en réflexion dans l’espace et le temps », nous dit le Menhir. Des « modes d’action judiciaires » sont aussi en préparation. Jean-Marie Le Pen considère qu’« un congrès par voie postale est une escroquerie » qu’il contestera vigoureusement devant les tribunaux, arguant du parallélisme des formes. Dès lors que Jean-Marie Le Pen a été élu par un congrès “physique” président d’honneur du FN, il ne peut être démis de son titre que par un congrès de même nature. Sinon, dit Jean-Marie Le Pen, il « s’agirait d’un congrès bidon ». Mais qu’en est-il de l’entourage de Marine Le Pen ? Le président d’Honneur a cette formule dont il a le secret : « Une règle chrétienne : on ne fait pas porter la bannière par les convertis ». Sacré Le Pen, ils n’ont pas fini de souffrir !
PÉTAIN, CONDAMNÉ À NOUVEAU À MORT PAR L’INÉNARRABLE WALLERAND DE SAINT-JUST
Wallerand de Saint-Just avait, depuis toujours, été l’avocat de Jean-Marie Le Pen. Il est connu pour ne pas être le génie du siècle, d’où des procès perdus qui eussent pu ne pas l’être. Mais JMLP lui avait toujours gardé sa confiance, ce en quoi il avait certainement eu tort. Saint-Just est aujourd’hui trésorier du FN et tête de liste pour les régionales en Ile-de-France. Il estime que JMLP représente « un obstacle considérable » quant à la bonne marche du Front national. Dans la perspective d’« écarter les obstacles qui pourraient surgir sur cette route (celle de la présidence de la République) », il faut éliminer Jean-Marie Le Pen. Wallerand de Saint-Just considère que les propos réitérés de Jean-Marie Le Pen sur les chambres à gaz, « détail de l’histoire » de la Seconde Guerre mondiale, peuvent « parfaitement être ressentis comme antisémites ». Avec un avocat pareil, qui se transforme sans honte en procureur, on comprend que le Menhir ait perdu quelques procès…
Saint-Just était reçu, il y a quelques jours, par le journaliste de RTL, Jean-Michel Aphatie. Ce dernier, connaissant le courage légendaire du personnage, ne put résister à la tentation de le torturer quelque peu. Il revint sur les propos de Jean-Marie Le Pen, qui avait déclaré que le Maréchal n’était pas un traître. Qu’en pensez-vous, demanda le journaliste ? Houlà ! Achtung, danger ! Le terrain devenait glissant. Wallerand commença à se décomposer. De fines gouttelettes de sueur perlèrent sur son front. La moustache se mit à friser, puis à défriser, au rythme d’une respiration de plus en plus saccadée, la barbe aussi (il porte la barbe depuis quelques temps, car, a-t-il déclaré, « c’est à la mode », genre de réflexions qui en dit long sur le personnage !). Il se mit à bafouiller, et finit par expectorer péniblement : « Je m’en réfère à la décision de justice ». En d’autres termes, il approuve la condamnation à mort du Maréchal. Quelle honte ! Mais Aphatie était satisfait de sa réponse, c’est ça qui compte. Il trouva aussi moyen de préciser, lui qui fut durant vingt ans l’avocat de Jean-Marie Le Pen, qu’il ne l’avait été que pour des raisons techniques (sous-entendu, qu’il désapprouvait le fond). Comment un militant national ou nationaliste sincère peut-il envisager une seule seconde de voter pour de pareils misérables ?
MARINE LE PEN EST “CONTRE LES STATISTIQUES ETHNIQUES”. BEN, VOYONS…
Interrogée sur l’affaire Ménard et des statistiques ethniques, Marine Le Pen a été on ne peut plus claire. Elle a déclaré : « Sur le fond, moi je suis contre les statistiques ethniques, je l’ai toujours dit, ça n’est pas ma vision. Parce que je suis contre le communautarisme, parce que je ne mets pas les gens en catégorie selon leur origine, selon leur religion. Moi je défends tous les Français, quels qu’ils soient et d’où qu’ils viennent. » C’est beau comme du Mélenchon. Elle poursuit avec ces fortes paroles, empreintes de bon sens, qui dévoilent une grande profondeur intellectuelle : « Quand on devient français, on devient français ». On savait que quand on devenait français, on ne devenait pas chinois. Mais il était important de le préciser. Bien entendu, pas question pour elle de défendre les « Français de souche ». « J’ai pas une passion pour cette expression, parce que moi j’ai une vision très imprégnée des valeurs de la République française, des valeurs de l’assimilation, c’est à-dire que je pense que quand on devient français, on devient français ». Mais attention, Marine Le Pen n’est pas opposée aux statistiques permettant de dénombrer le nombre d’immigrés et de binationaux en France. Car, dit-elle, « cela n’a pas de caractère racial ». Le journaliste Marc Bertric note fort justement : « Mais après 40 ans de regroupement familial, de droit du sol, de naturalisations massives et de régularisations tout aussi massives, peut-on considérer que des statistiques reposant sur la nationalité puissent suffire à dépeindre la réalité de notre pays ? »
MARINE LE PEN, UN PRÉCIPITÉ DE HAINE À L’ENCONTRE DE SON PÈRE
Marine Le Pen était interrogée récemment par un journaliste de RTL qui la suivait dans son voyage à Prague. Il lui a posé une question sur l’éventualité que Jean-Marie Le Pen constitue sa propre liste pour les élections régionales en Paca. Marine Le Pen a répondu : « Et pourquoi pas un ticket avec Gollnisch, ce serait sexy, non ? » Autre question du même journaliste quant à l’éventualité de la création d’un nouveau parti par Jean-Marie Le Pen. Réponse pleine de tact de la fille, qui dévoile une fois de plus son rictus de haine à l’encontre de son père : « Au niveau européen peut-être, avec les antisémites hongrois ou les néo-nazis grecs, ça clarifierait les choses… » Et puis, cette dernière considération pleine d’humanité à l’encontre du fondateur du Front national qui se trouve aussi être son père : « Il gesticule tout seul. A qui croit-il encore faire peur ? » Et ce tacle contre sa belle-mère en réponse à des journalistes l’interrogeant sur la crise entre le père et la fille : « Vous n’avez qu’à interviewer Jany » ! Un vrai cœur de pierre !
FN : ET SI LE PROCHAIN EXCLU ÉTAIT PHILIPPOT ?
Intéressante et pertinente analyse de Nicolas Domenach sur Challenges : « En cas de défaite de Marine Le Pen à l’élection suprême, nul doute qu’il (Florian Philippot) sera le premier exécuté. Mais il n’est pas sûr non plus que Florian Philippot survive à une victoire. D’abord parce que les conseillers de l’ascension ne survivent pas toujours à la prise de pouvoir. Surtout lorsqu’ils sont sortis de l’ombre et captent trop de lumière. Comment Marine le Pen pourrait-elle supporter longtemps qu’on dise comme cela s’entend, qu’il est “son cerveau”, “qu’elle lui doit tout”, “qu’elle est trop fragile pour se passer de lui etc.” Si elle s’est “libérée de son père”, comme elle s’en réjouit, ce n’est pas pour s’encombrer longtemps d’une autorité de substitution, dont les abus exaspèrent déjà ses plus proches, tel son compagnon Louis Aliot, ou encore à un autre niveau Marion Maréchal Le Pen. » Domenach note que le vice-président du FN ne dispose d’aucun bastion électoral qui pourrait lui servir de repli ou d’appui. Nous avons, pour notre part, toujours pensé que, vu l’ingratitude de la fille, les jours de Philippot comme vice-président du FN étaient comptés. Demain, il sera tenu responsable de mauvais sondages, de résultats électoraux médiocres, etc. On lui reprochera d’avoir délivré de mauvais conseils, de s’être mis à dos une partie de l’appareil. Bref, parions que pour “Philipipeau”, comme d’aucuns le surnomment, la roche Tarpéienne est proche du Capitole. Il le sait, au demeurant, et manie actuellement avec fougue la brosse à reluire. Ses dernières déclarations d’amour à Marine Le Pen, dans le JDD, fleurent bon le lèche-bottisme le plus éhonté : « Il n’y a pas plus libre et courageuse qu’elle ; Elle a toutes les qualités d’un chef ; Je n’ai qu’une seule ligne, c’est le marinisme ». Nous n’avons pas fini de nous amuser avec ces volatiles…
LE FN AU POUVOIR VA-T-IL LANCER DES OPÉRATIONS POLICIÈRES CONTRE LES JUIFS ?
Le chasseur de nazis Serge Klarsfeld, interrogé sur LCP par Serge Moati n’a, semble-t-il pas vraiment suivi le feuilleton de la dédiabolisation du FN mariniste. Il estime que l’arrivée de Marine Le Pen au pouvoir « serait une catastrophe pour la France ». Et pour les Juifs en particulier. Il a déclaré : « Il ne faut pas croire que le Front National va protéger contre le terrorisme musulman, il va lancer des opérations policières contre les juifs aussi. Beaucoup de juifs avant Hitler croyaient qu’Hitler c’était le barrage contre le Bolchévisme, et puis ils ont vu la suite. » Il estime que le FN est « un parti extrémiste, démagogue, qui profite de la crise, des peurs ». Tout ça, pour en arriver là ? Comme quoi il ne suffit pas de tuer le père, de se coucher devant les lobbies, de renier les idéaux nationalistes pour être reçue dans la bonne société…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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jeudi, 04 juin 2015
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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A Poitiers, dimanche 7 juin : Pierre Cassen sera présent à la 1ère Rencontre Charles Martel
Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel
seront communiquées le 5 juin.
Bulletin de réservation cliquez ici
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mercredi, 03 juin 2015
Sortie prochaine du n°6 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Louis Tixier-Vignancour
En décembre 1965, se déroula la première élection présidentielle au suffrage universel.
L'enjeu était de taille pour la droite nationale : en finir avec De Gaulle, le bradeur de l'Algérie française.
Un homme fut désigné comme candidat de rassemblement : Jean-Louis Tixier-Vignancour.
Avocat talentueux, il avait sauvé la tête du Général Salan, le chef de l'OAS. Patriote sincère, de l'Action française dans sa jeunesse au Rassemblement national à la Chambre des députés en 1956, il avait participé à tous les combats des nationalistes. Voilà sans doute pourquoi il fut le premier à porter les couleurs de l'opposition nationale à une présidentielle de la Ve République.
C'est la vie et les aventures politiques de cet homme de conviction haut en couleurs, ses engagements (parfois controversés) et ses idées que nous vous présentons dans ce n°6 des Cahiers d'Histoire du nationalisme.
Des documents, des entretiens, dont l'un avec Jean-Marie Le Pen qui mena la campagne de 1965, des textes d'époque...
200 pages, 20 €
SORTIE : le 5 juin 2015
Vous pouvez le commander dès maintenant cliquez ici
02:36 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : jeudi 4 juin, Jean-Claude Rolinat au Crabe-Tambour
En savoir plus cliquez ici
02:36 Publié dans Cercle du Coeur noir, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
VITE, VITE, REMPLAÇONS, REMPLAÇONS ! La commission européenne contre les peuples
Métamag cliquez ici
Ce 27 mai, la Commission européenne a demandé à la France d'accueillir, en deux ans, 6 750 demandeurs d'asile présents en Italie et en Grèce. «Cette mesure d'urgence de relocalisation concerne les 40 000 demandeurs d'asile érythréens et syriens arrivés en Italie et en Grèce», précise le communiqué.
En vertu de cette décision contraignante pour les États membres, la France devra accueillir 17 % du quota de migrants concernés. A titre de comparaison, l'Allemagne devra en accueillir 5 258 d'Italie et 3 505 de Grèce. Cette demande fait suite aux appels répétés de l'Italie, qui souhaite répartir l'accueil des migrants arrivés en Europe entre les membres de l'Union européenne. Mais il n'y a pas que cela.
Un autre volet prévoit aussi l'accueil de 2 375 réfugiés en France. On obtient donc un total d'accueil sur le territoire français pour 2015 de 9 125 « réfugiés » ou pour être plus clair de 9125 « régularisés ».
Le Royaume-Uni qui pourait, par référendum, quitter l'Europe et sa politique suicidaire vient d'arguer de son droit d'option sur ce type de décisions. L'Angleterre avait déjà fait part de son refus, il y a quinze jours, quand le président de la Commission européenne avait annoncé la mise en place d'un plan pour instaurer des quotas de migrants. La France a fait savoir qu'elle s'opposait à ces quotas, discours du Panthéon oblige. On ne peut en effet prôner tous les jours les valeurs universalistes et immigrationnistes sans ouvrir ses portes aux miséreux.
A ces 9 125 « régularisés », il faut bien lire les documents européens, on ajoutera un autre volet, le volet dit de « réinstallation ». Il prévoit l'accueil de 20 000 migrants dans les Etats membres, même s'il n'a cette fois qu'une valeur de simple recommandation. En France, chaque réfugié touchera au minimum 343,50 euros mensuels. C'est l'Allocation temporaire d'attente octroyée par nos députés par la loi d'asile.
Au total, la Commission européenne propose donc à la France d'accueillir 9 127 personnes. Cela la place au deuxième rang des contributeurs, derrière l'Allemagne, premier contributeur du plan. Bien sûr, l'État sera en charge de l'asile et de plus, tout demandeur d'asile a aussi le droit à l'aide médicale d'état. Pour le reste, les municipalités se débrouilleront pour les loger et les éduquer.
02:28 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A Poitiers, dimanche 7 juin : Richard Roudier sera présent à la 1ère Rencontre Charles Martel
Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel
seront communiquées le 5 juin.
Bulletin de réservation cliquez ici
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mardi, 02 juin 2015
La manifestation prévue dimanche à Calais est interdite par le pouvoir en place :
Kévin Reche, Délégué du Parti dela France pour le Calaisis, s'est vu signifier l'interdiction de la manifestation prévue dimanche à Calais par la préfecture du Pas-de-Calais.
Cette décision totalitaire - et peu en phase avec « l'esprit Charlie » glorifiant soi-disant la « liberté d'expression » - de la « préfète » (sic) socialiste est motivée par le fait que les forces de l'ordre ne seraient pas assez nombreuses pour contenir les voyous d'extrême-gauche qui ont annoncé leur intention de contre-manifester.
Sauvons Calais et le Parti de la France annonceront sous peu leur solution alternative à cette scandaleuse interdiction politique.
11:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A propos du nouveau livre de Pierre de Laubier "L'école privée de liberté"
Article de Robert Spieler publié dans Rivarol du 21 mai 2015
Pierre de Laubier est l’auteur de ce petit ouvrage qui raconte comment, après avoir été libraire, il devint professeur dans une école dite « catholique ». Pas pour longtemps : 9 mois durant lesquels il eut à subir quelques déceptions qu’il nous raconte dans une écriture et un style excellents. Ceci est suffisamment peu répandu pour être souligné. Il raconte la naissance de sa vocation, lui qui n’avait jamais envisagé d’enseigner, si ce n’est le catéchisme au collège que fréquentait son second fils. Il relève avec humour qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis mais qu’ « il est abusif d’en conclure que changer d’avis serait une preuve d’intelligence : abandonner une idée fausse pour une autre tout aussi fausse n’en est pas une ; abandonner une idée vraie pour une fausse est encore plus mauvais signe. » Le seul diplôme qu’il possédait était, raconte-t-il, « le baccalauréat, document d’aussi peu de valeur qu’un titre d’emprunt russe ou une liasse d’assignats ». Mais il existe un concours permettant, sous condition d’expérience professionnelle, de rejoindre la filière. L’auteur décrit son expérience à Saint-Vincent-de-Paul, dont il ne garde pas spécialement un bon souvenir. Il dépeint la directrice qui prétend faire profession de franchise, assénant : « On se dit tout », à tout va. Laubier, qui connaît son Proust rappelle que celui-ci faisait remarquer que la franchise consiste non pas à déclarer : « Je suis franc », mais à pratiquer la franchise, sans éprouver le besoin de le dire. Et puis, notre professeur relève cette réalité que nous avons tous pu constater : « Une affirmation trop souvent répétée veut souvent dire le contraire de ce qu’elle prétend. Il y a dans ce livre des maximes qui viennent tout naturellement sous la plume de Pierre Laubier, qui rendent sa lecture des plus agréables. Exemple : « On ne peut pas penser à tout (alors qu’il est tout à fait possible de ne penser à rien ». L’auteur évoque le cauchemar administratif auquel il fut confronté, er raconte qu’il découvre « le caractère délirant de l’administration en général » et que « ce qu’on observe de l’extérieur ne donne qu’une faible idée de la réalité ». Il s’en prend bien entendu au’ collège unique’ et relève qu’il y a « quelque chose de gratifiant et de presque magique dans cette expression que la propagande qualifie aussi de ‘collège pour tous’. Il note : « Céder à la magie des mots creux est une tentation irrépressible pour les hommes politiques : peu d’entre eux résistent à la gloire de promouvoir la culture pour tous, les loisirs pour tous, voire le mariage pour tous. » Le collège unique est évidemment une calamité, inventée sur des considérations purement idéologiques. Il repose sur l’idée que tous les enfants sont également doués, et que les inégalités de parcours découlent des seules origines sociales et, en dernière analyse « de noirs complots ourdis par les classes bourgeoises en vue de réserver le savoir et la réussite à leurs propres rejetons ».
Les écoles catholiques sont-elles mieux que les écoles publiques ?
Pierre de Laubier, évoquant son expérience n’en est pas du tout sûr que tous les établissements catholiques soient mieux que les établissements publics. En tout cas, il est sûr que Saint-Vincent-de-Paul ne l’est pas. Il cite notamment le cas de ces trublions qu’il n’était pas question de sanctionner : une faiblesse déguisée en indulgence qui voudrait se faire passer pour de la charité, dit-il. Mais une charité bien mal placée dont les élèves de bonne volonté sont les victimes. Il note qu’on ne parle plus guère d’écoles « libres », on préfère désormais évoquer des écoles « privées ». Les empiètements de l’Etat sur les libertés scolaires sont connus. Ce qui l’est moins, et que l’auteur nous dévoile, c’est le rôle des directions diocésaines laïcisées, bureaucratisées, voire noyautées. Ce sont des organismes opaques et illégitimes, qui ont confisqué les droits d’écoles que l’on n’ose plus qualifier de libres. Au point, écrit-il, que bien des catholiques convaincus s’y sentent désormais considérés comme des gêneurs. Laubier raconte une anecdote « signifiante » au sujet de l’école où il enseignait, la qualifiant de « mauvais établissement qui trompe les clients sur le poids et sur la qualité de la marchandise » et dont le qualificatif de « catholique » n’est pas mérité. Sa colère s’alluma un 20 décembre, dernier jour avant les vacances de Noël. C’était, comme ils disent dans leur jargon une « journée banalisée » . Parmi les « propositions » faites en l’honneur de la fête de Noël, il y avait d’une part une messe, ce qui est la moindre des choses, et une visite de représentants de diverses associations charitables. Et enfin des ateliers consacrés à la réalisation de panneaux. On pouvait imaginer, par exemple, des panneaux racontant la vie de saint Vincent de Paul. Pas du tout. Il s’agissait de réaliser des panneaux sur la vie de Mandela, ou plutôt à sa gloire. Quel rapport avec la nativité de Jésus ? Aucun !
Enseigner « autrement »
Pierre de Laubier évoque en une litanie toutes les absurdités du système d’enseignement, des élucubrations pédagogiques qu’il a connus. Il aborde ce monstre qu’est la célèbre méthode globale d’apprentissage de la lecture et affirme : « Le fait qu’elle aille au rebours du bon sens est une des raisons qui fait que l’éducation nationale y tienne tant, malgré les preuves irréfutables de son caractère inefficace et même nuisible. Il note fort justement que l’invention de la méthode semi-globale est, du point de vue intellectuel, encore pire. Cela revient, dit-il, à dire : « Si vous sautez par la fenêtre du dixième étage, vous allez vous tuer, alors sautez seulement du cinquième ».Excellent formule ! Son commentaire fort pertinent : « A la limite, demeurer de bonne foi enfermé dans une erreur me paraît plus défendable, d’un point de vue moral cette fois, que de réparer son erreur qu’à moitié une fois qu’on l’a constatée. » Il note la catastrophe que représente cet objectif absurde d’amener « quatre-vingts pour cent d’une génération au bac » et relève qu’en pratique, l’enseignement public est administré par les syndicats, et donc organisé pour servir avant tout les intérêts des professeurs, le bien des enfants et les désirs des familles venant loin derrière. Mais que faire des mauvais enseignants ? Eh bien, il faut pouvoir s’en séparer. Son propos : « Tant que les professeurs continueront à jouir de l’emploi à vie, comme tous les fonctionnaires, il faudra bien s’accommoder de la présence des mauvais, et que les bons se contentent, en guise de récompense de leurs talents et leurs efforts, de satisfactions purement morales ».
« L’enseignement catholique ne sert à rien »
Pierre de Laubier constate : « Ce qui m’attriste, c’est de voir quelle quantité de dévouement et d’abnégation qui reste à la disposition des écoles catholiques, de la part de professeurs, d’ecclésiastiques, de surveillants, de parents d’élèves et aussi, ne l’oublions pas, d’élèves, se trouve gaspillée, à cause de chefs d’établissement indignes de leur fonction et d’une organisation qui œuvre au rebours de sa mission. Conclusion du livre : « Dans ces conditions, à quoi sert aujourd’hui l’enseignement catholique ? La réponse est d’une grande simplicité : il ne sert à rien. La seule chose qui soit nécessaire, ce sont des écoles catholiques.
L’Ecole privée… de liberté, de Pierre de Laubier, 165 pages, à commander à Synthèse nationale, 116, rue de Charenton 75012 Paris ou sur le site synthese-editions.com - 14 euros franco de port
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Un nouveau numéro de Livr'arbitres consacré à Dominique de Roux
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Boris Le Lay, jeune militant identitaire breton condamné à 6 mois de prison ferme pour avoir constaté qu'il n'existe pas de "celtes noirs"...
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A Poitiers, dimanche 7 juin : Christine Tasin sera présente à la 1ère Rencontre Charles Martel
Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel
seront communiquées le 5 juin.
Bulletin de réservation cliquez ici
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lundi, 01 juin 2015
Réinfos, le mag télévisé du Parti de la France de cette semaine
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Adinolfi commenté par Feltin-Tracol, cela donne :
Georges Feltin-Tracol Europe maxima cliquez ici
Après Nos belles années de plomb (2004), Pensées corsaires (2008), Orchestre rouge (2013) et Années de plomb et semelles de vent (2014), Gabriele Adinolfi commence à être bien connu du public français. Ce court essai consacré à la question européenne contribue au grand combat des idées. Outre un prix modique, l’impression d’opuscules facilite la diffusion de pensées concises et ramassées. Déjà, à la fin des années 1970, la rédaction évolienne francophone de la revue Totalité et, précédemment, le Cercle Culture et Liberté. Pour une Europe libre et unie sortaient des brochures, véritables munitions pour la réflexion, signées du Belge Daniel Cologne (Éléments pour un nouveau nationalisme en 1977) et d’autres auteurs activistes italiens tels le « Groupe des Dioscures » (L’assaut de la vraie culture, 1979), Giorgio Freda (La désintégration du système, 1980) ou Adriano Romualdi (La Droite et la crise du nationalisme, 1982). Le texte d’Adinolfi est d’ailleurs dédié à Romualdi, à Pierre Drieu La Rochelle et à Jean Thiriart.
Penser une autre monnaie européenne
Romain et Italien, Gabriele Adinolfi est aussi un ardent Européen et souhaite ouvrir un débat non convenu sur notre destin commun. Certes, il est le premier à pester contre cette « Europe que nous n’aimons pas (p. 41) ». Son propos déstabilise parfois le lecteur eurosceptique ou souverainiste national béat. Ainsi est-il « favorable au maintien de l’euro mais avec d’autres paramètres (p. 62) ». Dans le cadre des activités du Centre d’études Polaris qu’il a fondé, Adinolfi a en effet demandé à des économistes et à des juristes de travailler sur une Banque centrale européenne dépendante des banques nationales re-étatisés. Il envisage par exemple un « système de monnaie complémentaire (M.C.) […qui] se base sur un certificat nommé R.A.S. (reçu autoliquidant de souscription) (pp. 66 – 67) » dont l’inspirateur serait le théoricien des monnaies fondantes, Silvio Gesell.
Liant idée européenne et ambition économique continentale, l’auteur se réclame d’une économie solidaire et enracinée, relocalisée, dans laquelle prospéraient de petites et moyennes entreprises, propriétés de leurs employés. Partisan d’une logique corporative rénovée, Adinolfi entend surtout « rassembler et représenter toutes les classes au lieu de favoriser les consortiums au dépend des producteurs locaux et des salariés (p. 61) ».
Contrairement donc aux souverainistes nationaux et aux nationalistes qui se déclinent en « stato-nationaux », en séparatistes régionaux et en communautaristes superficiels, Gabriele Adinolfi insiste sur « l’Europe comme nécessité (p. 17) ». Aux temps de la Guerre froide et du condominium planétaire États-Unis – U.R.S.S., l’unité européenne indépendante vis-à-vis de ces deux blocs gémellaires était une obligation. « Aujourd’hui, encore plus qu’hier, l’Europe – c’est-à-dire nous tous – est menacée d’extinction et son unité de puissance est à la fois nécessité et identité (p. 34). » Toutefois, le recours à l’Europe exige au préalable l’ouverture sur une dimension psychologique cruciale qui prépare des cadres spirituels qui ne peuvent être en Europe de l’Ouest que des références antiques et médiévales. l’urgence impose de retrouver l’être européen alors que des hordes surgies d’Asie et d’Afrique franchissent chaque jour la Méditerranée et ses détroits. La communauté européenne se sait maintenant encerclée par de multiples menaces toutes mortelles les unes des autres (invasion migratoire, atlantisme, théocratie obscène des droits de l’homme, gendérisme, sociétalisme, islamisme, primat de l’économie devenue folle…). Néanmoins, les Européens qui commencent peu à peu à réagir ne doivent pas à leur tour s’engluer dans les miasmes mortifères de l’économisme. Adinolfi constate qu’en « se limitant aux revendications socio-économiques, ceux qui devraient être les héritiers d’une ligne nationale-révolutionnaire ont perdu le sens de l’Ennemi (p. 33) ».
Misère du militantisme pantouflard
Il y a du boulot ! Militant exemplaire, Gabriele Adinolfi admoneste les nouveaux militants qui forment « un milieu de fachos consommateurs, de fachos plaintifs, de fachos présomptueux, et de fachos de bar aux concepts enfoncés dans le crâne sans avoir jamais pensé à les peser ou les radiographier (p. 12) ». Naguère, « le militant n’était pas un consommateur d’idées reçues ou un télévotant, il n’obéissait pas au langage binaire et ne s’imaginait pas la révolution comme un flash sur la vitrine d’un “ social network ” ou comme une rafale de “ tweet ” ou de “ textos ” (p. 10) ». Eux aussi pâtissent du grand changement anthropologique en cours qui valorise l’hyper-individualisme si bien qu’au final « on ronronne, on grogne, on se réfugie dans des dogmes, on hululule aigri parce qu’insatisfait de soi et de la vie, mais on ne se remet presque jamais en cause (p. 13) ». Une Europe consciente d’elle-même serait au contraire capable de réhabiliter, voire d’inventer de nouvelles manières d’être.
Sachant que l’Europe est devenue auprès des opinions publiques continentales un sujet négatif, déprécié et stérile, Adinolfi examine différentes idées reçues contre elle. Il observe qu’une Europe unie et forte entraverait l’hégémonie étatsunienne, que ce n’est pas qu’un projet franc-maçon (le Vatican le souhaitait aussi) et que les actuelles institutions de l’Union pseudo-européenne ne servent pas exclusivement le mondialisme et les intérêts bancaires. Il serait quand même préférable de redonner aux Européens le sens de « l’idéal universel des Révolutions nationales et de l’Imperium (p. 46) ».
Gabriele Adinolfi apprécierait-il de rectifier « des populismes, qui n’iront nulle part s’ils ne sont pas dotés d’une conception stratégique, active, positive, révolutionnaire et s’ils ne sont pas guidés par d’authentiques classes dirigeantes militantes (p. 46) » ? Les amorces existent pourtant ! Malgré des persécutions de plus en plus vives, CasaPound et le Blocco Studentesco en Italie, et Aube dorée en Grèce réussissent un fantastique maillage territorial complété par des initiatives culturelles et sociales qu’on doit encourager, reproduire ici et maintenant et étendre aux questions environnementales, scolaires, de loyers, de cadre de vie, etc. Notre Europe libérée retrouvée – car identitaire et tiercériste – ne se réalisera qu’au contact de la seule réalité et auprès de populations autochtones pour l’instant déboussolées. Leur rendre une orientation véritable digne de leur histoire représente un enjeu majeur. Oui, « l’Europe est une nécessité absolue, mais elle ne se fera jamais si elle n’est pas d’abord une identité consciente et combattante, à la hauteur du Mythe qu’elle représente (p. 79) ». La mobilisation totale pour notre cher continent, l’Alter-Europe, commence par la lecture de L’Europe d’Adinolfi.
• Gabriele Adinolfi, L’Europe, Les Bouquins de Synthèse nationale (116, rue de Charenton, 75012 Paris), 80 pages, 2015, 10 €.
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Harfang, le magazine québécois, consacre un article à Venner
Le magazine québécois Harfang cliquez ici, sous la plume de Rémi Tremblay, vient de consacrer, dans sa dernière livraison, un article au livre de Basile Cérialis, Dominique Venner - Soldat politique cliquez là, que nous avons édité en décembre dernier :
Historien méditatif. C’est le terme que Dominique Venner aimait employer pour se qualifier. Un historien qui é́tudie l’histoire, mais qui ne la fait pas. Un observateur et non un acteur. Pourtant, son geste ultime du 21 mai 2013 semble laisser croire qu’acteur, il souhaitait l’être et qu’il ne voulait pas seulement étudier et transmettre l’histoire et les traditions, mais influer sur le cours des é́vénements.
Dé́jà̀, enfant, le jeune Venner, poussé́ par ses lectures qui lui permettent de s’évader de ce monde morne, rève de gloire, d’héroïsme et de liberté. Aussitôt qu’il en aura l’occasion, il quittera ce monde terne en se joignant à l’armée, y voyant une version moderne de la Sparte antique, et en s’envolant vers l’Algé́rie qui est alors en plein soulèvement anti-français.
De retour en métropole, il comprend que la victoire ou la défaite de la guerre en Algérie est avant tout une affaire de politique. Il s’engage corps et âme dans Jeune Nation (qui ne doit pas être confondu avec le groupe québécois du même nom, dirigé par Pierre Trépanier), une organisation jeune et dynamique qui rejoint les aspirations éthiques et esthétiques du bouillant Venner. Militant total, il s’abandonne dans les manifs, collages, confrontations et noyautages. Il se dépense sans compter le temps, l’énergie et les coups.
Jeune Nation souhaite « une seconde révolution » après la première, celle de Pétain. Le droit à la nation y est mis de l’avant et sont rejetés le libéralisme et la démocratie. Brisant avec la tradition réactionnaire et puisant dans les stratégies de gauche notamment léninistes, les membres souhaitent se lancer dans une véritable guérilla politique - ni fascistes, ni vichyistes, ce sont des nationaux-révolutionnaires.
La dissolution de Jeune Nation par le gouvernement ne fera pas flancher Dominique Venner, devenu le second de Pierre Sidos. Les structures et l’engagement des militants ne se tarit pas et l’objectif est de perpétuer l’organisation sous un autre nom avec un autre enregistrement. C’est ainsi qu’il lance le journal Jeune Nation sous la tutelle du nouveau groupe Société d’édition et de diffusion de la Croix celtique. En 1959, il participe à la création du Parti nationaliste dont il est le second, après Pierre Sidos.
Ce parti sera dissous dans les quelques jours suivant sa création et Dominique Venner sera arrêté pour son adhésion au PN et, quelques temps après sa libération, pour une bataille avec des étudiants noirs, geste dont il se défend, parlant de machination politique.
En 1960, Venner se radicalisera davantage. Impliqué dans des heurts avec la police à Alger, il entre dans la clandestinité. Cette fois-ci, il souhaite se lancer dans une lutte ultime avec le gouvernement et prépare un putsch. Malheureusement, avant de passer à l’acte, il est finalement arrêté. C’est durant son incarcération subséquente qu’il fera le bilan de son engagement et écrira Pour une critique positive. Il réalise que ce sont les esprits qui doivent d’abord changer avant qu’une révolution ne soit possible.
C’est dans cette optique qu’à sa sortie de prison, il fonde les Éditions Saint-Just et rassemble les anciens de Jeune Nation autour de la revue Europe Action. Cette fois-ci, l’activisme est relégué au second plan et l’objectif premier est de former les esprits et de répandre les idées
de nationalisme ethnique européen s’opposant tant au libéralisme qu’au communisme. Ce sera le point de rupture avec l’extrême-droite traditionnelle, notamment avec Pierre Sidos. Il est important de noter que Jean Mabire précise dans Europe Action que « pour nous, l’Europe est un cœur dont le sang bat à Johannesburg et à Québec, à Sidney et à Budapest. »
Venner se lancera dans la politique politicienne avec la campagne de Tixier-Vignacour et ensuite avec le Mouvement nationaliste du progrès et le Rassemblement européen des libertés. Mais en 1966, suite à la faillite des Éditions Saint-Just et à sa déception envers la politique qui ne répond pas à ses attentes éthiques et esthétiques, il quittera définitivement la politique et se lancera dans l’étude de l’histoire et la promotion de l’héritage européen.
De par son emphase sur la période militante et l’utilisation de nombreuses sources, cet ouvrage est un complément essentiel à Cœur Rebelle. Il permet de mieux connaître Venner, mais surtout de mieux se connaître en tant que militant. De voir son parcours militant ponctué par les reculs, la prison, les liens brisés, mais aussi par les coups d’éclat, la fraternité et les rencontres inoubliables, cela nous permet de relativiser certains échecs ou coups durs momentanés.
Cérialis nous rappelle aussi que lorsque Venner défendait les peuples européens, il ne se limitait pas au territoire géographique européen, mais bien à l’ensemble des peuples de descendance européenne, dont nous. Sa vision nationaliste ethnique qui le poussa au militantisme est la même que celle qui guide aujourd’hui notre mouvement.
Cérialis, Basile. (2015) Dominique Venner - Soldat politique. Les Bouquins de Synthèse Nationale. 196 pages.
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A Poitiers, dimanche 7 juin : Pierre Vial sera présent à la 1ère Rencontre Charles Martel
Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel
seront communiquées le 5 juin.
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02:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 31 mai 2015
Les agresseurs "antifas" d'Alexandre et Lydia ont été arrêtés
Souvenez-vous, c'était le 12 avril dernier. Alors qu'ils rentraient chez eux, deux jeunes patriotes parisiens, Alexandre et Lydia, étaient lâchement agressés par une bande d'hystériques appelés "antifas" (entendez antifascistes). Alexandre fut gravement blessé et dû rester vingt jours en ITT. Lydia, choquée, resta pour sa part quatre jours sans pouvoir travailler cliquez ici.
Les supplétifs du Système que sont ces antifas entendaient, en agressant Alexandre et Lydia, "venger" l'un des leurs, le dénommé Clément Méric qui est décédé en juin 2013 alors qu'il participait à une rixe contre des jeunes nationalistes venus paisiblement faire des achats dans le quartier de la gare Saint Lazare à Paris. A la suite de cet événement malheureux, un jeune militant solidariste, Estéban, passa plus de quinze mois en détention (*).
En fait, le Système mondialiste a voulu à cette époque profiter de cette affaire pour salir l'ensemble du mouvement populaire qui, depuis plusieurs mois, amplifiait contre la clique Hollande/Valls/Taubira qui cherchait à imposer son "mariage pour tous" cliquez ici.
Aujourd'hui, nous venons d'apprendre que deux des agresseurs d'Alexandre et Lydia viennent d'être arrêtés par la police cliquez là. Ce dont nous nous réjouissons. Cependant, comme le Système n'est pas ingrat avec ses petits domestiques, après qu'ils soient passés devant le juge, ils ont été remis en liberté.
Quant à "l'affaire Méric", une reconstitution vient de se dérouler sur les lieux et il semblerait que dans les rangs des antifas les choses ne soient plus aussi claires qu'il y a deux ans (certains reviendraient sur leurs accusations hâtives) et que la vérité finisse bientôt par triompher...
Synthèse nationale
(*) Lire sur cette affaire le remarquable livre que Serge Ayoub, alors porte-parole de 3e Voie, lui a consacré. Cliquez ici
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A Poitiers, dimanche 7 juin : Carl Lang sera présent à la 1ère Rencontre Charles Martel
Les coordonnées de cette 1ère Rencontre Charles Martel
seront communiquées le 5 juin.
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02:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 6 juin, à Bordeaux :
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samedi, 30 mai 2015
L'Aristoloche n°8 est paru
L'Aristoloche n°8 cliquez ici
12:52 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |