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jeudi, 10 décembre 2015

Régionales. La liste sur laquelle Taubira était candidate a fait…7%

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Source Valeurs actuelles cliquez ici

Echec. Même les guyanais n’en veulent plus. L'information a été passée sous silence par la presse. Candidate sur la liste divers gauche Walwari/Guyane Ecologie, la ministre de la Justice était en 11è position. Son frère était également candidat, mais contre elle.

« Savoir que Christiane est là, c'est déjà énorme. Cela va rassurer les gens qui étaient un peu déçus de ne pas la voir tête de liste dans la campagne »

La présence de Christiane Taubira n'est pas que symbolique. Si elle y est, c'est qu'elle porte ce parti, c'est son bébé », expliquait Line Létard la tête de liste le 11 novembre. Elle ajoutait, « Nous sommes très fiers de [sa] présence sur notre liste. Elle est dans la logique d'une transmission entre les générations, elle est là pour nous accompagner. » En outre, Line Létard s’était auto persuadée : « Savoir que Christiane est là, c'est déjà énorme. Cela va rassurer les gens qui étaient un peu déçus de ne pas la voir tête de liste dans la campagne ». Quel soutien !

Christiane Taubira portait les couleurs du parti qu'elle a créé

Effectivement, Christiane Taubira figurait "en position non éligible" sur la liste candidate à l’élection à la collectivité unique de Guyane (CTG) qui devait entériner la fusion de la région avec le département. Sous les couleurs de Walwari, le parti qu’elle a créé avec Roland Delannon dans les années 90.

La famille Taubira fait moins de...8%

Ce n’est pas tout ! Dans cette élection, sa liste était opposée à celle de son frère, Jean-Marie Taubira ! Les résultats électoraux de la famille Taubira ne sont vraiment pas bons. Si la liste de Christiane Taubira a réalisé un score de 7,1 %, celle conduite par son frère a rassemblé 0,97% des suffrages. En nombre de voix, la liste de la garde des Sceaux a récolté 2 565 voix et celle de Jean-Marie Taubira 349, pour un total de 37 585 votants.

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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mercredi, 09 décembre 2015

Hollande : un programme en 5 points

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A VOMIR !

Holeindre-CNC-Var.jpgRoger Holeindre,

Président du Cercle national

des combattants

Depuis les résultats du 1er tour des élections régionales, nous sommes soumis à un véritable bombardement médiatique qui ne tient en rien de l’INFORMATION… mais tout de la propagande la plus haineuse… la plus mensongère… la plus insultante pour les électeurs.

A priori pourtant, il semble que les résultats d’un vote démocratique sans violence sont à prendre en compte tels qu’ils sont. Quel que soit le vainqueur, le résultat reste démocratique et les conséquences politiques qui en découlent sont, elles aussi, démocratiques… et doivent donner lieu… sans aucune entrave… à la mise en place et au pouvoir (au prorata de ses scores), du parti qui a remporté ces suffrages. Personne ne peut contester ces chiffres autrement que par un dépôt de plainte… pour irrégularité, dans l’enceinte même où aurait eu lieu… la triche… la magouille… ou le bourrage d’urnes (spécialité communiste durant des décennies dans ses fiefs de la “ceinture rouge” que lui avaient concédée les gaullistes à la Libération).

Toutes ces accusations, tous ces délires, ne sont donc que des mensonges éhontés qui disqualifient à jamais ceux qui en font leurs principaux slogans électoraux… éructant ces idioties avec des mines graves ou des airs de matamores guillotineurs… Il ne leur manque plus que les chapeaux à plumes… de leurs prédécesseurs révolutionnaires de 1789… tuant et massacrant au nom des soi-disant valeurs de la République, imposées dans une mer de sang.

Malheureusement, tout cela est faux. J’ai eu l’honneur d’être un des 35 députés “Front national – Rassemblement national” élus à l’Assemblée nationale, voici quelques années. Notre arrivée, saluée par tout le petit personnel, aurait pu sonner définitivement le glas de la gauche et de l’extrême gauche… Mais… dès le premier jour, les Chirac… Giscard… Pasqua et compagnie… intimèrent à leurs troupes… l’interdiction de voter nos propositions de loi… d’applaudir nos discours… et de faire en sorte que nos votes ne servent à rien. Nos propositions concernaient pourtant… déjà… le contrôle des frontières… la suppression de la double nationalité… l’apprentissage à 14 ans… et le salaire familial pour les mères françaises désirant en priorité élever leurs enfants.

Par la suite, élu Conseiller régional d’Île-de-France, j’ai vu et entendu, dans cette autre assemblée, les élucubrations budgétaires et antinationales des khmers verts… dont les exécutifs… droite molle ou socialistes… faisaient tout… de concessions en concessions délirantes… pour ne pas avoir à accepter les voix du Front national.

Bien sûr, pour tous “ces démocrates pur beurre”, le Front national, surfe (sic) sur les malheurs de la Nation… comme s’il en était responsable en quoi que ce soit.

Pendant des décennies, les votes de millions de citoyens français honorables et patriotes, ont été décomptés… et jetés dans les poubelles de la soi-disant République « une et indivisible ».

Faut-il rappeler aussi à ces messieurs, les tripatouilleurs et falsificateurs… que si… la semaine prochaine… le FN conquièrt une ou plusieurs régions… cela sera le fait de la loi truquée… mise en place par les socialistes pour donner le maximum de sièges dans les régions… à la liste arrivant en tête. Cela n’était mis en place que pour empêcher le FN d’en obtenir une seule !

J’ai écrit, il y a peu de temps, il m’arrive d’être trivial… qu’à force de « jongler avec des seaux de “merde” ces messieurs en prendraient prochainement quelques uns sur la gueule ».

Je pense que dimanche prochain, il y aura du monde dans les douches de certains partis politiques.

Faut-il, pour en finir avec ces truqueurs…ces voyous de la politicaillerie… élus à vie, qui se goinfrent dans les palais nationaux… que si rien n’a changé en France depuis la Libération, c’est parce que ces donneurs de leçons ont tout mis en œuvre pour que le procès du communisme (qui a trahi de 1938 à 1941… en Indochine… et en Algérie) n’ait jamais lieu.

Face à ces malfrats… face à la déchristianisation de notre patrie… face à l’émigration-invasion… que Dieu nous aide… et que Vive la France !

Il est temps d’entrer en résistance !

20:08 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sur Breizh-Info : un grand entretien avec Emmanuel Albach, auteur de "Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes"

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Emmanuel Albach à Beyrouth en 1976 - NDLR

Breizh-info.com (cliquez ici) – Les éditions Synthèse nationale viennent de publier un livre témoignage passionnant intitulé Beyrouth 1976 – des Français aux cotés des Phalangistes.

Emmanuel Albach est le président de l’Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban. Il a combattu au Liban de janvier à juillet 1976 et a fait ensuite une carrière de journaliste. C’est à son retour de Beyrouth, il y a quarante ans, qu’il a rédigé ce livre. Alors que les chrétiens d’Orient sont victimes d’une nouvelle tentative d’élimination, il lui semble temps de le publier.

Ce livre est la mémoire de cette poignée de jeunes Français partis au secours des chrétiens du Liban, aux pires heures de la menace, au risque de leur propre existence. Ni mercenaires ni soldats d’une armée régulière, ces volontaires français, essentiellement des étudiants, ont rejoint les Phalanges chrétiennes du Liban, alors dirigées par Béchir Gemayel, pour d’éprouvants combats de rue d’une guerre de positions à Beyrouth contre les diverses milices musulmanes.

L’auteur, que nous avons interrogé ci-dessous, est aujourd’hui journaliste et consultant pour différentes entreprises et, à ce titre, se déplace régulièrement dans le monde arabe et en Extrême Orient.

Breizh-info.com : Qu’est ce qui pousse un jeune français à partir se battre dans les années 70 aux côtés des phalanges chrétiennes contre les milices islamistes ?

Emmanuel Albach : La révolte et la honte. La révolte de voir  la France abandonner soudain à son sort la communauté chréteinne du Liban que, depuis des siècles, la Nation avait pris sous sa protection, sans discontinuité. Le refus de vivre dans la honte de cette complicité de non-assistance à ami en danger. La conviction que l’Histoire est dans les mains de chacun. Il ne faut pas attendre toujours que l’Etat agisse. Parfois, souvent dans les dernières décennies, il a été lâche et parjure. Nous ne voulions simplement pas que les historiens puissent écrire un jour qu’aucun Français n’était venu combattre aux côtés des phalangistes. Même si nous ne devions être que deux…

Breizh-info.com : Si vous deviez, en quelques lignes, raconter votre expérience, vos sentiments sur cette époque, quels seraient-t-ils ?

Emmanuel Albach :  J’avais très peur car j’avais le vif sentiment (voir ci-dessous) de ne pas savoir bien faire ce que j’avais à faire, en partie parce que je ne connaissais pas les lieux qui devenaient du coup effrayants dans l’obscurité (nous combattions surtout de nuit). Même si je me retrouvais soudain incroyablement  calme au moment où cela commençait à chauffer. En fait, le tumulte de la bataille, le fracas des explosions, les balles que je tirais, tout cela me convenait fort bien. Et puis, très vite, je n’ai plus eu peur de mourir. Ma vie valait-elle plus que celle de mes camarades libanais déjà morts au combat ? Je me suis en quelque sorte, remis entre les mains de Dieu. Je suis venu au Liban sans motivation religieuse, mais l’exemple de la foi de mes camarades libanais m’a subjugué. Etre chrétien comme eux, oui cela me plaisait. Je me suis trouvé une âme de croisé.

Un grand regret quand même : ne pas avoir eu d’expérience militaire (la formation de nos régiments d’élite est excellente) avant mon départ pour le Liban, afin d’apporter aux phalangistes une aide plus utile. Je n’avais pas appris les bons réflexes, je n’étais pas formé pour l’offensive. Les autres, en face, étaient très nombreux, mais très mauvais. Avec un peu plus de métier, on aurait pu les éclater !

Breizh-info.com : Aujourd’hui, quelle est la situation au Liban ? Avez-vous combattu « pour rien » au regard de la progression islamiste sur tout ce territoire.

Emmanuel Albach :  Nous n’avons pas combattu pour rien. Les chrétiens du Liban ont gagné. Ils n’ont pas été chassés, or tel était le dessein de leur ennemi. J’ai par ailleurs compris récemment que nous avions été très utiles. En 1976, comme le monde entier laissait tomber les chrétiens du Liban, les phalangistes et les autres (ne pas oublier le Parti National Libéral ;  les gardiens du Cèdre – qui se proclamaient non pas Arabes mais Phéniciens – ; le Tanzim – qui a fourni bien des cadres aux milices chrétiennes et étaient généralement des gens d’un très bon niveau), le recrutement auprès des jeunes chrétiens était difficile, tant le sentiment d’abandon et le découragement étaient général. Notre présence permettait à Bachir Gemayel de dire à tous : « Regardez ! Des jeunes Français sont là pour se battre, pour défendre vos quartiers, vos familles, et vous hésitez à prendre les armes ? »

Quant à la situation actuelle elle est simple : les chrétiens du Liban sentent monter la menace. Réussiront-ils à éviter au Liban ce qui est arrivé à la Syrie ? Peut-être… Mais ils sont, comme ils l’ont toujours été, prêts à se battre et bien armés, en tout cas, individuellement. Et il se trouve encore des gars de grande valeur pour emmener au combat leurs contemporains. Le réservoir en volontaires cette fois, est considérable. des millions de chrétiens libanais vivent à l’étranger. Et des dizaines de milliers sont prêts à se battre. Les Chrétiens du Liban ne sont pas des Syriens ou des Egyptiens. Ils n’ont pas des âmes de dimmi. Ils ont l’habitude de se battre, ils le font bien et leurs adversaires ont toutes les raisons de les craindre, ils ne font pas plus de quartier qu’eux-mêmes.

L’histoire de la cohabitation des chrétiens et des musulmans, au Liban, c’est mille ans de bataille pour la survie ! Il n’y a d’ailleurs pas d’exemple de cohabitation pacifique et libre entre les deux religions (sauf dans le pseudo « âge d’or » de l’Espagne mauresque, mais c’est une fiction historique, un roman écrit pour rendre service à qui l’on sait). Ceux qui proclament que la France, elle, va établir durablement, grâce à sa « laïcité », ce qui n’a jamais été réussi nulle part, sont des gens qui n’ont rien appris de l’histoire et mènent la France à la guerre intérieure. Très forts ! Ils auront recréé les guerres de religion en France et sont en train de faire renaître l’esprit de croisade. De la part de gens qui jurent en être les pires annemis, ce serait vraiement risible si tout cela n’était pas si grave. Ils sont si bêtes, que voulez-vous !

Breizh-info.com : Comprenez-vous ces « français » de papier ou convertis, qui partent rejoindre les colonnes infernales de l’Etat Islamique ? N’y a-t-il pas là un problème lié à un vide spirituel qui traverse la civilisation européenne ? Qu’avons nous aujourd’hui à proposer à notre jeunesse en terme d’aventures et de luttes ?

Emmanuel Albach :  Je comprends parfaitement leur démarche. Ceux qui les enseignent leur disent la vérité quant à leurs devoirs de… musulmans. C’est d’ailleurs du dernier ridicule de voir nos hommes politiques  proclamer que « l’islam, ce n’est pas çà ! »

De la part de gens qui n’ont jamais étudié le Coran, c’est du plus haut comique. On peut reprocher tout ce que l’on veut aux djihadistes, mais pas leur dire qu’ils ne connaissent pas le Coran. Ils le connaissent par coeur ! Ils ne connaissent même que cela ! François Hollande explique à Abou Bakr El Baghdadi  ce qu’il faut comprendre du Coran… Ils sont aussi prétentieux que bêtes, en fait.

Par ailleurs, le rattachement à un Etat-nation est un concept étranger à l’islam qui ne connaît que la Oumma, même si sont nés des administrations diverses des découpages territoriaux (en mettant à l’écart quelques Etats comme le Maroc) qui ont donné naissance aux Etats « modernes » dont les frontières se révèlent pour le moins indécises. Selon le Coran, le musulman peut vivre provisoirement sous la tutelle d’un pouvoir « impie » mais avec le devoir imprescriptible de se dresser contre lui aussitôt qu’il peut l’emporter et imposer sa foi, ou qu’il doit défendre ses frères dans l’islam (d’ici et d’ailleurs), et le frapper, – ce pouvoir auquel il taisait par nécessité sa détestation – sans état d’âme.

A notre jeunesse, si l’on rendait déjà l’histoire de leur nation et la fierté de leurs ancêtres – il faut sortir du complexe de 1940, la France a connu des moments durs, des invasions, c’est une parmi bien d’autres – on ferait beaucoup pour donner un sens à leur vie. Ils sont les maillons d’une superbe chaîne où sans cesse les héros donnent la main aux bâtisseurs. Il faut les donner en exemple, les remonter sur leur pièdestal et remettre à leur place – ce qui ne veut pas dire qu’il faut en nier le rôle – tous les petits des business divers, ou du show-business. Que les jeunes s’inspirent de vrais maîtres ! Et la foi, elle est inscrite dans notre histoire aussi. L’Europe est chrétienne. 95% des inventions qui font aujourd’hui la civilisation moderne en sont issues. Sa foi a été son ciment, sa force. Quand elle la renie, elle programme son autodestruction. On peut dire cela, en reconnaître l’évidente vérité, sans être pour autant un bigot. Cela s’appelle le génie du christianisme. C’est une réalité historique indiscutable.

L’Europe a pour fonction de rayonner. C’est bête à dire, mais nous avons toujours une mission civilisatrice. Elle est dans nos gènes et le monde en a besoin. Ce sont autant de luttes qui nous attendent. Mais pas pour servir des despotes irresponsables. Pour leur imposer le respect de leurs propres peuples.

Breizh-info.com : Comment voyez-vous l’avenir du monde arabe ? Et celui de l’Europe ?

Emmanuel Albach :  Plus l’Islam inspire le Moyen-Orient, plus vite celui-ci va au chaos et plus il produit d’émigration. Le problème de fond, je dirais de base, est que l’Islam génère immanquablemnt l’échec économique. Certes, les Iraniens ayant gardé certaines vertus des Perses sont capables de vrais succès, même s’ils en ont aussi les défauts (voir Hérodote). Et pourtant les Arabes n’ont pas que des défauts – même les gens du Golfe seraient attachants s’ils ne nous méprisaient pas autant.

Le Coran enseigne que tous les biens du monde appartiennent aux musulmans, même s’ils n’en ont pas encore la jouissance car d’autres... (chrétiens, etc…) les contrôlent encore « momentannément ». Pourquoi travailler quand on est potentiellement si riches ? Pourquoi se gêner pour réclamer puisqu’on ne demande en fait que la restitution de son bien ? Pourquoi plaindre les Européens victimes du terrorisme puisque ces obscènes accapareurs ne font que recevoir la punition qu’ils méritent ? En outre, le Coran contient toutes les verités universelles, passées, présentes et à venir. Si l’on est pieux, pourquoi étudier autre chose ? Comment ne pas rejeter par principe l’étude des autres cultures, civilisations, religions ? La prétention, la conviction d’avoir raison de manière indiscutable – au sens propre du terme – habite les plupart des musulmans. Ils nous disent « eslem ! » Convertis-toi ! Car cela leur semble un évidence. Nous sommes pour eux des retardataires qui n’ont rien compris. Moins ils ont de connaissances, plus ils sont sûrs de tout savoir.

Le repliement sur soi, dont on accuse les Européens qui veulent se défendre, n’est pas leur fait ! Il est chez leurs adversaires musulmans qui ne veulent rien connaître, ni entendre ! Rajouter là-dessus le « cadeau du ciel » que constitue le pétrole et qui leur donne les moyens d’une guerre contre nous qu’ils ont l’impression de gagner en mitraillant des gens au Bataclan. Depuis les défaites de l’Empire ottoman, ce sont leurs premières victoires ! Ils y prennent goût.

Diapositive1.jpgBeyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangistes, publié par Les Bouquins de Synthèse nationale, 250 pages, un cahier photos, 22 € (+ 3€ de port, chèque à l'ordre de Synthèse nationale).

En vente à : Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement) ou sur le site synthese-editions.com

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Dédiabolisation, piège à con !

Source Le Figaro :

Les représentants de la communauté juive à Marseille appellent les électeurs de Provence-Alpes-Côte d'Azur «à se rendre massivement aux urnes dimanche» et à voter pour la liste Les Républicains de Christian Estrosi au second tour des élections régionales. Ils saluent également dans un communiqué «l'attitude républicaine» des candidats de gauche. Appelant à faire barrage au Front national, le chef de file socialiste Christophe Castaner a retiré sa liste PS-PRG arrivée troisième derrière le FN et Les Républicains (LR). «Nous, Français de confession juive, à travers nos institutions, Crif, Consistoire, Fonds social, appelons tous les Français à se rendre massivement aux urnes dimanche 13 décembre afin que les valeurs qui sont le socle de nos actions au quotidien prévalent sur la haine et l'obscurantisme», écrivent le Crif Marseille Provence, le consistoire israélite et le Fonds social juif unifié en appelant à voter Estrosi.

Alliot, sionisme, Jérusalem, kipa

On ne peut pas dire que Marine Le Pen n'a pas payé de sa personne pour se rendre sympathique à la communauté juive. En pure perte, semble-t-il…

La présidente du Crif Paca Michèle Teboul s'est dite «sonnée» après le premier tour. «On s'y attendait (à l'arrivée du FN en tête, ndlr), mais pas de manière aussi écrasante». Elle a dit reconnaître l'«immense sacrifice» que représente «l'absence de tout représentant de gauche au Conseil régional pendant six ans». Elle a également fait part de son inquiétude sur l'avenir du tissu associatif local en cas d'élection du Front national. «Si (Marion Maréchal-Le Pen) refuse l'aide aux communautés comme elle l'a dit, autant dire que notre travail au quotidien sera réduit à zéro», estime Michèle Teboul.

«Tout ce travail de lien social, c'est fini!», s'exclame-t-elle. «Fermer, c'est ce qui va arriver à toutes les associations, les unes après les autres!». «Il va falloir que j'aille chercher des dons, des sponsors, pour chacune des activités du tissu associatif», ajoute-t-elle. «Là où on va avoir une grosse difficulté, c'est que, au dîner du Crif, une fois par an, toutes les autorités territoriales sont représentées. Est-ce que vous croyez que je vais inviter Mme Maréchal-Le Pen, si elle est élue? Jamais de la vie!», affirme-t-elle.

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mardi, 08 décembre 2015

Vallaut-Belkacem craint pour les élèves étrangers dans les régions FN

Fin des menus de substitution dans les cantines, refus d'admettre des élèves d'origine étrangère dans les internats (ce qui serait évidemment illégal… et donc impossible), la binationale ne craint-elle pas avant tout que les Français ne réclament prochainement la fin des ministres étrangers dans leur pays ?

12:16 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La démence, nouvelle exception culturelle française ?

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Dr Bernard Plouvier

Moins de vingt-quatre heures après le vote populaire en Languedoc-Midi-Pyrénées, les socialo-écolo-pseudo-gaucho-mondialistes ont (re)lancé l’expression « peste brune ».

Serait-ce (horreur suprême) une injure à caractère raciste faisant référence à la couleur de peau des honorables Maghrébins, si nombreux dans le Sud-Ouest ? Non ! C’est une allusion, aussi fine que spirituelle et hautement documentée au plan historique, à l’électorat du Front National, comparé aux fameux SA (sections d’assaut) du NSDAP (le Parti nazi).

Imaginons une seconde les hurlements et transes des auteurs de cette spirituelle sortie ou de leurs « compagnons de route », si quelqu’un s’avisait de qualifier l’invasion musulmane de notre pays européen de « peste verte », par référence à la couleur de l’étendard du prophète ? Imaginons le lynchage médiatique, les torrents de vertueuse indignation des bien-pensants et bien-disants, les suites judiciaires et la somme de dommages et intérêts dont ce mauvais plaisant serait la cible.

Mais s’agissant d’électeurs français – en quasi-totalité, imagine-t-on facilement – de souche européenne, tout est permis y compris les plus basses et perfides allusions. Pour qui connaît cette région, aux paysages superbes, ce pays des « radicaux-cassoulets » (une appellation d’origine contrôlée), rien n’étonne plus. On y cause plus vite qu’on y réfléchit, surtout quand les sinécures régionales sont menacées par un électorat devenu rétif, redevenu farouchement patriote et totalement désabusé par les politiciens de la gamelle.

Les injures ne sont pas un argument électoral et n’ont aucune place dans un débat d’idées, même si, dans un certain milieu intellectuellement sinistré à force d’abuser des stéréotypes idéatoires et des tics verbaux, on aime y recourir, faute de mieux. Les confusions sémantiques et historiques, l’amnésie sélective (les « trous de mémoire ») sont des signes de sénilité précoce, si l’on préfère – en langage moins noble – des signes avant-coureurs de démence.

Lire le nouveau livre du Dr Plouvier :

CHN 8 NSDAP.jpgLe NSDAP

Cahier d'Histoire du nationalisme n°8

En savoir plus cliquez ici

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09:20 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 07 décembre 2015

Disparition d'un camarade et d'un ami : Patrick Bourne

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Nous venons d'apprendre le décès, à la suite d'une rupture d'anévrisme survenue dans la nuit de vendredi à samedi dernier, de Patrick Bourne. Il avait eu 60 ans le 15 juillet.

Depuis qu'il avait rejoint le camp nationaliste, au tout début des années 90, Patrick était de toutes les épopées militantes. Fort d'une solide culture politique et historique, en particulier sur le XIXe siècle et le Second Empire, il était passionnant lorsqu'il abordait ces sujets. Grand ami de l'Espagne phalangiste, il était aussi l'un des piliers du Cercle Franco-Hispanique et, à ce titre, il était toujours présent aux journées annuelles de Synthèse nationale. Il avait collaboré à plusieurs reprises à notre revue.

Patrick n'était pas de ceux qui cherchent à se mettre en avant, mais son dévouement à la cause était tel qu'il était apprécié de tous. De plus, d'une extrême gentillesse, il ne manquait jamais de s'enquérir des nouvelles des autres. 

Là où il est, Patrick a sans doute retrouvé Olivier cliquez ici et ceux qui nous ont quittés prématurément. Mais, ici bas, il restera toujours présent dans nos coeurs. Il était notre camarade et notre ami.

Il sera enterré vendredi prochain à Valence dans la Drôme. Ayons une pensée pour son épouse et pour sa famille.

Roland Hélie

23:42 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Les Brigandes" en concert lors de la 9e Journée de Synthèse nationale le 11 octobre dernier...

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22:21 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale, CD | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de lundi soir...

20:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Avant les Fêtes de Noël et de la St Sylvestre : Roger Holeindre dédicacera son livre “ÇA SUFFIT !“

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Communiqué du Cercle national des combattants :

A la demande de nombreux amis, Roger HOLEINDRE signera plusieurs de ses livres, dont le dernier ÇA SUFFIT !

1 – Le SAMEDI 12 DECEMBRE 2015 de 16h00 à 20h00

Restaurant VILLA SOPHIA (53, rue de Chaillot 75016 PARIS)

2 – Le SAMEDI 19 DECEMBRE 2015 de 10h00 à 16h00

à la Brasserie LE MAGENTA (1, place Magenta 92210 SAINT-CLOUD)

Dans les deux cas, le restaurant sera ouvert et les amis pourront, soit dîner… soit déjeuner.

BONNES FÊTES A TOUS !

Le livre de Roger Holeindre cliquez ici

NDLR : Roger Holeindre était à la 9e Journée de Synthèse nationale le 11 octobre dernier.

17:19 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un ancien élu d'Evry, la ville de Manuel Valls, parle :

Philippe Pascot, Pilleur d'Etat cliquez ici

14:24 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi prochain, 13 décembre, près de Nantes :

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En savoir plus cliquez là

13:38 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après son échec aux Régionales, le système se déchire…



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Hollande et consorts en Haute-Cour ?

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Dr Bernard Plouvier

Que n’a-t-on pas écrit sur l’art de gouverner ? Pour les uns, c’est « prévoir », pour d’autres ce serait plutôt « vouloir »… en tous cas, si l’on décide de faire quelque chose, il ne faut s’y lancer que lorsqu’on en a les moyens.

Nos « chefs », décidés et musclés, droit dans leurs bottes quand il s’agit de « défendre les valeurs de la République » (à dire vrai, on eût surtout aimé entendre qu’on allait défendre la Nation, effectivement menacée), ont décrété l’état d’urgence et parlent même d’en étendre l’application durant un semestre.

Tout cela serait bel et bon :

1 - si l’on agissait : nous avons vu un assaut (sanglant, mais avec une curieuse disproportion entre le nombre des assaillants et celui des terroristes assiégés, qui faisait mal augurer de l’efficacité policière), quelques visites domiciliaires et un nombre tellement faible d’interpellations que l’on en est en droit de s’étonner, car très nombreux sont les ulémas et imams prêchant le Djihâd dans « nos » belles mosquées ! On n’évoque même pas la réintroduction de la peine de mort. On déblatère sur une possible, éventuelle, voire improbable suppression de la double nationalité « dans des cas très précis ». Quant aux expulsions des fous furieux de l’islam et de leurs familles complices, nul n’ose l’évoquer, pruderie droit-de-lhommesque oblige… et l’on parle « d’état d’urgence » ! C’est réellement de la pitrerie.

2 – si la presse n’avait pas, au bout de deux semaines dudit (et très mol) « état d’urgence », mentionné le « surmenage », le « ras-le-bol » de nos vaillants policiers, CRS, soldats et gendarmes mobiles. Ce genre de réaction témoigne du sérieux et du professionnalisme des membres de nos forces de l’ordre… comme la photographie de couverture de la dernière livraison de Dâr al-Islam - la revue, grand public et destinée à l’exportation, du califat nouveau cliquez ici -, révélant (les lecteurs de Metamag s’en souviennent) un policier pleurant sur l’épaule d’un autre policier, est la meilleure illustration possible de la virilité française.

Mais il y a pire ! Quatre semaines après que notre grandiose Président ait décidé des « frappes aériennes », notre glorieuse armée aérienne serait à court de bombes, après en avoir lancé moins de 700… certes, on avait connu un précédent du même type, à la fin de septembre 1914, mais après six semaines de combats réellement intensifs, menés par 1,5 million d’hommes de première ligne. Pour l’heure, nos actions guerrières seraient menées par moins de 40 avions de combat.

Si l’information est exacte, la Nation doit exiger soit la destitution, soit – au minimum – le passage en Haute-Cour (c’est une mesure symbolique, mais ça soulagera l’agacement des patriotes) de nos « maîtres », pour imprévoyance et inconséquence. Au cas où ces génies de la réflexion l’ignoreraient, il est un principe fondamental en politique comme en stratégie : l’on doit proportionner ses objectifs à ses moyens… sinon l’on échoue lamentablement et l’on ridiculise la Nation.  

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Cela n'a pas tardé : déjà du rififi à l'UDI

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"Je quitte l’UDI, je reprends ma liberté pour agir autrement…"

Jean-Christophe Fromentin, député-maire de Neuilly-sur-Seine

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Ces élections régionales marquent la fin des partis traditionnels et le profond ras-le-bol des Français vis à vis de ceux qui depuis des années ne pensent qu’à la conquête du pouvoir au détriment des évolutions dont la France a besoin. Le délitement de la confiance vis à vis des « politiques » atteint des niveaux peu compatibles avec un fonctionnement harmonieux de notre démocratie.

Les partis, de gauche comme de droite, captent le débat, ferment le jeu et arbitrent les élections, y compris territoriales, selon des contingences d’état-major et de gestion des carrières. Cette évolution révèlent deux conséquences graves exprimées très clairement dans ces élections : Les Français n’y croient plus et préfèrent la résignation ou le vote populiste ; ils constatent que la France est encalminée dans des difficultés abyssales dont les générations à venir subiront lourdement les conséquences.

L’UDI n’échappe pas à ces travers politiciens. Elle ne constitue pas une alternative indépendante et ne reflète plus l’élan impulsé à son origine par Jean-Louis Borloo.

A 15 mois des élections présidentielles et législatives il est urgent de réagir. C’est la raison pour laquelle, fort de mon engagement politique qui, dès le départ, s’inscrit dans un double principe d’audace et de renouveau, j’ai décidé de reprendre ma liberté pour agir autrement.

Les défis à relever appellent des actes courageux, visionnaires et modernes. Or, l’avenir de la France ne peut être préempté par quelques professionnels de la politique dont l’accumulation d’erreurs ou de non-choix au cours des trente dernières années est une des principales causes des grandes difficultés actuelles que nous connaissons. Nous ne pouvons pas continuer avec les mêmes dont les promesses n’opèrent plus.

Mais chacun d’entre nous a une part de responsabilité dans cette situation. Celle de réagir et de se mobiliser plutôt que de critiquer et de se résigner.

C’est la raison pour laquelle je proposerai dans les prochaines semaines à un maximum de Français de se mobiliser pour mettre leurs talents au service de nos territoires et de la France.

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ALLO L'ASILE !

Un maire comme cela dans chaque ville de France et les nationaux triomphent... Son cas relève de la psychiatrie.

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Brrr !

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Philippe de Villiers, au sujet des régionales : «C’est la fin de toute une classe politique»

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Pour Philippe de Villiers, homme politique et écrivain, les résultats du premier tour des élections régionales montrent que les valeurs politiques des Français sont en train de subir un brusque changement.

RT France : Nous avons vu le FN arriver en tête de six régions sur treize lors du premier tour de ces élections régionales. Marine Le Pen a appelé à «amplifier le mouvement». Cela est-il possible, le FN est-il en mesure de gagner ces régions  ?

Philippe de Villiers : Je ne suis pas un expert des courants électoraux, je fais simplement une analyse à ma hauteur, en étant aujourd'hui à l’extérieur de l’arène. Les choses sont simples : il y a d’un côté le souverainisme, de l’autre cote le mondialisme. Le souverainisme – c’est l’idée que rien ne peut se faire sans la souveraineté nationale, un pays qui perd sa souveraineté et son identité meurt. Or, les Français ne veulent pas mourir. La France est menacée de disparaitre – menacée à l’extérieur et menacée à l’intérieur, submergée de l’extérieur et effondrée de l’intérieur. Et la France est menacée à la fois de perdre sa souveraineté et son identité, et de devenir une société multiculturelle. Tout ce qu’ont fait les politiciens depuis trente ans, depuis le Traité de Maastricht, aujourd’hui est désavoué. Et Marine Le Pen et le Front National sont la traduction politique de la souffrance identitaire des Français, les Français qui ont un sentiment de dépossession d’eux-mêmes. Alors il y a d’un côté un vote souverainiste qui s’incarne dans le Front National et un petit peu dans Debout la France, et de l’autre côté un vote mondialiste qui s’exprime dans la droite et la gauche qui sont libérales, atlantistes, mondialistes. Il y a une chose intéressante : Les Républicains et le PS commencent à discuter de désistement entre eux. Cela montre bien qu’en fait rien ne les sépare. Et je pense que, comme il est écrit dans mon livre, «la classe politique va connaitre le chaos».

RT France : Comme vous l'évoquez, certains candidats de droite comme de gauche appellent à se réunir pour faire barrage au FN au second tour. Si c’est le cas, quelles seraient alors les chances du FN ?

Philippe de Villiers : Non, cela ne marchera pas. Ils ne pourront jamais faire une telle alliance. Les Français détestent ce genre de magouille.

RT France : En quoi la France sera-t-elle changée après ces résultats des régionales tels qu'on les a vu apparaitre ce dimanche soir ?

Philippe de Villiers : Je pense que c’est la fin de toute une classe politique, d’une classe politique qui était à la fois mondialiste et européiste. Et c’est aussi l’émergence du souverainisme tel que je l’ai vécu lorsque je faisais de la politique. Enfin on va revenir à des notions essentielles qui reposent sur la souveraineté de la France.

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UMPS : tous unis pour se diviser contre le FN !

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Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

Dans le plateau-télé électoral de ce dimanche soir, il y a fromage et dessert, mais surtout manque le plat principal : le Front national ; ectoplasme qui plane dans les studios, mais assez peu représenté en chair et en os, à la notoire exception de Bruno Gollnisch, qui délivre un assez magistral cours de marxisme à Pierre Laurent et d’un David Rachline, jeune sénateur et maire de Fréjus. Il est vrai que les têtes de liste frontiste sont sûrement mieux occupées, chacun dans leurs locaux de campagnes.

Pourtant, le Front national, grand absent subliminal, est présent partout. Pour que les commentateurs et politiciens aient tout loisir de s’alarmer de ses résultats des plus flatteurs, déjà. Et ensuite sur la conduite à tenir à son endroit, lors du second tour de dimanche prochain. Fusion des listes ? Retrait de telle ou telle liste ? Triangulaires entre plusieurs listes ? Et à chaque fois, cette interrogation : le soleil continuera-t-il de briller en plein jour sur ces six régions susceptibles de tourner en orbite lepéniste ? Seront-elles bientôt englouties par les fumerolles et les éruptions volcaniques, les crues du Nil et les invasions de sauterelles ?

Pis, les forces vives de la nation, entrepreneurs et artistes, demanderont-ils asile politique en Andorre ou au Zimbabwe ? Bref, la guerre civile sera-t-elle pour demain ? Au lieu de répondre à cette question cruciale, journalistes, ce petit monde donne néanmoins l’impression de faire tourner les tables de leurs studios respectifs. Esprit républicain, es-tu là ? Farfadets démocrates, en quelle forêt de Brocéliande humaniste êtes-vous dissimulés ? Tout en houspillant les politiques de gauche de n’avoir pas su présenter un front commun contre le Front national. Et Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste, d’estimer que Les Républicains veulent « fermer la porte au barrage » contre le Front national, « là où la main de l’homme n’a jamais posé le pied », on imagine.

Ainsi, les socialistes se retireraient en faveur des Républicains contre Marine Le Pen et Marion Maréchal-Le Pen. « Tant mieux », ricane le pétulant Gilbert Collard. Ces consignes seront-elles suivies ? Pour l’instant oui, en régions Nord-Pas-de-Calais et PACA. Argumentaire provençal de Christophe Castaner : « C’est pour mieux résister au FN que nous nous retirons ! » Soit une idée toute particulière du maquis électoral…

Pourtant, en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, le candidat socialiste devrait se maintenir contre le frontiste Florian Philippot, qui mène la course en tête.

Enfin, on aura compris ce soir que la priorité de tous les partis politiques “républicains” ne consistait pas à lutter contre le chômage et l’immigration de masse, à la paupérisation et au terrorisme grandissant, mais… seulement, contre le Front national. N’auraient-ils donc que cela à foutre de la sainte journée ?

Une chose est néanmoins sûre, et c’est l’avantage du chroniqueur politique chargé de suivre l’actualité du FN, c’est au moins que chez eux, le problème du retrait ou de la fusion est plus simple, puisque ne se posant pas. Ils vont au front tout simplement. Second round ce prochain dimanche.

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dimanche, 06 décembre 2015

Lapidons le père Benoit !

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Martin Peltier Boulevard Voltaire cliquez ici

Mon Père, vous déconnâtes grave ! Vous avez consterné l’Express, le Figaro, les théologiens sourcilleux des réseaux sociaux et Mgr Barbarin, primat des Gaules. Certaines personnes sont nauséabondes, vous, c’est presque pire, vous êtes consternant. On vous accuse d’avoir mis sur le même pied les victimes du Bataclan et leurs assassins. Et l’on espère que Notre Sainte Mère l’Eglise catholique romaine vous trouvera l’une de ces niches de punition dont elle a le secret, entre le purgatoire et l’enfer de Dante.

Vous deviez pourtant savoir, mon Père, qu’il faut beaucoup de prudence avec les morts : aut bonum, aut nihil, en dire du bien ou rien, conseillait l’ancien précepte. Les Français reprochèrent moins à Raymond Poincaré d’avoir, avec les autres dirigeants européens dépassés (déjà), envoyé un continent au suicide en 1914, que d’avoir ri en 1917 dans un cimetière de poilus. Sans doute existe-t-il quelques rares grâces d’Etat. François Hollande, l’homme qui rit dans les friches industrielles, le chef de guerre qui n’a rien prévu ni su éviter, se fait une cote de popularité pas possible sur le cadavre des cent trente malheureux qu’il n’a pas su protéger. Sans doute : mais vous n’êtes pas de gauche, mon père, ni croque-mort !

Vous auriez dû savoir aussi qu’on n’est pas jugé sur ce qu’on écrit, mais sur ce que vos ennemis comprennent. Ayant commis la faute de vous lire, il m’a semblé que votre cible est l’esprit animant les vides jumeaux qui s’affrontent sous le nom d’islamisme et d’occident post moderne. Bon sujet, puisqu’il m’a inspiré voilà quinze ans un livre inspiré de Bridget Jones, le journal d’Oussama Ben L., que je recommande vivement au lecteur.

Hélas, vous avez commis plusieurs péchés complémentaires : non content de viser le diable, ce qui après tout peut se comprendre chez un prêtre catholique, vous avez attaqué bille en tête le principat des bisounours. Cela, c’est grave. Les réseaux sociaux n’ont pas apprécié que vous rapprochiez les cent trente morts du 13 novembres des 600 bébés que l’on avorte chaque jour en France. Ils ont couiné ! Rien à voir ! Horrible ! Crétin ! Ils vous reprochent d’avoir osé poser le problème moral de l’occident. Sur quelle morale et quelle métaphysique fonde-t-il ses actes ? En quoi tirer des missiles vaut-il mieux que décapiter ? Pourquoi porter le voile est-il pire que marier des homosexuels ? Si prendre la vie innocente est un crime, est-il plus satisfaisant de le faire à la kalachnikov ou à l’aspirateur ? Ces questions sont dérangeantes. Les bisounours sont des animaux sensibles, ils ne supportent pas de ne pas avoir toujours raison, la force qu’ils emploient est toujours légitime, celle de leurs ennemis toujours illégitime, ils sont toujours victimes de la violence des autre, ils ne sont jamais coupables, jamais violents, ils sont toujours justes. Donc vous les embêtez avec des questions qui pourraient les perturber s’ils les examinaient.

Et puis j’en suis désolé pour vous, mon Père, mais vous n’aviez pas le droit de les poser, et cela pour une raison toute simple, c’est qu’elles ont été tranchées une bonne fois pour toutes par Jacques Chirac (Loué soit son saint nom) quand il a dit : « Il n’y a rien au-dessus de la loi civile ». Là est la borne ultime de notre réflexion, de notre métaphysique et de notre religion. Voilà pourquoi, mon Père, je ne vous fais pas mon compliment. Si j’avais une pierre sous la main, je participerais bien à votre lapidation.

NDLR : Martin Peltier à la 9e Journée de Synthèse nationale le 11 octobre dernier.


Avez-vous lu le dernier livre de Martin Peltier ? Cliquez ici

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samedi, 05 décembre 2015

Régionales : la position du PNF...

emblc3a8me-du-parti-nationaliste-franc3a7ais.jpgCommuniqué du

Parti nationaliste français :

Dimanche 6 décembre aura lieu le premier tour des élections régionales faisant ainsi entrer dans les faits la réforme territoriale voulue par les mondialistes et appliquée par Hollande en 2014.

Son objectif majeur consiste à développer la puissance des régions et de l’intercommunalité. Cela a deux conséquences : d’une part, l’instauration de régions-länders sans réalité historique, économique, et charnelle, va tendre à affaiblir l’autorité de l’Etat et d’autre part, elle contribue à développer des puissantes féodalités régionales.

La destruction des services publics, à laquelle nous assistons, ne sera pas enrayée. Bien au contraire, les services de proximité vont s’éloigner un peu plus des administrés, les bureaux de poste vont continuer à fermer, accélérant la désertification de terroirs entiers de la France.

Contrairement au discours officiel, ce « remodelage du territoire » ne va pas induire d’économies. Les transferts des sièges des administrations, les nouveaux réseaux de communication informatique à mettre en place, l’inévitable relèvement des rémunérations des agents appelés à occuper des postes de plus grande importance au vu de régions agrandies vont coûter très cher.

Ce changement majeur est avant tout inspiré par la Commission européenne qui exige des « réformes » de la France et qui promeut une vision fédéraliste européenne au sein de laquelle les États-nations sont peu à peu démembrés et remplacés par une structure fédérale. La création de grandes régions et de grandes métropoles n’a d’autre sens que de vouloir inscrire ces régions et grandes agglomérations françaises dans une mondialisation qui met en concurrence les territoires et les grandes cités à l’échelon planétaire.

Ces élections vont donc consacrer une nouvelle étape du détricotage des pouvoirs publics et poursuivre la destruction de la souveraineté nationale dissoute dans l’affairisme sans frontières et sans scrupules. Elles vont concourir à la mise en œuvre de ce projet qu’Edmond de Rothschild énonçait en 1971 : « le verrou qui doit sauter, c’est la nation ».

Aucune des listes en présence ne dénonce cette réalité. Toutes veulent s’emparer des pouvoirs régionaux pour mieux renforcer leurs positions en vue des prochaines échéances électorales. Demain comme hier, les partis serviront leurs intérêts avant ceux des Français, s’accommodant sans peine du moule édicté par les cercles de pensée mondialistes et antinationaux.

Pas plus que les précédentes élections, la présente échéance électorale ne changera quoi que ce soit dans l’évolution funeste que subit la France. Au mieux, voter Front National permettra de dévoiler plus rapidement les turpitudes de ce mouvement et son ralliement au système, de le déconsidérer, préparant la voie à l’alternative véritable.

Le système n’est pas réformable. La seule action politique utile est de se former, de s’organiser pour préparer l’inéluctable révolution nationale que les événements exigent. C’est ce à quoi nous travaillons au sein du Parti Nationaliste Français.

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Jan-Marie Le Pen à propos de la COP 21

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Quos vult perdere Jupiter demendat

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Dr Bernard Plouvier

C’est un adage antique que l’on aurait intérêt à méditer de nos jours, selon lequel la divinité rend fous ceux qu’elle veut perdre.

Les nouveaux attentats perpétrés par les furieux islamistes, ne touchent plus seulement la France (pays de très forte minorité musulmane, comme ne semble pas le remarquer le ministre de l’Intérieur et des Cultes, dont les services minimisent le nombre approximatif des sectateurs de Mahomet, hôtes de notre beau pays) ou la Turquie (peut-être pour des raisons de politique intérieure qui échappent à l’observateur étranger aux finasseries pantouraniennes), mais aussi ces USA … où, selon certains commentateurs, on n’aurait pas dû en voir, parce que « les musulmans y sont bien intégrés » ou parce que « l’on n’y entre pas aussi facilement qu’en Europe occidentale » etc. On ne voit aucune raison pour qu’ils épargnent les États scandinaves, la Grande-Bretagne ou l’Allemagne.

Or, dans tous les pays où frappent les fous d’Allah, on entend la même rengaine : « il faut limiter de façon draconienne la vente des armes ». Certains pitres ont même interdit la vente de produits d’entretien ménager, parce qu’effectivement les dérivés chlorés et nitrés peuvent fournir une excellente base d’explosifs… mais l’essence et les autres dérivés du pétrole sont également très dangereux entre les mains d’un fou furieux, et il ne faudrait pas oublier l’étrange fascination des tueurs du calife pour les couteaux à lame de céramique. On risque d’interdire beaucoup d’objets de consommation courante !

Si l’on suit le raisonnement de ces génies de la protection civile : tout irait pour le mieux si l’on désarmait « le peuple », sachant que les terroristes islamiques sont admirablement fournis – parfois par valise diplomatique – en armes, en explosifs et même en morphine pour acheter localement du matériel de complément. C’est bien connu : les crapules savent toujours où se fournir en tout ce qui leur permet d’exercer leur prodigieuse capacité de nuire, alors que le gentil pékin ignore tout de ces réseaux obscurs.

Plutôt que d’organiser des milices d’autoprotection, dans le cadre de ces « démarches citoyennes » dont les socialo-écolo-pseudo-gaucho-mondialistes nous rebattent les oreilles, l’on va résoudre tous les problèmes de sécurité en raflant les armes du bon peuple menacé. Hollande, Valls, Cazeneuve et Taubira (qui se fait rare et silencieuse en ce moment, comme c’est bizarre !) vibrent à l’unisson d’Hussein Obama : désarmons le peuple ! Luttons contre la vente libre des armes (aux USA, pays de liberté jusqu’en 2001) !

En contrepartie de ce désarmement des victimes potentielles, on promet une action accrue des forces de l’ordre… qui, au bout de quinze jours d’alerte en France, se proclament déjà surmenées. Le torchon destiné à l’exportation de l’État Islamique, Dâr al-Islam, a montré une photographie de policier français pleurant sur l’épaule d’un camarade de patrouille, comme une pucelle abandonnée par son premier flirt… le commentateur n’a pas tort d’y voir un manque de virilité.

Après tout, la sagesse populaire le proclame : tel maître tel valet ! Hollande est un champion de l’inauguration des chrysanthèmes – et cela lui profite énormément en gain de popularité -, mais ni lui, ni ses ministres, ni le policier émotif présenté par la presse islamiste ne paraissent capables de protéger la Nation.  

Lors de la prochaine vague d’attentats, les citoyens devront décider de leur sort : se laisser trucider pour la plus grande gloire d’Allah le tout-puissant ou se souvenir du comportement des Français d’autrefois. Bien entendu, chacun est libre de se prosterner devant l’envahisseur, de se convertir à sa foi médiévale, voire d’aider activement à son triomphe… mais chacun doit se souvenir que lors de la phase de Libération du territoire, les Collaborateurs éprouvent de menus désagréments.

10:16 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 04 décembre 2015

Régionales : consignes du Parti de la France

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Communiqué du Parti de la France :

Dans le cadre du 1er tour des élections régionales du dimanche 6 décembre, le Parti de la France appelle ses sympathisants à voter pour les listes auxquelles participent ses cadres et ses militants : celle menée par Jacques Bompard en PACA et celle menée par Jean-Claude Martinez en Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.

Dans les autres régions, le Parti de la France ne donne aucune consigne de vote et laisse ses militants et sympathisants libres de leur choix afin qu'ils puissent s'exprimer au cas par cas en leur âme et conscience.

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Révolution et Contre-révolution, les leçons du passé. Le nouveau numéro de la revue Civitas est paru...

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Les épopées contre-révolutionnaires présentées dans ce numéro de la revue Civitas sont notre passé.

Elles doivent nous inspirer dans les combats contre-révolutionnaires d’aujourd’hui. Car nos combats contre la destruction de la famille, la dénaturation du mariage, la déchristianisation de notre société, le déracinement, le travail de sape de notre patrie, l’invasion migratoire, le mondialisme… doivent être menés dans l’esprit et selon les principes contre-révolutionnaires.

Mgr de Ségur a donné quelques conseils « pour combattre le bon combat et conserver la foi ». S’adressant aux vrais catholiques, il leur dit : « Par la prière, par les saintes œuvres, par l’action et par la parole, par la polémique, par tous les moyens légitimes d’influence, chacun d’eux s’efforce de repousser l’ennemi et de faire triompher la bonne cause. »

Bien sûr, le combat contre-révolutionnaire n’est pas consensuel. Combien ne voyons-nous pas autour de nous de prétendus « amis » qui croient admirer croisés, chouans et cristeros, mais qui répugnent à envisager de mener les combats actuels avec la même abnégation, la même force, la même fermeté, la même intransigeance et surtout la même foi catholique publiquement assumée et revendiquée ?
Les luttes entre la Contre-révolution et la Révolution sont souvent cachées mais éclatent non moins souvent au grand jour, dans une succession d’évènements apocalyptiques où la grandeur et le courage le disputent à l’horreur et à la lâcheté.

Il s’agit en ces pages d’exercer autant un devoir de mémoire, que de discerner des leçons pour le présent et l’avenir :

Leçons négatives d’une part : ces épopées ont été l’occasion d’erreurs parfois gravissimes. Le but n’est pas tant de le rappeler que d’amener le lecteur à percevoir combien – dans le contexte actuel de déchristianisation avancée et de haine entretenue contre les catholiques (la Révolution ne dépose jamais les armes…) – des erreurs a priori beaucoup moins graves pourraient être néanmoins rapidement fatales.

Leçons positives d’autre part : nous ne serions pas de Dieu si nous limitions notre propos aux trahisons, bassesses et autres inconséquences… et ce dossier doit être l’occasion de méditer des pages d’héroïsme, de grandeur et de sacrifices écrites par des catholiques de tous les temps et de toutes les latitudes, fidèles à leur Dieu et à leur patrie.

Le premier article sur le génocide vendéen, écrit par Sylvain des Rochettes, montrera d’abord – sur base des travaux de Reynald Secher – jusqu’où peut aller l’horreur révolutionnaire, dans un pays que l’on pensait alors à la pointe de civilisation. Il faut s’en souvenir et en tirer pour demain toutes les conséquences.

Michel Fromentoux présentera ensuite la résistance ardéchoise pendant la Révolution, moins connue mais tout aussi édifiante que l’épopée vendéenne.

Jean-Louis Picoche nous entraînera au-delà de l’océan pour évoquer l’histoire des Cristeros. Selon Jean-Louis Picoche, l’issue de cette épopée aurait pu être beaucoup plus favorable si certains hommes d’Eglise n’avaient pas montré une ingérence et une naïveté coupables.

Enfin, Miguel Ayuso, juriste et philosophe du droit, brossera un portrait, plus intellectuel qu’événementiel, du carlisme, grand mouvement du légitimisme et du traditionalisme espagnol.

Pour commander ce numéro : 7€ + 2.50 de port
ou par chèque bancaire à l’ordre de Civitas, 17 rue des Chasseurs, 95100 Argenteuil

Plus d'infos cliquez ici

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Médias Presse infos commente "Beyrouth 1976"

liban couv.jpgEmmanuel Albach est le président de l’Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban. Il a combattu au Liban de janvier à juillet 1976 et a fait ensuite une carrière de journaliste. C’est à son retour de Beyrouth, il y a quarante ans, qu’il a rédigé ce livre. Alors que les chrétiens d’Orient sont victimes d’une nouvelle tentative d’élimination, il lui semble temps de le publier.

Ce livre est la mémoire de cette poignée de jeunes Français partis au secours des chrétiens du Liban, aux pires heures de la menace, au risque de leur propre existence. Ni mercenaires ni soldats d’une armée régulière, ces volontaires français, essentiellement des étudiants, ont rejoint les Phalanges chrétiennes du Liban, alors dirigées par Béchir Gemayel, pour d’éprouvants combats de rue d’une guerre de positions à Beyrouth contre les diverses milices musulmanes.

Ils étaient environ une quarantaine, cinquante tout au plus. Ils ont sauvé l’honneur de la France.

Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes, Emmanuel Albach, éditions Synthèse Nationale, 260 pages, 22 euros

A commander en ligne sur le site de l’éditeur

Source Médias Presse infos cliquez ici

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jeudi, 03 décembre 2015

"BEYROUTH 1976 DES FRANCAIS AUX COTES DES PHALANGISTES" en vente à Paris

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Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangiste, édité par Les Bouquins de Synthèse nationale, est en vente à Paris à :

Facta, 4, rue de Clichy 75009 Paris

Duquesne Diffusion, 27, avenue Duquesne 75007 Paris

Notre Dame de France, 33, rue Galande 75005 Paris

La Librairie française, 5,  rue Auguste Bartholdi 75015 Paris

Vous pouvez aussi le commander en ligne cliquez ici ou par correspondance cliquez là

20:48 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3212 du 26 novembre 2015

EN JANVIER dernier, dans une vidéo, Aymeric Chauprade dénonçait l’existence d’une « cinquième colonne islamiste » en France, estimant qu’une « guerre avec des musulmans » était en cours. Il dissertait sur l’imminence d’un « choc des civilisations » et comparait les musulmans aux Allemands d’avant 1933, “pacifiques” et pourtant sur le point de porter le nazisme au pouvoir. Ce qui est évidemment faux aux yeux de Marine Le Pen. Pourtant, après les attentats du 13 novembre sur notre sol, avoir évoqué dès janvier « une cinquième colonne islamiste » était de simple bon sens et avoir sanctionné Chauprade pour avoir dit cette vérité en dit long sur le courage politique et intellectuel de Marine Le Pen qui a accepté l’union nationale autour de Hollande alors qu’elle refuse l’union avec son père, s’est rendue à l’Elysée et a félicité Hollande pour son discours au congrès de Versailles allant dans le bon sens mais diabolise son ancien conseiller international.

A la suite de cette vidéo de janvier 2015, Marine Le Pen avait en effet immédiatement démis de ses fonctions de conseiller international et de chef de file des 23 députés FN au Parlement européen Aymeric Chauprade. Lequel n’a pas tardé depuis à aggraver son cas. Voici que l’insolent personnage a reconnu avoir fait partie du commando qui a exfiltré les pilotes de l’affaire Air cocaïne, de Saint-Domingue vers la France. Un mandat d’arrêt a été lancé contre lui par la République dominicaine le 22 novembre. Dans l’entourage de la présidente du FN, on n’a pas caché son exaspération, dénonçant ce Chauprade qui “s’amuse”, ce qui est évidemment indigne d’un député européen du FN mariniste où on ne rit pas tous les jours et où même le sourire est éminemment suspect. Du coup, Marine Le Pen a fort logiquement prévu de réunir le bureau exécutif pour examiner l’avenir de Chauprade au sein du FN, c’est-à-dire pour l’exterminer. Le député européen a donc pris les devants avant sa mise à mort, déclarant sur i-Télé: « Je ne vais pas attendre d’être jugé par des gens que je ne respecte pas. »

C’est ce que déclare Chauprade dans une interview explosive au Figaro : il parle de son cas personnel mais surtout celui de Jean-Marie Le Pen, évoquant une véritable “trahison” de la part de Marine Le Pen : « Quels que soient les torts et les excès du fondateur du Front national, peut-on pousser comme cela, dans l’escalier, un homme de 87 ans auquel on doit tout ? Et qui disait déjà exactement la même chose quand Marine Le Pen en avait encore besoin ! Comment ne pas penser que ceux qui trahissent à la fois leurs proches et ceux auxquels ils doivent tout, ne trahiront pas un jour le peuple lui-même ? Sous la pression de Florian Philippot, Marine a décidé de se débarrasser de Jean-Marie Le Pen. C’est une faute morale grave car on ne peut pas prétendre incarner le parti des valeurs et des fondamentaux quand on brise soi-même un certain nombre de lois. Ce n’est pas une loi politique, c’est presque une loi de civilisation ». Et il conclut par ces mots : « Ceux qui trahissent celui auquel ils doivent tout ne méritent pas notre respect. »

LE FN MARINISTE SOUS INFLUENCE COMME LE PENSE JMLP ET CHAUPRADE ?

Et Chauprade d’ajouter : « Marine Le Pen s’est laissé piéger dans un chantage avec Philippot. Il lui a expliqué, dès le début, qu’il était la dédiabolisation en personne. Et cette logique dans laquelle elle s’est laissé enfermer est devenue un chantage quasi-quotidien. Elle a finalement accepté de perdre sa liberté ».

Chauprade, qui est un homme brillant, indépendant et malheureusement lucide, déclare : « Je n’ai pas d’amertume ni de rancœur, mais une grande déception, le Front national est devenu un étouffoir, on ne peut pas penser », et il ajoute : « Je crois que le FN ne correspond pas à un projet crédible et ne répondra pas aux attentes des Français ».

Aymeric Chauprade claque la porte du Front national où il dénonçait notamment l’influence du lobby gay, tendrement rassemblé autour de Florian Philippot. L’eurodéputé a détaillé les raisons de cette décision, le lundi 9 novembre sur i-Télé. « Ce soir, je suis venu dire que je quitte le FN de Florian Philippot et Marine Le Pen », a-t-il expliqué, avant d’avancer des divergences “morales” mais aussi “idéologiques”. « Il est essentiel que les dirigeants de la France de demain aient une droiture, une capacité de respect de leur parole », dit-il. Aymeric Chauprade songeait à quitter le FN depuis cet été : « J’envisageai de quitter le FN. Marine nous empêche de penser par nous-mêmes. Moi, je m’en fous de contrarier Marine. Je ne veux rien m’interdire à cause de cette dame », expliquait-il à ses amis. Cette dame… quel gros mot !

Marine Le Pen, en brillante intellectuelle, a quant à elle tweeté ce message définitif : « Surtout après l’affaire Air Cocaïne, nos désaccords avec A.Chauprade étaient devenus trop importants et son maintien au FN impossible. MLP ».

A DÉFAUT DE MARINE LE PEN, CHAUPRADE CHOISIT VILLIERS

Ayant démissionné du Front national, Chauprade déclare : « Il n’est un secret pour personne que je souhaite profondément le retour sur la scène politique de Philippe de Villiers, qui est un ami et un père politique. Je souhaite vivement qu’il revienne d’ici la présidentielle de 2017. J’ai lu son livre. Ce qu’il dit apporte beaucoup, il y a une verticalité dans son projet, une vraie vision. D’autres personnalités comme celles de Nicolas Dupont-Aignan, Henri Guaino, Robert Ménard ou Nadine Morano doivent participer à la recomposition à droite. L’avenir se reconstruira avec des gens qui ne lâchent rien, qui ont des convictions fortes, qui agissent. » Chauprade dénonce les contradictions et la stérilité du programme de Florian Philippot qui « seront de plus en plus évidents même si le désespoir des Français est grand ». Chauprade estime qu’il faut adapter la France en défendant ses valeurs face à deux défis: les partisans de l’Argent-roi qui réduisent la personne à un individu-consommateur, détruisent les familles et les identités, et les partisans, de plus en plus nombreux, de la loi islamique. Dans cette « recomposition d’une grande droite crédible et assumée », Chauprade cite également le nom de Marion Maréchal-Le Pen, dont il est un ami.

Brillante tacticienne, Marine Le Pen vient de perdre une fois de plus un cadre de talent (songeons notamment à Laurent Ozon et David Mascré, entre autres, qui se sont fait virer pour avoir déplu à la mégère). Jusqu’où ira la chute ? En attendant, MLP s’est fait un nouvel ennemi mortel. Il est triste que dès qu’un intellectuel, un écrivain, un penseur peut apporter une valeur ajoutée au FN, et même si l’on peut bien sûr ne pas être d’accord avec la totalité de ses positions et de ses initiatives, il finit très vite par être exclu, mis de côté ou partir de lui-même écœuré. Ce n’est pas un bon signe.

10 000 EUROS D’AMENDE REQUIS CONTRE ZEMMOUR !

Le procès d’Eric Zemmour pour provocation à la haine raciale a eu lieu le 6 novembre. Il avait, il est vrai, commis une abomination en déclarant au Corriere della Sera, alors qu’il faisait la promotion de son livre Le Suicide français que les musulmans « ont leur Code civil, c’est le Coran », qu’ils « vivent entre eux, dans les périphéries », si bien que « les Français ont été obligés de s’en aller ». Le site Boulevard Voltaire, fondé par Robert Ménard et Dominique Jamet, livre l’intégralité de son intervention à la barre. Voici quelques extraits de ce texte remarquable : citant le grand historien Jacques Bainville, proche de l’Action française, il déclare : « Les démocraties ont coutume de reprocher à ceux qui ont prévu les événements de les avoir causés » et ajoute : « Et encore, le grand Bainville ne savait pas qu’on pouvait être attaqué pour des mots. Il ne savait pas qu’on pouvait être renvoyé par un de ses employeurs, en l’occurrence i-Télé parce que des propos prononcés dans un journal italien n’avaient pas l’heur de plaire ni à la directrice de l’antenne ni à la rédaction. Il ne savait pas que l’expression liberté d’opinion ne valait que pour les dessinateurs de Charlie Hebdo. Il ne connaissait pas les beautés cachées de la loi Pleven, des délices et poisons de l’incitation à la discrimination et à la haine raciale. Il ne savait pas, l’heureux homme qui vivait dans une République qui respectait encore les libertés fondamentales, qu’on pouvait être traité comme un délinquant parce que ses idées ne plaisaient pas au pouvoir.

Il ne savait pas que la gauche, la gauche bienpensante, la gauche humaniste, si bienveillante et pacifique, si laïcarde et anticléricale, avait rétabli subrepticement le délit de blasphème, qui avait été aboli à la Révolution. Oui, le délit de blasphème ! Il s’agit de condamner quiconque n’ôterait pas respectueusement son chapeau devant la nouvelle religion, la nouvelle doxa antiraciste, celle de l’identité heureuse, comme dit un ancien Premier ministre, celle du pas d’amalgame, celle de l’islam modéré, religion d’amour et de paix, celle de l’intégration harmonieuse dans le respect des différences. Oui, tous ceux qui ne croient pas en cette nouvelle religion, tous ceux qui n’ont pas la foi doivent se taire ou être condamnés. Ou plutôt, pour que la masse continue à se taire, il faut que certains soient condamnés. J’ai l’honneur, je dis bien l’honneur, d’être devenu une cible privilégiée.

Il y a quelques mois, lors d’un autre procès — puisque je passe, désormais, une partie de ma vie au palais de justice —, la représentante du parquet me demandait si ma première condamnation, il y a quatre ans, m’avait conduit à changer mes méthodes de travail. Je lui renverrai aujourd’hui sa question : est-ce que la relaxe dont j’ai bénéficié dans une récente affaire a conduit le parquet à changer ses méthodes de travail ? Est-ce que le parquet s’est remis en cause ? Est-ce qu’il a décidé de ne plus se mêler de la vie des idées en France ? Quand le parquet cessera-t-il de servir de relais à des lobbys antiracistes qui vivent du racisme, ou du prétendu racisme (et encore : de manière hémiplégique), comme d’autres vivent de la défense des baleines ou des ours ? Jusqu’à quand le parquet alimentera-t-il une logique liberticide qui rappelle les régimes totalitaires communistes, qui permet à n’importe quelle association de signaler à la police des opinions dissidentes, afin que le parquet, au nom de la défense de l’État et de la société, ne poursuive les affreux dissidents ?

Je préfère prévenir respectueusement le parquet et la cour : rien ne m’empêchera de continuer à dire ce que je crois, même si j’ai bien compris que rien n’arrêtera le ministère public dans sa volonté de me faire taire. J’ai bien conscience aussi d’être le pot de terre contre le pot de fer. Mais un jour, j’en suis convaincu, l’Histoire donnera raison au pot de terre, comme elle l’a donné au grand Bainville, et le pot de fer aura honte. Mais il sera trop tard ».

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20:45 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |