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jeudi, 04 février 2016

Salaires, assistanat et dignité du travailleur

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Dr Bernard Plouvier

Indépendamment de l’énorme problème du chômage en Occident, nos maîtres commettent d’énormes erreurs psychologiques, qu’une étude de l’histoire moderne et une plus juste appréciation de la psychologie humaine auraient pu leur faire éviter.

L’homme, moderne ou antique – c’est tout un -, a toujours aimé se considérer comme un être efficace, productif : un individu de valeur. Du moins essaie-t-il de s’en persuader et d’en persuader ses proches. Pour obtenir ce résultat, il y eut longtemps la valeur guerrière –dévalorisée depuis quelques lustres, mais son heure de gloire reviendra et probablement plus vite que l’on croit en Occident. Il y eut toujours « le pain quotidien », de nos jours avec beurre et confiture, viande et barres chocolatées etc., gagné par le père de famille ou la mère célibataire, nouveauté de notre époque.

Or, depuis les débuts de l’ère mondialiste, nous en sommes revenus à une époque de bas salaires. Après défalcation du loyer – ou du prêt immobilier -, de la part de dépenses alimentaires (de nouveau croissante, alors qu’elle avait nettement chuté durant les années 1960-1995), des coûts en carburants et services – toujours plus variés et jugés « indispensables » -, du renouvellement des vêtements et chaussures, enfin des impôts, il ne reste guère de fonds pour de quelconques économies… c’est d’ailleurs le but de nos maîtres : obtenir une consommation intégrale du produit des salaires et allocations diverses.    

Pour compenser chômage et salaires insuffisants à la vie de consommation, l’État, au service du seul Pouvoir : l’économique, redistribue une part de plus en plus grande du produit des taxes et des emprunts en allocations diverses. Et tout semble fonctionner, sans autre émotion sociale notable que les fiestas pluriannuelles et les émeutes raciales, moins fréquentes, des fruits pourris de l’immigration extra-européenne.

Tant que les caisses sociales fonctionnent (quel qu’en soit le mode de financement), tant qu’il n’existe pas de mouvement insurrectionnel – par exemple déclenché par une guerre de races ou de religions -, le désordre profond des mentalités n’apparait pas… mais il n’en existe pas moins.

En 1918-19, les ouvriers allemands jouissaient, depuis les années 1880, des meilleures lois sociales de la planète, mais les salaires réels – l’augmentation du coût de la vie étant strictement corrélée aux augmentations de salaires - n’avaient absolument pas bougé durant les 25 années précédant la Grande Guerre, alors même qu’explosait la croissance industrielle et commerciale du IIe Reich. Une guerre perdue, même avec panache, suffit à les précipiter dans la sottise marxiste.

Une excellente législation sociale et des œuvres de bienfaisance (le patronat allemand était réellement de type paternaliste sous Guillaume II) ne remplacent jamais ce que l’on gagne par son labeur. Comme l’a écrit Jean Anouilh, lorsqu’un jour il décida de jouer au (très bon) fabuliste : « Jamais ce que l’on vous donne ne vaudra ce que l’on prend avec sa griffe et sa dent ».

La dignité humaine exige, intuitivement ou explicitement, que soit reconnue la valeur du travail fourni, en quantité et en qualité : c’est ce qui fait la notion de juste salaire. Un grand industriel, Henry Ford – le Ier de la lignée –, avait compris cette profonde vérité psychologique.

Nos politiciens ont cru acheter, à coup de milliards d’unités de compte, la paix sociale dans les sites d’immigration extra-européenne massive. On savait, dès la fin de la décennie 1980, que c’était un échec… très prévisible : la fierté des bons-à-rien était offensée par les subventions et allocations, tandis que le chômage de longue durée – qui ne faisait que refléter leur totale inadéquation au marché de l’emploi – ternissait leur image de marque, face à leurs proches et à leur miroir.

Les bas salaires représentent une forme identique de dépréciation des travailleurs, d’autant que, mois après mois, les réseaux sociaux voués à l’information claironnent les superbénéfices engrangés par certaines sociétés multinationales – et personne ne s’intéresse à celles qui stagnent ou sont en déficit. Le contraste entre le médiocre ratio : salaire/travail fourni (ou estimé fourni) et la très bonne santé d’un nombre plus ou moins grand de multinationales forme un cocktail explosif, qui demeure stable tant que les conditions d’embrasement social ne sont pas réunies.

Morosité et absence d’avenir sont les pires ingrédients sociaux. Ils deviennent réellement explosifs quand d’honnêtes parents estiment que l’avenir de leur(s) enfant(s) risque d’être pire que leur présent.

Nos maîtres sont peut-être des champions de la spéculation et de l’exploitation du travail humain et non-humain. Ils manquent néanmoins de connaissances historiques et de subtilité. Leur ego monstrueux, leur cynisme d’affairistes sont tels qu’ils ignorent une notion fondamentale : celle de la profonde dignité des êtres humains à forte conscience éthique. Cette carence dans l’information, liée à la fausseté de leur esprit, provoquera leur perte… et nul ne versera une larme sur leurs malheurs.      

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Le rassemblement patriotique de samedi prochain à Montpellier aura bien lieu...

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Montpellier (Lengadoc Info) – Le rassemblement « Sauvons notre pays » aura bien lieu ce samedi 6 février à 15 h à Montpellier devant la préfecture. Des rassemblements similaires ont été interdit à Calais et à Saint-Brieuc mais à Montpellier, la manifestation a été autorisée. Interviewé par Pierre Cassen, le président de la Ligue du Midi et organisateur de la manifestation, Richard Roudier, revient sur les motivations d’un tel rassemblement deux mois et demi après les attentats de Paris et alors que la situation migratoire en Europe est désormais au cœur des débats politiques.

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Richard Roudier - Rencontre Charles Martel (Poitiers - juin 2015)

La Ligue du Midi, que tu présides, a immédiatement relayé l’appel de Pegida et de Tommy Robinson, et proposé un rassemblement à Montpellier, le 6 février, sur le thème « Sauvons notre pays ». Pourquoi ?

Richard Roudier : Le combat que nous menons est local, français, et européen. La question de l’Islam ne se poserait pas s’il n’ y avait pas eu l’immigration. Immigration dont on n’aurait jamais parlé s’il n’y avait pas eu à partir des années 70 des hommes politiques particulièrement veules et corrompus pour offrir au grand patronat une main d’œuvre peu exigeante en matière de conditions de travail et de salaire. En corollaire, à compter de cette date, le peuple français a dû subir des campagnes de culpabilisation d’un niveau jamais atteint pour lui faire baisser la garde devant cette invasion, alors que dans le même temps des « lanceurs d’alerte » tels Jean Raspail et Dominique Venner tiraient des sonnettes d’alarme que bien peu voulaient entendre. Le deuxième tome du « Camp des saints » est en train de s’écrire sous nos yeux avec des migrants dont les voyages sont payés par les multinationales et leurs stipendiés (faussement humanitaires), avec pour objectif ultime la création d’un gouvernement mondial « hors-sol » menant au fouet des populations grisâtres, sans identité, dont la seule liberté sera de pousser des caddies à l’intérieur des rayons d’hypermarchés.

Aujourd’hui, la machine infernale s’emballe et nombre de nos citoyens sont confrontés dans leur quotidien aux périls qui vouent notre pays à la disparition : le flot migratoire ininterrompu, les violences faites aux femmes qui ont retenti comme une véritable déclaration de guerre, le triomphe de l’islamisme dans la sphère publique, la menace terroriste que l’on ne sait ni prévenir ni endiguer, le chômage et la pauvreté qui touchent la plupart des familles, notre patrimoine industriel et commercial qu’on abandonne à la finance internationale et aux monarchies du golfe et par dessus tout, cette impression angoissante de ne plus être chez nous.

Vous avez multiplié, ces derniers temps, beaucoup d’initiatives, dont un courageux rassemblement à Lunel, fief des salafistes locaux. Penses-tu que cette fois, ce rassemblement dépassera en nombre ceux que vous organisez d’habitude ?

Le rassemblement de Lunel aura été un marqueur dans le développement de la ligue du Midi. En moins de 48 heures, trois jours après les attentats du « Bataclan » et dans un souci de sécurité pour les gens qui nous font confiance, nous avons pris la décision de ne pas appeler la population à manifester, mais d’organiser un rassemblement militant. C’était un pari risqué puisque nous aurions pu n’être qu’une poignée, mais la mobilisation a joué et nous fûmes une centaine, au même moment, avec trois lieux de rassemblement à Lunel, Nîmes et Alès.

J’ai à cœur de souligner l’attitude de la police municipale et de la gendarmerie (Lunel est en zone gendarmerie), puisque dans un contexte particulièrement tendu, la manifestation des identitaires a été très vite encadrée au pied levé par des gendarmes en gilets pare-balles armés de fusils d’assaut…mais pour une fois, pas pour nous chasser… Ce fut une expérience intéressante d’un point de vue militant puisque nous avons pu tester la discipline et la cohésion du groupe.

Pour en revenir à la mobilisation pour ce rassemblement, la seule comparaison que nous pouvons avancer, c’est par rapport au 18 janvier 2015 où nous avions relayé l’appel de Pegida et avions rassemblé en quelques jours près de 100 personnes devant la préfecture de Montpellier. Nous tablons sur 200 à 300 personnes pour le rassemblement du samedi 6 février, chiffre que nous avons d’ailleurs communiqué aux autorités. Je peux vous confirmer de source sûre que le rassemblement sera autorisé.

Comment les choses doivent-elles se dérouler ?

Il s’agit d’un rassemblement statique classique avec diverses prises de parole, sept au total, plus un message de Maurice Vidal qui sera lu par un camarade. Nous aurons Olivier Roudier de la Ligue du Midi, Jean Théron de Résistance républicaine-Provence, Michèle Bros Ligue du Midi-Alès porte-parole du Collectif des Femmes en Colère, le Docteur-vétérinaire Alain De Peretti de Vigilance Halal, Ester Gallego Présidente de « Som Catalans » , Pierre Vial, Président de « Terre et peuple » et moi même qui mènerai les débats et tirerai les conclusions de cette journée.

Nous avons tenu à ce que la campagne d’information soit la plus étirée possible et nous avons réalisé le premier envoi le 4 janvier afin de nous permettre d’atteindre en tirs croisés le maximum de nos compatriotes.

Une vingtaine d’appel de personnalités locales ou nationales ont été lancés depuis le 20 janvier à raison de une ou deux par jour. Merci à Renaud Camus et à tous les autres pour leur collaboration. Des milliers de tracts ont été diffusés de Perpignan à Beaucaire et plusieurs réunions militantes se sont tenues sur ce thème à Alès, Nîmes et Montpellier.

Crains-tu des provocations gauchistes, ou bien une interdiction des autorités ?

La Ligue du Midi est là pour gagner le combat des idées, remporter des victoires politiques, et non pas pour distribuer des horions. Mais cependant, nos adversaires le savent, nous avons une culture de la défense bien ancrée. Dans le cadre de ce type de manifestation, la police nationale assure l’ordre en dehors du rassemblement, ce qu’elle fait très bien la plupart du temps, et notre service de sécurité, lui, est chargé de faire respecter les consignes à l’intérieur du rassemblement et d’évacuer des perturbateurs ou d’éventuels provocateurs. Les seuls emblèmes autorisés sont le drapeau national, les bannières de région et les banderoles des organisateurs.

Nous avons choisi le marché aux fleurs pour son côté poétique, mais aussi parce qu’il est piétonnier et qu’il est contigu à la préfecture… et qu’il n’y a pas, a priori de lieu plus facile à sécuriser par les forces de l’ordre que la propre demeure du préfet…

Je précise que pour ce type de manifestation, il s’agit de remplir une simple déclaration et le préfet ne peut interdire qu’en cas de risque sérieux de troubles à l’ordre public qui ne pourraient d’ailleurs être fomentés que par des individus extérieurs au rassemblement. En outre, je souligne que le rassemblement du 18 janvier 2015 n’avait donné lieu à aucun incident notable et qu’il en sera de même samedi prochain.

Comment vois-tu la suite de la mobilisation, au lendemain des 6 et 7 février ?

Attendez, je sors ma boule de cristal ! En attendant commençons par le commencement, réussissons ce week-end des 6 et 7 février, puis nous verrons. Bonne chance à tous… Comme sait le dire Pierre Vial : la rue appartient à celui qui y descend !

Propos recueillis par Pierre Cassen

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Le retour de Philippe de Villiers vu par BFM TV

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Remplacer les immigrés par des expatriés

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Le problème de l'immigration, et l'islamisation qui en découle, ne pourra véritablement être réglé que lorsque des solutions seront mises en place pour fixer les populations migrantes sur leurs sols d'origines. Mais certains affirment que les pays développés ont toujours eu besoin de faire venir de la main d'oeuvre étrangère pour réaliser les travaux refusés par les locaux. C'est en partie, en partie seulement, vrai. Alors, dans ces cas précis, pourquoi ne pas changer le statut de ces "travailleurs immigrés" en leur donnant celui de "travailleurs expatriés". La nuance a son importance. C'est ce à quoi François de Chassey s'attache à démontrer dans un petit opuscule qu'il a publié l'an passé et qui mérite d'être lu. 

Les propositions développées dans cette plaquette concernent évidemment que la petite partie des immigrés réguliers qui vient en France que dans l'unique but de travailler.

Pour se procurer cette brochure cliquez ici

Un entretien avec François de Chassey publié dans le magazine québécois Le Harfang cliquez là  de l'été 2015 :

11960061_663509047118864_7428535144002585544_n.pngPrésident et fondateur de l'Association Saint-Jacques, une organisation venant en aide aux pays défavorisés du Vietnam, François de Chassey vient de publier un livre choc aux Éditions des Cimes, « Les politiques doivent sauver la France » livre que nous abordons dans notre chronique Lectures dissidentes. L’Occident fonce droit dans le mur avec des politiques démographiques suicidaires et les politiciens doivent agir avant qu’il ne soit trop tard. Aider les autres, certainement! M. de Chassey y voue sa vie! Mais être plus forts ici pour mieux les aider là-bas est son motto.

Afin de clarifier certains points de son livre, M. de Chassey a accepté de répondre à nos questions.

Le Harfang - Après 50 ans d'inaction, croyez-vous réellement que les politiciens adopteront certaines des mesures que vous proposez ?

François de Chassey – Pour l'instant je ne crois rien ! D'autant plus qu'on aurait pu croire les politiciens de la fausse droite en France sur la bonne voie (voir les déclarations, dans le florilège récapitulatif, des années 1990-91-92). Ils ont été au pouvoir depuis ces années et n'ont strictement rien fait. Apriori on peut supposer qu'ils feront de même (c'est-à-dire rien) s'ils reviennent au pouvoir, peu importe les déclarations qu'ils font ou qu'ils feront (en vue de la présidentielle en France début 2017).

Quel est l'objectif de votre ouvrage ? S'adresse-t-il aux politiciens ou à vos concitoyens ?

Aux deux catégories, en espérant qu'il y ait une interaction pour qu'il y ait une stimulation réciproque ! Le titre est volontairement un peu provocateur, mais en réalité il reste à l'état de voeu pieu. Ce qui est certain c'est que la solution ne peut passer que par les politiques (donc les politiciens) : j'ai donné un exemple avec la candidature extra-politicienne de Renaud Camus contre le Grand Remplacement qui a fait 0,05 %.

Les Français ont une option que nous n'avons pas, soit le vote FN. Malgré tout, le FN a été boudé durant des décennies malgré le fait qu'il ait été le seul parti à lutter contre l'immigration. Comment expliquezvous ce comportement français de bouder le seul parti ayant une plateforme crédible en matière d'immigration ?

C'est difficile de donner une courte réponse à cette question (et ce n'est pas le lieu pour l'allonger). Je vais donner un avis (avec des mots fabriqués, PUT & marx-merdia, qui ne sont pas forcément à reprendre !) : les Français sont matraqués par la PUT (pensée unique totalitaire) divulguée par les marx-merdia ; ils ont beaucoup de mal à émerger (il faut qu'ils soient matraqués par les coups, au sens réel, et les attentats en contrepartie bien que ce ne soit nullement mon souhait).

Le modèle que vous préconisez pour le futur est celui de notre programme de Travailleurs temporaires étrangers, un programme qui s'il n'a pas d'impact démographique, donne le beau jeu au capital qui peut profiter du cheap labour étranger plutôt que de payer une main d'oeuvre locale plus dispendieuse. Comment éviter un tel problème ?

Comment éviter ? Comme les Africains (je les cite parce que ce sont ceux, les Africains francophones, que je connais) : un contrat n'est accepté par les autorités que si la place ne peut pas être prise par un autochtone. Aussi, comme je l'ai écrit, l'expatrié reviendra un peu plus cher (je ne sais pas s'il y a un salaire minimum garanti au Canada) parce qu'il faudra ajouter le prix du voyage aller-retour.

00:21 Publié dans Livres, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 03 février 2016

TV Libertés et Lionel Baland ont rencontré Pégida à Dresde, point de départ du réveil allemand

19:44 Publié dans En Europe et ailleurs..., TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Interdictions des manifestations patriotiques de samedi prochain à St Brieuc et à Calais

Un communiqué commun de Riposte laïque et de Résistance républicaine :

Le pas de deux entre le gouvernement socialiste et les antifas commence vraiment à se voir. Les patriotes déclarent une manifestation, les antifas annoncent une contre-manifestation, à la même heure et au même endroit, et le gouvernement, par ses préfets, interdit deux initiatives !

Ainsi, le Préfet de Côtes d'Armor, Pierre Lambert, après avoir copieusement insulté dans la presse les organisateurs de la manifestation du 6 février prochain à Saint-Brieuc, vient de l'interdire par un arrêté préfectoral évoquant essentiellement le risque de troubles à l'ordre public à cause d'une contre-manifestation annoncée des milices « antifas », secondée par les habituels syndicats gauchistes, enseignants notamment dont on se demande ce qu'ils viennent faire là.

Naturellement l'avocat de Résistance républicaine, Frédéric Pichon, du barreau de Paris, a lancé une procédure de référé-liberté afin de contester cette décision. Il plaidera demain jeudi, à Rennes à 14 heures. Nous nous ne doutons pas que les juges nous donneront raison et nous demandons à chaque manifestant de demeurer mobilisé pour samedi 6 février. Par ailleurs, comme pour toutes nos manifestations, il y a aura un service d’ordre digne de ce nom et la sécurité de chacun sera assurée.

Nous apprenons ce matin que la manifestation de Calais du 6 février est elle aussi interdite par le préfet, pour le même motif que celle de Saint-Brieuc. C’est une décision inique, quand celle de clandestins et de gauchistes agressant des Calaisiens et taguant la statue du général de Gaulle avait été autorisée. Nous ignorons si le responsable de l'association Pegida France lancera lui aussi une procédure de recours mais c’est le principe même des libertés publiques et du droit de manifester qui est remis en cause par Cazeneuve et ses préfets d’un côté, et les milices antifas de l’autre.

Nous interpellons le Ministre de l'Intérieur et les préfets, responsables de l'ordre public. Il est évident que toute contre-manifestation au même lieu et à la même heure doit être interdite par principe. Le vrai trouble à l’ordre public est là. Le rôle de l'Etat et de ses représentants est d’assurer la protection des manifestants ayant les premiers déposé leur déclaration de manifestation.

Nous reconnaissons à chacun, « antifas » compris, le droit de considérer que l’islam est une religion de paix, et que l’immigration sans assimilation, en période de chômage de masse, est une chance pour la France. Nous n’avons jamais contre-manifesté quand ils ont défendu ces idées dans la rue et ne le ferons jamais. Pour nous, c’est cela la démocratie, la défense de la liberté d’expression et le refus du totalitarisme.

Nous demandons donc au Ministre de l'Intérieur et aux préfets de Côte d'Armor et du Pas-de-Calais de bien vouloir reconsidérer leur décision et de faire leur travail, en protégeant le droit de manifestation et de réunions des militants de l’initiative européenne « Sauvons notre pays ».

Faute de quoi, dans une période où agriculteurs, fonctionnaires, gauchistes et mêmes clandestins occupent la rue, et où l’UOIF tient son congrès à Lille, la preuve sera faite que l’Etat d’urgence, que les socialistes veulent prolonger, est une imposture qui n’a pour seul but que de priver de parole les patriotes qui refusent l’islamisation de leur pays.

DIMANCHE 7 FEVRIER : GRANDE REUNION PATRIOTIQUE A RUNGIS 

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ESPACE JEAN MONNET 47, RUE DES SOLETS RUNGIS (94)

DIMANCHE 7 FEVRIER (10 H - 17 H)

15:46 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le mal-logement au secours des familles

Randa Ph 2.jpgLa chronique 

de Philippe Randa

Le 21e rapport annuel sur l’état du mal-logement en France de la Fondation Abbé-Pierre tire une fois de plus la sonnette d’alarme devant « l’aggravation » de la situation. Les chiffres avancés parlent d’eux-mêmes : 900 000 « privés de logement personnel », 141 500 « sans domicile », 85 000 logés dans des « habitations de fortune » et 2,9 millions d’autres dans des conditions « très difficiles » (manque de confort, surpeuplement, promiscuité, etc.), 1 % des logements sans eau courante, douche ni WC et 1,9 million sans chauffage central… D’autres chiffres encore ? Allons-y : 17 929 personnes habitent dans un des 582 bidonvilles référencés comme tel par la Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (Dihal)…

D’où le constat d’un retour au domicile parental de plusieurs centaines de milliers de personnes (450 000 en 2013). Certes, dans l’extrême majorité des cas, c’est contraint et forcé pour raisons financières, on s’en doute… Mais alors que ces dernières décennies, tout avait été mis en œuvre par les héritiers de Mai 68 pour détruire la famille, voilà que notre société actuelle qui a vu le triomphe de leurs idées, oblige, pour cause d’échecs économiques persistant, à ce que la famille soit un des recours ultimes pour nombres de nos concitoyens.

Le mal-logement au secours des familles ? On pourrait croire à de l’humour noir… ou que se vérifie ce proverbe populaire qui veut qu’à toute chose, malheur soit bon.

11:38 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 7 mai prochain à Paris : 3e congrès du Parti de la France

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En savoir plus, consultez le site du PdF cliquez là

11:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Effondrement des cours du pétrole : où sont passés les sous ?

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Dr Bernard Plouvier

Entre autres nouvelles, plus ou moins agréables, mais toujours fort attendues, le mois de janvier amène rituellement la publication des indices économiques de l’An vieux.

Nul n’est étonné d’apprendre, s’il l’ignorait encore que, pour la énième année consécutive, le chômage s’est accru. Mais nos brillants « chefs » ayant promis, juré d’en  « inverser la courbe », il suffit de leur faire confiance et… de patienter.

La conjonction de deux autres indices est déjà plus étonnante : la croissance économique française fut de 1,1% en 2015, alors que pour la première fois depuis des lustres l’inflation a été NULLE. Or nos beaux théoriciens, à la suite de l’ambigu Lord John Maynard Keynes, sont formels : c’est l’inflation qui stimule la croissance. Or, sous Giscard, nous avions peu ou prou 10 à 15% d’inflation annuelle et une croissance très basse à partir de 1974. À l’inverse, le IIIReich maudit, où – c’est un dogme estampillé d’origine universitaire, c’est dire s’il est solide comme l’acier de chez Krupp – les dirigeants étaient « des ignares en matière d’économie », le PIB avait augmenté de 50% de 1933 à 1938, avec seulement une inflation cumulée de 6% en 6 années (elle fut de 19% en 1933-34 aux USA et de 44% en 1936-37 en France, avec des valeurs négatives de croissance). Bref, l’histoire réelle – qui n’est pas forcément celle enseignée dans les écoles et les universités – nous apporte parfois de petites joies et rejetons l’hydre de l’inflation qui ne rapporte qu’aux vendeurs et aux spéculateurs.

Mais tout cela n’est que fariboles en comparaison du séisme économique et financier des seconds semestres de l’An 2014 et de 2015 – un cru décidément maudit : l’effondrement des cours du baril de pétrole et des produits dérivés de même origine. De janvier 2011 au joli mois de mai 2014, le prix moyen – une fois corrigées les minimes variations mensuelles – avoisinait les 110 dollars US ($, si l’on préfère). En six mois, le cours chute de 100 à 60 $ et reste à ce niveau, de janvier 2015 jusqu’au début juin. Au début de l’automne 2015, il est à 45 $ et se retrouve négocié entre 33 et 35 $ en janvier 2016. En clair, il a perdu 45% de sa valeur en un an (et 65% en 18 mois).

Or, les indices des prix français à la consommation pour l’année 2015 tombent en ce même mois de janvier 2016. Et l’on constate que les prix de l’énergie n’ont chuté que de 4,7% pour le pékin de base ; les prix des articles textiles ont également un peu chuté (par diminution des coûts du transport maritime entre l’Orient producteur et l’Occident consommateur et ce grâce à la chute du prix du gas-oil, ou gazole). À l’inverse (et alors que nos braves paysans hurlent sur tous les tons qu’ils vendent à trop bas prix leurs productions), les prix alimentaires ont augmenté de 0,4% pour le consommateur (c’est beaucoup plus d’ailleurs pour certains produits, mais l’indice est forcément chose globale) et que les services ont augmenté de 1,2%.

Alors une question se pose. Qui s’est goinfré ? Qui a profité de la baisse vertigineuse des cours du pétrole ; sûrement pas l’automobiliste dont le carburant n’a sûrement pas chuté des deux tiers, ni même de 50% ou de 40%. L’État, grande puissance taxatrice, n’a pas répercuté la baisse de la matière première. Qui donc s’est également servi ? Puisqu’à l’évidence, il existe une marge énorme entre une baisse de 65% du coût de la matière première énergétique N°1 de la planète et son prix au détail. C’est une excellente question, à laquelle nos honnêtes politiciens, démocrates comme ils s’en vantent tous, vont répondre incessamment.  

11:12 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 02 février 2016

Un entretien avec Les Brigandes dans Synthèse nationale

Les Brigandes, un projet musical dissident

Propos recueillis par Thierry Bouzard, publiés dans le n°41 de la revue Synthèse nationale

Révélation musicale de l’année lors de leur premier concert à la 9e Journée de Synthèse nationale, les Brigandes sont un projet aussi original que remarquable. Quelques questions pour en savoir plus.

Votre projet musical est remarquable car il est collectif quasiment communautaire. En effet, vous n’êtes pas seulement des choristes, mais aussi un groupe de musiciens, et de techniciens audio et vidéo tous très pros. D’où vient ce concept collectif : efficacité musicale, choix de vie, réponse à l’individualisme du monde ?

Les Brigandes : Notre regroupement sous forme de collectif artistique est une réponse à l’individualisme. Nous voulons démontrer que la mise en commun de moyens matériels et intellectuels est une alternative pour l’avenir. L’individualisme est la forme principale de l’aliénation moderne car le système veut nous transformer en consommateur nomade isolé dont la règle de vie est de jouir sans entrave.

Il faut que les esprits conscients sortent de leur isolement pour s’organiser de manière clanique, quelle qu’en soit la forme, afin de récupérer de la force. Pour cela, il faut, il est vrai, renoncer à la fausse liberté débridée qui nous est imposée comme une religion laïque par le Grand-Orient. En fait, le leurre d’une liberté de conscience déconnectée de tout ordre est entretenu depuis la révolution, et hélas, la vraie droite est piégée par le mythe du penseur autonome, sans dieu ni maître, de type nietzschéen, fasciné par les productions de son intellect. Pour sortir de l’enfermement individualiste, il faut recréer des cadres sociaux nous permettant de redevenir collectivement maîtres de nos existences. Cela implique de renouer avec une solidarité opérationnelle, en dehors du système ou tout au moins en marge des circuits ordinaires. Philippe de Villiers a le mérite d’indiquer cette voie à travers son entreprise. Nous témoignons que le regroupement des forces est le début de la Force.

Nous sommes conscientes que ce message peut paraître utopique alors qu’il est prophétique. L’ordre mondial est un fait impérieux qu’il faut confronter et dépasser en se projetant dans le futur. Sans complexe, nous disons qu’il faut reformer des clans sous nos propres bannières. Que cela s’entende à la manière féodale ou autrement. L’individu ne peut rien accomplir de grand sans s’inscrire dans un ensemble. C’est notre message : il faut se mettre en faisceaux autour de principes et d’un axe de vie.

Le groupe des Brigandes est une expérience qui ne pourrait fonctionner sans l’idéal de renouer avec une vie fraternelle de type communautaire. Notre règle n’est pas de l’ordre de celle des Bénédictins, mais finalement elle est comparable dans l’esprit à une règle de chevalerie, d’où notre démarche combative. Ce n’est pas une idée de “gaucho-alterno”, mais une riposte à la face du système qui nous lave le cerveau depuis les bancs de l’école. Les gens ne réalisent pas à quel point l’Education nationale est un viol psychique de masse. Le problème crucial sera de recréer des écoles véritablement libres car la république totalitaire prétend être la propriétaire de nos enfants. Elle les veut corps et âme, par la propagande, la culture et jusqu’aux vaccins obligatoires qui contiennent paraît-il des composantes eugéniques. Le premier président et actionnaire de l’institut Pasteur n’était-il pas un certain baron dont le nom nous échappe ? Tout ce qui est obligatoire est suspect, et tout le devient, y compris la fausse charité.  

En tant que groupe, notre efficacité est fondée sur un choix de vie en rupture avec la société ordinaire. Nous sommes donc révolutionnaires et nous passons à l’acte.

Ce que le système craint le plus ce sont les minorités indépendantes qui ne sont pas solubles dans le mondialisme. C’est pourquoi il s’acharne sur les groupes dissidents qu’ils soient religieux et politiques. Toutefois, il ne pourra pas tout contrôler, et il faut optimiser la faible marge d’action qui demeure. Car l’avenir qui se profile est une tyrannie absolue. Donc, que vivent les nouveaux clans de France pour que la France continue à vivre !  

Voilà un an vous aviez sorti une chanson, Quenelle à Dieudo, puis vous l’avez retirée de votre site. C’est d’ailleurs la seule sans chorégraphie. Pourquoi l’avoir enlevée de votre répertoire ?

Nous avons retiré la chanson Quenelle à Dieudo dans une logique d’encourager tout ce qui pouvait apporter une contestation du système. Nous avions critiqué les prises de position pro-islam de Dieudonné qui, comme Soral, est quand même tributaire des musulmans de son auditoire. Dans cette parodie d’une chanson des sixties, nous disions que la quenelle hallal ne passait pas. Alors, les insultes grossières contre nous ont commencé à pleuvoir depuis le site Quenelle Plus.

Il y a d’autres chansons sans chorégraphie comme Pauvre France, une parodie de la chanson de Trenet, dans laquelle nous rejetons les intrus au désert.

Pour certaines parodies, nous utilisions la voix d’un ami chanteur que l’on peut écouter dans Tu verras Taubira et dans Comment on fait, une diatribe contre la République. Là, la farce est à son comble.

On trouve maintenant des vidéos sous-titrées en anglais, en espagnol, en russe et en allemand… Une initiative du Comité pour élargir l’audience du projet avec bientôt des enregistrements dans directement dans ces langues ?

Il y a effectivement une demande pour enregistrer dans d’autres langues, grâce à des auditeurs étrangers qui nous proposent des traductions rimées de nos chansons, surtout en anglais. Une audience favorable est apparue aux Etats-Unis où l’on apprécie notre esprit et la french touch, et les Anglais semblent goûter le son Brigandes. En Russie, on aime nos sous-titrages mais nous ne sommes pas prêtes à chanter en russe, quoique Roxane se soit mise à l’étude en vue d’aller saluer le camarade Vladimir un de ces jours. Il est réjouissant de rassembler un petit auditoire de fans depuis la Sibérie jusqu’au Texas. Est-ce une internationale nationaliste qui émerge ? C’est le miracle de la musique, même si on nous reproche de ne pas être dans l’action pure et dure. A ce sujet, pour les nostalgiques du combat de rue, Roger Holeindre s’est érigé contre ceux qui rêvent d’en découdre contre l’armée avec des fusils à plomb. Les Brigandes sont dans l’action culturelle et c’est une action directe.

Vous avez choisi de faire des chansons à thèse qui atteignent les 6 mn et parfois 7 mn, destinées à un public déjà averti, Or une bonne action de propagande agit sur le grand public, n’envisagez-vous pas des chansons plus “accessibles” ?

Il est vrai que nos thèmes touchent un public averti. Il n’est pas trop difficile de composer des chansons populaires bien de chez nous, compréhensibles au premier degré, et d’ailleurs la plupart de nos compositions sont accessibles, mais le problème est de les rendre publiques. Une célèbre émission de télévision nous a sollicité, mais c’était inévitablement pour une exécution médiatique. Nous avons répondu : « toda arba vé chalom » ce qui comme les nationalistes ne le savent pas obligatoirement signifie « salut et merci beaucoup ».

Donc comment diffuser un message vers les masses ? Des penseurs éminents de la Droite s’y sont cassé les dents. Il faut au moins s’appeler Philippe de Villiers pour toucher une large audience, mais nos thèmes sont trop radicaux pour notre sympathique vendéen qui dit ce qu’il a vu, sauf ce qu’il a oublié de dire. Si quelqu’un a la solution pour accroitre notre audience avec le genre qui caractérise les Brigandes, qu’il nous contacte et nous lui offrons un poste d’impresario, bénévole cela s’entend.

(...)

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 Le concert des Brigandes lors de la 9e Journée de Synthèse nationale le 11 octobre 2015 cliquez ici

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Via Romana vient d'éditer une biographie de Nicolas Horty

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Nicolas Horthy (1868-1957) fit réussir la première contre-révolution du XXe siècle. Fils de la petite noblesse réformée hongroise, il fut d’abord un brillant officier de marine. Homme d’honneur et sportif accompli, il devint en 1909 aide de camp de François-Joseph, resté pour lui un exemple insurpassable.

Vainqueur à la bataille navale du détroit d’Otrante en 1917, commandant de la flotte austro-hongroise en 1918, il prit la tête du mouvement national contre les Soviets de Béla Kun.

Élu en 1920 régent d’une petite Hongrie ruinée et amputée à Trianon, il rétablit l’État de droit. La « consolidation » du comte Bethlen fut marquée par la reconstruction, le parlementarisme et la recherche de nouveaux partenaires anglais, italiens et polonais face à la Petite Entente, cause de l’échec de Charles IV.

Le révisionnisme italo-allemand amena Goemboesh et ses successeurs à réarmer. L’irrédentisme magyar récupéra de 1938 à 1940 de nombreux territoires mais Berlin poussa perfidement le pays à attaquer l’URSS. La contre-offensive de l’Armée rouge força l’amiral Horthy à demander l’armistice ; Staline lui en fut reconnaissant.

Empêchant la déportation des Juifs, le régent fut renversé par Hitler puis livré aux Américains qui le protégèrent.

Auteur d’excellents mémoires, il s’éteignit en exil au Portugal.

Auteur des premières biographies d’Élisabeth Feodorovna, d’Ileana de Roumanie, de sainte Catherine de Lesna et du poète Niégoch, Jean-Paul Besse a voulu tirer de l’ombre l’amiral Horthy. Agrégé et docteur en histoire, spécialiste de l’Europe centrale et orientale, professeur invité des Universités serbes, chevalier de la Légion d’honneur, il enseigne à l’Institut universitaire Saint-Pie X.

Nicolas Horthy, le régent méconnu, Jean-Paul Bresse, Via Romana, 2016, 264 pages, 23,00 €

En septembre prochain : sortie d'un numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au nationalisme hongrois.

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lundi, 01 février 2016

Le Journal du Chaos de cette semaine

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Le lire cliquez ici

12:55 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Civitas a fait l’objet ces jours-ci d’un contrôle fiscal aux évidents relents politiques.

220px-Alain.Escada.jpgCommuniqué d'Alain Escada, Président de Civitas 

Civitas a fait l’objet ces jours-ci d’un contrôle fiscal aux évidents relents politiques. L’administration fiscale, agissant sur ordre, vient de décider de priver Civitas de la possibilité d’émettre des reçus fiscaux permettant à ses donateurs une déduction partielle de leurs impôts. Mais ce qui est plus grave, c’est que cette mesure est prise avec effet rétroactif, en conséquence de quoi l’administration fiscale nous réclame 55.000 euros !

Voilà un long moment que des organisations laïcistes associées au lobby LGBT, aux loges maçonniques et à des mouvements politiques de gauche et d’extrême gauche exigeaient de l’Etat que les dons faits à Civitas ne puissent plus être partiellement déductibles des impôts, déductibilité pourtant pratiquée par de très nombreuses associations de tous bords. Soulignons que les plaignants représentent des organisations qui, elles, ne bénéficient pas simplement de la déductibilité fiscale mais aussi et surtout de larges subventions prélevées sur l’argent versé par le contribuable sans le consentement de celui-ci.

L’Etat ne s’est pas contenté de donner gain de cause à ces organisations de l’anti-France, il veut nous serrer à la gorge et nous étrangler financièrement. Les 55.000 euros qu’il nous réclame vont mettre nos caisses à plat et nous dépouiller de nos moyens de fonctionnement.

La loi interdit de faire appel à votre générosité pour payer une amende.

Mais vous pouvez choisir de nous montrer votre soutien et vos encouragements à continuer le combat qui est le nôtre. Vos adhésions, vos abonnements, vos dons (non déductibles d’impôt) peuvent renflouer les caisses de Civitas et permettre à notre mouvement de se relever de cette épreuve et de se remettre en ordre de bataille.

. Vous ne partagez peut-être pas toutes les convictions de Civitas mais vous avez à cœur de nous témoigner votre solidarité ?
. Vous avez depuis longtemps remis au lendemain votre adhésion à Civitas mais vous comprenez que c’est le moment ou jamais de le faire ?
. Vous appréciez le travail de Civitas et vous refusez de laisser nos adversaires triompher ?

Alors, de grâce, secourez-nous par un don, un abonnement à la revue Civitas ou une adhésion à Civitas.

Civitas dérange ? C’est bon signe. Il est hors de question que nous courbions l’échine. Je sais que je peux compter sur vous. Ensemble, si Dieu veut, nous relèverons l’étendard de la Chrétienté. Notre volonté ne faiblira pas, quels que soient les coups bas du Pouvoir et de ses séides.

Source cliquez ici

10:48 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Saint-Brieuc : le préfet interdit la manifestation patriotique de samedi prochain

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Saint-Brieuc (Breizh-info.com) – Le préfet des Côtes d’Armor, Pierre Lambert, a décidé d’interdire la manifestation de Pegida contre l’islamisation et l’immigration. Une manifestation prévue le 6 février prochain, de 10h à 12h devant la préfecture de Saint-Brieuc.

Si l’interdiction d’une manifestation est légalement possible surtout en période d’état d’urgence, ce sont les motivations de Pierre Lambert qui posent question : « L’Europe n’est pas menacée par une islamisation rampante. Je ne suis pas en phase avec ces thèses racistes, provocatrices et xénophobes. » explique le représentant du gouvernement. Impossible de savoir si la contre-manifestation de gauche et d’extrême gauche sera elle aussi interdite.

« Il faut attendre de voir quel est le motif d’interdiction. Mais un préfet n’a pas a exprimer ses opinions politiques comme il le fait là. C’est son droit de ne pas croire en la menace de l’islamisation de l’Europe. Mais on ne lui demande pas de juger du bien fondé de telle ou telle manifestation par rapport à ses idées politiques », nous indique un avocat quimpérois.

« Si le risque de trouble à l’ordre public est invoqué, il faudra alors que M. le Préfet explique pourquoi depuis deux semaines, il laisse – par exemple – les agriculteurs se rassembler sur la voie publique et créer de véritables troubles à l’ordre public cette fois-ci en brûlant du mobilier urbain et en mettant le feu partout. »

Dans un communiqué adressé à la presse, Résistance républicaine, association dont est membre Mickael Bussard, organisateur de la manifestation, s’indigne également : « Nous nous étonnons vivement que le préfet des Côtes d’Armor qui représente l’Etat justifie cette interdiction par des commentaires et des prises de positions personnelles. Est-il habituel, en France, que les préfets n’acceptent que les manifestations avec lesquelles ils sont en phase et en accord intellectuel ? ». Avant d’avertir : « Il s’agit là d’une instrumentalisation et d’une intrusion du politique dans la liberté de manifester reconnue par la constitution que nous ne pouvons accepter. Nous nous réservons d’ailleurs également le droit d’engager une procédure pour injures publiques.»

Plusieurs participants font état, sur les réseaux sociaux, de leur volonté de se présenter à la manifestation, malgré l’interdiction : « il n y a aucune raison de se plier à une décision arbitraire comme celle-ci. Qu’ils viennent nous faire arrêter, eux qui sont incapables d’appliquer les mêmes méthodes à d’autres manifestations. M. Lambert laisse des clandestins se promener en toute liberté dans les rues de Saint-Brieuc et il veut nous empêcher de sortir dans la rue pour défendre nos idées ? Nous allons arrêter de jouer les moutons. » écrit Denis R.

À l’origine de la demande d’interdiction, la Ligue des Droits, de l’Homme se félicite dans un communiqué de l’interdiction de la manifestation.

Le préfet Lambert a-t-il commis une faute en interdisant la manifestation ? Oui, selon l’avocat de Quimper : « Un Préfet se doit de garder une neutralité politique absolue et d’appliquer la politique du gouvernement en place sans exprimer ses propres opinions ; l’inverse de ses déclarations publiques donc – il a même qualifié la manifestation de raciste. Les personnes s’estimant lésées peuvent ainsi tenter de se retourner juridiquement contre lui. Je conseille aux organisateurs de déposer un référé liberté».

Lors de ses voeux aux Costarmoricains, le préfet des Côtes d’Armor a récemment annoncé l’installation d’un : « comité départemental de lutte contre le racisme et l’antisémitisme, qui doit être le corollaire de nos actions de prévention et de lutte contre la radicalisation. »

NDLR : RAPPEL

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Rungis, Montpelier, Bordeaux.... Plus d'infos cliquez là

09:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Thomas Joly invité du face à face de Réinfo, le mag du Parti de la France

09:27 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Collecte de médicaments pour la Syrie

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Appel de solidarité :

Les Syriens continuent à résister face au terrorisme aveugle orchestré de l'extérieur, mais malheureusement, ils paient très cher cette résistance.

Encore une fois, nous faisons appel à votre générosité et à votre sens de la solidarité, pour aider nos compatriotes qui ont un besoin absolu et vital de médicaments : des antalgiques / analgésiques, des anti-inflammatoires, des antibiotiques, de la cortisone, tout type de traitement du diabète, de l’asthme, de l’hypertension et des maladies cardio-vasculaires.

Ils ont également besoin de tous matériels de soins tels que pansements, bandes de contention, sparadraps etc

Faites le tri dans vos pharmacies, vérifiez les dates de péremption et donnez ce qui ne vous sert plus mais qui peut aider à soulager des souffrances ou à soigner des blessures.

Merci de prendre contact avec l’équipe au 06 05 60 56 79 pour connaître l’adresse de dépôt.

Opération menée par le Rassemblement des communautés syriennes de France qui est intervenu lors de la 9e Journée de Synthèse nationale le 11 octobre dernier cliquez ici

09:22 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 31 janvier 2016

Les éoliennes : un autre fléau national

15:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi soir, TV Libertés a fêté ses deux ans

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Un public nombreux a assisté samedi soir à la fête organisée pour les deux ans de TV Libertés. Philippe Milliau, Président de la chaîne, a présenté les projets de développement de celle-ci. Jean-Marie Le Pen était présent ainsi que de nombreuses personnalités de la Droite de conviction.

En savoir plus cliquez ici

12:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L' Aristoloche n°22

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Pour le lire cliquez ici

11:50 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Choses vues à Cologne

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Robert Spieler et les intervenants au meeting de Pro Köln

Robert Spieler pour Rivarol

J’étais, le weekend end dernier, à Cologne à l’invitation du mouvement identitaire Pro-Köln, qui avait organisé une réunion de nouvel an à la mairie de Cologne, où il dispose de quelques élus. La salle mise à disposition par la folle mairesse socialiste de Köln (vous savez, celle qui expliquait que pour se protéger des agressions de migrants, il fallait que les femmes se tiennent à distance d’un bras d’eux) était bien entendu trop petite pour contenir les 300 personnes présentes. J’ai pris la parole, aux côtés de Hilde De Lobel, ex députée du Vlaams Belang flamand et d’ A. Herzog, un dirigeant autrichien du Fpoe. J’ai évoqué l’invasion que vit la France et la terrible dénatalité que subit l’Europe. L’Allemagne perdra plus de sept millions d’indigènes, si j’ose dire, d’ici 2050. J’ai évoqué Jean Raspail (que les Allemands connaissent car son livre a été traduit) et Houellebecq et sa réflexion : « L’islam est la religion la plus conne du monde » suscitant, on l’imagine, de vifs applaudissements. J’ai désigné les responsables et exprimé le souhait, qu’un jour, ils soient jugés par un tribunal. Et j’ai ajouté : « Je propose que ce procès ait lieu à Nuremberg… » Deux secondes de flottement dans l’assemblée (aucun Allemand n’aurait osé formuler ce propos, tant la terreur y est grande), puis des applaudissements enthousiastes ! L’Allemagne, je l’ai souvent dit dans ces colonnes, est la pire dictature en Europe. Et les choses ne s’améliorent pas. Angela Merkel, qui s’effondre dans les sondages (plus que 37% d’opinions favorables) a trouvé le sésame pour se refaire une santé. Elle a annoncé vouloir créer une cour de justice spéciale afin de réprimer les opposants à l’immigration musulmane. Quant au ministre allemand des Finances, Wolfgang Schaüble, il a demandé la création d’une “taxe européenne sur le fuel” pour financer l’accueil des migrants… Des traîtres, vous disais-je, des traîtres… Et pendant ce temps-là, l’Autriche résiste. Le président du FPÖ Heinz-Christian Strache a fusillé dans une interview le Premier ministre social-démocrate Werner Faymann en le qualifiant d’ennemi de l’État : « L’Autriche doit s’attendre cette année à 300.000 migrants, qui tous veulent rester ici. Celui qui fait cela à son pays est un ennemi de l’État. ». Mais revenons à la situation en Allemagne, et plus particulièrement à celle des résistants..

Où en sont les mouvements résistants ?

Il y a tout d’abord Pégida,dont le leader est Lutz Bachmann, qui organise partout en Allemagne des manifestations contre l’invasion. Ces manifestations sont particulièrement importantes à Dresden, en ex-Allemagne de l’est, où, tous les lundis, près de dix mille protestataires se réunissent, malgré un froid glacial, pour exprimer leur refus de l’islamisation de l’Allemagne. Ces manifestations ont pour modèle celles qui, organisées semaine après semaine à Dresden, avaient entraîné la chute du mur de Berlin. Pegida n’a pas, pour l’instant, d’ambitions électorales et collabore avec d’autres mouvements résistants allemands et européens (dont le Vlaams Belang avec qui il vient d’organiser une manifestation à Anvers). Le parti anti-européiste Alternative für Deutschland (Alternative pour l’Allemagne) connait un considérable succès dans les sondages, qui donnent au parti 11% des voix si les élections avaient lieu aujourd’hui, derrière la CDU (37 %) et le SPD (24 %), mais désormais devant Die Linke (la gauche) et les Verts. Rappelons qu’en août 2015, le parti AfD n’avait le soutien que de 3 % des électeurs allemands dans les sondages. Depuis, il ne cesse de progresser. Le parti nationaliste NPD, qualifié de néo-nazi, semble, quant à lui, en perdition et subit, une fois de plus une menace d’interdiction. Rappelons qu’une telle menace planait déjà, il y a quinze ans sur le mouvement. Or les juges se rendirent compte que plus de la moitié des dirigeants du parti, dont les plus violents, les plus provocateurs, étaient des policiers du Verfassungsschutz infiltrés… Le Verfassungsschutz est l’organe de défense de la constitution, une sorte de police politique, bien pire que tout ce que nous pouvons imaginer en France. Une manifestation de Pegida avait été organisée récemment à Cologne. 5000 personnes étaient présentes. Un beau succès qui ne dura qu’un quart d’heure. Des hooligans stipendiés par le régime ont attaqué la police. Ils sont membres de l’organisation Hogesa (Hooligans gegen salafisten ; hooligans contre salafistes). Leur fondateur vient de mourir de mort naturelle. Il est confirmé qu’il était un agent du Verfassungsschutz… Et pendant ce temps là, l’avocat Horst Mahler (89 ans), qui fut aussi celui de la RAF (Rote Armee Fraktion), l’ultra-gauche violente des années 1970, croupit en prison, pour douze ans, pour propos révisionnistes. Il est le plus vieux prisonnier politique au monde. Mais la justice allemande sait être clémente. La preuve : Elle est prête à le libérer aux deux tiers de sa peine. Bon, il a quelques soucis de santé, il a été amputé, en prison, d’une jambe, il a été hospitalisé dans un état critique… Mais il conviendrait pour l’esthétique démocratique qu’il ne mourût pas en prison… Ainsi va l’Allemagne dégénérée…

11:38 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Entretien de Daniel Conversano avec Gaël et David, les agressés de Calais...

Suite à l'agression, samedi 23 janvier, par plusieurs centaines de migrants et de racailles d'extrême-gauche d'une famille de Calaisiens dans son propre jardin, Daniel Conversano, pamphlétaire nationaliste, et Kévin Reche, Délégué du Parti de la France pour le Calaisis, sont allés à la rencontre des victimes.

11:24 Publié dans Daniel Conversano | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DE MERKEL EN TAUBIRA

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Pierre Vial

Certains noms portent une lourde charge négative. C’est le cas de Merkel et de Taubira.

Merkel a ouvert toutes grandes les portes de son pays aux envahisseurs. Elle est donc coupable de haute trahison à l’égard de son peuple, en appliquant un programme de destruction du peuple allemand qui est dans la tête des germanophobes de tous acabits depuis très longtemps.

Mais il arrive que le diable porte pierre. Les conséquences de l’invasion et en particulier les événements de Cologne commencent à tirer beaucoup d’Allemands d’une torpeur sciemment entretenue, depuis 1945, au nom d’une soi-disant culpabilité collective. Les Allemands ont les défauts de leurs qualités : respectueux de la loi, de l’ordre, de la hiérarchie, ils ont longtemps considéré que les autorités politiques, religieuses, culturelles qui exigeaient d’eux, sans cesse, une repentance avaient forcément raison.

Mais Merkel – et c’est tant mieux – est allée trop loin. Elle est maintenant « plus isolée que jamais, tant en Europe que dans son propre pays (…) la Suède et l’Autriche viennent de restreindre leur politique d’accueil. La décision, annoncée mercredi 20 janvier par Vienne, qui va plafonner le nombre de réfugiés que le pays est prêt à accueillir (37500 en 2016) a été vécue comme un revers majeur pour Angela Merkel » (Le Monde, 24 janvier 2016).

Gerald Knaus, fondateur du think tank European Stability Initiative, résume ainsi la situation : « L’Allemagne est totalement isolée. Les Européens sont d’autant moins enclins à accepter les solutions de Berlin que beaucoup d’entre eux, même à Bruxelles, sont convaincus que c’est elle qui est à l’origine du problème. Quant à la coopération avec la Turquie, c’est l’Allemagne qui l’a imposée et personne n’y croit. Même pas les Turcs, qui n’ont aucune confiance dans les dirigeants européens ».

Un sondage est révélateur : il indique que 79% des Allemands ET 90% DES ELECTEURS DE MERKEL veulent qu’elle durcisse les conditions d’accueil des réfugiés. Même au sein du Parti populaire européen, qui à Bruxelles regroupe les démocrates-chrétiens et qui est donc la famille politique de Merkel, beaucoup considèrent que l’exemple à suivre n’est pas donné par celle-ci mais plutôt par Viktor Orban, le premier ministre hongrois qui fait face sans complexe à la menace des envahisseurs.

Les agressions sexuelles de Cologne ont provoqué un réveil difficile pour beaucoup d’Européens encore bercés par la chanson douce du « vivre ensemble ». Car la vérité, pénible à admettre, est pourtant maintenant décrite par des observateurs lucides, comme la philosophe Alexandra Laignel-Lavastine. Laquelle déclare, non sans quelques illusions sur les remèdes possibles, dans les colonnes de Valeurs actuelles (21 janvier 2016) : « Il faudra un effort pédagogique colossal pour intégrer ces hommes jeunes issus de sociétés arabo-musulmanes ultraréactionnaires où la femme est considérée comme un être incomplet et inférieur (…) Le fossé à combler, immense, est donc aussi culturel et feindre de l’ignorer est aberrant. Il porte sur un système de valeurs distinct, voire en l’état incompatible avec le corpus libéral européen, notamment sur l’égalité entre les sexes ou la liberté de disposer de son corps (…) Pour revenir à Cologne, il faut comprendre que ces jeunes débarquent de pays largement dominés par une énorme frustration sexuelle masculine et par un mépris tout aussi accusé des femmes émancipées, perçues comme des « putes », la femme occidentale en étant l’archétype. Dans l’univers de référence des agresseurs de la Saint-Sylvestre, une jeune fille sortant boire un verre avec ses copines un soir de fête ne saurait être ni décente ni respectable, il sera donc normal d’y voir une créature offerte à leurs plus vils désirs ». Et elle enfonce le clou, en ce qui concerne l’aberrant aveuglement de tant d’Européens quant aux réalités de l’invasion : « L’effarante inefficacité de la police à protéger les victimes puis à identifier les coupables, le réveil tardif des journalistes, le 2 janvier, le malaise des féministes ne retrouvant pas leur abominable mâle blanc – tout cela démontre, une fois de plus, l’extraordinaire puissance du déni sur les esprits. Nous voulons des immigrés supercools, reconnaissants et respectueux des droits de l’homme comme de la femme, alors nous décrétons qu’ils le sont. Après le choc, les Allemands dessaoulent ».

En France, des événements comme ceux de Cologne sont-ils possibles ? Réponse d’un sondage IFOP (15 janvier) : Oui, pour 83 % des femmes interrogées (dont 75% des électrices de Hollande et 93% de celles de Sarkozy…).

Et la Taubira ? Cette caution multiraciale d’Hollande s’est cramponnée aussi longtemps que possible à la gamelle en se persuadant que le locataire de l’Elysée et celui de Matignon avaient tellement besoin d’elle, pour donner une image colorée du gouvernement, que c’était son assurance contre les accidents de parcours. Mais elle en a trop fait, en négligeant la susceptibilité d’un Manuel Valls qui se la joue de plus en plus à la Robespierre (à bien le regarder, lors de certaines de ses interventions, en particulier au Parlement, on voit bien que réintroduire la guillotine dans les usages politiques ne lui déplairait pas…).

Taubira a dû à ses origines sa carrière politique. Tous ceux qui l’ont approchée de près (elle aura usé quatre directeurs de cabinet en quatre ans… un record) savent qu’elle est invivable, d’une prétention rare et d’une agressivité constante. Elle va maintenant tenter de se donner le rôle de conscience morale d’une gauche qui ne sait plus très bien où elle habite, entre les provocations des excités baptisés « frondeurs », les ralliés sans complexe au libéralisme style Macron, les gamellards prêts à avaler les plus grosses couleuvres pour continuer à vivre confortablement, les anarcho-écolos qui essayent de se jouer un néo 68 un peu pâlichon en crachant sur les CRS. Taubira rêve-t-elle de se déguiser en Jeanne d’Arc d’une hypothétique nouvelle gauche ? On lui souhaite bien du plaisir. Et surtout on attend avec intérêt qu’elle se prenne les pieds dans le tapis.

11:16 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il était une fois le solidarisme

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Un entretien avec Francis Bergeron publié dans Rivarol :

A la fin des années 1960, les militants solidaristes affirmaient la nécessité d'une révolution. A la recherche d'une troisième voie entre le capitalisme et le communisme bureaucratique, ils rejetaient la logique des Blocs de la Guerre Froide. Durant dix ans, ils allaient être à la pointe de la réflexion et de l'action révolutionnaire. Francis Bergeron fut l'un d'entre eux.

Rivarol : Le solidarisme est un courant politique très particulier. Comment le définissez-vous ?

Francis Bergeron : C’est un mot en « isme », qui entend marquer la préoccupation sociale au sein du courant national, et l’idée d’une convergence possible entre deux courants trop souvent opposés dans le passé.

Le mot « socialisme » était employé avant la guerre de 14 par beaucoup de patriotes. Chez Maurice Barrès, par exemple. Mais à présent c’est un mot connoté à gauche. Il est notamment revendiqué par le courant communiste. Or le « socialisme réalisé », ce fut le Goulag, les famines, les millions de morts, la plus grande catastrophe de l’histoire de l’humanité. Quant à l’accoler avec l’adjectif « national », ce ne serait peut-être pas une bonne idée…

A la fin des années soixante, nous n’étions « ni de droite ni de gauche mais en avant ! », et ne voulions « ni trusts ni soviets », « ni capitalisme, ni marxisme » ; mais nous souhaitions aussi pouvoir nous définir par un mot résumant cette troisième voie que nous prétendions construire.

Le mot « nationalisme », utilisé par les maurrassiens et l’extrême droite traditionnelle ne mettait l’accent que sur le côté patriotique.

Nous avions trouvé ce mot « solidarisme » chez les Russes anticommunistes du NTS (Le Narodny Troudovoy Soyouz ou Union Populaire du Travail), et les Flamands du DSB (Joris van Severen). Au début de la IIIe République, en France, Léon Bourgeois avait également essayé de populariser ce mot, en tant que troisième voie (mais positionnée au centre).

D’autre part le mot « nationalisme » renvoyait à l’idée de la France seule, alors que notre courant était très européiste (face au bloc communiste) et favorable au concept d’Eurafrique, l’idée que l’Europe et l’Afrique avaient un destin commun. Thème que l’on trouvait chez Pierre Sergent et dans la littérature OAS

Vous avez participé à plusieurs organisations de cette mouvance dans votre jeunesse. Que gardez vous de cet engagement radical ?

J’en garde d’abord ce que gardent tous ceux qui sont passés par des mouvements extrémistes, dans leur jeunesse, de droite ou de gauche, d’ailleurs : le goût de l’action, l’absence de la peur physique, une certaine indifférence au « qu’en dira-t-on », une hiérarchie des valeurs quelque peu différente de celle du commun des mortels, et aussi une capacité à parler en public et à écrire.

La politique, le scoutisme et le service militaire (quand il existait), sont d’excellentes écoles de formation au management et leadership comme on dit aujourd’hui. Les extrémistes de droite et de gauche des années soixante dix n’étaient pas bien nombreux, en fait. Quarante ans plus tard, ils sont partout, jusqu’à la présidence du vénérable Sénat !

Bernanos dit quelque part que celui qui n’a pas été extrémiste avant trente ans est un salaud ou un saint. Je n’étais ni un salaud ni un saint…

Je me rends bien compte de la part d’utopie et d’immaturité de nos idées de l’époque. Vouloir construire un corpus doctrinal de A à Z ! Mais je garde la nostalgie d’une époque où je voyais le monde en noir et blanc, les « bons » et les « méchants ». Comme dans Tintin. La découverte que le monde est trop rarement noir ou blanc, mais surtout gris, est finalement assez pénible !

Pouvez-vous retracer les principales étapes de ce courant à partir de la fin des années 1960 ?

Le Mouvement Jeune Révolution (devenu Mouvement Solidariste Français par la suite) a été constitué par des anciens de l’OAS Métro Jeunes ou OMJ. Leur grand homme – notre grand homme - était Pierre Sergent. Quand Sergent est revenu d’exil, il semble ne pas avoir été très séduit par ce groupuscule. Et du coup le mouvement s’est cherché d’autres causes faisant un peu appel aux mêmes ressorts que l’OAS : esprit de résistance, action secrète ou au moins discrète etc. Et nous avons rencontré les Russes du NTS et toute l’action (parfois clandestine) tournée vers l’Europe de l’Est.

Parmi les plus activistes, le Groupe Action Jeunesse ( GAJ) se fit remarquer en son temps par son style musclé. A quoi tenait le succès de ce groupe de « jeunes turbulents » ?

Le GAJ a été au départ une scission du GUD. Ce dernier mouvement était accusé par certains de ses militants d’être trop proche du pouvoir giscardien (pour faire simple). Les scissionnistes ont rejoint le Mouvement Solidariste.

Mais c’était surtout l’esprit de la bande, les valeurs viriles de la bagarre qui motivaient tout ce petit monde. A l’époque, aux deux extrêmes, nous étions beaucoup plus violents qu’aujourd’hui. Les batailles rangées à coups de manches de pioche étaient fréquentes. Le pouvoir laissait faire. Peut-être les moyens de la police n’étaient-ils pas aussi sophistiqués qu’aujourd’hui.

Entre GAJ et GUD, ce fut une surenchère d’activisme ; puis GAJ et GUD s’affrontèrent, comme deux bandes de quartier se disputant un trafic de drogue. Ce qui était parfaitement ridicule.

Les solidaristes prirent fait et cause pour les dissidents d'Europe de l'Est durant la Guerre Froide. Quelles furent les formes de cette action de solidarité ?

Cette partie est la plus intéressante de l’histoire du solidarisme. Le mouvement solidariste a constitué un véritable vivier pour les organisations de résistance à l’Est. Chaque semaine des hommes et des femmes partaient en URSS, emportant des livres, des lettres, des revues, dissimulés dans leurs bagages ou à même le corps. Il n’y avait pas de scanners, à l’époque !

Et ils repartaient à l’Ouest, en rapportant d’autres courriers, des photos, ou encore des samizdats, ouvrages autoédités, que des maisons d’édition russes implantées en Occident pouvaient alors éditer et diffuser (Possev ou Ymca, notamment). C’est dans ce cadre que j’ai croisé la route de quelques dissidents qui eurent leur heure de gloire, comme Maximov et Guinzburg, ou encore Vadim Delaunay.

Le job était risqué et les jeunes militants du mouvement solidariste avaient peut-être moins froid aux yeux que la moyenne. C’est pour cela que les solidaristes russes venaient y chercher des volontaires.

Vous avez été expulsé d'URSS après une opération spectaculaire sur la Place Rouge. Comment avez vous vécu cette aventure ?

Ces allers-retours entre Paris et Moscou ou Paris et Léningrad (le plus souvent) pouvaient mal se terminer : une filature, une fouille, une arrestation. Et il y avait parfois des opérations spectaculaires et symboliques, des manifestations publiques de jeunes Occidentaux, en soutien à des prisonniers du Goulag. Ces jeunes Occidentaux risquaient tout de même moins que les gens du pays. Au maximum : six mois de prison, peut-être. C’est dans ce cadre que j’ai été arrêté, sur la Place Rouge, avec mon ami Jacques Arnould (qui dirige aujourd’hui les fameux Chœurs Montjoie Saint-Denis). C’était il y a 35 ans, déjà…Nous avons été très rapidement relâchés. Les relations entre la France et l’URSS, à cette période-là n’étaient pas mauvaises…

Les solidaristes français étaient en contact avec les solidaristes russes du NTS. Pouvez-vous rappeler l'histoire et l'originalité de ce groupe très particulier ?

Le NTS – ou Narodny Troudovoy Soyouz – (Union Populaire du Travail) était un mouvement de résistance clandestin, dans la mouvance du grand ministre réformateur du Tsar, Piotr Stolypine. Stolypine était un visionnaire et un homme de convictions. Il aurait pu sauver la Russie de la catastrophe bolchevique. Mais il a été assassiné en septembre 1911 par un agent bolchevique nommé Bogrov.

Le NTS a été créé par des exilés russes, en particulier Arcady Stolypine, le fils de Piotr.

L’intérêt du NTS, c’est qu’il ne s’agissait pas uniquement d’un mouvement politique de l’émigration russe. Il y avait, en URSS même, des résistants clandestins du NTS. Tous ceux qui ont été pris, ont été liquidés par les communistes.

Rue Blomet à Paris, au siège français du NTS, on pouvait voir les photos de tous ces martyrs. Le NTS a été très actif pendant plus de cinquante ans. Et ses principaux militants sont partis s’installer en Russie après la chute du mur de Berlin.

Alain Escoffier, le 10 février 1977, fit le choix de s'immoler par le feu pour attirer l'attention de l'opinion française sur la situation en URSS. Quel était le sens profond de cet acte et comment ce sacrifie fut- il perçu par les militants solidaristes ?

Alain Escoffier fait partie de ces solidaristes très marqués par ces actions en direction de l’Est. L’une de nos idoles était Jan Palach, ce jeune Tchèque qui s’était immolé par le feu, place Venceslas, en janvier 1969, face aux chars soviétiques. Il est bien certain que tout ceci a influencé notre camarade.

J’ai porté son cercueil à l’église. Je ne crois pas du tout que son sacrifice ait été inutile.

En France sa mort avait eu un certain retentissement. Mais plus encore dans les pays de l’Est, où les opposants cherchaient constamment des raisons d’espérer. Les informations parvenaient de l’autre côté du rideau de fer ; et l’idée que de jeunes Occidentaux luttaient pour leur liberté était un puissant réconfort pour les résistants anticommunistes.

Vous avez participé, avec d'autres militants solidaristes ou nationalistes français et européens, aux combats de la guerre du Liban au coté des milices chrétiennes. Pourquoi cet engagement, qui a conduit Stéphane Zanettaci, ancien responsable du SO du GAJ, à tomber les armes à la main ?

Stéphane Zanettacci est mort lors du siège de Tall El Zaatar, le camp palestinien « nettoyé » par les chrétiens. C’est à cause de moi qu’il est parti là-bas. Quand je suis revenu de mon premier séjour (avec Jacques Arnould et quelques autres, nous étions les tout premiers Français engagés dans ce combat), je l’ai raconté à Stéphane… qui m’a dit que la cause des chrétiens du Liban n’était pas notre cause ! Quelques mois plus tard, j’apprenais sa mort au combat, dans ces mêmes troupes libanaises !

A l’époque, dans la presse « progressiste » française, les chrétiens du Liban étaient présentés comme des sortes de colonialistes ou de « sud-africains », faisant suer le burnous aux pauvres musulmans exploités. Evidemment, aujourd’hui, plus personne ne ferait ce genre d’analyse. La réalité de la montée de l’islamisme – dont les chrétiens libanais furent les premières victimes – n’est plus contestée.

Comment expliquer la disparition du solidarisme au début des années 1980 ? Quel bilan tirez-vous de cette fantastique expérience ? Pensez-vous que l'esprit solidariste est encore vivant ?

Il faut bien comprendre que l’âge moyen, dans ces groupuscules, tournait autour de 20 ans. J’y ai milité de 1969 à 1977, soit de 16 à 24 ans, et je crois être une sorte d’ « échantillon représentatif ». La fin des études, le service militaire, le mariage constituaient des ruptures du mode de vie qui éloignaient de fait, et souvent définitivement, les anciens camarades. Car il n’y avait pas de « branche adulte » du solidarisme français.

Beaucoup d’anciens solidaristes sont partis explorer les horizons lointains, avec la Guilde européenne du raid, et les missions en l’Afghanistan, auprès du commandant Massoud. Quelques-uns ont poursuivi des engagements politiques, une minorité, au fond.

Et Jean-Pierre Stirbois – qui était l’un des rares adultes : il était né en 1945 – a ramené quelques rescapés du solidarisme dans le giron d’un Front national naissant.

Propos recueillis pour Rivarol par Monika Berchvok

Sous le signe du Trident

C'est en 1970 que le MJR prend comme insigne le trident, déjà adopté par le NTS russe. Il signifie l'union dans un même combat des forces vives de la nation : Les ouvriers, les paysans et les intellectuels. Le trident est un symbole de lutte populaire : luttes paysannes et de libérations nationale. Pour le MJR, le MSF et le GAJ il s'agit également de se distinguer des nationalistes qui ont chois la croix celtique.

Le dernier livre de Francis Bergeron « Georges Remi dit Hergé » est disponible aux éditions Pardès ( 44 rue Wilson – 77880 Grez-sur-Loing) , coll. Qui suis-je ?, 128 pp., illustré, 12 euros.

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samedi, 30 janvier 2016

Délit d'images : la photo de la honte...

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Source Délit d'images cliquez ici

C’est une honte : voici donc les « réfugiés » qui rallient l’Europe par milliers chaque jour. On nous en annonce 4 millions cette année 2016. Regardez bien cette photo : UNE femme et SEPT hommes. Chacun de ces hommes est bien habillé, chaudement. Certains ont des ponchos imperméables qui les protègent de la neige fondante. Ils portent TOUS des chaussures de bonne qualité SAUF la femme qui va pieds nus !

Ils ont tous de bonnes chaussures et la seule femme va pieds nus ! Elle porte 2 enfants et aucun de ces « réfugiés » ne l’aide. Répugnant !

Aucun de ces hommes n’aide cette femme (voilée) à porter ses deux petits enfants (un sur le dos, un sur le ventre). Elle a un troisième enfant ; une petite fille à ses côtés.

Il s’agit d’un groupe ou je rêve ? ! Comment ces « hommes » peuvent-ils laisser cette femme seule porter 2 enfants sans l’aider ? Aucun respect, aucune morale. Qu’est-ce que c’est que ces barbares répugnants ? C’est eux qui paieront nos pensions demain ? ! De qui se moquent nos politiciens ?

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Des patrouilles chrétiennes pour sillonner les quartiers musulmans des grandes villes anglaises

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Une information Médias presse info cliquez là

Royaume-Uni : voici des patrouilles chrétiennes pour sillonner les quartiers musulmans des grandes villes anglaises.

Tout à commencer en 2010, quand dans les banlieues Est de la capitale britannique, certains islamiques instituèrent des « muslim patrols » (patrouilles musulmanes) : bandes de barbus qui reprennent les couples qui se tiennent par la main dans les rues, terrorisent ceux qui boivent de l’alcool, ou qui porte en public des vêtements impudiques.

Face à ce phénomène d’imposition d’une forme de charia dans les quartiers à majorité musulmanes, le nationaliste « Britain First » a décidé de réagir en créant des patrouilles chrétiennes. Ces rondes veulent être une réponse aux milices musulmanes et rappeler que la Grande-Bretagne est une terre chrétienne. Insultes, coups bas, crachats, de la part des Islamiques, ponctuent leur marche, croix en tête, à travers les rues des quartiers où les Anglais de souche ont été balayés.

Cette initiative du parti de droite a été blâmée par différentes églises chrétiennes qui l’ont définie comme « provocatrice » et « semeuse de division ». Pourtant il suffirait à ces pasteurs chrétiens décérébrés de regarder la vidéo posté par Britain First pour réaliser non seulement que ces islamistes se sentent chez eux chez nous mais qu’ils veulent que le Royaume Uni devienne terre d’Islam !

Vu le masochisme des politiciens britanniques, ce futur n’est peut-être pas si lointain : le parti travailliste a décidé de présenter pour les prochaines élections municipales à Londres, place financière mondiale et ville où les britanniques de souche sont minoritaires, un candidat musulman d’origine pakistanaise, Sadiq Khan.

A quand le reine Élisabeth ou la jolie Kate en burqa pour mieux se fondre dans le nouveau paysage ethnique londonien ?

Que les élites britanniques prennent garde : leur laxisme, leur libéralisme idéologique qui favorise l’invasion de leur royaume va amplifier la cassure qui existe déjà entre pays réel et pays virtuel et créer un Royaume-Uni désuni ! Qu’ils se souviennent de la parabole du Seigneur : « Tout royaume divisé contre lui-même est réduit en désert, et toute ville ou toute maison divisée contre elle-même ne subsistera pas. » (St Matthieu, 12, 25)

Francesca de Villasmundo

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PLUS QUE JAMAIS BOSSUET, L’EVEQUE DE MEAUX EST D’ACTUALITE !

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de Jean-Claude Rolinat

« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes », écrivait au XVIIe siècle le célèbre prédicateur, évêque de Condom puis de Meaux, précepteur du Dauphin sous le règne de Louis XIV….

Les violences faites aux femmes dans la nuit de la Saint Sylvestre dans un grand nombre de villes allemandes, sont la parfaite illustration de cette maxime ! N’étaient-elles pas, pour un grand nombre d’entre-elles, les premières à accueillir ces masses de « réfugiés » dans les gares de la Bundesbanh, qui avec des bouquets de fleurs, qui avec des pancartes « Wilkommen » ? Le « retour sur investissements », c’est le moins que l’on puisse dire, n’a pas été à la hauteur des espoirs ! Insultes, attouchements et même viols, ont été le lot de milliers de jeunes femmes non seulement à Cologne – où 1076 plaintes ont été enregistrées dont 384 pour délits sexuels – mais aussi à Hambourg, Stuttgart, Bielefeld…Le journal Welt am Sonntag écrivait que « plus de 2000 personnes, presque toutes d’origine arabe, réparties dans un rayon de 2 Km autour de la gare centrale » (de Cologne) s’en sont prises à toutes les femmes, jeunes et moins jeunes, présentes entre la gare et la cathédrale. La police allemande n’avait pas pu dissimuler bien longtemps l’identité des malfrats. Comme en écho à ces révélations d’abord bien cachées «  de peur de faire monter l’extrême-droite », on apprenait que des incidents similaires s’étaient produits en Suède particulièrement l’été dernier,  en Finlande, en Autriche et aux Pays-Bas ! Décidément, oui, « l’immigration est une chance pour l’Europe »… Un sondage publié par l’hebdomadaire VALEURS ACTUELLES dans sa livraison du jeudi 21 janvier, indique que 83 % des femmes françaises redoutent des vagues de violence à leur encontre identiques à celles de Cologne. Ainsi va la vie dans notre belle République, « une démocratie exemplaire », la terre « du bien vivre ensemble »… Et ce n’est surement pas la communauté israélite de Marseille qui pourra dire le contraire. En effet, le lundi 11 janvier dernier, un professeur de l’Institut Franco-Hébraïque de la cité phocéenne portant la kippa, a été agressé en pleine rue à coups de machette par un jeune Turc de 15 ans, d’origine Kurde ! L’enseignant est traumatisé, on le serait à moins. Sous le coup de l’émotion, consigne a été donnée aux juifs marseillais de ne pas porter la kippa dans la rue ! Faudrait-il donc que les Chrétiens, eux aussi, cachent les symboles de leur foi, petites (ou grosses) croix portées au cou et que les curés en soutane – rares, il est vrai, mais il en reste – rasent les murs ou s’habillent « en civil » , alors que dans le même temps, par provocation ou conviction, de plus en plus de musulmanes sortent dans les rues, « emmaillotées » en noir, de la tête aux pieds ? La communauté Israélite de France à cet égard ou, à tout le moins certains des dirigeants du CRIF notamment, portent une grande responsabilité. N’ont-ils pas jeté l’opprobre sur ceux qui dénonçaient les dangers d’une immigration incontrôlée, les taxant au mieux de « fascistes », au pire de « nazis » ? J’ai, pour ma part, alors que je distribuais jadis des tracts lors d’une campagne électorale, subi pareille insulte alors que, ni de près, ni de loin, je n’ai une quelconque sympathie pour l’ordre SS ! Mais je n’ai pas la mémoire courte ! Etait-ce un attardé mental néo-fasciste, un lecteur de Charles Maurras, un nostalgique d’un certain Chancelier qui, de sang-froid et avec une cruauté absolue, tua à bout portant des enfants d’une école juive de Toulouse ? Et le jeune Ilan Halimi, torturé et massacré dans d’abominables conditions, l’a-t-il été par des adhérents d’un parti « populiste », pour utiliser le langage des médias à la botte ? La communauté s’est trompée de cible et, heureusement, des gens comme Eric Zemmour, Elisabeth Levy ou Gilles-William Goldnadel rectifient le tir.

Des conséquences qui étaient inéluctables

Quand on évoque la citation de Bossuet dans l’introduction du présent article, comment ne pas songer également aux producteurs de porcs et aux évènements de Calais ? Avec un nombre grandissant de fidèles musulmans dans les écoles et les entreprises, point besoin d’être devin pour imaginer que la consommation de porc, certes aux marges, ira en diminuants. Voyagez sur Air France, vous n’aurez JAMAIS de porc dans les menus. Quant aux bidonvilles de Calais, il ne fallait pas sortir de Polytechnique pour envisager, dès la signature  lors du 25ème sommet Franco-Britannique en 2003 des accords du Touquet par un certain Sarkozy , que la situation allait empirer. Nos frontières étant ouvertes à tous les vents (mauvais !) des flux migratoires, les demandeurs d’asile pour le Royaume-Uni allaient fatalement s’entasser dans d’ignobles conditions de vie au bord de la Manche. Décidément, celui qui a été chassé par la grande porte et qui veut revenir par le soupirail, par son action déstabilisatrice en Libye, la fermeture de Sangatte ou la départementalisation de Mayotte, aura été l’un des plus actifs fossoyeurs d’une France protégée des nouvelles « grandes invasions ». Stupéfiant venant de la part d’un homme politique donnant plutôt l’impression d’une intelligente dynamique. Comme quoi….

Angela qui rit, Angela qui pleure….

Oui, Dieu se rit des pleurnichards, Dieu se rit de Madame Angela Merkel qui, en ouvrant toutes grandes les portes de la République fédérale allemande l’été dernier, vient de mettre son pays dans une situation plus qu’embarrassante et, par ricochet, va précipiter à terme, l’écroulement d’une institution bancale : «  l’espace Schengen ». C’est un coup de boomerang auquel cette fille de Pasteur de la défunte RDA, n’avait pas pensé. Les bons sentiments et l’empathie n’ont jamais été de fructueux conseils pour gouverner. Après la disparition des « Monstres sacrés » de la grande histoire, notre continent manque, de nos jours, d’hommes ou de femmes ayant le sens de l’Etat et une perception pragmatique des intérêts supérieurs de leurs pays respectifs. Cela s’appelle, tout simplement, la Realpolitik !

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RAPPEL : samedi prochain, 30 janvier, Emmanuel Albach à la Librairie française

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01:09 Publié dans Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un nouveau livre de Georges Feltin-Tracol

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Après avoir fait paraître un violent réquisitoire contre le système liberticide en 2014 (« En liberté surveillée », Les bouquins de Synthèse nationale cliquez ici), Georges Feltin-Tracol revient sur le devant de la scène éditoriale en ce début d'année avec un dense recueil d'articles intitulé « Eléments pour une pensée extrême ».

Prévenons dès à présent notre lectorat que le contenu de cet ouvrage ne s'adresse en aucune façon aux modérés et à ceux qui tentent inlassablement d'« arrondir les angles». Avec Georges Feltin-Tracol, nous "mettons les pieds dans le plat" et c'est tant mieux car l'année 2016 s'annonce décisive pour l'avenir de notre peuple !

Provocateur, polémique, radical,« Éléments pour une pensée extrême » vise le bankstérisme, les FemHaine, les sordides valeurs républicaines, le bellicisme humanitaire, la société suédoise, le désordre sécuritaire, l’OTAN, la non-Europe de Bruxelles, les oligarchies politico-mafieuses, les tentatives fallacieuses d’« union nationale », le grotesque Charlie…

Eléments pour une pensée extrême, Georges Feltin-Tracol, Editions du Lore, 440 pages, 30 €

Georges Feltin-Tracol est aussi l'auteur d'un essai Bardèche et l'Europe, publié aux Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici, il anime le site Europe maxima et collabore aux revues Réfléchir et agir et Synthèse nationale ainsi qu'aux Cahiers d'Histoire du nationalisme.

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Depuis bientôt dix ans, Synthèse nationale mène sans relâche un combat contre le Système mondialiste broyeur des Peuples et des Nations et pour l’instauration d’un Ordre nouveau, nationaliste, social et identitaire.

Pour cela nous avons créé une machine de guerre qui repose sur :

■ la revue Synthèse nationale, 40 numéros parus, diffusée à 4 000 exemplaires, qui est le fer de lance de notre organisation... Ajoutez à cela des numéros thématiques hors-série…

■ Le blog éponyme, actualisé trois fois par jours, consulté quotidiennement par des milliers d’internautes…

■ Une maison d’édition, Les Bouquins de Synthèse nationale, créée en 2012, qui a déjà publié une vingtaine de titres diffusés dans les librairies non-conformistes et grâce au site synthese-editions.com

■ Une revue historique, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, lancée en avril 2014, dont le septième numéro, consacré à la Croix celtique, vient de paraître…

■ Les « Journées nationalistes et identitaires » qui se déroulent chaque année depuis neuf ans et qui sont devenues le rendez-vous de rentrée des forces patriotiques… Nous en sommes à la neuvième édition cette année. Une autre réunion de ce type a lieu chaque année au printemps, depuis 2013, près de Lille…

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■ Des campagnes militantes remarquées (contre la réintégration dans l’OTAN en 2009, contre l’islamisation de la France en 2009 et 2010, contre l’étau bruxellois en 2011, pour l’Union de la Droite nationale en 2012, pour la dissolution de l’officine anti-française SOS-Racisme en 2013, contre le Traité transatlantique en 2014, « Non, nous ne sommes pas Charlie » en 2015…).

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