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samedi, 14 novembre 2015

9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol

9 jni pdf 9.jpgLa 9e Journée

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Attentats à Paris : la réaction du CARED

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Communiqué du CARED :

Le CARED (Comité d'action pour le respect de l'état de droit) rend hommage aux victimes du terrorisme et rappelle que le CARED demande, depuis sa création en 2010, l’application du principe de précaution dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation.

Il dénonce la politique des gouvernements successifs et demande aux actuels dirigeants d’appliquer ce principe de précaution dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation en :

- ne laissant pas entrer en France des centaines de milliers de clandestins, en grande majorité de confession musulmane, parmi lesquels se trouvent des terroristes.

- interdisant la diffusion de livres islamistes, incitant au meurtre, la tenue de congrès et conférences salafistes,

- fermant un certain nombre de mosquées et en incarcérant ou expulsant tous les prêcheurs de haine qui y sévissent,

- expulsant, incarcérant ou assignant à domicile tous les terroristes potentiels fichés « S » qui passeront à l’acte tôt ou tard comme le montre les faits d’actualité répétés,

- laissant partir des terroristes djihadistes vers la Syrie au lieu de s’opposer à leur départ, et en empêchant leur retour,

- ouvrant enfin un grand débat national lucide sur la place de l’islam dans notre République, seule religion aujourd’hui capable d’enfanter de tels monstres, au lieu de s’enfermer dans le déni  suicidaire du « pas d’amalgame ».

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LA TUERIE, LE DRAME, LE DEUIL… ET MAINTENANT, QUE FAIT-ON ?

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Carl Lang, Président du Parti de la France

Les tueurs islamistes viennent de frapper une fois de plus et sauvagement la France et les Français. Ce n’est pas la première fois et ce ne sera malheureusement pas la dernière. Carl Lang et le Parti de la France adressent tout d’abord leurs condoléances, leur soutien et leur affection aux familles des victimes de cette tuerie et font part de leur tristesse et de leur colère.

La tristesse devant le prix du sang payé par les victimes et la colère à l’égard d’un pouvoir politique au mieux irresponsable, sourd et aveugle et au pire responsable d’une politique ayant facilité et permis cette tuerie.

Le Parti de la France ne cesse d’alerter l’opinion et de mettre en garde les Français sur la véritable nature de ces actions terroristes : il s’agit clairement d’un processus de guerre révolutionnaire, d’une guerre politique, psychologique et religieuse, d’une guerre totale dont l’objectif final est l’établissement d’un califat mondial et d’un ordre islamique basé sur la charia.

Il s’agit d’une guerre de domination et de conquête menée par une internationale révolutionnaire islamique pour laquelle le terrorisme est un instrument d’action classique au service d’un projet politique et religieux.

La colonisation migratoire de peuplement qui submerge la France, idéologiquement et politiquement organisée par la gauche française depuis plus de trente ans, permet aujourd’hui aux organisations révolutionnaires islamistes de recruter, de former et d’armer des militants djihadistes qui se déplacent et agissent en France comme des poissons dans l’eau et, pour certains, partent faire le djihad en Syrie, en Irak ou ailleurs.

Dans le même temps la bien pensance de gauche, les donneurs de leçons de morale républicaine et droit de l’hommiste, de citoyenneté du monde ouverte à l’étranger et à l’islam ainsi que les extrémistes du droit des minorités étrangères en France n’ont cesse de réduire les moyens de nos forces armées et de nos forces de sécurité intérieure de police et de gendarmerie. La victime habituelle et expiatoire des budgets de l’Etat socialiste est toujours de budget de la défense nationale.

Le Parti de la France a alerté aussi l’opinion sur les risques des déclarations guerrières et tonitruantes de messieurs Hollande et Valls annonçant l’engagement des six avions rafale  francais en Syrie et indiquant que la France faisait la guerre au terrorisme.

Il se trouve que dans le même temps la diplomatie francaise n’a cessé d’agir contre le gouvernement légal syrien et de demander le départ de Bachar El Assad dont l’armée est pourtant la seule à combattre au sol les milices internationales de l’Etat islamique. Il se trouve aussi que la diplomatie française ne cesse de s’opposer à la politique étrangère russe  qui soutient militairement le gouvernement Syrien et que la gauche française est bien plus hostile aujourd’hui à Vladimir Poutine qu’elle ne l’était en son temps à l’égard de la dictature soviétique et du camarade Staline. Où est donc l’intérêt de la France et des Français dans tout cela ?

Ce n’est pas la première fois dans notre histoire contemporaine que des politiciens démagogues et irresponsables déclarent des guerres sans avoir donné à la France et à son armée les moyens de les mener et de les gagner...

Le Parti de la France adresse à nos forces armées et à nos forces de police et de gendarmerie un message de soutien, de confiance et de solidarité nationale au moment où elles sont en première ligne pour assurer la sécurité intérieure de notre pays alors qu’elles ne disposent, du fait d’un pouvoir politique irresponsable, ni des moyens ni des effectifs suffisants.

Le temps est venu d’en finir avec des politiques qui menacent la France, l’affaiblissent, la détruisent de l’intérieur et brisent l’identité et l’unité nationales.

Une nouvelle fois nous réclamons l’inversion du courant migratoire, la mise en oeuvre du patriotisme social, la préférence nationale, le rétablissement du contrôle aux frontières nationales, la création dans les délais les plus brefs d’une garde nationale permettant à des dizaines de milliers de jeunes Français de participer à l’effort de sécurité intérieure, des moyens décuplés affectés à nos services de renseignement ainsi que plus de pouvoir à notre police avec notamment une réforme urgente de la législation sur la légitime défense afin que nos forces de police puissent agir plus sereinement et plus efficacement.

Enfin, une coopération diplomatique et politique active avec la Russie et le gouvernement légal syrien sont, plus que jamais, une nécessité et un devoir pour contrer les assassins fanatiques de l’Etat islamique et des groupes islamistes qui pulullent en Europe et dans le monde.

Pour nos libertés et notre sécurité, nous devons reprendre notre destin en mains.

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9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Pierre Cassen, PLUS QUE JAMAIS D'ACTUALITE !

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Ce n'est pourtant pas faute d'avoir sonné le tocsin....

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Quel état d’urgence ?

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Dr Bernard Plouvier

Après les scènes de guerre civile qui ont ravagé la ville de Paris dans la soirée du 13 novembre 2015, notre bon Président – prenant enfin conscience de l’existence d’un problème racial et religieux en France – décrète « l’état d’urgence ». De fait, plutôt que d’aller parader devant micros et caméras pour organiser un nouvel afflux massif d’immigrants islamiques, il serait temps de s’occuper quelque peu de protéger les citoyens français.

Mais de quoi peut-il s’agir, en fait « d’état d’urgence », dans un pays où la Justice est dirigée par une indépendantiste guyanaise, fière de sa négritude, haïssant les Blancs et multipliant les offensives médiatiques pour réduire les peines des assassins, des violeurs, des incendiaires ?

De quoi peut-il s’agir dans ce pays où l’Intérieur est dirigé par un politicien qui a osé éructer, le 5 août 2014 (au micro de RTL) : « Ce n’est pas un délit de prôner le Djihâd »…. effectivement, pitoyable ignare, ce n’est pas un délit mais un crime contre l’Humanité ! Le Djihâd est obligatoire, en Dâr al-Harb (domaine de la guerre, soit tout pays non dominé par l’islam) à tout fidèle (muslim) qui en est physiquement capable. Le coran (sourate 8, verset 40) est on ne peut plus clair : « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez tous les idolâtres partout où vous les trouverez », l’idolâtre étant celui qui n’adore pas Allah, « le tout-puissant et le miséricordieux » (paraît-il).

Le Djihâd est présenté comme « bon et juste » par les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61. L’islam, bête monstrueuse issue du fanatisme médiéval, est non pas « à nos portes », mais largement installée chez nous. Entre 7 et 10 millions de musulmans vivent en France. Des Français autochtones, abrutis par une propagande absurde autant que lénifiante, semblent ne voir que l’honnête musulman qui travaille. Et l’on nous ressort le couplet sur l’ingénieur ou l’infirmière… sortez les violons, pendant que les fils et frères tuent, violent, incendient et pillent (pour ne même pas évoquer le racket des écoliers, l’organisation de la prostitution, les trafics de stupéfiants et d’objets volés).

L’état d’urgence, le vrai, c’est, d’abord, exclure impitoyablement tout musulman des forces de police et de gendarmerie, des forces armées et de gardiennage de prison… sans oublier les « petites amies » des musulmans, puisque l’on a vu des gendarmettes ouvrir à des terroristes dont elles étaient éprises l’accès aux ordinateurs de leur organisme. C’est de faire passer en Haute-Cour de la République les ministres sectaires et incompétents. C’est de rétablir la peine de mort pour tous les commanditaires et inspirateurs religieux, pour tous les complices assurant le soutien logistique des terroristes djihadistes.

L’état d’urgence doit être maintenu jusqu’à complète éradication du millier de cités de non-droit que nos ineptes politiciens ont laissé proliférer sur le sol de la République depuis les années 1980. Dès à présent, il faut hermétiquement fermer nos frontières à tout immigrant musulman et commencer à inverser le flux migratoire : en clair, renvoyer les musulmans dans leur cher Dâr al-Islam, ce domaine de l’islam que la France ne sera jamais.

Enfin, il est temps d’ouvrir les yeux : le racisme, en France actuelle, ce n’est pas l’action de vilains Blancs contre de gentils colorés. Le racisme, le vrai, quotidien et s’exprimant par des injures, des attaques physiques, des viols en série, des assassinats de Blancs, singulièrement de Juifs, est le fait des immigrés extra-européens.     

Si le peuple français comprend enfin ces réalités, les innocents, victimes de la barbarie musulmane et du racisme anti-Blancs, ne seront pas morts en vain. En revanche, si l’on en revient aux demi-mesures, à la politique de l’autruche et au tiers-mondisme pleurnichard, alors ces victimes auront été offertes en holocauste à la pure connerie.

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Conséquence de l'"état d'urgence" : l'AGRIF doit annuler son salon du livre

3875210749.jpgLe salon du livre de l'AGRIF qui devait se tenir dimanche à Paris est annulé.

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Carnage en plein Paris : au moins 127 morts et près de 200 blessés

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Arnaud Raffard de Brienne cliquez ici

Il aura fallu cette soirée d’horreur pour que nombre de nos compatriotes réalisent (enfin) que nous sommes en guerre. Une guerre commencée depuis bien longtemps, de moins en moins pacifique au fil des ans malgré la censure quotidienne de l’establishment, de la classe politique et médiatique. Plus de 127 morts en une soirée, c’est l’attaque terroriste la plus importante jamais subie sur le sol français. C’était malheureusement prévisible et les experts s’entendaient pour prédire des actions terroristes sur notre territoire, le seul détail leur échappant demeurait la date. C’est chose faite, en attendant la suite du calendrier et d’autres actions du même type.

Il est déjà loin le massacre de Charlie Hebdo et ses 17 victimes au nom desquels, des millions de nos contemporains se sont réveillés « Charlie ». Loin aussi notre première décapitation terroriste, en Isère, le 26 juin dernier. Nous avons eu hier nos premiers attentats-suicide, hier, près du Stade de France. C’est en effet la première fois qu’en France que des islamistes se font exploser par une ceinture d’explosifs. Nous aurons, bien entendu, nos voitures piégées, comme je l’ai annoncé à plusieurs reprises. Tout cela a été dit, prédit, écrit, clamé dans une quasi-indifférence quand ce n’était pas de l’hostilité et des insultes. La classe politico-médiatique, gauche et droite, a pesé de tout son poids pour étouffer jour après jour tout ce qui pouvait contribuer à la vigilance des Français face à la libanisation qui vient. Perverties d’idéologies mortifères, nos élites n’acceptent aucune ombre qui vienne ternir la belle histoire d’une société ouverte et généreuse (bien que ruinée). Leurs pseudo-valeurs nous mènent droit au chaos, comme nous l’affirmons depuis des décennies malgré une censure tatillonne, des cascades de procédures, des quolibets et autres tracasseries. Mais le vent de l’Histoire tourne et gageons que, dans les mois à venir et comme en 1944, beaucoup de collabos se découvriront une vocation tardive de résistants.

Nos apprentis-sorciers redécouvrent dans la précipitation les vertus de la fermeture des frontières et des contrôles d’identité. Certains de nos voisins achètent par camions entiers des dizaines de tonnes de fil de fer barbelé. Mieux vaut tard que jamais n’est-ce pas ? Leur découverte de l’eau tiède a quelque chose de pathétique. Ils pourront d’ailleurs mettre en œuvre tous les plans Vigipirate renforcés, blindés, écarlates ou fluo, rien n’empêchera jamais des épisodes comme celui qui s ‘est déroulé hier soir dans la capitale. Tous les services de renseignement étrangers ou nationaux avaient pourtant prévenu en long, en large et en travers nos autorités de l’infiltration de nombreux djihadistes parmi les cohortes d’immigrés illégaux que l’on laisse négligemment accoster sur les côtes européennes. Leur prise en charge dans une nation surendettée pour plusieurs générations, minée par le chômage (plus de six millions de chômeurs effectifs), la précarité et dans laquelle sévit déjà une insécurité qui stupéfie le monde entier, jusqu’au fin fond de la Chine et de la Russie, relève, dans le meilleur des cas, d’un inconscience criminelle et dans le pire de desseins qu’il serait long de développer ici.

Il serait vain et malhonnête de surcroît d’incriminer le seul gouvernement actuel en oubliant les responsabilités écrasantes des Sarkozy, Chirac, Mitterrand et Giscard. Les plus sains de nos compatriotes reconnaissent, à mi-voix pour le moment, l’urgence de mener une autre politique avec d’autres hommes, une toute autre politique, tout simplement conforme à nos intérêts nationaux et à ceux de nos concitoyens. A un tweet de François Bayrou, hier, qui exhortait les internautes à se retrouver sur " l‘unité, la solidité et la solidarité ", j’ai simplement répondu : " Non Monsieur, pas avec les responsables de la situation actuelle ". Fin des échanges. Je ne serai pas plus Bataclan que je n’ai été Charlie.

Massacre en plein Paris : ce n’est qu’un tout début

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Arnaud Raffard de Brienne cliquez ici

L’immense avantage d’accepter la pouillerie du monde entier sur notre territoire n’aura pas tardé à se révéler au grand jour. En préambule, ne craignons pas d’affirmer que la classe politique, droite et gauche confondues, porte l’entière responsabilité du drame survenu à Paris ce soir et pour lequel on décompte déjà plus de 60 morts à cet instant précis (23h30). Notons que nous sommes passés de 18 morts, puis 30 à au moins 40 en moins d’une heure puis à 60 (23h45), sans parler des blessés dont certains dans un état grave. Le bilan risque de s’alourdir encore dans le courant de la soirée.

Plusieurs fusillades ont donc éclaté ce soir à différents endroits de la capitale et des explosions dues à des attentats suicides auraient aussi fait un certain nombre de victimes aux abords du Stade de France. Une prise d’otages est en cours au Bataclan sans qu’on sache très bien combien de personnes sont ainsi retenues. Il y aurait eu sept attaques simultanées et par conséquent concertées : le Bataclan, République, Les Halles, Trocadéro, Stade de France, Belleville, Paris 10è, Paris 11è.

Alors que Valls éructe contre le Front national et en perd les pédales, au point de proposer des listes communes UMPS (LRPS maintenant) avec pour seule obsession de « faire barrage au Front national », ne ferait-il pas mieux de faire barrage au terrorisme, à la submersion migratoire qui en est la cause, au chômage et à l’inexorable montée de la pauvreté et de la précarité ?

Les Français doivent maintenant se préparer à reprendre en main leur destin, au prix de grandes souffrances et de grands sacrifices mais que jamais aucun ne vienne dire « nous ne savions pas ». Ils doivent maintenant s’organiser et se préparer à assurer leur défense.

Espérons qu’il n’y aura pas, dans les jours à venir, de marche blanche et autres grandes déclarations sur les valeurs républicaines, le « pas d’amalgame » et autres « Je suis Charlie. Le retour ». Cela ajouterait l’odieux à l’horreur. La folle immigration et la politique de soumission à Washington et à sa folie belliciste aboutissent aux résultats que de nombreux patriotes annoncent et prédisent depuis des décennies malgré la hargne de la classe politique gamellarde, essentiellement soucieuse de se partager l’assiette au beurre. Même l’obscurantiste Arabie Saoudite dont la seule religion autorisée est pourtant l’islam, se garde bien d’accueillir ces fameux « migrants » qui ne sont rien d’autre que des immigrés illégaux. Elle refuse énergiquement d’accueillir des réfugiés en provenance des pays en état de guerre civile et surtout pas venant de Syrie. Tout juste propose-t-elle benoîtement de financer 200 mosquées en Allemagne, à coups de pétro-dollars, ce qui comporte infiniment moins d’inconvénients.

La seule attitude digne du gouvernement consiste à démissionner pour laisser place à un gouvernement de salut public.

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vendredi, 13 novembre 2015

9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Serge Ayoub

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80 % des délinquants sont extra-européens, 15 % d’Europe de l’Est et 5 % français

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Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez ici

La France est la république des mensonges où tout ce qui touche à l’immigration est caché ou falsifié. Il faut lire la presse étrangère pour connaître la vérité sur une immigration devenue une catastrophe nationale qui va détruire le pays. La charge devient insupportable et nous assistons à un dramatique nivellement par le bas de toute la société. Pour taire la vérité, les gouvernements de droite et de gauche ont donc cassé tous les thermomètres, interdit les statistiques ethniques et légiféré pour museler les citoyens, qui n’ont qu’un seul droit, celui de se taire. Et sans parler des chiffres bidons de l’INSEE, qui est incapable de dénombrer le nombre de fonctionnaires, mais qui prétend chiffrer les flux migratoires avec précision.

Il est interdit de faire l’amalgame immigration-chômage. Pourtant, parmi certaines communautés, il y a 20 à 40% de chômeurs qui vont grossir les flots de l’ANPE.

Il est interdit de faire l’amalgame entre immigration et insécurité. Pourtant, quand on consultait naguère les avis de recherche de la gendarmerie et de la police, 80% des délinquants recherchés étaient d’origine extra européenne, 15% étaient originaires de l’Europe de l’Est et 5% étaient des Français de souche. On comprend donc pourquoi ces avis de recherche ont soudain disparu des sites internet !

Il est politiquement correct de minimiser le nombre de musulmans. Seul Dalil Boubakeur peut réclamer 2000 mosquées supplémentaires, en déclarant qu’il y a 7 millions de musulmans en France et seul Jack Lang peut exiger davantage d’imams dans les prisons, en affirmant que les deux tiers des détenus sont musulmans !

Enfin, s’il y a un sujet plus que tabou, c’est celui du coût réel de l’immigration, chiffré entre 30 et 70 milliards suivant les études. On attend que la Cour des Comptes s’attèle au problème….Ce qui est certain, c’est que des millions d’immigrés peu qualifiés pour la plupart, coûtent davantage en social que leur contribution au PIB. Ceux qui nient cette évidence devraient nous expliquer en quoi le polygame de Bobigny, avec ses 4 femmes et ses 46 enfants, est une chance pour la France !! Dans son village du Mali, cet ancien technicien de surface passe pour celui qui a réussi, alors qu’il ne vit que des mirifiques prestations sociales. Rappelons que ce Malien perçoit plus de 200 euros par JOUR, alors qu’au Mali le revenu moyen par habitant est de 200 euros par AN !!! Et combien de milliers de polygames vivent en France alors que la loi l’interdit ? 30000, 50000 ? Motus. Contentons nous de payer l’argent-braguette de tous ces rentiers de notre système social.

Paris est devenue la capitale du tiers monde et on assiste au retour des bidonvilles d’après guerre, que nous avions réussi à éradiquer à la fin des Trente Glorieuses. Avec une croissance nulle et une invasion de déshérités qui s’amplifie, la France s’appauvrit de jour en jour. Mais le pire est que tous ces migrants sont devenus prioritaires sur toutes les aides sociales et notamment sur l’hébergement. Toutes les communes dégagent des logements en urgence, pendant que des Français attendent depuis 8 ou 10 ans un logement social. C’est l’éternelle et inique préférence étrangère qui prévaut, au nom de la tolérance et de l’accueil de l’autre.

Tout ce que la France compte comme bobos immigrationnistes, intellectuels et artistes, se mobilisent pour dénoncer les conditions de vie des migrants à Calais. Mais aucun de ces donneurs de leçons, confortablement installés dans les beaux quartiers bien protégés, ne se soucie des résidents qui vivent un enfer au quotidien, menacés par des bandes violentes. Leur vie est littéralement détruite, leur maison est invendable, les commerces pâtissent d’une image déplorable de la ville, les enfants ont peur en allant à l’école. Mais ça, tout le monde s’en fout, à commencer par les politiques qui méprisent le peuple français.

Les menteurs au pouvoir nous assènent tous les jours que la France n’accueillera que 33000 migrants en deux ans. Qui peut croire à cette fable ? A Calais ce sont 3000 migrants supplémentaires qui sont venus s’entasser en seulement trois semaines. Et chaque jour 10000 candidats à l’Eldorado européen franchissent la Méditerranée tandis que 10000 autres arrivent de l’Est par voie terrestre. Selon Frontex le pic n’est pas encore atteint et ce sont au bas mot 3 millions de réfugiés qui se pressent aux portes de l’Europe. En France, les seuls demandeurs d’asile représentent 65000 personnes, qu’il faut loger, soigner, nourrir et qui, une fois déboutés, ne repartent jamais. Ce n’est que l’avant garde qui arrive en Europe.

Rappelons que depuis l’indépendance en 1960, la population en Afrique a triplé, passant de 300 millions à un milliard. Il faut donc s’attendre à des dizaines de millions de migrants économiques africains.

Le gouvernement n’ayant aucune solution et surtout aucun courage pour en trouver, a perdu le contrôle de la situation. Il se contente de répartir le fardeau à travers toute la France, imposant aux Français une promiscuité qui va bouleverser leur quotidien. Des villages tranquilles sont totalement perturbés par ces arrivées d’étrangers désoeuvrés, qui bien entendu sont totalement à charge et errent à travers les rues à longueur de journée. Ce sont des centaines de petits Calais qui éclosent à travers la France et qui vont détruire la vie paisible des citoyens.

Le coût de cette politique d’accueil devient démentiel. Selon la Cour des Comptes chaque migrant coûte 13000 euros au contribuable. C’est bien davantage que ce que perçoivent des millions de retraités. L’asile revient à 2 milliards par an. Entre 25 et 30000 demandeurs d’asile sont logés à l’hôtel chaque soir.

Et pendant ce temps on abandonne 25000 petits exploitants agricoles qui tentent de survivre avec 300 euros par mois. On paie des croisières sur la Seine à des migrants, pendant que cinq millions de Français n’ont pas de mutuelle et n’ont pas les moyens d’envoyer leurs enfants chez le dentiste.

C’est une véritable trahison envers le peuple français, toujours le dernier servi à la table des prestations sociales. Sarkozy a supprimé la demi part des veuves, Hollande a voulu amputer les aides aux handicapés. Mais on dépense toujours plus pour les immigrés.

Et face à cette démission généralisée qui détruit la nation, ne comptons pas sur la droite pour redresser la barre. C’est sous le gouvernement Sarkozy, immigrationniste et islamophile notoire, qui a cédé à toutes les revendications communautaires, qui a régularisé et naturalisés à tours de bras, c’est sous Sarkozy que le ministre de l’Identité nationale proclamait en 2010 :

“La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage.”

Ce ministre beau parleur, Eric Besson en l’occurrence, devrait aller dire ça aux descendants des millions de Français qui se sont sacrifiés en 14-18 et dont on honore chaque année la mémoire. La France que nous décrit Eric Besson est tout le contraire d’une nation.

S’il consultait le dictionnaire, il verrait que “la nation est un ensemble de personnes vivant sur un territoire commun, conscient de son unité historique, culturelle, linguistique et religieuse”. Besson n’a donc rien compris !

Et j’ajoute que la France depuis Clovis, est une des rares nations millénaires, avec l’Angleterre, la Chine ou le Japon. Un tel héritage, construit dans le sang et les larmes au fil des siècles, mérite beaucoup mieux que le mépris affiché par nos politiques apôtres d’un multiculturalisme destructeur.

Un véritable patriote ne braderait jamais la France comme le font la gauche et la droite depuis trente ans.

Par conséquent, continuer à voter pour ces fossoyeurs de la nation, dont la fibre patriotique se résume à célébrer le 11 novembre, c’est tout simplement détruire l’avenir de nos enfants.

Il faudra un grand courage politique pour renverser la vapeur. Les solutions existent. Durcir le droit d’asile, supprimer les prestations sociales aux étrangers, supprimer le droit du sol et le regroupement familial, interdire toute régularisation de clandestin, accorder la naturalisation au mérite et expulser tous les déboutés du droit d’asile de gré ou de force.

En politique, on peut toujours, il suffit de vouloir. Et espérons que les mesures salvatrices seront prises avant qu’il ne soit trop tard et que le tsunami migratoire n’ait tout emporté sur son passage.

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Ce vendredi soir, sur Méridien Zéro

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COLLEGES : MIXITE SOCIALE OU MIXITE RACIALE ?

3912090810.2.jpgLe Bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

Le gouvernement veut brasser de force des populations hétérogènes, mixer les élèves de collèges réputés calmes où l’on travaille et s’instruit, avec ceux d’établissements en grandes difficultés. En quelque sorte, exporter le cancer et ses métastases. Et cela dans la plus pure hypocrisie : aucun des enfants de nos hiérarques, ou prétendus tels, n’iront dans des collèges de « quartiers difficiles » et autres « zones de non droit », les cache-nez sémantiques pour désigner les quartiers ethniques.

« Raciale », mixité « raciale » ? Cachez ce vilain mot qui désignerait, au demeurant, une « chose » qui n’existe plus, «  couvrez ce mot que je ne saurais voir » pour paraphraser Molière dans son célèbre Tartuffe, et substituons lui le vocable plus aimable de « social ». Après l’aggravation des sanctions prévues à l’article 55 de l’inique loi SRU – « solidarité et renouvellement urbain »  – pour les communes de plus de 3 500 habitants qui ne rempliraient pas l’obligation d’avoir au moins 20% de logements sociaux (1), le gouvernement de la République (socialiste) française vient de lancer le 10 novembre un nouveau plan expérimental pour en finir, parait-il, avec les « collèges-ghettos ».

LE REEL REPRENDRA LE DESSUS : « CHASSEZ LE NATUREL, IL REVIENT AU GALOP…. »

En fait, de quoi s’agit-il ? En apparence l’idée vendue semble généreuse et partir d’un bon principe dans l’offre égalitaire d’un enseignement de qualité. L’idée de Najat Vallaud Belkacem, ministre de l’Education dite « nationale », est d’impliquer les collectivités territoriales concernées dans le brassage des élèves des collèges issus de différents quartiers, en partant du principe que certains de ces derniers répondraient bien à une typologie sociale spécifique. Or, il n’est pas toujours évident que les quartiers réputés « défavorisés » n’hébergent que des enfants en grandes difficultés, ni que ces derniers soient obligatoirement tous issus de milieux pauvres. Et jadis, nombre de « pauvres » se sont extraits de leur milieu d’origine grâce notamment aux bourses et à leurs qualités personnelles.

De même qu’un humoriste voulait mettre les villes à la campagne, Belkacem veut mettre les effectifs d’enfants difficiles dans des collèges réputés calmes. Déplacer les problèmes en quelque sorte au lieu de tenter de les résoudre à la base, in situ. En fait, la carte scolaire sera redessinée en faisant déplacer quotidiennement des enfants sur de longs parcours avec toutes les nouvelles contraintes horaires entrainées pour les parents. Il était quelque peu croustillant à cet égard de visionner un reportage télévisé, je ne sais plus sur quelle chaine, dans lequel on pouvait voir et entendre des mamans visiblement d’origine maghrébine par leur tenue, souhaiter que leur progéniture soit mélangée « à des Français » ce qui, en passant, révèle deux choses : une, si elles ont la nationalité française, elles ne se considèrent pas comme telles, deux, elles se rendent compte que dans des classes où cohabitent des enfants issus des « quatre coins du monde », les élèves peuvent difficilement s’intégrer, à plus forte raison s’assimiler à la société d’accueil. La ministre s’imagine-t-elle que des parents ayant la chance d’avoir une situation sociale disons « normale » ou aisée vont, de gaité de cœur, accepter que leurs marmots soient scolarisés dans d’improbables collèges, loin de chez eux, où l’anarchie, la violence et la drogue s’imposent en toute impunité ? Combien de structures scolaires où les enseignants vont au boulot la peur au ventre en rasant les murs ?

Dans un récent article de France TV info on pouvait relever avec intérêt cette déclaration : « Céline (le prénom a été changé), mère d’une jeune lycéenne scolarisée dans le XIIe arrondissement de Paris, a toujours respecté la carte scolaire. Lorsque sa fille est entrée au collège, l’établissement accueillait des classes d’enfants plutôt favorisés. En quatre ans, son quartier est devenu plus populaire et le collège est désormais en zone d’éducation prioritaire. Avec 37 élèves par classe, le personnel encadrant est complètement dépassé, raconte la mère. Les élèves perturbateurs ont fait craquer certains professeurs qui ne pouvaient pas tenir leurs classes. Ma fille n’a pas eu de cours d’anglais pendant trois ans faute d’enseignant avec les nerfs suffisamment solides ». Edifiant…

La démonstration est faite que ce n’est pas forcément le lieu géographique qui détermine la mauvaise ambiance scolaire, mais le manque de moyens rationnels mis à la disposition d’une véritable Education réellement NATIONALE. Les recettes ? une discipline appliquée avec intransigeance par des maîtres bien formés – pas des jeunes que l’on envoie au casse-pipe sans préparation, rappelez-vous l’excellent film « La jupe » avec Isabelle Adjani - l’implication physique et financière des parents d’élèves difficiles avec, s’il le fallait, l’internement des trublions dans ce que l’on appelait jadis des « Maisons de correction ». Sans oublier une rénovation des bâtiments et de leurs équipements qui donnent envie d’apprendre, l’enseignement des valeurs de base indispensables à la vie en société, le port d’un uniforme identifiant l’élève à son école selon le modèle britannique, et arrêter de surcharger les classes en ouvrant toujours et toujours plus les vannes de l’immigration, voici quelques pistes pour freiner l’un des maux français. Car, même si les dérogations à la carte scolaire seront plus encadrées, rien ne pourra empêcher papa et maman de faire preuve d’imagination pour que leur jeune progéniture échappe aux collèges-ghettos des cités du même tabac. On n’arrête pas l’eau des rivières qui débordent, l’eau s’infiltrera toujours par tous les interstices.

LA VOIE ROYALE PAR LE PRIVE ?

Najat et ses sbires du ministère ont même imaginé une répartition des effectifs dans des collèges situés sur un même axe, une ligne de tramway par exemple, qui chargerait des élèves, pas tous, du collège A pour les emmener au collège B ! Outre la fatigue supplémentaire entrainée par ces heures passées dans les transports, les élèves devraient sans doute s’acquitter du coût de cette prestation. Une sorte de busing en vogue aux Etats-Unis il y a déjà quelques lustres et qui, par cars entiers, faisait se déverser des élèves noirs dans des écoles blanches… Les Américains en sont revenus, car l’ethnie d’origine ne recoupe pas toujours le niveau social des familles. Qui connait les Etats du Sud, sait qu’il y a de nombreux « petits blancs » comme une émergente et dynamique bourgeoisie noire ! Ce n’est pas Obama qui dirait le contraire…

Si d’immenses casernes sans âme où s’entassent des populations diverses encerclent nos villes, nous le devons à des dirigeants qui n’ont pas mesuré les conséquences de leurs actes, le regroupement familial étant l’un des plus maléfiques, n’est-ce pas messieurs Chirac et Giscard d’Estaing ? Le fameux « bien vivre ensemble » à la mode française ou « l’accommodement raisonnable » à la sauce québécoise sont conditionnés avant tout par une question de seuil, de « dosage » et, surtout, de volonté de la part de toutes les parties. Nous en sommes loin. Aujourd’hui le vin est tiré, il faut le boire. Mais pas aux dépends des enfants, de tous les enfants, à commencer par les petits Français. Le privé a de beaux jours devant lui !

(1) 36 communes « carencées » comme ils disent, où le préfet – lire le pouvoir socialiste – se substitue au maire.

11:40 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : interventions de Richard Roudier et de Hugues Bouchu

Richard Roudier, Pdt de la Ligue du Midi (Réseau identités) 

Huges Bouchu, Pdt de la Ligue francilienne (Réseau identités)


9 jni 1.jpgLa 9e Journée

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Régionales. Les nationalistes corses en tête des sondages et percée du Front National

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Source Lengadoc Info

En Corse, les nationalistes ont le vent en poupe. Selon une étude d’OpinionWay pour France 3 Corse ViaStella et France Bleu RCFM, la figure montante du nationalisme et maire de Bastia, Gilles Simeoni, pointerait en tête au soir du 6 décembre avec 18 % d’intentions de vote pour le premier tour de scrutin. Un score qui équivaut pratiquement à celui qu’il avait réalisé en 2010 avec le mouvement des nationalistes modérés.

Sous réserve d’un accord avec les indépendantistes de Corsica libera (La Corse libre) et du Rinnovu (Le renouveau), crédités respectivement, selon le sondage, de 8 % et 1 % d’intentions de vote, l’élu municipal bastiais pourrait sérieusement rivaliser avec les camps de gauche et de droite, largement divisés pour cette élection territoriale. Historiquement, les nationalistes n’ont jamais été aussi proches du pouvoir. Mais pour l’heure, la perspective d’une alliance au second tour, réclamée à cor et à cri par les indépendantistes, ne semble pas vraiment trouver une oreille attentive du côté du courant modéré.

Mais, avec au total 28 % d’intentions de vote au premier tour, répartis entre Camille de Rocca Serra (16 %) et José Rossi (12 %), Les Républicains, dont la fusion des listes est annoncée pour le second round, seraient bien placés pour l’emporter. Même si réconcilier les deux équipes – qui ont multiplié les escarmouches à coups d’interview dans Corse-Matin l’été dernier – ne sera pas forcément une partie de plaisir… De passage dans l’île au mois d’août pour ses vacances, Nicolas Sarkozy avait dû prendre les choses en main pour tenter d’assagir les frères ennemis et déboucher sur un accord de deuxième tour.

Giacobbi en difficulté

Pour le reste, si la gauche peut compter au total sur 32 % d’intentions de vote au soir du 6 décembre, son émiettement avec cinq listes la fragilise sérieusement. Ce sondage n’accorde que 12 % au premier tour à l’homme fort de la région, Paul Giacobbi (DVG), relégué en troisième position alors que son état-major table sur 20 % (il avait réalisé 15,4 % au premier tour en 2010). Un étonnement pour les observateurs de la politique insulaire, puisque la liste du patron de l’exécutif, qui a largement misé sur « l’effet maires », compte bon nombre d’élus pourvoyeurs de suffrages, quadrillant l’île du nord au sud et d’est en ouest. Une équipe présentée comme étant « plus efficace » que celle qui l’avait porté à arracher les rênes de la région à la droite, il y a cinq ans.

À ce titre, il est permis de se demander si Paul Giacobbi ne serait pas victime de sa mise en examen en juillet dernier pour « détournement de fonds publics » dans l’affaire dite des gîtes ruraux. D’autant que certains de ses proches, dont le sénateur PRG de Haute-Corse, Joseph Castelli, sont aussi dans le collimateur de la justice depuis quelques semaines. Autrement dit, les soucis judiciaires du camp giacobbiste font régulièrement la une de la presse insulaire depuis plusieurs mois. Ce qui n’arrange pas les affaires de la gauche puisque les deux listes conduites par Emmanuelle de Gentili (PS) et Jean-Charles Orsucci (DVG) n’atteindraient pas la barre fatidique des 5 % permettant de fusionner. Seul le Front de gauche, qui peut compter sur une base militante confortable, devrait s’en tirer avec 7 % d’intentions de vote au premier tour. Au même titre que le PRG Jean Zuccarelli (fils de l’ancien maire de Bastia), à qui le sondage accorde 5 %.

Percée du FN

Autre surprise, celle de la percée du Front national. Véritable arlésienne en Corse jusqu’à ces dernières années, l’étude lui prête 12 % d’intentions de vote au premier tour dans l’île, où le vote « contestataire » est souvent cristallisé par les nationalistes. Ce qui triplerait son score par rapport à 2010. Et pour cause, historiquement, le parti d’extrême droite demeurait quasi inexistant dans les élections locales. Le sondage, qui le place en troisième position, pourrait donc laisser penser à une nationalisation grâce aux thématiques en vogue, comme le rejet de l’immigration. D’autant que le FN vient à peine d’entrer en campagne et a présenté sa liste il y a quelques jours seulement. Une équipe dont le chef de file, Christophe Canioni, est encore sur le plan régional un illustre inconnu. Ce qui fait dire à bon nombre d’observateurs que, pour le coup, c’est l’étiquette qui pourrait primer, contrairement aux habitudes de cette région où l’on vote surtout « l’homme ».

Enfin, le sondage d’OpinionWay évoque aussi l’abstention (43 %), peut-être plus forte qu’en 2010 (37,6 %), pour cette élection qui semble avoir du mal à passionner les Corses qui d’ordinaire raffolent de la politique. La faute, sans doute, à un mandat très court d’à peine deux ans, avant de remettre le couvert pour la nouvelle collectivité unique en 2018.
Enquête réalisée auprès d’un échantillon de 805 personnes entre le 27 et le 30 octobre.

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Mario Borghezio nous parle de l'immigration

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jeudi, 12 novembre 2015

9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : intervention de Rima, représentante de la Syrie

La 9e Journée de Synthèse nationale

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Submersion de l'Europe : la vidéo-choc vue 700 000 fois en 3 jours.

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3209 du 5 novembre 2015

NICOLAS Dupont-Aignan, président de Debout la France, refuse de participer aux primaires à droite, qu’il considère comme une mascarade. Il vient de déclarer : « J’ai toujours dit que la primaire, c’était un dîner de c... Ils vont s’entretuer comme des crocodiles dans un marigot, puant, d’ailleurs ! » Le député-maire souverainiste qui est tête de liste de son parti pour les élections régionales en Ile-de-France dénonce un « scrutin privatisé aux ordres de Nicolas Sarkozy », et « n’accepte pas ces magouilles » qui ne l’« intéressent pas ». Le député de l’Essonne et maire d’Yerres, membre de la commission des Affaires étrangères à l’Assemblée nationale, soutient l’engagement militaire de la Russie en Syrie. Il a déclaré : « Vladimir Poutine assume ses actes et a compris le danger de l’Etat islamique. Il faut choisir. Il n’y a qu’un seul chef d’Etat au monde, et c’est Vladimir Poutine. » Et en France ? Il se voit évidemment en chef d’Etat et copine avec les souverainistes de tout poil. Il a apporté son soutien à Robert Ménard avant de présenter des candidats face à lui aux élections départementales de 2015 dans l’Hérault, invité Jean-Pierre Chevènement à l’université d’été de Debout la France en août 2015, déclaré qu’il était « prêt à s’allier avec le Front de gauche si c’est pour sauver la France », n’exclut pas de gouverner avec le Front national s’il se débarrasse de son arrière-boutique « xénophobe et raciste », etc… Bref, ceux qui pouvaient imaginer que l’ultra-gaulliste Dupont-Aignan était un ennemi du Système en seront pour leurs frais…

LES SOUTIENS DE NADINE MORANO

Depuis qu’elle a été éjectée par Sarkozy de la tête de liste en Meurthe-et-Moselle aux régionales, suite à ses déclarations (« Nous sommes un pays de race blanche. J’ai envie que la France reste la France et je n’ai pas envie que la France devienne musulmane »), Nadine Morano engrange des soutiens. Il y a Alain Delon qui pose la question : « Le Kenya est un pays de quelle race ? Les gens sont noirs. C’est une polémique ridicule, grotesque, qui n’a aucun sens ». Et d’ajouter : « elle a des c... de tenir comme elle tient et de dire : “Je vous em... tous, je dis ce que je pense et je continuerai à le dire”. Chapeau ! » Même Christian Estrosi y va de sa gentillesse en déclarant : « Je souhaite que sa personnalité qui a beaucoup apporté à notre mouvement depuis des années, qui est quelqu’un de modéré, puisse contribuer à porter ». Robert Ménard lui apporte aussi son soutien en déclarant : « Nicolas Sarkozy n’a pas été très aimable avec elle. Je trouve qu’elle est victime d’une chasse aux sorcières qui est sidérante. Se faire réprimander, menacer, sanctionner parce qu’on cite le général de Gaulle dans un parti qui s’en réclame, ça me fait rire ou pleurer. Au final, tout ça me la rend plus sympathique. » Et puis, il ajoute : « Je lui ai dit qu’il serait temps de regrouper tous les gens qui pensent comme nous que la France est grande et surpasser les postures qui interdisent de parler à tel ou tel. » Et enfin, il y a Brigitte Bardot qui lui a envoyé un message. Morano raconte : « J’ai reçu des milliers de messages de soutiens. Brigitte m’a écrit qu’elle était scandalisée et fière de moi. Elle me dit “Ne vous soumettez pas” ». Alain Finkielkraut tape fort, pour sa part, en déclarant : « Je ne fais pas de Nadine Morano une victime mais je constate que l’antiracisme est assoiffé toujours d’un nouveau gibier. L’antiracisme est devenu fou ». Et d’ajouter : « La France a une vocation universelle, elle doit pouvoir accueillir les gens de toutes couleurs mais une minorité d’entre eux car c’est un vieux peuple européen, de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne, il ne faut pas se raconter d’histoire. » Philippe de Villiers, quant à lui, rappelle que « La France, à l’origine, est un pays de race blanche. Vous savez “Nos ancêtres les Gaulois”, comme on disait à l’école »… Jean-Marie Le Pen, viré de son parti par sa fille pour avoir évoqué dans notre hebdomadaire « l’Europe boréale et le monde blanc » avait, comme on le sait, apporté un soutien (critique) à Morano en écrivant dans un communiqué : « Pour avoir énoncé une évidence historique multiséculaire, Madame Nadine Morano subit un feu nourri de critiques, d’autant plus véhémentes qu’elles viennent de son propre camp. Elle peut ainsi mesurer à ses dépens ce que pèse la “gauchisation des esprits” dans les rangs de l’ex-UMP. “Monde blanc” et “Europe boréale” sont donc désormais des concepts bannis ». Et puis, lucide, le Menhir conclut : « On la plaindrait si nous n’avions pas oublié de qui et de quoi elle est restée complice depuis si longtemps ». Bien envoyé !

Quant à Sarkozy, tout laisse à penser qu’il s’est tiré une balle dans le pied avec cette histoire. Carla Bruni, qui déteste Morano, ne serait au demeurant pas étrangère aux décisions de Sarkozy. Toujours est-il qu’elle est maintenant créditée de 5 % d’intentions de vote aux primaires des Républicains et risque d’affaiblir dangereusement l’ex-président menacé par Juppé. C’est en effet la guerre totale. Nadine Morano a déjà annoncé son intention de le “ringardiser” et de le “dézinguer”, commentant sa trajectoire avec un sobre : « Il s’effondre déjà. Les Français ne veulent plus revoir ceux qu’ils ont vus pendant trente ans ». Quelle bande de clowns ! Lors de son intervention, elle a fort justement noté : « S’il n’y a pas de race, il faut donc supprimer les subventions aux associations antiracistes ». Mais l’eurodéputé n’a pas tenu à rencontrer Robert Ménard après son meeting (il était prêt à la recevoir dans sa mairie) affirmant que ce dernier restait « un adversaire politique ». Minable… Avec des clowns pareils, comment relever la France ?

PAUVRE CRICRI (CHRISTINE BOUTIN)

Christine Boutin est poursuivie, après le dépôt d’une plainte de l’association Inter-LGBT, qui représente les lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels, pour provocation à la haine contre les homosexuels, pour ses propos tenus en 2014 dans la revue Charles. Elle avait qualifié l’homosexualité d’“abomination”. Ce n’est pas au néo-FN très gay-friendly que l’on risque d’entendre ce genre de discours ! Du coup, Boutin a comparu le 23 octobre à Paris pour « provocation à la haine ou à la violence » contre les homosexuels. Elle explique à la barre, se référant à une référence biblique qu’elle a reprise à son compte : le terme “abomination” qui figure dans le livre du Lévitique, dans l’Ancien Testament : « Je n’ai jamais condamné un homosexuel. L’homosexualité est une abomination. Mais pas la personne. Le péché n’est jamais acceptable, mais le pécheur est toujours pardonné ». Et Cricri d’asséner une petite leçon de théologie : « Tout péché, pour un catholique, est une abomination. Même le petit péché de gourmandise est une abomination ». Je trouve qu’elle est sauvagement cruelle avec les goinfres, et Dieu sait qu’il y en a chez les Rivaroliens. Et puis, au bord des sanglots, elle ajoute : « Moi, une personne, je ne la regarde pas suivant ses pratiques sexuelles, je la prends dans sa globalité », avant d’asséner la phrase qui tue : « J’ai non seulement des amis, mais aussi des collaborateurs [homosexuels]. » La pauvre, vaincue par l’émotion, a oublié de préciser qu’elle avait même un ami juif homosexuel, ce qui lui aurait donné une toute petite chance de s’en sortir… L’avocat de Christine Boutin, tout en reconnaissant la maladresse de sa cliente, a déclaré : « La décision demandée par le parquet (la condamnation à une amende) aura des conséquences énormes sur la liberté d’expression. […] Si vous suivez les réquisitions du procureur, alors il faut faire saisir la Bible ! » Le jugement sera rendu le 18 décembre prochain.

LES FEMMES DE MÉNAGE NE CONNAISSENT DÉCIDÉMENT RIEN DE L’ART

Une magnifique œuvre d’art contemporaine trônait dans une pièce du musée de Bolzano (Italie). L’œuvre qui porte le beau nom de « Où allons-nous danser ce soir » a été réalisée par les artistes Sara Goldschimed et Eleonora Chiari. Elle est constituée de bouteilles de verre et de cotillons éparpillés sur le sol et représente les restes d’une fête. Ces ignares de femmes de ménage les ont méticuleusement ramassés et jetés à la poubelle. Mais pas d’inquiétude : le musée a annoncé sur sa page Facebook que l’œuvre « sera réinstallée dès que possible ». On est soulagé. Mais ce n’est pas fini. On apprend qu’une “œuvre” intitulée « Salto Yano », une sculpture monumentale de 12 mètres de hauteur composée de matériaux industriels brûlés et déformés, avait été commandée à Anita Molinero pour une exposition d’art contemporain en Champagne. Les service d’incendie de la Marne, jugeant les matériaux inflammables, l’œuvre avait été démontée et stockée dans des locaux du domaine Pommery, marque de champagne bien connue. Pas pour longtemps, puisqu’elle a été incinérée par une société de nettoyage… à la demande de Pommery qui a sans doute considéré que la cohabitation de déchets avec son champagne n’était pas extraordinaire pour son image. Du coup, l’“artiste”, meurtri par ce blasphème et par la non-reconnaissance de son génie, en appelle aux tribunaux…

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DU CÔTÉ DES CLOWNS FRANCS-MAÇONS

Le grand maître du Grand Orient de France, Daniel Keller, s’est épanché dans une interview au Journal du Dimanche. Il se la joue dans le registre grave disant que l’on « est en train de dérouler le tapis rouge au Front national », et il ajoute : « La République (franc-maçonne, of course) reste un combat. Ce n’est pas un régime acquis définitivement. Si tout le monde baisse les bras, je le dis : la République est en danger ». Florian Philippot rétorque : « Ces gens-là ne se sentent-ils pas ridicules, au bout d’un moment ? » Quant à Jean-Marie Le Pen, il a le mot définitif : « Les propos de Daniel Keller devraient pousser la direction du FN à méditer sur la vacuité de son rêve de dédiabolisation ». Et il ajoute : « Ceux qui pensaient que la mise à l’écart de Jean-Marie Le Pen pouvait séduire des milieux qui lui sont structurellement et philosophiquement hostiles reçoivent aujourd’hui un méprisant démenti ». Que dire de plus ?

 

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

 

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Samedi soir, près de Soissons : concert de Lemovice

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9e Journée de Synthèse nationale (11 10 2015) : table ronde du matin (seconde partie - Philippe Randa, Jean-Claude Colonat)

Pour voir la première partie : cliquez ici


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Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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"Migrants" : face à la complicité de Bruxelles, les peuples d'Europe se réveillent...

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Bologne la semaine dernière,

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Dresde lundi dernier,

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Varsovie hier...

Les prémices du réveil européen...

Pour suivre l'actualité en Europe : Lionel Baland

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Dimanche 15 novembre : salon du livre de l'AGRIF

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Nos amis Charles-Henri d'Elloy et Jean-Claude Rolinat

seront présents. Ils dédicaceront leurs livres.

Programme de la journée : cliquez ici

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mercredi, 11 novembre 2015

1915-2015, LE CENTENAIRE DE 14-18 Les raisons d'écrire de Jacques Perret

livr_arbitres_Couverture.jpgMichel Lhomme

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Les Editions Via Romana viennent de publier "Raisons de famille" , le deuxième livre de souvenirs de Jacques Perret tandis que l'excellente revue littéraire Livr'arbitres y consacre son numéro 18 de l'automne 2015. Le choix de Raisons de famille est judicieux car on y célèbre avec un an d'avance le centième anniversaire de la disparition en 1916 de Louis Perret, le grand frère du Caporal épinglé. Le récit raconte à la première personne le premier août 1914, veille de la mobilisation générale avec l'apposition des affiches dans tous les villages de France. Tout se passe dans la maison familiale des Perret, la maison de Galluis en Seine-et-Oise (aujourd'hui département des Yvelines) et l'on y décrit une famille unie que vient secouer le devoir patriotique et l'histoire mondiale. Jacques Perret qui a douze ans voit cette année-là partir son père mais aussi son grand frère à la guerre. Ce dernier ne reviendra jamais, tombant au champ d'honneur sur la Somme, à Bouchavesnes, le 25 septembre 1916. Le papa qui s'était engagé puisqu'ayant passé l'âge de la conscription, fut, lui, grièvement blessé dans les Flandres puis fait prisonnier mais il revint sauf de la première guerre mondiale.

Les souvenirs de Jacques Perret rappellent que les années 1912 et 1913 furent particulièrement heureuses, ce furent de beaux étés normands et de belles moissons gauloises comme le fut d'ailleurs l'été 14, du moins en province et à la campagne. Pourtant, comme aujourd'hui, la France ne sentait-elle pas déjà le rance ? Sans doute puisque la France était profondément marquée par la défaite de 1870, la guerre des Balkans, le scandale de Panama, les ralliements ratés au Général Boulanger, l'affaire Dreyfus, la corruption des politicards, le pacifisme démobilisateur de Jaurès, la germanophobie de Maurras, la trahison des socialistes. 14-18 sera la première guerre du mondialisme mais dans les tranchées, dans les discussions de bivouac, on ne le saura pas et on s'étripera pour en chercher des causes diverses dans le nationalisme revanchard ou dans une guerre du capitalisme et de la finance avec en toile de fond, la révolution bolchévique et ses trains suisses remplis de lingots d'or. Pourtant, c'est souvent en regardant passer les vaches comme aujourd'hui que les grandes catastrophes surgissent. La France de 2015 sait-elle vraiment ce qui lui arrive ? N'a-t-elle pas été aussi volontairement démilitarisée par des hommes politiques pleutres et lâches depuis plus de trois décennies pour les ''préparer'' à une autre boucherie, à les asservir à la finance et les adapter au grand remplacement, les monter contre l'eurasisme.

L'intérêt du livre de Jacques Perret est là, nous narrer l'avant-guerre, « la paix des familles, l'état d'innocence, l'harmonie universelle » ou « la cueillette des prunes », les devoirs de classe, les jeux en plein air, au Jardin du Luxembourg des distractions enfantines, les cabanes et les courses à vélo, agrémentées de pénibles leçons de piano. Dès lors, en lisant le livre, on ne peut pas commémorer la grande guerre sans faire des parallèles avec le repli familial des années 90 qui anticipe ce que sera le choc historique des années 2015-2025. Certes en 1912 pas de grand remplacement ni de théorie du genre obligatoire, de totalitarisme de l'édredon, rien de tout cela dans le portrait d'une famille plutôt traditionnelle d'avant-guerre avec le camembert et le pinard à la sortie de la Messe, ou les enfants montés de force à l'étage quand les grands finissaient d'arroser la soirée au calvados dans le salon : « De fumants éclats montaient jusqu'aux chambres des enfants et nous comprenions alors vaguement dans le demi-sommeil, quelle institution difficile et miraculeuse était la famille où sans être d'accord sur tout on peut s'embrasser à propos de rien ». En réalité, aujourd'hui, les enfants ne dorment plus très tôt, ne montent dans leurs chambres que pour les jeux vidéos tandis que leurs parents pianotent sur leurs portables sans même se parler ou se poser des questions. Mais n'est-ce pas aussi un climat d'avant-guerre, le climat insouciant d'une guerre mondiale qui sera hybride et civile mais dont on veut dénie la probable réalité barbaresque ou nucléaire ? En fait, ce paradis familial que narre Jacques Perret avant la grande catastrophe de 14 existe encore même s'il n'y a plus d'éden républicain capable de fomenter la fierté grandiloquente de l'humble devoir patriotique. Il n'y a plus de nation mais des rapatriements d'exilés ou d'immigrés dans des drapeaux brûlés, déchirés ou remplacés sur les places publiques par les bannières ennemies de républiques islamiques.

La mort du grand frère Louis a de toute évidence marqué le petit Jacquot, le futur écrivain rebelle. Nous pensons que l'écrivain français ne s'est jamais remis de la mort de son grand frère et que c'est même pour cela qu'il écrira toute sa vie d'autant que Louis était un brillant élève de l'Ecole des Chartres appelé à une grande carrière. Nous soupçonnons que Jacques Perret après le décès de son aîné ne croira plus jamais à la carrière et aux grands discours des donneurs de leçon républicains. « Je suis pour le Trône et l'Autel » lâche-t-il âgé en une position suicidaire en 1975 sur le plateau d'Apostrophes devant un Bernard Pivot médusé.

Comme le remarque Jean-Baptiste Chaumeil, le passeur moderne de Perret, dans un article du numéro de Livr'arbitres à propos de la réédition opportune des Raisons de famille : « C'est aussi le grand intérêt de ce livre : tout est là qui permet de comprendre Jacques Perret. Comprendre son engagement au Maroc en 1922, son incorporation dans les corps-francs en 1940, ses évasions, son départ au Maquis, sa détermination dans la défense de l'Algérie française, et tant d'autres combats. ». La mort d'un grand frère aux combats de 14-18, devoir de famille de toute une époque, obligations patriotiques, traumatisme crânien, douleur des gueules cassées et solitude pour ceux qui restent. Nous pensons instinctivement à ces femmes comme la mère du poète britannique Rupert Brooke qui perdit toute sa progéniture à la guerre, ou à ces pères de 14-18 comme celui de Jacques Perret qui survécurent malades aux combats des tranchées mais qui pleurèrent leurs fils qu'ils avaient abandonnés sur ces champs de bataille où ils avaient paternellement guerroyés à leurs côtés en connaissant toute la merde des tranchées.

La guerre rend fou mais la guerre rend aussi irrécupérable. Jacques Perret est un irrécupérable. Cela nous change de la crasse des Modiano, Echenoz ou Enard qui nous font miroiter avec des guerres reconstruites des tableaux de douceur avant la tempête pour en réalité mieux nous anesthésier pour l'avenir troublé qui nous attend.


Jacques Perret, "Raisons de famille" , Septembre 2015, 328 pages, Éditions Via Romana, 25€

Livr'Arbitres, n°18, automne 2015, 7€

09:36 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 10 novembre 2015

Le Marquis nous livre son Libre Journal

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Le lecteur sera diverti par ce pense-bête des choses faites et à faire de l’agenda 2013-2015 du « divin Marquis », comme aimait à l’appeler son ami Serge de Beketch.

Notre gavroche mondain croque en ce libre journal des comédies humaines typiquement citadines et sa plume revisite trois années de bonnes chères, de sorties théâtre ou cinéma, de concerts ou dédicaces, de voyages, réceptions et invitations.

Jours d’autrefois, jours d’aujourd’hui, jours de demain, envisagés sans méchanceté mais avec une gouaille inimitable de paladin montmartrois fidèle à Dieu, fidèle au Roi.

Mon Libre Journal, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Via Romana, 2015, 254 pages, 25 €

Lire dans Rivarol de jeudi prochain l'article que Robert Spieler consacre à ce sympathique ouvrage...

20:26 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bordeaux, vendredi 27 novembre :

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18:36 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Plaidoyer pour le rétablissement de la peine de mort

images.jpgDr Bernard Plouvier

Le 15 octobre 2015, un petit garçon d’âge pré-pubère a été poignardé par un psychotique dans une cité lorraine. Au-delà de l’actualité et des réactions de colère & d’indignations qu’elle génère, il convient de réfléchir à un grave problème de société pour lequel le « peuple souverain » de France (et d’autres pays, d’ailleurs) n’a jamais été consulté : l’invraisemblable stupidité de l’abolition de la peine de mort.

Pour un médecin de ma génération (né en 1949, je suis entré dans les hôpitaux vingt ans plus tard comme externe, pour les quitter, en 2011), il est devenu monnaie courante de voir sortir d’hôpital psychiatrique des fous dangereux (des psychotiques délirants et/ou agressifs, des sociopathes et les psychopathes violents), nantis de l’étiquette : « équilibrés ». De fait, à l’heure des antipsychotiques, tout malade chez lequel un diagnostic a été posé suffisamment tôt peut être stabilisé par son traitement… à condition qu’il soit régulièrement pris et c’est là que le bât blesse.

Le psychotique de forte conscience morale (ou éthique, comme on voudra) prend son traitement, à la fois parce qu’il se sent mieux avec lui que sans, même s’il endure d’inévitables effets secondaires, et parce qu’il ne veut pas ou plus nuire à autrui (ses proches, ses collègues de travail, etc.). Le psychopathe violent (tous ne le sont pas), le sociopathe, le psychotique dépourvu de conscience sociale abandonnent vite leur traitement, parce que cela leur plait de terroriser autrui, de faire mal, de blesser physiquement ou moralement. Tous les médecins le savent, mais nul dans le monde merveilleux des politiciens ne demande l’avis des vrais praticiens, se contentant de celui, inexpert, des médicastres de secte, de parti ou de boudoir.

Depuis l'antiquité, on admet dans toute civilisation orientée vers le « Bien commun », à la fois la légitime défense de qui est réellement et immédiatement menacé dans sa vie et l’adage « œil pour œil, dent pour dent », ce principe du talion pouvant être généralisé en : vie pour vie.

On se moque des éjaculations verbales des avocats sur la non-exemplarité de la peine de mort et pour une excellente raison : aucune étude scientifique n’a jamais été réalisée sur le sujet. Bien au contraire, de nombreuses études éthologiques et sociologiques (notamment celles menées sur des jumeaux éduqués séparément) ont démontré l’innéité – pour au moins 80% - de la genèse des comportements animaux (dont ceux des humains)… donc le risque, génétiquement commandé, de la récidive chez les assassins et les violeurs, après leur libération de prison, souvent anticipée pour raison de « bonne conduite ».

L’ego surdimensionné, les professions de foi de pénalistes vexés par la condamnation à mort d’un de leurs clients (et par la mauvaise publicité qu’ils en ont ressentie) ne pèsent rien, absolument rien, en comparaison de vies d’innocents gâchées par des fous criminels, des pervers dangereux (tels les violeurs-assassins), des grossiums du trafic de stupéfiants, des criminels par fanatisme religieux ou politique.

On se moque d’une possible « rééducation », en réalité illusoire du fait de leur génétique défavorable, des assassins, violeurs, fanatiques dangereux, sociopathes etc. La peine de mort a pour but d’éliminer la pire des bêtes féroces : l’homme génétiquement programmé pour assouvir ses pulsions criminelles.

Il ne faut plus s’intéresser au débat stérile sur l’exemplarité de la peine de mort, ou au dogme antique, mais hautement périlleux pour la société, de l’irresponsabilité des « fous ». En période d’absurde expansion démographique, éliminer les grands criminels, c’est une mesure de salubrité publique, soit ce qu’en d’autres temps on eût dénommé une « mesure de Salut public ».

18:34 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aymeric Chauprade, député européen, claque la porte... l'hémorragie continue...

11:46 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |