vendredi, 22 janvier 2016
Les nouveaux barbus
Dr Bernard Plouvier
Il ne s’agit nullement, dans ce petit texte, de se moquer de quelle que façon que ce soit des gens qui, par conviction religieuse ou par statut, ornent leur visage d’un additif capillaire, somme toute naturel. Ainsi des popes orthodoxes, des imams, mollahs et autres ulémas, des Kurdes Yézidis ou de leurs ennemis islamistes… une fois pour toutes, l’on doit refuser de différentier le musulman de l’islamiste, puisque le Djihâd est ordonné à tout fidèle – muslim en arabe – en bonne santé par neuf sourates coraniques sur 114 (mais les sourates consacrées en partie au Djihad sont parmi les plus longues).
De même, il serait ignoble de sembler se moquer des pauvres femmes affublées d’un virilisme pilaire, de commande génétique ou par maladie acquise, ce qui fait d’elles des clientes obligées des instituts de beauté et des pharmaciens, ce qui est moins ridicule (mais nettement moins rentable) que leur ancienne exhibition en tant que phénomènes de foire ou de cirque.
On se contente d’ébaucher une réflexion d’ordre sociologique sur l’épidémie qui gagne une foule d’Occidentaux, devenus subitement réfractaires au rasage… abandonnant un acquis culturel gréco-romain antique, du moins pour les guerriers non spartiates. La pédiculose fut toujours une des nombreuses plaies des armées en campagne ou au cantonnement, d’où la rareté de la barbe dans les armées de terre… et les Perses étaient réputés tirer la barbe de leurs adversaires lors du corps à corps !
Sans vouloir se référer le moins du monde à la supercherie psychanalytique (c’est, avec le marxisme, l’une des rares idioties humaines mortes sous le poids de son ridicule intrinsèque), on peut évoquer les études fort bien faites de psychiatres et de psychologues des XIXe et XXe siècles consacrées au phénomène de compensation.
Quand j’étais jeune interne, un philosophe remarquable (et glabre) m’a dit, parlant de ses confrères barbus, qu’ils « cachaient leur médiocrité sous leur barbe ». Il serait stupide de généraliser l’application de cette boutade, mais à la réflexion on peut y trouver un (petit) fonds de vérité. Considérer la barbe comme un attribut de la sagesse est d’une remarquable absurdité, même si certains historiens (et surtout des historiennes, frustrées ou atteintes de ce virilisme pilaire évoqué plus haut) ont généralisé le cas des philosophes grecs antiques… dont on ne connaît rien de l’apparence physique : seule la tradition artistique des sculpteurs nous les révèle barbus, ce qui est d’autant plus stupide qu’à l’époque hellénistique et qu’en la Rome du 1er siècle avant JC jusqu’à la fin du IIe siècle après JC, il était de bon ton de se raser quotidiennement. Ce fut un Imperator homosexuel (Hadrien) qui remit la barbe à l’honneur !
Cet attribut pileux est-il autre chose que le désir d’affirmer sa virilité par un être quelque peu dubitatif sur son ego ? Quel homme digne de ce nom a besoin de faire savoir, urbi et orbi, qu’il en est « Un » et non « Une » ? Faut-il corréler le renouveau de popularité de la barbe, depuis les années 1995 sq., à la reprise de la vieille lubie d’Otto Weininger (un schizophrène homosexuel refoulé, suicidé en 1903 à l’âge de 23 ans et demi) : la théorie du genre librement choisi, par certains esthètes de l’autoanalyse ou de l’originalité comportementale, en contradiction du sexe déterminé par la génétique et clairement exprimé dès la naissance (sauf malheureux et rares cas d’ambiguïté) ?
À la grande époque des anarchistes terroristes de France (en gros de 1880 à 1912), on appelait « poilu », non pas le barbu ou le moustachu, mais celui qui avait autant de témérité que de poils… en un endroit caché. Et le terme fut tout naturellement employé pour désigner nos remarquables aïeux qui firent preuve de courage et d’abnégation de 1914 à 1918. Il est vrai que Joffre avait exigé de ses soldats, en septembre 1914, qu’ils se laissent pousser la moustache, considérée par lui comme « un attribut gaulois » (alors que les Germains antiques se laissaient bien plus pousser les poils que leurs cousins celtes). Après la mode de la barbe (ou de son timide succédané : l’individu mal rasé), va-t-on assister au renouveau de la moustache ?
Ce serait merveilleux si nos contemporains mâles en profitaient pour retrouver l’ardeur combative de leurs aïeux, face aux nouveaux envahisseurs. Dans ce cas, on leur permettrait – et avec joie – toutes les formes d’hirsutisme qu’ils voudraient.
18:31 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un regard catholique sur le rexisme : une conférence d'Alain Escada, Président de Civitas
Médias presse infos - Alain Escada cliquez ici
Imagine-t-on en 2016, qu’un meeting politique puisse être précédé d’une prière et d’une allocution d’une demi-heure donnée par un prêtre – un dominicain de surcroît ? Cela se passait en Belgique francophone, il y a 80 ans. Des meetings allant jusqu’à réunir plus de 30.000 personnes étaient organisés par REX, le parti catholique belge inspiré par l’encyclique Quas Primas de Pie XI. A partir de documents d’époque, cette passionnante conférence donnée par Alain Escada, Président de Civitas, à l’association Deus Vult le samedi 16 janvier 2016, vous fera découvrir une vérité historique très différente de la version officielle enseignée aujourd’hui.
NDLR SN : sur Léon Degrelle et le rexisme, avez-vous lu le n°1 des Cahiers d'Histoire du nationalisme cliquez ici et écouté le double CD Léon Degrelle raconte publié par Synthèse nationale cliquez là
13:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nantes. L’agression des « antifas » contre une cérémonie en hommage à Louis XVI a tourné court
Nantes (Breizh-info.com) – Ce jeudi soir 21 janvier, l’Action Française Etudiante de Nantes (royalistes) cliquez là ainsi que l’URBVM (Union Royaliste Bretagne-Vendée Militaire) cliquez ici organisaient – comme tous les ans – un hommage au roi Louis XVI. Un dépôt de gerbe était ainsi annoncé à 19h30 devant la statut du roi décapité par les partisans de la République et de la Révolution française. Une messe avait eu lieu au préalable, à 18h30 en l’église Saint-Clément.
Cette cérémonie d’hommage à Louis XVI était visiblement insupportable pour les « antifas ». Ces membres de l’extrême gauche radicale – dont certains ont été reconnus dans le casse du centre-ville de Nantes il y a un peu plus d’un an – appelaient ouvertement à venir perturber le rassemblement : « Les groupuscules royalistes Nantais habitués aux rassemblements homophobes et contre l’avortement se mobilisent cette fois pour honorer la mémoire de » leur roi » Louis XVI. Face à cette mobilisation d’un autre âge mais foncièrement réactionnaires l’Action Antifasciste Nantes et Nantes en Resistance appellent à une présence antifasciste, la rue n’est pas elles/eux, Louis XVI et tout les intégrismes ne seront jamais les bienvenus ! Fachos hors de nos villes ! » clamait le communiqué signé AAF Nantes (sic).
Répondant à cet appel, une trentaine d’individus ont voulu perturber, par la violence, la cérémonie de jeudi soir. Mal leur en a pris. De jeunes militants royalistes avaient en effet pris l’initiative d’assurer eux-mêmes la sécurité des familles attaquées simplement parce qu’elles entendaient respecter la mémoire du roi guillotiné. Après une violente charge et quelques coups, sous les yeux de la police qui avait laissé venir les militants « antifas » jusqu’au plus proche de la commémoration, les militants d’extrême-gauche ont pris courageusement la fuite avant de se retrouver encadrés sur une autre place par les autorités.
« Ils ont eu ce qu’ils sont venus chercher. Ils ne respectent même pas les morts, ce sont des marginaux » raconte une femme présente sur place. « Certaines années, ils avaient réussi à agresser des participants, car nous n’avions pas une telle sécurité. Ca fait plaisir de voir ces jeunes se mobiliser pour nous défendre, vu que la police a visiblement des consignes pour ne pas le faire»
La fin de la cérémonie, ainsi que le dîner qui s’en est suivi, se sont déroulés dans le calme.
10:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 21 janvier 2016
6 et 7 février : mobilisation contre l'islamisation
23:56 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'Aristoloche n°21
Lire l'Aristoloche cliquez ici
20:41 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Avez-vous lu le n°8 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au NSDAP ?
Sujet très controversé, l'histoire du Parti national socialiste des travailleurs allemands mérite qu'on s'y intéresse de plus près.
Remarquable machine révolutionnaire édifiée en très peu de temps par un groupe d’hommes déterminés parmi lesquels se distinguait un certain Adolf Hitler qui fera beaucoup parler de lui, le NSDAP profita indiscutablement du dramatique Traité de Versailles qui accablait l’Allemagne pour prendre le pouvoir en 1933.
S’en suivit une période faste au cours de laquelle les Allemands eurent le sentiment légitime d’avoir retrouvé leur dignité.
Mais très vite l’Europe sombra à nouveau dans une guerre effroyable dont elle ne s’est toujours pas vraiment remise. Le grand rêve national socialiste se terminait en tragédie
C'est le Dr Bernard Plouvier, auteur de nombreux livres et spécialiste reconnu de cette période étonnante et tragique que fut celle de l'Allemagne des années 30 et 40, qui a rédigé ce huitième volume des Cahiers d'Histoire du nationalisme.
Un document qui s'en tient aux faits et qui remet bien des choses à leur place.
220 pages, 20 €
Le commander en ligne cliquez ici
12:01 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Tags : avez-vous lu le | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Parlement européen : intervention de Marie-Christine Arnautu (FN) au sujet de la Syrie
11:13 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'Orient compliqué...
11:00 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Discrimination positive et Démocratie
En conséquence logique de la subversion soixante-huitarde et de la fin de l’État régi par le Droit napoléonien, de nobles âmes et de beaux esprits, après avoir solubilisé leur marxisme dans l’alcool et goûté à la nouvelle trinité : Haschisch-cocaïne-LSD (et succédanés), ont inventé toutes sortes de béquilles sociales pour les moins aptes de nos contemporains, dont le plus beau fleuron demeure sans conteste la « discrimination positive ».
L’on nous avait longuement bassiné avec la honteuse discrimination raciale et sexiste (celle des vilains Blancs et des vilains mâles envers les pauvres colorés et les pauvresses du sexe faible). On nous refit le coup, en inversant la polarité, et en ajoutant le couplet sur les « handicapés ». Cela devint une grande conquête sociale, patronnée par Dame Démocratie… qui, telle qu’elle est présentée de nos jours par nos merveilleux politiciens et les marchands de soupe populaire des media, est une donzelle guère moins recommandable et vertueuse que ses sœurs Liberté, Égalité, Fraternité ou Historia.
Dans certaines Universités des USA – il aura fallu une dure campagne électorale entre Démagogues et Républicains pour qu’on l’apprenne dans notre beau pays où la sous-information sur certains sujets est une règle d’or -, 25% des étudiants sont admis non par ordre de mérite, mais en raison de leur race ou de leur couleur de peau… Liberty for all s’est mué en Black and Latinos are beautiful.
En France, dès l’Ancien Régime, existaient des bourses d’études pour les « pauvres méritants » (Napoléon Bonaparte en avait bénéficié) et l’Église catholique a toujours assuré l’enseignement quasi-gratuit pour ses ouailles douées les moins riches. Chacun concourrait ensuite selon ses mérites, sa force de caractère et ses aptitudes aux relations humaines. C’était avant la basse démagogie des champions de la promotion des médiocres et des sous-doués.
Or les profonds penseurs cités plus haut, qui sévissent plus que jamais de nos jours, semblent avoir oublié – s’ils les ont jamais sus – les fondements de la Démocratie, la vraie, pas celle des pitres. Ils sont au nombre de deux sur ce point particulier. La Loi doit être égale pour tous les citoyens (riches et pauvres, dominants et dominés, élus et administrés). Toute fonction, toute admission à un poste financé par l’État – gestionnaire du Bien Commun – doit se faire en fonction des mérites du candidat et non par piston (racial, religieux, maçonnique), nullement par l’effet du népotisme ou d’un léchage de bottes (voire plus si affinités), encore moins par une « promotion canapé ».
Si l’on s’en tient à la stricte définition de la Démocratie, soit un gouvernement favorable aux intérêts de la majorité des honnêtes citoyens – ce qui n’a rien à voir avec le type de régime politique, n’en déplaise aux sectaires –, une discrimination (si l’on préfère un choix biaisé par l’effet d’un quelconque favoritisme) est absolument, totalement, irrémédiablement un non-sens. La discrimination, quel que soit le signe arithmétique qu’on lui attribue, est le triomphe de l’arbitraire.
Les contribuables et les épargnants qui alimentent le budget de l’État, ceux qui créent, entretiennent et accroissent le Bien Commun, ont un devoir : celui de protester contre des lois iniques, contraires à toute éthique, quelle que puisse être la motivation pseudo-humanitaire affirmée par les clowns qui les proposent et par les démagogues qui les votent. Démocratie sous-entend : méritocratie… et non merdocratie !
En cas de persistance dans l’erreur, en cas de dénis répétés de Démocratie, la seule démarche citoyenne qui s’impose est de s’insurger contre un Pouvoir abusif, contre des tyrans qui n’ont ni sens moral ni dignité dans l’exercice de leurs fonctions électives.
10:20 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
10:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 20 janvier 2016
Des viols racistes et de la télégonie
Dr Bernard Plouvier
La presse anticonformiste retentit de clameurs justement indignées à propos de l’épidémie de viols de la Saint-Sylvestre, Outre-Rhin. À Cologne, plus de 500 femmes ont été sexuellement agressées, battues (et parfois très violemment), enfin (qui en eût douté ?) volées, comme plusieurs dizaines d’Allemandes à Hambourg, et bien d’autres à Stuttgart. Dans tous les cas, les plaignantes accusent des agresseurs « de type arabe » (terme vague, on le reconnaît volontiers, mais qui exclut toute ambiguïté : il ne s’agissait pas de bambocheurs nordiques). Comble de l’ignominie, ces honorables « réfugiés-immigrés » ont procédé par bandes, d’une quinzaine d’individus à Stuttgart, d’une trentaine aux alentours de la gare de Cologne… et là, il n’existe plus le moindre doute : il n’est pas dans les usages des Européens de souche de s’en prendre à plusieurs à une femme isolée.
En dehors du caractère épidémique ponctuel de la chose, ces viols ne sont en rien une nouveauté. En France, on les déplore depuis le début des années 1980. Il en va de même en Scandinavie, en Belgique et en Grande-Bretagne. Les accusés sont en majorité (en quasi-totalité à Oslo) des immigrés africains, noirs, antillais et maghrébins, ou proche-orientaux, agissant autrefois en bandes séparées… moins différentiées de nos jours où l’islam a jeté un pont entre noirs et musulmans d’autres origines.
L’Allemagne, où l’on a accueilli 1,1 million d’immigrants-réfugiés politiques en 2015 (selon les statistiques du BAMF, le bureau fédéral des migrants et des réfugiés), connaît une flambée de viols depuis plus d’un semestre, touchant femmes et jeunes filles, mais aussi adolescents et jeunes mâles, avec des âges extrêmes de 13 et 55 ans, du moins officiellement, car les services de la police allemande, même s’ils sont plus coopératifs que les nôtres, ont tendance à minimiser les faits, sur ordre de la Chancelière… et, tout récemment, les chefs des polices suédoises ont intimé à leurs hommes l’ordre de ne plus signaler l’origine raciale des agresseurs sexuels pour ne « pas les stigmatiser » !
La recommandation des hauts-fonctionnaires suédois est d’une exceptionnelle stupidité, en plus d’être totalement opposée à la très démocratique honnêteté dans l’information des citoyens-contribuables. Car, désormais, le public, qui est moins sot qu’on ne le pense et a tendance à braver les interdits absurdes, fera automatiquement (et parfois abusivement) la liaison entre « violeur » et « immigré d’origine extra-européenne », comme, en France, l’on fait, depuis les années 1980 lorsque les media évoquent des actes odieux et des émeutes, l’amalgame automatique entre « jeunes » et « rejetons pourris de l’immigration ».
En notre pays et depuis les années 1980, dans les milieux immigrés honorables, on parle de ces violeurs - qui aggravent souvent leurs actes par des brûlures de cigarettes incandescentes ou des vols – comme de « requins vicieux ». Or les choses sont souvent plus complexes que la seule perversion sexuelle, qui se rencontre – on le reconnaît volontiers - dans toutes les races et tous les milieux sociaux.
Lorsque l’on a fréquenté la sous-littérature raciste africano-arabe, et les textes orduriers de certains rappeurs, l’on comprend que ces « intellectuels » de haute volée ont réactualisé une vieille théorie, aussi absurde que célèbre… c’est presque une constante de l’humanité : plus une thèse est idiote, plus elle fait florès.
En l’occurrence, il s’agit de la docte stupidité d’un universitaire français, qui avait ressuscité la vieille hypothèse lamarckienne de l’hérédité des caractères acquis, l’appliquant à la conception des enfants : Alfred Giard (1846-1908) et sa Télégonie. Si cet universitaire avait eu quelques connaissances historiques, il aurait pu rappeler à ses lecteurs que, dans la Rome archaïque dominée par les rois étrusques, l’enfant né d’une mère violée des années auparavant (donc non issu de ce viol) était réputé « spurcus », soit souillé. En outre, depuis des siècles, des éleveurs de bestiaux propageaient les mêmes âneries, qui pour vanter l’excellence de son taureau de compétition, qui pour prôner son étalon… dont les prestations étaient hautement tarifées. Quelques littérateurs vicieux y étaient même allés de leur comparaison entre les reproducteurs humains et ceux d’un monde animal de haute fantaisie.
Giard était à la fois un politicien radical-socialiste et un enseignant à l’École de médecine et à la faculté des sciences de Lille, demeuré célèbre comme spécialiste de la flore océanique, ce qui lui valut une élection à l’Académie des sciences. En 1904, dans son livre délirant, intitulé Controverses transformistes, il affirmait que le premier homme à féconder une femme la marquait de façon indélébile et que tous les enfants qu’elle aurait par la suite, même issus de géniteurs différents, porteraient la « marque » de ce premier agent fécondant. Cette thèse fut très célèbre au Japon, dans les pays danubiens et en Allemagne, où le livre Péché contre le sang, d’Arthur Dinter, paru en 1917, fut un best-seller jusqu’en 1945.
C’est en se fondant sur la télégonie que furent édictées les lois nazies condamnant à l’internement en camp de concentration (à mort, durant la guerre) des Slaves et des Juifs pour avoir « souillé à vie une Allemande » en ayant une relation sexuelle avec elle. C’est au nom de la télégonie que les racistes encouragèrent les viols de Chinoises par des Japonais, des viols de femmes bosniaques ou serbes par des Croates (et réciproquement), durant la Seconde Guerre mondiale.
Depuis 1945, la télégonie est toujours diffusée en terres d’islam et, comme le chantent certains rappeurs : « Bourrer un petit cul blanc », c’est propager la nouvelle race supérieure, d’origine africaine, destinée à « remplacer la race des faces de craie », en France, « cette putain », comme partout ailleurs en terres d’immigration-invasion. Il importe tout particulièrement, pour un violeur africain ou proche-oriental, « d’arriver le premier », pour « marquer à vie une meuf à cul blanc ».
Comme l’on voit, le niveau intellectuel de ces « penseurs » est exceptionnellement élevé, mais il ne faudrait pas oublier que la caution pseudo-scientifique de ce délire raciste est estampillée d’origine universitaire… et française ! C’est une autre conception du « Vivre ensemble ».
L’unique moyen de lutter contre ces viols racistes à finalité de procréation est de soumettre chaque violeur capturé à la castration. Celle-ci n’empêche nullement la récidive des viols (car persistent des androgènes surrénaliens qui permettent une érection, plus ou moins stable, et le castrat trouvera toujours une belle âme pour lui fournir de la testostérone de synthèse), mais l’honorable violeur ne pourra plus procréer. Être contraints de vivre ensemble, ce n’est en aucun cas tout permettre aux immigrants-envahisseurs.
Au cas où certains lecteurs souhaiteraient approfondir le sujet, on peut signaler :
- de Fersan : Le racisme anti-français, L’Æncre, 1997
- Giard : Controverses transformistes, Naud, 1904
- Plouvier : Les Juifs dans le Reich hitlérien, volume 1, Dualpha, 2015
- Rostand : Science fausse et fausses sciences, Gallimard, 1958
14:35 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les deux rendez-vous littéraires de la fin janvier à Paris
Vous pouvez aussi acheter ces livre en ligne en cliquant ici
ou les commander par ce site cliquaz là
14:34 Publié dans Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La mèche est allumée !
Editorial dans la n°66
de Terre et peuple magazine
Les hommes du Système ont eu chaud aux fesses. Gauche et droite ont révélé, de façon particulièrement spectaculaire en Nord-Pas de Calais-Picardie et en PACA, leur connivence profonde, avec le seul souci de sauver leurs prébendes (c’est ce qu’ils appellent « sauver la République »…).
Leur victoire est une victoire à la Pyrrhus : le quotidien La Provence (14 décembre) est obligé, la mort dans l’âme, de reconnaître que « le paysage politique ressemble bien à un champ de ruines ». Mais nous, nous sommes les hommes au milieu des ruines…
Les chiffres sont là : le Front National, en rassemblant 6,82 millions de voix, passe de 118 à 358 conseillers régionaux. Et, quand on regarde de près les résultats, on voit se dessiner des réalités de terrain. Ainsi, dans le département des Alpes de Haute-Provence, Marion Le Pen est en tête dans 54 communes. Cela signifie que le secret des futures réussites est dans l’ancrage territorial, local. Avec la perspective de prendre des mairies et de tisser des réseaux efficaces.
Mais le plus important n’est sans doute pas là. Il est dans les perspectives qui s’ouvrent pour ceux qui, comme nous, considèrent les enjeux électoraux comme de simples leviers destinés à contribuer – mais seulement à contribuer – à faire s’écrouler le Système. Cet écroulement deviendra possible quand, dans les têtes, aura progressé la mentalité révolutionnaire (on ne discute pas avec le Système, on le détruit).
L’essentiel est la conquête culturelle des esprits, qui prépare, comme l’enseigne Gramsci, la conquête politique. De ce point de vue là, nous sommes sur la bonne voie et les moins stupides des gens d’en face le savent fort bien (c’est même ce qui les inquiète le plus). A nous d’enfoncer le clou.
En clair, le sentiment de frustration né de la déception d’une victoire volée doit déboucher, chez les électeurs du FN, sur une prise de conscience allant dans le sens d’une radicalisation, totale et irrémédiable. Radicalisation des convictions, radicalisation des projets. Qui permette d’en finir, enfin, avec l’illusion que la droite peut sauver quoi que ce soit dans le naufrage d’une société que nous sommes en train de vivre.T&P Marion Le Pen, cette frêle jeune femme qui a révélé qu’elle était en acier trempé, a bien résumé la situation en déclarant : « Ils ont gagné une élection mais ils ont perdu leur âme (…) Il y a des victoires qui font honte au vainqueur (…) Ces régions que la gauche a fait gagner à la droite est un cadeau empoisonné (..) S’ils pensent nous effrayer, nous décourager, ils se trompent… Nous allons redoubler d’efforts et de combativité ».
Alors que le chômage, la misère, l’insécurité, l’immigration-invasion vont continuer, immanquablement, à répandre toujours plus leurs ravages, il n’est plus temps de faire la fine bouche sur l’impératif de l’engagement car il existe, clairement, désormais en France, deux camps et seulement deux : les agents (et les victimes consentantes, bêlantes) du Système et les Patriotes. Quand l’ennemi est là, dans nos murs, nous ne sommes pas du genre à couper les cheveux en quatre et à discuter du sexe des anges.
C’est pourquoi nous marchons au son du canon.
10:24 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 6 février, à Montpellier, manifestation contre l'islamisation
Plus d'informations cliquez ici
10:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Avez-vous pensé à vous abonner à la revue Synthèse nationale ?
Synthèse nationale n°41 :
- Editorial de Roland Hélie
- Dossier Attentats : Arnaud Raffard de Brienne, Dr Bernard Plouvier, Philippe Randa
- Pour un Front des Patriotes, Pierre Vial
- Un entretien avec Pierre Cassen, Président de Riposte laïque
- Patriotisme français ou Europe aux cent drapeaux, Emmanuel Leroy
- Un entretien avec Les Brigandes, Thierry Bouzard
- Le monde agricole victime de l'ultra libéralisme imposé par Bruxelles
- Les pages du Marquis, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
- Les articles de Pieter Kerstens, Patrick Parment, Charles-Henri d'Elloy, Francis Bergeron
- Les livres passés au crible par Georges Feltin-Tracol
- Témoignage de Roger Holeindre
124 pages, 12 €
Bulletin de commande et d'abonnement cliquez ici
Le commander en ligne cliquez ici
S'abonner en ligne à Synthèse nationale cliquez là
10:00 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 19 janvier 2016
Les « Sages » de la Cour des Comptes et les économies nécessaires
Dr Bernard Plouvier
La Cour des comptes de la République (elle existait déjà sous l’Ancien Régime, sous la forme d’une Chambre, dont les avis n’étaient guère plus suivis que ceux des membres de l’actuelle Cour par nos merveilleux politiciens) émet ponctuellement chaque année une très copieuse brochure, aussitôt épluchée par les journalistes économiques et politiques. La dénonciation des scandaleuses dépenses abusives et d’une manière générale de la gabegie dans la gestion de la chose publique font la joie et les délices des plumitifs satiriques.
En ce début d’année 2016, les « Sages » (c’est le surnom qu’on leur donne, probablement pour les dédommager de leur rage de ne jamais voir suivies d’effet leurs propositions) ont accouché d’une grande idée : il faut faire des économies sur le Budget de l’État et celui des caisses sociales ! Un esprit taquin pourrait rappeler que les « économies » sont l’un des plus beaux Leitmotive de la vie publique française depuis le XVIIIe siècle. Après tout, c’est au nom des économies nécessaires, de l’indispensable péréquation fiscale entre les différents Ordres de la société et de l’exigence de la Nation de voter le montant et la répartition de l’impôt, que l’on a lancé le mouvement de 1788 qui a dégénéré, comme chacun sait, l’été de 1789.
En cette glaciale mi-janvier – pour cause de « réchauffement climatique » -, nos « Sages » ont frappé très fort : s’il est une économie « urgemment urgente » à réaliser en France, c’est celle des allocations-chômage ! Effectivement, la dette de l’Unedic (ex-Assedic) dépasse les 27 milliards d’euros (avec une prévision d’environ 29, 4 milliards pour la fin de l’année… alors que nos prodiges Hollande & Valls ont promis une baisse spectaculaire du chômage pour cette année : messieurs les « sages », vous êtes de dangereux agents de subversion pré-électorale).
Or, n’y aurait-il pas, ô « Sages » et moins sages théoriciens et praticiens de l’organisation de la vie sociale, des économies plus urgentes et plus déontologiques, en un mot mieux orientées vers la nécessaire éthique dans la gestion du Bien commun et de la solidarité ?
1 – Le budget de fonctionnement de la très efficace direction de notre merveilleux État (Présidence de la République & ministères) coûte très exactement 3 fois plus que celui de l’État allemand voisin. Or la France est peuplée d’environ (car on ne sait plus très bien à quel niveau se monte l’immigration clandestine) 67 à 68 millions d’habitants et l’Allemagne était peuplée de 81,2 millions au début de l’année 2015 (soit, de nos jours, environ 82,3 millions, par l’afflux d’1,1 million d’immigrés-réfugiés, dont chacun a pu constater le comportement civique exemplaire). Un budget de fonctionnement du haut état-major civil français trois fois supérieur, pour une population inférieure de 22% : c’est sûr, on pourrait grignoter un peu, voire beaucoup, sur les dépenses de nos excellences et de leurs pléthoriques cabinets de conseillers et chargés de mission.
2 – Nos roitelets de la Chambre et du Sénat dépassent largement le chiffre de 900 individus (927 selon les sources officielles), alors qu’aux USA (peuplés 300 millions d’habitants, là aussi en évitant de trop se pencher sur l’immigration illégale), les Sénateurs et Représentants nationaux sont moins de 600 (535 selon les statistiques officielles)… et l’on ne compte même pas les sinécures régionales des merveilleux féodaux de notre République. En outre, nos élus touchent encore des indemnités s’ils ont été blackboulés après deux législatures ; enfin leurs retraites sont plus que généreuses. Là aussi, de substantielles économies pourraient être réalisées.
3 – L’on pourrait également rogner quelque peu, voire éliminer totalement (puisqu’aussi bien leurs salaires ne sont pas précisément des aumônes), les frais de représentation, de logement, de déplacement etc. de nos élus, de leurs innombrables collaborateurs et des hauts-fonctionnaires ? Pour une directrice de l’INA mouchée, combien pourrait-on épingler d’excellences, de barons et de petits princes « indélicats » dans le maniement des fonds publics de fonctionnement… et l’on n’évoque même pas le cas des excellences qui usent du Mobilier national comme d’une brocante à usage personnel. Il est effectivement plus simple de s’en prendre aux chômeurs.
4 – Sur cette dernière catégorie de (pauvres) personnes, il existe certes des économies à réaliser… et de cette même façon « urgemment urgente » que pour nos élus dorés. Comment se fait-il qu’il existe en France une allocation pour les immigrés clandestins en plus de l’entière gratuité des soins en cas de maladie ? Par définition, un clandestin n’existe pas pour l’état-civil… sauf dans notre beau pays !
Idem, nous offrons généreusement une retraite aux immigrés âgés qui n’ont jamais travaillé dans notre pays, donc jamais cotisé à une caisse de retraite française. Les allocations-chômage sont octroyées à tout immigré sans travail, qui est en outre dispensé de payer, par de très généreux et très nombreux mécanismes d’allocations et de couverture sociale, quoi que ce soit pour les soins, la fourniture d’eau, de gaz, d’électricité, voire de loyer… le tout sans jamais avoir cotisé à une caisse sociale française.
Nos brillants théoriciens et praticiens de la Chose publique pourraient en revenir aux « Fondamentaux » : les caisses sociales ont été conçues sur le principe de la mutualité. De ce fait, seuls ceux qui ont alimenté ces caisses par le produit de leur travail ont droit aux allocations tirées de ces caisses. On peut étendre ce bénéfice aux descendants des travailleurs, mais il est totalement illogique, inéquitable, voire absurde d’en faire profiter d’authentiques parasites.
De fait, lorsqu’un pays compte plus de 5 millions de chômeurs, soit environ 12% de sa population en âge de travailler, on ne voit pas trop l’intérêt d’importer de nouveaux chômeurs, ni même des travailleurs immigrés (qui prennent le travail des autochtones). Leur entrée dans le pays ne représente d’intérêt que pour l’accroissement de la consommation intérieure. On sait bien que, même si cette consommation est en partie parasitaire, tout bénéfice est bon à prendre pour la grande, la moyenne et la petite distributions. N’en déplaise à ces vendeurs, le retour à leur continent d’origine est la solution la plus économique pour notre pays et surtout pour notre Nation.
5 – Enfin, s’il est des économies substantielles à réaliser, c’est également dans le surcoût en matières d’assurances, pour rembourser les dégâts, perpétrés par les sauvageons de l’immigration extra-européenne de façon quotidienne et surtout lors de leurs fiestas et leurs émeutes raciales, ainsi que les assurances-vie des victimes des fous d’Allah. L’on pourrait aussi réaliser des économies du côté des forces du maintien de l’ordre, de l’organisation judiciaire et des prisons. Renvoyer dans leur continent d’origine tous les criminels issus de l’immigration extra-européenne (ipso facto dénaturalisés) et tous les délinquants, quel que soit leur âge, dès la première récidive (qui doit entraîner automatiquement la perte de la nationalité française), est une mesure à la fois économique et juste.
Il est temps de ramener nos « maîtres » à une plus saine conception de la gestion du Bien commun, notamment dans ses coûts de fonctionnement. En outre, il serait bon de ne plus confondre la solidarité avec l’assistanat, notamment vis-à-vis d’une immigration extra-européenne de plus en plus mal tolérée par la Nation autochtone, en raison de l’inconduite des fruits pourris de cette immigration, qu’il s’agisse de voyous, de trafiquants, de violeurs ou de djihadistes.
C’est sûr, il faut faire d’importantes économies, mais il en est de plus urgentes à réaliser que d’autres et selon le principe fondamental de la préférence nationale, une valeur trop oubliée de nos jours.
19:02 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Carl Lang en Bretagne samedi prochain
12:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : 6 et 7 février prochains, une mobilisation européenne contre l'islamisation...
Toutes les infos sur le site de Riposte laïque cliquez ici
09:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 29 novembre dernier, l'intervention de Roland Hélie à la Table-ronde de Terre et peuple à Rungis
09:08 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie du nouveau numéro d'Eléments (n°158)
Au sommaire du N°158 d'Eléments
• L'entretien : Jacques Sapir interpelle Jean-Luc Mélenchon
• Pierre Manent : « La France au défi de l’islam »
• Jean Clair, de l'Académie française : « L'art contemporain, une extraordinaire invention financière »
• Édouard Limonov : retrouvailles avec le vieux pirate
• Le retour de la puissance russe
• François Hollande s’en va-t-en guerre
• État d’urgence : la revanche de Carl Schmitt
• Magazines féminins : pourquoi prennent-ils les femmes pour des connes ?
• Philosophie : une œuvre d’art a-t-elle toujours un sens ?
• La théologie de la provocation de Gérard Conio,
• Littérature de l’imaginaire : Serge Brussolo, etc.
Dossier : l'avenir n'est écrit nulle part
• Démondialisation : la fin de « la fin de l’histoire »
• Les grandes migrations ne détruisent que les cités mortes
• Démographie : la bombe P n’est pas désamorcée
• Le sombre avenir californien de l’Europe
6;90 €, chez votre marchand de journaux
09:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro de Terre et peuple magazine
En savoir plus cliquez ici
02:34 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
TV Libertés prend la défense des artisans
Vous êtes artisans, vous souhaitez participer à cette émission, contactez Pierre Chabot : kavmono@gmail.com
01:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 18 janvier 2016
Vendredi 29 janvier : Thomas Joly à Caen
20:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
UN NAUFRAGE INQUIETANT
Pendant que la classe politique et les médias s’éternisent sur le bien-fondé ou non de la déchéance de nationalité, mesure symbolique dont se moquent les naturalisés, qu’ils nous enfument avec les pleurnicheries et les commémorations diverses, ou qu’ils tentent de camoufler les centaines de plaintes (643) pour harcèlements sexuels à Cologne le soir du Nouvel An, mais aussi à Brême, Stuttgart, Brême, Stockholm ou Vienne, eh bien pendant ce temps, la Crise continue !
Parce que, contrairement à ce que prétendaient nos gouvernements il y a maintenant 18 mois, les exportations ne se sont pas envolées, grâce à un euro qui a perdu 25% de sa valeur depuis mai 2014 par rapport au dollar, grâce à une inflation à moins de 1%, malgré des taux d’intérêt au plus bas (Euribor à 0,8% sur 1 an) et un baril de pétrole en moyenne à 52 $ pour 2015 (contre 99 $ en 2014 et 109 $ en 2013).
Selon les analystes, les experts et les instances européennes, ces quatre facteurs auraient dû faire tourner nos usines à plein régime, ce qui est loin d’être la réalité.
Le chômage ne diminue pas, la confiance des ménages n’est pas au rendez-vous et par conséquent, la consommation reste atone et l’économie patine. Quant aux investisseurs étrangers, on attend toujours…
Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir
Ancrés dans leurs certitudes, les pourriticards s’obstinent à nier l’évidence : l’économie réelle ne repartira qu’à l’aide de mesures structurelles drastiques, mais impopulaires. La confiance des populations ne se décrète pas, elle se mérite par l’efficacité, la compétence et le bon-sens, et non pas en inondant le marché financier de centaines de milliards d’euros prêtés aux banques à des taux ZERO, comme le fait la BCE depuis mars 2015, à raison de 60 milliards par mois et ce jusque fin 2017. Les exemples japonais (en crise depuis plus de 25 ans) et américain (la FED a injecté plus de 3.600 milliards de dollars depuis 2009 dans le circuit bancaire) montrent à suffisance que c’est bien l’économie réelle qu’il faut soutenir et non pas, comme l’ont fait les USA et le Japon, les banksters qui profitent de cette manne financière pour spéculer sur le marché des actions et des dérivés, afin de pouvoir augmenter leurs résultats à bon compte.
Les frets maritimes coulent à pic
Indice phare du marché des transports maritimes, le Baltic Dry Index (BDI) fournit une estimation moyenne des tarifs pratiqués sur 20 routes océaniques pour le transport en vrac de matières sèches (charbon, céréales, minerais, métaux, etc.)
Créé en 1985, le BDI est un indicateur qui a la réputation d’être fiable, parce qu’il est basé sur des contrats de livraisons à long terme, entre partenaires commerciaux expérimentés.
Contrairement au FMI qui, en février 2015 prévoyait une hausse du commerce mondial de 3,8% en 2015 et de 5,3% pour 2016 (merci Mme Lagarde), le BDI et les index similaires Capesize, BPI ou BDTI, qui permettent de juger des estimations de prix pour l’affrètement à long terme d’autres catégories de navires, laissaient déjà entrevoir un net ralentissement des flux maritimes, hors pétroliers, et donc aussi un frein aux échanges mondiaux.
Alors que l’indice BDI caracolait au-delà des 10.000 points en 2008 et grimpait vers les 12.000 points en juin 2009, il chutait dans une fourchette de 3000/4000 points entre 2010 et 2012.
Le 2 février 2015, il se retrouve à 632 points, ce qui augurait une année 2015 très morose pour le vrac maritime. Mais loin de se reprendre, sa chute s’accentue et de 522 points le 11 décembre 2015, il se retrouve à 369 points le 18 janvier 2016, soit une baisse de 29% en 5 semaines !
Jamais dans l’histoire de l’économie mondiale, on n’a vu une telle surabondance d’extraction de minerais, de vraquiers, d’aciéries, d’usine d’aluminium et ainsi de suite, destinés à des consommateurs absents… Cela retombe sur les marchés financiers, car les cotations boursières des grandes compagnies maritimes spécialisées dans le vrac ont chuté de 75% en 2015 et rien ne dit qu’ils sont « dans le creux de la vague » !
Et vous, vous croyez encore que la Crise est derrière nous ?
19:51 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les symboles de cette France d’en haut
La chronique de Philippe Randa
Présidente de l’INA, Agnès Saal vient d’être exclue de la fonction publique pour deux années après avoir provoqué un scandale avec des notes de taxi d’un montant prohibitif : 40 000 euros… pour elle et l’un de ses enfants à qui elle avait donné le code de l’abonnement mis « sans définition précise ni cadrage préalable des conditions dans lesquelles (elle pouvait) l’utiliser », selon ses propres révélations au quotidien Le Monde.
La dame a beau assurer qu’elle « regrette à un point infini » sa « faute » – ça, on veut bien croire, mais on peut aussi légitimement se demander si elle ne regrette pas surtout de s’être fait « choper », bien davantage que l’indélicatesse à laquelle elle s’est livrée –, sa défense est édifiante : au-delà de son mea culpa, elle explique que « l’affaire est tombée à un très mauvais moment, où il était assez opportun de pouvoir pointer du doigt un haut fonctionnaire coupable de dérives » et de comparer son cas à celui de deux autres « victimes » de dépenses indignes : Thierry Lepaon, ex-secrétaire général de la CGT et Mathieu Gallet, son prédécesseur à l’INA…
Et la pauvre de se plaindre, in fine, d’être devenue « un dérivatif, un symbole, l’incarnation d’une trahison des élites »… Terme particulièrement mal-choisi : les Lepaon, Gallet et Saal sont simplement représentatifs de cette « France d’en haut » qui, chaque jour, soulève le cœur des contribuables…
19:45 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La nécessaire défense du Bien commun
Dr Bernard Plouvier
Les grands théoriciens de la vie publique se sont tous accordés (c’est si rare, concernant un sujet théorique !) sur les fondements de la vie en commun, soit ce qui amena le regroupement initial des tribus, autrefois errantes, en cités. Platon et Aristote, les sieurs Ambroise de Milan et Augustin d’Hippone, Thomas Hobbes, à plus de deux millénaires de distance, ont reconnu que la nécessité de se protéger, d’organiser la vie économique et sociale, d’assurer l’enseignement de la jeunesse et un règlement policé des différends, justifiaient amplement les restrictions à la liberté individuelle imposées par la vie en communauté (de la Cité-État au grand État moderne).
Si Aristote a écrit : « L’homme est un animal politique », cela ne voulait nullement dire qu’il assimilait tout homme de bon sens à un politicien – l’antique penseur ne délirait pas à ce point -, mais simplement que l’homme ne prenait pleinement possession de toutes ses facultés qu’en milieu urbain, étant moins soumis aux risques naturels et aux prédateurs (dont l’humain est le pire), et pouvait y exercer au mieux ses capacités personnelles… politique provenant du mot grec Polis, qui signifie cité ou ville.
La défense du Bien commun, c’est, vis-à-vis de l’étranger, pouvoir compter sur une armée, des douanes et une police des frontières vigilantes et puissantes. Depuis qu’ont été conclus les divers traités européens, les frontières sont refoulées aux limites externes de l’Union Européenne (et notre littoral méditerranéen et océanique forme notre part de frontières européennes, comme celle qui existe avec la Suisse, puisque cet État a très sagement défendu son indépendance). Or nos « frontières », médiates et immédiates, sont des passoires.
Pour complaire aux dirigeants des États islamo-pétroliers et des USA, qui ont tous une énorme part de responsabilité dans le chamboulement des pays actuellement ingouvernables : Libye et Tunisie, Irak et Syrie – et leur appendice maudit : l’État Islamique et son calife -, Afghanistan (et il serait sot d’oublier les gouvernements fragiles d’Égypte et des deux Soudans, de Turquie et du Pakistan, du Maroc et de l’Algérie, de l’Arabie saoudite et de Jordanie ou ceux du Sahel et de la corne de l’Afrique), nos gouvernants ont accepté – sans demander l’avis du peuple souverain – d’accueillir des « réfugiés » qui sont en très grande partie de jeunes mâles vigoureux, dont le voyage a été payé par des bienfaiteurs islamo-pétroliers, et dont le comportement est objectivement celui de conquérants. Seul un dément, un aveugle ou un sourd peuvent rester indifférents à l’invasion ainsi réalisée de notre Europe occidentale par une avant-garde fort active… à moins, bien sûr, d’avoir, pour fermer les yeux et les oreilles, un intérêt personnel ou partisan – avantages en nature ou arrière-pensée d’un renouvellement de l’électorat pour mieux conserver les sinécures dorées de la République.
Parallèlement, l’opération aéronavale déclenchée il y a deux mois en Méditerranée orientale par notre grandiose Président a surtout servi à ridiculiser notre armée, qui s’est avérée totalement dépourvue de réserves en munitions. Qu’il s’agisse de la police frontalière ou de l’armée, l’on peut difficilement soutenir qu’en France, de nos jours, le Bien commun soit protégé des agressions extérieures.
Reste le problème quotidien de la protection intérieure de notre Bien commun et des biens individuels, à commencer par le premier d’entre eux : la vie des honnêtes citoyens, celle de leurs enfants et de leurs vieux parents. Là encore, le bilan est accablant.
La finalité de la Justice – que, certes, l’on n’aura pas la naïveté de confondre avec l’équité – est de rendre son dû à chacun. En principe, le malfaisant (délinquant ou criminel) doit être puni et mis dans l’impossibilité de récidiver, c’est-à-dire de nuire de nouveau à d’honnêtes citoyens, dont le travail génère les impôts qui servent à conserver et accroître le Bien commun… on aurait presque honte de rappeler ces banalités si nos merveilleux élus – députés, sénateurs, ministres et Président – ne prenaient un malin plaisir à bafouer quotidiennement ces principes fondamentaux, tant par leur attitude et leurs discours irresponsables, que par leurs lois et décrets parfaitement iniques.
Au XXIe siècle, dans la République française, qui tourne de plus en plus à la Ripoublique, la propriété privée n’est plus un sanctuaire inviolable : l’honnête citoyen n’a plus le droit de défendre, par tous les moyens, ses biens ni même son intégrité physique et celle de ses proches. Pire encore, le principe de la légitime défense, reconnu de toute antiquité et par toutes les civilisations, est quasiment aboli, sauf – et pas toujours – pour les membres des forces de l’ordre. En clair, l’honnête citoyen n’a plus les moyens de se protéger de la canaille et de la crapule, en attendant une éventuelle intervention de la police ou de la gendarmerie, dont l’efficacité laisse parfois (et cet adverbe réalise un délicat euphémisme) à désirer.
Quant à la « Justice », il est rare qu’elle soit rendue, de nos jours, par un être intègre et impartial, se souciant davantage du Bien commun que de son profil de carrière et des réactions partisanes de la Chancellerie.
Dans un État de Droit, régi par la notion d’Éthique et le sens de l’honneur, les choses ne se passeraient nullement comme elles sont depuis le début des années 1980. Dans un pays régi par l’Éthique, la crapule qui a volontairement pris une vie par simple joie de nuire, par l’effet d’une brutalité de bête sauvage ou sous l’emprise de la haine politique, raciale ou religieuse, doit être exécutée : c’est équitable, en plus de prévenir tout risque de récidive. Qui viole doit être castré et amputé du 5e membre dont il a fait un usage ignoble : c’est juste et cela empêche la crapule de récidiver. Qui vole, dégrade, incendie volontairement doit payer l’ensemble des dégâts en plus du pretium doloris : ce n’est que justice et cela force la canaille à réfléchir à ce qu’il en coûte de récidiver. Qui, entré dans le pays comme immigré, doit travailler pour s’intégrer au peuple d’accueil et doit être expulsé s’il n’est bon à rien ou s’il s’avère délinquant, dès la première récidive, a fortiori s’il est un criminel et ce immédiatement.
Dans un État régi par l’Éthique, les élus, et en tout premier lieu les ministres et le chef de l’État, doivent être strictement contrôlés quant à leur honnêteté et sur le bien-fondé de leurs décisions. Ils doivent être punis, d’autant plus sévèrement qu’ils ont occupé un poste plus important, s’ils se sont avérés malhonnêtes – ce qui doit les faire exclure à vie des droits civiques -, et publiquement dénoncés, en plus d’être déchus définitivement de la nationalité, en cas de décision pernicieuse à la Nation. Car s’il existe des crimes contre l’humanité, il existe aussi des crimes contre la Nation, comme celui de la laisser envahir, meurtrir, souiller par des Barbares issus d’autres continents, qui importent très inutilement un surplus de haine sociale, raciale et religieuse.
Et s’il était un jour prouvé que cette immigration-invasion ait été autorisée, voire encouragée, pour des raisons de complaisance politique ou, pire, d’intérêts personnels, alors ceux et celles qui auraient commis ce crime d’État devraient être exécutés et leur mémoire balayée à jamais, comme on le fait avec l’ordure et la saleté.
12:07 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine
08:40 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Souvenez-vous de Jan Palach
Jan Palach, né le 11 août 1948 et mort le 19 janvier 1969, est un étudiant en Histoire tchécoslovaque qui s'est immolé par le feu sur la place Venceslas à Prague le 16 janvier 1969. Par ce suicide public, Palach souhaitait protester contre l'indifférence de la population à l’invasion de son pays par les forces du Pacte de Varsovie en août 1968. Cette invasion avait mis fin brutalement au Printemps de Prague, et aux réformes d’Alexander Dubček dont l'objectif était l'humanisation du système socialiste tchèque ; l’intervention militaire de 1968, suivie par une soumission du Parti communiste tchécoslovaque aux ordres de l'URSS, allaient verrouiller durablement le champ politique de la Tchécoslovaquie communiste, qui entrait dans la phase dite de « normalisation ».
07:23 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3217 du 7 janvier 2016
LE GOUVERNEMENT hongrois a annoncé son intention d’annuler ses contrats avec Magyar Telekom, une filiale de Deutsche Telekom, après que la société allemande eut décidé de cesser de sponsoriser un chanteur pop hongrois. Il avait certes tenu des propos jugés sexistes par les bien-pensants. Akos Kovacs, la star du pop, avait déclaré dans une interview à la télévision que « les femmes n’ont pas pour tâche de gagner autant d’argent que les hommes » et qu’elles ont besoin « d’appartenir à quelqu’un et de porter l’enfant de quelqu’un ». Des propos scandaleux pour la compagnie de télécoms allemande dont la filiale hongroise avait des contrats de sponsoring avec le chanteur. De telles déclarations sont, selon elle, incompatibles avec les croyances et les valeurs de la société du groupe Deutsche Telekom. Oui mais il se trouve que les Hongrois sont attachés à la liberté d’expression, les propos tenus fussent-ils éventuellement contestables. Du coup, le porte-parole du gouvernement a annoncé que la Hongrie renonçait aux prestations de la filiale de Deutsche Telekom dont la réaction est « incompatible avec l’esprit et la lettre de la constitution hongroise qui garantit la liberté d’expression de tous les citoyens ». Heureux Hongrois !
LA PERCÉE D’UN PARTI MUSULMAN AUX ÉLECTIONS RÉGIONALES
L’information était passée inaperçue mais un microscopique parti musulman, l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) a réalisé une performance dans certaines zones de la banlieue parisienne aux régionales de décembre. Le parti n’avait imprimé que 200 000 bulletins de vote en Ile-de-France, qui compte 7 millions d’inscrits. Résultat : A Mantes-la-Jolie, dans le quartier du Val-Fourré — qui compte une importante communauté salafiste —, sa liste frôle les 15 % et grimpe même à près de 19 % dans certains bureaux. Pour l’ensemble de la ville de Mantes, ce vote communautaire atteint 5,9 % et l’UDMF y fait mieux que les Verts. Dans d’autres villes ouvrières des Yvelines ou de la Seine-Saint-Denis, le cap des 4 % est franchi, comme aux Mureaux, à Villetaneuse, à Stains, à Chanteloup-Ies-Vignes ou à Trappes. Nizarr Bourchada, tête de liste en Ile-de-France, explique que son mouvement « n’est pas un parti confessionnel ». La preuve, la profession de foi envoyée aux électeurs ne comporte guère de références religieuses évidentes. Les candidates se présentent sans voile sur la tête. Oui mais, admirez ce chef-d’œuvre de takkia, de double langage : au motif qu’il faut lutter contre le harcèlement sexuel dans les transports en commun, le parti propose de réserver une voiture pour les femmes dans chaque rame de métro, de RER ou de train et proclame que « l’islam est venu libérer la femme ». L’UDMF dénonce aussi la loi interdisant le port du voile intégral dans la rue. On s’y attendait, à cette fantaisie… Ce n’est pas fini. Comment sortir le pays de la crise économique ? Facile : il suffit de développer la finance islamique et l’industrie alimentaire halal. Et le tour est joué !
“DU TEMPS DE LA FRANCE, L’ALGÉRIE, C’ÉTAIT LE PARADIS”
« Du temps de la France, l’Algérie, c’était le paradis. Chasser les Pieds-Noirs, a été plus qu’un crime, une faute. » Qui a tenu ces propos ? Un nostalgique de l’Algérie française ? Pas du tout. Leur auteur est Hocine Ait Ahmed qui vient de décéder en Suisse, le 23 décembre, à l’âge de 89 ans. Il fut un des chefs historiques du FLN et du combat pour l’indépendance algérienne. Voici quelques-unes des déclarations de celui qui avait adhéré au PPA (Parti du peuple algérien), qui se rapprocha dans les années 1940 de l’Allemagne nationale-socialiste et dont nombre de cadres furent aussi membres du PPF de Jacques Doriot :
« Chasser les Pieds-Noirs, a été plus qu’un crime, une faute car notre chère patrie a perdu son identité sociale ».
Il ajoutait : « N’oublions pas que les religions, les cultures juives et chrétiennes se trouvaient en Afrique bien avant les arabo-musulmans, eux aussi colonisateurs, aujourd’hui hégémonistes. Avec les Pieds-Noirs et leur dynamisme — je dis bien les Pieds-Noirs et non les Français — l’Algérie serait aujourd’hui une grande puissance africaine méditerranéenne. Hélas ! Je reconnais que nous avons commis des erreurs politiques et stratégiques. Il y a eu envers les Pieds-Noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l’Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens ».
Hocine Ait Ahmed s’était opposé aux dérives totalitaires du FLN. 400 de ses militants furent assassinés au fil des années, après l’indépendance, par les sbires du FLN et lui-même fut condamné à mort par Boumedienne, mais réussit à s’échapper et s’exila en Suisse. Il considérait que tout espoir de rédemption était perdu pour l’Algérie algérienne…
23 ÉGALE ZÉRO
Bertrand du Boullay a commis un excellent article sur Boulevard Voltaire dans lequel il assassine “Mgr” Vingt-Trois, qui avait été reçu sur BFMTV le 23 décembre. Il ne fut évidemment nullement question de la venue du Messie, ni de Dieu. Comme le note Bertrand du Boullay, « Entre gens bien. On n’y prononce pas de gros mot ! Le sens chrétien de cette fête ? La naissance du Rédempteur ? De quoi parlez-vous ? Ridicule, tout cela. Saint Joseph, la Sainte Vierge ? Superbement ignorés. La naissance virginale ? Allons, un peu de sérieux… On ne peut tout de même pas dire qu’on croit à ça en public. D’ailleurs, y croit-on ? » Le hareng saur avait cependant des choses à dire, et il les dit. Les attentats ? Les raisons de la radicalisation ? Il a la réponse : la non-intégration, « la marginalisation, le sentiment de ne pas être intégré à la société ». Oui mais, question de la journaliste : « L’islam et la formation des esprits dans les mosquées contribuent-ils à cela ? » Quoi, comment, où, pourquoi ? L’islam n’a rien à voir dans ces dérives ! Cet imbécile a l’explication : c’est internet le fautif. Il faut, déclare-t-il, “socialiser”, créer du lien, pour éviter de nouveaux attentats. Quelle brillante intelligence ! Et puis, il fallait bien en passer par là, il y eut le couplet anti-FN. Là, André Vingt-Trois (qui ne vaut pas mieux que Jean du même numéro) se surpassa, déclamant : « J’aimerais que les gens votent en fonction des destinées de l’homme, de la valeur de la vie et de l’existence humaine ». Mon Dieu, quelle profondeur, mais ce n’est pas tout. La chute fut grandiose : « [Il] aimerait que les gens votent en fonction de celles-ci plus qu’en fonction de hordes d’immigrants que nul n’a jamais vues (sic). » Comme je l’écrivais en titre de cette rubrique, 23 égale zéro.
UNE HISTOIRE TOTALEMENT INCROYABLE, MAIS VRAIE
On trouve cette histoire sur le site, certes très sioniste, Dreuz. info. Les autorités séoudiennes viennent de fermer un magasin de la ville portuaire Al Qunfudhah, au sud-ouest de l’Arabie séoudite, qui vendait de l’urine de chameau, quand les services de l’hygiène se sont rendu compte que le commerçant remplissait les bouteilles… avec sa propre urine. Cette pratique qui consiste à boire de l’urine de chameau pure ou mélangée avec le lait de l’animal remonte au début de l’islam, et beaucoup, dans le monde musulman, considèrent que la boisson est excellente pour la santé. Le Coran contient des citations du prophète Mahomet dont celle-ci : « Certaines personnes des tribus d’Ukl ou d’Uraina sont venues à Médine, et le climat ne leur a pas convenu. Alors le prophète leur donna l’ordre d’aller boire le lait et la pisse des chameaux. Ils allèrent et burent, et revinrent en bonne santé ».
Les autorités ont ainsi confisqué plus de 70 bouteilles pleines de l’urine du propriétaire de la boutique, et le magasin a été définitivement fermé, bien que pour se défendre, il ait tenté de soutenir que, les clients ne se doutant de rien, il n’a commis aucune faute. L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) qui se mêle décidément de tout, s’est autorisée à mettre en garde les populations et les gouvernements, et les a exhortés à ne pas autoriser à boire l’urine des chameaux. Aucun respect, décidément pour les spécificités culturelles de certains mahométans…
RIONS. VOICI DES MUSULMANS QUI “PROTÈGENT” DES ÉGLISES DE FRANCE
Au soir de Noël, des musulmans sont censés avoir pris l’initiative d’assurer la sécurité des catholiques, autour de plusieurs églises de France. Une démarche surtout symbolique et ultra-minoritaire et évidemment un gros bidonnage médiatique. A La Devèze, dans l’Hérault, un groupe composé de membres de l’association culturelle des Français musulmans de Béziers et de l’association Esprit libre et cultures solidaires s’est rendu le jeudi 24 décembre à l’église pour la messe de minuit, pour assurer la sécurité des catholiques, avant d’aller à la cathédrale Saint-Nazaire, à Béziers. Il s’agissait, bien sûr, d’une « initiative citoyenne » pour « surveiller les voitures et regarder ce qu’il se passait » et « délivrer un message de paix ». Robert Ménard, le maire de Béziers, qui est tout sauf un imbécile, a évidemment compris les raisons de ce cirque et a, derechef, sorti la sulfateuse, déclarant dans un communiqué : « Ainsi donc la messe de Noël à l’église de la Devèze s’est tenue sous la prétendue “protection” d’un groupe de musulmans. Une garde musulmane “protégeant” une église catholique. Contre qui ? Des hordes de moines bouddhistes ? Des chamans sibériens ? Depuis quand ces pyromanes protègent des incendies ? Que fait, que dit l’État ? Le préfet ? » Et Ménard, décidément immaîtrisable, d’ajouter sur Twitter que cette initiative était « un avant-goût de libanisation de la France ».
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
07:12 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 17 janvier 2016
Sympathique dîner amical de la Ligue francilienne samedi soir à Paris en présence de Roland Hélie
Une ambiance amicale au dîner de la Ligue francilienne
Hugues Bouchu et ses amis avaient bien fait les choses samedi soir pour le dîner amical de la Ligue francilienne : une brasserie de tradition, un repas de saison et une ambiance de franche camaraderie. De plus, l'intervenant de ce dîner était le directeur de Synthèse nationale, Roland Hélie.
Celui-ci fit un rapide tour d'horizon sur l'actualité politique puis incita les identitaires franciliens à intensifier leurs activités. Il insista sur la nécessité d'étendre le combat contre l'islamisation à une remise en cause complète du système mondialiste, broyeur des peuples et des nations. Enfin, il invita l'auditoire à venir nombreux au mois d'octobre prochain à la Xe Journée nationaliste et identitaire qui marquera le dixième anniversaire de Synthèse nationale.
La Ligue francilienne regroupant dans ses rangs de nombreux enseignants, Hugues Bouchu, avec l'enthousiasme que nous lui connaissons, insista pour sa part dans son discours sur la nécessité de rétablir les valeurs nationales et identitaires auprès des jeunes générations.
Cette belle réunion fut aussi l'occasion de diffuser auprès des participants le n°41 de notre revue Synthèse nationale et de faire connaître nos dernières publications.
Hugues Bouchu, Président de la Ligue francilienne, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
01:42 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |