jeudi, 17 décembre 2015
Mercredi 20 janvier, conférence d'Alain de Benoist et Thibault Isabel à Lille
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Avant les Fêtes de Noël et de la St Sylvestre : pensez à acheter les Bouquins de Synthèse nationale pour les offrir à vos amis !
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Pour les Fêtes : UN CADEAU DES "BRIGANDES"
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Le marchand de sable
Dr Bernard Plouvier
Nos merveilleux ministres, si fringants depuis qu’ils ont évité une déculottée électorale, n’ont pas assez d’indignations ni de trémolos pour condamner des dirigeants du Front national qui ont répondu à une basse provocation en publiant des images vraies.
On connaît la technique. On diabolise l’ennemi à détruire par d’immondes comparaisons et d’ignobles insultes, puis le parquet – par définition, aux ordres du Garde des Sceaux – poursuit les victimes lorsqu’elles répondent à la provocation par une phrase un peu rude (ce fut la spécialité de Jean-Marie Le Pen) ou, technologie moderne oblige, par diffusion d’images sur les réseaux sociaux.
Un jour, Jean-Marie Le Pen entend un obscur tâcheron de la politique nommé Durafour dire publiquement : « Il faut exterminer le Front national ». Il rétorque « Dura - four crématoire », en un calembour d’un goût laissé à l’appréciation du public et surtout de juges, car désormais la « Justice » intervient dans certaines querelles politiciennes et curieusement toujours à sens unique. On classe assez vite l’assassinat d’un François Duprat, mais on s’acharne sur les « mots » de Jean-Marie Le Pen.
En cette fin d’automne où des djihadistes ont assassiné plus d’une centaine de Français, c’est dans l’urgence qu’un parquet poursuit Marine Le Pen pour diffusion d’images de barbarie, en oubliant un peu vite que d’immondes provocateurs, insultant le tiers des électeurs français qui osent s’exprimer, ont bavé sur le Front national en le comparant à la lie actuelle de l’humanité : les chefs de l’État Islamique et leurs tueurs.
Les Français de ma génération ont eu droit de façon quotidienne aux images des « camps de la mort », des pendaisons ou fusillades de Juifs et de résistants par les vilains nazis. Nous avons vu des bonzes se faire brûler vifs durant la guerre du Viêt-Nam, les photographies des innombrables charniers d’Afrique et d’Asie décolonisées. Une loi, votée en 2014, empêche de montrer la barbarie actuelle, brevetée califat nouveau, et il est utile d’en chercher les raisons.
Surtout « pas de vague », de peur de déclencher de nouvelles émeutes raciales, où l’islam servirait d’alibi à ceux qui, à défaut d’exercer une profession utile, sont devenus des agents de la haine destructrice, toujours prêts à faire flamber une cité… d’autant que l’État bon prince répare après avoir déblayé les ruines.
On ne peut montrer la réalité de l’islam conquérant lorsque l’on va mendier des emprunts d’État, voire des subsides pour des partis politiques, au Qatar ou en Arabie saoudite. Quelle peut être la liberté d’action d’un gouvernement « français » aux ordres, comme celui d’Obama, des multinationales dont les plus puissantes restent encore les compagnies pétrolières ?
Enfin, ce n’est pas l’échéance présidentielle de 2017 qui inquiète nos brillants politiciens du parti unique gauches-droites-centre marécageux. On rejouera le scénario de la réélection de Jacques Chirac : tous unis contre le candidat populiste quel qu’il ou elle soit. C’est plutôt l’irrésistible ascension du mouvement populiste qui fait peur, à échéance plus lointaine, car ce sont des jeunes qui votent désormais pour le FN… et ces jeunes sont assez désespérés pour oser s’insurger au cas où nos aimables hôtes extra-européens, islamistes ou non, seraient tentés par l’essai d’une « émeute générale », comme d’autres un siècle plus tôt, ont paralysé des États par la grève générale.
Il est donc urgent, au pays des Bisounours, d’endormir qui veut l’être, d’anesthésier qui souffre trop d’entendre des paroles un peu dures ou – horreur suprême – de voir mourir un bébé-phoque… l’ennui c’est qu’il s’agit d’hommes et de femmes que les djihadistes décapitent et mitraillent ; l’ennui, c’est que les musulmans sont 55 millions en Europe et qu’il en vient d’autres tous les jours.
Dormez, je le veux, dit l’hypnotiseur.
10:08 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi prochain, à Saint Cloud (92), Roger Holeindre dédicacera son livre
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Triste réalité d'un monde éclaté...
07:10 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 16 décembre 2015
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
3,50 €, chez votre marchand de journaux
23:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cambadélis manque cruellement de culture politique : l'Alliance populaire a déjà existé
Jean-Christophe Cambadélis, conscient de la mauvaise passe dans laquelle le PS est tombé, essaye de faire preuve d'imagination pour sauver celui-ci de la faillite. Il pense même avoir trouvé la solution et il ne parle que de cela depuis lundi matin : le salut viendra de... l'Alliance populaire (cliquez là). Voilà une bonne idée, mais quel dommage que nous ne l'ayons pas connu trente ans plus tôt ce Cambadélis.
Si l'ex-trotskiste ne manque pas d'inspiration, visiblement il manque de culture politique. Il faut en effet savoir que l'Alliance populaire, hélas souvent oubliée aujourd'hui (accordons-lui cela), fut la deuxième scission d'envergure du Front national depuis sa création en 1972. La première étant celle du Parti des Forces nouvelles en 1973 (cliquez ici) et la troisième celle du MNR en 1998.
L'Alliance populaire, pour votre gouverne, exista de 1992 à 1996 (elle se transforma alors en Parti national républicain avant de disparaître en 1999). Son Président était Jean-François Touzé et son Secrétaire général... Roland Hélie. Elle fut le premier mouvement nationaliste a appeler à voter NON au Traité de Maastricht lors du référendum de septembre 1992. Aux élections législatives de 1993, elle présenta une centaine de candidats à travers la France et il en fut de même lors des cantonales de l'année suivante. L'AP, dans un souci de rassemblement, appela même à voter Jean-Marie Le Pen à la présidentielle de 1995. Bien que parfois encourageants, ses résultats ne lui permettaient cependant pas d'exister politiquement face au FN. L'Alliance populaire, c'était du MNR avant l'heure en quelque sorte...
Son histoire, brève mais intense, reste à écrire. Ce pourrait d'ailleurs être le thème d'un prochain Cahier d'Histoire du nationalisme. Jean-Christophe Cambadélis pourra ainsi le lire et faire preuve d'un peu plus de jugeote lorsqu'il voudra changer le nom de son parti moribond.
Synthèse nationale
Affiches et tracts de l'AP collées lors des législatives de 1993. Pas vraiment dans le style Cambadélis...
18:29 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dans la recomposition de la droite française, la stratégie d’alliances pourrait devenir inévitable
Minute cliquez ici
« Pour en finir avec le « plafond de verre » actuel, c’est-à-dire pour que l’électorat de droite lui apporte les suffrages qui lui font défaut, il faut au Front national intégrer la dimension civilisationnelle du combat politique, qui est, que cela plaise ou non à Philippot, un des déterminants du vote droitier, et réviser son approche économique, qui lui vaut, dans son état actuel, la défiance des « forces vives de la nation », sans parler de l’électorat le plus âgé qui a particulièrement fait défaut à Marion Maréchal en Paca.
La question de l’accession au pouvoir sans alliés est aussi posée. Si le Front national y parvenait, ce serait une première dans l’histoire de la Ve République, dont les institutions sont faites pour favoriser les alliances. Philippot y a apporté un début de réponse au lendemain du scrutin, en déclarant qu’il y a « des patriotes en dehors du Front national » et qu’il voudrait « travailler » avec Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan. Si on se demande ce qui empêche effectivement Dupont-Aignan de se rapprocher de Marine Le Pen – hormis un ego surdimentionné –, la démarche est insuffisante. D’abord parce que le Front national de Marine Le Pen, plus encore que celui de Jean-Marie Le Pen, s’est solidifié sur la certitude de pouvoir parvenir au pouvoir seul et ne tolère d’« allié » que dans la soumission, au travers d’un Rassemblement Bleu Marine qui n’est que l’autre nom du Front national. Ensuite parce qu’il ne suffit pas de tendre la main à un parti qui est effectivement sur la même ligne politique. La recherche d’alliés, à supposer qu’elle soit sincère, suppose l’acceptation de désaccords, et même de divergences profondes sur certains points, qui doivent pouvoir s’exprimer. La gauche a toujours fonctionné ainsi et cela lui a plutôt réussi, que ce soit dans la conquête puis dans l’exercice du pouvoir par François Mitterrand ou sous les différentes formes ultérieures de « gauche plurielle ».Pour Marine Le Pen, cela implique de rompre avec une mentalité « bushiste » qui peut s’exprimer ainsi : qui n’est pas à 100 % avec moi est contre moi.
Il existe, dans le paysage politique française, des formations entre Les Républicains et le Front national. Elles sont certes petites mais guère plus que les radicaux de gauche. Elles ont le mérite, aussi, de couvrir des pans du combat politique auquel la direction du Front national reste hermétique. La bonne nouvelle est que, dans la recomposition probable de la droite française, cette stratégie d’alliances pourrait devenir inévitable. À moins d’être persuadé qu’il faut laisser filer vers d’autres horizons tout le champ conservateur et libéral. »
13:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 16 janvier, Carl Lang à Toulouse
13:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Que faire des migrants ?
Yves-Marie Laulan
Président de l'Institut de géopolitique des populations cliquez là
Que faire des migrants qui encombrent nos frontières, nos autoroutes, nos gares et nos plages ? Il est de fait qu’ils sont bien encombrants. On ne sait quoi en faire car personne ne leur a demandé de venir chez nous. Nous voilà coincés entre les bons sentiments qui nous animent et le réalisme qui devrait commander de les envoyer promener.
C’est une situation inédite. Elle est née des troubles au Moyen-Orient certes, également de la grosse sottise teutonne de Mutter Merkel, mais aussi et surtout d’un nouvel Évangile prêché au delà de nos frontières. C’est l’idée, qui s’est répandue comme une traînée de poudre sur toute la planète, que l’Europe, nouveau « ventre mou du monde », était un eldorado pour chacun et pour tous, une sorte de Sécurité sociale au plan mondial, ouverte à tous sans distinctions, sans restrictions et sans risques.
Car nos migrants se baladent un peu partout en Europe, à pied, en bateaux, et en train, les mains dans les poches, dans l’impunité la plus totale. Pas de risque de mourir de faim ou de froid sur les chemins de l’Europe. Encore moins d’attraper un mauvais coup. Pas de violence ni de mauvais traitement. Alors pourquoi s’en priver ? C’est un des bienfaits, avec le terrorisme, du traité de Schengen, cette idée de fous née dans la cervelle obscurcie de quelque eurocrate socialiste.
12:13 Publié dans Débat sur l'identité | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 15 décembre 2015
La nouvelle affiche du GUD
23:14 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Eric Zemmour : Marine Le Pen avait raison mais la dédiabolisation et le parricide ont été inutiles
22:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Intervention d'Alain Escada, Président de Civitas, au Parlement européen sur l'immigration
MPI-TV (cliquez ici) a filmé l’intégralité de l’intervention d’Alain Escada, président de Civitas, invité à prendre la parole au colloque sur l’immigration organisé au Parlement Européen de Bruxelles le lundi 7 décembre 2015 à l’initiative des eurodéputés grecs d’Aube Dorée.
13:12 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le bal des cocus
Le billet de Patrick Parment
Les Français, une fois de plus, ont décidé de ne pas franchir le Rubicon. Après un pas en avant, deux pas en arrière. Il y avait là, pourtant, matière à confirmer le peu d’estime qu’ils manifestent à l’égard de leur classe politique. Une fois de plus, les Français ont cédé aux incantations mensongères des parti politiques. Une fois de plus, ils seront cocus. Car, comme n’ont pas manqué de le relever quelques observateurs avertis, seul 2017 préoccupe le camarade Hollande. Et jouer la fausse carte du républicanisme n’était qu’un piège dans lequel seul un Jean-Pierre Masseret n’est pas tombé. Hollande n’a qu’une idée en tête, décrédibiliser la droite, et Sarkozy en particulier, de manière être le seul à affronter Marine Le Pen au second tour des présidentielles. Car il est désormais acquis que le Front national est un parti de premier tour.
Une fois de plus, et à son corps défendant cette fois, le Front national a fait le jeu des socialistes en leur permettant de conserver quatre des sept conseils régionaux en leur possession. Si l’Aquitaine, le Centre, la Bourgogne et le Languedoc ne sont pas passés à droite, c’est bien en raison des scores du Front national qui a caramélisé le candidat de la droite ripoux. Autre leçon de ce scrutin, le « peuple » de gauche s’est bel et bien mobilisé, venant renforcer le clan des cocus.
Au final, qu’ont gagné les Français dans cette élection ? Rien. Si ce n’est de faire monter la pression du Front national afin de titiller cette classe politique qui ne semble guère les satisfaire.
Trois sujets – parmi d’autres – inquiètent les Français : l’immigration, l’emploi et la perte de notre d’identité.
En matière d’immigration, ce que les Français supportent de moins en moins, c’est le laxisme des autorités vis-à-vis des musulmans ou plutôt d’un islam qu’on laisse s’installer au mépris de nos racines judéo-chrétiennes et d’une charia qui devient le code dominant de trop nombreuses banlieues des grandes et moyennes agglomérations. Toute la bande de pseudo laïcards, francs-maçons et consorts qui baissent leur froc devant toute forme de communautarisme tout en nous donnant des leçons de laïcité, est proprement insupportable.
L’autre mensonge, c’est l’emploi. Qu’ils soient de gauche ou de droite, nos gouvernements successifs n’ont eu de cesse que de casser nos outils industriels. Si Pechiney en est le symbole, Areva pourrait en être un autre. Et ceci n’est que le fait d’énarques incompétents qui grouillent à Bercy et à la tête des entreprises d’Etat. Ils sont servis par un patronat dont Pierre Gattaz, après Laurence Parisot, est l’illustre figure de la médiocrité.
Tous les économistes tant soit peu lucides, le disent : il existe des solutions que nos gouvernants s’obstinent à ne pas mettre en œuvre.
Toute course à l’emploi passe par une réforme de notre système éducatif, non pas sur la base d’un égalitarisme à la Najat Belkacem, mais sur la valorisation de l’enseignement professionnel. L’avenir, ce ne sont pas les grosses boîtes mais l’enrichissement du tissu de PMI-PME et des artisans. C’est le maintien de la sélection à l’école afin de former les élites dont notre pays à besoin et dont les grandes écoles sont encore le reflet. Pour combien de temps encore ? L’école, c’est le ciment qui forge la nation.
Enfin, la perte d’identité. Les Français ne se reconnaissent plus dans le flou qu’est devenu la nationalité française ouverte à toutes les maternités. Ils ne se reconnaissent plus dans l’enseignement donné à leurs enfants. Ils ne se reconnaissent plus dans un ailleurs qu’on leur impose au détriment du bonheur d’être ici. Ils se posent la question de savoir ce que signifie cet « être Français » qui fut la fierté de leurs parents.
Mais les Sarkozy, Valls et Hollande ont les yeux rivés sur 2017. Français, une fois de plus, vous êtres cocus !
PS : Le Front national n’est pas la solution à tous nos maux. Il en reste néanmoins l’amorce.
10:39 Publié dans Editoriaux, Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RÉGIONALES 2015 : LA KERMESSE TOURNE COURT La Droite n'est plus l'opposition
Métamag cliquez ici
Soulagement chez les bourgeois : le Front national ne remporte aucune région. Le "premier parti de France", en tête dans six régions dimanche dernier, n'en obtient aucune au second tour. Le système gouverne mal mais se défend bien. La gauche calculatrice s'est de fait très bien défendue : elle conserve 5 régions alors qu'elle aurait dû les perdre toutes. Elle conserve ces 5 régions grâce à la Droite. Celle-ci réussit à faire barrage au Front National mais comme l'a très bien relevé Marion Maréchal-Le Pen : « il y a des victoires qui font honte aux vainqueurs ».
Même si leurs communicants, sans lesquels ils ne font rien, leur ont dit qu’il ne fallait pas trop exulter sur les plateaux de télévision, ils l'auront tout de même fait, le pire étant sans doute Nicolas Sarkozy puisque Marine et Marion ont été battues, et c’est cela seul qui comptait pour lui. Le Soir de Bruxelles titrait sur internet jubilatoire : le FN battu partout. Gauche et Droite parlementaires, la Drauche comme nous l'appellerons désormais vont de nouveau se partager la gamelle. Ils raconteront maintenant que grâce à eux, la République a été sauvée, et que le fascisme n’est pas passé.
Les régionales 2015 furent tout de même un grand moment politique : d'abord, il y eut le triomphe du Front national puis ensuite, on entonna une sorte de kermesse démocratique droite et gauche confondues sans aucune argumentation sérieuse mais en servant uniquement un discours de mépris du populaire au service d'un plébiscite grave et solennel voulu par le Premier ministre. La gauche se sacrifiait et la droite se couchait. La presse se vautrait sans l'admettre dans la compromission des subventions. Á l'évidence, on oubliait les régions, les terroristes et l'état d'urgence. Le vote du 13 décembre se transformait en un vote pour ou contre Le Pen, pour ou contre le Front national, pour un plébiscite gouvernemental même si Xavier Bertrand, l'homme que la gauche a fait roi semble à ce titre le plus lucide et avoir admis et reconnu la modestie de sa victoire.
Ces élections resteront comme les élections de l'absence de débats, de la paralysie des programmes et de l'impolitique pure. On n'a discuté de rien. Rien en effet sur l'anémie de l'économie et le chômage comme gangrène; rien sur les déficits sociaux (assurance santé et retraites) ; rien sur le gouffre budgétaire, rien sur les bombardements de Syrie et le soutien indirect à Daesh. C'est un bien sombre tableau électoral où nous entraîne depuis trente ans toute la classe politique française.
Les socialistes ont abordé les élections régionales avec un lourd handicap : leurs chefs de file naturels étaient discrédités, excepté le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian qui a d'ailleurs évité dans toute sa campagne de prononcer le mot "socialiste" et de fusionner avec les écologistes et le Parti communiste. Or la Droite ne gouvernera des régions que parce qu'elle a accepté les voies des socialistes parce qu'elle est comme eux mondialiste.
Sur ce décor sinistre d'une recomposition de la vie politique française, on élira demain les Présidents de région. Ce sera l'élection par défaut des Présidents du Système. Les choses sont claires. Il n'y a plus de tripartisme mais bien un nouveau bipartisme : le Front national et la drauche.
10:08 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : Il est urgent de redonner son indépendance à la Nation française
Dr Bernard Plouvier
Comme n’importe qui peut le constater en consultant un atlas ou une mappemonde : la France est sise en Europe, continent étendu de l’Atlantique à Vladivostok, domaine de la race blanche, résultant elle-même d’un très heureux amalgame, remontant à la préhistoire, entre des blonds et des roux, généralement grands, et des bruns à peau claire (mais bronzant mieux que les précédents) de taille variable, tous étant issus de ce continent… et qu’on ne nous ressorte pas la funeste bêtise d’une commune origine africaine des quatre races fondamentales de l’humanité moderne, totalement démentie par l’étude anthropologique des boites crâniennes aussi bien que par la génétique.
De nos jours, cette évidence de géographie humaine est perturbée par l’immigration-invasion de l’Europe par 55 millions d’extra-Européens, provenant essentiellement d’Afrique (noire et maghrébine) et du Proche-Orient, la Turquie fournissant le plus gros de ce lot. Comble de bonheur, au mélange racial se surajoute l’importation massive de sectateurs d’une religion médiévale où la guerre de conquête est inscrite en toutes lettres dans le livre réputé saint et fondateur de ce culte : l’islam, son coran et son djihâd.
Qu’en Allemagne, une Chancelière vieillissante ait introduit 1 million de ces immigrés-envahisseurs en cette année 2015 ne regarde que nos voisins… et quand l’on pense que mémé Merkel n’a même pas obtenu son Nobel de la Paix, on rigole un peu (voire beaucoup).
En France, la seule conclusion à tirer des régionales de ce mois de décembre est l’absolue et urgente nécessité de rendre son indépendance à la Nation française. Une précision sémantique s’impose : la Nation n’est pas un peuple.
Le peuple est un agrégat de sujets, citoyens et non-citoyens mêlés, vivant en-deçà des mêmes frontières et soumis (en principe) aux mêmes lois civiles, pénales et fiscales. Une Nation, c’est tout autre chose. Comme les Romains et les Grecs antiques le savaient, cela sous-entend une origine ethnique commune, une histoire commune, des mœurs communes.
Et que l’on ne vienne surtout pas mêler la religion à tout cela. Une religion, soit selon l’étymologie : ce qui lie ou soude une communauté, n’aboutit jamais qu’à mieux la désunir, dès qu’une série de « profonds penseurs » vienne y mettre son grain de sel. L’Europe a déjà donné pour ce qui est des guerres religieuses. La seule chose à retenir de l’institution républicaine est le principe de la séparation des Églises et de l’État… avec en corollaire l’interdiction absolue de tout culte voulant dominer l’État.
Les extra-Européens sont les bienvenus comme touristes, stagiaires ou étudiants, au visa toujours temporaire, ne pouvant en aucun cas devenir citoyens d’un pays européen et destinés à retourner dans leur continent pour le civiliser (Afrique, Océanie) ou le faire prospérer dans les continents de vieille civilisation, comme la très respectable Asie.
La Nation française doit redevenir ce qu’elle fut toujours avant la folie du décret Giscard-Chirac sur le regroupement familial des immigrés et la démence mondialiste. Les honorables autochtones des Dom-Tom doivent jouir de leur pleine et entière indépendance (et si les Corses veulent leur indépendance, les Français pourront la leur donner par la même occasion… ça fera toujours des centaines de millions d’euros économisés annuellement par le Trésor Public, alimenté par le produit de nos impôts).
De la même façon, la Nation peut et doit signifier aux minorités beaucoup trop turbulentes (tels les homosexuels agités du bocal ou du reste) qu’en Démocratie, la Loi est par définition la même pour tous et qu’une majorité n’a pas à se faire imposer les caprices de minorités.
L’État n’est rien d’autre que le Bien Commun, dont parlaient Platon, Aristote ou Thomas Hobbes. C’est à l’ensemble des citoyens qu’incombent les grands choix dans la gestion de ce Bien Commun et la notion de Démocratie exige que « chaque voix compte »… donc le seul régime électoral démocratique est celui de la proportionnelle intégrale.
L’indépendance de la Nation française, formée exclusivement de citoyens de souche européenne, ne pourra être obtenue que par la stricte application des principes de la Démocratie : Égalité de tous devant la Loi et en matière de Droit électoral. Tout le reste n’est que fadaises pour rhéteur hypocrite.
09:54 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 14 décembre 2015
A CARACAS, LE « CHAVISME » SANS « CHAVEZ » NE FAIT PLUS RECETTE !
de Jean-Claude Rolinat
Dans le « maelström » des nouvelles qui nous submergent, une information en provenance d’Amérique latine est passée presque inaperçue : l’opposition vient de remporter la majorité des sièges au Congrès vénézuélien.
L’opposition vénézuélienne, la Table de l’Unité Démocratique, Mesa de la unidad democratica (MUD), une coalition hétéroclite d’une trentaine de partis – pas moins ! – vient de remporter dimanche 6 décembre dernier les élections législatives en battant le parti gouvernemental, le PSUV, Parti socialiste unifié du Venezuela. Le Président Nicolas Maduro, successeur depuis avril 2013 du colonel Hugo Chavez, a reconnu sa défaite au cour d’une conférence de presse donnée dans les salons de la présidence. La MUD a obtenu 99 des 167 sièges du Parlement contre 46 pour le PSUV, lequel détenait jusqu’à présent le pouvoir absolu avec pas moins de 100 députés.
Un immense chantier s’ouvre pour la nouvelle majorité, reconstruire l’économie sinistrée d’un pays « sovietisé » depuis la mise en route de la fameuse « Révolution bolivarienne » qui n’a abouti qu’à une inflation galopante de près de 200 % (!). Les ressources pétrolières qui alimentaient les subventions données aux classes les plus défavorisées de cet immense pays situé sur la côte nord Est de l’Amérique latine, se sont effondrées au même rythme que les cours du brut. Les pénuries de produits de première nécessité ajoutées au caractère autoritaire pour ne pas dire dictatorial du régime – il y a encore 75 prisonniers politiques dont l’un des leaders de l’opposition Leopoldo Lopez du parti « Volonté populaire » - ont poussé les électeurs vers l’opposition. Cette dernière pour la première fois depuis la prise de pouvoir par l’ex-putschiste Chavez en décembre 1998 avec 56,23 % des voix, a remporté les élections générales. Héros des classes populaires, officier de parachutistes amnistié après plusieurs tentatives ratées de coups d’Etat, ce métis à la carrure d’athlète allait dominer la vie politique vénézuélienne jusqu’à son décès en mars 2013 des suites d’un cancer du côlon. Il avait dessiné un univers socialiste à son pays à qui il voulait offrir le leadership d’une croisade anti-impérialiste sur le continent Sud-américain, s’alliant pour la circonstance avec Cuba à qui il offrait son pétrole contre l’envoi de techniciens, de médecins et de professeurs. Il avait fait quelques émules en Equateur et en Bolivie notamment, où l’indianiste Evo Moralès est toujours au pouvoir au Palais Quemada à La Paz. Partenaire de la Syrie et de l’Iran, Bête noire de Washington, il n’en commerçait pas moins d’une manière pragmatique avec les Etats-Unis. Son nationalisme teinté de socialisme était bien plus un marxisme coloré de nationalisme qu’une social-démocratie « pépère » à l’européenne…
N’est pas « Peroniste » qui veut
Pour autant rien à voir avec un mouvement populiste comme le Péronisme argentin qui, sous le règne de son fondateur et avec l’immense aura de son épouse Evita, s’affirmait dans les années 1950 avant tout comme un mouvement nationaliste désirant s’émanciper de la tutelle américaine, mais fondamentalement anti-communiste et chrétien. La chimérique « Révolution socialiste bolivarienne », en référence au Libertador de la Grande Colombie Simon Bolivar, le « Napoléon » latino-américain qui chassa les espagnols au début du XIXème siècle, n’a pas tenu ses promesses. Pauvreté, insécurité, endettement, corruption, tous les maux récurrents des pays du tiers monde, étaient au rendez-vous. « La politique économique du Chavisme, basée sur le contrôle étatique et la redistribution, est désastreuse pour les finances publiques » écrivait Jean Rouvière dans l’édition du 14 mars 2013 du quotidien Présent. Rien n’a changé.
Un tournant chez les Latinos ?
Déjà le 14 avril 2013, c’est à la suite d’une victoire serrée que Nicolas Maduro, avec seulement 50,66 % des suffrages, avait accédé au Palais Miraflorès – la résidence présidentielle - face au candidat d’opposition Henrique Capriles qui avait obtenu 49,07 %, moins de 250 000 voix d’écart les séparant sur 15 millions de bulletins ! De violentes manifestations faisant 7 morts et 61 blessés avaient ponctué la proclamation de la victoire du dauphin d’Hugo Chavez. Nicolas Maduro avait crié au coup d’Etat et imputé aux « fascistes de l’opposition » les victimes des évènements et, pour faire bonne figure comme dans tout régime autoritaire qui se respecte, avait fait arrêter 135 personnes dont certaines sont toujours embastillées. L’ex-général Raul Baduel, un proche de Chavez tombé en disgrâce, dénonçait pour sa part depuis sa prison militaire dans la banlieue de Caracas, « la mainmise de Cuba sur le Venezuela ». Avant d’ajouter que le serment fait pour mettre en place une vraie démocratie dans le pays « avait été perverti ». Le 8 décembre suivant, la majorité « Bolivarienne » perdait lors des élections municipales les mairies de 9 capitales provinciales, signal avant-coureur de craquements dans l’édifice politique du PSUV. En janvier et février 2014, lors de manifestations d’étudiants liés à l’opposition, 10 personnes étaient tuées suite à des tirs effectués par des miliciens du régime membres du Colectivo du « quartier 24 janvier », là où est inhumé Hugo Chavez. Depuis, la tension n’a jamais cessé de monter, le ministre de l’énergie menaçant les « rebelles » de l’Etat de Tachira, « sous occupation fasciste », de couper aux populations les livraisons de carburant. Accentuant le caractère totalitaire du régime, Maduro créait en mai 2014 une nouvelle police à sa botte, « la Brigade Spéciale contre les Groupes Générateurs de Violence ». Les organisations de défense des droits de l’homme qui pouvaient encore faire parvenir des messages à l’extérieur dénonçaient « un gouvernement qui renforce chaque jour sa doctrine de sécurité nationale (…) par rapport aux droits des citoyens » et qui désignait l’opposition au pouvoir d’Etat comme un ennemi. Comme pour ajouter une caractéristique supplémentaire à la nature dictatoriale du pouvoir, le parti gouvernemental sans craindre le grotesque de la situation, encourageait ouvertement un culte à la mémoire d’Hugo Chavez en réécrivant « le Notre Père » et lui substituant dans la prière le nom du défunt Président ! Une petite brise Nord-Coréenne soufflait du côté des Caraïbes ! Hésitant à truquer les élections à la lecture des sondages qui annonçaient tous une défaite du Chavisme, le pouvoir s’est résigné à laisser légalement se dérouler le processus électoral. Pour quels lendemains ? Une difficile cohabitation s’annonce entre les pouvoirs exécutif et législatif. En tout cas, avec cette spectaculaire défaite de la gauche extrême au Venezuela, la victoire du droitiste Macri à Buenos Aires et la mise en cause de la présidente Brésilienne Dilma Roussef et de son Parti des Travailleurs (PT) pour corruption, les forces « progressistes » en Amérique centrale et du Sud connaissent leur premier coup d’arrêt depuis de nombreuses années. Les Sandinistes s’accrochent encore au Nicaragua comme les successeurs des Tupamaros en Uruguay. Mais il semble que les vieilles lunes Castristes aient fait leur temps, même si à La Havane le communisme s’attarde encore avec au pouvoir le frère du lider maximo. Le continent est, politiquement, plus contrasté que jamais. Ces pays méritent notre attention. La France y conserve encore un certain prestige. Il ne faudrait pas négliger cet aspect des choses pour d’obscures complicités « romantiques » avec Cuba d’une époque révolue.
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Elections régionales : la réaction de Riposte laïque
Crétin, tu as encore voté pour eux ! Riposte laïque cliquez ici
Même si leurs communicants, sans lesquels ils ne font rien, leur ont dit qu’il ne fallait pas exulter ce soir sur les plateaux de télévision, ils pavoisent. Marine et Marion ont été battues et c’est surtout cela qui comptait pour eux. Encore pire, ils vont se partager les treize régions, le FN est battu partout. Ils racontent que grâce à eux, la République a été sauvée et que le fascisme n’est pas passé. Et s’ils peuvent ainsi mentir aussi grossièrement aux Français, avec succès, c’est de ta faute, crétin qui as voté pour eux, ou t’es abstenu !
Ils interdisent tout débat démocratique en nazifiant la discussion. Si nous étions encore dans un pays normal, il serait possible d’aborder l’opportunité de l’Union européenne, en tirant le bilan de la politique menée par Juncker et les siens, des résultats de l’euro, et de ses conséquences dans les pays où il s’impose. Nous pourrions également disserter sereinement sur l’opportunité d’une immigration, dans des pays où le chômage de masse progresse chaque mois et où elle se cumule avec la montée du communautarisme. Le débat ne serait pas tabou quant à la réalité de l’islamisation de pays et la compatibilité de ce dogme avec nos principes laïques, républicains et féministes. Mais ils ont décidé d’interdire ce débat entre mondialistes et souverainistes, et de le réduire à la seule question d’un prétendu barrage républicain, destiné à empêcher le Front national, qui représente un électeur sur trois, d’avoir des élus. Si cette stratégie a encore fonctionné ce soir, c’est de ta faute, imbécile !
Depuis une semaine, nous subissons un véritable bombardement médiatique. Les plateaux de télévision sont envahis par des ministres haineux, Manuel Valls en tête, qui, oubliant qu’ils sont les représentants de la France dans son ensemble, se comportent en vulgaires porte-parole du Parti socialiste, et racontent aux Français que la République est en danger et qu’il faut faire barrage à une prétendue extrême droite. Les socialauds ont même été jusqu’à retirer leurs candidats, dans le Nord et la région Paca, pour faire battre Marine et Marion, et ont excommunié Jean-Pierre Masseret, qui, dans l’Est, a décidé de se maintenir, face à Florian Philippot. Toute honte bue, ils ont refait l’énorme manipulation du 21 avril 2002, de la mort de Clément Méric et de « Je suis Charlie ». Et cette fois, cela a encore marché. C’est de ta faute, connard d’électeur UMPS !
Depuis trente ans, notre pays est submergé par l’invasion migratoire. Depuis trente ans, les musulmans les plus radicaux islamisent notre France, rongent notre laïcité, pour le plus grand bonheur de prétendus modérés qui sont ravis que les extrémistes fassent progresser leur dogme. Nos compatriotes sont victimes d’une guerre quotidienne de conquête, qui a le visage du voile islamique, des djellabas, des kamis, des mosquées, du halal, du ramadan, des revendications communautaristes. Cela n’est que la méthode « soft ». Depuis les années 1986, notre France, et nos compatriotes, subissent des attentats, mais surtout une guerre quotidienne, qui passe par des insultes, des intimidations, des agressions, des viols, des meurtres, avec une accélération spectaculaire, depuis la création de l’Etat islamique. Notre pays vient de connaître, en trois ans, avec les assassinats de Merah, de Charlie Hebdo, la décapitation d’Hervé Cornara, puis le Bataclan, pas moins de 155 assassinats. Et systématiquement, une horde d’islamo-collabos, se comportant en complices de l’agresseur, intime l’ordre à nos compatriotes de ne pas stigmatiser la religion des assassins, alors que dès qu’un Clément Méric est victime d’une bagarre et meurt accidentellement, tous nomment, sans vergogne, l’extrême droite. Nos dirigeants, qu’ils soient à l’UMP ou au PS, sont financés par le Qatar et l’Arabie saoudite, et tu as encore voté pour eux, au nom d’un prétendu barrage républicain, contre les seuls capables, pour reprendre la formule du blogueur algérien Aldo Stérone, de remonter le pantalon des Français. Sur internet, tu as tous les moyens de voir la réalité et tu ne t’en sers pas. Ces traitres vont diriger nos régions, et c’est de ta faute, couillon !
Ils t’ont lobotomisé, ils t’ont émasculé, ils t’ont manipulé, ils t’ont dépossédé de ton pays, de son histoire, de sa culture, de sa civilisation. Ils t’ont imposé la repentance, la honte de toi, la culture de l’excuse. Ils ont nié l’apport de la France à l’humanité. Ils t’ont interdit d’aimer ton pays. Ils ont livré tes enfants et petits-enfants à des barbares qui prennent plaisir à les humilier, à les racketter, à leur faire raser les murs pour mieux les transformer en dhimmis. Ils t’ont contraint à baisser les yeux pour survivre, dans des zones où tu n’entends plus parler ta langue, et où tu as l’impression d’avoir changé de continent. Ils t’ont forcé à t’équiper de digicodes, d’alarmes et de fermer systématiquement ta maison. Ta femme n’ose plus prendre les transports en commun le soir, et quand elle ne peut pas faire autrement, elle a peur, et toi aussi. Ils ont nié ton mal-être quotidien, ils ont dit que, sous l’influence de l’extrême droite, tu vivais un sentiment d’insécurité, alors que, dans les faits, tout allait bien ! Ils s’en foutent que ta cave soit régulièrement visitée, que tu doives demander pardon en baissant les yeux pour monter tes étages à pied et enjamber des dealers qui tiennent les murs, que ta voiture crame de temps en temps, que tu ne puisses pas dormir à cause des rodéos, eux, ils vivent dans les beaux quartiers, et le vivre ensemble qu’ils prônent, c’est pour les pauvres cons comme toi. Pauvre con, car tu votes encore pour eux, ou tu t’abstiens, ce qui revient à les laisser en place.
Et comme si cela ne suffisait pas, avec les attentats de Charlie Hebdo, comme si les islamistes ne faisaient pas suffisamment de dégâts dans notre pays, ils t’ont infligé un renfort de leur cinquième colonne, en t’imposant ceux qui ont d’abord été appelés des migrants, avant de les nommer « réfugiés », et qui n’étaient que des clandestins, majoritairement hommes seuls entre vingt et quarante ans, presque tous musulmans. Et comme les périphéries urbaines étaient surchargées et que Calais comptait dix mille clandos construisant une ville dans la ville, imposant une terreur quotidienne à la population locale, ils ont décidé que la France rurale allait profiter des joies du « vivre ensemble », qu’ils imposent à de plus en plus de Français, mais dont ils se préservent. Et, localement, il y a des élus collabos et des associations gavées de ces subventions payées avec tes impôts qui les accueillent, quand elles laissaient crever nos SDF et nos mal-logés. Et toi, tu les as laissés en place, en votant pour eux, ou en t’abstenant. C’est de ta faute, ahuri !
Pendant une semaine, ils sont tous montés au créneau, pour te forcer à faire barrage à la seule alternative qui menace leurs privilèges, les patriotes, et le FN. On les a tous vus, ministres glapissant leur haine et leurs frousses, journaleux d’Etat défendant le bifteck, patrons exigeant leurs clandestins pour les payer moins chers, syndicats mythifiant un nouveau prolétariat de chômeurs assistés, associations parasitaires défendant leurs subventions, parents d’élèves endoctrinés, enseignants masochistes, magistrats pourris, curés et évêques crachant sur le calvaire des chrétiens d’Orient, francs-maçons dégénérés, rabbins crétins, féministes fantasmant sur le voile islamique, tous les traitres à la France se sont mobilisés pour défendre leurs privilèges et cracher sur le FN, qu’ils qualifient d’extrême droite, alors que les vrais fascistes, ce sont eux. Et tu as gobé tout cela, espèce de blaireau !
Ils s’en foutent de toi, ils t’ont sacrifié, tu n’existes plus pour eux, sauf pour payer et nourrir la caste politicienne, ses complices, et tous les nouveaux venus qui ne cotiseront jamais, mais vivront de ton travail, si tu arrives à le conserver. Ils ont décidé d’accélérer ton remplacement, tu ne fais plus partie de l’Histoire telle qu’ils la conçoivent. Les Gaulois, pour eux, c’est terminé, place aux citoyens du Monde. La France, c’est fini, place à un monde sans frontières, au mondialisme et au multiculturalisme. Même les blancs, ta couleur de peau, ils n’en veulent plus, ils exigent l’Homme nouveau, forcément métissé. Ton histoire, mélange de Grèce, de Rome, de Celtes, de Germains, de catholicisme, de nos Rois, de la Révolution, ils n’en veulent plus, ils te convainquent dans les manuels scolaires que l’islam, ce dogme criminel et assassin, fait partie de ton histoire. Ils arrivent même à t’expliquer que ce sont les étrangers musulmans qui ont construit la France et que, sans eux, l’Allemagne aurait triomphé. Et, toi, devenu un consommateur décérébré, tout ce que tu as compris de ces derniers jours, c’est que grâce à ce traitre de Hollande et son Cop 21, la planète était sauvée, et que la France du football avait eu un bon tirage, et que peut-être elle serait championne d’Europe dans quelques mois. Et tu pries pour que la racaille Benzema puisse rejouer avec les Bleus. Tu t’en fous que dans quelques jours, peut-être quelques semaines, peut-être quelques mois, mais pas davantage, des familles pleurent de nouveaux décapités, de nouvelles victimes d’attentats-suicides ou de bombes dans les transports en commun. Tu t’en fous tant que cela ne te touche pas. Et même si cela te touchait, tu serais assez con pour aller saluer Hollande et Valls, sans comprendre que ce sont les obligés de ceux qui assassinent les tiens. Et tu as été assez con pour t’abstenir, ou pour voter pour eux, ou pour Sarkozy. Casse-toi, pauvre con, tu me dégoûtes !
Ecoute au moins ce que raconte Philippe de Villiers, écoute au moins ce que disent Marine Le Pen, sa prometteuse nièce Marion, Eric Zemmour, Robert Ménard, et tous ceux qui essaient de transmettre aux générations futures leur amour de la France et d’ouvrir les yeux de nos compatriotes. On ne te demande pas d’être d’accord avec tout, mais d’essayer de comprendre ce qui se passe, et quelles sont les priorités. Ecoute ce que disent les apostats de l’islam, qui essaient de t’alerter sur la réalité de ce dogme conquérant et barbare, qui rêve d’imposer ses lois à ton pays qui est le nôtre. Ecoute ce que dit Cyril, une des victimes des attentats du Bataclan, qui lui, est toujours à l’hôpital, et rêve de se venger de ceux qui ont pourri sa vie, en les tuant. C’est quand même autre chose que les bisounours et leurs bougies qui roulent des pelles au musulman de service quand il leur fait le coup de sa religion d’amour et de paix…
Montre-nous au moins une fois dans ta vie qu’il reste en toi du sang de Gaulois, et que tu es autre chose qu’un minable soumis qui se laisse enfler et envahir par l’ennemi, en disant merci et en continuant de voter pour nos fossoyeurs.
Sinon, crève, on fera sans toi.
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Elections régionales : après le second tour, un communiqué de Thomas Joly
Secrétaire général du
Parti de la France
Son blog cliquez là
Si le Système a été ébranlé au 1er tour par un vote massif de rejet de ceux qui se partagent le pouvoir depuis des décennies et par une abstention massive de Français qui ne se reconnaissent plus dans l'offre électorale actuelle, il est tout de même parvenu à ressusciter le Frankenstein putréfié qu'est le « Front républicain » pour le second tour. Douchant ainsi les espoirs des Français lucides et les ambitions du Front Phillipot-mariniste.
Même si les scores élevés du néo-FN sont un bon indicateur de la capacité de résistance électorale du peuple français, la fameuse « dédiabolisation » - crédo obsessionnel de Marine Le Pen - a ici montré toutes ses limites. En effet, malgré tous les reniements idéologiques, toutes les reptations devant les lobbies dominants, l'épuration méthodique des cadres historiques de son parti pour les remplacer par des arrivistes issus du Système, nous avons eu droit à un entre-deux tours rappelant l'hystérie collective de 2002, où tous les parasites hors-sol de notre société (médias, associations, show-bizz, etc) ont mobilisé l'électorat pour « sauver la République ». Et ça a marché, une nouvelle fois.
De plus, il serait intéressant de connaître la part de mobilisation de la 5e colonne musulmane, toujours apte à se déplacer pour voter au mieux de ses intérêts ; en attendant bien sûr de présenter un jour prochain ses propres candidats.
Dans les conditions les plus « favorables » (chômage de masse, crise des migrants, attentats), le néo-FN n'est pas parvenu à obtenir une majorité électorale dans ne serait-ce qu'une seule région. Ce qui, au final, annonce un avenir difficile pour tous les défenseurs de la France française qui doivent, en plus de combattre l'invasion et l'oligarchie au pouvoir, encore éveiller bien des Français qui, inconsciemment espérons-le, creusent aujourd'hui leur propre tombe.
C'est pourquoi, plutôt que de se fourvoyer dans l'escroquerie politique qu'est devenue l'écurie électorale de Madame Le Pen et de son clan, j'invite les Français non-reniés à rejoindre l'action politique du Parti de la France qui, au-delà de toute considération électorale, continuera de dire la vérité, de défendre sans aucune concession nos valeurs de civilisation française et européenne, notre identité nationale et notre droit à vivre dans une France française, protégée et respectée.
11:09 Publié dans Communiqués de presse, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Conférence de presse de l'association "Urgence enfants du Dombass" à Paris
Le Président Fragny et le Vice-Président Leroy lors de la conférence de presse de vendredi dernier à Paris.
Le 11 décembre 2015 se tenait à Paris, une conférence de presse organisée par l'association humanitaire "Urgence, enfants du Donbass".
Les journalistes réunis dans un salon d'une célèbre brasserie parisienne ont écouté pendant plus d'une heure Alain-Christian Fragny et Emmanuel Leroy, respectivement président et vice-président de l'association relater les deux actions qu'ils ont menées durant l'année 2015 en faveur des populations civiles du Donbass. Parmi les journalistes étaient présents des représentants de la presse patriote comme Synthèse nationale, Rivarol et TV Libertés. L'agence Tass, le service presse de l'ambassade de la fédération de Russie et le Monde étaient aussi représentés. Il faut citer également un correspondant de l'Agence Novorossia Today cliquez ici par ailleurs membre de l'association de soutien au Donbass, Novopole.
Le président Fragny a expliqué les motivations qui l'on conduit à s'engager. Citoyen européen, malheureux du déclin de notre continent il a regardé avec sympathie et admiration l'œuvre de redressement de la Russie accomplie par Vladimir Poutine.
Ce patriotisme tranche malheureusement avec l'aveuglement des dirigeants ouest européens soumis aux diktats de Washington. Cette soumission allant jusqu'à soutenir les pires hommes de main du nouvel ordre mondial, les terroristes salafistes en Syrie, les bataillons punitifs ukrainiens dans le Donbass.
Ce dernier conflit provoqué par la volonté des occidentaux d'encercler la Russie a engendré plus de 8 000 morts, 17 000 blessés et le bombardement aveugle de populations civiles.
Un fait divers a particulièrement choqué Alain-Christian Fragny. Durant les combats de 2014, les troupes du régime kievien n'ont pas hésité à mener une attaque aux gaz contre l'hôpital de traumatologie de Donetsk.
Cette abomination a été le déclencheur qui a conduit à la création de l'association en septembre 2014.
Emmanuel Leroy a ensuite détaillé les actions menées pendant l'année écoulée. "Urgence, enfants du Dombass" ne reçoit aucune aide des pouvoirs publics français mais fait appel à la générosité des particuliers.
En mai 2015 en liaison avec le ministère des Affaires étrangères de la République populaire de Donetsk, une première mission a été organisée. Elle a permis de remettre 3 000 € au centre de réhabilitation des enfants. Cette somme représente une véritable aide pour un pays ou le salaire moyen des fonctionnaires équivaut à 80€ par mois.
En décembre, lors d'un deuxième voyage, les bénévoles de l'association on remis cette fois ci 8 000 € pour remettre en état le chauffage de la maison des enfants, prendre en charge les soins de 4 petits blessés et avec le reste de l'argent acheter des jouets pour les fêtes de Noël.
L'orateur a indiqué que les buts de l'association était essentiellement humanitaire mais que devant la multiplication des crimes de guerre ukrainien," Urgences, enfants du Donbass" souhaitait qu'une action puisse être engagée devant le tribunal pénal international à l'encontre des dirigeants de la junte de Kiev.
En appui de ces propos, plusieurs dizaine des photos insoutenables représentants des civils mutilés par les bombardements terroristes ont été présentées aux journalistes.
La conférence c'est terminée par les questions posées par l'assistance. Alors qu'un journaliste demandait si l'association rencontrait des difficultés à diffuser son message, Emmanuel Leroy a répondu "qu'aujourd'hui le polarité s'étant inversée, le monde russe représente un monde liberté alors qu'a l'ouest, les médias aux ordres font peser une chape de plomb sur l'information."
Urgences Enfants du Donbass poursuivra son action en 2016, une collaboration avec l'association Novopole est envisagée pour créer une synergie en faveur du Donbass et de sa population.
10:36 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LOGIQUE REVOLUTIONNAIRE
Que voulons-nous ? La destruction du Système qui sert, depuis longtemps, de rente de situation à la droite et à la gauche. Cela s’appelle une révolution. Dire cela ce n’est pas se gargariser d’un grand et beau mot, c’est un constat objectif.
L’espoir d’une révolution, qui a mobilisé nos énergies pendant des décennies, n’en paraissait pas moins quelque peu utopique. Aujourd’hui, la donne a changé. Le champ des possibles s’ouvre. En effet le premier tour des élections régionales a révélé une incontestable montée en puissance des exaspérations, provoquées par un chômage, une insécurité, une immigration-invasion que les hommes de droite et de gauche qui se sont succédé au pouvoir se sont avérés incapables de maîtriser et, bien plus, dont ils sont directement responsables. Ce que bien des gens comprennent.
Nous exagérons ? Alors laissons la parole au Monde, ce quotidien qui tient lieu de journal officiel du Système. Le 8 décembre, prenant acte des « ravages » que constitue le vote FN, il écrit : « Il ne fait pas de doute que la responsabilité des partis qui gouvernent la France depuis des lustres est lourdement engagée. Ils en subissent, aujourd’hui, la sanction. Les uns et les autres ont échoué à sortir le pays du marasme où il se débat. Les uns et les autres n’ont pas su lui proposer un projet de société capable de lui redonner foi en ses atouts, en sa cohésion et en son avenir collectif. C’est vrai de la gauche depuis trois ans et de son impuissance à endiguer la crue sans fin du chômage, en dépit de promesses répétées : avec quelque 700 000 chômeurs de plus depuis mai 2012, et encore 40 000 supplémentaires au mois d’octobre, elle porte le poids de cet échec. Mais la droite au pouvoir durant les dix années précédentes, après l’avertissement sans frais du 21 avril 202, n’est pas davantage à l’abri des responsabilités. Passé l’illusion de l’élection présidentielle de 2007, elle n’a pas su soigner les maux dont nous souffrons. Qu’il s’agisse de l’insécurité économique d’un pays privé, ou presque, de croissance, de l’insécurité sociale qui frappe des millions de ménages en galère, de l’insécurité « culturelle » d’une nation qui doute d’elle-même ou de l’insécurité vitale attisée par le terrorisme, gauche et droite peuvent bien se renvoyer la balle. L’évidence est qu’elles ont été, l’une et l’autre, incapables d’apporter des réponses à la hauteur des enjeux et des dangers ».
Cet état des lieux explique que la crise de confiance à l’égard du Système va durer au-delà d’un scrutin. Celui du premier tour a ceci de positif qu’il est le révélateur d’une situation qui pourrait devenir prérévolutionnaire. En effet, si réussit la mobilisation totale du Système pour empêcher la victoire du FN dans les régions où il est arrivé largement en tête au premier tour, l’électorat frontiste, frustré, amer va prendre conscience de la duperie électorale, contrôlée par les magouilleurs d’une gauche-droite qui ont la trouille d’être déboulonnés et prêts donc à toutes les combines pour garder la gamelle. Et il va être tenté de se radicaliser, ouvrant ainsi de vraies perspectives à une action révolutionnaire. Quels que soient les résultats du 13 décembre, un espoir est né.
Article publié sur le site de Terre et peuple le 10 décembre, avant le second tour.
09:50 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réinfo, le mag du Parti de la France, de cette semaine
09:43 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 11 décembre 2015
Qu’est-ce qu’un « politicien de la gamelle » ?
Dr Bernard Plouvier
La campagne électorale, surprenante à bien des égards, de ces « régionales » nous l’explique à la perfection. Il suffit de décrypter les messages et d’en inverser la polarité.
Lorsque des quotidiens, réputés « indépendants des partis politiques » (attention à ne pas s’étrangler de rire), terrorisent l’électorat en lui indiquant que voter pour un parti « atypique » - celui qui combat la mondialisation des vies politique et sous-culturelle, qui vomit la globalisation de l’économie source de désindustrialisation massive et de chômage d’une ampleur inédite en France, qui lutte contre l’immigration-invasion extra-européenne et l’introduction massive en France de l’islam ravageur de la civilisation européenne -, c’est pratiquement déclencher la IIIe guerre mondiale…
Lorsque des industriels – grands délocalisateurs d’entreprises, au nom du « nécessaire développement des autres continents » - nous promettent la ruine de l’économie française si l’on vote pour ce parti (au fait, plus de cinq millions de chômeurs, une Dette pharaonique et un déficit record de la balance commerciale, soit l’héritage des politiques menées depuis 1981 et l’entrée dans le beau monde de la mondialisation-globalisation, ne serait-ce pas « la ruine » ?)…
Lorsque des artistes (prononcer « artisses ») nous rappellent que voter pour ce parti, c’est assurer la ruine de notre « culture », c’est-à-dire la fin des superbes réalisations du style Centre Beaubourg, colonnes de Buren, sculptures bizarres et autres dingueries…
Lorsque des dirigeants d’associations subventionnées par État, régions, départements et/ou municipalités, dont l’utilité n’échappe à personne (telles ces associations qui refusent d’envisager l’ombre d’un soupçon de l’existence d’un racisme anti-Blancs) gémissent, hurlent, claironnent – à chacun sa formule, selon son caractère ou sa façon de manipuler l’opinion publique – que voter pour ce parti, c’est introduire la « Gestapo en pire » dans la vie quotidienne…
On comprend ce qu’est un « politicien de la gamelle » : c’est celui qui touche des fonds privés (voire publics) pour se faire élire - voire pour d’autres usages, davantage « domestiques » -, puis redistribue les fonds publics (entendre : l’argent des impôts payés par les honorables travailleurs et retraités), oriente adroitement (pas toujours, en fait) les adjudications en principe « publiques », les commandes et les subventions. Bref, c’est une économie parallèle – aux frais des contribuables – qui est en jeu à chaque nouvelle élection.
L’on comprend mieux la panique de certains lorsque des nouveaux venus veulent nettoyer les écuries de la Ripoublique et comme, pour celles d’Augias, ce ne peut qu’être un travail d’Hercule.
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Economie : TV Libertés et France Conso Banque
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3213 du 3 décembre 2015
L’IMAM Mohamed Khattabi déclarait dans un récent sermon prononcé à la mosquée Aïcha de Montpellier : « Notre bannière, notre partie, nos frontières, notre tribu et notre nation [se résument toutes à] “Il n’y a pas d’autre Dieu qu’Allah et Mahomet est Son messager”. Tout le reste est voué à nous diviser… Mais ils veulent nous contrôler afin que nous ne nous réveillions pas de notre sommeil, car le musulman est un géant endormi, et s’il se réveille, malheur à celui qui se trouve dans les parages, car il rendra sa gloire à l’humanité. Et si quiconque souhaite le mal à l’islam — fais que cela se retourne contre lui… » L’imam a participé aux fêtes de l’UOIF et soutient les Frères musulmans. On voit le genre de modéré… A l’issue d’une perquisition de trois heures, l’ancien imam du principal lieu de culte musulman de la ville a été assigné à résidence.
Devinez qui lui apporte son soutien ? Djamel Boumaaz, élu sur la liste du Front national au conseil municipal de Montpellier ! Il déclare : « Je tiens à être, aujourd’hui, solidaire de l’imam Khattabi, solidaire d’un iman qui prêche en français et surtout solidaire d’un homme qui prône la paix ». Cela s’appelle se moquer du monde… La députée socialiste Anne-Yvonne Le Dain (PS), s’est, elle, félicitée de son assignation à résidence sur sa page Facebook. C’est vraiment le monde à l’envers…
ILS VEULENT FAIRE INTERNER ROBERT MÉNARD…
Le maire de Béziers Robert Ménard, a présenté récemment une “charte”, demandant aux dirigeants des mosquées de la ville de signer ce texte qui précise notamment que les imams doivent « prêcher en français en toutes circonstances » et exige une « clarification des activités des mosquées de Béziers ». Second point : « les imams et fidèles des mosquées de Béziers s’engagent à ne faire aucun appel à la prière dans la rue sous quelque forme que ce soit ». Troisièmement, « les imams et présidents d’associations gérant les mosquées de Béziers s’engagent à ne pas poursuivre d’activités et à entretenir des liens avec des associations ou des mosquées, en France ou à l’étranger, appartenant aux courants les plus extrémistes, salafiste et Frères musulmans ». Autre exigence : que « les dirigeants des mosquées s’engagent à ne recevoir aucun financement d’un État étranger, d’une collectivité d’un État étranger ou d’une association étrangère ». Réactions furieuses de certains mahométans et, bien entendu, de leurs complices : « C’est une charte de la honte. Il est urgent que Ménard soit interné »… Et si on les internait, eux ?
QUAND LA LICRA DU BAS-RHIN DONNE SES ORDRES AUX POLITIQUES ET AUX GENDARMES
Dans une lettre, la Licra du Bas-Rhin ordonne à Philippe Richert, tête de liste régionale LR-UDI-MoDem et à Pernelle Richardot, tête de liste bas-rhinoise PS-UDE « d’annoncer dès à présent que vous ferez ce qui est en votre pouvoir pour faire barrage à l’extrême droite ». Inquiète du résultat potentiellement élevé de la liste FN conduite par Florian Philippot, la LICRA rend d’avance les listes de “droite” et de gauche responsables d’une éventuelle victoire du FN sommant la liste qui « s’avérerait au soir du premier tour ne pas être la liste républicaine la mieux placée pour l’emporter » d’en tirer les conséquences, en d’autres termes de se retirer. Mais de quoi se mêlent-ils ? Preuve en tout cas que la danse du ventre de la direction du néo-FN devant les dirigeants de la communauté juive n’a pas tous les effets escomptés…
Mais la LICRA ne s’arrête pas en si bon chemin. On sait que les gendarmes ont le front bas et une appétence naturelle pour le racisme et, bien pire, pour l’antisémitisme. Il convenait de les reprendre en main et de les mettre sur le droit chemin. Ce fut l’ordre comminatoire que cette association juive donna aux autorités gendarmesques qui, naturellement, s’exécutèrent. C’est ainsi que depuis trois ans, les gendarmes du Gard sont associés à la Ligue internationale dans sa lutte contre le racisme (Licra), histoire d’être formés. Leur “officier référent”, fier comme Artaban, explique qu’il « fallait mieux se connaître et, pour cela, se rencontrer au plus près du terrain ». La Licra a expliqué à l’engeance gendarmesque comment il convenait de penser, comment il fallait accueillir les victimes d’abominables actes racistes et surtout, surtout, antisémites. C’est ainsi que 600 militaires du département, soit les trois quarts des effectifs, ont été formés. On leur a expliqué que certaines infractions, notamment les injures non publiques étaient difficiles à prouver, puisqu’il n’y a pas de témoin, mais qu’il le fallait quand même. Comment ? Par des aveux obtenus par la torture sans doute, mais ceci n’est pas précisé. Espérons qu’il ne viendra pas à Jérôme Bourbon ou à Eric Zemmour l’idée saugrenue de commettre un excès de vitesse sur les routes du Gard. Il pourrait leur en cuire…
LES TRAÎTRES DE GOLDMANN SACHS ET DU GROUPE BILDERBERG
Peter Sutherland est le directeur-général de l’Organisation Mondiale du Commerce. Il est aussi Commissaire Européen à la Concurrence, directeur de Goldman Sachs international, conseiller financier du Vatican, et membre de la direction du Groupe Bilderberg, directeur de la Commission Trilatérale et Conseiller Spécial auprès du Secrétaire-Général de l’ONU pour les Migrations Internationales. Un surhomme sans doute pour mener de front tant d’activités. Voici ce qu’il déclare dans une interview disponible sur le site de l’ONU où il prône l’ouverture tous azimuts des frontières : « Si vous prenez l’Allemagne comme exemple, l’Allemagne a le plus faible taux de naissance du monde. Ce plus faible taux de naissance nécessite d’accueillir plus d’un million de migrants par an sur les 30 prochaines années pour maintenir une situation où le nombre de retraités est équivalent à celui des actifs de 30 ans. » Il ajoute : « Je pense qu’il y a là un motif économique qui est tout aussi évident dans d’autres endroits d’Europe, particulièrement en Espagne, en Italie, au Portugal, par exemple, où il y aura de gros problèmes dans le futur s’il n’y a pas d’immigration. » Et de conclure : « Je demanderai aux gouvernements de coopérer, de reconnaître que la souveraineté est une illusion, que la souveraineté est une illusion absolue que nous devons mettre derrière nous. Les jours où nous nous cachions derrière des frontières et des barrières ont disparu depuis longtemps. »
PAROLES DE TRAÎTRES
Petite recension relevée sur Internet. Commençons par Manuel Valls qui déclare le 13 juin 2015 : « L’islam a toute sa place en France, en Europe. C’est un grand défi des années qui viennent : faire la démonstration que l’islam est totalement compatible avec la démocratie, avec la République, avec l’égalité des hommes et des femmes, avec le dialogue ».Taubira, qui sait intimement ce qu’est l’anti-France, a, quant à elle, déclaré : « Il faut comprendre le jeune qui part en Syrie. » Les Français ont compris depuis le 13 novembre, merci pour eux… Cazeneuve, le supposé ministre de l’Intérieur a, lui aussi été grandiose : « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad ». Mais Anne Hidalgo, qu’en dit-elle ? « Le ramadan est une fête qui fait partie du patrimoine culturel français ». Bien sûr, comme Noël fait partie du patrimoine culturel turc ou séoudien… Mais clôturons cette petite recension par ceux qui emportent le concours du délire islamophile et anti-chrétien : Martine Aubry avec ces mots : « 35 % de Maghrébins, c’est génial. Moi, je m’em… dans une ville où on est tous pareils ». Et puis, la médaille d’or est décernée à l’unanimité à Vincent Peillon, député européen et membre dirigeant du Parti socialiste qui a été ministre de l’Éducation nationale dans le gouvernement Ayrault du 16 mai 2012 au 31 mars 2014. Il aurait déclaré : « Le catholicisme est incompatible avec la liberté, contrairement à l’islam », ajoutant : « on ne peut pas construire un pays de liberté avec la religion catholique ».Tout petit rappel quant à ses origines familiales : Vincent Benoît Camille Peillon est le fils de Gilles Peillon (1928-2007), banquier et communiste, qui fut directeur général de la première banque soviétique hors d’URSS, la Banque Commerciale pour l’Europe du Nord — Eurobank, puis de la banque franco-algérienne Union méditerranéenne de banque. Du côté maternel, il est issu d’une famille juive alsacienne. Il célébra la bar-mitsva de son fils alors qu’il était ministre. Mais ceci n’a bien sûr rien à voir avec ce qui précède…
LA GUERRE DE MARINE CONTRE MARION AURA BIEN LIEU
Tête de liste du FN en Provence-Alpes-Côte d’Azur, Marion Maréchal-Le Pen, lors d’une réunion publique de la Manif pour tous à Marseille le 17 novembre, a promis de « supprimer les subventions aux Plannings familiaux » qui ne sont, selon elle, que des « associations politisées qui véhiculent une banalisation de l’avortement ». Courageux, voire téméraire dans ce monde de folles qu’est le FN mariniste. Marine Le Pen a vite réagi, déclarant : « Ce n’est pas dans les projets du FN. Ce n’est qu’un projet de la tête de liste en PACA ». Marine Le Pen n’appelle même plus Marion Maréchal Le Pen par son nom. Cela illustre l’état de tensions et de rivalités entre la tante et la nièce. Florian Philippot avait déjà apostrophé Marion Maréchal lors d’une commission d’investiture en lui disant sans ménagement qu’elle ne serait pas là si elle ne s’appelait pas Le Pen. On pourrait pourtant en dire autant de sa patronne.
On le voit, à terme la guerre semble inévitable entre Marine et Marion, plébiscitée lors du dernier congrès où elle est arrivée première au comité central et qui ne porte pas avec elle l’infamie de l’exclusion de Jean-Marie le Pen puisqu’elle n’est pas membre du bureau exécutif et qu’elle s’est montrée beaucoup plus modérée que sa tante vis-à-vis du Menhir.
Ah, au fait, qu’a dit au sujet de la proposition de Marion Maréchal l’inénarrable Wallerand de Saint-Just, candidat FN en Ile-de-France, qui fut l’avocat de l’Agrif et en quelque sorte l’adjoint de Bernard Antony et défenseur de la vie, mais ceci dans une vie antérieure ? Il a répondu sobrement, avec cette brillante intelligence qui le caractérise : « Je n’ai pas mis dans mon programme régional l’éventualité de supprimer les subventions au Planning familial ». « Ça fait seulement débat dans la tête de Marion Maréchal Le Pen mais ce n’est pas un sujet pour nous ». Avec Saint-Just, l’ex-avocat qui a exécuté froidement son client, on n’est jamais déçu ! En tout cas, les choses ont le mérite d’être claires : Philippot, Marine Le Pen et Saint-Just font partie de la clique des avorteurs ! Qu’on se le tienne pour dit !
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18:48 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Démocratie parallèle et schizophrénie des politiciens en place…
Hervé Hocquet Boulevard Voltaire cliquez ici
Christian Estrosi invente un nouveau concept : la démocratie parallèle… Jusqu’ici vous pensiez, braves gens, que les élections permettaient de nous représenter. Eh bien non ! En PACA, les électeurs vont élire une assemblée régionale selon le mode classique… sauf qu’un des trois grands courants ne sera pas représenté, pour en faire gagner un deuxième au détriment du troisième pourtant ultra majoritaire !
Et si ça marche, un « shadow cabinet » appelé « conseil territorial » sera mis en place pour permettre à ceux qui n’auront pas d’élus, et qui auront ainsi permis aux autres de gagner, d’être finalement entendus, écoutés… et associés ? Bref, il y aura l’assemblée régionale légale du PACA, et puis l’assemblée parallèle résultat des magouilles politiciennes, mais où l’électeur – base théorique de la démocratie quand même… quoique, depuis le referendum de 2005, on peut se poser la question… – n’aura rien eu à dire !
À part ça, qui s’autoproclame « partis républicains », expression reprise constamment par la presse subventionnée ?
À longueur d’antenne on entend « le FN ne pourra pas appliquer son programme, la région a trop peu de pouvoirs, ses thèmes favoris ne sont pas du ressort des décisions régionales » ! Mais on entend aussi : « Il ne faut surtout pas que le FN gagne ne serait-ce qu’une région, ça serait la catastrophe, l’apocalypse, la Bérézina… » Alors, de deux choses l’une : ou la région est importante, ou elle ne l’est pas… Mais quand on est schizophrène, comme les élus LR-PS en place, on peut dire tout et son contraire, à longueur d’antenne complaisante devant des journalistes bien peu critiques…
Mais tout ceci n’a en réalité qu’un seul but : corriger les erreurs du bon peuple qui vote mal depuis au moins dix ans, et surtout, surtout, continuer à se partager le gâteau, en évitant qu’un troisième larron vienne réduire notre part ! Quand le peuple vote bien, c’est de la démocratie, quand le peuple vote mal, c’est du populisme… Alors on passe derrière ses décisions et on les corrige, car nous, politiciens LR-PS, savons quand même mieux que lui ce qu’il devrait voter !
09:37 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
N'oubliez pas que les sondeurs sont avant tout des commerçants...
Source Riposte laïque cliquez là
09:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : dimanche prochain, 13 décembre, à Aix-la-Chapelle, rassemblement de PEGIDA contre l'islamisation de l'Europe
Ce dimanche 13 décembre 2015 à 14h, 4 PEGIDA (PEGIDA Liège/Lüttich, PEGIDA Flandre, PEGIDA Pays-Bas et PEGIDA Allemagne) organisent un rassemblement international à Aix-la-Chapelle (Aachen) en Allemagne.
Le lieu de rassemblement est le Tivoli sur la place située devant le stade de football. (Adresse : Krefelder Strasse 205, 52070 Aachen, Allemagne).
Lire toutes les informations sur le site de Lionel Baland cliquez ici
09:17 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 10 décembre 2015
Quand les Allemands sont nominés par Time, il faut prévoir le pire...
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