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samedi, 05 décembre 2015

Jan-Marie Le Pen à propos de la COP 21

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Quos vult perdere Jupiter demendat

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Dr Bernard Plouvier

C’est un adage antique que l’on aurait intérêt à méditer de nos jours, selon lequel la divinité rend fous ceux qu’elle veut perdre.

Les nouveaux attentats perpétrés par les furieux islamistes, ne touchent plus seulement la France (pays de très forte minorité musulmane, comme ne semble pas le remarquer le ministre de l’Intérieur et des Cultes, dont les services minimisent le nombre approximatif des sectateurs de Mahomet, hôtes de notre beau pays) ou la Turquie (peut-être pour des raisons de politique intérieure qui échappent à l’observateur étranger aux finasseries pantouraniennes), mais aussi ces USA … où, selon certains commentateurs, on n’aurait pas dû en voir, parce que « les musulmans y sont bien intégrés » ou parce que « l’on n’y entre pas aussi facilement qu’en Europe occidentale » etc. On ne voit aucune raison pour qu’ils épargnent les États scandinaves, la Grande-Bretagne ou l’Allemagne.

Or, dans tous les pays où frappent les fous d’Allah, on entend la même rengaine : « il faut limiter de façon draconienne la vente des armes ». Certains pitres ont même interdit la vente de produits d’entretien ménager, parce qu’effectivement les dérivés chlorés et nitrés peuvent fournir une excellente base d’explosifs… mais l’essence et les autres dérivés du pétrole sont également très dangereux entre les mains d’un fou furieux, et il ne faudrait pas oublier l’étrange fascination des tueurs du calife pour les couteaux à lame de céramique. On risque d’interdire beaucoup d’objets de consommation courante !

Si l’on suit le raisonnement de ces génies de la protection civile : tout irait pour le mieux si l’on désarmait « le peuple », sachant que les terroristes islamiques sont admirablement fournis – parfois par valise diplomatique – en armes, en explosifs et même en morphine pour acheter localement du matériel de complément. C’est bien connu : les crapules savent toujours où se fournir en tout ce qui leur permet d’exercer leur prodigieuse capacité de nuire, alors que le gentil pékin ignore tout de ces réseaux obscurs.

Plutôt que d’organiser des milices d’autoprotection, dans le cadre de ces « démarches citoyennes » dont les socialo-écolo-pseudo-gaucho-mondialistes nous rebattent les oreilles, l’on va résoudre tous les problèmes de sécurité en raflant les armes du bon peuple menacé. Hollande, Valls, Cazeneuve et Taubira (qui se fait rare et silencieuse en ce moment, comme c’est bizarre !) vibrent à l’unisson d’Hussein Obama : désarmons le peuple ! Luttons contre la vente libre des armes (aux USA, pays de liberté jusqu’en 2001) !

En contrepartie de ce désarmement des victimes potentielles, on promet une action accrue des forces de l’ordre… qui, au bout de quinze jours d’alerte en France, se proclament déjà surmenées. Le torchon destiné à l’exportation de l’État Islamique, Dâr al-Islam, a montré une photographie de policier français pleurant sur l’épaule d’un camarade de patrouille, comme une pucelle abandonnée par son premier flirt… le commentateur n’a pas tort d’y voir un manque de virilité.

Après tout, la sagesse populaire le proclame : tel maître tel valet ! Hollande est un champion de l’inauguration des chrysanthèmes – et cela lui profite énormément en gain de popularité -, mais ni lui, ni ses ministres, ni le policier émotif présenté par la presse islamiste ne paraissent capables de protéger la Nation.  

Lors de la prochaine vague d’attentats, les citoyens devront décider de leur sort : se laisser trucider pour la plus grande gloire d’Allah le tout-puissant ou se souvenir du comportement des Français d’autrefois. Bien entendu, chacun est libre de se prosterner devant l’envahisseur, de se convertir à sa foi médiévale, voire d’aider activement à son triomphe… mais chacun doit se souvenir que lors de la phase de Libération du territoire, les Collaborateurs éprouvent de menus désagréments.

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vendredi, 04 décembre 2015

Régionales : consignes du Parti de la France

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Communiqué du Parti de la France :

Dans le cadre du 1er tour des élections régionales du dimanche 6 décembre, le Parti de la France appelle ses sympathisants à voter pour les listes auxquelles participent ses cadres et ses militants : celle menée par Jacques Bompard en PACA et celle menée par Jean-Claude Martinez en Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.

Dans les autres régions, le Parti de la France ne donne aucune consigne de vote et laisse ses militants et sympathisants libres de leur choix afin qu'ils puissent s'exprimer au cas par cas en leur âme et conscience.

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Révolution et Contre-révolution, les leçons du passé. Le nouveau numéro de la revue Civitas est paru...

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Les épopées contre-révolutionnaires présentées dans ce numéro de la revue Civitas sont notre passé.

Elles doivent nous inspirer dans les combats contre-révolutionnaires d’aujourd’hui. Car nos combats contre la destruction de la famille, la dénaturation du mariage, la déchristianisation de notre société, le déracinement, le travail de sape de notre patrie, l’invasion migratoire, le mondialisme… doivent être menés dans l’esprit et selon les principes contre-révolutionnaires.

Mgr de Ségur a donné quelques conseils « pour combattre le bon combat et conserver la foi ». S’adressant aux vrais catholiques, il leur dit : « Par la prière, par les saintes œuvres, par l’action et par la parole, par la polémique, par tous les moyens légitimes d’influence, chacun d’eux s’efforce de repousser l’ennemi et de faire triompher la bonne cause. »

Bien sûr, le combat contre-révolutionnaire n’est pas consensuel. Combien ne voyons-nous pas autour de nous de prétendus « amis » qui croient admirer croisés, chouans et cristeros, mais qui répugnent à envisager de mener les combats actuels avec la même abnégation, la même force, la même fermeté, la même intransigeance et surtout la même foi catholique publiquement assumée et revendiquée ?
Les luttes entre la Contre-révolution et la Révolution sont souvent cachées mais éclatent non moins souvent au grand jour, dans une succession d’évènements apocalyptiques où la grandeur et le courage le disputent à l’horreur et à la lâcheté.

Il s’agit en ces pages d’exercer autant un devoir de mémoire, que de discerner des leçons pour le présent et l’avenir :

Leçons négatives d’une part : ces épopées ont été l’occasion d’erreurs parfois gravissimes. Le but n’est pas tant de le rappeler que d’amener le lecteur à percevoir combien – dans le contexte actuel de déchristianisation avancée et de haine entretenue contre les catholiques (la Révolution ne dépose jamais les armes…) – des erreurs a priori beaucoup moins graves pourraient être néanmoins rapidement fatales.

Leçons positives d’autre part : nous ne serions pas de Dieu si nous limitions notre propos aux trahisons, bassesses et autres inconséquences… et ce dossier doit être l’occasion de méditer des pages d’héroïsme, de grandeur et de sacrifices écrites par des catholiques de tous les temps et de toutes les latitudes, fidèles à leur Dieu et à leur patrie.

Le premier article sur le génocide vendéen, écrit par Sylvain des Rochettes, montrera d’abord – sur base des travaux de Reynald Secher – jusqu’où peut aller l’horreur révolutionnaire, dans un pays que l’on pensait alors à la pointe de civilisation. Il faut s’en souvenir et en tirer pour demain toutes les conséquences.

Michel Fromentoux présentera ensuite la résistance ardéchoise pendant la Révolution, moins connue mais tout aussi édifiante que l’épopée vendéenne.

Jean-Louis Picoche nous entraînera au-delà de l’océan pour évoquer l’histoire des Cristeros. Selon Jean-Louis Picoche, l’issue de cette épopée aurait pu être beaucoup plus favorable si certains hommes d’Eglise n’avaient pas montré une ingérence et une naïveté coupables.

Enfin, Miguel Ayuso, juriste et philosophe du droit, brossera un portrait, plus intellectuel qu’événementiel, du carlisme, grand mouvement du légitimisme et du traditionalisme espagnol.

Pour commander ce numéro : 7€ + 2.50 de port
ou par chèque bancaire à l’ordre de Civitas, 17 rue des Chasseurs, 95100 Argenteuil

Plus d'infos cliquez ici

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Médias Presse infos commente "Beyrouth 1976"

liban couv.jpgEmmanuel Albach est le président de l’Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban. Il a combattu au Liban de janvier à juillet 1976 et a fait ensuite une carrière de journaliste. C’est à son retour de Beyrouth, il y a quarante ans, qu’il a rédigé ce livre. Alors que les chrétiens d’Orient sont victimes d’une nouvelle tentative d’élimination, il lui semble temps de le publier.

Ce livre est la mémoire de cette poignée de jeunes Français partis au secours des chrétiens du Liban, aux pires heures de la menace, au risque de leur propre existence. Ni mercenaires ni soldats d’une armée régulière, ces volontaires français, essentiellement des étudiants, ont rejoint les Phalanges chrétiennes du Liban, alors dirigées par Béchir Gemayel, pour d’éprouvants combats de rue d’une guerre de positions à Beyrouth contre les diverses milices musulmanes.

Ils étaient environ une quarantaine, cinquante tout au plus. Ils ont sauvé l’honneur de la France.

Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes, Emmanuel Albach, éditions Synthèse Nationale, 260 pages, 22 euros

A commander en ligne sur le site de l’éditeur

Source Médias Presse infos cliquez ici

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jeudi, 03 décembre 2015

"BEYROUTH 1976 DES FRANCAIS AUX COTES DES PHALANGISTES" en vente à Paris

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Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangiste, édité par Les Bouquins de Synthèse nationale, est en vente à Paris à :

Facta, 4, rue de Clichy 75009 Paris

Duquesne Diffusion, 27, avenue Duquesne 75007 Paris

Notre Dame de France, 33, rue Galande 75005 Paris

La Librairie française, 5,  rue Auguste Bartholdi 75015 Paris

Vous pouvez aussi le commander en ligne cliquez ici ou par correspondance cliquez là

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3212 du 26 novembre 2015

EN JANVIER dernier, dans une vidéo, Aymeric Chauprade dénonçait l’existence d’une « cinquième colonne islamiste » en France, estimant qu’une « guerre avec des musulmans » était en cours. Il dissertait sur l’imminence d’un « choc des civilisations » et comparait les musulmans aux Allemands d’avant 1933, “pacifiques” et pourtant sur le point de porter le nazisme au pouvoir. Ce qui est évidemment faux aux yeux de Marine Le Pen. Pourtant, après les attentats du 13 novembre sur notre sol, avoir évoqué dès janvier « une cinquième colonne islamiste » était de simple bon sens et avoir sanctionné Chauprade pour avoir dit cette vérité en dit long sur le courage politique et intellectuel de Marine Le Pen qui a accepté l’union nationale autour de Hollande alors qu’elle refuse l’union avec son père, s’est rendue à l’Elysée et a félicité Hollande pour son discours au congrès de Versailles allant dans le bon sens mais diabolise son ancien conseiller international.

A la suite de cette vidéo de janvier 2015, Marine Le Pen avait en effet immédiatement démis de ses fonctions de conseiller international et de chef de file des 23 députés FN au Parlement européen Aymeric Chauprade. Lequel n’a pas tardé depuis à aggraver son cas. Voici que l’insolent personnage a reconnu avoir fait partie du commando qui a exfiltré les pilotes de l’affaire Air cocaïne, de Saint-Domingue vers la France. Un mandat d’arrêt a été lancé contre lui par la République dominicaine le 22 novembre. Dans l’entourage de la présidente du FN, on n’a pas caché son exaspération, dénonçant ce Chauprade qui “s’amuse”, ce qui est évidemment indigne d’un député européen du FN mariniste où on ne rit pas tous les jours et où même le sourire est éminemment suspect. Du coup, Marine Le Pen a fort logiquement prévu de réunir le bureau exécutif pour examiner l’avenir de Chauprade au sein du FN, c’est-à-dire pour l’exterminer. Le député européen a donc pris les devants avant sa mise à mort, déclarant sur i-Télé: « Je ne vais pas attendre d’être jugé par des gens que je ne respecte pas. »

C’est ce que déclare Chauprade dans une interview explosive au Figaro : il parle de son cas personnel mais surtout celui de Jean-Marie Le Pen, évoquant une véritable “trahison” de la part de Marine Le Pen : « Quels que soient les torts et les excès du fondateur du Front national, peut-on pousser comme cela, dans l’escalier, un homme de 87 ans auquel on doit tout ? Et qui disait déjà exactement la même chose quand Marine Le Pen en avait encore besoin ! Comment ne pas penser que ceux qui trahissent à la fois leurs proches et ceux auxquels ils doivent tout, ne trahiront pas un jour le peuple lui-même ? Sous la pression de Florian Philippot, Marine a décidé de se débarrasser de Jean-Marie Le Pen. C’est une faute morale grave car on ne peut pas prétendre incarner le parti des valeurs et des fondamentaux quand on brise soi-même un certain nombre de lois. Ce n’est pas une loi politique, c’est presque une loi de civilisation ». Et il conclut par ces mots : « Ceux qui trahissent celui auquel ils doivent tout ne méritent pas notre respect. »

LE FN MARINISTE SOUS INFLUENCE COMME LE PENSE JMLP ET CHAUPRADE ?

Et Chauprade d’ajouter : « Marine Le Pen s’est laissé piéger dans un chantage avec Philippot. Il lui a expliqué, dès le début, qu’il était la dédiabolisation en personne. Et cette logique dans laquelle elle s’est laissé enfermer est devenue un chantage quasi-quotidien. Elle a finalement accepté de perdre sa liberté ».

Chauprade, qui est un homme brillant, indépendant et malheureusement lucide, déclare : « Je n’ai pas d’amertume ni de rancœur, mais une grande déception, le Front national est devenu un étouffoir, on ne peut pas penser », et il ajoute : « Je crois que le FN ne correspond pas à un projet crédible et ne répondra pas aux attentes des Français ».

Aymeric Chauprade claque la porte du Front national où il dénonçait notamment l’influence du lobby gay, tendrement rassemblé autour de Florian Philippot. L’eurodéputé a détaillé les raisons de cette décision, le lundi 9 novembre sur i-Télé. « Ce soir, je suis venu dire que je quitte le FN de Florian Philippot et Marine Le Pen », a-t-il expliqué, avant d’avancer des divergences “morales” mais aussi “idéologiques”. « Il est essentiel que les dirigeants de la France de demain aient une droiture, une capacité de respect de leur parole », dit-il. Aymeric Chauprade songeait à quitter le FN depuis cet été : « J’envisageai de quitter le FN. Marine nous empêche de penser par nous-mêmes. Moi, je m’en fous de contrarier Marine. Je ne veux rien m’interdire à cause de cette dame », expliquait-il à ses amis. Cette dame… quel gros mot !

Marine Le Pen, en brillante intellectuelle, a quant à elle tweeté ce message définitif : « Surtout après l’affaire Air Cocaïne, nos désaccords avec A.Chauprade étaient devenus trop importants et son maintien au FN impossible. MLP ».

A DÉFAUT DE MARINE LE PEN, CHAUPRADE CHOISIT VILLIERS

Ayant démissionné du Front national, Chauprade déclare : « Il n’est un secret pour personne que je souhaite profondément le retour sur la scène politique de Philippe de Villiers, qui est un ami et un père politique. Je souhaite vivement qu’il revienne d’ici la présidentielle de 2017. J’ai lu son livre. Ce qu’il dit apporte beaucoup, il y a une verticalité dans son projet, une vraie vision. D’autres personnalités comme celles de Nicolas Dupont-Aignan, Henri Guaino, Robert Ménard ou Nadine Morano doivent participer à la recomposition à droite. L’avenir se reconstruira avec des gens qui ne lâchent rien, qui ont des convictions fortes, qui agissent. » Chauprade dénonce les contradictions et la stérilité du programme de Florian Philippot qui « seront de plus en plus évidents même si le désespoir des Français est grand ». Chauprade estime qu’il faut adapter la France en défendant ses valeurs face à deux défis: les partisans de l’Argent-roi qui réduisent la personne à un individu-consommateur, détruisent les familles et les identités, et les partisans, de plus en plus nombreux, de la loi islamique. Dans cette « recomposition d’une grande droite crédible et assumée », Chauprade cite également le nom de Marion Maréchal-Le Pen, dont il est un ami.

Brillante tacticienne, Marine Le Pen vient de perdre une fois de plus un cadre de talent (songeons notamment à Laurent Ozon et David Mascré, entre autres, qui se sont fait virer pour avoir déplu à la mégère). Jusqu’où ira la chute ? En attendant, MLP s’est fait un nouvel ennemi mortel. Il est triste que dès qu’un intellectuel, un écrivain, un penseur peut apporter une valeur ajoutée au FN, et même si l’on peut bien sûr ne pas être d’accord avec la totalité de ses positions et de ses initiatives, il finit très vite par être exclu, mis de côté ou partir de lui-même écœuré. Ce n’est pas un bon signe.

10 000 EUROS D’AMENDE REQUIS CONTRE ZEMMOUR !

Le procès d’Eric Zemmour pour provocation à la haine raciale a eu lieu le 6 novembre. Il avait, il est vrai, commis une abomination en déclarant au Corriere della Sera, alors qu’il faisait la promotion de son livre Le Suicide français que les musulmans « ont leur Code civil, c’est le Coran », qu’ils « vivent entre eux, dans les périphéries », si bien que « les Français ont été obligés de s’en aller ». Le site Boulevard Voltaire, fondé par Robert Ménard et Dominique Jamet, livre l’intégralité de son intervention à la barre. Voici quelques extraits de ce texte remarquable : citant le grand historien Jacques Bainville, proche de l’Action française, il déclare : « Les démocraties ont coutume de reprocher à ceux qui ont prévu les événements de les avoir causés » et ajoute : « Et encore, le grand Bainville ne savait pas qu’on pouvait être attaqué pour des mots. Il ne savait pas qu’on pouvait être renvoyé par un de ses employeurs, en l’occurrence i-Télé parce que des propos prononcés dans un journal italien n’avaient pas l’heur de plaire ni à la directrice de l’antenne ni à la rédaction. Il ne savait pas que l’expression liberté d’opinion ne valait que pour les dessinateurs de Charlie Hebdo. Il ne connaissait pas les beautés cachées de la loi Pleven, des délices et poisons de l’incitation à la discrimination et à la haine raciale. Il ne savait pas, l’heureux homme qui vivait dans une République qui respectait encore les libertés fondamentales, qu’on pouvait être traité comme un délinquant parce que ses idées ne plaisaient pas au pouvoir.

Il ne savait pas que la gauche, la gauche bienpensante, la gauche humaniste, si bienveillante et pacifique, si laïcarde et anticléricale, avait rétabli subrepticement le délit de blasphème, qui avait été aboli à la Révolution. Oui, le délit de blasphème ! Il s’agit de condamner quiconque n’ôterait pas respectueusement son chapeau devant la nouvelle religion, la nouvelle doxa antiraciste, celle de l’identité heureuse, comme dit un ancien Premier ministre, celle du pas d’amalgame, celle de l’islam modéré, religion d’amour et de paix, celle de l’intégration harmonieuse dans le respect des différences. Oui, tous ceux qui ne croient pas en cette nouvelle religion, tous ceux qui n’ont pas la foi doivent se taire ou être condamnés. Ou plutôt, pour que la masse continue à se taire, il faut que certains soient condamnés. J’ai l’honneur, je dis bien l’honneur, d’être devenu une cible privilégiée.

Il y a quelques mois, lors d’un autre procès — puisque je passe, désormais, une partie de ma vie au palais de justice —, la représentante du parquet me demandait si ma première condamnation, il y a quatre ans, m’avait conduit à changer mes méthodes de travail. Je lui renverrai aujourd’hui sa question : est-ce que la relaxe dont j’ai bénéficié dans une récente affaire a conduit le parquet à changer ses méthodes de travail ? Est-ce que le parquet s’est remis en cause ? Est-ce qu’il a décidé de ne plus se mêler de la vie des idées en France ? Quand le parquet cessera-t-il de servir de relais à des lobbys antiracistes qui vivent du racisme, ou du prétendu racisme (et encore : de manière hémiplégique), comme d’autres vivent de la défense des baleines ou des ours ? Jusqu’à quand le parquet alimentera-t-il une logique liberticide qui rappelle les régimes totalitaires communistes, qui permet à n’importe quelle association de signaler à la police des opinions dissidentes, afin que le parquet, au nom de la défense de l’État et de la société, ne poursuive les affreux dissidents ?

Je préfère prévenir respectueusement le parquet et la cour : rien ne m’empêchera de continuer à dire ce que je crois, même si j’ai bien compris que rien n’arrêtera le ministère public dans sa volonté de me faire taire. J’ai bien conscience aussi d’être le pot de terre contre le pot de fer. Mais un jour, j’en suis convaincu, l’Histoire donnera raison au pot de terre, comme elle l’a donné au grand Bainville, et le pot de fer aura honte. Mais il sera trop tard ».

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

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Jeudi, c'est le jour de Rivaroli

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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mercredi, 02 décembre 2015

Les Brigandes les envoient "En enfer"...

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Alain Escada s'entretient avec Roberto Fiore sur la situation en Italie

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Dimanche 13 décembre à Aix la Chapelle (Allemagne) : un rassemblement organisé par PEGIDA

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Quatre PEGIDA organisent le dimanche 13 décembre 2015 à 14h un grand rassemblement à Aix-la-Chapelle en Allemagne : PEGIDA Flandre, PEGIDA Liège/Lüttich, PEGIDA Pays-Bas et PEGIDA Rhénanie du Nord-Westphalie (NRW). Une partie des discours se tiendront en français. En savoir plus cliquez là

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A l'initiative de Via Romana, une nouvelle édition du "Blanc Soleil des vaincus" de Dominique Venner

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Dans l’aube dorée du 12 avril 1861 éclate le premier obus de la guerre de Sécession. De part et d’autre, on croit à une guerre courte, fraîche et joyeuse. Ce conflit durera quatre ans. Ce sera le plus sanglant de toute l’histoire américaine. Les pertes seront supérieures d’un tiers à celles des Américains durant la Seconde Guerre mondiale, 618.000 contre 417.000, pour une population sept fois moins nombreuse.

En 1861, les États-Unis ne forment pas une seule nation, mais deux qui sont parfaitement distinctes, le Sud et le Nord. Tout les oppose : le peuplement, les traditions, la civilisation, le climat, l’économie. L’histoire que conte Dominique Venner est celle de la naissance de la nation sudiste, puis de sa résistance à l’agression du Nord industriel, et enfin celle de son meurtre délibéré.

C’est l’histoire vraie d’Autant en emporte le vent. On y retrouve les blanches plantations assoupies dans leur écrin de magnolias, les champs de coton et la douceur de vivre, les gentlemen raffinés et les jeunes filles en crinoline. On assiste au calvaire du Sud, Gettysburg, Atlanta, Appomattox. La résolution de Jefferson Davis, le génie militaire du général Lee, la fougue de Stonewall Jackson ou de Beauregard, l’audace des forceurs de blocus, la témérité des raids de cavalerie, l’héroïsme des femmes sudistes ne pourront rien contre la supériorité écrasante du Nord et sa volonté de conquête.

Le Sud, moins peuplé que la Suisse d’aujourd’hui, succombera sous le nombre, mais son rêve assassiné continue de vivre dans le cœur des hommes généreux.

Le Blanc Soleil des vaincus, Dominique Venner, Editions Via Romana, 362 pages, 24 €, sortie le 10 décembre cliquez ici

NDLR

SN 205 Cerc CN 1.jpgPour mieux connaître la vie et les idées de Dominique Venner, lisez le livre "Dominique Venner Soldat politique" de Basile Cérialis édité il y a un an cliquez là

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mardi, 01 décembre 2015

FILIP DEWINTER NOUS PARLE DE LA SITUATION EN BELGIQUE :

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lundi, 30 novembre 2015

La catastrophe Fabius...

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Les trois petits cochons

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Gabriel Matzneff - Le Point.fr

Trafalgar Square et la gare de Waterloo sont à Londres. La gare d'Austerlitz et la rue d'Arcole sont, elles, à Paris. Aux lieux, aux monuments, on donne des noms de victoires, non de défaites. De même, dans les écoles militaires les promotions de jeunes officiers prennent les noms de soldats victorieux : « Maréchal de Turenne », « Général Lassalle », « Lieutenant-Colonel Amilakvari ». Quand, par extraordinaire, il s'agit de vaincus, ce sont des vaincus qui se sont battus héroïquement jusqu'au bout, ont été vaincus avec tous les honneurs de la guerre : une des promotions de Saint-Cyr se nomme « Ceux de Diên Biên Phu ».

Quel est le suicidaire crétin qui a donné le nom de « génération Bataclan » aux jeunes femmes et jeunes hommes qui ont l'âge des victimes du vendredi 13 novembre 2015 ? C'est l'État islamique qui doit donner ce nom à ses jeunes citoyens, non la France, pour qui ce vendredi 13 novembre 2015 demeurera la date d'une de ses plus spectaculaires et déprimantes défaites.

La médiocrité de cette « génération Bataclan »

Ce choix de « génération Bataclan » exprime un masochisme, un mépris de soi ahurissant. Et l'on est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l'insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan » lorsqu'ils sont interrogés par les journalistes ou s'expriment sur les réseaux sociaux. Le zozo qui s'est mis une ceinture de cœurs autour de la taille, l'autre imbécile qui se balade avec une pancarte « Vous êtes tous super ! », le troisième qui déclare fièrement que son but dans la vie est de continuer à se distraire, à voir les copains, ces petits bourgeois qui tiennent pour un acte de courage de dîner au restaurant le vendredi soir.

S'il s'agissait de gamins de douze ans, ce serait admissible. Hélas, ce n'est pas le cas. Ceux qui se comportent de manière si niaise, si médiocre sont des adultes, des barbus. J'ai dit « ahurissant », mais le mot juste est « consternant ». Comme a été consternante la cérémonie d'hommage aux victimes dans la cour des Invalides. J'adore Barbara et je connais par cœur certaines de ses chansons, mais ce jour-là, c'est le « Dies irae » qui, après La Marseillaise, devait retentir en ce haut lieu, non une gentille chansonnette, et nous aurions été autrement saisis aux tripes si, à la place du discours fadasse de M. Hollande, un acteur de la Comédie-Française nous avait lu le Sermon sur la mort de Bossuet.

Ils ne vivent pas, ils existent

Cette niaiserie, cette médiocrité s'expliquent par le total vide spirituel de tant de nos compatriotes. Ils ne vivent pas, ils existent, ils ont une vue horizontale des êtres et des choses. Ce sont les trois petits cochons d'une chanson que M. Hollande aurait dû faire chanter aux Invalides, elle lui va comme un gant : « Qui a peur du grand méchant loup ? C'est pas nous, c'est pas nous ! Nous sommes les trois petits cochons qui dansons en rond. »

À part le pape de Rome et le patriarche de Moscou, qui, en Europe, fait appel aux forces de l'Esprit, invite les gens à la transcendance ? Personne. En tout cas, personne en France où les responsables politiques pleurnichent contre la montée de l'islamisme, mais leur unique réponse, pour endiguer cette montée, est d'interdire les crèches de Noël dans les mairies. Bientôt, j'en fais le pari, la passionnante fête de la Nativité, du mystère de l'incarnation, du Verbe qui se fait Chair, du Christ Dieu et homme, sera, comme en Union soviétique à l'époque de la persécution antichrétienne, remplacée par une fête du Bonhomme Hiver, Diadia Moroz, mouture léniniste du père Noël.

Ce qu'ils désirent, c'est continuer à boire des bocks de bière

Jadis, du général de Gaulle à François Mitterrand, certains chefs d'État surent parler de transcendance aux petits cochons à béret basque et baguette de pain, les inviter à se dépasser, à lire Sénèque, Plutarque et Pascal. Aujourd'hui, l'État n'invite pas les Français à renouer avec les vivifiants trésors de leur patrimoine gréco-romain et chrétien, il en est incapable. L'État ne parle jamais de leur âme aux Français de la « génération Bataclan », et ceux-ci persistent à n'avoir d'autre souci que de gagner de l'argent, en foutre le moins possible, partir en vacances et s'amuser. Les trois petits cochons tiennent à leur vie pépère, le tragique leur fait horreur, ils ne veulent pas entendre parler de la mort, ni de l'éternité, ni du salut de leurs âmes, ni de l'ascèse, ni du jeûne, ni de Dieu ; ce qu'ils désirent, c'est continuer à boire des bocks de bière et surtout, surtout, que les vilains terroristes du méchant calife Abou Bakr al-Baghdadi les laissent tranquilles, na !

Pendant ce temps-là, dans nos banlieues où l'on s'ennuie, où au lieu d'inviter les jeunes Français d'origine maghrébine à – comme le firent naguère les jeunes Français d'origine arménienne, russe, espagnole, italienne, polonaise – lire Les Trois Mousquetaires, visiter le Louvre, voir Les Enfants du paradis, l'État n'enseigne que le football et d'abstraites « vertus républicaines » qui ne font bander personne, c'est le méchant calife qui leur parle de leur âme ; leur enseigne la transcendance ; leur explique que ce qui fait la grandeur de l'homme, comme l'enseignèrent jadis le Bouddha, Épicure, le Christ, ce n'est pas le Sum, mais le Sursum ; non pas le soi, mais le dépassement de soi ; non pas le confort, mais le sacrifice. C'est ce que ces adolescents rebelles, écorchés vifs, comme le sont depuis toujours les adolescents sensibles, ont soif d'entendre. Éduqués, instruits, ils pourraient devenir de lumineux Aliocha Karamazov, mais, grandissant parmi des adultes plats comme des limandes, ils basculent du côté du calife, de l'archange noir de la mort, du grand méchant loup. Il faut être très bête, ou d'une extraordinaire mauvaise foi, pour s'en étonner.

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Réinfo, le mag du Parti de la France, de cette semaine

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dimanche, 29 novembre 2015

Le Journal du Chaos de cette semaine

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Pour télécharger cliquez ICI

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samedi, 28 novembre 2015

Demain, dimanche 29 novembre : MONTRONS-LEUR QUE NOUS NE SOMMES PAS DUPES, TOUS A RUNGIS, A LA TABLE RONDE DE TERRE ET PEUPLE...

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Intervention de Roland Hélie

et stand de Synthèse nationale

Venez nombreux !

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« Plus jamais ça ! »… en attendant « l’After » !

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de Philippe Randa

Après les sanglants attentats du 13 novembre dernier, le débat fait rage sur l’utilité réelle, mais surtout les conséquences éventuelles de l’instauration de l’État d’urgence, décrété par le Président de la République française : nos libertés, pour ne pas dire LA liberté, serait-elle plus gravement menacée encore par des restrictions momentanées de notre expression ou de nos déplacements que par les Kalachnikovs des Fous d’Allah ?

La réponse semble évidente pour une grande majorité de Français, tétanisée par l’hécatombe des sextuple attentats sur leur sol : leur protection avant tout !

La vie n’a pas de prix, n’est-ce pas ? Qui leur donnerait tord ? À part ceux, bien sûr, qui n’accordent pas à celle-ci la même valeur que le commun des humains…

Et puis, pense sans doute cette grande majorité de Français, nos institutions sont telles, n’est-ce pas ! qu’elles remédieront automatiquement aux dérives éventuelles, une fois le péril djihadiste définitivement éradiqué… ce qui ne saurait tarder avec la grande coalition militaire poutino-hollandienne qui aura juste un peu tardée à se constituer ! Tout redeviendra alors comme avant, mais n’est-ce pas là le vrai souci, justement ?

Avant quoi ? Avant que les Français ne découvrent, ahuris plus encore que terrorisés, que parmi les millions d’extra-Européens venus vivre chez nous comme chez eux, ils sont nombreux à n’avoir aucune envie de goûter à la douceur de cette France louée jadis par Joachim du Bellay et que l’on pourrait pasticher désormais par une France plus pour son

« Loire gaulois, que l’Euphrate syrien,

Plus (son) petit Liré, que le mont Nimba,

Et plus que l’air africain la doulceur angevine. »

Avant donc l’invasion migratoire des quarante dernières années et des bouleversements inévitables, forcément ! tragiquement ! qu’elle allait engendrer ?

Et que si aujourd’hui, on mitraille en France, demain on vivra tranquille, grâce à quelques opérations policières dans ces quartiers devenus de non-droits républicains ? Détruisons quelques nids de fanatiques islamistes – depuis Saint-Denis en Région parisienne jusqu’à Molenbeek, en périphérie de Bruxelles –, bombardons l’État islamique comme il le mérite, et retrouvons au plus vite notre quiétude perdue…

C’est, à quelques nuances citoyennes près, les discours lénifiants que le président François Hollande et son Premier Ministre Manuel Valls, rabâchent depuis le vendredi 13 novembre, avec l’un et l’autre des accents martiaux qu’on ne leur connaissait certes pas, sinon, par le passé contre ceux qui prédisaient les périls à venir… et qui sont venus.

Et ensuite ? Une fois ce danger imminent écarté ? Qu’annoncent nos gouvernants pour que les Français puissent être convaincus qu’ils ne subiront « plus jamais ça ? »

Comme leurs grands et arrière-grands-parents avaient eux-mêmes tant espérés « Plus jamais ça ! » au sortir d’une guerre, qui fut baptisée « Grande » sans doute parce qu’elle avait durée quatre années, et parce qu’ils ne pouvaient imaginer revivre un jour de telles souffrances…

On sait désormais – les historiens sont quasi-unanimes sur ce point et c’est à peu près le seul, d’ailleurs –, que les termes des folles stipulations du Traité de Versailles, signé en juin 1919, contenaient tous les germes à l’origine de la Guerre mondiale suivante. Il aura alors fallu une vingtaine d’années seulement avant la déflagration de 1939 !

Alors, oui ! Boualem Bensaïd, Lionel Dumont, Mohammed Merah, Mehdi Nemmouche, Chérif et Saïd Kouachi, Amedy Coulibaly, Abdelhamid Abaaoud et quelques autres, emprisonnés ou exécutés ces dernières années, ne sont peut-être que les premiers d’une liste de terroristes islamistes auxquels vont s’ajouter dans les temps prochains quelques autres en attente d’actions djihadistes… Mais après ?

Dans le terreau de populations déracinées et inassimilées, combien seront-ils demain à relever l’étendard sanglant du djihad ? Tout autant stimulés par l’exemple de leurs aînés mort au champ d’Allah que méprisant à l’égard de l’utopie droit-de-l’hommiste des gouvernements français successifs.

Combien de temps avant que les germes qu’on refuse de reconnaître, ne prolifèrent suffisamment pour déclencher le futur chaos, alors même que l’actuel n’est pas encore éradiqué ?

Stimulés par les événements récents, gageons qu’il ne faille pas attendre vingt ans pour cela…

09:15 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 27 novembre 2015

Ce vendredi soir, sur Méridien Zéro

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LE GOUVERNEMENT EST-IL COUPABLE DE NON ASSISTANCE A PEUPLE EN DANGER

3912090810.2.jpgLe bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

L’assassinat de militaires et d’enfants par le « Toulousain » Mohamed Merah, le meurtre d’une jeune femme à Villejuif, l’agression de passagers dans le Thalys par un autre Mahométan tout comme la tuerie au siège de «  Charlie Hebdo » et celle de l’épicerie casher de la Porte de Vincennes, tous ces actes criminels n’auraient-ils pas dû interpeller les autorités plus tôt et les amener à prendre, déjà, des mesures draconiennes de protection des populations civiles ?

A croire que tous ces « avertissements » n’auront servi à rien. Il aura fallu attendre le massacre de masse du funeste vendredi 13 novembre 2015 pour qu’enfin, le Président de la République réagisse et que, sans doute, les belles âmes socialistes et autres « bobos » prennent conscience non pas du danger, mais du péril. Car si le recueillement est nécessaire, les fleurs et les bougies ne viendront pas à bout de la barbarie.

QUELLES MESURES AVAIENT-ELLES ETE PRISES APRES L’ATTAQUE DE « CHARLIE » ?

Le renvoi immédiat dans leur pays de tous les étrangers ayant fait l’objet d’une fiche « S » avait-il été décidé ? Non.

L’internement administratif ou, à tout le moins, la surveillance sous bracelet électronique des Français faisant aussi l’objet d’un tel fichage, avait-il été arrêté ? Non.

L’autorisation du port d’armes par les policiers et les gendarmes en dehors de leurs heures de service avait-elle été donnée? Non.

L’arrestation, puis l’expulsion des imams aux prêches extrémistes prononcés en arabe avaient-elles été envisagée puis exécutées ? Non.

La fermeture des quelques 80 mosquées salafistes comme celle de Lunel, grosses pourvoyeuses de djihadistes, avait-elle été faite ? Non.

Et la dénonciation des accords de Schengen et le rétablissement des contrôles aux frontières ? Non 

Le nettoyage définitif des quartiers et autres cités « sensibles » où perdurent trafics de drogue et d’armes de guerre avec, comme le réclame une sénatrice socialiste des Bouches du Rhône, le recours de l’armée, avait-il été ordonné ? Non !

On pourrait continuer comme ça cette triste litanie qui souligne avec cruauté l’impéritie des responsables gouvernementaux. Le Président Hollande à la triste mine, avec un air grave, sans doute profondément marqué par la tuerie du Bataclan, s’est transformé en quelques jours, en quelques heures, en chef de guerre. Si l’Etat islamique était déjà l’ennemi public numéro un, que n’a-t-il été copieusement et quotidiennement bombardé en Syrie ! Fallait-il attendre un tragique bilan de 130 morts et de plusieurs centaines de blessés dont certains garderont à vie de grave séquelle d’une soirée ponctuée par des larmes ? La cécité de nos actuels dirigeants comme celle d’ailleurs, dans une moindre mesure, de leurs prédécesseurs, était – est ? - incommensurable. Ajoutons à cela l’angélisme du ministère de la justice libérant par anticipation des fripouilles patentées et nous avons un cocktail….explosif ! Et pour toutes ces excellences, ce n’est pourtant pas faute d’avoir été informées et d’avoir reçu des signaux alarmants. La preuve a été administrée que parmi des centaines de milliers de vrais et faux réfugiés originaires des théâtres d’opérations du Proche-Orient, se sont glissés des terroristes islamistes. Mais ceux qui, comme nous, annonçaient ces potentialités, étaient traités de sans-cœur et accusés de xénophobie. Les faits nous ont donné raison.

DESIGNER L’ENNEMI

Par peur de stigmatiser une catégorie de la population – le fameux « pas d’amalgame ! »- les pouvoirs publics ont rechigné à désigner clairement l’origine ou l’inclination philosophique et religieuse de ces barbares venus semer la mort parmi des populations civiles. Pourtant ces criminels ne viennent pas de la planète Mars, ils ne sont ni Esquimaux, ni Papous, encore moins Patagons ! Le Président lui-même devant les parlementaires réunis en Congrès à Versailles, contrairement à son Premier ministre, reconnaissons à ce dernier cette franchise quand il parle de « terroristes islamistes », n’a pas franchi cette mystérieuse frontière sémantique qui consiste à nier l’évidence. Nos anciens de 14-18 ou de 40-45 n’hésitaient pas, eux, et n’avaient pas cette pudeur de midinette : l’ennemi c’était le « boche » ! Aujourd’hui l’ennemi c’est le terroriste islamiste et si, d’évidence, tous les musulmans, Dieu merci, ne sont pas des terroristes, tous les terroristes islamistes sont des Mahométans ou se réclament du Coran, voir le communiqué de Dae’ch revendiquant la paternité des attentats. Les gouvernements arabes de pays amis comme l’Egypte, la Jordanie, la Tunisie – cruellement frappée elle aussi – ou le Maroc, l’ont compris. Et ça n’empêche nullement leurs populations de pratiquer librement et traditionnellement leur culte et leurs dirigeants de surveiller les agitateurs radicalisés. L’Algérie post française du FLN n’a pas hésité dans les années 1990 , à mener une guerre farouche contre le Front Islamique du Salut (FIS). Pour revenir à notre pays, tous ces évènements signifient que, malgré l’attaque contre l’équipe rédactionnelle de « Charlie » et l’hyper casher, les imams radicaux avaient toujours pignon sur rue et que leurs mosquées restaient opérationnelles. Et ce n’est pas l’arrestation – provisoire à ce jour – de « l’Emir blanc » de l’Ariège et son inculpation pour la détention illégale d’un fusil de chasse qui nous rassurera ! Tout le monde, à la campagne, légalement ou non, a un fusil de chasse ! La détermination du gouvernement de combattre le « radicalisme » religieux devrait conduire, en toute logique, au démantèlement de tous les réseaux salafistes, wahhabites et autres « Frères musulmans ». « Wait and see » comme disent les anglo-saxons, nous demandons à voir….En attendant, les familles des victimes du drame du 13 novembre ne seraient-elles pas habilitées à se constituer en un collectif qui porterait plainte contre « X » pour non-assistance à personnes en danger ? Ce n’est pas la cérémonie – nécessaire - organisée aux Invalides en mémoire des 130 victimes, qui règlera le problème du terrorisme, pas plus que le pavoisement de notre pays en bleu-blanc-rouge, conseillé et exceptionnel ce seul jour-là. Pour ma part, mon drapeau restera en berne. Pour un bon moment…

10:17 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour et le drapeau sur RTL

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La troisième émission de Radio Brigandes

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jeudi, 26 novembre 2015

Le CD des Brigandes sera en vente dimanche prochain à la Table ronde de Terre et peuple à Rungis

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Le CD sera vendu sur le stand de Synthèse nationale 

Pour le commander en ligne cliquez ici

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17:38 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ces familles qui appellent au boycott de l’hommage national

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Gabrielle Cluzel - Boulevard Voltaire cliquez ici

Disons-le. On se demandait combien de temps, assommées par le choc, hébétées par le chagrin, les familles des victimes du 13 novembre resteraient silencieuses. Combien de temps le gouvernement pourrait poursuivre ses discours graves et émus en se lavant les mains sans que personne – personne de touché dans sa chair – n’y trouve à redire. Combien de temps il parviendrait à tranquillement prospérer, refleurir, rajeunir même, engrangeant sans vergogne les dividendes électoraux de sa propre impéritie.

Cette fois, c’est fait. Une jeune femme s’est levée. Son frère, François-Xavier Prévost, a été assassiné au Bataclan et elle l’écrit en lettres capitales :

J’APPELLE AU BOYCOTT DE L’HOMMAGE NATIONAL RENDU AUX VICTIMES ET VOUS INVITE A PARTAGER MON STATUT.

Elle égraine, une à une, sans violence ni insultes, mais avec l’inexorable évidence des faits, les raisons pour lesquelles sa famille et elle « refusent cette main tendue par les représentants politiques de la France ».

Parce qu’en France, depuis les attentats de janvier, rien n’a été fait, « 10 mois plus tard, les mêmes hommes sont en mesure de recommencer et de faire cette fois-ci 10 fois plus de morts ». « Parce qu’en France, il est possible d’être en lien avec un réseau terroriste, de voyager en Syrie et de revenir librement », parce qu’en France, les « personnes fichées S […] circulent librement », empruntent les transports en commun, louent des voitures, « travaillent à nos côtés », sans faire l’objet d’aucune obligation de suivi ni de surveillance. Parce qu’avant les événements tragiques du 13 novembre, jamais personne ne s’est posé la question de la « dissolution » des « 89 mosquées recensées comme radicales »…

"Votre main tendue, votre hommage, nous n’en voulons pas et vous portons comme partie responsables de ce qui arrive ! C’est plus tôt qu’il fallait agir. Les attentats du mois de janvier auraient dû suffire" termine, implacable, Emmanuelle Prévost.

Comment ne pas la comprendre ? Lorsqu’un lotissement est inondé, on ne poursuit pas seulement l’entrepreneur véreux qui a bâti, mais aussi l’élu local qui, avec une légèreté criminelle, a laissé faire. Lorsqu’un patient meurt sur la table d’opération d’un chirurgien alcoolique notoire, ce n’est pas seulement celui qui tenait le scalpel qui est mis en cause, mais la hiérarchie de l’hôpital qui, bien qu’au courant, n’a pas viré – par insouciance, copinage, démagogie, désorganisation ? – le toubib. Et quelle famille supporterait de voir le maire, le chef de service la serrer avec emportement contre son cœur et plastronner, avec une mine de circonstance, le jour de l’enterrement ?

Alors au-delà des terroristes, qui est responsable ?

Sa déclaration, qui a fait un gigantesque buzz sur Facebook, est reprise désormais par la presse. Déjà, dans Var-Matin, le père d’une autre victime – Aurélie de Peretti – lui emboîte le pas. Jean-Marie de Peretti a fait savoir qu’il ne se rendrait pas à l’hommage auquel il a été convié et dit pourquoi : « L’espace Schengen est devenu une passoire. » « [Il] a laissé passer toutes ces personnes pourtant signalées par le fameux fichier S. »

François Hollande demande aux Français, vendredi, de pavoiser leurs fenêtres. Ces familles endeuillées ne peuvent supporter l’idée que ce soit lui qui pavoise, sans rendre de comptes à personne.

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Samedi 28 novembre : une messe célébrée pour les pilotes russes tombés au champ d'honneur

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15:39 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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mercredi, 25 novembre 2015

BEYROUTH 1976, des Français aux côtés des Phalangistes...

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Sortie en fin de semaine cliquez ici

Au milieu des années 70 une guerre terrible éclata au Liban. Celle-ci opposait les diverses milices musulmanes aux Phalanges chrétiennes alors dirigées par Béchir Gemayel. Elle ensanglantera le pays du Cèdre pendant de nombreuses années.

A Paris, un groupe d'étudiants est scandalisé par la lâcheté du gouvernement giscardien qui refuse d'intervenir pour soutenir les chrétiens menacés. Ils décident de sauver l'honneur de la France et partent se battre, les armes à la main, à Beyrouth. L'un d'entre eux, Stéphane Zanettacci n'en reviendra jamais.

Emmanuel Albach fut l'un des deux premiers Français à se rendre sur les champs de batailles libanais. Il nous raconte son histoire et nous explique le sens de son engagement.

L'auteur :

Emmanuel Albach a combattu au Liban de janvier à juillet 1976. Il a ensuite étudié l’arabe aux Langues’O avant de faire une carrière de journaliste (le Figaro, AFP, An Nahar arabe et international). Il a publié cinq essais et enquêtes.

Il a rédigé ce témoignage personnel dès son retour de Beyrouth. 40 ans après, alors que les chrétiens d'Orient sont victimes d'une nouvelle tentative d'élimination, il lui a semblé temps de le publier.

Emmanuel Albach est le président de l’AAVFL (Amicales des Anciens Volontaires Français au Liban). Il a reçu du parti Kataëb la Médaille du Combattant pour « acte de bravoure ».

Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangistes, Emmanuel Albach, Les Bouquins de Synthèse nationale, 250 pages, cahier photo, 22 €

Bulletin de commande

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Dimanche 29 novembre : A RUNGIS, A LA TABLE RONDE DE TERRE ET PEUPLE...

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13:50 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : dimanche 29 novembre, "Lire sous les sapins" organisé par Anne Brassié...

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Charles-Henri d'Elloy dédicacera ses livres

dont le fameux Abécédaire d'un Français incorrect

publié cette année par Les Bouquins de Synthèse nationale

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