dimanche, 10 avril 2016
Robert Spieler participera à la 4e journée régionale de Synthèse nationale le dimanche 24 avril à Nieppe (59)
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Soros : après les Femen et les No Borders, l’affaire Panama Papers…
Charles Demassieux Riposte laïque cliquez ici
Qui est George Soros, dont on entend souvent parler en ce moment dans l’affaire des Panama papers, scandale financier que beaucoup d’élus font mine de découvrir, avec une hypocrisie qui force le respect ?
D’après le site georgesoros.com, il « a été un partisan international de premier plan des idéaux et des causes démocratiques depuis plus de 30 ans. Son organisation philanthropique (Open Society Foundations – OSF) soutient la démocratie et les droits humains dans plus de 100 pays. » Jusqu’ici, tout va bien, parce qu’un philanthrope est une « personne qui est portée à aimer tous les hommes » (Le Robert). Tous les hommes ? Pas exactement, parce que tous les hommes ne se valent pas, selon ce milliardaire sulfureux.
De son vrai nom György Schwartz, George Soros est né en 1930 à Budapest, dans une famille hongroise juive intellectuelle ; son père était médecin, avocat et écrivain. La situation politique dans son pays, devenue hostile aux juifs et proche du régime nazi, le contraint à changer de nom. Il parvient toutefois à éviter la déportation, tout en négociant des devises sur le marché parallèle hongrois. Plus tard, il admettra s’être approprié des biens de juifs déportés, se justifiant ainsi : « Si je ne l’avais pas fait, d’autres l’auraient fait. Parce que, si je n’avais pas fait ça, je n’aurais jamais eu d’argent. » L’argent, ou le baromètre moral de Soros !
En 1947, Soros part s’installer en Grande-Bretagne pour fuir le régime communiste et y poursuivre des études. En 1956, il s’installe aux États-Unis avec l’irrépressible envie de devenir riche. Il exaucera son vœu au-delà de toutes ses espérances, puisqu’il est à ce jour l’une des plus grandes fortunes mondiales.
Il crée alors un fond d’investissement, le Soros Fund Management. En 1973, il fonde, avec Jim Rogers, Fond Quantum, dont les gains vont dépasser les 30% pendant une dizaine d’années. C’est en 1992 que le monde fait sa connaissance, tandis que l’Europe traverse une crise monétaire. Cette crise sera d’ailleurs l’un des arguments majeurs pour la monnaie unique.
Soros, par ses spéculations sur la livre, contraint l’Angleterre à sortir du système monétaire européen, profitant des faiblesses du marché pour s’enrichir, en bon financier qui se respecte ! On le surnommera même « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre ». Dit plus crûment, ça donne : « Etant donné la situation économique de l’Angleterre et le niveau des réserves de change, une attaque spéculative d’ampleur pourrait obliger l’Angleterre à sortir du Système Monétaire Européen (SME) et à dévaluer sa monnaie. En vendant à découvert la livre sterling, ce serait alors le jackpot. » En ce sens, Soros incarne à merveille la finance internationale qui se fout allègrement des conséquences humaines de telles pratiques !
Mais Soros se veut aussi philanthrope : il crée plusieurs fondations, regroupées autour de l’OSF, « dont le but est de défendre les droits humains et promouvoir la gouvernance démocratique », et étend son influence au terrain politique. Mégalomane, il se définit comme un « chef d’État apatride ». Sa générosité ne connaît pas de limites, avec pour but de changer le monde, ce qui fait joli sur le papier : pas dans la réalité.
Ainsi, il chapeaute des associations et des projets qui, tous, convergent vers un seul but : détruire l’identité des Nations occidentales. En 2009, il finance une étude en France sur les contrôles au faciès ; en 2012, il offre 35 000 euros au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Cette association défend le port du voile, prône un « islam identitaire agressif », tel que rapporté dans un article du Figaro. Et ça, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car cette association « profite de ce combat légitime pour faire avancer des causes plus suspectes », selon le Huffington Post, site d’information pourtant très « propre » sur lui idéologiquement !
Dans la crise des migrants – décidément, cet homme ne s’épanouit que dans les crises ! –, Soros joue son rôle en finançant les « No Border », groupuscule d’ultra-gauche qui refuse les frontières et soutient le flux migratoire sauvage en Europe. Flux migratoire qui charrie aussi des terroristes, nous le savons à présent.
Auparavant, il y aura la crise ukrainienne. Sur CNN, Soros déclare avoir pris une part importante dans les événements de Kiev, en soutenant les pro-Européens, car, pour lui, la Russie a « une autre vision du monde où la violence remplace l’État de droit ». Comprenez : la conscience identitaire est haïssable. D’où son rejet pour toutes les Nations qui la revendiquent, dont Israël, via une organisation comme Human Rights Watch, abondamment arrosée par ses dollars, ou l’Arab Regional Office.
Mais l’ingratitude étant ce qu’elle est, BDS (Boycott Apartheid Israël) a récemment mis en demeure ce mécène de l’islam : « Nous appelons toutes les organisations palestiniennes, arabes et internationales, qui ont reçu des fonds des fondations Soros, à faire pression sur M. Soros pour qu’il nettoie son portefeuille d’investissements dans des violations des droits de l’homme, et à s’abstenir de demander des fonds de ces fondations s’il ne parvient pas à le faire. » Voici donc l’arroseur arrosé !
Soros déverse aussi son fric sur les Femen et LGBT, évidemment, puisque ça participe de la déconstruction des identités et qu’il faut normaliser l’indétermination sexuelle dans le meilleur des mondes du milliardaire !
Cependant, la preuve de l’échec du modèle Soros, c’est le soulèvement de ces identités un peu partout en Occident. Ce prédicateur économique et politique devrait se souvenir qu’« On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes. » (Louis XVI)
Quant à l’affaire des comptes offshore du Panama, Soros est-il derrière ou pas ? Disons que la présomption d’innocence, étant donné son pedigree, est difficile à admettre !
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Le Journal du Chaos de cette semaine
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Dimanche 24 avril : Carl Lang à la 4e Journée régionale (Flandre-Artois-Hainaut) de Synthèse nationale près de Lille
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samedi, 09 avril 2016
Pédophilie : perversion, crime et « péché »
Dr Bernard Plouvier
L’actualité – en l’occurrence les errements d’un évêque catholique – fait resurgir un grave problème de société, aussi vieux que l’humanité. Comme pour d’autres sujets, les pitres des media désinforment plus qu’ils n’informent.
La pédophilie, qui ne fut réprimée durant l’Antiquité que par des règlements de comptes entre familles ou individus, fut diversement punie ensuite selon les civilisations, les chrétiens étant les moins laxistes jusqu’à la disparition de l’influence du clergé sur la justice (en France, au milieu du XVIIIe siècle)… même un athée - c’est le cas de l’auteur de ces lignes - se doit de le reconnaître.
Au XXe siècle, elle fut considérée avec un certain détachement par les Occidentaux, lorsqu’elle était pratiquée en milieu exotique. Sa pédophilie menée auprès de jeunes Tunisiens n’empêcha nullement André Gide d’être nobélisé. Henry de Montherlant et Roger Peyrefitte firent un concours de « tableaux de chasse » pédophiles jusqu’aux années 1970. Seul le IIIe Reich lutta très vigoureusement contre la pédophilie incestueuse, les familles étant un haut-lieu de sa pratique, où l’on pratique volontiers l’omerta.
En terre d’islam comme en Asie du Sud-Est, la pédophilie fut volontairement négligée par les autorités jusqu’aux vingt dernières années, et la nouvelle rigueur législative ne fut pas dépourvue d’arrière-pensées financières : lourdes amendes et dédommagement aux parents… souvent consentants, voire organisant la prostitution de leur progéniture. Jusqu’à la fin du XXe siècle, le « tourisme sexuel » fut une pratique hautement orientée vers la pédophilie… les médecins étant sollicités par les « touristes » de retour en zone civilisée pour détecter et soigner les inconvénients de la prostitution pédophile (qui existait même en France, durant les années 1980-2000… on ne jurerait pas qu’elle ait disparu de nos jours).
La pédophilie (homosexuelle, hétérosexuelle ou bisexuelle) est d’abord et avant tout un problème d’ordre médical. Il s’agit d’une perversion, ce qui se définit comme un acte (ou un discours) qui nuit à la santé physique ou mentale d’autrui et du pervers lui-même. Comme tout comportement animal, la sexualité et le rapport dominant-dominé sont génétiquement programmés.
On ne le répétera jamais assez : l’homme est un animal, ne se différentiant du reste des primates que par un néocortex à six couches de neurones superposées qui lui offre la transcendance, soit la faculté de juger ses actes, avant, après, mais aussi en cours de réalisation. Le libre-arbitre (soit le choix préalable à l’acte) existe, certes de façon rudimentaire, chez nombre d’animaux, comme n’importe quel éleveur de chiens ou de chevaux peut le constater et comme l’ont révélé les travaux des éthologues germaniques et scandinaves.
Le pédophile est un individu immature émotionnellement et sexuellement. Il est peu capable, voire totalement incapable, d’avoir des relations sexuelles complètes avec une personne adulte et consentante. C’est un timide, volontiers sournois, qui veut dominer son partenaire ou assouvir une homosexualité dont il a honte (en valeur absolue ou simplement pour son retentissement social).
Depuis la glorieuse révolution soixante-huitarde, nombre de médicastres et de psy. en tous genres s’intéressent davantage au pervers qu’à ses victimes, osant même prétendre que le scandale public de la révélation de ses agissements suffit à éviter les récidives, ce qui est entièrement faux : les études judiciaires US et canadiennes le démontrent… comme d’ailleurs l’expérience du médecin confronté aux pervers pédophiles (ce fut mon cas à trois reprises).
On ne peut rééduquer un comportement humain, puisqu’il est génétiquement induit, donc soumis à la récidive. Il faut traiter par moyen chimique le psychotique, le névrotique, le psychopathe, le sociopathe ou l’enfermer à vie… voire l’exécuter s’il a doublé son acte pédophile de l’assassinat (ce qui est beaucoup moins rare qu’on ne le croit : presque tous les assassinats d’enfants et d’adolescents sont la suite d’un crime de pédophilie pénétrante).
La pédophilie est un délit ou un crime, au plan pénal, selon qu’il s’est agi d’attouchements ou de pénétration, voire de viol. La majorité sexuelle (différente de l’âge pour l’autorisation au mariage) varie, selon les pays, de 12 à 21 ans. En France, elle est de 15 ans (16 en Belgique et au Canada ; de 16 à 18 ans, selon les États de l’Union, aux USA). La mention juridique française « mineur de 15 ans » est un idiomatisme juridique signifiant « mineur de moins de 15 ans » : il est bon de le savoir pour décrypter les informations publiées.
Reste à envisager une notion purement religieuse : celle de « péché ». Un athée doté d’une surconscience (ce qui n’a rien à voir avec le grotesque « surmoi » de la supercherie psychanalytique freudienne) parlerait de faute morale et ne se la pardonnerait jamais… ce qui explique nombre de suicides.
Un chrétien ne peut que suivre le texte évangélique, terrible (Évangile selon Matthieu, XVIII, 5-7) : « Quiconque accueille un petit enfant… c’est moi qu’il accueille. Mais si quelqu’un scandalise l’un de ces petits qui croient en moi, il vaut mieux pour lui être jeté en mer avec une meule attachée autour du cou… Malheur à l’homme par qui le scandale arrive ». Non seulement, il s’agit d’un péché, mais apparemment aussi d’un « péché mortel » que le Christ jugeait inexpiable.
En zone d’islam, l’on s’autorise des relations jugées pédophiles en terres civilisées : Mahomet (qui connut une dizaine d’épouses, dont certaines obtinrent le divorce) eut des relations sexuelles avec l’une d’elles, Aïcha, alors que celle-ci n’était âgée que de neuf ans : c’est la sîra, soit la biographie officielle du prophète, qui nous l’apprend. Un Européen n’a que faire des us et coutumes d’Arabie, au VIIe siècle. Il est hors de question qu’en Europe soient institutionnalisées la polygamie et la pédophilie, par égard envers des immigrés exotiques.
Enfin, il est évident que les pédophiles orientent volontiers leur activité professionnelle vers les jeunes, dont certains sont si aisés à dominer. Que l’enseignement ou les clergés soient plus fréquentés par les pédophiles que d’autres types d’activité ne surprendra personne.
Le seul sujet d’étonnement tient au caractère tardif de l’intérêt des nobles et vertueux commentateurs : après tout, les procès de prêtres et religieux catholiques, en 1936-37, dans le Reich hitlérien, étaient liés soit à des affaires de fraude fiscale et d’évasion de capitaux, soit – pour la majorité d’entre eux – à des affaires d’homosexualité pédophile… les vertueux journalistes étrangers (et à leur suite, la quasi-totalité des historiens patentés) parlèrent de « persécutions » !
09:38 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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Donald Trump enfume-t-il son monde ?
Michel Lhomme, politologue , Métamag cliquez ici
La campagne des primaires américaines a suscité une incompréhension horrifiée de la part de tous les américanistes et les politologues spécialistes du sujet.
Passe encore que le vieux Bernie Sanders, qui se déclare socialiste, puisse tailler des croupières à Hillary Clinton mais qu’une personnalité aussi atypique que Donald Trump mène la course devant un Ted Cruz ultra religieux, voilà qui bouscule tous les cadres établis et au sens premier du mot, l’establishment.
Comment ne pas voir pourtant que ces deux outsiders sont les deux faces d’une même médaille, celle de la remise en cause profonde du système ? La seule question qui reste pourtant sans réponse est la suivante : s’agit-il d’une vraie crise d’adaptation d’un système vieillissant ou le signe d’une révolte plus profonde ? Ou tout simplement ne sommes-nous pas dans le spectaculaire dans un complet enfumage de l’État profond ?
Ainsi, le mois dernier, furent lancées des campagnes de diabolisation de Donald Trump par ses adversaires républicains mais surtout par les membres de la communauté juive américaine avec même l’appel au boycott de son discours devant l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee). Or cela n’a pas du tout fonctionné : le 21 mars à Washington, seulement 300 personnes sur 18 000 participants ont quitté la salle du grand raout pro-israélien. En revanche, le candidat aux primaires républicaines a donné entière satisfaction et même plus au public israélien pour ne pas dire ultra-sioniste présent dans la salle.
Oublié donc le « Donald » qui refusait de prendre position sur la question palestinienne tant qu’il ne serait pas à la Maison-Blanche et qui ne voulait pas dire si les États-Unis devaient reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. Trump affirma tout de go au Congrès, qu’élu Président, il ne sera plus question qu’Israël paye l’aide militaire que lui octroie Washington. Il a même commencé par dire qu’il était d’ailleurs un « soutien de longue date et un ami réel d’Israël», rappelant qu’il avait été « grand maréchal » à la parade de la journée d’Israël à New York en 2004. De fait, avec lui à la présidence des États-Unis, a-t-il assuré, Israël ne sera plus traité « comme un citoyen de seconde zone ».
Puis, s’en est suivi un flot ininterrompu de déclarations comme à son accoutumée qui auraient pu sortir tout droit de la bouche de Benyamin Netanyahou.
Par exemple, sera-t-il neutre sur la question palestinienne ? Trump affirme qu’on avait mal compris ses précédentes interventions : « Les Palestiniens doivent venir à la table de négociation en sachant que le lien unissant les États-Unis et Israël est absolument incassable… Ils doivent venir en étant prêts à accepter qu’Israël est un Etat juif et qu’il demeurera un Etat juif pour toujours ».
Neutre sur la question de Jérusalem ? Lui président, il transférera l’ambassade des États-Unis de Tel Aviv à Jérusalem, « la capitale éternelle du peuple juif ».
Puis le candidat aux Primaires républicaines a tiré à boulets rouges sur l’Iran en l’accusant d’être « le plus grand sponsor du terrorisme mondial », d’être en Syrie pour établir un nouveau front dans le Golan contre Israël, de fournir des armes sophistiquées au Hezbollah libanais, et de soutenir le Hamas et le Djihad islamique en leur donnant 7 000 $ pour chaque attaque terroriste et 30 000 $ aux propriétaires des maisons détruites par les Israéliens (ce qui n’est pas faux mais c’est la guerre !).
En un peu plus de vingt minutes, ce fut à l’AIPAC un tonnerre d’applaudissements ! Trump termina alors son discours sur le mode people, en déclarant que sa fille Ivanka (mariée à un juif israélien orthodoxe) était « sur le point d’avoir un magnifique bébé juif ».
D’où vient donc Donald Trump ? Et s’il n’était en fait que le candidat forcément cynique et incontrôlable de l’« État profond » et d’ailleurs, peut-être la première manifestation politique visible de celui-ci ? Pourtant, d’ores et déjà, l’état profond américain (the deep state) se prépare à surmonter victorieusement toutes les difficultés que pourraient faire naître un Trump ou son électorat. Rappelons que l’« état profond » désigne couramment la conjonction des intérêts militaires, industriels, financiers et diplomatiques qui ont permis à l’Amérique depuis la deuxième guerre mondiale de s’imposer comme l’hyper-puissance et le gendarme du monde.
Nonobstant, certains analystes aux États-Unis ont parlé ces derniers temps d’une bataille médiatiquement préfabriquée entre les deux principaux candidats à la Maison Blanche, Hillary Clinton, la chef de file des néo-conservateurs et Donald Trump. En août 2015 déjà, le magazine politique Cicero avait écrit que les familles Trump et Clinton étaient très amies d’où la question embarrassante : Trump pourrait-il n’être qu’un sous-marin des Clinton qui devait ridiculiser les Républicains aux yeux du public, afin que la démocrate Hillary ait toutes ses chances de l’emporter ? En fait selon Wikipédia, Trump a été membre du parti démocrate jusqu’en 2009 et a fait don de 100 000 dollars à la fondation de Clinton il y a quelques années. On dit qu’il a entretenu de bonnes relations avec Hillary Clinton et a déclaré publiquement Bill Clinton le meilleur président américain de tous les temps.
Au surplus, les filles de Trump et de Clinton sont de grandes amies. Des collaborateurs ont découvert qu’en mai 2015, juste avant que Trump ne décide d’entrer dans la campagne présidentielle, il a eu une longue conversation avec Bill Clinton. Ce dernier a téléphoné à Trump et l’a conseillé sur la façon dont il pourrait faire bonne impression auprès des membres du parti républicain. Les Clinton étaient aussi invités d’honneur au mariage de Trump avec sa troisième femme, Mélania. De plus, par sa famille, Trump est étroitement lié avec des membres très riches du parti démocrate. Son père venait déjà en aide à de grands pontes démocrates de l’immobilier. Son beau-fils Jared Kushner, qui vient d’acheter l’ancien bâtiment du New York Times pour le prix d’un demi-milliard de dollars, est membre du parti démocrate.
Trump est-il vraiment un candidat indépendant ? Pour qui travaille-t-il au juste ? En fait, Trump amuse énormément son public : c’est sa fonction d’outsider, d’amuseur de galerie, de bouffon du roi caché. Cynique comme l’est maintenant devenu avec elle-même l’oligarchie, il assène ainsi des vérités premières que l’on tente de faire passer pour de la déraison.
Ceci étant dit si l’isolationnisme trumpien gagnait, cela nous donnerait après tout un bon répit, un peu de respiration. Les politiques et les intellectuels américains néo-conservateurs sont trop dangereux du fait de leur culture historique nulle et de leur irréalisme. On célèbre parfois leur culte du concret ou on se gargarise de leur pragmatisme mais il y a tout un monde entre le MIT, l’Université Hopkins et ces professeurs américains qui fondent leur pédagogie sur les dossiers de réussites et les Russes qui la font eux reposer sur l’analyse du jeu d’échecs, ce jeu que l’Arabie Saoudite veut justement faire interdire sous les tentes climatisées du désert.
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Le dérapage
Charles-Henri d'Elloy
Article publié dans le n°42
de la revue Synthèse nationale cliquez ici
Avez-vous remarqué le mot en vogue chez les ayatollahs du prêt-à-penser ? Ce mot si commode pour désigner vaguement ce qui déplait à la doxa officielle ? C’est le « dérapage ». Si par malheur, un journaliste, un politique, un écrivain ou une personnalité ayant droit de s’exprimer dans les gros media s’écarte, ne serait-ce que légèrement, de l’évangile selon sainte Marianne, version XXIe siècle, il y aura toujours un autre journaliste, un politique, ou une autre personnalité labellisée « république-Fraternelle, trois points fr » pour dire du premier qu’il a commis un « dérapage ». Le dérapage est au langage officiel ce que l’exilé fiscal est à l’administration. Il y a quelque chose d’infâmant. C’est comme si l’on avait lâché un pet dans l’ascenseur où se trouve un patron du Cac 40.
Le simple fait d’être convaincu de dérapage permet à votre procureur de ne vous opposer aucun argument et aucune pensée de fond. Ne cherchez pas à vous justifier… Si vous avez dérapé, c’est que vous l’avez cherché, c’est que vous n’avez pas compris le code de la pensée autorisée, ou pire, que vous l’avez délibérément ignoré ! La voie est pourtant suffisamment balisée pour ne pas s’en écarter. D’un côté les ligues de vertus et de l’autre la 17e chambre correctionnelle.
Le dérapage n’a cependant pas le même retentissement et les mêmes conséquences selon que vous dérapiez à gauche ou à droite. Par exemple, si vous êtes un grand bourgeois bien en cours (1), et que vous lancez sur un réseau social une affirmation du style « je ne pleurerais pas si une bombe éclate au milieu d’une manifestation contre le mariage homosexuel», votre dérapage sera considéré au pire comme une maladresse inopportune, et au mieux comme une galéjade témoignant de la liberté d’expression qui prévaut dans les media. À l’inverse, si vous êtes une femme politique classée à droite (2), même si cette « droite » n’est qu’un leurre, issue d’un milieu populaire, et que vous répétez à la télévision une évidence dite par le général De Gaulle, à savoir que : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne », votre dérapage sera considéré comme intolérable par la doxa patentée et discutable par vos prétendus amis politiques.
Moralité : si vous perdez le contrôle de votre pensée, dérapez plutôt à gauche qu’à droite, ça fait moins mal.
Notes
(1) Pierre BERGÉ 27 mars 2013 dans un tweet.
(2) Nadine MORANO 26 sept. 2015. Télévision « On n’est pas couché »
Le dernier livre de Charles-Henri d'Elloy cliquez ici
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Gabrielle Cluzel présente son nouveau livre "Adieu Simone" sur TV Libertés
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vendredi, 08 avril 2016
Dimanche 24 avril, près de Lille :
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Paris, l’ex-Ville Lumière, devenue capitale de la Cloche
Dr Bernard Plouvier
Avec la globalo-mondialisation, tout change en France. Nos dirigeants étalent sans vergogne leurs émois sexuels et leur avidité. L’on ferme des écoles, des bureaux de poste, des gares et des sous-préfectures, pour comprimer les dépenses, mais le déficit public pharaonique n’empêche nullement de multiplier, année après année, les allocations et subventions aux millions d’immigrés d’origine extra-européenne. Pendant ce temps, l’on fait appel à la générosité populaire pour la recherche scientifique, pour les pauvres, pour les malades, les sans-abri, les sans-papier, etc.
Si l’on préfère : l’État, qui soutire de plus en plus d’argent aux contribuables, offre de moins en moins d’infrastructures, favorise l’intrusion d’étrangers qui coûtent beaucoup à la collectivité, et se transforme en music-hall grivois et obscène… ce qui n’est pas sans rappeler le scénario de l’Allemagne de Weimar, durant les tristes années 1930-32.
Nos très curieux « socialistes », associés aux écologistes bourgeois, ne ratent pas une occasion de verser des larmes de crocodile sur les misères sexuelles du sidéen trop avarié pour attirer encore le client, sur les couples bizarres victimes « d’homophobie », sur les malheurs d’immigrés-réfugiés à qui nul Français n’a demandé d’affluer sur un sol déjà fort encombré de chômeurs de très longue durée… l’on pourrait allonger la liste des lamentations indues.
Un observateur impertinent ne peut que s’étonner du mélange de fausse compassion et d’immobilisme à la tête (supposée) de l’État. Après tout, un chef se doit d’abord et avant tout d’agir, plutôt que de pleurnicher entre deux banquets et trois voyages à l’étranger. Or, notre glorieux Président et son gouvernement brassent surtout du vide. Après la comédie du pseudo-état d’urgence, on joue le mélodrame de la réforme du droit du travail. Bientôt, on se lancera dans la campagne des présidentielles pour sauver quelques sinécures, dans le désastre qui semble s’annoncer.
Pourtant, le spectacle quotidien offert par notre capitale, haut-lieu touristique (du moins avant les attentats islamiques de 2015), aurait de quoi réveiller nos « chefs » s’ils se souciaient tant soit peu du Bien commun, au lieu de tout laisser pourrir.
Promenez-vous dans Paris, d’Ouest en Est, du Sud au Nord, le long des rives de la Seine… et vous verrez une multitude de clochards, pour moitié des autochtones (dont beaucoup mériteraient un séjour en hôpital psychiatrique) et pour moitié des immigrés, inutilement importés… car on peut difficilement soutenir que ces individus sont là « pour payer la retraite des vieux Français ».
Paris est souillée par du débris qui n’a plus d’humain que l’appellation. Après les crimes des djihadistes, le triste spectacle de cette sous-humanité est une nouvelle offense à la dignité des Français et ne peut que détourner les touristes d’une ville autrefois célèbre pour sa beauté.
Il n’est que temps de balayer la racaille qui plastronne dans les palais de la République. Bêtes, corrompus et incapables, ils sont indignes d’être à la tête d’une Nation qu’ils aveulissent par leur incurie, le spectacle de leurs pitreries, les scandales de leur vie dissolue et de leurs turpitudes financières.
Paris est devenue la capitale de la Cloche, ce n’est hélas que trop évident. Il serait temps que Paris ne soit plus le chef-lieu d’un pays de cloches.
11:46 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 07 avril 2016
Bruno Mégret était hier soir l'invité de Synthèse nationale
Mercredi soir les Amis franciliens de Synthèse nationale se sont réunis pour écouter Bruno Mégret leur parler de son nouveau livre "Le temps du phénix" cliquez ici.
La conférence, introduite par Roland Hélie, fut suivie d'une séance de questions réponses très instructive entre l'assistance et Bruno Mégret. A l'issue de celle-ci l'auteur dédicaça de nombreux exemplaires de son livre.
Dans quelques jours, vous pourrez suivre l'intégralité de son intervention qui a été filmée.
10:41 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le totalitarisme rampant
Dr Bernard Plouvier
Comme toujours lorsqu’on aborde un sujet trop souvent traité par les media, il importe de le définir avec précision. Le totalitarisme n’est nullement propre à une idéologie : c’est le comportement de tout régime où l’on veut obtenir l’uniformité de comportement, de pensée et d’expression.
Par définition donc, il s’agit d’un système où les maîtres de la vie politique et judiciaire imposent une réglementation sur tous les sujets, y compris l’exercice professionnel et la vie privée des individus, en plus d’un prêt à penser et de confusions sémantiques obligatoires, devenant des stéréotypes… du genre : « Seul le Blanc est raciste », ce qui fait hurler de rire qui a un peu fréquenté les études historiques et les quartiers chauds, riches en immigrés exotiques.
Par la volonté des génies du soi-disant gouvernement européen, siégeant à Bruxelles, et du fait de la complicité active de leurs confrères qui font semblant de gouverner à Paris, Berlin, Londres, Rome et autres lieux, l’Europe occidentale est entrée dans un totalitarisme, encore mollasse et sournois, mais qui envahit progressivement toutes les activités quotidiennes.
Jamais le régime nazi (que l’auteur de ces lignes connaît un peu cliquez ici) n’a légiféré sur la vie privée, hormis pour réprimer l’inceste, lutter contre le harcèlement sexuel sur le lieu de travail, interdire stupidement certaines unions (notamment avec ceux qui depuis 33 siècles pratiquent rituellement l’endogamie) et limiter la vitesse des automobiles en ville, en une période où les « démocrates » préféraient ignorer les crimes et délits sexuels et ne s’intéressaient guère aux accidents de la circulation.
De nos jours, les parents et grands-parents deviennent délinquants s’ils calottent un rejeton grossier, arrogant ou malfaisant. De la même façon, il est mal vu de forcer les (pas toujours) charmants potaches à travailler plus et mieux : leçons et devoirs sont devenus presque intolérables, et l’on va même jusqu’à adapter l’orthographe française au crétinisme et à la débilité ambiants.
L’agriculture et l’artisanat sont victimes d’une foule de décrets bruxellois qui règlementent jusqu’aux insecticides et pesticides, voire la fabrication des fromages, pour complaire à quelques ânes bâtés de l’écologie mondaine… et lorsque les rats pulluleront de nouveau, l’on pourra étudier in vivo ces cas de peste qui n’existent plus, de nos jours, que dans les zones les plus arriérées de la planète.
De la même façon, l’on met une foule d’obstacles à l’obtention du gaz de schistes ou du pétrole de roches, par révérence aux multinationales qui ne veulent pas de cette concurrence, d’autant plus gênante que les coûts d’extraction sont moindres qu’on ne le pensait. Quant à la pollution des nappes phréatiques, c’est un argument stupide, bien digne des écologistes ignares : les zones d’extraction se situent à des centaines de mètres du niveau des nappes… au XVIIIe siècle, les mines de charbon étaient déjà réputées frelater les sources d’eau potable !
Tout ce qui est utile aux véritables maîtres du jeu économico-politique devient ipso facto vérité évangélique : nécessité d’une immigration de masse avec, en corollaire, l’islam envisagé comme une religion de paix et d’amour ; réchauffement climatique ; notion de « rogue state » (État voyou… soit celui qui résiste à la globalo-mondialisation) ; la grande avancée technologique de la voiture électrique (sans trop se soucier de la fréquence du rechargement des batteries) ; le péril viral imminent, partant, la nécessité de donner de larges aumônes aux organismes quêtant pour l’Afrique (sans trop se soucier, là encore, de la véritable destination des sommes ainsi collectées) etc.
Les grandes vérités, répétées jour après jour, sur tous les tons, par les media, les politiciens et les manifestants des rues et des boulevards sont, bien sûr : la nécessité du métissage universel, le « péril fasciste » et la « dérive sécuritaire »… en résumé, les slogans de la lutte très active de nos maîtres contre le bon sens et la simple autodéfense des Nations européennes, menacées dans leur existence même.
Les Européens se croyaient débarrassés du totalitarisme depuis la fin du fanatisme chrétien et de l’impérialisme communiste. Fatale erreur ! On leur impose le fanatisme et l’obscurantisme médiéval de l’islam, la sottise des écologistes aussi arrogants qu’ignares – et qui font un tort considérable à la véritable écologie -, une réglementation multinationale grotesque – qui fait reculer d’année en année l’échéance d’une véritable union des Nations européennes -, un humanitarisme de pacotille, niais en apparence, très fortement mercantile dans sa triviale réalité – qui est une offense au principe même de la solidarité humaine.
Notre époque est abjecte, non seulement par son hédonisme et sa platitude, mais aussi par la profonde médiocrité de sa propagande omniprésente, standardisée au point qu’on la retrouve quasi-identique dans tous les continents… « l’ennui naquit un jour de l’uniformité », a écrit notre La Fontaine. De la bêtise, de l’arrogance et de l’incompétence des maîtres, surgira l’insurrection dans chaque continent.
Du totalitarisme globalo-mondialiste, naîtra l’Europe unie, la vraie : celle ces Nations de souche européenne.
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol
3,50 €, chez votre marchand de journaux
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Dimanche 17 avril : congrès du Renouveau français
Plus d'infos cliquez ici
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mercredi, 06 avril 2016
Panama Papers : « Pourquoi Assad et Platini, et pas Erdogan et Zidane ? » s’interroge Éric Zemmour
12:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Scandale du Panama – Bis repetita
Dr Bernard Plouvier
Décidément, les Français s’amusent beaucoup avec les détails croustillants des investissements panaméens… encore faut-il avoir un peu de mémoire ou de culture pour s’en souvenir.
Le scandale de la liquidation judiciaire de la Compagnie du percement du Canal de Panama s’est étalé de 1891 à 1893. Il a démontré à quel point étaient pourris les milieux (dans tous les sens du terme) de la politique, du journalisme, de la banque, et même des hauts-fonctionnaires de la Justice et de la Sûreté de la IIIe République… les chéquards du Panama et leurs corrupteurs se referont une virginité grâce à l’affaire Dreyfus, d’autant que l’intérêt communautaire d’un grand nombre d’accusés le commandait.
En avril 2016, une officine chargée de révéler des scandales, au besoin un peu épicés de malice et de sous-entendus calomniateurs, lance l’affaire Panama Papers, soit une partie (soigneusement expurgée) des archives d’une société internationale de placements. Cette vertueuse officine se nomme pompeusement Center for Public Integrity… et là, on rigole franchement.
Parce que derrière cette dénomination éthiquement irréprochable, on trouve les Fondations globalo-mondialistes Carnegie, Ford et Rockefeller, ainsi que la plus honnête des officines bancaires cosmopolite la célébrissime et irréprochable société Goldman-Sachs (demandez aux Grecs ce qu’ils en pensent) et mieux encore : le sieur Soros, un archange de vertu kascher (casher serait plus juste).
Cet être irréprochable est le spéculateur juif le plus connu de la planète, qui a trafiqué (au sens commercial du terme, bien entendu) sur les monnaies et les matières premières. Né György Schwartz, il a préféré adopter le nom moins ashkénaze de George Soros (même après 1945, de nombreux Juifs sont restés des Fregoli du changement de patronyme). C’est un grand philanthrope, interdit de séjour en Russie. Ce très honnête homme a été condamné par la Justice française pour une canaillerie boursière ; il est donc partisan de l’immigration musulmane massive en notre pays et il la finance !
Évidemment, avec de telles cautions, l’on comprend que le CPI ait quelque peu (oh, trois fois rien !) trié ses révélations. Elles touchent le gouvernement islandais… qui a libéré en un temps record la Nation islandaise de la faillite et d’une Dette prodigieuse, ce qui n’a pas fait la joie des requins de la finance cosmopolite, qui voulaient mettre l’ile en coupe réglée.
De même, le vertueux CPI épingle Vladimir Poutine et ses soutiens, quelques dignitaires chinois et, qui en eût douté ? Bachar el–Hassad… bref, rien que des amis de la globalo-mondialisation ! Faut-il croire que le très bénin David Cameron ait pêché contre la pure doctrine pour être éclaboussé, via la mémoire de son père, ou qu’on l’incite à s’engager bien davantage dans la campagne électorale pour éviter la sortie de la Grande-Bretagne du business financier européen ?
En France, c’est – bien sûr – le Front national que l’on tente de salir par la bande (voire même hors des limites du billard politique)… alors que les plus belles canailleries de ces 15 dernières années sont venues du Parti socialiste et des ex-gaullistes (dont l’appellation change tellement souvent qu’on ne sait plus trop laquelle employer).
Pour être crédible, il faut être soi-même honnête : impartial dans l’information et propre dans les fonds de fonctionnement. Au moins a-t-on appris, grâce à ce scandale d’information partielle qui tourne à la désinformation, quels relents dégageait l’officine au très joli nom de Center of Public Integrity.
10:19 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
C'EST CE SOIR : conférence ce mercredi 6 avril, à 19 h 30 à Paris avec Bruno Mégret
08:32 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Entretien avec Philippe Randa, directeur d’EuroLibertés, le site de la réinformation européenne
Paru sur Breizh-info cliquez ici
Philippe Milliau, directeur de TV Libertés avait annoncé à l’occasion du deuxième anniversaire de la chaîne, la naissance prochaine d’Eurolibertés : c’est chose faite désormais, en attendant Radio Libertés, qui commencera à émettre sous peu.
Il s’agit du premier site de « réinformation européenne » , qui est dirigé par Philippe Randa, ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale. Chroniqueur politique régulier (Présent, Synthèse nationale, Metamag, VoxNr, etc.) et éditeur (il a fondé les éditions Dualpha, Déterna et L’Æncre), il est également l’auteur de plus d’une centaine de livres.
L’équipe d’Eurolibertés est toutefois large, puisque l’on retrouve déjà de nombreuses plumes comme celle de Nicolas Bonnal, Lionel Baland, Thierry Bouzard, Gérard Dussouy Pieter Kerstens et beaucoup d’autres …
Nous avons interrogé Philippe Randa, pour découvrir ce nouveau média qui devrait secouer la réinfosphère !
Qu’est-ce qu’EuroLibertés ?
C’est un nouveau média quotidien de presse écrite. Il est bien évidemment proche – et même « contre, tout contre », selon la fameuse expression de Sacha Guitry – de ce qui est devenu en deux ans seulement le « Groupe Libertés », présidé par Philippe Milliau, avec une télévision, de nombreux sites régionaux et bientôt une Radio. Au-delà de ses lecteurs, EuroLibertés travaille bien évidemment avec tous les autres médias du Groupe en leur communiquant ses informations et en répercutant de mêmes les leurs lorsqu’elles sont en rapport avec l’Europe. Mais EuroLibertés est autonome avec des collaborateurs et des correspondants qui lui sont attachés, même si beaucoup participeront sans doute ou participent déjà à d’autres activités du « Groupe Libertés »… Olivier Pichon et Patrick Parment animent leurs propres émissions sur TVLibertés ; Nicolas Gauthier et moi-même participons à l’émission « Bistrot Liberté » de Martial Bild depuis sa naissance. On dit souvent d’internet que c’est une « toile » ; le « Groupe Libertés », c’est cela aussi. Ainsi, nous ambitionnons de toucher un public extrêmement vaste, quasiment illimité, puisque nos offres de réinformation sont multiples.
Quel est le but du site ?
Il se veut le premier site de la réinformation européenne. Il est né d’un constat : quelle que soit l’opinion que l’on porte sur l’Europe, que l’on soit partisan enthousiaste de sa construction ou eurosceptique, voire europhobe, l’information sur les problématiques de notre continent, que beaucoup s’imaginent importante, est en réalité assez mince… et la plupart du temps, biaisée. Soit par les Mondialistes qui veulent persuader les peuples européens que la construction mijotée à Bruxelles leur assurera prospérité et sécurité, alors que leurs buts, après avoir fait disparaître toutes les identités régionales et nationales, est de diluer l’Union européenne dans leur grand dessein d'un Monde unipolaire…. sous contrôle des U.S.A. Soit par les Souverainistes qui appréhendent l’Union européenne sous ses seules faiblesses – et elles sont aussi nombreuses que dangereuses, souvent ubuesques et insupportables – et n’envisagent qu’un retour aux frontières anciennes des Nations comme seule issue… Enfin, il y a ceux qui pensent que la construction européenne est incontournable, mais qu’elle est, à l’évidence, mal menée et pensent qu’on ne renie pas une patrie au prétexte que celle-ci est actuellement dirigée par des incapables, des corrompus ou des agents étrangers… Les uns pouvant être les trois à la fois, d’ailleurs ! Ceux enfin qui rêvent d'un Etat voire d'un Empire européen dans un monde multipolaire.
Que va t-il apporter dans l'information européenne ?
Outre certaines informations interdites de diffusion dans les médias institutionnels et que nos nombreux correspondants à travers le continent nous apporteront, nous appréhenderons toute information sous un angle différent des observateurs institutionnels qui ont perdu la confiance d’une grande majorité de citoyens. Ce n’est pas une accusation gratuite : ces mêmes médias institutionnels, aujourd’hui, se plaignent du manque d’intérêt qu’on leur porte… tout en ne songeant pas un instant, d’ailleurs, à remettre en question leur langue de bois… Des exemples ? Il y en a tellement que je me contenterais d’indiquer la montée incessante, partout en Europe, des partis dits « populistes » (faute d’autre terminologie plus adéquate)… ou même d’ailleurs aux États-Unis où les succès électoraux dans les primaires de Donald Trump chez les Républicains et de Bernie Sanders pour les Démocrates ont totalement démenti les pronostics des auto-proclamés « spécialistes »…
Qui sont vos correspondants ?
Ce sont des universitaires, des membres de la société civile et bien sûr des journalistes professionnels ; tous ont une grande habitude des médias pour apporter, dans leurs pays respectifs, des contributions régulières, sur internet ou dans la presse papier. Je ne vais pas les citer tous, d’autant que j’ai tenu à attendre que leurs propres médias soient en ligne pour contacter certains d’entre eux. Les premiers correspondants d’EuroLibertés sont indiqués sur notre site (« Pourquoi EuroLibertés ? Nos collaborateurs »)… J’invite vos lecteurs à s’y rendre pour les découvrir.
Pensez-vous vraiment que les Français s'intéressent à l'Europe aujourd'hui ?
La réponse est évidente, même si elle fait quelque peu cliché : de toutes façons, l’Europe, elle, s’intéresse à eux ; nous sommes donc tous concernés, qu’on le veuille ou non, par les problématiques de notre continent. Ne pas l’admettre, vouloir s’isoler dans une « tour d’ivoire » méprisante, c’est faire le jeu des Mondialistes qui, eux, ne demandent que cela : que les principaux intéressés ne s’occupent surtout pas de ce qui se passe autour d’eux ; ces Mondialistes – Monde de la Finance, lobbies communautaires ou militaires, militants associatifs, tous ceux qui rêvent d’un monde sans frontières, de peuples réduits à d’« idiots consommateurs utiles » – se chargeant de tout avec leur leitmotiv : « Il est minuit, braves citoyens du Monde, dormez en paix… Vous êtes le numéro… ». Nous nous adressons à tous ceux qui ne veulent pas se réveiller un jour et vivre cette scène :
« Où suis-je ? »
« Au village mondial ! »
« Qu’est-ce que voulez ? »
« Que vous consommiez ! Que vous consommiez, que vous consommiez, que vous consommiez… »
« Qui êtes-vous ? »
« Nous sommes tous des numéros… vous aussi ! »
Ce que nous voulons ? Que ceux qui ne veulent pas être des numéros, mais des hommes libres, ne s’endorment pas… EuroLibertés entend non seulement sonner le tocsin autant qu’il le faudra, mais également fournir les antidotes à toute pensée unique, forcément mortifère. Vaste programme, s’il en est !
EuroLibertés cliquez ici
08:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3228 du 24 mars 2016
C’EST un rapport de 37 pages mis en ligne le 14 mars par le jury de l’Ecole nationale d’administration (ENA). Il critique avec virulence la majorité des 950 candidats au concours d’entrée, dénonçant leur frilosité et leur conformisme. Francetv info l’a passé en revue. Florilège : Ils n’ont pas de sens critique sur l’Europe. « Les candidats donnent le sentiment de présenter l’Union européenne comme un ordre établi qui ne pourrait être différent, poursuit le rapport. La plupart d’entre eux témoignent d’une absence de sens critique et d’une incapacité ou d’une absence de volonté à imaginer d’autres modes de fonctionnement ». Le jury regrette « une prudence excessive ou une incapacité à prendre de la hauteur » et « un goût pour les “écrans de fumée” masquant l’incapacité à répondre à une question ». « Trop de candidats n’avouent jamais leur ignorance. Ces comportements particulièrement dangereux dans la vie professionnelle ont été sanctionnés », dit le rapport. Quant à « l’épreuve collective d’interaction », c’est tout un poème. Le candidat moyen est « trop souvent soucieux de ne froisser personne, d’être politiquement correct, confondant consensus et résultat équilibré, mal à l’aise dès qu’il s’agit d’émettre un jugement, timide face à un quelconque engagement ». Les membres du jury en sont venus « à douter de ses aptitudes à manager, rencontrer des organisations professionnelles, gérer des problèmes délicats de ressources humaines, conseiller, prendre des risques mesurés et éventuellement décider… » Sur l’épreuve de question contemporaine, le jury relève que nombre de titres cités « n’ont pas été lus ». Enfin, placer au même niveau des citations de grands philosophes tels Locke ou Hume et celles d’Éric Zemmour ne leur semble pas d’une folle pertinence…
JEAN LASSALLE CANDIDAT À LA PRÉSIDENTIELLE
Jean Lassalle a annoncé qu’il serait candidat à l’élection présidentielle, en refusant de passer par la case des primaires. Le personnage est éminemment sympathique et courageux. Le député basco-béarnais, âgé de 60 ans, s’est mis en congé du MoDem de François Bayrou, qui a tenté, sans succès de le dissuader de tenter l’aventure. On se souvient des actions choc que Lassalle avait menées, dont une grève de la faim en 2006, à l’Assemblée nationale, destinée à empêcher (avec succès) la délocalisation d’une usine de sa commune, qui employait 150 salariés. Il arrêta la grève alors qu’il était hospitalisé d’urgence. Et puis, il y a l’hymne occitan qu’il avait entonné en 2003 dans les travées de l’Assemblée « Si canti io que canti, canti pas per jo… » Il protestait contre la fermeture d’une gendarmerie sur la route qui mène au tunnel de Somport, dans sa circonscription. L’affaire avait fait sensation et suscita la colère de Jean-Louis Debré qui menaça de le faire expulser. En 2013, il avait effectué une marche à travers l’hexagone (5 000 km en huit mois), recueillant les avis et plaintes des Français, qu’il publiera dans des « cahiers de l’espoir ». « 17 500 contacts enregistrés » et de multiples témoignages entendus. « Je ne pensais pas que la détestation des politiques atteindrait un tel degré », écrit-il par exemple. Il sera aussi l’un des rares parlementaires centristes à s’opposer à la loi Taubira et ajoutera : « Les notions de gestation pour autrui et de procréation médicalement assistée m’ont fait basculer vers le non ». Esprit libre et indépendant, il explique ainsi son refus de participer aux primaires : « Le peuple se sent déjà largement dépossédé de ses capacités de choix. Les primaires renforcent ce sentiment qu’il n’a plus d’autre option que de voter pour des candidats choisis en amont par les trois ou quatre partis dominants. »
LA RÉPRESSION CONTRE LES MILITANTS IDENTITAIRES
Il y a dix jours, 80 militants de Génération identitaire bloquaient trois ponts à Calais. Leur objectif était d’interdire l’accès aux immigrés clandestins. Pour ce faire, ils se sont allongés durant deux heures avant d’être délogés par la police de Bernard Cazeneuve. La répression fut féroce. Ils ont été durement matraqués et gazés comme le prouvent les vidéos publiée sur le site Novopress. Un policier a même avoué devant le tribunal avoir mis deux coups au visage d’un militant pendant son transport vers le commissariat. Sans doute pour le plaisir… Ils viennent d’être jugés. Trois militants écopent de trois mois de prison ferme et d’amendes pour « faits de rébellion ». Une honte ! Quand on constate la clémence dont la justice socialiste fait preuve à l’égard des casseurs gauchistes et des immigrés clandestins… Bruno Gollnisch a exprimé son soutien aux jeunes Identitaires et s’est élevé dernièrement contre l’interdiction par le pouvoir, désormais quasi systématique, des manifestations patriotiques, notamment à Calais. Il constate aussi que « ce ne sont pas les militants de Génération Identitaire qui constituent une menace pour la sécurité des CRS et de nos compatriotes, mais bien certains immigrés particulièrement agressifs et vindicatifs, encadrés par les habituels idiots utiles d’extrême gauche. »
FN ET SIEL : FINIE LA DOUBLE APPARTENANCE
Le Siel est ce petit parti, associé au Rassemblement Bleu Marine et dirigé par Karim Ouchikh. Ce dernier, qui avait assisté au séminaire de début février à Etiolles, comme je l’ai raconté dans un récent RIVAROL, s’était autorisé à commettre quelques critiques sur la ligne politique (il prône le rassemblement de la droite et l’abandon de la stratégie du « ni gauche, ni droite »), ce qui fut fort mal apprécié. Les sanctions n’ont pas manqué de tomber, drues. « Lors de sa séance du 29 février, le bureau politique du Front national a décidé que la double appartenance entre le FN et le Siel, était désormais proscrite. » Que vont faire les quelques dizaines d’adhérents du Siel, concernés, et notamment l’avocat Frédéric Pichon ? Les personnes concernées disposent d’un délai d’un mois pour renoncer à l’une des deux appartenances. Ça ne rigole pas, au FN mariniste… En attendant les adhérents de la microscopique formation Patrie et Citoyenneté, rassemblant des « patriotes de gauche », membre du RBM, ne sont pas concernés par l’ukase. Au contraire. Son président, Bertrand Dutheil de la Rochère, a été chaleureusement accueilli par Laurent Brice, responsable de la fédération et premier adjoint au maire Steeve Briois à Hénin-Beaumont pour une conférence sur le thème islam et laïcité. Il s’est réjoui dans un tweet de « l’excellente et passionnante discussion avec les militants frontistes du Pas-de-Calais ». Florian Philippot a adoré et l’a rediffusé partout. Question que pose Minute : « Deux poids, deux mesures ? »
PARIONS QUE CELA FINIRA MAL ENTRE MARINE ET MARION LE PEN
Marine Le Pen est sur une étrange ligne de « la France apaisée ». Même si elle congédie à tour de bras tous ceux qui, au sein de son parti, lui déplaisent, elle fait montre de beaucoup d’humanité à l’égard de ceux qui, dans la société civile, comme on dit, sont quelque peu différents. Elle n’est certes pas pour le “mariage” homosexuel, mais pour un PACS “amélioré”, ce qui dans les faits revient au même, le pacs étant déjà égal au mariage civil sur le plan fiscal, successoral et patrimonial. A une époque, le FN était pour l’abrogation du PACS, mais il s’agissait d’une autre époque… Marion Le Pen, quant à elle, n’hésite pas à faire front, déclarant en Italie, où elle a rencontré les élus de la Ligue du Nord, que le “mariage” homosexuel risque « d’ouvrir la voie […] à de très nombreuses dérives. D’autres minorités chercheront à faire reconnaître leur forme d’amour, je pense notamment à la polygamie ». Notons qu’elle n’a cependant pas cité la pédophilie, ni la zoophilie, ce qui aurait fait hurler d’horreur tous les mignons du FN mariniste. Mais sa tante a deviné les obscures arrière-pensées de sa nièce, tranchant : « Ce débat, je crois honnêtement qu’on y a passé trop de temps ». En d’autres termes : « shut up ! » (ferme-la !) Marine Le Pen reconnaît un désaccord avec sa nièce, bien qu’il ne soit « pas un problème » à ses yeux. « Je crois qu’on est très loin de la reconnaissance de la polygamie dans notre pays », déclare-t-elle. L’inénarrable Wallerand de Saint-Just est venu avec la brosse à reluire en boutonnière à la rescousse de Marine Le Pen, expliquant du haut de son génie pourquoi il ne parle plus d’avortement : « Marine Le Pen nous dit que, dans une structure politique, la seule chose à faire, c’est de prendre en considération les problèmes des contemporains. » Ben, voyons ! L’avortement n’est pas un problème pour nos contemporains, si l’on en croit le FN mariniste ! Consternant… Parions que cela finira mal entre Marine et Marion Le Pen.
LA POLICE DE LA PENSÉE À L’ÉCOLE
Du 21 au 28 mars se tient, dans nos écoles, sous l’égide de l’Éducation nationale et de son ministre, « une semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme » La Licra en couine de joie. Résumé de ce que ces commissaires politiques vont marteler à nos enfants : « Faire reconnaître la diversité humaine et culturelle ; favoriser le respect des différences et combattre le repli sur soi ; cultiver la tolérance et l’enrichissement mutuel ; promouvoir une société solidaire et du vivre ensemble ; éveiller aux dérives du relativisme, de la rumeur, de l’obscurantisme, des théories du complot ; encourager l’esprit critique et la résistance face à l’injustice ; agir dans la durée pour faire évoluer les mentalités et instaurer une société plus fraternelle. » L’antiracisme unilatéral est vraiment une religion d’Etat.
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler .
RAPPEL :
En savoir plus cliquez ici
07:43 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 23 avril, à Bourges :
00:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 05 avril 2016
Le concert de Laibach à Bruxelles (09 02 2016)
14:28 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A Douvres, les Anglais n'ont pas l'air enthousiastes de voir arriver les "migrants"
Des centaines de patriotes anglais ont bloqué Douvres et se sont heurtés à la police pour protester contre l'invasion de leur pays, tandis que la veille, un énorme message de bienvenue était projeté sur des falaises à proximité. Preuve du fossé grandissant entre l'oligarchie collaborationniste britannique et le peuple qui, là aussi, relève la tête.
Pour suivre le combat de la résistance en Europe, consultez LVCI (lLes Villes contre l'islamisation) cliquez ici
10:30 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les nouveaux « Collabos » et le Héros
Dr Bernard Plouvier
En ce printemps de l’An 2016, les Européens de l’Ouest et ceux de l’Est s’opposent de façon caricaturale dans leurs rapports à l’islam conquérant et aux djihadistes.
À l’Ouest, rien de nouveau ! En Allemagne, une ex-violée de la Saint-Sylvestre déclare comprendre la frustration sexuelle des immigrés maghrébins et regrette d’avoir porté plainte. Le pape François hurle ses imprécations contre les Européens égoïstes qui refusent d’accueillir davantage d’Africains, noirs et maghrébins, de Proche et de Moyen-Orientaux… en majorité musulmans !
En France, on dépense quelques millions d’euros dans une grande campagne de lutte contre le racisme : Tous unis contre la haine, qui a pour but de faire croire aux crétins décérébrés que la France est peuplée de millions de vilains Blancs racistes, agressant, par simple joie de nuire, du gentil Noir, de l’adorable Maghrébin, du vertueux Turc (variantes : Proche- ou Moyen-Oriental). Cette coûteuse absurdité va jusqu’à nier l’existence même du racisme anti-Blancs.
Un ou une carriériste d’Air France veut faire porter le voile islamique aux hôtesses de l’air d’origine européenne pour les vols à destination de l’Iran ou qui en proviennent… et par la suite, on imagine que cette mesure de prostitution commerciale sera étendue aux lignes desservant les autres États islamiques.
On ne compte plus les mosquées, en Belgique, en France, en Scandinavie, où imams et oulémas gueulent tous les vendredis soirs leur haine de l’infidèle. Et pendant ce temps, d’honnêtes politiciens, à la recherche des voix d’immigrés, bradent terrains et bâtiments municipaux pour permettre l’édification de nouvelles mosquées (qui servent parfois aussi de salles de sport de combat).
En France, le porc est interdit dans les cantines scolaires et, bientôt, il sera difficile de trouver une viande qui ne soit pas halal.
En Belgique, à Molenbeek, des rejetons de l’immigration arabo-musulmane et congolaise se sont violemment affrontés à la police anti-émeute le 1er avril, ce qui a occasionné les habituelles scènes de pillage et de vandalisme, en plus de l’écrasement d’une Belge par un gentil chauffard maghrébin… les contribuables et les assurés belges paieront la note. Une élue locale, probablement hautement intellectualisée, a incriminé, non les émeutiers immigrés, mais des « fascistes ». Renseignements pris, des militants de Génération Identitaire voulaient manifester, mais ne l’ont pas fait : ils ont respecté l’interdiction qui leur avait été signifiée par le chef de la police du Grand Bruxelles. Mais les extra-Européens ont trouvé bonne l’occasion de démontrer ce dont ils sont capables à tout moment : rébellion, émeute raciale et destructions. Cela, c’est la façade Ouest de l’Europe.
À l’Est, une lueur d’espoir naît. Il existe, là-bas, un homme d’État qui a pris conscience du péril. Là-bas, il existe des héros prêts à mourir pour combattre l’islam conquérant. Pendant que les politiciens français, belges, allemands etc. donnent des milliards d’euros à la Turquie (où l’on tente de devenir une puissance nucléaire), des soldats russes se battent en Syrie, au sol et dans les airs, contre l’État Islamique, où le calife Abou Bakr II coordonne les attentats qui ensanglantent l’Europe.
Il y a quelques jours, le lieutenant russe Alexandre Prokhorenko s’est battu jusqu’à la mort face aux djihadistes. Sa mort glorieuse a enthousiasmé les vrais Européens. Quelque part à l’Est, l’on forme encore de vrais soldats, qui savent pourquoi ils se battent et qui le font jusqu’au sacrifice suprême s’il le faut, non pas dans des missions de police, mais en combattant le Mal à la racine.
À l’Ouest, clowns des media et pitres politiciens globalo-mondialistes pérorent sur un inexistant « péril fasciste » et sur la très curieuse « nécessité » d’accueillir encore des millions d’extra-Européens dans un continent en voie de paupérisation et en proie à un énorme chômage.
À l’Est, on envoie des troupes écraser le Mal, de façon à y réexpédier les réfugiés pour qu’ils puissent de nouveau vivre chez eux, pour moderniser leurs pays (Libye, Irak, Syrie, Afghanistan, Yémen etc.), en exploiter les richesses naturelles, échanger avec les pays développés le produit de leur travail et ne plus vivre en état de boulets économiques pour les peuples civilisés.
Le véritable humanisme est de pacifier les pays islamiques, ravagés depuis que George Bush Jr et Hussein Obama en ont donné l’ordre, de façon à ce que leurs ressortissants puissent travailler et entrer dans le monde du commerce équitable, valeur contre valeur, sans vivre aux crochets des Nations qui sont devenues prospères, en deux millénaires, à force de travail. Paix et Travail seront plus profitables à l’humanité que le triomphe d’une religion où un chef de très haute volée encourage ouvertement les assassinats et les attentats terroristes.
08:49 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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Un concert dans l'Aisne
00:25 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 04 avril 2016
Samedi 9 avril : colloque de l'Iliade
15:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les roublards du voile islamique
Dr Bernard Plouvier
Chacun sait avec quelle vigueur nos politiciens nationaux et locaux font respecter la Loi de 1905, instituant la séparation entre les religions et l’État. Officiellement, le port du voile islamique est interdit dans les établissements publics, scolaires et universitaires, hospitaliers et administratifs… il faut n’avoir pas fréquenté récemment ces établissements pour croire encore en l’application de la loi.
Toutefois, cette loi existe et jusqu’à son abolition, chacun est censé, non seulement ne pas l’ignorer, mais également l’appliquer.
Or, pour des raisons de (re)conquête du marché iranien (ni très riche, ni très important) les dirigeants de la société Air France, dont l’État détient encore 15% du capital, ont tenté d’obliger leurs hôtesses à porter le voile islamique, d’abord lors des vols vers l’Iran ou en provenant, avec l’arrière-pensée de l’exiger pour les trajets vers les autres États médiévaux, où la femme est l’humble servante de son nabab d’époux, dans son harem où il peut concentrer quatre femmes, en plus des esclaves dans les pays où persiste (discrètement) cette pratique, esclaves dont le despote peut user à sa convenance… lisez le coran !
Dans ces conditions, pourquoi n’habillerait-on pas nos hôtesses européennes d’un sari pour les lignes destinées à l’Inde ou ne les déguiserait-on pas en geishas (avec ou sans les attributs de ces « hôtesses » d’un genre très spécial) ? Où s’arrêtera-t-on dans la prostitution commerciale ? C’est la seule question à poser, lorsqu’on se trouve confronté à une telle crétinerie.
L’Europe fut exportatrice de civilisation. Il serait sot de l’oublier. Si les chefs d’État musulmans parlent haut et fort, c’est parce que des Européens et des Nord-Américains d’origine européenne ont découvert des champs pétrolifères dans des pays, où ils stagnaient depuis des millions d’années et où ils auraient pu le faire longtemps encore sans la technologie occidentale.
L’islam n’est fort que des pétrodollars de ses émirs, mollahs et roitelets, qui utilisent une démographie de primitifs pour envahir l’Occident et y porter une guerre de races et de religions.
Nous autres, Européens, n’avons pas à leur faciliter la tâche. Bien au contraire ! La très ignoble proposition d’un ou d’une carriériste d’Air France doit servir de sujet de réflexions. L’occident est malade des excès de zèle d’agents collaborateurs des nouveaux envahisseurs.
Plutôt que de hurler contre un « péril fasciste » inexistant ou pour le maintien d’une sous-activité de certaines catégories de travailleurs français, liée à quelques lois du travail obsolètes, il devient urgent de comprendre quel est le vrai péril et qui sont nos pires ennemis.
14:36 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le moment est venu que vous sachiez... Retour sur l'époque chiraquienne : un ancien élu "évoque"
Marc Noé Ancien Maire et ancien Conseiller général (RPR) de la Seine et Marne
Il y a quelques jours, j’écoutais l’interview télévisé du Député centriste des Pyrénées Atlantiques, Jean Lassalle. Un député honnête, sincère et pas carriériste au contraire de beaucoup d’autres. Dans la perspective de la présidentielle de 2017, il annonçait qu’en aucun cas il n’apporterait son soutien à Alain Juppé.
Il expliquait en substance que les seuls faits d’armes notables de celui-ci avaient été « d’éviter la prison à Chirac », en lui servant de fusible dans l’affaire des emplois fictifs à la Mairie de Paris, et d’avoir provoqué la cohabitation avec Jospin, après la dissolution ratée d’avril 97. Que du bon sens allié à une saine mémoire.
Or, si le propos n’est vraisemblablement pas faux concernant Chirac et la prison –ou au moins un procès-, il appelle néanmoins quelques précisions encore inconnues du « grand public » quant à la dissolution dont, à l’époque, personne n’a compris les raisons invoquées. À part quelques-uns. Et pour cause…
CHIRAC VISE LE PRIX NOBEL DE LA PAIX
Nous sommes alors en 1996. Chirac a été élu Président l’année précédente et dispose, à l’Assemblée, d’une écrasante majorité issue des Législatives de 1993 : la fameuse « vague bleue ». Juppé est Premier Ministre, succédant au Balladur de la seconde cohabitation d’avec Mitterrand. Apparemment donc, tout va bien.
Apparemment seulement, car une décision de Chirac vient ternir la belle unité de façade des députés majoritaires. Le Président vient en effet de décider d’attribuer la Légion d’Honneur à des anciens combattants des « Brigades internationales » de la guerre d’Espagne : « les Rouges », « les républicains ». Mais pour quels services éminents rendus à la France ?… est-on en droit de s’interroger. Aucun, naturellement. Alors pourquoi cette médaille ?… Et bien tout simplement parce-que, dans sa première année de mandat présidentiel, Chirac s’est mis en tête de viser le Prix Nobel de la Paix ! À ce moment, peu de gens connaissent le projet, hormis quelques parlementaires et quelques « Compagnons du premier cercle ». L’attribution de ces décorations aurait dû lui permettre, selon lui, de marquer quelques points en ce sens tout en corrigeant son image de « hussard facho ». À cet égard, qu’on se rappelle notamment « l’affaire des bruits et des odeurs » de 1991 que « Jacquot » tentait de faire oublier.
Ici, qui ne connait pas cette motivation de « Prix Nobel » ne peut en comprendre les conséquences.
UN COLLECTIF DE DÉPUTÉS DROITISTES QUI GENENT
Chez les députés, comme chez les sénateurs de la majorité, c’est alors la levée de boucliers et un collectif de 80 parlementaires se crée en vue de déférer la décision présidentielle devant le Conseil d’État. L’affaire n’aura pour ainsi dire pas d’écho médiatique. L’omerta est bien organisée.
Ce collectif se compose alors de députés RPR-UDF-PR et Non-Inscrits. Jugés trop à droite par l’Élysée, ces parlementaires commencent d’ailleurs à gêner. Ils agacent même. Mais comment s’en débarrasser ?…
C’est alors que « l’idée géniale » germe rapidement dans la cervelle de Villepin, alors Secrétaire Général de l’Élysée : la dissolution. Il arrive facilement à en convaincre « le grand Jacques » qui ne demande que ça, lui faisant valoir qu’une dissolution reconduirait une majorité de même tendance mais débarrassée des « turlupins droitistes ». « Gros avantage », avance-t-il, lui qui ne s’est jamais présenté au suffrage universel. D’autant que la plupart de ces élus l’ont été en 93, dans des circonscriptions difficiles reprises à la gauche et que leurs chances de réélection s’avèrent désormais très faibles. D’après les stratèges élyséens, la dissolution devenait donc un « ticket gagnant-gagnant »…
LA DISSOLUTION
Une fois leurs violons accordés, « Le Patron » et Villepin s’attaquent alors à Juppé qui, après une bien molle résistance, finit par se ranger à l’avis présidentiel. D’autant plus volontiers que la disparition de cette frange droitiste n’est pas pour lui déplaire. Et voilà le trio de l’exécutif en ordre de bataille. Ne reste plus que l’habillage (comprenez « l’enfumage ») à mettre en place. Annonçant la dissolution dans une intervention télévisée de l’Élysée, Chirac parla de « la nécessité pour la France d’avoir une majorité ressourcée qui ait la force et la durée nécessaire pour relever les défis d’aujourd’hui ». Côté enfumage, un véritable morceau d’anthologie ! (Voir la vidéo cliquez ici - en fin d’article)
Parallèlement à cette décision, en janvier 97, une étude préalable d’opinion est demandée à Jean-Louis Debré en charge du portefeuille de l’Intérieur. Le résultat de l’enquête donne effectivement une victoire possible à des législatives anticipées. Mais avec une majorité très courte et à condition de demeurer très évasif sur le « volet Europe ». Car, déjà en 97, les Français ont commencé de déchanter sur l’Union européenne.
Dans les fédérations RPR, les élus « consultés » ne sont pas chauds du tout à l’idée de cette dissolution… mais, pour beaucoup, et malgré le grand écart sur Maastricht, Chirac et Juppé inspirent encore confiance. Personne ne parle de Villepin, resté dans l’ombre de cette décision. Alors, bon gré mal gré, tels des moutons, tout le monde court à l’abattoir.
Certains y voient d’ailleurs une aubaine. En Seine-et-Marne, c’est notamment le cas de Copé, alors Maire de Meaux. Lui se verrait bien député à la place de Pierre Quillet (un collègue et ami), élu de la circonscription depuis 1993 et qui, précisément, fait partie du fameux « Collectif rebelle ». Copé parviendra à ses fins grâce à un marché de dupes : il sera imposé à Pierre Quillet (RPR) de laisser les Législatives à Copé, Maire de Meaux depuis 95, contre la promesse d’être en position éligible aux Régionales 98. Avec un engagement sur l’Honneur écrit et signé de Chirac, Juppé et Debré dont Pierre a toujours la lettre. Résultat des courses : Copé est devenu député, mais Pierre n’a jamais été proposé pour les Régionales. Quel sens de l’Honneur !… Ne trouvez-vous pas ?…
UNE DÉFAITE CUISANTE
Quoi qu’il en soit, on connait la suite de cette pantalonnade législative qui devait se muer en retentissante déculottée. De plus, prenant à contrepied les recommandations de l’enquête d’opinion qui enjoignait de ne pas s’appesantir sur le « volet européen », mais n’écoutant que ce qu’il croyait être son « grand sens politique », Juppé part en campagne sur le thème central de… Schengen. Et patatras !… à cause de ce « savant » calcul politicard, la majorité devient minoritaire et Jospin entre triomphalement à Matignon. Maigre consolation : Chirac se voit enfin débarrassé de ces « droitistes gênants ». Ce qui, pour lui, avait en fait été l’objectif premier.
En clair : en voulant se débarrasser de la droite « droitiste », le trio Chirac-Juppé-Villepin a fait revenir la gauche !… Grosse colère chez les militants. Imaginez. Alors aujourd’hui, comment faire confiance au sieur Juppé à la lumière de ces évènements ?…
Ainsi, cette aspiration de Chirac au Nobel de la Paix, inconnue du public, aura provoqué une des plus grosses bourdes politiques de ces dernières décennies tout en coûtant fort cher à la France : la gauche de nouveau au Pouvoir et… les 35 heures !
Le vote des « Lois mémorielles », en 2005, n’a pas non plus d’autre explication. De même que la non-abolition de la Loi Gayssot, initialement prévue du temps de l’opposition et votée sous Mitterrand, en 1990, en complément de la Loi Pleven de 1972 (loi tendant à « réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe »)… De même que la non-intervention en Irak ainsi que l’intervention « onusienne » dans les Balkans en faveur des musulmans du Kosovo…
Alors, même si Chirac peut être qualifié de « vrai chaleureux sympathique », cela ne suffit tout de même pas à en faire un « homme d’idées » fiable et stable dans ses prises de position. Un grand nombre d’autres « politiques » ont d’ailleurs le même avis sur le sujet. Et posez donc la question à Marie-France Garaud…
LE MANQUE DE PAROLE : UNE HABITUDE RÉCURRENTE
Pour illustrer le sujet, je terminerai sur une anecdote personnelle parmi bien d’autres. Un soir de novembre 94, donc quelques mois avant la présidentielle de l’année suivante, je reçus un coup de fil en ma Mairie. Inquiets du nombre croissant de défections en faveur de Balladur, c’étaient Jacques Chirac et Guy Drut qui venaient au renseignement. Guy, alors député-Maire de Coulommiers et président du Comité de soutien à Chirac est un copain de jeunesse depuis que nous avons été ensemble en Équipe de France. Ils voulaient savoir si j’avais, moi aussi, rejoint Balladur comme l’écrasante majorité de mes collègues. Ou si j’étais resté « loyaliste ». Il est vrai que, à ce moment-là de la campagne, les supporters de Chirac étaient fort peu nombreux. Servant d’excuse à toutes les défilades, la phrase qui revenait souvent était alors : « Je préfère gagner avec Balladur que perdre avec Chirac. » Une autre façon de dire : « Je ne fais pas Camerone ! » ou « La Garde se rend et ne meurt pas ! »… Quel manque de panache assurément !
J’assurai alors Chirac de mon soutien sincère et lui demandait s’il avait bien l’intention, en cas de victoire, de procéder à un référendum sur le projet de traité d’Amsterdam et sur l’euro dont on commençait à parler et qu’il avait déjà lui-même évoqué lors d’une intervention télévisée. De manière très claire, « le Patron » me répondit par l’affirmative.
Chirac gagna la présidentielle.
Le traité d’Amsterdam (1997) puis l’euro (2000) furent adoptés par voie parlementaire sans référendum. Au diable les promesses !…
Peu de temps après, et malgré une invitation à l’Élysée à laquelle je ne me rendis pas, je quittai donc le RPR pour rejoindre le RPF avec Pasqua-Villiers. Comme beaucoup d’autres souverainistes qui n’avaient jamais accepté Maastricht. Mais certains autres « ex-souverainistes » (carrière obligeant ?), demeurèrent en place : Séguin, Debré, Fillon, Estrosi, Guaino, Balkany, Mancel et tant d’autres…
Pour ma part, il m’était impossible en restant de cautionner de tels revirements au plus haut niveau.
Désormais, Pasqua est mort mais Philippe de Villiers, bien plus jeune, est demeuré fidèle à la France et à ses convictions.
C’est d’ailleurs en pensant à lui et après la lecture de son livre « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu » que, le paraphrasant, j’ai écrit cet article « Le moment est venu que vous sachiez ». Et il y aurait encore tellement à raconter qui apporterait un éclairage nouveau et surprenant sur ce que nous vivons aujourd’hui…
D’ailleurs, peut-être que, dans un prochain article, ce seront les oreilles de Sarkozy qui siffleront. Avec le temps, les langues se délient. Celle de Villiers avant la mienne et, certainement, d’autres encore à venir.
Mais, comme le faisait dire Michel Audiard à un de ses personnages du « Pacha » (film avec Jean Gabin) : « J’balance pas… j’évoque !… »
Source Le Gaulois cliquez ici
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