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vendredi, 30 décembre 2011

VOEUX...

Synthèse nationale vous souhaite

une bonne et heureuse année 2012...

Rendez-vous lundi.

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mardi, 27 décembre 2011

Deux rendez-vous au Local en fin de semaine...

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 Jeudi soir...

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et samedi soir

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lundi, 26 décembre 2011

Algérie : la Turquie a la mémoire courte

Lugan Bernard.jpgPar Bernard Lugan

L'Afrique réelle cliquez ici

 

Les déclarations du Premier ministre turc, Monsieur Erdogan, à propos du « génocide » que la France aurait commis en Algérie, relèvent à la fois de l’hystérie verbale et de la plus grotesque manipulation historique. De plus, Monsieur Erdogan est bien mal placé pour parler de « génocide » en Algérie, région qui fut durant trois siècles une colonie ottomane sous le nom de Régence d’Alger (Wilayat el-Djezair en arabe et Gezayir-i Garp en turc), et dans laquelle les janissaires turcs s’illustrèrent par leurs méthodes particulièrement brutales et expéditives.

En 1520, Sidi Ahmed ou el Kadhi fut le premier résistant kabyle à la colonisation turque, réussissant même à s’emparer d’Alger et forçant le chef de bande Khar ad-Din Barberos à se replier à Djidjelli.

En 1609, les Kabyles vinrent battre les murs d’Alger puis, entre 1758 et 1770, ce fut toute la Kabylie qui se souleva. Au début du XIX° siècle, plusieurs autres insurrections se produisirent, notamment entre 1805 et 1813, puis en 1816 et enfin en 1823. Il en fut de même dans les Aurès où les Chaouias réussirent à interdire toute présence effective du pouvoir ottoman. Constantine fut un cas à part car les Ottomans y avaient de solides alliés avec la tribu des Zemoul, ce qui n’empêcha pas les autres tribus kabyles de se soulever régulièrement.

Tous ces mouvements furent noyés dans le sang, à l’image de ce qui fut la règle en Libye : « La force est employée à la turque : les colonnes de réguliers, Turcs et Couloughlis, usent du sabre, du fusil et du canon, brûlent récoltes et villages, s’emparent d’otages, empalent et décapitent, exposant par dizaines les têtes coupées. L’usage de la force démontre la résolution du maître et l’irréversibilité de la situation » [1]

Dans la Régence d’Alger, les Turcs pratiquèrent une ségrégation institutionnalisée, la politique de l’élite dirigeante militaro administrative ottomane étant d’éviter de se dissoudre par mariage dans la masse de la population.

La violence ottomane ne s’exerça pas uniquement contre les populations locales. Quelques exemples :

- Le 27 mai 1529, après un siège de trois semaines, les 25 survivants de la garnison espagnole qui défendait le fort construit dans la baie d’Alger capitulèrent contre la promesse qu’ils auraient la vie sauve ; or, leur chef, le comte Martin de Vargas, grièvement blessé, fut massacré à coups de bâton par les soldats turcs.

- Le 20 juillet 1535 Khayr ad-Din Barbaros lança un raid sur l’île de Minorque, aux Baléares, enlevant plusieurs centaines de captifs, hommes, femmes et enfants qui furent vendus sur le marché aux esclaves d’Alger.

 - En 1682, après que le Dey eut déclaré la guerre à la France, l’amiral Duquesne se présenta devant Alger où les Turcs massacrèrent le père Jean Le Vacher, consul de France, en l’attachant à la bouche d’un canon [2]

- En 1688, pour lutter contre les pirates, le maréchal d’Estrées bombarda Alger et plusieurs captifs français furent également attachés à des canons.

La piraterie constitua jusqu’au début du XIXème siècle le cœur de la vie politique et économique de la Régence turque d’Alger. Il s’agissait bien de piraterie et non de Course puisque les raïs, les capitaines, n’obéissaient pas aux règles strictes caractérisant cette dernière. La recherche historique a en effet montré que son but n’était pas de s’attaquer, avec l’aval des autorités, à des navires ennemis en temps de guerre, mais que son seul objectif était le butin. A l’exception du raïs Hamidou, tous les acteurs de cette piraterie étaient des Turcs, de naissance ou renégats, aucun n’était d’origine algérienne.

Ceci étant, deux choses doivent être claires :

1) Les lois mémorielles (loi Gayssot, loi Taubira et autres) interdisent et assassinent la recherche historique et c’est pourquoi tout historien sérieux doit exiger leur abrogation.

2) Les politiques n’ont pas à encadrer l’Histoire ; quant aux députés, au lieu de voter des lois mémorielles électoralistes, ils feraient mieux de se préoccuper du sort des Français qui les ont élus. Mais, comme le disait Charles Maurras : « A quoi songe un élu ? A être réélu ».

 

Notes

[1] Martel, A., « Souveraineté et autorité ottomane : la Province de Tripoli du Couchant (1835-1918) ». Université Paul Valéry. Montpellier, en ligne.

[2] En 1830, après la prise d’Alger, le canon surnommé la « Consulaire », fut envoyé à Brest où il se trouve actuellement.

NDLR : A propos de la Consulaire lire aussi cet article de Yves Darchicourt cliquez là

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dimanche, 25 décembre 2011

Un entretien entre Franck Abed et Carl Lang...

02:52 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce Dimanche soir, jour de Noël, un beau cadeau sur Méridien zéro...

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Méridien zéro RBN cliquez ici

02:51 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 décembre 2011

Malgré tout...

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12:06 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CHASSONS LES VOLEURS DU POUVOIR !

arb2.jpgPar Arnaud Raffard de Brienne

Article publié dans le n°25

de Synthèse nationale

cliquez ici

 

Le cirque politicien bat son plein et nul ne peut ignorer, compte tenu de la prépondérance qu’ont pris les grands moyens d’information modernes, l’approche des élections présidentielles en 2012. Les bonimenteurs professionnels, blanchis sous le harnais doré de la politique alimentaire, appuyés par une clique journalistique sans laquelle ils n’existeraient même pas dans l’opinion publique, nous resservent à longueur d’ondes l’habituel brouet électoraliste que, paraît-il, certains continuent à apprécier.

 

Ceux qui n’ont rien anticipé, rien vu venir, rien appris ni rien compris viennent nous expliquer magistralement tout ce qu’ils feront pour nous si, par bonheur (pour eux), ils venaient à être élus ou réélus. Pourtant, pour qui sait voir et entendre, les discours sonnent de plus en plus faux et ceux qui les débitent semblent y croire moins encore eux-mêmes que ceux qui les reçoivent. Pour le reste, petites phrases, chamailleries et ambitions personnelles tiennent lieu de viatique pour ces baladins qui semblent ignorer résolument la honte.

 

Le problème majeur, séduction démocratique oblige, c’est que pas une de ces éminences n’ose évoquer clairement la situation actuelle et à venir de notre pays et, au-delà, des nations européennes et occidentales. Et pourtant, si un accès de sincérité venait à les chatouiller, ils en auraient des choses à dire…

 

La situation économique, par exemple, s’avère en effet extrêmement grave même si une certaine inertie assise sur quelques beaux restes réussit, pour le moment, à camoufler la situation véritable. Nous consommons allégrement les derniers restes de notre prospérité passée comme si rien n’allait jamais changer.

 

Pourtant, en un mot, les pays dits développés vont devoir  réduire drastiquement leur train de vie. Les Etats-providence et tout particulièrement la France sont entrés en agonie sous le poids de dettes colossales et de ressources en baisse. La fin d’une ère de désinflation et des liquidités surabondantes, la hausse du crédit, véritable moteur de la consommation depuis trois décennies et les inévitables politiques restrictives vont considérablement modifier le niveau de vie des Français dans les années à venir.

 

Depuis 1974, c’est-à-dire depuis 37 ans, pour faire très simple, la France dépense plus qu’elle ne gagne, et vit par conséquent sous le régime des déficits publics. Sur ce sujet comme sur tant d’autres, la gauche n’a rien à envier à la droite et réciproquement. Le record absolu vient d’être atteint en mai dernier avec un déficit de 7,6 milliards d’euros. Pour se faire élire ou réélire, les politiciens continuent à faire vivre le pays au-dessus de ses moyens et sacrifient dans vergogne l’avenir des générations futures qui auront, d’une façon ou une autre à rembourser les prodigalités de leurs ascendants. Généreux avec un argent que nous n’avons pas ceux qui auraient dû diriger et donc prévoir ont sacrifié l’avenir des de nos jeunes contemporains et successeurs et il faudra, cela commence à se savoir, plusieurs décennies pour apurer les dettes accumulées au cours des « trente glorieuses » si mal nommées.

 

Ce surendettement s’inscrit lui-même dans un environnement plus que défavorable : vieillissement de la population, parasitisme quasi-généralisé et immigration démentielle ont amené le coût des prestations sociales à hauteur de 45% des dépenses totales de l’Etat français. Le cas est unique et aucun pays au monde n’y résisterait pas plus que nous n’y résisterons. Malheureusement il faut ajouter à cela le coût à venir des retraites auquel a législation récente n’apporte qu’une solution partielle, sans oublier le coût de la dépendance dont le financement semble aujourd’hui insoluble. Ce n’est pas un hasard si les milieux maçonniques et leurs alliés objectifs dans la culture de mort intensifient leur propagande en faveur de l’euthanasie mais, compte tenu des données démographiques connues, le volontariat ne suffira évidemment pas… Les mêmes anticipent déjà des mesures beaucoup plus radicales.

 

La désindustrialisation de la France hypothèque son avenir

 

Ajoutons à cela que la France est, parmi les nations occidentales, celle qui s’est le plus vite désindustrialisée. Nos tartuffes de la politique ont voulu ignorer qu’il y a une corrélation implacable entre le poids de l’industrie dans le PIB d’un pays et l’équilibre de ses balances commerciales et de paiement. Résultat, l’emploi industriel représente 11% en France contre 20% en Allemagne et notre part de marché dans le commerce mondial se limite à 3,50% tandis qu’il est de 10% pour nos voisins d’outre-Rhin.

 

Or, non seulement les déficits de la balance commerciale persistent mais ils s’accélèrent. La France continue à augmenter ses importations, notamment énergétiques, tandis que les exportations stagnent. L’année 2011 connaitra un déficit sans précédent, dépassant même le triste record de 2008 (56,3 milliards d’euros). Avec un déficit de 33,4 milliards d’euros sur les cinq premiers mois de l’année et le franchissement du seuil des 7 milliards pour le seul mois de mai, la France décroche. Elle a déjà atteint à fin mai les deux tiers du déficit de 2010 (51,4 milliards d’euros).

 

La crise est avant tout la crise de la désindustrialisation, elle-même résultante, pour partie, de l’enviable système social français, dynamité par l’immigration. Plombée par un taux de charges hors normes la France ne cesse de perdre des parts de marché, y compris en Europe, ce qui exclut l’alibi trop souvent servi de la cherté de l’euro. Le rêve de consommer toujours plus sans produire en s’imaginant que l’avenir appartenait aux services et à la finance est à remiser au vaste musée des utopies mortifères.

 

Comment nos brillants cerveaux ont-ils pu imaginer qu’il serait indéfiniment possible d’emprunter aux financiers étrangers pour consommer des produits importés sans comprendre que cela nous mettait dans la double dépendance de la finance internationale et des pays émergents auxquels nous transférions notre prospérité ? Comment ont-ils pu s’être autant trompés ? Ne savaient-ils dont pas que l’industrie fait toujours la richesse des nations ? « Nous n’aurions pas dû nous spécialiser dans les services mais dans l’industrie » se lamentent un peu tardivement certains économistes et hommes politiques. Pousseraient-ils la lucidité jusqu’à se demander ce que nous produirons encore dans 10 ou 20 ans ou craignent-ils trop la réponse ?

 

Quant au mirage de la réindustrialisation, ne rêvons pas, on en parle beaucoup sans risquer de la voir, en tout cas pas en France. Seule la Suède et le Canada ont réussi, au prix d’efforts considérables en matière de recherche et d’éducation à relever le défi mais dans un tout autre contexte.

 

« Honnêtement, je ne suis pas loin de pense que c’est foutu » déclare Patrick Artus

 

Sur un éventuel redressement de la situation économique française, Patrick Artus, directeur des études Natixis et auteur de « La France sans usines » récemment paru, n’hésite pas à écrire : « Je ne suis pas très optimiste. Ma conviction est qu’on n’y arrivera pas. Honnêtement, je ne suis pas loin de penser que c’est foutu ». Dans son accès de lucidité Monsieur Artus aurait pu ajouter que de toute façon le coût effrayant de l’immigration empêche tout redressement significatif et durable. On aura beau occulter autant que l’on voudra ce paramètre essentiel, il saura se rappeler à notre bon souvenir aussi vrai que les plus de 70 milliards d’euros de coûts directs et indirects exprimés ne pourront éternellement être occultés. Sans parler des coûts induits évoqués dans mon livre « La désinformation autour de l’immigration ».

 

Mais hormis un certain nombre d’aveux et de témoignages de ce genre, pas un politicien n’ose faire l’aveu des ses errements ni, encore moins annoncer à ses électeurs potentiels ce qui les attend. Pourtant, il ne serait que temps d’expliquer à nos concitoyens perfusés de droits depuis trop longtemps, les devoirs qui les attendent. Ils travailleront plus pour gagner beaucoup moins et auront à subir de lourds plans d’austérité sans commune mesure avec la taxation des limonades, une énième hausse du tabac et autres mesurettes qui relèvent davantage de la farce de potache que d’un plan de redressement.

 

Il faudra aussi leur expliquer l’incapacité génétique d’un régime démocratique à penser le long terme, accaparé qu’il est par les vicissitudes électorales. Il faudra encore dire aux Français que chaque avantage social et chaque cadeau fiscal attribué depuis 1974 a reposé sur l’emprunt, c’est-à-dire sur un argent que nous n’avions pas et qu’il faudra un jour rembourser. Le pathétique programme socialiste relève, au mieux de l’autisme et au pire du charlatanisme. Quand la France aide le tiers-monde, elle le fait avec des moyens empruntés. Chaque immigré entrant en France sans emploi est entretenu avec de l’argent emprunté. Les centaines de milliards engloutis dans les coûts directs et indirects de l’immigration ont totalement été empruntés sur le dos des Français présents et à venir. Chaque euro de revalorisation d’allocations, d’aides sociales diverses, des retraites, emplois aidés… repose sur l’emprunt.

 

Aujourd’hui, la caste politique mêlée de près ou de loin à la gestion du pays depuis au moins quatre décennies est totalement discréditée. Ceux qui, n’ayant rien vu venir, rien compris, rien appris, ont amené notre nation au bord du gouffre ne peuvent à aucun titre prétendre en être les sauveurs. Un réformisme à la petite semaine mené par ces naufrageurs nous amènera, de déconvenues en déconvenues à la catastrophe que l’on peut encore éviter. Inutile de perdre un temps précieux dans l’exégèse de la petite phrase de celui-ci ou l’allusion de celle-là, le soutien à untel plutôt qu’à tel autre : le Système est corrompu et irréformable.

 

Une  véritable révolution nationale et européenne s’impose, dans les meilleurs délais et avec des hommes neufs.

11:50 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : Quand l'ONU rend hommage à Kim Jong il...

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Source Le Point.fr Cliquez ici

 

C'est à peine croyable. Une minute de silence a été observée à l'Assemblée générale de l'ONU, jeudi, à la mémoire de... l'ancien dirigeant nord-coréen Kim Jong-il, décédé samedi dernier à l'âge de 69 ans. Malgré les réticences de certains diplomates occidentaux, Nassir Abdulaziz Al Nasser, président de l'Assemblée générale, a accepté la demande de la mission nord-coréenne d'observer cette minute de silence jeudi, à 21 heures, conformément "au protocole".

 

"Il est de mon triste devoir de rendre hommage à la mémoire de feu Kim Jong-il, secrétaire général du Parti des travailleurs de Corée, président de la Commission de défense de la République démocratique populaire de Corée et commandant suprême de l'armée du peuple coréen, décédé le samedi 17 décembre", a dit Al Nasser. "Nous pensons que ce n'est pas approprié", avait indiqué avant le début de la réunion un diplomate.

 

Kim Jong-un encadré

 

Les États-Unis, le Japon et plusieurs pays européens ont d'ailleurs décidé de boycotter cette minute de silence. D'autant que le programme nucléaire nord-coréen a été à la source de vives tensions ces dernières années avec la communauté internationale. La Corée du Nord a suspendu les négociations à Six avec la Corée du Sud, les États-Unis, la Chine, le Japon et la Russie, il y a plus de deux ans pour protester contre une nouvelle série de sanctions adoptées par les Nations unies à son encontre. Parvenu au pouvoir en 1994 à la mort de Kim-Il sung son père et fondateur du régime, Kim Jong-il a succombé à une crise cardiaque samedi alors qu'il voyageait en train, selon la presse nord-coréenne.

 

C'est son fils, Kim Jong-un qui a pris sa succession. Mais il ne sera pas seul à régner sur la Corée du Nord. Il partagera le pouvoir avec un de ses oncles et l'armée. Depuis la mort de Kim Jong-il, la situation dans le pays semble stable. Un coup d'État militaire "est très improbable", a indiqué, mercredi, une source proche de Pékin et de Pyongyang, qui a requis l'anonymat. "L'armée a prêté allégeance à Kim Jong-un." Selon cette même source, le tir de missile de courte portée nord-coréen réalisé au large de sa côte orientale lundi était une mise en garde adressée à Washington. "Avec ce tir de missile, la Corée du Nord veut montrer qu'elle a les moyens de se protéger", indique cette source.

11:27 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi, c'est le jour de Rivarol...

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N°3027, 16 pages, 3,50 €

Chez votre marchand de journaux

02:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 22 décembre 2011

Vive l' Histoire... libre !

406158335.gifPar Yves Darchicourt

Il aura fallu, en période pré-électorale, un débat législatif touchant au massacre généralisé des arméniens ordonné et perpétré il y a près d'un siècle sur le territoire ottoman, un débat exacerbé par l'existence d'une importante communauté d'origine arménienne en France, par la présence de fortes implantations d' immigrés turcs sur notre territoire et surtout par l'arrogance insupportable du premier ministre barbaresque qui a la prétention d'infléchir une décision du Parlement français, il aura fallu tout cela pour que l'on re-parle de l'Histoire et de la recherche historique. C'est une chance à saisir pour réclamer haut et fort la mise en liberté de la muse Clio et sa garantie d'indépendance vis à vis du politique.

L'Histoire libre ! Ce devrait être un pléonasme. Des vestiges, des documents, des évènements, des faits, mais aussi des questions, des suppositions, des incertitudes, des aveux de méconnaissance... la recherche historique devrait pouvoir être totalement libre, sa publication aussi.

Cette liberté est essentielle à la connaissance et à la compréhension du passé, d'autant que les moyens scientifiques et technologiques mis à disposition des historiens rendent la falsification, la calomnie rétro-active ou l'interpétation abusive de plus en plus difficiles sinon impossibles. La publication des travaux, corollaire obligé, ne peut que découler sur la confrontation des résultats et sur, au moins, l'obligation de neutralité des conclusions sous peine de discrédit et de ridicule.

La liberté de l'historien, la comparaisons des recherches effectuées sans entraves, la publication des élements établis ou supposés ne peuvent être qu'aller dans le sens d'une amélioration de la connaissance et rendraient définitivement inutiles parce que grotesques les assertions des hagiographes rétribués, des éternels pleureurs patentés, des contempteurs politisés ou des négateurs de principe.

L'Histoire et l'historien libérés ? Un voeu pieux sans doute qui se heurte au mur dressé par les idéologues du politiquement correct et leurs lobbies grands pourvoyeurs de fonds, de soutiens et de voix pour les politiciens avides de sinécures. Mais une muraille s'investit, s'assiège, se sape et s'effondre pour n'être plus que ruines. Libérons Clio, libérons l'Histoire ! A l'assaut !

14:07 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : QUELQUES REFLEXIONS SUR LE PROCES DU FRONT COMTOIS...

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Par François Desvignes (Riposte laïque)

Dans un article paru dans l’Est républicain, le journaliste Sam Bonjean rapporte le délibéré de cette malheureuse affaire de l’association du « Front Comtois », où son président vient d’être condamné, sur réquisition conforme du Ministère public, à 3000 euros d’amende pour incitation à la haine raciale, ainsi qu’au règlement de 250 euros de dommages intérêts à chacune des 13 associations de la mouvance totalitaire de la pensée unique venus se précipiter à l’audience pour donner à la France profonde, et seule sincère, leur sempiternelle leçon de catéchisme sur le mérite du vivre ensemble et, verbatim, « les limites de la liberté d’expression » : quel aveu !

Soit, dans leur dictature républicanisante, concernant la liberté d’expression, l’ersatz d’un bon souvenir dans le néant.

Ces procédés du tout judicaire de préférence contre les plus faibles, surtout lorsqu’ils sont innocents, en même temps qu’ils ont fait les belles heures du stalinisme, portent un nom, du moins chez les férus de chasse à courre : ça s’appelle « l’hallali debout suivi de l’hallali par terre ». Comme dans le tout-judiciaire, il y a des chiens partout.

Et c’est toute la ruse pharisienne et la férocité paranoïaque du pays légal d’avoir su, par une interprétation sans cesse plus extensive du délit d’opinion, transformer ce sport suranné contre des petites bêtes inoffensives, en massacre ordonné, très intéressé et judicaire des innocents de la république, hier déjà nos héros, depuis aujourd’hui, en plus, nos premiers martyrs de la France réelle et résistante.

Donc, à tous ceux qui n’auraient pas encore pris le temps de savourer ce compte rendu de Sam Bonjean sur l'assassinat de la liberté d'opinion, je les incite à en prendre connaissance (cliquez ici) tant il constitue, à l’instar de ceux qui l’ont inspiré ou lui ont servi de modèle idéologique, l’archétype de la veulerie, de la médiocrité et de la mauvaise foi du pays légal tranchant avec le courage, l’intelligence et la sincérité du pays réel.

On reproche au prévenu de ne pas avoir su ou voulu faire « la distinction entre islam et islamisme » et sur cette confusion alléguée on crie à l’incitation à la haine raciale. Mais l’islam et l’islamisme sont-ils des races, sinon dans l’esprit des racistes qui s’en prévalent ? Et pourquoi Gaëtan Perret devrait-il faire la distinction entre Staline et le stalinisme, et sous le bénéfice de cette argutie, insinuer ce sophisme que puisque le stalinisme est une abomination, Staline fût un saint ? Et pourquoi encore et surtout, l’avocat de la défense n’a-t-il pas saisi la balle au bond, en rétorquant à son confrère qui faisait cette distinction inconnue de nos dictionnaires entre islam et islamisme que seuls les vichystes faisaient la distinction entre la doctrine national-socialiste et le fascisme ? Il n’y a aucune distinction à faire entre l’islam et l’islamisme qui ne sont que les deux faces d’un même totalitarisme, celui de la Charia, déclarée définitivement hors la loi par la Cour Européenne des Droits de l’Homme qui a jugé dans son Arrêt de principe du 13 février 2003 que : « la Cour (CEDH) partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention ». (1)

En d’autres termes, le rejet intégral de l’islam n’est pas seulement un droit mais le commandement impérieux de la plus haute autorité judiciaire de l’Europe. L’amalgame de cette religion de la honte et de la barbarie qui, en définitive, a tout d’une secte et rien d’une religion, avec la race au sens de la loi française, procède du sectarisme le plus éhonté, d’ une atteinte anticonstitutionnelle évidente à nos libertés publiques les plus chères, celles qui nous autorisent et commandent tout à la fois de toujours dénoncer la tyrannie des factions racistes et sectaires de la mouvance islamophile.

Ce n’est pas le prévenu qui a incité à la haine raciale en dénonçant la barbarie d’une doctrine religieuse inqualifiable, dont l’illégalité a été définitivement proclamée par nos plus hautes instances judiciaires, Ce sont les parties civiles, pour justifier leurs prébendes, qui ont assassiné la liberté d’opinion, en cumulant dénonciation calomnieuse, et incitation à la guerre idéologique et qui, pour faire taire la voix de la vérité, font implicitement l’apologie mensongère de la supériorité raciale de leurs protégés. Leur comportement outrancier porte justement un nom en droit pénal français et devant toute justice digne de ce nom : ” L’incitation à la haine raciale”

Et donc, dans une démocratie authentique, ce que sera peut être un jour notre République, au moins sévèrement puni au plus sûrement appliqué : si la haine raciale contre les nationaux, en fait d’être systématiquement combattue puisque c’est un délit, est encouragée par le pays légal au nom de son idéologie pervertie, c’est que la justice s’est encore trompée de prévenu : c’étaient les parties civiles qu’il fallait poursuivre et non le prévenu qu’il fallait assassiner.

Militant, adhérents, sympathisants du Front Comtois, que m’importe votre habileté dans le discours, vos remords déclarés que vos adversaires ont d’ailleurs raillés à l’audience : vous n’avez pas à vous reprocher des fautes que vous n’avez pas commises ; ni ceux qui vous critiquent de regretter, le ton, la couleur, ou le procédé de vos affiches. (Sur l’humiliation du prévenu à l’audience par le pays légal : cliquez là. Lisez-le également vous aurez tous les détails de l’audience que le manque de place m’interdit de reprendre ici))

La France réelle vous salue pour avoir eu le courage de dire tout haut, les premiers, seuls contre tous ; et elle ne vous compte pour rien le reproche de vos maladresses supposées, tant il est vrai que vos détracteurs ne peuvent vous accuser de fautes de procédure, voire d’étiquette, sans ipso facto faire l’aveu implicite de l’absence de toute faute de votre part sur le fond : vous n’étiez pas racistes dans votre démarche, seulement indignés.

A vous tous, étrangers, tous ceux qui sont venus dans l’espoir de mériter sinon pour eux, leurs enfants, le titre de français, apportant à leur terre d’accueil le meilleur de leur travail et la constance de leur courage, jamais vous n’autoriseriez quiconque et surtout pas des associations, professionnels de la subvention et de la délation ou le parquet liberticides à vous représenter implicitement ou parler en votre nom ce qui vous rangerait contre le prévenu et, à travers lui, contre tous ses frères de souche, vos frères d’adoption, à jamais vos amis. Car, le prévenu a dit dans ses affiches ce que vous auriez voulu dire et confirmer à la barre pour sa défense : nous sommes tous fiers d’être devenus français, de naissance ou d’adoption, de sang ou de mérite, et jamais nous n’autoriserons au nom de cette appartenance pour laquelle nous avons tant donné, que le titre illustre de Français soit trainé dans la boue par ceux qui, au prétoire, nous méprisent et par ceux qui , dans la rue, ont juré de nous égorger : les islamophiles et l’islam (et non l’islamisme). Aussi, pas plus que nos pères, eux, ne faisaient de distinction entre le national-socialisme et le fascisme, ni que nous ne pourrions, nous, en faire entre le pays légal et le stalinisme, pas davantage nous n’en ferons entre les parties civiles et l’islamisme.

Perret, vous ne vous êtes pas trompé de combat. Et puisque nous vous donnons tout notre souffle pour que vous restiez vivant, continuez-le. Faites appel.

(1) L’illégalité constitutionnelle de la Charia avec nos textes européens et notre constitution clôt tout débat sur les « mérites supposés ou réels » de l’islam, de l’islamisme, du vivre ensemble, ou du multiculturalisme islamisé : la Cour, dont les Décisions ont valeur de traité, dit que l’islam est illégal sur tout le territoire européen. Elle opte pour le rejet intégral de ce système de pensée politico-religieux. Certains, qui n’ont jamais peur du ridicule quand le ridicule les sert, diront demain qu’il faut distinguer Charia et islam ; ou les Évangiles et le Christianisme. A ceux là, il faut répondre que l’on peut aussi distinguer entre la Constitution de la Ve République qui ne s’appliquerait pas et la Ve République qui s’appliquerait quand même. Mais non, en démocratie : « Dura lex sed lex. » Y compris à l’endroit des totalitaires.

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mercredi, 21 décembre 2011

La Poste refuse de distribuer notre confrère Militant !

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Pour des raisons qui restent mystérieuses, LA POSTE refuse de distribuer aux abonnés de MILITANT le numéro de novembre 2011, alors qu'elle a encaissé le chèque réglant le montant de sa distribution. La direction de MILITANT met tout en œuvre pour débloquer au plus vite cette situation inacceptable. Elle remercie ses fidèles abonnés de leur patience.

MILITANT, dont le rédacteur en chef est notre ami André Gandillon, combat depuis 45 ans le système mondialiste qui détruit la France et l'Europe : veut-on faire taire l'une des rares publications nationalistes de France ?

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BERNARD LUGAN CENSURE SUR I-TELE !

9782729870836.jpgAprès un véritable psychodrame, la direction d’I-Télé a censuré un entretien que Robert Ménard avait enregistré avec l’africaniste Bernard Lugan dans le cadre de son émission quotidienne « Ménard sans interdit ». Bernard Lugan avait été invité pour présenter son essai « Décolonisez l’Afrique » qui vient de paraître chez Ellipses.
 
Cette décision relève de la censure et de l’atteinte à la liberté d’expression dont se réclament pourtant les journalistes. Une telle mesure montre que ceux qui se permettent de donner des leçons de démocratie, de tolérance et de « droits de l’homme » au monde entier ne supportent pas le parler vrai.
 
Quelle était donc la teneur des propos « scandaleux » tenus par Bernard Lugan ? Robert Ménard, avait posé à ce dernier quatre grandes questions :
 
1) Dans votre livre vous écrivez que les Africains ne sont pas des « Européens pauvres à la peau noire » ; selon vous, c’est pourquoi toutes les tentatives de développement ont échoué en Afrique ?
 
Le refus de reconnaître les différences entre les hommes fait que nous avons imposé à l’Afrique des modèles qui ne lui sont pas adaptés. Nous l’avons fait avec arrogance, comme des jardiniers fous voulant greffer des prunes sur un palmier et noyant ensuite le porte-greffe sous les engrais. C’est ainsi que depuis 1960, 1000 milliards de dollars d’aides ont été déversés sur l’Afrique, en vain. De plus, nous avons voulu européaniser les Africains, ce qui est un génocide culturel. De quel droit pouvons-nous en effet ordonner à ces derniers de cesser d’être ce qu’ils sont pour les sommer d’adopter nos impératifs moraux et comportementaux ? L’ethno-différentialiste que je suis refuse cette approche relevant du plus insupportable suprématisme. Contre Léon Blum qui déclarait qu’il était du devoir des « races supérieures » d’imposer la civilisation aux autres races, je dis avec Lyautey qu’il s’agit de pure folie car les Africains ne sont pas inférieurs puisqu’ils sont « autres ».
 
2) Dans votre livre vous proposez de supprimer l’aide.
 
Oui, car l’aide, en plus d’être inutile, infantilise l’Afrique en lui interdisant de se prendre en main, de se responsabiliser. Dans la décennie 1950-1960, les Africains mangeaient à leur faim et connaissaient la paix tandis que l’Asie subissait de terribles conflits et d’affreuses famines. Un demi siècle plus tard, sans avoir été aidées, la Chine et l’Inde sont devenues des « dragons » parce qu’elles ont décidé de ne compter que sur leurs propres forces, en un mot, de se prendre en charge. Au même moment, le couple sado-masochiste composé de la repentance européenne et de la victimisation africaine a enfanté d’une Afrique immobile attribuant tous ses maux à la colonisation.
 
3) Vous dénoncez l’ingérence humanitaire que vous définissez comme un hypocrite impérialisme et une forme moderne de la « guerre juste », mais n’était-il pas nécessaire d’intervenir en Libye pour y sauver les populations ?
 
Parlons-en. Nous sommes en principe intervenus pour « sauver » les populations civiles de Benghazi d’un massacre « annoncé ». En réalité, nous avons volé au secours de fondamentalistes islamistes, frères de ceux que nous combattons en Afghanistan. Cherchez la logique ! Violant le mandat de l’ONU et nous immisçant dans une guerre civile qui ne nous concernait pas, nous nous sommes ensuite lancés dans une entreprise de renversement du régime libyen, puis dans une véritable chasse à l’homme contre ses dirigeants. Or, le point de départ de notre intervention reposait sur un montage et nous le savons maintenant. Que pouvaient en effet faire quelques chars rouillés contre des combattants retranchés dans la ville de Benghazi ? On nous a déjà « fait le coup » avec les cadavres de Timisoara en Roumanie, avec les « couveuses » du Koweït ou encore avec les « armes de destruction massive » en Irak. A chaque fois, la presse est tombée dans le panneau, par complicité, par bêtise ou par suivisme.
 
Mais allons plus loin et oublions un moment les incontournables et fumeux « droits de l’homme » pour enfin songer à nos intérêts nationaux et européens, ce qui devrait tout de même être la démarche primordiale de nos gouvernants. Nos intérêts étaient-ils donc menacés en Libye pour que nos dirigeants aient pris la décision d’y intervenir ? Etaient-ils dans le maintien au pouvoir d’un satrape certes peu recommandable mais qui, du moins, contrôlait pour notre plus grand profit 1900 kilomètres de littoral faisant face au ventre mou de l’Europe ? Nos intérêts étaient-ils au contraire dans la déstabilisation de la Libye puis son partage en autant de territoires tribaux livrés aux milices islamistes ? Sans parler des conséquences de notre calamiteux interventionnisme dans toute la zone sahélienne où, désormais, nos intérêts vitaux sont effectivement menacés, notamment au Niger, pays qui fournit l’essentiel de l’uranium sans lequel nos centrales nucléaires ne peuvent fonctionner…
 
4) Votre conception du monde n’a-t-elle pas une influence sur vos analyses et prises de positions ?
 
J’ai une conception aristocratique de la vie, je dis aristocratique et non élitiste, la différence est de taille, et alors ? Depuis 1972, soit tout de même 40 ans, je parcours toutes les Afriques, et cela du nord au sud et de l’est à l’ouest, ce qui me donne une expérience de terrain unique dans le monde africaniste ; c’est d’ailleurs pourquoi mes analyses ont du poids. Dès le mois de décembre 2010, dans ma revue, l’Afrique Réelle, j’ai annoncé ce qui allait se passer en Egypte trois mois plus tard. De même, dès le début, j’ai expliqué que le « printemps arabe » n’était qu’un mirage, un miroir aux alouettes autour duquel tournaient les butors de la sous-culture journalistique cependant que, méthodiquement et dans l’ombre, les Frères musulmans préparaient la construction du califat supranational qui est leur but ultime.
 
Voilà les propos que les téléspectateurs d’I-Télé n’ont pas eu le droit d’entendre.
 
Comment riposter à cette censure ?
 
1) En rejoignant les centaines de milliers d’internautes qui ont visité le blog officiel de Bernard Lugan : cliquez là
2) En s’abonnant à la revue mensuelle par PDF L’Afrique Réelle, la seule publication africaniste libre.
3) En achetant « Décolonisez l’Afrique » (Ellipses, novembre 2011).
4) En faisant savoir autour de vous que dans la « Patrie des droits de l’homme », un directeur de chaîne de télévision peut impunément censurer un universitaire auteur de plusieurs dizaines de livres consacrés à l’Afrique, conférencier international et expert de l’ONU.
 
 


Bernard Lugan : "Décolonisez l'Afrique !" par realpolitiktv

 

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Recherche circonscription accueillante inlassablement...

Philippe Randa 5.jpgLa chronique

de Philippe Randa 

À chaque consultation électorale, son lot de drames. À l’UMP, Les deux ténors de la Sarkozie Rachida Dati et François Fillon montrent les crocs pour décrocher l’investiture d’une circonscription parisienne estimée « imperdable » pour un candidat estampillé « pas à gauche » : on juge ainsi à sa juste valeur la témérité des intéressés à se jeter dans l’arène électorale…

Au Parti socialiste, l'inénarable Jack Lang a bien du souci… Rappelons qu’ancien Maire de Blois onze années durant, mais également député du Loir-et-Cher à trois reprises, il a été ensuite se faire élire dans le Pas-de-Calais en 2002… En homme de fidélité à son auguste personne davantage qu’à ses chers électeurs – Comme dirait John Bright : « C’est un self-made man et il adore son créateur » – il est désormais à la recherche d’une troisième circonscription d’accueil. Il a en effet refusé de se soumettre au vote des militants à Boulogne-sur-Mer, par étourderie ou jugeant sans doute qu’il n’avait pas à s’abaisser à une telle formalité…

À moins qu’il n’ait estimé celle-ci trop dangereuse : le militant socialiste, la sale bête, est parfois imprévisible.

L’ancien « Ministre à vie de la culture », tel que le brocarde l’humoriste Laurent Gerra, n’a donc pas été automatiquement ré-investi par le PS pour les prochains législatives. Une autre candidate locale lui a été préféré. Mais qu’à cela ne tienne, le Parti à la rose cherche à lui trouver un autre point de chute. Un de plus. Envisagé un temps dans la Somme, les socialistes locaux n’ont semble-t-il pas manifesté un enthousiasme excessif… L’intéressé assure depuis avec son légendaire aplomb que deux autres circonscriptions lui ont fait savoir qu’elles n’attendaient que lui…

C’était sans compter sans un facétieux élu Europe Écologie-Les Verts qui n’a pu s’empêcher de publier une petite annonce dans la rubrique « messages personnels » du quotidien Libération : « URGENT ! JH, 72 ans, tjs fringant, noctambule festif tous les 21 juin, recherche activement circonscription accueillante et tolérante. Dispose parachute si besoin. »

Et le malheureux septuagénaire au brunshing toujours impeccable d’être depuis lors la risée des médias et d’une grande partie de la classe politique.

Les parachutages d’un Fillon ou d’un Lang illustrent aujourd’hui, comme naguère ceux de Philippe Seguin,

Philippe Douste-Blazy, Élisabeth Guigou, Lionel Jospin, Alain Juppé(1) – on en passe et des dizaines et des dizaines d’autres – la conception quelque peu particulière qu’ont les honorables représentants du peuple français de la représentation parlementaire.

Ils sont toujours prêts à faire don de leur personne, sinon à la France, du moins plus sûrement à ce « Job » électoral si sonnant et trébuchant, pour lequel bien peu aspirent à prendre leur retraite… de leur vivant, en tout cas !

Note

(1) Philippe Seguin : élu Maire d’Épinal quinze ans durant avant de se porter candidat à la mairie de Paris, Philippe Douste-Blazy : Maire de Lourdes pendant onze ans, deux fois député de des Hautes-Pyrénées avant d’être élu maire de Toulouse et Député de la Haute-Garonne, Élisabeth Guigou : députée du Vaucluse en 1997, puis de Seine-Saint-Denis depuis 2002, Lionel Jospin : député de Paris, puis de Haute-Garonne, Alain Juppé : adjoint au Maire et député de Paris avant d’être maire de Bordeaux et député de Gironde, etc.

 

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mardi, 20 décembre 2011

Mais que fait Juppé ?

Le billet de Patrick Parment

juppé.jpgÇa y est. J’ai trouvé un nouveau boulot à Alain Juppé, ci-devant ministre des affaires qui lui sont décidément étrangères : déclarer la guerre à la Corée du Nord et envoyer les troupes de l’Otan libérer un peuple  aux mains d’une dynastie de tarés, les Kim 1-2-3 !

Comment une Corée du Nord peut-elle encore exister à l’heure même où les forces démocratiques de l’angélique Amérique et de ses valets déquillent les Kadhafi, Ben Ali, Moubarack et consorts ?

Certes, me direz-vous, la Chine protège le dernier Etat stalinien de la planète. Pourquoi ? Bonne question. A priori, pour laisser planer une menace sur ce sud-est asiatique riche et puissant. Voici un combat digne de Juppé !

****

Le même Juppé qui s’en est pris également à la Russie, car rien n’arrête Terminator. Motif ? Le jeu de chaise musicale entre Medvedev et Poutine et les récentes élections législatives. Ah bon. Parce qu’en France même on ne bourre pas les urnes ?  Il me semble que le RPR et les cocos s’en sont donnés à cœur joie durant des décennies  sur le bourrage… de crâne et des urnes.

Juppé ferait bien de se montrer prudent avec la Russie de Poutine qui n’est plus celle d’Elstine. Je ne dis pas que la Russie est un modèle de démocratie (l’a-t-elle jamais été) mais quand on voit où nous mène les nôtres, on est saisi d’un grand doute. Le petit couple Sarko/Juppé ferait bien de se montrer plus attentif à l’égard d’un pays (d’un continent) qui présente pour l’Europe nettement plus d’avenir que l’ autre cinglé schizophrène d’outre-Altantique.

****

 Je ne cesse de m’émerveiller de la soumission de nos médias, toutes tendances confondues, à une vision libérale et droit de lhommiste du monde, qui au final ne sert que les ambitions américaines de déstabilisation généralisée de la planète. Tout cela passe aussi évidemment par le même asservissement à toutes ces populations exogènes qui sont aux dires de nos ministres, Pécresse en tête, « une chance pour la France » et à cette religion, pourtant non dominante, qu’est l’islam.

Le Gaulois a disparu de la circulation. En pleine période électorale, on a envie de demander aux Sarkozy, Hollande et consorts à qui ils s’adressent puisqu’ils refusent de prendre en compte les intérêts des Français de souche, sorte de bestiasse taillable et corvéable à souhait tout juste bonne à payer le tribut de son labeur : les impôts. Sur lesquels vit grassement tout ce petit personnel d’élus et de hauts fonctionnaires, tous coupables mais bien évidemment pas responsables. Les peuples, un jour, présentent l’addition.

15:05 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le deuxième volume de la biographie en bandes déssinées d'Hugo Pratt : un cadeau pour Noël...

arton3746.gifPar Christophe Langeot

 

Après « Les visions africaines » nous ne pouvons que recommander le tome 2 de la série BD « Hugo Pratt, un gentilhomme de fortune » intitulé « Venise ».

 

Placé en exergue, cette citation d'Hugo Pratt pose le ton de cette biographie romancée : "Je connais au moins 13 façons différentes de raconter ma vie et je ne sais s'il en existe une qui corresponde à la réalité ou si l'une est plus vrai que l'autre". Tant il est vrai que la vie du père de Corto Maltesse et du Sergent Kirk fut hors normes : Ballila à treize ans en Ethiopie, enrôlé de force dans la police maritime du Reich, interprète pour les alliés, bourlingueur aux quatre coins de la planète, franc-maçon épris d’ésotérisme… Cette album s'ouvre d'ailleurs sur un Raspoutine cherchant l'avenir auprès des géants de pierre de l'Ile de Pâques : un clin d’oeil au séjour que Pratt effectua en 1992 sur ce bout de terre du Pacifique.

 

La toile de fond de cette BD est la ville de Venise sous l'occupation allemande que le jeune Hugo redécouvre après son périple éthiopien. Une Venise remplie d'espions et de femmes troublantes dont il fut, on le sait, un grand amateur. Roman dessiné, truffé de tiroirs à clefs, biographie fictionnelle où se dessine en ombre portée Corto Maltesse au travers du crayon assuré du dessinateur trentenaire Paolo Cossi.

 

Occasion pour nous de redécouvrir l’œuvre du maître au travers ses planches traversants les chaos du XXe siècle et de ses rencontres oniriques : des corbeaux royaux de Stonehenge, des druides de la folle pensée, au Baron Ungern… Une œuvre incontournable qui trouve ses racines dans la tradition originelle.

 

« Hugo Pratt, un gentilhomme de fortune : Venise », Paolo Cossi, Editions Vertige Graphic, 208 pages couleur, 22,00 €

00:25 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 19 décembre 2011

Chronique de la France asservie et résistante...

Photo 001.jpgChronique de Robert Spieler

publiée dans Rivarol

n°3026 du 16 décembre 2011

 

On se souvient de ce retraité de 71 ans, blogueur à ses heures et alsacien de surcroît, qui avait posté en juillet sur son blog un texte intitulé « La Martine de Lille ». Il n’y allait pas de main morte. Francis Neri imputait à Martine Aubry d’être alcoolique, homosexuelle et proche des milieux islamistes. Quant à son mari, Jean-Louis Brochen, il était présenté comme un avocat « défenseur des provocateurs salafistes et communautaristes. » Rien de moins…

 

Martine Aubry et l’alcoolisme

 

Le couple avait assigné le retraité strasbourgeois pour diffamation et atteinte à la vie privée, réclamant chacun 500 euros de dommages et intérêts et la suppression du texte litigieux. On s’attendait à ce que le blogueur fût lourdement condamné. Pas du tout. Le jugement de la 17ème chambre civile du tribunal est assez stupéfiant. Il rappelle que les passages incriminés imputaient notamment à Martine Aubry des « problèmes d’alcoolisme » et d’avoir effectué trois cures de désintoxication. Et il précise : « Ces faits sont précis, mais le défendeur (notre retraité) soutient à juste titre qu’ils ne portent pas atteinte à l’honneur ou à la considération. » Le tribunal se sent obligé de préciser que « l’alcoolisme se définit comme un abus de boissons alcooliques (c’était important de le préciser pour ceux qui l’ignoraient) déterminant un ensemble de troubles. Cet état est considéré comme une maladie et évoqué comme tel dans l’article… » Par conséquent, le tribunal a jugé que ces propos « relatifs à un état pathologique ne sont pas diffamatoires. » En revanche, « l’évocation par insinuation de l’homosexualité réelle (sic) ou supposée, de Martine Aubry, porte atteinte à sa vie privée », a jugé le tribunal, accordant sur ce point un euro de dommages et intérêts à la maire de Lille. Quant à son mari, la 17ème chambre du TGI de Paris, il a été débouté. Motif : « Les propos du blogueur n’étaient pas diffamatoires à l’encontre de Jean-Louis Brochen, mais ‘l’expression d’un jugement de valeur’. »  Eh bien, dites donc…

 

Les francs-maçons s’entretuent

 

Le 3 décembre, se tenait la Tenue Annuelle Solennelle de la Grande Loge Nationale de France (GLNF), à Levallois-Perret. C’est au cri de « Démission ! », « Voyou ! » qu’a été accueilli le Grand Maître très contesté, l’avocat François Stifani. Allez sur youtube regarder cette vidéo amusante où Stifani pleurniche lors de son intervention : « Pourquoi autant de violence ? Pourquoi autant de calomnies ? Je n’ai jamais voulu, mes Frères, penser que j’étais dans le vrai, et les autres dans le faux. » « Si, si ! », réplique l’assistance. Et le Grand Maître de poursuivre : « Pourquoi toutes ces attaques ? J’ai sûrement commis des erreurs. » « Oui, oui », réplique la salle, et l’on entend fuser les mots d’oiseau et « Menteur ! » Les leaders de la contestation évoquent « une crise sans précédent, qui tient essentiellement à la personnalité de François Stifani, à la démesure de son ego, ses comportements despotiques, son ambition de vouloir jouer un rôle dans la politique française… »

 

Les délégations africaines (on sait que les Africains sont friands de singeries en tablier), encadrées par les CRS, furent accueillies par des cris : « Les valises, les valises ! » Les présidents africains Sassou N’Guesso et Ali Bongo avaient prudemment boudé la cérémonie.

 

Mais pourquoi tant de haine ? Beaucoup de dignitaires et de Grands Maîtres provinciaux lui reprochent un mode de gouvernance trop personnel, bref, de se comporter en tyranneau, et aussi l’opacité des comptes et des décisions. Certains ne sont pas loin de le soupçonner d’ « avoir tapé dans la caisse ». Autre motif de fureur : Stifani n’avait rien trouvé de plus intelligent que de déclarer qu’il mettait les 43.000 membres de son obédience à la disposition de Nicolas Sarkozy, en vue de sa réélection… On a beau faire partie d’une obédience connue pour son affairisme, on n’en a pas moins des convictions. Alain Juillet, ancien numéro 2 de la DGSE, et principal opposant de Stifani nous explique sans rire : « La franc-maçonnerie repose sur la fraternité. » En attendant, un administrateur judiciaire a été nommé par la cour d’appel de Paris pour gérer les affaires de l’organisation, après la démission de son conseil d’administration… Qu’est-ce qu’ils sont drôles, ces clowns en tablier !

 

Il est méprisable de mépriser le Peuple

 

Dominique Martin est le responsable des parrainages d’élus dans le cadre de la campagne présidentielle de Marine Le Pen. L’hebdomadaire Minute nous révèle que Marine Le Pen approche les 400 promesses de signatures (Carl Lang en est, à ce compte, à près de 1000…). Il déclare qu’il est le seul à connaître le vrai chiffre : « Même Marine ne sait pas les chiffres exacts et nous refusons par principe de communiquer sur ce sujet… ! » Je ne connais pas Dominique Martin, mais j’aimerais bien le connaître. Ca m’a l’air d’être un grand spécialiste de la communication et de la propagande. Dans le registre pataphysicien : Alfred Jarry et le roi Ubu… Il développe auprès des militants du FN sa théorie de la propagande dans un enregistrement hilarant, si l’on peut dire, à écouter sur le blog La Flamme. Cela date de 2007, où il est candidat à une élection. Il met les moyens : un cd (en chanson) à sa gloire et surtout, un sublime commentaire. Son antienne : il faut faire démagogique. Ecoutons ce génie de la com : « Y a un mois, moi, j’ai fait le repas des anciens, c’est 600 personnes à Cluses. Deux heures de temps. ‘Et comment ça va René ?, Et comment va Marcel ?’ » Commentaire de Dominique Martin : « Et bien démago, puisque j’y suis allé avec trois de mes quatre enfants. Ca, ca le fait, ils aiment. » Et puis… « La semaine d’après, je suis allé à la paëlla des Portugais. Ca vote aussi. Mais je ne suis pas passé par l’entrée là, j’ai été encore plus démago. Parce que les Portugais ils font tout à la main, roulé sous les aisselles. Je suis passé par l’arrière, dans les cuisines, voir les petites mains. Et rentré dans la salle. Ding-dong, vous sonnez, et la porte s’ouvre, c’est : « Là, là, viens voir qui c’est qui est là, c’est Monsieur Martin. » Ne dites pas que c’est pas beau ça, que c’est pas profond ? Mais ne partez pas tout de suite : une finale grandiose ! Il explique qu’il convient de faire les sonnettes ; mais attention, pas n’importe comment ! Voici la recette du chef : « A la porte maximum une minute trente. Et pareil, démago à mort. Comme elle est jolie cette petite fille, et ce petit chat, comment il s’appelle ? » Il est mignon, Dominique Martin, mais à mon avis, avec un tel oiseau, Marine Le Pen a du souci à se faire…

 

Bougrab accusée de « haute trahison »

 

Dans une interview au Parisien, Jeannette Bougrab, secrétaire d’Etat à la Jeunesse, s’inquiétait du succès électoral des partis islamistes dans les pays arabes. S’exprimant à titre personnel, en tant que « femme d’origine arabe », elle a déclaré que la notion d’ « islamisme modéré » défendu par le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, était une absurdité (certes, ce n’est pas le terme exact qu’elle a utilisé, mais cela y ressemble, en langage diplomatique). Elle a notamment évoqué le sort des femmes en terre d’islam. Du coup, Jean-Paul Faugère, le directeur de cabinet de François Fillon, s’est fendu d’un coup de fil rageur, lui reprochant de remettre en cause la politique étrangère de la France (copilotée, comme chacun le sait, par B.H. Lévy), allant jusqu’à l’accuser de « haute trahison ».

 

En attendant, 76% des Français pensent que « l’islam progresse trop en France », et 66% pensent qu’il y a « trop d’immigrés en France ». Ils ne sont plus que 14% à penser que l’Etat devrait aider à financer la construction des mosquées. Et 79% pensent qu’ « il y a trop d’assistanat et que beaucoup de gens abusent des aides sociales. » Etonnant, n’est-ce pas ?

 

Mais, pas d’inquiétude. Les collabos (vous savez, ceux qui se feront égorger les premiers quand les hordes déferleront) fonctionnent à plein régime. La Cour administrative de Nancy vient de condamner la commune de Saint-Ruffine, en Moselle, pour nuisances sonores. Un couple qui habite l’ancien presbytère, à côté de l’église avait poursuivi la commune pour faire taire les cloches entre 20h et 8h. La commune a été condamnée à lui verser 1.500 euros de dommages et intérêts. Certes, 250 familles, sur 270 avaient signé la pétition pour le maintien des cloches. Mais la démocratie totalitaire, c’est çà… Remarque de bon sens d’un habitant de Saint-Ruffine : « Si l’on achète près d’une voie ferrée, va-t-on demander aux trains d’arrêter de passer ? » Et l’on pourrait rajouter : Si l’on achète un gite à la campagne, va-t-on interdire aux vaches de meugler, aux moutons de  bêler, aux  oiseaux de pépier,  aux hiboux de hululer,  aux cigales de striduler et aux crétins de crétiner ?

 

Mais ce n’est pas fini, pour ce qui concerne la course au prix Nobel de la connerie. Après de nombreuses années de présence dans la galerie marchande du Chesnay (78), le santonnier d’Aubagne « les 2 Provençales » a reçu une lettre de la zone commerciale Parly 2 lui disant : « Le Centre ne souhaite pas renouveler le décor de la crèche panoramique ainsi que votre stand de santons. » Nous avons appelé les responsables de Parly 2 pour avoir une explication. Réponse : « Cela ne correspond pas à l’image du Centre Commercial ». Ils veulent s’enrichir sur l’image de Noël, sans en accepter la signification, tant est grande la crainte de déplaire aux musulmans ? Ils veulent avoir le beurre et l’argent du beurre ?, Eh bien, qu’ils aillent au diable. Nous irons acheter nos cadeaux, là où trôneront les symboles de ce qui est un des socles de l’identité européenne.

 

Christine Boutin, une pauvre chérie

 

Christine Boutin, présidente du fantomatique Parti Chrétien-Démocrate, fait partie de ma ménagerie dans lesquels j’ai enfermé les personnages les plus improbables, les plus bizarres et les plus cinglés. J’ai promis à mes lecteurs de les tenir informés, d’heure en heure, de ses émois. Je tiens à tenir parole. Lors du Grand Journal de Canal+ du 24 novembre, Christine Boutin s’est déclarée favorable au droit de vote des étrangers, expliquant : « Ces personnes sont là depuis très longtemps, paient des impôts, participent à la richesse du pays. (Mais où est-elle allée chercher ça ?) Je trouve que la situation actuelle n’est pas normale. »  Elle se pose cependant courageusement la question : « Est-ce le moment de la traiter ? », pour répondre qu’il y a des sujets plus urgents, liés à la crise. Ce n’est pas du courage, c’est de l’héroïsme… Christine Boutin, qui a l’ambition de se présenter à l’élection présidentielle, encore qu’elle rame considérablement pour engranger les signatures, a la prétention d’être une grande stratège, doublée d’une analyste politique de très grande envergure. Elle l’affirme sans ambiguïté dans Valeurs actuelles : « Ce n’est pas à Sarkozy que je vais voler des voix, c’est à Marine Le Pen. » Elle est cependant sévère avec la droite version UMP : « L’UMP met tout en œuvre pour étouffer ma candidature. Cette semaine, Jean-François Copé a réuni les cadres du parti pour leur indiquer qu’il fallait parrainer exclusivement le candidat de l’UMP. Je ne pouvais pas imaginer qu’un parti républicain et démocrate puisse avoir de telles pratiques ; je trouve cela scandaleux. L’UMP refuse l’expression diverse. Ce parti cadenasse la démocratie. » Pauvre chérie ! Se faire traiter ainsi, elle qui apporte un rayon de soleil dans ce monde de brutes qu’est la politique. Elle se plaint amèrement. Elle n’a que 150 signatures, alors qu’en 2002, elle en avait 700 et déclare que « c’est inquiétant ». Alors, va-elle s’en prendre à l’UMP et à Sarkozy ? Mais pas du tout ! Elle explique : « Je porte des propositions concrètes, et après le premier tour, je discuterai avec le candidat de la droite républicaine qui sera présent au second tour en toute transparence. » Après avoir déclaré au sujet de Sarkozy et du mariage homosexuel : « Il n’a pas d’exigences anthropologiques suffisamment importantes pour pouvoir résister aux lobbies qui l’entourent. Nicolas Sarkozy pense à sa personne, pas à ses idées. Il raisonne en parts de marché. Il acceptera de légaliser le mariage homosexuel s’il croit que c’est une part de marché. » Mais que ne ferait pas Christine Boutin pour obtenir un tout petit poste de sous-ministre ?

 

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Les enjeux de la présidentielle 2012...

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Par Laurent Vergne

NDP Bourgogne cliquez ici

La campagne présidentielle que mène Carl Lang est basée sur les fondamentaux qui font l’originalité et la raison d’être du mouvement national. Elle ne plait donc pas au Système, et c’est pour cela qu’elle se heurte, malgré les efforts de l’équipe de campagne, à l’ostracisme des médias aux ordres.

Certains pensent que la dédiabolisation serait la clé de la réussite. Dédiabolisation effectuée, il va sans dire, au détriment des fondamentaux... donc au profit du Système que nous combattons. Nous verrons bien si Marine le Pen réussit à se qualifier au second tour face à Nicolas Sarkozy ou à François Hollande.

Quoiqu’il en soit, l’issue de cette présidentielle n’engendrera pas le véritable changement dont la France a tant besoin.

Si Sarkozy nous refait le coup de 2007 et est réélu en promettant d’appliquer une politique résolument nationale et sécuritaire, il lui sera difficile, voire impossible, d’opérer ces changements sans un accord avec la gauche puisque le Sénat est tombé entre les mains de celle-ci en septembre dernier. Ajoutons à cela le fait que toutes les régions ou presque sont présidées par la gauche.

Si Hollande est élu, on le sait, ce sera entre autre l’attribution du droit de vote aux étrangers, c'est-à-dire la porte ouverte à l’islamisation politique à terme de la France ; des lois favorables à l’instauration du mariage homosexuel, c'est-à-dire la destruction de la famille comme cellule de base de notre Société ; le démantèlement des centrales nucléaire, c'est-à-dire la fin de notre indépendance énergétique… Il est vrai que, sur tout ces points, la pseudo droite UMP serait capable de céder et d’appliquer la même politique que la gauche vu son manque flagrant de convictions profondes dignes de ce nom.

La réélection de Sarkozy serait tout aussi catastrophique. Nous ne croyons pas en la volonté de celui-ci de rompre avec le mondialisme dont il est l’un des principaux complices dans notre pays. La politique qu’il mènera sera, comme c’est le cas depuis 5 ans, une sorte de médecine douce dont il ne sortira rien de positif. Les Français resteraient 5 ans de plus en état de dormition, et, au final, notre peuple disparaîtrait de sa belle mort, car écrasé par l’invasion et la forte démographie des peuples allogènes occupant son territoire.

L’élection de Hollande peut-elle faire l’effet d’une douche froide ?

Que va t il se passer quand les électeurs se rendront compte que le grand danger qui les menace est celui de ne plus être maître chez eux ? Jusqu'à présent, leur vote n’avait guère de conséquences évidentes : droite et gauche se partageaient le pouvoir sans rien véritablement changer. Et finalement tout le monde se laissait bercer dans l’illusion que cette situation pouvait s’éterniser... et que les dangers finiraient bien pas se dissiper.

Cette fois, les choses sont différentes. La conséquence la plus grave du retour aux affaires des socialistes sera l’émergence, comme nous l’avons dit, d’un islam politiquement organisé capable d’influencer dans un premier temps et de guider dans un second la politique française. Ce serait la fin de notre identité et cela nous ne pouvons l’accepter.

Je pense qu’il est temps de parler de la fin de l’article 1er de la Constitution de 1958 :

« La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
La loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales. »

Nous le savons, certaines parties, de plus en plus grandes, du sol français ne sont plus occupées par des Français de souche, et l’identité des nouveaux habitants n’est plus européenne. Ces zones appartiennent maintenant à des groupes ethniques et religieux distincts le plus souvent venus du continent africain et par conséquent de religion musulmane.

Ils sont en passe de devenir un jour majoritaire en France, et en Europe. L’obtention du droit de vote sera pour eux le moyen de constituer une force favorable à l’islam politique. Une force qui, par l’accroissement démographique de ces populations, peut devenir majoritaire. Dans ces conditions, l’article 1er de la Constitution évoqué ci-dessus deviendrait vite caduque.

Il est difficile d’imaginer que celui-ci soit encore applicable à partir du moment que le pouvoir politique sera dominé par des gens qui appliqueront leur conception religieuse, en l’occurrence l’islam, On voit mal « la laïcité », si chérie par le Système actuel, se maintenir dans ces conditions.

Tous cela est un constat, il suffit d’ouvrir les yeux et d’en tirer des conclusions. L’intégration ou l’assimilation ne sont plus que des espérances du passé. Les politiques d’immigration menées par les différents gouvernements, de droite comme de gauche, depuis des décennies ont entraîné une véritable catastrophe identitaire pour le peuple français. Nous n’avons vraiment rien à attendre des tenants du Système ou des ses valets.

Et enfin, quand chez soit, on n’est plus chez soit, on pas le choix de partir.

On a l’obligation de se battre !

C’est là, la raison d’être des forces nationales, nationalistes et identitaires regroupées au sein de l’Union de la Droite Nationale.

 

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Samedi soir à Paris, le Renouveau français a tenté de perturber la pièce antichrétienne Golgota Picnic...

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Source Contre-info.com cliquez ici

Samedi soir avait lieu la dernière représentation de la pièce violemment antichrétienne « Golgota Picnic ».

Alors que l’institut Civitas organisait un rassemblement priant, une quarantaine de jeunes militants, pour la plupart du Renouveau français, ont tenté d’entrer dans le théâtre, aux cris de « France Jeunesse Chrétienté ! ».

Ils brandissaient une large banderole sur laquelle on pouvait lire « Pas de subventions pour les provocations ! » Après avoir forcé un premier barrage de policiers, ils ont été stoppés à 20 mètres du théâtre par une soixantaine de CRS usant de leurs tonfas…

Encerclés, les jeunes militants n’ont pas abandonné, bloquant pendant une quinzaine de minutes l’avenue Montaigne. Des bousculades eurent lieu entre patriotes et CRS tentant vainement d’arracher la banderole, jusqu’à ce que les jeunes soient finalement dispersés par la force.

Aucune arrestation n’est à déplorer.

15:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tout le monde le sait : la France est un pays de Liberté...

 

Un message de Gaëtan Perret (Front comtois) :

En France, la liberté d’expression ne se discute pas et est un droit absolu, sauf pour les résistants nationalistes et identitaires. Le tribunal de Montbéliard m’a condamné, à la suite de mon procès intenté par un collectif de 13 associations, à 3000 euros d’amende, somme à laquelle il convient d’ajouter 250 euros à verser à chacune des 13 associations plus 150 euros à la mairie d’Hérimoncourt. Soit un total de 6400 euros à payer aux agents du système et aux forces de l’anti-France.

Très vite, l’entraide s’est organisée pour aider le Front Comtois à faire face à cette lourde dépense. Ainsi, je tiens à remercier tous les sites amis qui ont relayé les articles appelant à la solidarité nationale. Je remercie également et chaleureusement toutes celles et ceux qui, spontanément, ont envoyé leur précieux don au Parti de la France ou directement via notre site. Chaque euro versé nous aidera à supporter cette condamnation de la justice du système dont l’indépendance est une fiction lorsqu’il s’agit de procès visant la résistance nationaliste.

Je quitte la présidence de l’association. Mais mon combat comme celui du Front Comtois continue. Ce combat, c’est d’abord et avant tout la défense de notre identité, de notre héritage historique, culturel, ethnique, contre tous ceux qui prétendent avoir des droits sur nous et qui entendent nous faire taire voire disparaître. Parce que notre avenir est gravement compromis, il est de notre devoir, malgré nos divergences, de nous rassembler et, avec l’UDN, d’organiser la résistance.

 

En début d’année prochaine, nous organiserons une réunion où nous vous présenterons les nouveaux membres du bureau ainsi que le nouveau calendrier d’activités. Consultez notre page Facebook ou le site internet pour rester informé.

12:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi soir, c'est la Fête au Local...

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10:45 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 18 décembre 2011

L'Afrique réelle de décembre :

Numero 24 copy.jpgSOMMAIRE :

Actualité :
- L'année 2011 en Afrique
- Egypte : la grande misère des Coptes

Dossier :
Les tragiques conséquences de la départementalisation de Mayotte

Repentance :
Le procès de Tintin au Congo

Opinion :
L'immigration choisie cette détestable forme moderne de la Traite des Africains
 
L'EDITORIAL DE BERNARD LUGAN :

Derrière la victoire des islamistes en Tunisie, en Libye et en Egypte, se cache une réalité ignorée de la plupart des observateurs qui en sont encore à opposer islam « radical » et islam « modéré », ne voyant pas que depuis le XXe siècle, deux grands courants parcourent le monde arabo-musulman sunnite[1] :
 
1) Synthèse du socialisme et du panarabisme, le « nassero-baassisme » a un temps prôné l’union du monde arabe avant de se fragmenter en plusieurs nationalismes sous l’influence de leaders charismatiques comme Gamal Abd-el Nasser en Egypte, Saddam Hussein en Irak ou même d’une certaine manière Hafez el-Hassad en Syrie. Alors que la realpolitik commandait aux Occidentaux de s’appuyer sur ces Etats, ils les ont au contraire combattus et l’échec du « nassero-baassisme » dont ils sont largement responsables, a créé un vide désormais comblé par l’islamisme politique.
 
2) L’islamisme politique a la même aspiration supranationale que le « nasserobaassisme », mais pour lui, c’est la religion islamique et non la langue arabe qui doit être l’élément fédérateur.
 
Durant des années, les Occidentaux se sont comportés à la manière des alouettes devant un miroir : attirés par la nébuleuse Al-Qaïda, ils sont partis à sa recherche en Irak et en Afghanistan, laissant ainsi le terrain libre à cet islamisme politique que BHL qualifie de « modéré ». Or, ce courant a pour objectif, non pas de faire sauter des bombes en Europe, mais de prendre appui sur la population immigrée musulmane pour y imposer son contre-pouvoir. En France, cela est déjà clairement le cas dans plusieurs émirats de la périphérie de villes comme Paris, Marseille ou Lyon, où les populations vivent de fait selon la loi islamique et où il ne reste plus à l’islamisme politique qu’à faire élire des municipalités - ce qui ne saurait tarder - afin de légitimer démocratiquement sa conquête territoriale.
 
Le moteur de cette gigantesque subversion qui se déroule sous nos yeux et que la bienpensance interdit de voir est l’Organisation des Frères musulmans, mouvement né en 1928 en Egypte et qui a reçu deux grandes idées de ses deux principaux fondateurs, Hassan Al-Banna et Sayyed Qutb.
 
1) Pour Hassan Al-Banna le panarabisme était une vision politique ethnoréductrice car tous les musulmans ne sont pas des Arabes. En revanche, l’arabe est bien la langue liturgique commune à tous les musulmans. Cette vision non raciale fait de l’organisation un modèle universel pour tous les croyants.
 
2) Pour Sayyed Qutb exécuté par Nasser en 1965, le monde était divisé en deux, d’une part le dar el-Islam et d’autre part le monde de l’ignorance (de Dieu) ou jahaliyya.
 
Le but des Frères musulmans est l’instauration d’un Etat islamique mondial, mais le réalisme commandant de procéder par étapes, la priorité est de renverser les régimes arabes nationalistes ou bien alliés de la jahaliyya ; si possible d’ailleurs avec l'aide de cette dernière, comme cela vient d’être réalisé en Tunisie, en Egypte, en Libye et demain en Syrie. Plus tard, une fois l’unification du dar el-Islam réalisée, la guerre sera menée contre la jahaliyya afin d’établir l’Etat islamique universel. Mais avant de passer à cette étape finale, il est nécessaire de la désarmer mentalement et de la rassurer en lui tenant les discours lénifiants qu’elle attend et dont sa lâcheté, autant que son masochisme, se satisferont avec à la fois soulagement et gourmandise.
 
Les cocus d’Occident qui rêvaient de démocratie en se pâmant devant le « printemps arabe » ont donc offert le pouvoir à leurs pires ennemis. Il est minuit moins cinq, docteur Schweitzer…
 
[1] Pour ce qui concerne les chiites, la clé de compréhension est différent

21:46 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Chêne, journal du MNR, n°68 est sorti...

img_4eecc0343d1f4.jpgAu sommaire de ce numéro:

- Editorial d'Hubert Savon : Préparer l'avenir.
- Actualité, communiqués de presse.
- Lancement de l'Union de la Droite Nationale.
- La vie du mouvement.
- 5ème journée de Synthèse nationale.
- Université d'été 2011.
- La dette et la crise.
- Tract : Économies budgétaires : si on parlait de l'immigration ?

Pour consulter le nouveau numéro du Chêne, cliquez ici

17:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA NDP EN BOURGOGNE...

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Nouvelle Droite Populaire Bourgogne cliquez ici

12:31 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Liberté d’expression, je chéris ton nom !

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Par Christophe Devillers

Source cliquez ici

Dans le cadre du jugement rendu ce jeudi 15 décembre par le Tribunal correctionnel de Montbéliard à l’encontre de Gaëtan Perret (lire aussi cliquez là - NDLR), président du Front comtois, je tiens à tout d’abord à condamner les délires paranoïaques d’un journaliste de l’Est républicain qui, piétinant à loisir l’éthique d’une profession au travers de laquelle « la vérité, la rigueur et l’exactitude, l’intégrité, l’équité et l’imputabilité constituent les piliers normatifs », exprimait très tôt hier matin sur le net de fausses joies personnelles en exagérant considérablement le montant de l’amende qui, à en lire l’article alors rapidement publié, s’élevait non pas à 3000 € mais à 13000 € !

Après « l’affaire » du badge porté par la compagne de notre camarade (article de l’Est républicain du 8/12/2011), chacun pourra se forger une opinion sur la qualité de certains journalistes de ce quotidien régional…

Le jugement ainsi rendu constitue une infraction grave et intolérable à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, pourtant si chère aux associations et partis politiques de gauche, et qui rappelle que « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ».

Il n’est par ailleurs pas grotesque de douter sérieusement de l’indépendance d’esprit des magistrats qui ont rendu une telle décision lorsque l’on sait que Clarisse Taron, présidente du syndicat de la magistrature depuis 2009, manifestait à Paris le 4 septembre 2010 contre « la xénophobie du gouvernement » aux côtés de divers associations, syndicats et autres partis gauchistes qui, curieusement, formaient le cortège des parties civiles au procès…

Face à un système judiciaire qui sait surtout tolérer les paroles haineuses et/ou insultantes de certains groupes de rap, j’appelle l’ensemble de nos concitoyens soucieux de défendre l’identité Française et qui soutiennent notre camarade Gaëtan ou qui se reconnaissent au travers des actions menées à manifester leur solidarité par des dons afin de lui permettre de régler rapidement le montant de la condamnation.

Chaque euro versé sera précieux et permettra d’obtenir une déduction fiscale de 66%. (chèque à l’ordre de Myriam BAECKEROOT, mandataire financier – PdF / Soutien à Gaëtan – 43, route de Saint Germain 78860 Saint-Nom-La-Bretèche).

12:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce soir, sur Méridien zéro...

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RBN - Méridien zéro cliquez ici

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samedi, 17 décembre 2011

Bruno Gollnisch a encore flanché...

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Alexandre Gabriac, en discussion avec Carl Lang et Roland Hélie le 4 décembre dernier lors de la table ronde de Terre et peuple à Rungis.

Il n'y aura pas de réconciliation. Exclus du Front National, Olivier Wyssa et Alexandre Gabriac ne siégeront plus au sein du groupe éponyme à la Région. Ce jeudi, chaque groupe du conseil régional actualisait la fiche de ses membres. Celui d'extrême droite perd deux noms, ramené à 15. Pourtant, son président, Bruno Gollnisch, avait ouvert la porte à leur maintien au sein du collectif en le rebaptisant "FN et apparentés". Mais deux conditions ont été apposées aux deux intéressés : ne pas se présenter à l'avenir à une élection sous une autre étiquette et apporter son parrainage à Marine Le Pen pour la présidentielle. Des conditions qui n'ont pas été acceptées par les deux élus.

 

Déjà exclu du FN, cet engagement s'apparente, pour Olivier Wyssa, "à une mort civile". "Bruno Gollnisch a une fois de plus flanché. Il a préféré faire plaisir à ses adversaires qu'à ses amis", déplore-t-il. Il estime que son leader régional a validé les conditions posées par les proches de Marine Le Pen, pourtant en mauvais termes avec lui. Bruno Gollnisch espère pourtant à l'avenir leur ralliement : "J'estime toujours que les sanctions qui ont été prononcées sont excessives", nous a-t-il confié. Ce rapprochement paraît compromis. Fustigeant le budget socialiste de l'exécutif, Olivier Wyssa s'en est aussi pris, en assemblée régionale, contre la candidate "Marion" Le Pen (selon lui, il s'agit là du véritable prénom de la présidente du FN). "Elle est la seule à préconiser le retour à la retraite à 60 ans. Même François Hollande en est revenu". Et d'appeler à combattre le système "UMPSFN".

 

Source Lyon Capitale cliquez ici

via Rivarol blog des rivaroliens cliquez ici

17:09 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Financement public des campagnes électorales et financement public des partis politiques : il faut en finir !

Carl-11_11_20114.jpgUn communiqué de Carl Lang, candidat de l’Union de la Droite Nationale à la présidentielle :

 

Au palmarès des valeurs et des traditions de la cinquième république nous avions déjà les politiciens corrompus et fraudeurs avec leurs comptes en Suisse, les valises de billets de certains chefs d'Etats africains, les financements occultes des partis politiques, les petites enveloppes et les grosses rétro commissions. Pour cette année 2011, la Marianne d'or est, sans hésitation possible, attribuée à l'ancien président de la république Jacques Chirac pour sa condamnation à deux ans de prison avec sursis aux motifs de détournement de fonds publics, d'abus de confiance et de prise illégale d'intérêt.

 

Les Français seront par ailleurs heureux et rassurés de savoir qu'en sa qualité de membre du Conseil constitutionnel, Jacques Chirac pourra contrôler et valider les comptes de campagne des candidats à l'élection présidentielle. Face à l'indécence financière et aux gabegies de la caste politique, Carl LANG, président du Parti de la France et candidat de l'Union de la Droite Nationale à l'élection présidentielle propose :

 

- La suppression du financement public des campagnes électorales et la seule prise en charge pour tous les candidats des documents officiels remis aux électeurs ou affichés sur les panneaux électoraux.

 

- La suppression du financement public des partis politiques qui, non seulement n'a pas mis un terme à la corruption, mais porte atteinte à l'égalité démocratique et offre un privilège financier exorbitant aux partis en place.

 

- La réduction de 20% du nombre de députés et de sénateurs.

 

- La réduction drastique du train de vie de l'Assemblée nationale, du Sénat, des grandes collectivités territoriales, de l'Etat et des Institutions Européennes.

 

La caste politique et gouvernementale qui a conduit la France au surendettement et au déclin continue d'afficher, sans aucun scrupule, un choquant faste républicain alors que le peuple français et le pays réel sont livrés à la précarité économique et sociale, à la paupérisation généralisée et au chômage de masse.

 

Puisque les Français vont devoir payer très lourdement les conséquences de l'irresponsabilité, de l'incompétence et de la démagogie de leurs dirigeants politiques, le temps est venu d'imposer aux tenanciers de cette République de se serrer, eux aussi, la ceinture !

16:58 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 16 décembre 2011

Dernière minute : le Front comtois condamné !

Le verdict vient de tomber (cliquez ici) : le Front comtois et son président Gaëtan Perret viennent d'être condamnés à 3 000 euros d'amende, ce à quoi il faut ajouter un peu plus de 3 000 euros de frais de justice, par le Tribunal de Montbéliard. Leur crime : avoir indiqué sur une affiche que Alger n'était pas en Franche Comté...

Il est interdit de commenter une décision de justice dit-on. Alors nous ne la commenterons pas, nous nous contenterons de la constater... avec indignation. Alger serait donc en Franche Comté…

Quoiqu’il en soit, la solidarité doit s’organiser car il va sans dire que le Front comtois, incarnation de la Résistance patriotique en Franche Comté, est dans l’impossibilité de couvrir cette lourde dépense que lui imposent les forces de l’anti-France. Celles qui ne savent pas qu’Alger n’est peut-être pas en Franche Comté…

Aidez nos camarades à supporter cette condamnation de la justice du Système. La solidarité nationale doit se mettre en place dès maintenant : adressez au Front comtois vos soutiens, ils en ont besoin.

Une souscription est organisée par le Parti de la France pour soutenir le FC. Toutes les forces de l'Union de la Droite Nationale doivent la soutenir : envoyez vos dons à Soutien à Gaëtan Perret (chèque à l’ordre de « Myriam Baeckeroot, mandataire financier » – à retourner à  PdF(Soutien à G. Perret) 43, route de Saint Germain – 78860 Saint-Nom-La-Bretèche).

Nous vous tiendrons informés régulièrement de l’évolution des choses.

Roland Hélie

12:07 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |