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dimanche, 18 décembre 2011

Liberté d’expression, je chéris ton nom !

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Par Christophe Devillers

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Dans le cadre du jugement rendu ce jeudi 15 décembre par le Tribunal correctionnel de Montbéliard à l’encontre de Gaëtan Perret (lire aussi cliquez là - NDLR), président du Front comtois, je tiens à tout d’abord à condamner les délires paranoïaques d’un journaliste de l’Est républicain qui, piétinant à loisir l’éthique d’une profession au travers de laquelle « la vérité, la rigueur et l’exactitude, l’intégrité, l’équité et l’imputabilité constituent les piliers normatifs », exprimait très tôt hier matin sur le net de fausses joies personnelles en exagérant considérablement le montant de l’amende qui, à en lire l’article alors rapidement publié, s’élevait non pas à 3000 € mais à 13000 € !

Après « l’affaire » du badge porté par la compagne de notre camarade (article de l’Est républicain du 8/12/2011), chacun pourra se forger une opinion sur la qualité de certains journalistes de ce quotidien régional…

Le jugement ainsi rendu constitue une infraction grave et intolérable à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, pourtant si chère aux associations et partis politiques de gauche, et qui rappelle que « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ».

Il n’est par ailleurs pas grotesque de douter sérieusement de l’indépendance d’esprit des magistrats qui ont rendu une telle décision lorsque l’on sait que Clarisse Taron, présidente du syndicat de la magistrature depuis 2009, manifestait à Paris le 4 septembre 2010 contre « la xénophobie du gouvernement » aux côtés de divers associations, syndicats et autres partis gauchistes qui, curieusement, formaient le cortège des parties civiles au procès…

Face à un système judiciaire qui sait surtout tolérer les paroles haineuses et/ou insultantes de certains groupes de rap, j’appelle l’ensemble de nos concitoyens soucieux de défendre l’identité Française et qui soutiennent notre camarade Gaëtan ou qui se reconnaissent au travers des actions menées à manifester leur solidarité par des dons afin de lui permettre de régler rapidement le montant de la condamnation.

Chaque euro versé sera précieux et permettra d’obtenir une déduction fiscale de 66%. (chèque à l’ordre de Myriam BAECKEROOT, mandataire financier – PdF / Soutien à Gaëtan – 43, route de Saint Germain 78860 Saint-Nom-La-Bretèche).

12:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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