mercredi, 30 septembre 2015
Tintin raciste ? Un faux procès... Martial Bild / Francis Bergeron
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A Hirson (Aisne) non plus, le "vivre ensemble" ne fait pas l'unanimité
Une centaine d'Hirsonnais courageux pour dire NON cliquez là
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Pierre Cassen interviendra lors de la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis
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Revue de presse : Jean-Marie Le Pen prend la défense de la «pauvre Madame Morano»
Source Le Figaro.fr cliquez là
LE SCAN POLITIQUE - Le co-fondateur du FN, exclu de son parti pour avoir notamment évoqué un «monde blanc», estime que la polémique qui entoure les propos de Nadine Morano sur la «race blanche» illustre la «gauchisation des esprits».
C'est un soutien dont Nadine Morano se serait probablement passée. Mais force est de constater que Jean-Marie Le Pen est l'un des seuls politiques à prendre la défense de l'eurodéputée Les Républicains, après ses propos sur le «pays de race blanche» que serait la France.
«Pour avoir énoncé une évidence historique multiséculaire, Madame Nadine Morano subit un feu nourri de critiques, d'autant plus véhémentes qu'elles viennent de son propre camp. Elle peut ainsi mesurer à ses dépens ce que pèse la ‘gauchisation des esprits' dans les rangs de l'ex-UMP», assure-t-il dans un communiqué. «En le féminisant, un célèbre refrain du chanteur Guy Beat, ‘Elle a dit la vérité, elle doit être exécutée', prend tout son sens, que la pauvre Madame Morano aura sans doute le temps de méditer durant la stricte mise en quarantaine que les Républicains lui préparent».
Une prise de position qui n'est pas gratuite. Elle permet d'abord au «Menhir» de se défendre lui-même : en effet, la procédure d'exclusion du FN dont Jean-Marie Le Pen a été victime a notamment eu pour origine ses propos dans Rivarol sur «l'Europe boréale» et le «monde blanc». «Des concepts désormais bannis», regrette-t-il aujourd'hui. Soutenir Nadine Morano, c'est aussi l'occasion pour le co-fondateur du parti de prendre une nouvelle fois ses distances avec son meilleur ennemi au FN, Florian Philippot qui, régionales oblige, n'a pas hésité à attaquer la tête de liste des Républicains en Meurthe-et-Moselle. «Je n'ai pas une vision raciale de la France. La France, c'est aussi son outre-mer. Ce n'est pas une race», assurait ce mardi matin sur France info le candidat du FN dans la région Alsace Lorraine Champagne-Ardenne.
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Samedi 17 octobre : Carl Lang en Normandie
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Mercredi 7 octobre : conférence de Jean Haudry à Strasbourg
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LYON : le "vivre ensemble" ne fait pas l'unanimité
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Les Birigandes en concert à la 9e Journée de Synthèse nationale dimanche 11 octobre à Rungis (94)
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Les "Républicains" et l'immigration : C'EST TROP TARD
Michel Lhomme Métamag cliquez ici
Nous acquiesçons, dans nos articles, à la fin du clivage droite/gauche et si, à défaut de révolution, le critère d'évaluation est la conquête du pouvoir, le Rassemblement Bleu Marine est un modèle qu'il faut soigneusement examiner, pour le choix du personnel politique appelé demain à gouverner le pays et pour celui d'une stratégie et de la mise en place d'une organisation. Jean-Marie Le Pen ne voulait pas le pouvoir. Or en politique, il n'y a que deux moyens immédiats de faire avancer et d'appliquer ses idées : la rue ou les urnes, les barricades ou les votes. Pour le reste, ce n'est qu'entrisme ou réseaux d'influence.
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mardi, 29 septembre 2015
Robert Spieler interviendra lors de la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre prochain à Rungis
Programme de la Journée cliquez ici
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3202 du 17 septembre 2015
JANY Le Pen raconte, dans une longue interview à Paris-Match datée du 10 septembre les épreuves que subit son époux. « Jean-Marie vit sans doute l’épreuve la plus douloureuse de sa vie. Et moi, je souffre quand je le vois souffrir. Il s’efforce de faire bonne figure, c’est un fier. Mais quel acharnement ! Jamais je n’aurais pensé que Marine irait si loin, serait si vindicative. Au début, Jean-Marie était optimiste. Lorsque la justice lui a donné raison, en juillet, le soir, en rentrant à la maison, il m’a dit : “Je la connais, ma fille. Elle va tout arrêter, se rendre compte qu’elle va trop loin”. » Hélas, le Menhir ne connaissait pas vraiment sa fille et les bassesses dont elle était capable.
JANY LE PEN INQUIÈTE POUR LA SANTÉ DE SON MARI
Jany se déclare inquiète pour sa santé, rappelant que depuis le début de l’année, il a eu deux alertes cardiaques : « Le Pr Olivier Dubourg, de l’hôpital Ambroise-Paré, lui a posé deux stents. Il marche moins bien, s’essouffle facilement, a chaque jour plus mauvaise mine. J’ai toujours peur qu’il fasse un arrêt cardiaque : tant d’émotions et de stress pour un homme de 87 ans… S’il m’entendait, il me dirait : “Tais-toi, Janou. Ces petits embarras ne regardent personne !” ». Et elle ajoute : « Aujourd’hui, Marine est cadenassée. Je n’entends plus son cœur. Il s’est durci ».
Paris-Match lui demande : « Avez-vous regretté l’interview qu’il a donnée à RIVAROL au printemps et qui a été l’origine de cette crise ? ». Elle répond : « Il refuse de se dérober, quelle que soit la question. C’est son côté frontal, provocateur. Il a toujours été comme ça. Ce que dit publiquement Jean-Marie Le Pen, il l’a toujours dit », ajoutant à propos de Marine : « Marine, elle, a changé. Elle qui, jeune, était si joyeuse, décontractée ! […] Elle brûle ce qu’elle a adoré. En ce moment, c’est son père » et puis, Jany dénonce l’“acharnement” de la présidente du Front national déclarant : « Elle est brutale, méprisante. Un jour, elle a dit à un journaliste : “Inutile de demander son avis à ma belle-mère, elle n’a jamais rien fait de sa vie” ».
JANY DÉZINGUE MARION…
Mais qu’en est-il de Marion en laquelle beaucoup de naïfs mettent leur espérance ? Jany est sans illusions : « Elle est douée, extrêmement maligne. C’est elle qui a choisi de rajouter le nom de Le Pen à celui de Maréchal. Jusque-là, elle s’était toujours appelée Marion Maréchal. Comment vouloir le nom et refuser le reste ? », s’interroge-t-elle. Avant de l’assurer : « C’est de l’intérêt pur, pas de l’affection. » Et de rappeler que Marion Maréchal n’est parlementaire que grâce à son grand-père qu’elle trahit et abandonne aujourd’hui sans vergogne : « En 2012, Jean-Marie l’a poussée pour les législatives, il lui a trouvé une circonscription en or dans le Vaucluse, je ne dis pas que même une chèvre avec un chapeau aurait pu être élue, mais enfin… »
Les propos de Jany ont d’autant plus de force que ceux qui la connaissent témoignent tous que c’est une femme d’une grande gentillesse, qui a du cœur. Elle ne s’explique pas la dureté de la fille et de la petite-fille à l’égard de celui auquel elles doivent tout : « Cela me fait de la peine de le voir terminer sa vie dans un coin, seul, à écrire ses souvenirs d’avant la guerre. Où sont les siens ? Quel gâchis ! »
… ET RACONTE L’IGNOMINIE DE MARINE LE PEN
Jany Le Pen, dans ce même entretien, raconte qu’elle a tenté une conciliation avec la présidente du Front national la veille de l’exclusion du Menhir. « Le 19 août dernier, nous rentrions à Paris pour la convocation au bureau exécutif. A l’aéroport de Nice, j’ai regardé Jean-Marie qui, dans la salle d’attente, ne disait rien. Saisie d’une impulsion, j’ai pris mon téléphone et laissé un message à Marine : “Si tu voyais ton père, tu serais bouleversée”. En sortant de l’avion, j’ai lu sa réponse : un SMS d’insultes, d’une violence folle, au ton ordurier. Cette haine ! Elle a des comptes à régler
avec son père à qui elle doit pourtant tout » confie Jany Le Pen, désemparée. Ignoble… Mais il y a une justice immanente.
Et Jany Le Pen de rappeler fort opportunément à la fille indigne : « Lorsque son cabinet d’avocat a eu des difficultés, c’est au Front qu’elle a trouvé refuge. Son père l’a nommée directrice juridique du mouvement. Et jusqu’à l’année dernière, elle habitait chez lui à Montretout avec ses enfants. Il faut reconnaître ce que l’on doit aux autres. Lorsque son père a décidé de la soutenir pour sa succession, il y a eu une bronca à l’intérieur du Front. Beaucoup soutenaient Bruno Gollnisch. Moi-même d’ailleurs… Jean-Marie n’a pas cédé. […] Je crois qu’elle est amère, jalouse de ceux qui sont autour de son père, envieuse, Dieu sait pourquoi, de mon influence… »
Ce genre de comportement abject (des bordées d’insultes contre son père) est coutumier chez Marine Le Pen. Le professeur Jean-Claude Martinez raconte qu’en 2005, alors que la valeureuse Marie-France Stirbois était atteinte d’un cancer du péritoine en phase terminale, Marine le Pen s’acharnait contre elle en bureau exécutif, la traitant élégamment de “mémère”, exigeant à cor et à cri son exclusion définitive du FN dont elle avait pourtant porté les couleurs pendant de longues années avec tant de courage, de persévérance et de distinction (contrairement à d’autres !), tout simplement parce qu’elle avait osé émettre des réserves sur Fifille ! Et c’est cette créature abjecte qu’il nous faudrait porter à la tête de l’Etat ? Désolé mais ce sera sans nous !
NUREMBERG POUR JEAN-MARIE LE PEN
Jean-Marie Le Pen sera jugé le 10 février devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris pour avoir répété ses propos sur les chambres à gaz, “détail” selon lui de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Il avait, il est vrai, dépassé toutes les bornes en répondant au journaliste Jean-Jacques Bourdin qui lui demandait s’il regrettait d’avoir qualifié les chambres à gaz de point de détail, ce qui lui a valu d’être condamné naguère pour « consentement à l’horrible » : « Pas du tout. Ce que j’ai dit correspondait à ma pensée que les chambres à gaz étaient un détail de l’histoire de la guerre, à moins d’admettre que ce soit la guerre qui soit un détail des chambres à gaz ». Le président d’honneur du Front national est poursuivi pour contestation de crime contre l’Humanité. Il entend faire valoir son immunité de parlementaire européen, a indiqué son avocat, Me François Wagner.
MANUEL VALLS CHERCHERAIT-IL À DISSIMULER SON APPÉTENCE POUR LES JUIFS ?
Mercredi 2 septembre, le Consistoire israélite central a publié un communiqué pour signaler la venue — mardi 8 septembre, à 18h30 — de Manuel Valls à la synagogue Nazareth de Paris. Raison importante : le Premier ministre adressait ses vœux à la communauté juive, quelques jours avant le nouvel an juif, ce qu’il n’a évidemment pas fait avec les catholiques. Chose curieuse : dans l’agenda publié sur le site officiel du gouvernement, aucune mention de cette rencontre déjà fixée n’apparaissait à la date du 8 septembre. Le 11 mai, Matignon avait déjà passé sous silence la rencontre de Manuel Valls avec une délégation de rabbins européens venus lui remettre une récompense. Valls avait pourtant déclaré il y a quelques années : « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël ».
COHN-BENDIT ET BHL FOURRIERS DE L’INVASION
Dans sa chronique sur Europe 1, Cohn Bendit a proposé que le Parlement européen s’installe complètement à Bruxelles, évitant ainsi les allers-retours ultra-coûteux, avec des tonnes de fonctionnaires et des tonnes de documents, entre les deux villes, ce en quoi il n’a pas forcément tort. Oui mais, que faire des magnifiques bâtiments européens de Strasbourg ? Pas de problème, Dany a la solution. Il propose que les bâtiments européens de Strasbourg soient transformés en centre d’accueil de migrants. Ben voyons… Un autre délirant est l’inénarrable BHL. Interrogé par Laurence Ferrari sur I>Télé, celui qui a contribué à déstabiliser tout le Moyen-Orient et la Libye, a affirmé que « Bachar al-Assad a créé Daesh ».
ALAIN JUPPÉ FAIT PLEURER D’ÉMOTION, OU PLUTÔT DE RIRE
Alain Juppé était récemment reçu par le Crif, une fois de plus. Il expliqua en introduction que chez lui, pendant toute sa jeunesse dans les Landes, jamais il n’avait entendu un propos antisémite. La France ne serait-elle pas antisémite ? Avait-il mesuré l’incongruité de son propos ? Toujours est-il qu’il fit un très grand numéro retraçant sa carrière de député du XVIIIe où « il a connu des rabbins et des électeurs juifs » puis ses voyages en Israël où « il a discuté tout au long de la nuit avec des interlocuteurs israéliens qui lui ont ouvert l’esprit » (qu’il avait sans doute fermé jusque-là). C’est pas beau, ça ? Mais le plus beau, ce fut, selon lui, son voyage comme ministre des Affaires étrangères dans l’avion qui transportait les cercueils des victimes de Merah de Toulouse à Jérusalem. Il a conclu son intervention par cette phrase magnifique qui fait pleurer d’émotion : « Quand j’entends le mot juif, ce n’est pas dans ma tête qu’il résonne mais dans mon cœur ». Si après de telles reptations le député-maire UMP de Bordeaux n’est pas élu à la magistrature suprême, c’est que vraiment le CRIF aura été ingrat envers son esclave septuagénaire.
De toute façon, l’UMP, le PS et le néo-FN sont tous des succursales du CRIF. Ce sont des détaillants qui viennent tous s’approvisionner chez le même grossiste. En votant pour les uns ou pour les autres, les gens croient avoir le choix et être libres alors qu’en réalité ce sont toujours les mêmes qui tirent les ficelles.
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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PAR DELA LA DROITE ET LA GAUCHE
de Philippe Randa
En politique, les changements d’étiquettes électorales sont courants… Quand ce ne sont pas les partis – généralement ceux de droite ou du centre – qui changent de noms au grée d’une pâtée électorale, de la prise en main d’un nouveau leader ou d’une stratégie de « renouveau » qui s’avère généralement un bluff de communication… ou les scissionnistes, s’imaginant que leur départ portera un coup fatal à leur formation délaissée et que les électeurs se laisseront inévitablement séduire par la création d’un nouveau parti, ce sont les transfuges qui rythment la vie politique.
Ainsi, François Meunier, conseiller municipal Front de gauche d’Antony (Hauts-de-Seine) tweetait récemment pour qu’on vienne le rencontrer sur son stand à la Fête de l’Humanité, mais ça, c’était au début du mois : aujourd’hui, il a rallié le Front national ! Car, explique-t-il, même si certaines prises de positions du parti à la flamme tricolore, notamment sur la nécessité de fermeture des frontières, ne sont pas les siennes, « on ne peut pas toujours adhérer à toutes les idées d’un parti (mais celui-ci est désormais le seul) à défendre la classe ouvrière (et) sur beaucoup d’autres sujets, notamment économiques, Front de gauche et Front national ne sont pas si différents » : une déclaration qui fera sans doute grincer quelques dents chez les intéressés.
Et pourtant, pour ce qui concerne les convictions réelles de François Meunier, remarquons qu’un véritable opportuniste aurait davantage été enclin à prendre à l’origine sa carte au Parti socialiste s’il est de gauche ou chez Les Républicains (ex-UMP) s’il est de droite – ou même encore chez les centristes – qu’au Front de gauche, au Front national, voire à Europe Écologie-Le Verts et ne parlons même pas d’autres formations, toutes groupusculaires.
En adhérant et en se faisant élire par le passé sous l’étiquette Front de Gauche, François Meunier bénéficie incontestablement d’une présomption de sincérité militante ; l’avenir le confirmera ou non.
Sur les grands débats actuels (choix entre souverainisme et européisme, entre politique d’ouverture ou de fermeture aux vagues migratoires, entre énergie renouvelable ou non, entre libéralisme ou dirigisme économique, Mariage pour tous, guerres internationales,…) ou plus anciens (suppression peine de mort, dépénalisation de l’avortement…), le citoyen peut revendiquer des convictions contraires au programme d’un parti auquel il apporte son suffrage.
Alors, est-il hérétique ou non de nouer des alliances ou de franchir le pas en rejoignant des camps supposés inconciliables ?
Si c’est le cas, à quoi bon alors organiser d’incessantes consultations électorales ? S’il doit être moralement interdit à un candidat d’évoluer, de changer de stratégie, pourquoi donc le serait-il permis davantage à un électeur, au risque qu’il passe lui aussi pour un indécis chronique, prêt à se laisser séduire, à défaut de convaincre, par le premier bonimenteur venu ?
Jusqu’à quand le citoyen supportera-t-il, toujours et encore, cette division arbitraire entre « droite » et « gauche », en surfant sur des définitions aussi brillantes que parfaitement creuses, puisqu’interchangeables, telle « gauche du travail et droite des valeurs », sous-entendant qu’à gauche on ignorerait les valeurs (lesquelles, d’ailleurs ?) et qu’à droite on mépriserait les travailleurs (Ah bon !)…
N’est-il pas plus judicieux de se positionner – et de s’opposer ! – sur des valeurs, dont celle du travail en particulier, par-delà la droite et la gauche ?
L’histoire a pourtant montré que les notions de « droite » et de « gauche », apparues à la Révolution française, n’ont jamais eu la moindre constance idéologique, toujours ballottées sur l’échiquier politique au gré des événements… et qu’elles n’ont d’autres utilitées en France de nos jours, qu’à assurer une rente électorale aux partis faillis de la Ve République.
10:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Philippe Randa participera à la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis
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lundi, 28 septembre 2015
Invasion migratoire : la Bavière préfère Orbán à Merkel
Jean-Yves Le Gallou Boulevard Voltaire cliquez ici
Il s’est passé un événement majeur le 24 septembre 2015 en Bavière. Horst Seehofer, ministre-président du gouvernement bavarois, a officiellement reçu Viktor Orbán – l’homme d’État qui a tenté d’appliquer les accords de Schengen (et oui !) en contrôlant les frontières extérieures de l’Europe grâce à la construction d’un mur de protection.
En Allemagne, et devant les alliés de Merkel, le Premier ministre hongrois s’est présenté comme « le capitaine garde-frontière » et a fustigé « l’impérialisme moral » de Merkel.
Horst Seehofer lui a répondu qu’il n’avait « pas de critique » à faire sur la politique hongroise et qu’elle avait gagné « le soutien du gouvernement bavarois ».
En clair : le land le plus puissant d’Allemagne est entré en dissidence du gouvernement fédéral ; et Merkel risque de perdre le soutien des 56 députés de la CSU, alliée bavaroise de la CDU.
L’événement est d’importance : il a fait l’objet de 83.700 occurrences sur Google. Les presses allemande et anglo-saxonne ont largement commenté l’événement. Certes, d’un point de vue critique, mais ils en ont parlé !
À l’heure où j’écris (dimanche 27 septembre au matin), pas un seul article français postérieur à l’événement n’était répertorié sur Google. Les médias de propagande français ne se contentent pas de désinformer. Ils ont purement et simplement cessé d’informer. Ils sont devenus autistes.
Pourtant, il deviendra de plus en plus difficile de cacher l’opposition des peuples européens et de certains de leurs gouvernements à la folle politique migratoire de la Troïka Merkel/Juncker/Hollande.
NDLR SN, pour info :
20:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"S’UNIR OU PERIR"
Pieter Kerstens
Il est déplorable de constater que les esprits de nos compatriotes sont gangrénés par l’idéologie socialo-écolo-libérale qui annihile toute volonté de réfléchir et d’agir.
Selon la Fondation Abbé Pierre, plus de 200.000 personnes dorment dans la rue, 700.000 n’ont pas de toit et plusieurs millions connaissent la pauvreté et la misère en France. Partout en Europe on constate une situation comparable.
Depuis 40 ans notre continent subit une immigration sauvage et il est bon de le rappeler : la C.E.E avait décidé en 1974 de stopper l’immigration économique.
Durant ces décennies, des millions de clandestins ont envahi les pays européens. Clandestins régularisés par la suite et naturalisés au fil des ans, avec la complicité des irresponsables au Pouvoir : Chirac, Zapatero, Kohl, Blair, Dehaene, Romano Prodi ou Jacques Delors, entre autres.
Ces nouveaux Européens « de papier » se sont empressés de faire venir leurs proches sous nos latitudes, grâce au « regroupement familial », instauré en 1976.
En plus de ces cohortes d’inassimilables, des millions d’autres illégaux se sont incrustés en Europe, alors même que leurs dossiers de séjour avaient été refusés par les autorités compétentes. Ces hors-la-loi (dont seuls 6% sont reconduits hors Schengen) obtiennent l’aide et le soutien de multiples organisations, mouvements politiques et avocats félons, ceci dans la plus absolue illégalité !
Il faut en finir avec les abus du prétendu « droit d’asile » et avec cette dictature des minorités bien pensantes qui nous abreuvent de leurs dogmes nauséabonds.
Il faut en finir avec les kollabos de l’invasion barbare et du métissage généralisé.
Il faut en finir avec la nouvelle religion droits-de-l’hommiste et l’intoxication des médias aux ordres de Wall Street.
Il faut en finir avec cette mondialisation qui nous impose les standards de l’homo-consuméris et nous étouffe sous les diktats du Nouvel Ordre Mondial.
Il faut en finir avec ces maîtres chanteurs de la pitié universelle, avec ces obsédés de la discrimination positive et ces charlatans du politiquement correct.
Il faut en finir avec cette culpabilisation de l’homme blanc et le culte de la repentance, causes du déclin de la civilisation européenne.
NECESSITE FAIT LOI !
15:01 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Ligue du Midi à Perpignan samedi 3 octobre
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Jean-Claude Rolinat interviendra lors de la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis
Les livres de Jean-Claude Rolinat :
Salazar le regretté cliquez ici
La faillite de Mandela cliquez ici
Mannerheim, la Finlande face aux rouges cliquez là
08:02 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 27 septembre 2015
Avez-vous pensé à retenir un stand à la 9e Journée de Synthèse nationale ?
18:19 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
2 et 3 octobre à Rome : Xe rencontre nationale de l'Institut Polaris
Dimanche 11 octobre : Gabriele Adinolfi sera à Rungis
Avez-vous lu les derniers livres de Gabriele Adinolfi ?
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Un fils du Colonel Kadhafi sera t-il le futur Chef de l'Etat libyen ?
Bernard Lugan
L'Afrique réelle cliquez ici
Le 14 septembre 2015, un coup de tonnerre a retenti dans le ciel serein des certitudes démocratiques européo centrées quand le Conseil suprême des tribus de Libye désigna Seif al-Islam Kadhafi comme son représentant légal. Désormais, voilà donc un fils du défunt colonel seul habilité à parler au nom des vraies forces vives de Libye...
Les abonnés à l'Afrique Réelle et les lecteurs de ce blog ne seront pas surpris par cette nouvelle puisque, depuis 2012, je ne cesse d'écrire :
1) Que la pacification de la Libye ne pourra se faire qu'à partir des réalités tribales.
2) Que le seul à pouvoir reconstituer l'alchimie tribale pulvérisée par l'intervention militaire de 2011, est Seif al-Islam que son père, le colonel Kadhafi, avait pressenti pour lui succéder, et qui est actuellement "détenu" par les milices de Zenten.
Mes analyses ne procédaient pas du fantasme, mais du seul réel qui est que :
1) En Libye, la grande constante historique est la faiblesse du pouvoir par rapport aux tribus. Au nombre de plusieurs dizaines, si toutefois nous ne comptons que les principales, mais de plusieurs centaines si nous prenons en compte toutes leurs subdivisions, ces tribus sont groupées en çoff (alliances ou confédérations).
2) L'allégeance des tribus au pouvoir central n'est jamais acquise.
3) Les bases démographiques des groupes tribaux ont glissé vers les villes, mais les liens tribaux ne se sont pas distendus pour autant.
Le colonel Kadhafi fonda son pouvoir sur l'équilibre entre les trois grands çoff libyens, à savoir la confédération Sa'adi de Cyrénaïque, la confédération Saff al-Bahar du nord de la Tripolitaine et la confédération Awlad Sulayman de Tripolitaine orientale et du Fezzan à laquelle appartiennent les Kadhafda, sa tribu.De plus, à travers sa personne, étaient associées par le sang la confédération Sa'adi et celle des Awlad Sulayman car il avait épousé une Firkèche, un sous clan de la tribu royale des Barassa. Son fils Seif al-Islam se rattachant donc à la fois aux Awlad Sulayman par son père et aux Sa'adi par sa mère, il peut donc, à travers sa personne, reconstituer l'ordre institutionnel libyen démantelé par la guerre franco-otanienne. Mais pour comprendre cela, encore faut-il se rattacher à la Tradition lyautéenne des "Affaires indigènes" et répudier l'approche universaliste des "cerveaux à noeud" du quai d'Orsay.
Aujourd’hui, les alliances tribales constituées par le colonel Kadhafi ont explosé; là est l’explication principale de la situation chaotique que connaît le pays. En conséquence de quoi, soit l'anarchie actuelle perdure et les islamistes prendront le pouvoir en Libye, soit les trois confédérations renouent des liens entre elles. Or, c'est ce qu'elles viennent de faire en tentant de faire comprendre à la "communauté internationale" que la solution passe par les tribus... Certes, mais la Turquie et le Qatar veulent la constitution d'un Etat islamique et la justice internationale a émis un mandat d’arrêt contre Seif al-Islam...
Le 12 octobre, avec son habituel sens de la clairvoyance, sa célèbre hauteur de vue et son immense connaissance du dossier, BHL expliquera certainement cette évolution de la situation libyenne aux auditeurs de l'IHEDN (Institut des Hautes Etudes de la Défense nationale) devant lesquels il doit prononcer une conférence de "géopolitique". Il est en effet bon que les plus hauts cadres civils et militaires sélectionnés pour intégrer cet institut prestigieux, puissent écouter les analyses des experts les plus qualifiés...
NB : Au début du mois de novembre, aux éditions de l'Afrique Réelle, sortira mon livre intitulé "Histoire et géopolitique de la Libye des origines à nos jours" dans lequel, sur la longue durée, est mise en perspective la marqueterie tribale libyenne, clé de compréhension de la situation libyenne actuelle. Ce blog en rendra compte.
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Les patriotes syriens de France seront présents à la 9e Journée de Synthèse nationale
01:46 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 26 septembre 2015
AIDEZ-NOUS, ABONNEZ-VOUS A LA REVUE SYNTHESE NATIONALE
Le dimanche 11 octobre prochain, la revue Synthèse nationale aura 9 ans. 9 ans de combat au service de la France française dans une Europe européenne. Pour continuer ce combat, nous avons besoin de votre aide : ABONNEZ-VOUS !
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
Pour télécharger, cliquez ICI
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Richard Roudier interviendra lors de la 9e Journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis
Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi
Le programme de la journée cliquez ici
Prenez dès maintenant votre billet cliquez là
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vendredi, 25 septembre 2015
Plus d'un millier de participants au rassemblement contre l'immigration jeudi soir à Paris
Intervention de l'écrivain Renaud Camus
Jeudi soir, aux abords de l'ambassade d'Allemagne (transférée provisoirement dans les locaux de l'ex ambassade de la DDR dans le quartier de la Porte Maillot), le SIEL (Souveraineté, indépendance et liberté) avait appelé à un rassemblement contre la politique suicidaire menée par Angéla Merkel et le patronat allemand en matière d'immigration cliquez ici. Politique dont la France subit les conséquences dramatiques quotidiennement. Plus d'un millier de personnes avait répondu à cet appel. Cela, malgré une pluie battante et, dit-on, les curieuses pressions de la direction du FN pour faire capoter ce rassemblement cliquez là,
Saluons donc ce petit mouvement présidé par Karim Ouchick, et animé entre autres par le dynamique Stéphane Beaupoil et par le médiatique avocat Frédéric Pichon, pour cette heureuse initiative qui était aussi soutenue par Riposte laïque, l'Action française, Polémia et bien d'autres organisations patriotiques. Paris était en effet, jusqu'à jeudi soir, la seule capitale européenne dans laquelle aucune manifestation contre les récentes mesures irresponsables prises en faveur des pseudos réfugiés n'avait été organisée.
Ce rassemblement fut aussi pour Synthèse nationale l'occasion de distribuer auprès d'un public plus que réceptif le triptyque cliquez ici annonçant notre 9e journée nationaliste et identitaire du dimanche 11 octobre prochain à Rungis.
Synthèse nationale
Les interventions sont sur le site de Riposte laïque cliquez ici
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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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jeudi, 24 septembre 2015
UN EVENEMENT A NE PAS MANQUER : LA SORTIE PROCHAINE D'UN DOUBLE CD D'ENTRETIENS AVEC LEON DEGRELLE
LEON DEGRELLE NOUS PARLE, l’ultime témoignage...
● Deux heures d’entretiens avec le fondateur du Mouvement rexiste belge et de la Légion Wallonie...
● Sa vie, son engagement militant, son combat politique, sa participation à la grande croisade européenne contre le bolchevisme, la défaite, l’exil, l'espoir... Léon Degrelle raconte...
● Réalisé quelques mois avant sa disparition, en 1994, ce document de grande qualité est le parfait complément au n°1 des Cahiers d’Histoire du nationalisme cliquez ici qui lui était consacré...
● Il sort à l’occasion de la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre prochain à Rungis, mais vous pouvez le commander dès maintenant.
Léon Degrelle raconte, l'ultime témoignage, double CD, 2 heures d'écoute, carnet illustré de 16 pages, 20 € + 3 € de port
Le commander en ligne cliquez ici
Bulletin de commande cliquez là
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Fatales alliances politiques
La chronique de Philippe Randa
Le déclin du Parti communiste français est désormais inexorable depuis plus de trois décennies ; il ne survit encore que sous perfusion électorale permanente du Parti socialiste ; d’où l’impossibilité pour Jean-Luc Mélenchon à faire du Front de Gauche une alternative électorale crédible. Il en est pourtant le leader d’autant plus naturel qu’il est le seul à pouvoir légitimement, de par sa notoriété et son charisme, diriger la gauche de la gauche. Ou, vu le virage social-démocrate des représentants du Parti socialiste depuis 2012, plus simplement encore, la gauche.
Cet exemple aurait dû interpeller les dirigeants d’Europe écologie-Les Verts, seul parti ayant réussi à unir les différents courants écologistes – ce qui relevait de la gageure –, mais leur participation au gouvernement de Jean-Marc Ayrault leur aura porté un coup que certains prédisent fatal : non seulement, ils en sortirent décrédibilisés – humiliés ? –, mais pire encore divisés entre ceux qui accepteraient d’être les vassaux des socialistes pour peu qu’ils y gagnent un Ministère… et ceux qui entendent se libérer d’une telle condition, au risque de retomber dans une marginalité proche de la disparition.
On l’a entendu maintes et maintes fois, de ses ennemis comme de certains de ses « partisans » et surtout de ceux qui l’ont quitté ou ont été exclu du Front national : Jean-Marie Le Pen ne voulait pas le Pouvoir ! Pour preuve, à chaque fois qu’il aurait pu y avoir une « possibilité d’éventualité » de parvenir à une alliance de « toutes les droites » contre la gauche, le Menhir y allait de sa provocation… ou d’une surenchère d’exigences qui faisait immanquablement capoter tout espoir d’entente électorale !
Oui, mais… N’aurait-il pas eu raison, envers et contre tous, de maintenir son mouvement droit dans ses convictions, refusant obstinément toutes compromissions avec les faillis d’un système qu’il combat et laissant du temps au temps : celui de prouver qu’il était finalement le bon choix électoral ? Le seul ?
Certes, le prix à payer à été lourd : quarante ans d’isolement politique, couvert de cette tunique politique de Nessus contemporaine qu’est l’infréquentabilité, mais à tenir coûte que coûte, malgré les défaites, malgré les défections de ceux qui n’y croyaient plus et abandonnaient, malgré les années qui passaient et le rapprochaient, lui, le leader historique, de cette retraite qu’il a toujours abhorrée… et qui lui a été infligé, avec la perte de son adhésion au Mouvement à la flamme tricolore et tout le fracas médiatique qui en a résulté.
Depuis qu’elle assure sa succession, sa fille Marine a également tenu la même ligne intransigeante, parallèlement à sa volonté affichée de dédiaboliser ce mouvement, ou plutôt, plus justement, de le crédibiliser.
Résultat : le Front national est aujourd’hui le premier parti dans les urnes ; envoyant le plus grand nombre de députés européens à Strasbourg l’année dernière et – les sondages le prédisent en tous cas – en passe de conquérir des régions françaises à la fin de cette année-ci.
Rien n’est encore gagné pour le FN, bien sûr, mais il semble néanmoins que tout semble déjà mal parti pour les partis qui ont fait le choix, ces dernières décennies, de la stratégie contraire, soit des alliances électorales souvent contre-nature et à l’évidence suicidaire.
08:53 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une réunion de la liste ALCA fait front à Metz
08:53 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Roger Holeindre interviendra lors de la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis
00:52 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |