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vendredi, 16 octobre 2015

Quand nos camarades de Forum SI relatent la 9e Journée de Synthèse nationale , ça donne :

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Dimanche 11 octobre à 11 heures, devant l’Espace Jean-Monnet à Rungis, où doit se tenir la IXème Journée nationaliste et identitaire, organisée par Synthèse nationale. Il fait frais, mais le temps est ensoleillé et une assistance nombreuse se presse déjà devant les portes, attendant l’ouverture de ce vaste lieu de réunion, où elle trouvera les stands de notre camp, des tables rondes, un restaurant et un concert des « Brigandes », prévu en clôture. Gabriele s’entretient avec un camarade arabe, semble-t-il, peut-être un militant baasiste (après l’ouverture des portes, on pourra constater que l’un des stands est orné d’un superbe drapeau syrien, le seul qui vaille, à bandes rouge, blanche et noire, frappé de deux étoiles vertes). Discussion avec un camarade de Gabriele, également ancien de Terza Posizione, et la charmante fille de l’un des dirigeants d’Europe Action, qui nous a quittés il y a quelques années et fut aussi un talentueux chroniqueur de National Hebdo. 

Long échange avec Gabriele, qui présente dans le détail son initiative européenne, en plein essor. Mais il est temps, à 11 heures 45, d’entrer en salle pour la première table ronde, où notre camarade italien va pouvoir développer la présentation de son projet devant un auditoire plus nombreux (la direction de Synthèse nationale estime que sa « Journée » a réuni plus de 800 personnes, dont celles de la photo ci-dessus, extraite du site de SN). Après une introduction de Roland Hélie, infatigable animateur de Synthèse nationale, Robert Spieler (Rivarol) présente la table ronde et cède le micro à Carl Lang, pour une courte intervention. C’est ensuite à Gabriele Adinolfi de prendre la parole, pour un exposé très intéressant, dense et anticonformiste, dont nous avons retenu les éléments suivants :

1 - Ne reproduisons pas l’erreur des légitimistes

Il ne faut pas penser que tout va s’arranger tout seul, que les circonstances nous sont favorables et vont, mécaniquement, nous amener au pouvoir. Et même si c’était le cas, ayons en tête de ne pas reproduire l’erreur des légitimistes, qui s’imaginaient que l’ordre traditionnel avait repris l’intégralité de ses droits avec la Restauration, alors que celle-ci n’avait nullement remis en cause le tout nouvel empire financier des Rothschild.

2 - Il n’y a rien à attendre des élections

N’imaginons pas, non plus, que nous puissions attendre quoi que ce soit des élections et du système démocratique tel qu’il fonctionne. Souvenons-nous que, après la première guerre franco-allemande, les monarchistes étaient majoritaires à l’Assemblée nationale et que celle-ci a accouché de la…Troisième République ! Tout récemment, souvenons-nous que, par référendum, les Grecs ont rejeté le plan de l’ex-Troïka, ce qui n’a pas empêché Tsipras de donner ensuite accord à un plan encore plus insupportable ! 

La démocratie ne fait que confirmer une politique déjà ancrée dans la réalité. C’est ainsi que la Marche sur Rome a précédé l’accession du Parti national fasciste au statut de parti majoritaire. Le seul exemple contraire, c’est l’Allemagne de 1932, mais encore faut-il rappeler que le résultat des élections avait été précédé d’intenses négociations au sein de l’état-major de la Reichswehr.

On nous dira qu’Aube dorée constitue également un contre-exemple, qui, en dépit d’intenses persécutions, parvient à se maintenir, voire à progresser, sur le plan électoral. Mais il s’agit là d’une vision erronée. Aube dorée n’a réussi à percer électoralement que parce qu’elle avait, sur le terrain, réalisé un certain nombre d’actions à caractère économique et social qui lui donnaient la possibilité de se développer lors des élections : mutatis mutandis, on se retrouve donc ici dans la même situation que celle engendrée par la Marche sur Rome.

3 - L’autre Europe, il faut la construire ici et maintenant !

Commencer par des actions de terrain, sur les plans économique et social, telle est la méthode que nous proposons également pour construire cette autre Europe que nous voulons voir naître. Cette autre Europe, il faut la réaliser « hic et nunc », ici et maintenant, comme une contre-société, une alternative appelée, le moment venu, à devenir le système dominant. Des initiatives ont déjà été prises en ce sens ; c’est ainsi qu’une fondation a été créée, à Bruxelles, pour organiser des synergies entre ceux qui, dans notre camp, souhaitent, dès maintenant, aboutir à des réalisations concrètes, sur les plans politique, économique et social, réalisations qui seront autant de signes du monde qui vient : car un autre monde est effectivement possible ! Prochainement, doit avoir lieu, à Rome, une réunion d’acteurs économiques désireux de porter, y compris à l’export, des projets susceptibles de renforcer notre camp.

Telle est la démarche, léniniste par certains côtés, mais aussi réellement « corporatiste » par d’autres, qui est ici proposée et à laquelle sont appelés à participer tous ceux qui veulent commencer, dès maintenant, la construction de cette autre Europe dont nos peuples ont le plus urgent besoin.

Et, si vous voulez en savoir plus, lisez :

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09:08 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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