Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 28 août 2019

Le nouveau numéro (n°80) de Terre et peuple magazine

69291145_2989607634399607_5507001831366066176_o.jpg

En savoir plus cliquez ici

17:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Priorité au Grand Négoce : de Roosevelt à Trump

trump-roosevelt-split-640x480.jpg

Bernard Plouvier

Vers 1980-90 a débuté la nouvelle ère – qui n’est plus l’ère chrétienne et n’est fort heureusement pas (du moins jusqu’à présent) l’ère de la régression mahométane.

Nous sommes entrés dans l’ère du gouvernement planétaire (presque) unique et de l’économie globale. Et c’est là que tous les « complotistes » se trompent : l’on n’assiste pas au triomphe des Financiers, mais à celui des Négociants internationaux.

Le grand projet rooseveltien était d’américaniser la production agricole et industrielle et de faire de la planète un grand marché – l’URSS étant exclue, qui devait servir de repoussoir, de contre-exemple, au moins pour les premiers temps de l’ère du One World – One Government. Qu’il ait ou non développé le projet d’une fusion des races et des peuples en une « moyenne humaine », on ne le saura jamais, car Roosevelt ne s’est guère exprimé sur ce point.

Les « complotistes » ont, là aussi, complètement erré. FDR n’était pas au service « des trusts » (et pas plus celui des Rockefeller que d’autres) ; il n’était pas au service « des Juifs ». FDR s’est servi de tous ceux et de toutes celles qui pouvaient faire démarrer puis avancer son projet, qui, pour d’évidentes raisons historiques, n’a pu commencer que 40 années après sa mort, une fois disparue l’hydre communiste qui avait dominé bien plus d’États qu’il ne l’avait prévu dans son plan machiavélique.

Il fallait, dans la pensée du nouveau Prométhée, appauvrir et apeurer l’Europe occidentale pour la délester de ses colonies, de ses capacités productives et commerciales. « Staline »-Dougashvili et son Armée Rouge étaient des moyens idéaux pour remplir ce rôle d’épouvantail et de leurre.

En 1980 sq. après l’implosion des ridicules économies marxistes, les USA se retrouvent en position dominante, ayant vassalisé l’Occident, les pays d’islam et l’Asie non maoïste. Les gouvernants chinois viennent chambouler la donne par leur suprême intelligence : ils multiplient l’efficacité de l’économie occidentale par la discipline d’un régime dictatorial et poursuivent la politique d’imitation des produits issus du génie européen et nord-américain, ainsi que l’irrespect des conventions internationales sur les brevets de fabrication.

Qu’elle soit l’effet d’un capitalisme ultra-libéral ou d’un capitalisme hautement surveillé par l’État, l’économie actuelle n’est pas dominée par les financiers, mais par l’entente des grandes entreprises de négoce et des décideurs politiques.

De ce fait, les banques centrales ont reçu l’ordre d’anéantir (ou presque) l’intérêt de l’argent – c’est le reniement de 3 à 4 milliers d’années d’agiotage -, au profit de la consommation massive, générant de superbénéfices inégalement répartis entre producteurs - à qui on ne laisse que la petite part des profits – et négociants, gros et petits – qui sont les grands gagnants.

Donald Trump poursuit la grande politique rêvée par FDR. Il le fait avec le punch et l’absence d’hypocrisie qui le caractérisent : en parfait Yankee, il dicte sa loi, parce qu’il dispose de la plus grande armée, du plus gros complexe militaro-industriel et des entreprises multinationales les plus puissantes et les plus innovantes.

La minorité agissante de l’humanité actuelle est placée devant une alternative fort simple.

Ou bien, l’on accepte un monde dominé par l’American way of life, ce qui implique à terme l’éclosion d’une humanité métissée, d’un Homo Consumans standard.

Ou bien, l’on organise, continent par continent, des empires ou des fédérations populistes.

Pour l’heure, les nations d’Amérique latine tentent des expériences non coordonnées. En l’Europe, l’Axe Berlin – Moscou pourrait servir de point de départ à un Empire fédératif, à l’unique condition que l’Allemagne réexpédie dans leurs pays d’origine les millions d’Extra-Européens qui sont venus la squatter. Ce sera la condition sine qua non pour inclure dans cet Empire les peuples d’Europe occidentale et scandinave.

L’Europe aux Européens est un slogan tellement évident et naturel que les princes du négoce en font un corpus delicti : énoncer cette banalité mène droit en correctionnelle et, bientôt, non plus au lynchage médiatique, mais à l’égorgement rituel. 

Le monde dominé par le négoce ne peut être que cosmopolite. Un monde populiste ne peut se faire qu’en fédérant des nations homogènes.             

16:55 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Italie : vers une coalition sociale-démocrate étoilée.

circuit-italie-merveilles-italie-rome-diaporama-5.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Les populistes en peau de toutou du Mouvement 5 étoiles qui ont goûté aux joies des privilèges et au faste des palais nationaux, sont évidemment prêts a tout pour conserver le pouvoir y compris s'allier avec la sociale démocratie.
 
Ceux qui en France rêvent encore de possibles convergences entre les Insoumis et les nationaux doivent enfin rompre avec leurs chimères. Les pourris de la gauche supposée rebelle reviendront toujours à ce qui est leur famille de raison sinon de cœur. C'est une question de gènes, pour ne pas dire une question d'odeur. Asinus asinum fricat...
 
Salvini finira par gagner. C'est écrit et ne se discute pas. Ce sera dans quelques semaines ou dans quelques mois, mais son arrivée aux responsabilités est inéluctable. Et plus l'attente sera longue, plus les solutions à mettre en œuvre devront être radicales.
 
Pour la France et les Français, c'est malheureusement en années qu'il nous faut compter. Mais notre temps viendra.
 
Et quand il sera venu, ce n'est pas en termes de réformes que nous exprimerons, puis appliquerons sans que notre main ne tremble les éléments impératifs de notre politique. Ce sera en termes de révolution nationale.
 

2019 13 JNI 2.jpg

09:20 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RETENEZ DÈS MAINTENANT VOTRE STAND AUX RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE PROCHAIN...

13 JNI STANDS.jpg

Depuis 13 ans, Synthèse nationale organise régulièrement chaque année ses journées nationales et identitaires. Depuis 13 ans, celles-ci remportent un succès grandissant. Le moment est donc venu de passer à la vitesse supérieure. Plusieurs éventualités ont été envisagées et nous avons retenu celle du passage de une à deux journées.

Cette formule présente plusieurs avantages : plus de temps nous donnera la possibilité d’organiser plus d’activités et aussi de voir plus de monde. Elle nous permet ainsi, outre la possibilité de consacrer plus de temps aux interventions, d’accentuer le côté « festif » de ce rassemblement. Et, bien sûr, elle nous rappelle (de manière beaucoup plus modeste certes) les Fêtes « Bleu Blanc Rouge » du FN de jadis. Nous avons demandé au Président Jean-Marie Le Pen, détenteur du titre "BBR", l’autorisation de le reprendre ; ce qu’il nous a aimablement autorisé avec ses encouragements.

Les 13Journées nationales et identitaires de Synthèse nationale se dérouleront donc cette année sur deux jours et elles prendront comme nouvelle appellation « Le grand rendez-vous Bleu Blanc Rouge ». Elles se dérouleront le samedi 12 (de 14 h 00  à 23 h 00) et le dimanche 13 octobre 2019 (de 11 h 00 à 18 h 30), à l’Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis (94).

DOSSIER D'INSCRIPTION CLIQUEZ ICI

2019 13 JNI 1.jpg

PRENEZ VOTRE BILLET CLIQUEZ LÀ

2019 13 JNI BRIGANDES.jpg

09:19 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Fils de collabos, neveu de résistant", le nouveau livre du Dr Jean-Pierre Cousteau

fils-de-collabos-neveu-de-resistant.jpg

Jean-Pierre Cousteau nous avait fait l'amitié, l'an passé, d'intervenir lors de notre journée Flandre-Artois-Hainaut de Synthèse nationale cliquez là. Ces jours derniers les Editions Via Romana ont publié un nouveau livre de lui : Fils de collabos, neveu de résistant. Ce titre résume à lui-seul l'une des singularités de la vie de l'auteur.

Voici la préface de Nicolas d'Estienne d'Orves :

« Chaque fois que tu le penses possible, fais ce que les autres ne font pas. »
Commandant Jacques-Yves Cousteau, de l’Académie française

«  Mon père est mort en décembre 1958 à 52 ans, alors que j’en avais 20, étais en seconde année de médecine et préparais le concours de l’externat. J’ai pleuré un bon coup comme six ans auparavant pour la disparition de ma mère, mais inconscient de la perte qui allait me frapper. Je pensais écrire le mot "fin" au bas de ma petite histoire de "Fils de" tant il semblait évident que mon existence n’offrirait plus rien que… de commun  !  »

Cardiologue et professeur né à Paris à la veille du second conflit mondial, Jean-Pierre Cousteau confie ici ses souvenirs et réflexions de gentilhomme. Plongée dès l’enfance au cœur des tribulations de la guerre et de l’Épuration, sa vie reflète les ombres et les lumières d’une époque oubliée où « les Français ne s’aimaient pas ». Fils de Pierre-Antoine Cousteau, rédacteur en chef de l’hebdomadaire Je suis partout, condamné à la Libération pour intelligence avec l’ennemi, neveu chéri du commandant Jacques-Yves Cousteau, résistant de la première heure dont il fut le médecin et confident jusqu’à sa mort, Jean-Pierre Cousteau a le caractère d’un battant et le verbe incisif. Sans doute parce qu’il vécut la longue séparation du père, la pension anglaise et ses châtiments, Juilly et ses « humanités » forcées, la mort d’une mère alors qu’à peine adolescent, puis plus heureusement la passion médicale et l’affection et la protection de l’oncle providentiel. Par delà une étonnante carrière médicale achevée dans les coulisses de Roland-Garros, Jean-Pierre Cousteau témoigne ici des riches amitiés littéraires de son père autant que de l’odyssée des profondeurs de son oncle à bord de la Calypso au fil des océans lointains.

Fils de collabos, neveu de résistant, Jean-Pierre Cousteau, Via Romana, 2019, 196 pages, 19 euros.

En savoir plus cliquez ici

08:01 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |