Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 24 septembre 2019

Le nouveau numéro de Conflits est consacré à la guerre du droit.

Le numéro de Conflits n°23, (septembre-octobre 2019) est consacré à la guerre du droit. Affaire Alstom, piège américain, amendes imposées à BNP PARIBAS, le droit est plus que jamais une arme de guerre. Une arme de la guerre économique. Et le droit est utilisé par les grandes puissances, notamment les Etats-Unis, pour faire valoir leur ordre du monde et pour s'imposer àleurs alliés et à leurs adversaires. Le droit entre ainsi dans une configuration plurielle : il y a la question de la fiscalité, qui est une arme géopolitique au service des Etats ; c'est évidemment la question monétaire et en premier lieu le dollar, concurrencé par le renminbi chinois, ainsi que par l'émergence des crypto monnaies. Le droit pose également la question de la guerre et du droit de la guerre, de cette conception militaire qui a été forgée avec le procès de Nuremberg et qui continue aujourd'hui de prévaloir dans un grand nombre de conflits : peut-on intervenir au nom du droit ? Peut-on faire la guerre pour préserver le droit ? Pour rétablir un droit qui a été aboli ? Cela pose aussi la question des différents territoires, notamment l'espace et la mer. Le droit est ainsi pluriel et dans cette guerre du droit, ce sont deux visions juridiques différentes qui s'opposent, une tradition anglo-saxonne et une tradition romaine ; deux visions géopolitiques qui montrent que les idées sont toujours à la conduite de la géopolitique et façonnent le monde qui est le notre. Nous avons aussi voulu montrer dans ce numéro consacré à la guerre du droit qu'il y a la question de l'outil militaire, la question du cyber espace, et qu'il y a aussi la possibilité de répondre à cette guerre du droit, de l'affronter, afin de la gagner.

69613858_2002676673166956_6799573007896412160_n.jpg

2019 13 JNI 2.jpg

 
 

16:11 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi 26 septembre : retour sur "l'affaire de Broglie" avec Guy Simoné dans l'émission Synthèse sur Radio Libertés

Diapositive1 copie.jpg

LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

ACHETER LE LIVRE CLIQUEZ LÀ

12:37 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sentinelles : Début de l’examen de la révision des lois de Bioéthique

Ce mardi 24 septembre de 20 h - 23 h 30, place du Palais-Bourbon

69780720_2913237218723015_4478039572617363456_o.jpg

Les Sentinelles sont debout depuis 2013 pour l’intérêt supérieur de l’enfant. Celui-ci est menacé par une nouvelle loi scélérate.

Scélérate par son objet : en ouvrant la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et aux femmes seules, elle réifie l’enfant et crée un droit à l’obtenir incompatible avec sa dignité intrinsèque, elle ouvre encore plus la voie à l’eugénisme et à la marchandisaton du corps

Scélérate par les méthodes employées : faire fi d’un consensus hostile clairement exprimé lors des états généraux de la bioéthique tenus en 2018 et laisser le Conseil Consultatif National d’Ethique conclure en posant des recommandations incohérentes avec toutes les objections clairement identifiées ; voir un député devenu secrétaire de la commission ad hoc’ insulter les opposants lors de la mission parlementaire d’information et prétendre aspirer à un débat apaisé et serein ; invoquer la démocratie et imposer une lecture chronométrée ; ne jamais répondre aux questions et aux objections formulées. Est-il nécessaire de poursuivre la litanie ?

Les Sentinelles ne peuvent s’y résoudre. Elles ont décidé de s’associer au collectif #MarchonsEnfants qui s’est constitué pour s’opposer à cette nouvelle dérive législative. Elles s’associent en outre aux divers collectifs « Appel des pères » et « Sentinelles des Pères » qui œuvrent et se rassemblent aussi dans quelques villes de provinces.

Toutes les Sentinelles peuvent veiller où bon leur semble (mais face à un lieu de pouvoir) et quand elles le peuvent.

Elle pourront veiller le mardi 24 septembre, à partir de 20:00 et toujours place du Palais-Bourbon.

Le samedi 5 octobre, veille de la grande journée de mobilisation, les sentinelles se retrouveront Place Vendôme à partir de 20 h 00.
Les amis de province qui rejoignent la capitale un peu avant la journée de grande mobilisation #MarchonsEnfants facebook seront bien sûr les bienvenus pour veiller sur le pavé parisien.

Le mode opératoire reste inchangé : se tenir debout et silencieux, respecter un espacement suffisant entre chaque Sentinelle afin de ne pas constituer une manifestation, ne porter aucun signe distinctif, n’afficher ou ne crier aucun slogan, ne pas troubler l’ordre public, répondre avec bienveillance aux questions des passants.

Vous êtes les bienvenus.

Des Sentinelles de Paris

2019 13 JNI 2.jpg

11:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Violences faites aux femmes. La démagogie législative : une comédie sinistre et dangereuse

femme.jpg

Par Xavier Eman

Depuis maintenant de (trop) longues années, la mode est à l’inflation législative. Au fil du temps, des aléas de l’actualité et des soubresauts médiatiques, les nouveaux textes de lois circonstanciels et catégoriels s’accumulent, s’entassent les uns sur les autres, constituant peu à peu un gigantesque maquis juridique, aussi inextricable qu’étouffant.

En effet, désormais, chaque groupe d’individus, chaque ensemble d’intérêts, chaque minorité, chaque église, chaque boutique, chaque lobby veut – et exige ! – sa propre petite loi personnelle de protection. Ainsi des homos, des Noirs, des juifs, des musulmans, des handicapés, des nains, des trans, des immigrés, des asexués, des myopes… Une soif de « législation » communautariste et infra-identitaires que les gouvernements successifs s’empressent d’épancher, soucieux de ne contrarier aucune composante, ni même micro-composante, de leur précieux cheptel électoral.

Or, outre le fait que cette tendance est totalement contraire à l’esprit originel de ce qu’est la Loi – qui est un texte de portée générale visant à assurer le « Bien commun »  de l’ensemble de la population qui lui est soumise –, cette incontinence législative se révèle par-dessus le marché totalement inefficace et impuissante dans les faits.

Ainsi, jamais il n’y a eu autant de textes répressifs en France et pourtant jamais le peuple français dans son ensemble et son incarnation qu’est le « Français moyen » n’ont été aussi peu et mal protégés dans leur vie quotidienne. Inquisition partout, sécurité nulle part.

La soumission du législateur à l’émotion du moment, aux tumultes des faits divers et aux pressions des coteries les plus diverses ne produit au final qu’une interminable série de « lois-gadgets » parfaitement inutiles autant qu’inapplicables. On pourra penser ici à la loi visant prétendument le « harcèlement de rue » (comme si, avant elle, celui-ci était légal et autorisé…) ou le grotesque délire sarkozyste concernant « l’interdiction des regroupements dans les halls d’immeubles »…

Aujourd’hui c’est au tour des « violences faites aux femmes » d’être le nouveau sujet choisi pour nourrir la frénésie législative.

Il me semble pourtant qu’il est déjà interdit de tabasser ou de trucider les gens. Et ce qu’il s’agisse de son conjoint, son employé, son camarade de classe ou un quidam dans la rue. Cette loi immémoriale – et somme toute assez raisonnable –, l’État contemporain est incapable de la faire appliquer et respecter. C’est pourquoi, on voit assez mal par quel étonnant miracle il appliquerait plus efficacement des lois spécifiquement consacrées au « féminicide » et à la « violence conjugale ».

Cet État, totalement incapable d’assurer la sécurité minimale de ses citoyens dans l’espace public, prétend aujourd’hui s’immiscer dans la sphère privée pour faire y régner – là par contre – une impitoyable « tolérance zéro »… C’est une démagogie qui serait risible si elle ne contenait des éléments supplémentaires de totalitarisme.

L’arsenal juridique actuel est très largement suffisant pour régler l’ensemble des problèmes de violence qui touchent notre société et punir ceux qui méritent de l’être. Il pourrait même être très largement dégraissé. Ce qui manque, ce n’est pas un énième texte à vocation publicitaire – qui restera d’ailleurs lettre-morte – c’est le courage et la force politique d’appliquer le droit le plus simple et le plus basique, en s’attaquant aux vrais problèmes et aux vrais coupables. Tout le reste n’est qu’agitation médiatique et gesticulation dérisoire…

Source : site Breizh info

07:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

BERNARD MONOT, ÉCONOMISTE ET ANCIEN DÉPUTÉ EUROPÉEN, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

2019 13 JNI B MONOT.jpg

EN SAVOIR PLUS CLIQUEZ ICI

PRENEZ DÈS MAINTENANT

VOTRE BILLET CLIQUEZ

RETENEZ VOS PLACES AU BANQUET

PATRIOTIQUE DU SAMEDI SOIR CLIQUEZ ICI

00:34 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE JOURNAL DE BORD DE JEAN-MARIE LE PEN DE CETTE SEMAINE

ACHETER LE SECOND TOME DES MÉMOIRES

DE JEAN-MARIE LE PEN CLIQUEZ ICI

jeanmarielepenbannieresite.png

00:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |