mardi, 14 avril 2020
Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (MARDI 14 AVRIL)
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Confinement : sanction prolongée ! Un entretien avec Philippe Randa
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés cliquez là.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Confinement, encore un mois de plus ; c’était prévisible, non ?
Pour le moins sous-entendu et quasi officiellement annoncé avant même que le président de la République ne le confirme. On se demandait simplement si la sanction serait à nouveau de 15 jours dans un premier temps ou davantage. C’est davantage, donc !
Vous parlez de sanction, alors qu’il s’agit tout de même de sauver des vies !
L’un n’empêche pas l’autre : qu’aujourd’hui, on doive limiter la catastrophe humanitaire en ralentissant autant que faire se peut, par une mesure extrême, l’arrivée de malades dans nos hôpitaux incapables de les accueillir tous en même temps, est une chose ; constater que les hôpitaux n’avaient plus les moyens de faire face à une pandémie, en est une autre ! Il ne s’agit pas de « sauver » des vies, mais de gérer une épidémie dans un contexte de pénurie de matériel et d’affolement gouvernemental !
Vous dîtes que les hopîtaux n’ont « plus » les moyens, c’est-à-dire ?
La Grippe de 1968, appelée « grippe de Hong Kong », a fait un million de morts au total (estimations de l’OMS) et plus de 30 000 en France à la fin de l'année 1969. Il a fallu l’actuelle épidémie de coronavirus pour que la plupart d’entre nous s’en rappelle, voire ne l’apprenne… À l’époque, comme un article récent du Dauphiné l’a indiqué, ce million de morts l’a été « dans l'indifférence générale » ; c’était pourtant la troisième grave épidémie du XXe siècle après la célèbre grippe mensongèrement baptisée « espagnole » (entre 20 et 40 millions de morts juste après la fin de la Grande Guerre) et la « grippe asiatique » et ses 2 millions de morts en 1957 (estimations de l’OMS), dont « au moins » (les estimations diffèrent) 15 000 en France. Un bilan autrement dramatique – à ce jour et après 4 mois de crise – de l’actuelle épidémie de coronavirus. Il n’a pourtant jamais été question alors de confinement total que nos aînés n’auraient probablement pas accepté avec la même sidération –pour ne pas dire soumission – que les Français d’aujourd’hui. À l’époque, les hôpitaux, surtout après la IIe Guerre mondiale, étaient en état de faire face à une épidémie. De nos jours, ils ne sont plus… Et pour cause ! On ne peut pas accueillir toute la misère du Monde », considérer l’assistanat social comme un droit inaliénable ou encore continuer de se pâmer d’admiration devant la réduction du temps de travail… et conserver des structures hospitalières optimales ou même minimum… tout comme des forces militaires ou policières dignes de ce nom, d’ailleurs !
Les événements actuels pourraient au moins faire bouger les lignes dans le futur…
On peut l’espérer en tout cas…
Les sondages d’opinion semblent pourtant catégoriques : une majorité de Français acceptent, désirent même, le confinement pour se protéger…
Les sondages ne sont pas forcément malhonnêtes ou truqués, mais d’expérience, ce qui est vrai un jour pour une majorité de l’opinion publique peut très bien être faux le lendemain… Beaucoup de nos compatriotes, aujourd’hui, ont peur. On les comprend ! Depuis janvier dernier, les médias ne parlent que de l’épidémie de coronavirus et chaque jour les compteurs affichent l’augmentation du nombre des morts. À notre époque, la mort n’est plus considérée par beaucoup comme une échéance aussi inévitable que naturelle, mais comme un véritable scandale, digne des temps passés. Ce n’est plus : « Que fait Dieu ? », mais « Qu’attend le gouvernement pour interdire une bonne fois pour toute de mourir ? »… Quand la menace de l’épidémie aura disparu, que les gens découvriront la réalité des conséquences économiques des deux mois d’interdiction – de fait – du travail, qu’ils ne pourront accéder à leurs sacro-saintes vacances d’été (et d’hiver ?) faute de moyens financiers ou parce que leurs lieux de villégiature habituels seront déclarés zones interdites par « prévention », comment considèreront-ils les mensonges… qui leur auront fait tant de mal ?
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15:53 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dans un entretien publié aujourd'hui sur le site de Valeurs actuelles, Jean-Marie Le Pen réagit à l'intervention de Macron
Extrait de l'entretien de Jean-Marie Le Pen pour Valeurs Actuelles à paraitre aujourd'hui :
VA : Le Président de la République a-t-il amorcé cette « révolution personnelle » dans son allocution télévisée ?
JMLP: Je l’ai au contraire jugé extrêmement décevant, et pour tout dire égal à lui-même. Dans sa bouche, le confinement ressemble à une solution de résignation noyée dans une interminable marée de précisions mineures. Rien ne porte la marque d’un chef d’Etat dans un pays en crise. De plus, il m’a fait l’effet d’être enfermé dans une grande solitude, ne parvenant ni à mobiliser ni à rassurer. La litanie des remerciements sert à boucher les trous dans un raisonnement qui élude plusieurs questions cruciales, notamment au final qui paiera la facture des chocs économiques et sociaux à venir ?
Source Valeurs actuelles cliquez ici
15:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Macron, le Président paniquard, doit prendre des leçons de Démocratie
Bernard Plouvier
Notre Grand Gourou nous a plongés dans une crise économique majeure pour une pandémie indéniable, mais peu meurtrière. Ce 14 avril en milieu de journée, la France compte 15 000 morts sur 138 000 malades authentifiés – et l’on peut multiplier par 100 ou 1 000 le nombre de porteurs sains.
La mortalité, qui est de type « sélection naturelle », n’atteint nullement celle d’une pandémie grippale. Il est évident que la mort prématurée de vieillards ou de malades est toujours un drame familial, mais elle ne touche pas l’économie nationale puisqu’elle respecte les jeunes à l’immunité non défaillante. C’est une mortalité opposée à celle des guerres, pour prendre un contre-exemple simple.
Évidemment, on ne peut faire comprendre cela à un politicien qui a beuglé l’inverse il y a un mois. Et, persévérant dans sa docte stupidité, il décide souverainement, sans avoir le moindre argument scientifique pour le faire, de retarder d’un mois la fin du stupide « confinement pour tous ».
Ce confinement n’aurait dû être rendu obligatoire que pour les cibles du virus : les octogénaires et au-delà, les sujets atteints d’une baisse de l’immunité cellulaire pour cause de maladie chronique.
C’est qu’aurait conclu tout médecin expérimenté - ce qui exclut les clowns professoraux dont les avis grotesques et les disputes ont fait la joie maligne des ignares et jeté l’opprobre sur la médecine hospitalière... quand on connaît les critères de dévolution du professorat médical, l’on n’est guère étonné du comportement des « illustres ».
Nous « déconfinerons » donc avec un mois de retard sur les Danois ! Merci Grand Gourou inepte !
L’autre mesure d’importance majeure abordée par GG inepte a de quoi faire bondir tout honnête démocrate. Sa Majesté veut remettre leur dette aux pays africains ! En résumé, ce qui a été payé par nos impôts et nos taxes, Grand Gourou décide souverainement d’en disposer comme s’il s’agissait d’un bien propre à lui dévolu !
Si l’on peut jeter un regard apitoyé sur des populations très arriérées, on doit – avant d’envisager quelque mesure que ce soit – se demander où sont passés les milliards d’euros et de $, sans compter les monnaies asiatiques, expédiés dans ce continent boulet économique et démographique de la planète : 1,2 milliard d’Africains produisent moins de 5% des richesses... encore faut-il que beaucoup de non-Africains dirigent les travaux ! Avant de remettre quelle que dette que ce soit, il faut exiger des politiciens-voleurs africains qu’ils rendent les sommes qu’ils ont détournées.
Et d’une manière générale : non, Grand gourou, tu n’es pas le souverain de la France. C’est la Nation et elle seule qui est souveraine. C’est donc elle seule qui doit décider en unique ressort de cette dette, comme elle aurait dû décider de choses aussi essentielles pour son avenir que l’avortement de complaisance (Loi Veil), l’immigration-invasion, l’abolition de la peine de mort, la désindustrialisation massive de notre pays et la disparition progressive de services publics... dont des lits d’hôpitaux et singulièrement de réanimation.
15:15 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Nouvelles du front
Jarente de Senac
Bonne nouvelle. Alors que la piste ouverte par le professeur Didier Raoult à Marseille n’est pas confirmée, des médecins généralistes du Nord de la France –Denis Gastaldi, Jean- Jacques Erbstein et Olivia Vansteenberghe – à la suite de nombreux échanges sur fessebouc -, ont finis par se mettre d’accord sur un traitement qui a confirmé son efficacité à partir du moment où le patient était en début de contamination et non pas en voie de réanimation. Car ici on est dans la médecine de ville et non à l’hôpital. C’est en associant trois médicament autres que la chloroquine, à laquelle d’ailleurs ils n’ont pas accès, l’azythromycine, deux gélules d’Effizinc et du Singular qu’ils ont constaté une nette amélioration de l’état de leurs patients contaminés. Le docteur Denis Gastaldi, lui-même touché par le Coronomachin, s’est auto-prescrit le protocole qui l’a sorti d’affaire. Les trois conseils médicaux entourant Macron et qui ont flingué Didier Raoult, feraient bien d’écouter aussi les tâcherons de la médecine de ville.
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A ce stade ce n’est plus un scandale, c’est de l’irresponsabilité et on aimerait pouvoir désigner les coupables : l’Europe n’a plus la maîtrise de ses médicaments vu qu’elle a délocalisé une grande partie de son industrie pharmaceutique en Chine et en Inde. Il aura fallu la crise du covid-19 pour mettre en lumière notre grande fragilité en la matière. Le médicament c’est comme l’arme nucléaire, géostratégique. Et comme tel, cela relève des pouvoirs régaliens de l’Etat. Les responsables ce sont tout à la fois les gouvernants qui ont autorisé les industriels à délocaliser, et les industriels désireux d’enrichir leurs actionnaires au nom de ce capitalisme financier qui est en train de décimer la planète.
À l’Académie nationale de pharmacie de France, cela fait dix ans que l’on tire les sonnettes d’alarme pour alerter sur la perte de souveraineté engendrée par une dépendance excessive à la Chine et à l’Inde. Dans les années 1980, l’Europe conserve encore une industrie pharmaceutique puissante. Quelque 80 % des principes actifs sont produits chez nous, et 20 % à l’étranger. Trente ans plus tard, les chiffres sont inversés. « Le grand basculement a commencé dans les années 1990, puis s’est accéléré au début des années 2000, quand les entreprises ont décidé de délocaliser massivement pour des raisons de coût de main-d’œuvre et de règles environnementales. »
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Vive la crise s’écrie le patronat français ! La crise sanitaire a généré une crise économique et donc une crise sociale. L’Etat a ouvert les cordons de la bourse mais, s’époumone le Medef, faudra bien rembourser. L’Etat nous dit « pas d’augmentation des impôts », et le Medef en appelle à la reprise du travail. Geoffroy Roux de Bézieux a ainsi déclaré au « Figaro » qu’il « faudra bien se poser tôt ou tard la question du temps de travail, des jours fériés et des congés payés pour accompagner la reprise économique et faciliter, en travaillant un peu plus, la création de croissance supplémentaire ». La secrétaire d’Etat à l’Economie, Agnès Pannier-Runacher acquiesce. Mais le problème n’est pas que dans les grosses entités industrielles et commerciales qui ont les moyens de tenir le coup. Il est au niveau des PME/PMI qui constituent l’ossature vitale du pays avec quelque 8 millions d’artisans. Ce sont eux les plus fragiles, ceux qui risquent fort de déposer le bilan faute de trésorerie. Tous ces artisans qui disposent d’un savoir-faire unique et précieux, mais aussi tous ces bars, bistrots et restaurants qui constituent l’essence même de la vie sociale de la nation. Que dire également de nos agriculteurs qui nous nourrissent et qui, eux aussi, faute de trésorerie, mettront la clé sous la porte ! Enfin, il va bien falloir aussi repenser notre système de santé et arrêter de mettre à la tête des hôpitaux des comptables, de décourager les étudiants en médecine avec des quotas iniques. Ce que nous vivons aujourd’hui et ce qui remonte à la surface, c’est bien l’impuissance d’un pouvoir politique réduit à une gestion budgétaire de la nation. En un mot, l’Etat libéral. Ce sont les petits, médecins, infirmiers, aides-soignants, chauffeurs, caissières, paysans, pêcheurs qui donnent des leçons de vie à ces énarques bouffis qui peuplent ces ministères sans âme où ne règnent que les statistiques. Debout les damnés de la terre !
12:40 Publié dans Jarente de Senac, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L’effarant « guide des parents confinés »
Dans sa logique intrusive (et d’orientation idéologique de la population), le gouvernement – via le secrétariat d’Etat de Marlène Schiappa – a pondu un « Guide des parents confinés – 50 astuces de pro ». Marlène Schiappa, adepte de la sorcellerie et auteur de livres pornographiques, se permet d’écrire une préface et de donner des conseils aux parents…Le contenu des « astuces » est bien sûr à la hauteur…
Après une page « mon enfant fait son coming-out », qui renvoie vers un site proposant des supports « qui donnent une image positive des personnes LGBT » à partir de 10 ans, on tombe sur la page « Se méfier de la désinformation », signée par le super commissaire politique Frédéric Potier, président de la DILCRAH (un énième organisme de traque des propos politiquement incorrects, mais public cette fois, au budget de 100 millions d’euros par an ! Tant pis pour les hôpitaux). Il est chargé de mettre au pas les Français pas assez cosmopolites, par la terreur judiciaire.
Cet horrible individu a le culot de dire aux parents de se « méfier des tentatives de désinformation, des théories du complot, qui prolifèrent sur internet et les réseaux sociaux. » On rappellera que des représentants du gouvernement avaient par exemple déclaré, dans le genre complotiste débile, soupçonner la Russie d’être derrière les Gilets jaunes… Frédéric Potier demande pour finir de « privilégier les sites institutionnels » quand on veut surfer et chercher l’information. Il en donne quatre : vous allez voir, c’est fabuleux. Celui de la Dilcrah, celui d’un obscur « observatoire du conspirationnisme » financé par la « Fondation pour la Mémoire de la Shoah », celui du « Mémorial de la Shoah » et enfin celui du « Musée d’art et d’histoire du judaïsme » ! Vous ne voyez pas le rapport ? Attention, se poser la question c’est peut-être déjà de l’antisémitisme ! En tout cas, ce jeune Potier semble avoir une idée assez précise des bottes qu’il veut lécher pour la suite de sa carrière de préfet.
En tournant cette grotesque page, déjà stupéfait, on tombe sur « l’astuce » suivante : « Comment transmettre le féminisme »… C’est bien vu de parler du féminisme comme s’il s’agissait d’une maladie vénérienne qu’on transmet, mais en réalité cet article – signé par la « Présidente commission lutte contre les stéréotypes du HCE » (c’est écrit ainsi) – est bien sûr favorable à cette idéologie subversive et contre-nature.
Nous finirons – davantage serait au-dessus nos forces – sur la page suivante : « Qu’est-ce qu’on regarde à la télé ? ». Le président de Canal+ y est invité à étaler ses recommandations : « citons « l’Info du Vrai » d’Yves Calvi qui décrypte [sic] l’information quotidienne et Cyril Hanouna qui sera présent en direct de chez lui tous les jours sur C8 dans TPMP pour un vrai moment de divertissement pour toute la famille. [sic] »
Voilà qui illustre bien les collusions entre les pouvoirs politique et médiatique ainsi que celui des lobbys, le tout aux frais du contribuable.
Source site contre-info.com
09:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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