mardi, 21 avril 2020
Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (MARDI 21 AVRIL)
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Les Deux Frances : celle des émeutes raciales et celle du confinement
Bernard Plouvier
Que le confinement pour (presque) tous les citoyens soit une « mesure salutaire » (version gouvernementale) ou une stupidité intégrale nous menant à une crise économique d’ampleur et de durée indéterminables, là n’est pas la question !
Il est piquant de constater que peu d’heures après les exposés-fleuves de deux ministres, dont le Premier, le dimanche 19 avril 2020, nos merveilleux jeunes issus de l'immigration, « si bien intégrés » nous dit-on, se sont offerts la joie festive d’émeutes raciales et d’affrontements violents avec la police dans quatre départements – toujours les mêmes depuis quarante années : Hauts-de-Seine, Val-de-Marne, Seine-Saint-Denis, Essonne.
Ah, qu’il est beau et bon de constater la réalité du « Vivre Ensemble », l’intégration de nos ZZ (Z’Honorables Z’immigrés) dans la vie citoyenne des Français ! Qu’un motard maladroit percute une voiture de police et les cités de non-droit se mettent à flamber, crépiter, retentir de tirs de mortiers, comme à Beyrouth, Alep ou Kaboul. Il n’est plus besoin de payer de « grands reporters » : nous avons importé la violence médiévale, grotesque et stupide, où seuls les moyens utilisés sont modernes.
Effectivement, l’on observe, et depuis un mois que dure la comédie du « Confino » - au moins, Mussolini autorisait-il la déambulation diurne de ses « confinés » ! -, deux Frances.
D’un côté, l’on constate une population européenne autochtone respectant les ukases gouvernementaux et se faisant contrôler par la police, voire se faisant rudoyer par les « forces de l’ordre » s’il manque un iota à l’ATTESTATION DE DÉPLACEMENT DÉROGATOIRE, en application de l’article 3 du décret du 23 mars 2020, que les bons citoyens en panne sèche d’encre pour imprimante doivent recopier pour promener le chien – qui, lui, se moque de Macron-Philippe-Castaner : il a besoin de se dégourdir les pattes et de pisser - ou pour acheter leur pitance.
De l’autre, la Ripoublique franchaouie des ZZ – plus communément appelés « racailles »... de fait, lorsqu’on s’oppose violemment aux contrôles de police, lorsque l’on s’organise une fiesta incendiaire, lorsqu’on tire sur policiers, gendarmes et CRS, l’appellation de hors-la-loi devient juste.
Franchement, quels pitres sont notre Grand Président et ses ministres, même pas capables de faire respecter l’Ordre... qui n’est pas plus républicain que royal ou impérial. L’ordre public, c’est le minimum qu’une Nation doive attendre de gouvernants d’un État qui gère des centaines de milliards d’unités de compte, issus des impôts et des taxes acquittés par les honnêtes citoyens.
Moins de discours, moins de passages à la télévision de nos « princes », mais davantage de respect de la Loi. C’est tout ce que la Nation est en droit d’obtenir et c’est ce dont elle est privée depuis le début de l’invasion extra-européenne, il y a quarante années déjà.
16:06 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un carcan français
Par Vincent Trémolet de Villers
C’est un mal diffus, fuyant, insaisissable. Il peut par sa seule présence décourager les conquérants, ensabler les bâtisseurs. Il frappe les plus beaux esprits comme les intelligences médiocres et peut tout dérégler au nom des règles. Un virus? Non, un tour d’esprit qui fait confondre directve et direction, commission et décision, procédure et discernement. Celui qui en est frappé se réfugiera dans le maquis du règlement. Avec lui, le verbe se fait norme et la vie mouvante, imprévisible, doit entrer de gré ou de force dans l’immense étagère de l’administration des choses. Dans les instants paisibles où «la plupart des choses du monde se font par elles-mêmes» (Montaigne), il règne en maître rassurant, mais «quand les blés sont sous la grêle», que le moment exige agilité et rapidité, il dévoile sa pesanteur, son incurie. On peut l’appeler esprit de système, poison administratif, fanatisme bureaucratique, perfectionnisme excessif... Qu’importe!
C’est lui qui, depuis le début de la crise sanitaire qui nous frappe, ralentit, désordonne, décourage. C’est lui qui grippe la gigantesque machinerie de l’État. C’est lui qui explique qu’avec 56% de dépenses publiques, une pression fiscale écrasante, des mères de famille en soient réduites à coudre des surblouses pour un hôpital qui en manque, que des élus locaux devancent les autorités dans la commande de masques, que des cliniques privées parfaitement équipées soient d’abord restées vides, quand l’hôpital public était submergé. C’est lui qui paralyse, de certification en validation, la chaîne de commandement. Reconnaissons-le, celui qui s’affranchit, de la base au sommet, de ce carcan de précautions prend des risques. Ses audaces peuvent être punies par la funeste combinaison : campagne médiatique - procédure judiciaire.
La partie est extraordinairement difficile : bien présomptueux qui accable ceux qui nous gouvernent. Mais serait-ce trop demander à cet État qui peine à réunir des masques et des tests qu’il cesse d’être à ce point sourcilleux dans les détails, satisfait dans l’expression ? Puisque aujourd’hui tout l’entrave, qu’il laisse faire ces Français innombrables qui conservent dans l’adversité, et les soignants en sont la plus belle preuve, leur ingéniosité et leur courage.
Source : Le Figaro 21/04/2020
12:01 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Notre grande enquête : "Aller au-delà du mondialisme" (2e contribution) : S’en sortir par le portefeuille
Nous continuons notre enquête avec une contribution de Rémi Tremblay, directeur du journal canadien Le Harfang cliquez ici et correspondant régulier au Québec du quotidien Présent et du site EuroLibertés.
Rémi Tremblay est aussi l'auteur de deux Cahiers d'Histoire du nationalisme, l'un consacré à son compatriote Adrien Arcand cliquez ici et l'autre à l'Anglais Oswald Mosley cliquez là.
S.N.
Rémi Tremblay
Tourner la page du mondialisme, il y a de plus en plus de gens qui sont enclin à le faire. Le premier ministre québécois François Legault a lui-même parlé d’une société « démondialisée » se basant sur une plus grande autarcie, mais il faudra le voir pour le croire.
Toujours est-il qu’en tant que citoyens, nous avons notre mot à dire et nous avons un certain pouvoir. Celui qu’on nous octroie périodiquement dans l’isoloir est illusoire. Notre pouvoir c’est celui de diffuser nos idées et ce malgré la chape de plomb toujours plus lourde qui nous est imposée. La réinformation sur la toile est de plus en plus menacée par le monopole des GAFA, il faut revenir aux essentiels, investir le domaine public, le monde réel.
Mais il y aussi notre pouvoir d’achat, car acheter, c’est voter. Si nous désirons ardemment une économie locale, forte et enracinée, c’est à nous de rendre ce rêve possible. Il faut dès aujourd’hui s’affranchir des monopoles des Amazon et Walmart, de ces grandes chaînes de distribution qui étouffent le petit commerce local. Ce sont nos propres comportements que nous devons changer en premier lieu. Acheter sur Amazon un livre dénonçant le mondialisme est un contre-sens, surtout que cette compagnie emploie des sommes colossales chaque année pour imposer des idées dont nous ne voulons pas et dont le peuple veut de moins en moins.
Dans les années 30 au Québec, la Ligue d’achat chez nous prédisait que les monopoles écraseraient nos commerçants. Force est de constater qu’elle avait vu juste. Pour la Ligue, acheter des gens de chez nous, quitte à payer un peu plus cher, était un devoir patriotique. C’est ce gros bon sens que nous devons retrouver. Ignorer la facilité et les économies factices pour investir dans une économie locale.
Mieux encore, il ne faut pas qu’encourager les commerçants de chez nous, mais aussi les producteurs. Il est de bon ton de railler la qualité des produits fabriqués en Chine, mais toujours est-il qu’ils continuent d’être achetés. Ceux qui sont fabriqués chez nous sont plus coûteux, mais de meilleure qualité. Là encore, il est du devoir de chacun de faire sa part et de cesser d’acheter avec l’intention de jeter après quelques mois ou années parce que la mode a changé. Cela implique acheter moins, mais acheter mieux.
Pour nos « gouvernants », nous ne sommes que des « consommateurs », alors assurons-nous au moins d’être des consommateurs conséquents.
11:51 Publié dans Notre enquête sur l'après mondialisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pour un État national fédératif.
Plombée par plus de deux siècles de jacobinisme absolu à peine tempéré depuis 1981 par une décentralisation timide, incertaine et incohérente, la France, contrairement à l'Allemagne fédérale aux responsabilités partagées, peine à faire face à l'épidémie de coronavirus. Les conséquences sanitaires de cette impuissance sont ravageuses. Les conséquences économiques et sociales seront dramatiques.
11:49 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Du Coronavirus et de ses conséquences
Un communiqué d'Alain Escada, président de Civitas :
C'est la première fois que je m'exprime publiquement, en tant que président de CIVITAS, depuis le début du confinement, Jusqu'ici, j'ai voulu prendre le temps d'observer attentivement la situation en France et dans le monde afin que ce communiqué aborde à la fois les aspects géopolitiques, sanitaires, économiques et religieux de cette période trouble que nous subissons et propose également quelques perspectives pour la suite.
Je mesure que le message que je vous adresse ne va pas dans le sens de la pensée dominante et peut en ébranler certains, Je vous demande néanmoins de le lire entièrement. Il tient en six points énumérés ci-dessous :
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Pour votre santé, vous n'aurez plus de libertés
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Une épidémie qui cache une politique de santé calamiteuse et mortifère
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Hydroxychloroquine ou vaccin de Bill Gates ? Un enjeu totalitaire et mondialiste
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Un confinement qui ruine les Français
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L'échec d'une réponse sans Dieu à l'épidémie
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Dimanche 10 mai 2020 – Opération « Sainte Jeanne d'Arc, sauvez la France »
1. Pour votre santé, vous n'aurez plus de libertés
L'une des plus grandes réussites du Diable est de parvenir à faire croire à beaucoup qu'il n'existe pas, De même, la police de la pensée s'évertue à répéter que les complots et les mensonges d'Etat n'existent pas, Autorités politiques et médias serviles s'entendent pour discréditer quiconque remet en cause la version officielle des événements.
C'est une évidence, n'est-ce pas, toute l'histoire de l'humanité, particulièrement celle des dernières décennies, démontre que les politiciens, les représentants de la haute finance et les journalistes partagent tous une exceptionnelle probité et un formidable sens du bien commun qui devraient nous conduire à accorder une confiance aveugle à tout ce qu'ils nous affirment.
Les troupeaux bêlants ont la mémoire trop courte pour se souvenir des montagnes de mensonges qu'ils ont gobés un à un de la part des prétendues élites qui pensent pour nous, Amnésiques, les troupeaux bêlants ne tirent aucun enseignement du passé, hypnotisés par ce qu'ils ont vu à la télévision, entendu à la radio, lu dans la presse, sans comprendre que ces médias qui ne survivent que grâce aux subventions de l'Etat et aux annonces publicitaires pour des produits de multinationales sont naturellement redevables à leurs maîtres.
Pire, la force du mensonge est accrue par la puissance de l'image et la manipulation des émotions, Quoi de plus efficace que de susciter l'effroi planétaire pour obtenir la soumission aux consignes les plus totalitaires.
Par peur du coronavirus, les populations ont accepté les privations des libertés les plus élémentaires.
Nous n'avons plus le droit de voir les membres de nos familles autres que ceux qui partagent le même logement que nous. Le Premier ministre a promis ce dimanche du changement mais nous n'avions plus le droit jusqu'ici de rendre visite à nos malades s'ils sont hospitalisés ou en EHPAD, même s'ils sont mourants, Nous n'avons plus le droit d'accorder des funérailles dignes à nos défunts, Nous n'avons plus le droit d'assister aux célébrations religieuses.
Pour nous protéger du coronavirus, un Etat policier s'est mis en place, qui utilise des drones avec caméras de surveillance, des hélicoptères avec équipement thermique, Des policiers fouillent les sacs des clients sortant des magasins encore autorisés à ouvrir, des gendarmes verbalisent une dame qui faisait un signe affectueux à son mari enfermé en EHPAD ou un fils qui voulait se rendre au chevet de son père mourant, Des Français dénoncent d'autres Français qui vont se balader au bois ou en montagne.
Mais le ministère de l'Intérieur accorde un confinement « allégé » dans les banlieues et quartiers immigrés ; le gouvernement libère huit mille détenus – dont 130 islamistes condamnés dans des dossiers de terrorisme – pour ne pas qu'ils attrapent le coronavirus en prison ; et les forces de l'ordre fuient devant des hordes de racailles qui multiplient les guet-apens.
11:13 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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