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dimanche, 15 août 2021

Les salauds finiront en enfer…

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La chronique de Philippe Randa

En Autriche, quatre Afghans âgés de 16 à 23 ans ayant été identifiés et arrêtés en juin dernier pour avoir drogué, violé et tué une jeune fille de 13 ans, un journaliste interroge le ministre autrichien de l’Intérieur Karl Nehammer, présent lors de la conférence de presse : « Monsieur le ministre de l’Intérieur, la présomption d’innocence s’applique. Il s’agit de demandeurs d’asile qui n’ont connu que la guerre dans leur pays d’origine. Indépendamment de ce qu’ils ont fait, l’Autriche ne devrait-elle pas faire plus en matière de traumatisme ? La question se pose de savoir si vous vous souciez assez des jeunes Afghans ? »

Un gag de mauvais goût ? Un fou ? Au choix…

Et comment ont réagis les si sourcilleuses et féroces chiennes de garde du féminisme ? Mais comme il se devait, bien sûr… L’Observatoire du journalisme (www.ojim.fr) nous rapporte qu’une « vingtaine de militants du groupuscule féministe “Alerta Feminista” s’est introduite dans les locaux du média autrichien Oe24. L’action visait à dénoncer la couverture soi-disant “sexiste et raciste” des faits (traduire par « ayant donné les noms et les origines des meurtriers ») par le média, alors qu’il ne s’agirait que d’un “féminicide”, conséquence “de la violence patriarcale”. »

Rappelons-nous alors, en France, de ce procès d’Assises où l’avocate d’un sordide tueur en série ulcéra plus d’un citoyen en se tournant lors de sa plaidoirie vers son client pour lui demander « pardon » au nom de la société, celle-ci n’étant rien moins que responsable de ce qu’il était devenu et donc de ce qu’il avait commis : à ses yeux, il était davantage victime que bourreau de la demi-douzaine de femmes qu’il avait trucidée après en avoir abusée…

Malgré le scandale que cette avocate provoqua, on avait alors considéré cela au mieux comme un « effet de manche », certes aussi douteux que désespéré pour apitoyer les jurés, au pire pour un « coup », sensé propulser son auteur parmi les ténors du barreau…

C’était au siècle dernier… Ni le nom de la crapule qui a finit ses jours derrière les barreaux, ni celui de son indigne défenseur en robe – au propre comme au figuré – ne méritent d’être rappelés. Laissons aux « honorables » féministes le dégoût d’honorer de tels personnages…

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23:33 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

AFGHANISTAN : QUI SONT LES CRIMINELS DE GUERRE EN FIN DE COMPTE ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

La chute de Kaboul, capitale de l’ex-royaume d’Afghanistan n’est plus qu’une question de jours, de semaines, au mieux de mois, au singulier. Le même « scénario Vietnamien » va, tragiquement, se répéter. Rappelons-nous la chute du libre Sud-Vietnam en avril 1975 : départs précipités des alliés, abandon de leurs soutiens, armée en déroute, - sauf les petits paras saïgonnais -, fuite des gouvernementaux, « boats people » en mer… C’était hier ! Une à une, les capitales provinciales tombaient, Quang-Tri, Hué, Danang, Pham Rang, Pham Tiet, et ce fut le tour de Saigon. (Rebaptisée « Ho-Chi-Minh ville ».) Aujourd’hui, c’est Hérat et Kandahar qui tombent dans l’escarcelle des « étudiants en religion ». Demain ce sera au tour de Kaboul.

« Tout ça pour ça ? »

Depuis vingt ans, depuis que les armées alliées de l’OTAN au premier rang desquelles l’US Army avaient chassé les Talibans du pouvoir et prétendu libérer ce pays de l’obscurantisme, aucun progrès réel, en profondeur, n’a été accompli. Des sommes astronomiques ont été déversées, des milliers de soldats occidentaux sont tombés ou ont été blessés, notamment des Français, et pour quoi ? « Tout ça pour çà » ? Pour que, précipitamment, les ressortissants étrangers soient promptement évacués, les ambassades fermées ou réduites à leur plus simple représentation ? Mesure dérisoire, le Conseil de l’Alliance Atlantique a déclaré que ses pays membres ne reconnaitraient pas le nouveau régime, passant déjà par pertes et profits le gouvernement de Kaboul.

Pire, ces puissances occidentales… impuissantes, rechignent à rapatrier les interprètes afghans et leurs familles qui, en effet, risquent leur peau si elles restent dans le pays. La solution serait que l’OTAN finance l’évacuation de tous ces gens et leur réinstallation dans des pays musulmans « amis ». (Si,si, - sans jeu de mot ! -, ça existe !)

L’islamisme se combat d’abord en nos murs !

Quelle confiance peut-on accorder à l’Alliance Atlantique ? Quelles honte que ce désengagement, comme bien d’autres, pour abandonner la partie sans avoir « mis le paquet » au moment décisif, en 2002 ? Ce lâche abandon, comme bien d’autres, - Indochine, Algérie, Angola, Mozambique -, est un mauvais signal adressé aux États qui seraient enclins à nous suivre, nous les pays dit « libres ». Alors, oui, qui sont les réels « criminels de guerre » ? Ceux qui maintenaient leur pays dans une situation obscurantiste selon les critères de l’Occident, mais qui assuraient une « paix surveillée », ou alors les « Matamores » de ce même Occident qui lâche prise aux premières difficultés et qui, comme l’Armée rouge hier, va partir de ce pays réputé indomptable, « la queue entre les jambes ? » Oui, pourquoi tous ces morts civils et militaires, afghans ou étrangers pour n’aboutir à …rien ? Oui, pour qui et pour quoi nos bérets rouges sont-ils tombés là-bas, dans d’improbables et meurtrières embuscades ? N’ayons pas la mémoire courte comme le disait un certain Maréchal de France, et n’engageons plus nos troupes dans des opérations lointaines et, bien souvent inutiles, sans plans précis sur le long terme. L’islamisme se combat d’abord ici, au cœur de nos cités.

16:19 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manifestants ! Déclinez votre identité !

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Le billet de Patrick Parment

C’est l’éternelle  litanie : mais qui sont ces foutus manifestants qui descendent dans la rue en plein mois d’août pour s’opposer au passe-sanitaire ? A en croire les médias, un ramassis de beaufs peu diplômés, chômeurs, sympathisants de partis extrêmes comme le RN ou les Insoumis. Bref la France des tarés. On retrouve exactement le même schéma qu’avec les Gilets jaunes auxquels d’ailleurs on les associe. Les Instituts de sondages (où puisent les médias) ont ressorti leurs vieilles archives remises à jour : jeunes à 45% (donc fatalement irresponsables car ils ne savent pas de quoi ils parlent) issus évidemment des classes populaires (on n’y voit pas en effet les rejetons de Bernard Arnault, Bolloré, Pinaut, etc.), ouvriers à 40%, chômeurs assurément à 47% donc peu diplômés (dans une France où les surdiplômés ne trouvent pas de boulot !) et évidemment membres du RN et des Insoumis. A cela, on ajoute une pincée de Gilets jaunes, et le tour est joué.

Mais ce n’est pas tout. Dans tout ce ramassis de tarés 94% voient un danger dans un vaccin « sur lequel on manque de recul » ; 88% jugent que le passe sanitaire « est une atteinte aux libertés et 89% qu’il y a d’autres moyens de lutter contre le covid 19 que la vaccination ». Et cerise sur le gâteau, la conclusion qui tue et rassure Macron, 57% des Français soutiennent le passe sanitaire. Donc, malgré tout, 43% de la population est contre. En démocratie, si d’aventure nous le sommes encore, voici qui demande réflexion. Car la plupart des manifestants interrogés – ceux qui sont interrogés par les téloches – clament haut et fort qu’ils ne sont pas contre la vaccination, ils sont contre le passe sanitaire. Hier, le pouvoir a marginalisé le Front national, Macron a ignoré les Gilets jaunes et aujourd’hui, de nouveau le peuple est dans la rue.

Alors oui, qui sont-ils ? Tout simplement une large frange du peuple français qui en a ras-le-bol qu’on le prenne pour une truffe, ras-le-bol de cet autoritarisme « démocratique » qui n’ose pas dire son nom. Bref, cette France non représentée comme l’était le Front national ! Sauf qu’ici les manifestants n’ont rien à voir avec les politiques. Ici c’est bel et bien la classe moyenne qui défile. Celle que tous les gouvernements pressurent au nom du libéralisme et de l’intérêt des actionnaires des entreprises du CAC 40.

09:43 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |