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samedi, 30 août 2025

ÇA VA SANS DIRE, MAIS ÇA VA MIEUX EN LE DISANT...

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Un candidat de Reconquête ! à l'élection partielle de Paris

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Un communiqué de Éric Zemmour :
 
Dans la deuxième circonscription de Paris, les Parisiens pourront bel et bien voter pour un candidat de droite.
 
J’ai décidé d’investir Hilaire Bouyé, président de Génération Zemmour, pour les législatives partielle du 21 et 28 septembre.
 
Face à LR, alliés de la macronie, et la gauche, il incarnera les idées de Reconquête, celles d’une droite soucieuse de notre liberté économique et de notre sécurité.
 
Hilaire, tu peux compter sur tout Reconquête !
 
NDLR SN : après l'annonce de la candidature d'Alexandre Simonot du Parti de la France cliquez ici, cela fera donc deux candidats de la droite nationale et identitaire à cette élection. Ajoutez à cela une probable candidature mariniste... Le côté négatif, c'est la division, et le côté positif, c'est que cela permet peut-être de ratisser plus large. On se console comme on peut....

13:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vénissieux, de la Marche des Beurs à l’exaltation d’une terroriste FLN

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Le Nouveau Présent cliquez ici

Du 12 au 14 septembre, la Fête de L’Huma n’accueillera pas seulement une kyrielle d’artistes ou supposés tels comme le célèbre rappeur martiniquais Kalash (tout un programme), maintes fois condamné pour rébellion et outrages à des agents de la force publique ainsi que détention d’armes, mais aussi, trois jours durant, des colloques sur ou plutôt contre l’extrême droite. Seul danger menaçant comme on sait la paix et la cohésion nationales.

En apéritif à ces festivités, la mairie communiste de Vénissieux a cru bon d’inaugurer le 26 août aux Minguettes un équipement pluridisciplinaire au nom d’Annie Steiner. Qui est cette dame ? « Un symbole positif, parfaitement légitime, et courageux. Bien qu’elle fût d’origine européenne, Annie Steiner avait constaté la misère du pays et des Algériens, ceux qu’on appelait les musulmans » et avait tenté de son mieux de les aider, estime Gilles Manceron, historien spécialiste de l’idéologie coloniale française, ancien rédacteur en chef de la revue de la Ligue des droits de l’homme. Les aider non pas en organisant des soupes populaires et des cours du soir, comme une vulgaire dame patronnesse, mais en participant activement aux terribles attentats à la bombe multipliés dans les années 1956-57 par le FLN dans les stades, les autobus ou les cafés algérois. Attentats où périrent des dizaines de civils, qui firent des centaines de blessés et d’amputés et conduisirent l’armée à mener sa « bataille d’Alger ». Et la justice à condamner Mme Steiner — elle-même native d’Alger, donc renégate — pour sa participation à l’organisation de certains de ces attentats à la bombe.

L’hommage rendu à une criminelle patentée a fait tiquer la préfecture du Rhône qui a déploré le « choix extrêmement contestable de valoriser le nom d’une Française militante du Front de Libération Nationale, complice, à l’époque, de la lutte armée », choix « de nature à diviser nos concitoyens »et qui,au surplus, « va à l’encontre de l’esprit qui a guidé à la création de ce nouvel outil de cohésion sociale et d’échange intergénérationnel qu’est équipement pluridisciplinaire au service des habitants de Vénissieux ».

Il reste toutefois bien peu de « nos concitoyens » à Vénissieux, troisième ville la plus peuplée du Rhône, et notamment dans le quartier des Minguettes d’où s’ébranla le 15 octobre 1983 la tant célébrée Marche pour l’égalité et contre le racisme, dite Marche des Beurs, s’achevant le 3 décembre à Paris par un défilé qui réunit plus de 100 000 personnes et à l’issue duquel une délégation fut reçue à l’Élysée par le président de la République en personne. François Mitterrand promit alors à ses invités l’instauration de cartes de séjour et de travail valables pour dix ans, l’aggravation de la loi contre les crimes racistes (ces deux engagements furent tenus) et un projet sur le vote des étrangers aux élections locales.

Mais comment le Parti communiste peut-il encore se prétendre « français » ?

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Noir c’est noir

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Yves Thréard

C’est un indice qui en dit long sur l’inquiétude des Français : jamais le niveau d’épargne n’a été aussi élevé depuis le début des années 1980 - hors crise sanitaire, bien sûr. L’exaspération monte alors que les premiers ministres se suivent et que le pays plonge toujours un peu plus dans l’inconnu. Profonde, la crise est générale, politique, économique et sociale. Le fond de l’air est protestataire avec des cris de colère qui proviennent de partout et partent dans tous les sens : les Gueux, Bloquons tout le 10 septembre, Nicolas qui paie, appel à la grève des syndicats le 18 septembre... Nul ne sait comment cela va finir. Noir, c’est noir...

L’absurde dissolution du 9 juin 2024 a coupé les jambes de la France, telle l’annonce d’une terrible catastrophe. Mais après la chute de Michel Barnier, nommé non sans mal à Matignon, celle de François Bayrou, impopulaire d’entrée de jeu, n’est que le dernier avatar d’une longue dégringolade que les Français ont de plus en plus de mal à supporter. Le malaise ne fait que grandir devant l’impuissance de leurs dirigeants à régler leurs problèmes. Même si les dernières législatives ont enregistré une honorable participation, la progression de l’abstention traduit une lassitude certaine d’année en année. Une fatigue démocratique a gagné le pays. Sécurité, immigration, éducation, santé, fiscalité, bureaucratie... À force de promesses non tenues, d’incapacité à décider et de paroles en l’air sur tous les fronts, la défiance et le rejet se sont amplifiés. Comment peut-il en être autrement ? En 2007, dix-huit ans avant François Bayrou à Matignon, François Fillon annonçait déjà qu’il était à la tête d’un « État en faillite ». Qu’a fait le personnel politique entre-temps ?

Les gouvernements successifs semblent paralysés face à l’urgence du rétablissement des finances publiques. Il faut toutefois rappeler que nombre de décisions prises au début des années 1980 - on y revient ! - ont précipité notre pays dans un cycle infernal. À commencer par l’abaissement de l’âge de la retraite de 65 à 60 ans par François Mitterrand en 1982. Qui saura inverser la mécanique du déclin ?

Source : Le Figaro 30/08/2025

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Samedi 6 septembre, à La Roche-sur-Yon : rassemblement des Patriotes

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Un communiqué des Patriotes de Vendée :
 
Samedi 6 septembre 2025, rassemblements en Vendée pour six exigences : retrait du plan Bayrou, motion de censure, Macron dehors, FREXIT, Paix, Non à la vaccination obligatoire.
 
La Roche sur Yon, 14 h, place Napoléon au kiosque.

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Reconquête sort un guide pour lutter contre les influences woke à l’école

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Yves-Marie Sévilla, Boulevard Voltaire, cliquez ici

Dimanche 31 aout, Reconquête tient son université d’été. La création d’un petit guide pour alerter les parents face l’endoctrinement woke à l’école, et les aider à s’y opposer, va être annoncé.

À Orange, dans le Vaucluse, Éric Zemmour et Sarah Knafo s’apprêtent à faire leur rentrée politique. Traditionnellement, chaque parti profite de la fin de l’été pour réunir sympathisants et militants dans une ambiance festive et conviviale avant d’affronter la reprise des travaux et de l’actualité parlementaire. La France insoumise tenait ses universités la semaine dernière, l’UDR et le PS se réunissent aussi ce week-end alors que LR, RN et Renaissance tiendront leurs universités en septembre.

Pour cette rentrée politique de la formation souverainiste qui fêtera bientôt ses quatre années d'existence, plusieurs personnalités interviendront lors d’entretiens, de tables rondes et de discours. Sont attendus, parmi d'autres, l’ancien député-maire d’Orange Jacques Bompard, Jean Messiah, le directeur du média Frontières Erik Tegnér ou encore François Bousquet, auteur du Racisme anti-Blanc. L’enquête interdite, paru au printemps dernier. Les discours d’Éric Zemmour et Sarah Knafo clôtureront un rassemblement lors duquel sera annoncé la création d’un fascicule à destination des parents pour lutter contre l’idéologie woke à l’école.

Lutter contre « les influences woke » et « l'endoctrinement idéologique »

Dans un document que Boulevard Voltaire a pu consulter, intitulé « Éducation à la sexualité : comment protéger mon enfant ? », Reconquête offre un petit guide qui développe son concept de « Parents vigilants » face à « une évolution préoccupante des contenus transmis [aux] enfants à l’école ». « Rappelons une vérité essentielle : l’éducation des enfants revient avant tout aux parents. » Dans un propos introductif, Éric Zemmour y dénonce les « influences woke » et « l’endoctrinement idéologique » de certaines « associations militantes » qui interviennent directement auprès des élèves. Et l’ancien candidat à la présidentielle prévient : en cette rentrée 2025, cela s’accélère, dès la maternelle, avec du nouveau dans les programmes dits « d’éducation à la sexualité ».

« Notre démarche répond à une attente des parents dont l’inquiétude est grande. » Auprès de Boulevard Voltaire, Séverine Duminy, coordonnatrice des Parents vigilants, rappelle que « l’école est là pour instruire et non éduquer ». Le réseau créé en septembre 2022 par Reconquête connaît un vrai succès et compte, désormais, 75.000 parents mobilisés. « Ce qui touche à la sphère intime et affective des enfants relève des parents », insiste celle qui est elle-même mère de famille et qui dénonce le contenu du nouveau programme de l’Éducation nationale « orienté woke avec une présentation des problématiques LGBT sous un jour victimaire et militant ».

Une procédure et des conseils à la disposition des parents

Concrètement, à partir de la rentrée de septembre, tous les élèves participeront de manière obligatoire à trois séances de deux heures par an : d’éducation à la vie affective et relationnelle (EVAR) pour les élèves de maternelle et primaire, et d’éducation à la vie affective et relationnelle et à la sexualité (EVARS) pour les élèves de collège et lycée. Sur la page du site de l’Éducation nationale expliquant le principe de ce programme, on peut, par exemple, lire dans les objectifs de celui-ci : « lutter contre les discriminations : sensibiliser aux stéréotypes, notamment de genre, et promouvoir l’égalité et le respect entre les sexes ». La couleur est annoncée.

Séverine Duminy reproche à l'État de laisser des associations militantes dispenser des enseignements que ces dernières décident seules, alors qu'ils ne sont « ni objectifs, ni scientifiques et qu'ils présentent les choses avec un biais idéologique ». Rappelons, par exemple, que la ville de Strasbourg tentait une expérimentation, l’année dernière, durant laquelle 125 écoliers étaient équipés de gilets connectés pour analyser leurs mouvements en cours de récréation. L’étude a montré que 80 % de l’espace est occupé par 20 % des élèves, essentiellement des garçons lorsqu’ils jouent au ballon. Ce qui est une occupation discriminante de l’espace, signe d’inégalité des sexes. Nous en sommes là. « C’est ahurissant », réagit Séverine Duminy, qui constate « une volonté de diviser et opposer les sexes »dès la maternelle. « Par ailleurs, chez nos voisins italiens, les parents peuvent refuser que leurs enfants assistent à ces enseignements », ajoute-t-elle. Dans son guide, qui sera mis en ligne dimanche, Parents vigilants appelle les Français à se mobiliser en donnant la procédure et les conseils à suivre pour combattre efficacement « l’endoctrinement des enfants qui se dissimule derrière [les] cours d’éducation à la sexualité ».

Alors que la rentrée politique s’annonce brûlante, avec le ballottage très défavorable du gouvernement de François Bayrou, Reconquête mise aussi et plus que jamais sur le combat culturel et éducatif.

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Journal du chaos

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Angleterre, Royaume-Uni : vers le début d’une révolution populaire ?

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Breizh-Info cliquez ici

Depuis plusieurs semaines, les rues anglaises se parent de drapeaux rouges et blancs de saint Georges, aux côtés de l’Union Jack. Ce n’est plus seulement lors des matchs de football ou des commémorations royales : des habitants les accrochent désormais aux lampadaires, aux balcons, ou les peignent sur les ronds-points. Derrière ce geste en apparence banal se cache une contestation profonde : celle d’un peuple qui se demande encore qui il est et ce qu’il veut devenir.

Le drapeau comme symbole de révolte

Autrefois, brandir le drapeau national signifiait loyauté et stabilité. Aujourd’hui, il est devenu l’étendard du mécontentement. Lorsque des municipalités retirent ces emblèmes au motif qu’ils seraient « dangereux » pour la circulation, elles ne font que renforcer l’impression d’un divorce entre la base et les élites. Comme l’avait déjà pressenti l’écrivain GK Chesterton au début du XXᵉ siècle : « Le peuple anglais n’a pas encore parlé. »

Les drapeaux britanniques, longtemps utilisés sans excès ni passion, sont désormais les marqueurs d’une identité menacée, que beaucoup refusent de voir disparaître dans l’indifférence des gouvernants.

L’Angleterre, une nation forgée dans les crises

L’histoire anglaise est traversée de bouleversements qui ont façonné son identité. De la conquête normande à la Réforme, des guerres civiles du XVIIᵉ siècle à la révolution industrielle, chaque génération a cru voir son monde s’effondrer. Pourtant, à chaque fois, une nouvelle Angleterre est sortie des ruines : plus riche, plus puissante, plus moderne.

Mais aujourd’hui, la situation paraît différente. Le pays fait face à une triple crise : démographique, avec une immigration massive qui bouscule les équilibres culturels ; économique, avec une stagnation durable et la désindustrialisation des régions entières ; identitaire, enfin, avec une élite politique et médiatique qui, loin de défendre la nation, semble vouloir déconstruire son histoire et ses traditions.

Jadis, qu’ils soient rois, nobles ou députés, les dirigeants britanniques avaient au moins en commun de chercher à servir l’intérêt de la nation, selon leur conception. Aujourd’hui, une partie des élites s’affiche fièrement « cosmopolite », prône un monde sans frontières, se dit honteuse du passé impérial et pratique une politique de la repentance permanente.

Dans les écoles et les universités, l’histoire nationale est régulièrement attaquée, dévalorisée, quand elle n’est pas réécrite au prisme du colonialisme ou de la culpabilité. Résultat : une jeunesse désorientée, qu’on pousse à se sentir étrangère dans son propre pays.

La multiplication des drapeaux, les manifestations autour de l’identité anglaise, mais aussi la montée en puissance de mouvements comme Reform UK de Nigel Farage, traduisent un phénomène plus large : une rébellion contre l’élite dirigeante.

Ce réveil ne prend pas la forme d’une révolution violente, mais il pourrait bien déboucher sur un basculement politique majeur, comparable aux grandes secousses du passé : la réforme électorale de 1832, le suffrage féminin, la victoire travailliste de 1945 ou encore l’ère Thatcher.

Les signes ne trompent pas : les mères de famille s’inquiètent pour l’avenir de leurs enfants, des quartiers entiers refusent l’arrivée de nouveaux centres pour migrants, et les électeurs, lassés des promesses creuses, cherchent une alternative qui redonnerait sens à leur appartenance nationale.

Quel avenir pour l’Angleterre ?

La question est désormais posée : qu’est-ce qu’être anglais aujourd’hui ? Est-ce une question d’ascendance, de culture, de valeurs, ou simplement de loyauté à une nation commune ? L’Angleterre a toujours absorbé des influences étrangères – françaises, italiennes, indiennes – tout en restant elle-même. Mais l’immigration de masse, combinée au refus d’intégrer et à la haine de soi encouragée par une partie des élites, menace cet équilibre fragile.

Sans un sursaut, l’Angleterre pourrait bien connaître non pas une renaissance, mais une lente dissolution de son identité. À l’inverse, si ce réveil patriotique s’organise, il pourrait marquer le début d’une nouvelle ère, où l’attachement au drapeau redeviendrait un ciment national.

00:48 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |