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mercredi, 16 novembre 2011

Les Indignés de la chasse aux fraudeurs...

Philippe Randa 4.jpgLa chronique
de Philippe Randa
 
On vit décidément une époque, sinon étonnante, du moins assurément de droits tous azimuts. “C’est mon droit !” semble désormais être la nouvelle devise de la France, rabâchée à longueur de revendications… “Liberté, Égalité, Fraternité” ou, au choix, “Travail, Famille, Patrie”, ne sont décidément plus d’actualité, sauf peut-être pour quelques nostalgiques.

Dernier droit en date, celui de frauder !

Comment expliquer sinon cette levée de bouclier contre l’annonce par le gouvernement d’une “chasse aux fraudeurs” ? Une telle initiative devrait pourtant faire l’unanimité, quitte à ce que certains émettent, pourquoi pas ! des réserves préventives sur ses modalités, l’interprétation qui sera faite des fraudes, les critères retenus ou encore les cibles concernées.

Mais non ! C’est le principe même de la vérification du bon usage des finances publiques qui est intolérable. Ce principe qui est l’obligation même de tout État attentif à l’équité sociale est brocardé comme une stigmatisation des plus pauvres, des plus démunis, des plus malheureux…

Pourtant, côté fraudeurs, on ne devrait pas s’inquiéter plus que de raison d’une telle annonce : une de plus du quinquennat de Nicolas Sarkozy qui en a fait sa “marque de Présidence” ! Si elle est suivit d’autant d’effets que la plupart de celles émises depuis 2007, les petites combines pour se la couler douce aux frais de la société et arrondir les fins de mois, ont encore de beaux jours devant elles. Surtout en pleine période électorale…

Mais non ! L’opposition de gauche y va de son antienne sur “La Sarkozye” qui, une fois de plus, cherche à plaire aux électeurs du Front national, ce qui laisse à penser que ces derniers sont les seuls citoyens à conserver encore quelque esprit civique… Ce serait bien les seuls à les croire !

De son côté, Arnaud se Broca, Secrétaire général de la Fnath (association des accidentés de la vie), s’insurge dans une tribune publiée dans Libération : “Les malades ne sont pas des fraudeurs !”. Il ressort de son indignation de défense sonnante et trébuchante de “la santé pour des millions de citoyens” qu’il est inadmissible, dans le principe, de vérifier la réalité de leur mauvaise santé : “La chasse aux arrêts de travail – car il n’y a plus d’autres mots et il est du reste employé sans complexe aujourd’hui – est bien ouverte ; elle est même devenue une véritable obsession de l’action publiques.
 
Un simple contrôle du “cochon de payeur” est ainsi considéré ni plus ni moins comme une sorte de “crime contre la dignité humaine.”
 
On n’a pourtant pas souvenir que quiconque, à part les intéressés, se soit jamais élevé contre les contrôles fiscaux. Tout dirigeant de société vit en permanence avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête et rare sont ceux qui y ont échappé au cours de leur carrière.
 
Tous leurs bilans annuels sont alors épluchés jusqu’au moindre centime d’euros et ils savent ce qu’il en coûte à la moindre (mauvaise) interprétation de leurs justificatifs de dépense par les sympathiques contrôleurs de Bercy !
 
Mais au moins les gérants de société ne sont-ils pas concernés par les futurs contrôles de leurs arrêts de travail. Eux ont rarement les moyens de s’en octroyer ! Qu’ils soient justifiés ou non !

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mardi, 15 novembre 2011

Chronique de la France asservie et résistante...

P1080470.JPGPar Robert Spieler

publiée dans Rivarol

(n°3021 de 10 novembre 2011)

 

Face au blasphème que représente la pièce de théâtre scatologique de Castellucci, « Sur le concept du visage du fils de Dieu », nous avons assisté avec fierté, que nous soyons catholiques ou pas, à une belle mobilisation de la jeunesse nationaliste et catholique du Renouveau Français et de l’Action française. Une mobilisation suivie par une répression policière et judiciaire à la hauteur de la violence du Système. Des militants matraqués, blessés, mis en garde à vue, interdits de se rencontrer, interdits de fréquenter le Vème arrondissement où se trouve le théâtre… Une jeune fille a, quant à elle, trouvé une parade originale et amusante  pour éviter 24 heures de garde à vue. Elle s’est dressée sur son siège, en poussant des cris stridents : « Hiiii !, une souris ! » Chacun sait que les femmes sont terrorisées par la vue d’une souris. Curieux, mais c’est comme cela. Et pour l’instant, aucune loi mémorielle n’interdit  de pousser des cris hystériques à la vue d’une souris, fût-elle virtuelle…

 

Dieu reconnaîtra les siens…

 

En attendant, examinons sans charité chrétienne les réactions contrites ou indignées de certains oiseaux à ces manifestations. Myriam Picard, de l’association « maçonnique » Riposte laïque, pour reprendre le qualificatif du site contre info, le dit avec émotion dans un billet : « Quant à moi, oui, je l’affirme, cette pièce m’a conduite encore plus au Christ. »

 

L’abbé Grosjean, prêtre réputé « conservateur » du diocèse de Versailles, lui emboîte le pas et déclare : « Je n’y ai pas vu d’intention blasphématoire. J’en suis même sorti bousculé, marqué. » Mgr Vingt-Trois, archevêque de Paris, que d’aucuns surnomment Mgr Trente-Trois pour de supposées connivences avec la Franc-maçonnerie, et qui a la réputation cependant de ne pas être trop hostile aux Traditionnalistes, a déclaré sur Radio Notre-Dame : « Ce qui est significatif, c’est qu’un groupuscule qui se réclame de l’Eglise catholique sans aucun mandat, qui est en fait un groupuscule rattaché au mouvement lefebvriste, fait de la foi un argument de violence. Je pense que l’appartenance (de ces jeunes) à des groupes très politisés et très militants, y compris sur le plan religieux, ne favorise pas leur formation mais au contraire les déforme. » Etonnons-nous, après ces courageux propos, si les églises modernistes sont vides…

 

Mgr Centène, évêque de Vannes sauve cependant l’honneur. Voici un extrait de sa lettre à l’Institut Civitas, dans laquelle il soutient clairement l’action des Résistants : « Je ne peux que soutenir toute action visant à défendre, avec charité et fermeté, l’honneur du Christ et de l’Eglise. Je félicite et j’encourage ceux qui, en cohérence avec leur foi, n’hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n’usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu’ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l’ignominie dépasse l’entendement même. »

 

Au fait, j’allais oublier de citer Christine Boutin qui est, paraît-il, présidente du Parti chrétien-démocrate. Elle estime que cette pièce porte « un message de compassion »,  « loin de la provocation sacrilège ». Et elle ajoute : « Les jeunes qui ont manifesté ont été trompés. On leur a vendu un combat qui n’en était pas un. La christianophobie est un sujet que l’on ne peut ignorer, mais il ne doit pas se régler dans la rue. »

 

Mais lisez ses puissants propos au sujet de l’attentat probablement islamiste contre Charlie Hebdo : « Cet acte manifeste un symptôme de violence. » C’est pas beau, ça ? C’est pas profond ? Rien que pour cette puissante pensée, j’ai décidé de placer Christine Boutin dans ma ménagerie personnelle, aux côtés de Bernard-Henri Lévy et d’Arno Klarsfeld, afin d’observer de près, de très, très près ses émois et de vous informer, heure après heure, de l’évolution de sa pensée.

 

Notre-Dame-de-Paris s’énerve

 

Bertrand Delanoë, que certains, on se demande pourquoi, surnomment « Notre-Dame-de-Paris » y est allée aussi de son indignation : « Depuis une semaine, chaque soir, des militants fanatisés tentent d’empêcher la tenue du spectacle de Romeo Castellucci. Je tiens à exprimer ma consternation et mon inquiétude face à ces faits inacceptables. Nous ne pouvons tolérer au cœur de paris, ville qui promeut à travers le monde les valeurs humanistes de liberté et de démocratie, de telles expressions d’intégrisme et d’intolérance », annonçant que la ville de Paris déposera systématiquement plainte contre toute personne qui tenterait de perturber les représentations.

 

Il est vrai que le Théâtre de la ville, où est présentée cette pièce excrémentielle, est financé très majoritairement par les fonds publics, dont ceux de la mairie de Paris. Cette dernière finance aussi la Gay Pride. Ainsi que le « Fonds social juif unifié » (180.000 euros en 2011). Et n’oublions pas « l’Union des Etudiants Juifs de France » (31.000 euros). Bon, soyons objectifs. Bertrand Delanoë finance aussi des associations musulmanes…

 

DSK victime de ses gènes ?

 

Il s’appelait Léon Bricot.  Professeur de violon, il gérait aussi à Lons-le-Saunier un hôtel qui était aussi une maison close. Un soir de juin 1888, il tire sur un soldat trop turbulent. Jugé pour meurtre, il écope de sept ans de travaux forcés et est envoyé au bagne de l’île Noire, dans le Pacifique, dont il ne reviendra pas. Quel intérêt d’évoquer Léon Bricot ? Et bien, c’était l’arrière-arrière-grand-père de Dominique Strauss-Kahn. Bon sang ne saurait mentir…

 

L’information figure dans le dernier livre du généalogiste Jean-Louis Beaucarnot, « Le Tout-politique », qui évoque aussi Le Pen. Celui-ci  partage avec Borloo un ancêtre breton, Louis Royant, décédé sous Louis XIV. On apprend aussi que Valéry Giscard d’Estaing et François Mitterrand ont des ancêtres communs. Quand à Nadine Morano, la ministre très pétroleuse, son père, Michel Pucelle, qui était chauffeur de poids lourds (aucun rapport), a fait changer son nom de famille en 1976. La pucelle est devenue ainsi Purcelle, avant d’épouser M. Morano.

 

Arno Klarsfeld est génial

 

Les lecteurs de Rivarol savent qu’Arno Klarsfeld, qui fit son service militaire dans les gardes-frontière israéliens, qui se pavana en rollers au procès Papon et qui fut prochissime de Carla Bruni, avait été nommé par Nicolas Sarkozy (pas jaloux, le bougre…) président de l’OFII (Office français pour l’Intégration et l’Immigration). Interrogé quant à la présence de 120 « demandeurs d’asile » qui sont à la rue, rien qu’à Calais, il a cette fulgurance géniale : « J’ai proposé au ministre de l’Intérieur que l’Etat puisse orienter les demandeurs d’asile où il y a de la place, dans l’Yonne ou la Creuse par exemple et pas forcément là où ils font la demande. »

 

C’est ça ! Envoyons les clandestins, les immigrés, les demandeurs d’asile à la campagne. Nos ruraux vont être contents. Pendant ce temps, ils n’assombriront pas la vue d’Arno Klarsfeld, qui, lui habite dans les beaux quartiers. Son propos me rappelle cette phrase de Henry-Bonaventure Monnier, caricaturiste, dramaturge et acteur du 19ème siècle, qui disait : « On devrait construire les villes à la campagne, l’air y est tellement plus pur… »

 

L’islam, première religion pratiquée en France

 

Une étude de l’Ifop démontre l’effondrement de la pratique religieuse dans notre pays. Effondrement qui touche essentiellement, sinon uniquement, le catholicisme. Si 64% des Français continuent de se définir aujourd’hui comme « catholiques », seuls 4,5% déclarent assister à la messe chaque dimanche, ce qui représente trois millions de personnes. D’autres chiffres sont encore plus consternants : 43% des pratiquants en France ne croient plus au « rôle civilisateur » de leur religion, 63% se déclarent d’accord ou plutôt d’accord pour affirmer que « toutes les religions se valent », 75% vont jusqu’à demander à l’Eglise de revoir d’urgence ses positions morales sur le divorce, la contraception et l’avortement. Bref, deux catholiques pratiquants sur trois se rendent une fois par semaine dans ce qu’ils considèrent être une sorte de théâtre mondain. Me Georges-Paul Wagner, avec qui je siégeai à l’Assemblée nationale, les qualifiait de « catholiques de parvis ».

 

En attendant, les millions de musulmans présents sur notre terre croient dur comme fer aux cinq piliers de l’islam et à la supériorité conquérante de leur foi. L’Ifop estime qu’au moins 70% des musulmans de France pratiquent leur religion, ce qui représente de 3,7 à 4 millions de croyants.

 

Conclusion : l’islam est aujourd’hui la première religion de France, si l’on considère le nombre de pratiquants…

 

Du côté des résistants

 

Les abattoirs de Narbonne sont harcelés par de nombreuses associations musulmanes qui exigent l’ouverture de l’établissement le dimanche 6 novembre à l’occasion de l’Aïd el Kebir. Réponse de la directrice : « Pas question d’ouvrir un dimanche, mes employés ont le droit de se reposer et d’aller à la messe… et ce serait pareil, si la date était un samedi ».Bravo ! Cela suscite évidemment la fureur des associations islamiques qui exigent du Préfet la réquisition des abattoirs. Rien de moins…

 

Des cours d’éthique, prônant la tolérance ? « Une matière de pédés »

 

C’est le contenu du programme, relayé par des affiches collées par un parti « issu de l’immigration », à Berlin, la veille des élections municipales de septembre. Ce parti, baptisé BIG, est très proche de l’AKP, le parti islamiste  « modéré » du premier ministre turc Erdogan, qui, selon l’hebdomadaire de gauche Spiegel « tente de gagner les Turcs de l’étranger à sa cause ». Le même Erdogan avait, lors de sa visite, il y a deux ans en Allemagne, exhorté 50.000 Turcs réunis dans un stade, à refuser de s’assimiler. En attendant, le projet de gigantesque mosquée de Cologne a du plomb dans l’aile, bien que les travaux aient commencé. Le projet est colossal : 4500 m2, des salles pouvant accueillir jusque 4000 fidèles, une coupole spectaculaire, deux minarets de 55 mètres de haut, et 20 milliards de coûts. Des tensions sont apparues au sein de l’association qui gère le projet et l’architecte, qui vient d’être viré. Mais, pas de soucis. Un nouveau président de cette puissante association, qui gère 900 mosquées en Allemagne, vient d’être parachuté par Ankara. Il s’agit d’Ali Dere, ancien responsable des relations extérieures du ministère turc des cultes, chargé de choisir les imams appelés à travailler à l’étranger pour le compte de la Turquie.

 

Alors, à quand la Reconquista ?

 

Un quart des Allemands pensent que le national-socialisme avait du bon

 

En septembre, la présentatrice de télévision Eva Herman avait été évincée pour avoir loué le rôle social des femmes sous le régime hitlérien. Voilà que le 18 octobre, un sondage réalisé pour le compte du magazine Stern sème l’effroi. Un quart des Allemands jugent que le régime d’Adolf Hitler a aussi eu des aspects positifs : en matière de construction d’autoroutes, de politique familiale ou de criminalité, par exemple. Ils sont même 37% des plus de 60 ans, qui ont pourtant abominablement souffert de la guerre. Les plus jeunes sont 20% à ne pas condamner en bloc le national-socialisme. Au total, si l’on considère que la génération des 45-59 ans  est plus réservée (15% d’opinions positives), ce sont 25% des Allemands qui voient de bons côtés au nazisme. Chiffre incroyable quand on songe au matraquage que subit depuis 65 ans le peuple allemand.

 

Le Lobby boit la tasse

 

Ca s’est passé au Luxembourg. Une frétillante octogénaire, Marguerite Biermann, s’était autorisée à s’exprimer en direct sur les ondes de Radio Luxembourg, déclarant que les Juifs luxembourgeois se rendaient complices des crimes commis par l’Etat d’Israël, en raison de leur silence et de leur mutisme face à ces crimes. Elle avait également affirmé, lors de la même émission, que si l’Etat d’Israël pouvait se livrer à des actes de barbarie en Palestine, c’était parce que l’Etat d’Israël bénéficiait des relais internationaux de puissants lobbys juifs qui jouent sur la culpabilité des nations, née de la religion de holocauste. Jugement de la Cour d’appel du Luxembourg : acquittée. Outre l’acquittement de Marguerite Biermann, la cour d’appel du Luxembourg a dit, pour droit, que le Consistoire israélite du Luxembourg n’est juridiquement et légalement pas habilité à agir en justice au nom des citoyens juifs luxembourgeois. Aujourd’hui le Luxembourg. Demain la France ?

 

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lundi, 14 novembre 2011

MERCI A TOUS !

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Une fois de plus, la 5e Journée de Synthèse nationale s'est affirmée comme étant le grand rendez-vous automnal des forces nationales, nationalistes et identitaires. Malgré le fait que cette année le 11 novembre tombait un vendredi, c'est-à-dire en pleine fin de semaine prolongée, ce qui pouvait présenter un risque sachant qu’un grand nombre de Parisiens désertent la capitale en de telles occasions, nous avons enregistré plus de 100 entrées supplémentaires par rapport à l’an passé.

 

Je tiens à remercier toutes celles et tout ceux qui ont contribué à la réussite de cette « 5e Synthèse nationale ». Qu’il s’agisse bien sûr des invités qui sont venus prendre la parole tout au long de la journée ; qu’il s’agisse des associations, des mouvements, des éditeurs, des libraires et des journaux qui ont tenu des stands et qui ont annoncé notre réunion ; qu’il s’agisse des militants qui ont préparé, des semaines durant, cet événement ; qu’il s’agisse du service d’ordre de Troisième voie qui a assuré efficacement la sécurité de la réunion : merci à tous ! 

 

Je tiens aussi à remercier la direction de la salle qui, en dépit des menaces et des dégradations (serrures cimentées, vitres brisées, graffitis divers…) a tenu bon et n’a pas cédé aux intimidations de ceux qui voulaient faire annuler la réunion.

 

Merci enfin à notre public généreux qui nous a aidé à couvrir les frais supplémentaires occasionnés par la nécessité de mettre le Forum de Grenelle sous protection pendant presque une semaine. Sans cet élan de solidarité, je dois dire que la trésorerie de la revue se serait trouvée dans un état plus que précaire. Merci à ceux qui continuent, depuis vendredi, à nous envoyer, soit par internet, soit par courrier, des dons pour soutenir notre action. Sans vous tous, rien n’est possible.

 

Alors maintenant, prenons rendez-vous le 11 novembre 2012 pour une nouvelle journée nationale et identitaire, ce sera la 6e. D’ici là, beaucoup de changements politiques risquent de se passer. Ce sera certainement aussi l’occasion pour nous d’envisager une formule encore plus ambitieuse pour ces journées. Nous y réflechissons déjà, nous vous en reparlerons....

 

Roland Hélie

Directeur de

Synthèse nationale

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L’odeur du temps qui passe...

1742740265.jpgLe billet de Patrick Parment

On aurait aimé qu’il se présente, Jean-Louis Borloo, l’homme qui s’est réveillé un matin radical mais pas socialiste. Histoire de semer la pagaille à droite. Cette droite qui n’en est pas une, éclatée dans tous les sens par un ramassis de néants d’Yves Jégo à Borloo en passant par Hervé Morin qui a une tronche à figurer dans une pièce de Feydeau dans le rôle du cocu.

Il ne fallait pas être grand clerc pour savoir que Borloo n’irait pas au bout de son fantasme. Tout comme la rosière Boutin qui sous peu jettera le bébé avec l’eau du bain.

On a suivi, comme beaucoup, l’affaire Strauss-Kahn non pour s’en désoler – on s’en doute – mais pour se marrer franchement. A peine exfiltrer des Etats-Unis que le voici mêler à une nouvelle histoire de cul, un réseau de prostitution sévissant à Lille. Tous les ingrédients sont réunis pour faire un film de genre : des flics, un proxénète – Dodo la saumure ! ça s’invente pas - , un chef d’entreprise du BTP, un homme politique. On imagine combien Audiard se serait régalé. Inutile de vous dire qu’on se fiche complètement que DSK aille aux putes. Il ne serait ni le premier ni le dernier de nos hommes politiques. Non, ce que l’on retient, c’est que Strauss-Kahn est un malade et l’esclave d’une sexualité qu’il ne maîtrise pas. Autrement dit, pas vraiment les qualités requises pour faire un chef d’Etat.  On l’a échappé belle.

On a le sentiment que l’Europe s’enfonce chaque jour un peu plus pour des histoires de dettes, autrement dit de pognon. J’aimerais bien qu’on m’explique comment un pays peu faire faillite. Car, de tout ce que je lis, hormis peut-être la Chine, tous les pays sont endettés. Ce qui veut dire que tous les banquiers véreux se font du fric sur de l’argent virtuel. On est en plein surréalisme. Ce sont les banquiers américains qui ont pourri le système, dont la toujours opérante Goldman Sachs. Et bien figurez-vous que les Européens n’ont rien trouvé de mieux que de mettre à la tête de la Banque centrale européenne, l’Italien Mario Draghi, diplômé du Massachussets Institute et vice-président de Goldman Sachs, que le nouveau Premier ministre grec Loukas Papadimos, lui aussi diplômé du Massachussets Institute est un ancien de Goldman Sachs et que le prochain président du conseil italien, Mario Monti, est un ancien de Yale et membre de la Trilatérale et du Bilderberg group. 

Et avec tout ça vous voulez que les Européens s’en sortent quand le Système met ses hommes à lui à la tête de l’Europe. Autrement dit, ce sont les peuples européens qu’on est en train de faire cocu vu que tous ces tarés vont continuer de nous faire cracher au bassinet. Et après ça vous voudriez qu’on ne soit pas des nationaux-populistes ! Va falloir qu’on explique ça à Montebourg et Mélenchon.

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Le discours prononcé par Carl Lang à la 5e Journée de Synthèse nationale...


 

Source Le nouveau NH cliquez ici 

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Revue de presse : L’avenir du nationalisme fait débat à la synthèse nationale

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Source Préférence nationale cliquez ici

 

Vendredi 11 novembre se déroulait la 5e journée de Synthèse nationale. Il était question cette année de la candidature de Carl Lang à la présidentielle et d’une réflexion sur l’action sociale des nationalistes. De quoi marquer des différences de position entre les militants s’estimant de droite et ceux cherchant une voie plus socialisante.

 

La Synthèse nationale, organisée par la revue du même nom, s’impose comme le carrefour automnal des nationalistes radicaux. L’an dernier, la succession de Jean-Marie Le Pen à la tête du Front national (FN) était dans toutes les têtes. Même celles de responsables politiques, qui, pour bon nombre, ont fait partie du Front à un moment ou un autre de leur parcours, avant de le quitter, déçus par le changement de ligne. De fait, tous avouaient leur préférence pour Bruno Gollnisch. Avec le résultat que l’on sait en janvier dernier.

 

«Traîtres à la patrie française» 

 

Preuve que le Front national est toujours la référence incontournable de l’extrême droite, Carl Lang, candidat de l’Union de la droite nationale (UDN), s’en est violemment pris à son ancien parti et sa présidente, se gardant néanmoins de les nommer. «La France et l’Europe ne sont pas terre d’Islam, a expliqué le président du Parti de la France (PdF), brandissant d’une main sa carte d’identité et de l’autre le Coran. […] Quand j’entends dans ce domaine l’hypocrisie, l’irresponsabilité, le double langage, la démagogie, d’un certain nombre de politiciens français, qui voudraient nous faire croire [que les] valeurs de la République, autour des notions de citoyenneté républicaine, ou de laïcité républicaine, […] allaient nous préserver de la révolution islamique ou de la colonisation islamique, s’ils vous disent cela, Mesdames et Messieurs, ils vous mentent. […] Ceux qui vous font croire que la laïcité et la citoyenneté serraient un bouclier contre l’islamisation de notre société sont des traîtres à la patrie française.»

 

Dans un discours volontairement catastrophiste, le président du Parti de la France a également déclaré que le pays «était au bord de la débâcle». Un avis partagé par le chef de file des courants néo-païens, Pierre Vial qui a annoncé que l’on allait assister à une «série d’explosions en chaînes»Le ton grave, le président de Terre et Peuple a cependant estimé que la voie du succès passerait par un ébranlement du système. «C’est peut-être sur les ruines du monde pourri sur lequel nous sommes que nous pourrons bâtir un monde nouveau», a t-il dit. Revendiquant une lecture «ethno politique», M. Vial a exhorté ses troupes à un combat qui a désormais «une dimension européenne».

 

Ni droite, ni gauche, fasciste

 

Alors que Carl Lang continue de se revendiquer de la vraie droite, la table ronde précédente, consacrée au social, a présenté un discours sensiblement différent. Etaient présents Sébastien Magnificat (CasaPound), Gabriele Adinolfi (fondateur de la Casapound) , Serge Ayoub (Troisième voie), Pasal Cornet (Nation, Belgique) et enfin André Gandillon (Militant).

 

Sébastien Magnificat, de la CasaPound, mouvement italien basé dans un squat romain, a pu ainsi en expliquer la stratégie, qui ressemble étrangement en certains points à ce que l’on peut trouver en France, mais pratiqué par l’extrême gauche. A savoir le squat d’immeubles, des actions pour reloger des familles, l’entraide grâce à des bénévoles sympathisants de la cause, proximité avec le milieu de la culture, de groupes de rock. A une différence près, celui-ci explique que le positionnement politique de son mouvement n’est «ni de droite, ni de gauche, c’est le fascisme». M. Magnificat explique ainsi que la CasaPound (selon lui forte de 2000 militants et compterait 10000 sympathisants) a laissé tomber le folklore et la nostalgie du passé pour se tourner vers «un fascisme du troisième millénaire». Il souhaite, à travers son mouvement, reprendre «ce qui n’a pas été dans le fascisme pour le changer».

 

Solidarisme

 

Une expérience qui intéresse le leader de Troisième voie, Serge Ayoub. Même si celui-ci estime que «le fascisme est une idéologie italienne, pas française» et ne fait donc pas partie «des références» qu’il utilise, mais qu’il dit néanmoins comprendre. Il concède par exemple, «trouver très bien la République sociale italienne». Si l’on attend toujours le programme que Troisième voie souhaite mette en œuvre, M. Ayoub explique que le Front populaire solidariste pratique lui aussi l’entraide et explique avoir sauvé une entreprise du Nord, à Douai, du dépôt de bilan. Politiquement, Serge Ayoub a déclaré devant l’assemblée que le nationalisme était de nature «socialiste». «Si nous sommes des nationalistes, si nous sommes des socialistes, forcément, nous sommes donc évidemment des antilibéraux. Le symbole vivant du libéralisme c’est la droite. Nous ne pouvons plus donc être d’extrême droite, être à l’extrême d’une droite que nous combattons.»

 

Sabotages

 

Les organisateurs de la manifestation ont par ailleurs fait part de menaces reçues au cours de la semaine. A la fin de la journée, Robert Spieler, responsable de la Nouvelle Droite Populaire, a ainsi lu deux mails envoyés par une mystérieuse «Organisation de défense juive», au propriétaire du Forum de Grenelle, où se tenait la réunion. Elle y revendique les «sabotages successifs [des] serrures ainsi que les tags, fait dans la nuit de lundi à mardi et de jeudi à vendredi», entendant protester contre un «congrès […] regroupant la crème des négationnistes et antisémites», assurant qu’il «n’aura pas lieu, quelqu’en soit le prix à payer». Mais en fin de compte, la journée s’est déroulée sans incident. Dans son allocution, Robert Spieler s’est également étonné de l’absence d’Yvan Blot, haut fonctionnaire ayant appartenu par le passé au FN et au MNR. «Étrangement le ministère auquel il appartient a prolongé sa mission à Londres», s’est contenté de commenter le patron de la NDP.

 

Parmi les stands présents cette année, on pouvait compter celui du GUD/Jeunesses nationalistes, de Terre et Peuple, de L’Union de la droite nationale, des journaux Rivarol et Militant, du Front comtois, des Belges de Nation et enfin de Troisième voie qui en plus d’avoir un stand, gérait le bar et la sécurité de cette rencontre. Parmi les invités remarqués, signalons la présence de Pierre Sidos et d’Yvan Benedetti de l’Œuvre française.

 

Julien Licourt et David Doucet

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samedi, 12 novembre 2011

Une fois de plus, malgré toutes les tentatives d'intimidations, la journée annuelle de Synthèse nationale a remporté un immense succès !

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Plus d'un millier de personnes ont participé à la 5ème journée de Synthèse nationale

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Une partie de la rédaction de la revue autour de Roland Hélie : Patrick Gofman, Jean-Claude Rolinat, au micro Lionel Baland, Arnaud Raffard de Brienne et Luc Pécharman.

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La question sociale en Europe était le sujet de la seconde table ronde.  Un animateur de Casa Pound, Serge Ayoub, un responsable de Nation, Robert Spieler, Gabriele Adinolfi, André Gandillon et Roland Hélie.

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale reçoit Carl lang, candidat de l'Union de la Droite Nationale à la présidentielle.

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Les participants à la table ronde sur la question sociale autour de Robert Spieler.

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Gabriele Adinolfi, directeur de la revue Polaris (Rome).

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La foule, enthousiaste, a répondu à l'appel de Synthèse nationale.

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Les stands qui ne désemplissent pas.

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Robert Spieler évoque les nombreuses tentatives d'intimidation visant à faire annuler ce grand rendez-vous des forces nationales unifiées. Nous en reparlerons très bientôt.

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Roland Hélie, Roland Curtet (MNR), Robert Spieler (NDP), Pierre Vial (Terre et peuple) et Jérôme Bourbon (Rivarol) au cours de l'intervention très appréciée de Carl Lang.

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Un public toujours aussi attentif...

02:01 Publié dans 05 - La 5e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 11 novembre 2011

C'EST AUJOURD'HUI : Tous à la 5e Journée de Synthèse nationale à Paris...

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01:30 Publié dans 05 - La 5e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 10 novembre 2011

Mardi prochain : Carl Lang en Lorraine...

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LA NOUVELLE DROITE POPULAIRE LANCE UNE CAMPAGNE CONTRE LE DROIT DE VOTE AUX ETRANGERS !

NON A L’ATTRIBUTION

DU DROIT DE VOTE AUX ETRANGERS !

 

Par tous les moyens, les mondialistes veulent détruire notre in­dépen­dance nationale et notre identité européenne.

 

Afin de transformer la planète en un vaste marché, sans fron­tière et sans différence, dans lequel les humains ne seraient plus que des consommateurs complaisants juste bons à enri­chir les multinationa­les, ils s’attaquent à tout ce qui fait le caractère d’un peuple et d’une nation.

 

Depuis des décennies, le Système encourage ainsi une immi­gration massive vers notre continent européen. Il faut dire que tout le monde espérait profiter de cette immigration. Le patronat pensait trouver là une main d’œuvre docile et facile à exploiter et la gauche une clien­tèle électorale crédule capable de regon­fler ses scores électoraux.

 

Finalement, les seuls perdants dans cette affaire furent les im­migrés déracinés d’une part et, d’autre part, les Français de souche qui sup­portent de plus en plus mal de voir la France ser­vir de réceptacle à toute la misère du monde.

 

Et comme il fallait s’y attendre, l’immigration engendre l’islamisation de notre pays. Les mosquées se multiplient un peu partout, les asso­ciations islamiques prolifèrent, des quartiers entiers tombent sous le joug de la charia et c’est dans ce contexte qu’un certain nombre de politiciens, de la pseudo droite comme de la vraie gauche veulent at­tribuer le droit de vote aux étrangers non-européens.

 

NE LAISSONS PAS L’ISLAMISME TRIOMPHER CHEZ NOUS !

 

La France est une nation de civilisation européenne et elle entend le rester. Notre mode de vie et nos Traditions ne sont pas ceux de l’Islam. L’élection, tant aux scrutins locaux que nationaux, de candi­dats islamistes dans notre pays marquera la fin de notre identité na­tionale et européenne et de notre liberté. Nous devons tout faire pour nous y opposer.

 

La Nouvelle Droite Populaire, mouvement politique nationaliste et identitaire membre de l’Union de la Droite Nationale,  lance un ap­pel à nos compatriotes attachés à leurs racines françaises et euro­péennes pour qu’ils se mobilisent afin de s’opposer à l’attribution du droit de vote aux étrangers non-européens.

 

NOUS NOUS BATTONS POUR DEFENDRE UNE FRANCE FRANçAISE

DANS UNE EUROPE EUROPENNE !

 

SOUTENEZ LA CAMPAGNE DE LA

NOUVELLE DROITE POPULAIRE

CONTRE LE DROIT DE VOTE AUX

ETRANGERS NON-EUROPEENS !

 

Imprimez et diffusez ce tract cliquez ici

00:04 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 09 novembre 2011

Un nouvel auto-collant proposé par la Nouvelle Droite Populaire :

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La NDP vient de publier un nouvel autocollant.

Vous pouvez vous le procurer, pour le commander : cliquez ici

23:45 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Descaves invité au Libre journal du Parti de la France...

23:14 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Troisième voie sur France culture...

23:08 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ils seront présents à la 5e Journée de Synthèse nationale vendredi prochain à Paris...

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19:01 Publié dans 05 - La 5e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Crise : le salut par le peuple...

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Le billet de Patrick Parment

Une fois de plus le gouvernement va demander aux Français de se serrer la ceinture alors qu’ils ne sont jamais que victimes des erreurs successives de leurs gouvernants de gauche, hier encore, comme de droite, aujourd’hui.

Et, pour résumer rapidement notre pensée nous dirons que de Nicolas Sarkozy en François Hollande, c’est « blanc bonnet et bonnet blanc » ! Personne n’est dupe. Face à une crise qui nécessite des mesures radicales, on eût aimé que la droite et la gauche marquent une trêve des confiseurs et s’attellent à une sorte d’audit de la dépense publique qui, en trente ans, a littéralement explosé à l’image des flux migratoires.

Bien évidemment et comme chacun a pu s’en apercevoir, la crise n’est pas uniquement française mais européenne et elle repose entièrement sur les énormes déficits de l’économie américaine qui a littéralement plombé la finance mondiale. C’est ainsi qu’avec plus de 3 000 milliards de dollars de dettes dus au reste du monde, l’Amérique en est désormais son principal débiteur.

Qu’il faille sortir d’un tel système est une évidence dont ne semblent guère convaincus nos principaux ténors européens.

On se souvient que le premier à avoir tiré la sonnette d’alarme est Maurice Allais, notre regretté prix Nobel d’économie. Le cercle de nos économistes distingués, inspecteurs des finances en tête, à la Daniel Cohen qu’on voit sur tous les plateaux de télé, est resté muet.

Au risque de nous répéter (nous l’avons souvent écrit), la crise remonte à la chute du mur de Berlin en 1989. Ce jour-là, l’ennemi principal du libéralisme disparaissait. Du même coup – je résume – le capitalisme qui était jusqu’alors entrepreneurial a lentement basculé dans la finance et la spéculation.

Ce n’est pas un hasard si la crise s’est déclarée aux Etats-Unis sous l’effet de la dette privée qui a entraîné un effondrement de la demande. Puis est venue s’ajouter la dette publique qui a rapidement gagné l’ensemble des pays occidentaux. On ne citera qu’un seul chiffre : pour la seule zone euro, au premier trimestre 2011 elle était de 1 681,2 milliards €, soit 84,5% du PIB

Deuxième étage de la fusée crise : le sauvetage des banques privées qui n’a fait qu’aggraver  les dettes publiques. « Les banques, écrit Alain de Benoist (1), ont forcé les pouvoirs publics à les secourir en faisant valoir la place névralgique qu’elles occupent dans la structure générale du système capitaliste (…) Les Etats, pris en otages, ont dû emprunter à leur tour sur les marchés ce qui a accru leur dette dans des proportions insupportables. » Mais, note toujours Alain de Benoist, « la cause la plus lointaine réside dans la politique de dérégulation et les réformes fiscales (réduction des impôts sur les bénéfices payés par les sociétés privées, en particulier les plus grosses entreprises, cadeaux fiscaux faits aux plus riches) adoptées bien avant 2008, depuis l’époque Reagan et Thatcher », ce qui correspond aussi aux années Mitterrand.

Et, c’est ainsi qu’une grande partie de l’économie productive a dérivé vers l’économie spéculative ce qui a entraîné aussitôt la multiplication des délocalisations, la désindustrialisation, la baisse des salaires, la précarité de l’emploi, la hausse du chômage et la fuite des capitaux.

Autre effet collatéral de la crise, la collusion de la finance avec le monde du crime. Comme l’écrit le criminologue Xavier Raufer (2) : « Du fait de la dérégulation mondiale, puis de la crise, l’économie illicite (grise ou noire) qui vers 1980 constituait quelque 7% du produit brut mondial en représentait, en 2009, sans doute 15% (soit l’équivalent du PNB de l’Australie). »

Par ailleurs, et on l’a bien oublié, Alain de Benoist  nous rappelle fort opportunément que l’on doit à Valéry Giscard d’Estaing une réforme des statuts de la Banque de France, qui en dit long sur ses compétences et son intelligence politiques : l’interdiction faite à la Banque de France d’accorder des prêts – sans intérêt évidemment – à l’Etat, celui-ci devant emprunter sur les marchés financiers aux taux d’intérêt que ceux-ci jugent adéquats. Cette mesure a été généralisée par le traité de Maastricht.

Notre décadence a été préparée de loin par tous ces irresponsables surdiplômés qui passent leur temps à nous donner des leçons. Ni un Mitterrand, berluré par un Jacques Attali et Laurent Fabius - chargé de remettre le capitalisme financier sur ses rails – ni un Chirac, incapable notoire et félon ou  l’austère Lionel Jospin ne chercheront à enrailler un processus qui nous mène tout droit à la ruine.

Les mesures prises par François Fillon via Nicolas Sarkozy n’apporteront pas de solutions à la crise, pas plus que l’apparent sauvetage de la Grèce n’empêchera, à terme, des pays comme la France, l’Italie ou l’Espagne de plonger à leur tour.

L’heure n’est pas aux incantations mélenchono-hollandaises. Il faudrait une réelle volonté politique – et du courage – pour prendre quelques mesures d’urgence comme la nationalisation des banques. Mais, ni Nicolas Sarkozy et encore moins François Hollande, n’ont de réelle vue du monde et la volonté d’agir sur lui. Toutes les mesures qu’ils seront amenés à prendre ne feront qu’exaspérer les classes populaires. Et c’est plus sûrement de leurs réactions que viendra la réponse à nos maux.

Note

(1)   Voir le dernier numéro d’Eléments, n° 141, consacré à l’Agonie de l’Europe.

(2)   Xavier Raufer, dernier ouvrage paru, La finance pousse au crime, Ed. Choiseul.

18:33 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dès jeudi, retrouvez Rivarol chez votre marchand de journaux...

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Rivarol sera aussi en vente vendredi 11 novembre à la 5e Journée de Synthèse nationale à Paris.

18:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Charte de l'Union de la Droite Nationale :

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L'Union tient à affirmer sa volonté d'incarner le grand mouvement populaire de redressement national dont la France a besoin, en particulier en vue des échéances électorales à venir. Un mouvement ancré dans la fidélité à ses valeurs et à ses principes fondamentaux partagés par un nombre croissant de nos compatriotes. Mais aussi un mouvement conscient des réalités du XXIème siècle, ancré dans les traditions et tourné vers la modernité et l’avenir.

L'Union s'organise sous la forme d'une confédération regroupant les mouvements, cercles, publications, associations et personnalités nationales qui adhèrent à la charte ci-dessous. Chaque composante de l'Union conserve, son identité et sa liberté.

1-      Rupture avec le mondialisme, mise en place d’un système de régulation commerciale et financière et de protection économique aux frontières de l’Europe afin d’organiser la ré-industrialisation de la France et la reconquête du marché européen. Affirmation des principes économiques de préférence régionale, nationale et européenne et d’autonomie dans les domaines stratégiques.

2-      Défense du monde paysan, de la ruralité, de notre patrimoine naturel et de notre environnement.

3-      Organisation du retour au pays des populations déracinées et refus de la colonisation migratoire de peuplement ainsi que du communautarisme, destructeurs de l’identité et de l’unité nationale.

4-      Application de l’exclusivité nationale en matière de prestations sociales et familiales et de la préférence nationale et européenne pour le droit au travail et le logement.

5-       Affirmation du principe d’acquisition de la nationalité par la filiation et suppression du droit du sol et de la double nationalité pour les non-européens. Déchéance de la nationalité pour les criminels d’origine étrangère et expulsion à l’issue de leurs peines.

6-      Maintien des libertés individuelles de conscience et de religion mais refus de l'islamisation de notre société et rejet de la charia comme principe de vie collective.

7-      Rétablissement de la sécurité des biens et des personnes, de la justice et de l'ordre sur l'ensemble du territoire national.

8-      Renforcement des moyens de l'armée au service de la sécurité intérieure et extérieure et mise en place d’un service civique sous la forme d’une garde nationale.

9-      Réforme des institutions et des politiques européennes au profit d’une Europe indépendante et puissante composée de nations souveraines et de peuples libres, fidèle à ses racines helléniques, latines et chrétiennes. Promotion de l’histoire de France, de la civilisation européenne et refus de toute repentance

10-   Rétablissement des valeurs familiales et des principes fondateurs de notre civilisation, en particulier à l’école et dans le cadre de notre politique culturelle. Mise en place d’une grande politique familiale et nataliste.

11-   Rétablissement de la libre communication des pensées et des opinions. Abolition des lois liberticides et anti-françaises.

12-   Rendre la parole au peuple français par l’instauration effective de la démocratie directe: Inscription dans la Constitution du référendum d'initiative populaire et du référendum véto à tous les niveaux de décision (de la commune à l’Etat). Instauration du scrutin proportionnel intégral pour toutes les élections.

Paris, le 8 Novembre 2011

Imprimez la Charte de l'UDN cliquez ici

10:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les objectifs de l'Union de la Droite Nationale

Photo 036.jpgPar Robert Spieler

Délégué général de la NDP

 

Le constat 

 

La Droite nationale est aujourd’hui en pleine confusion. Le Front national mariniste qui prétend l’incarner s’est laissé aller aux dérives du politiquement correct. Qu’il s’agisse de l’islam (JMLP qui se prononce en faveur d’une grande mosquée à Marseille), de la laïcité ou des valeurs, le FN a rompu, par désir effréné de respectabilité, par souci extravagant de plaire aux médias et aux adversaires, avec les fondamentaux du camp nationaliste et identitaire.

 

L’hostilité rabique à l’encontre de l’idée européenne, même si bien sûr cette Europe là, cette Europe des nains de Bruxelles, ne nous convient pas ; l’acceptation de considérer les immigrés comme des branches de l’arbre France, alors que nous sommes face à une invasion plus dangereuse que celle que nous ayons jamais connue ; Des dizaines, des centaines, des milliers de cadres, de militants de valeur sont partis au fil des années. Ecœurés de devoir se contenter de nourrir une boutique familiale, alors qu’ils espéraient participer au redressement de la France.

 

Non, décidément, Le Front national et Marine Le Pen ne représentent plus nos idées.

 

Quant à Sarkozy, quant à l’UMP, ils portent, eux et leurs ancêtres politiques, une lourde responsabilité dans la décadence que vit la France, autant que leurs frères jumeaux socialistes.

 

Nous sommes face au Système, de gauche ou de droite, qui a mené la France aux bords de l’abîme, et ce système, nous le combattrons de toutes nos forces.

 

Le camp national, nationaliste et identitaire était, hier, divisé en multiples chapelles qui se combattaient. Il est temps de rassembler toutes les énergies autour d’un objectif, la décolonisation de la France et sa libération, en partenariat avec les mouvements frères de la résistance européenne.

 

Le rassemblement

 

Plusieurs mouvements, associations et revues de la droite nationale, nationaliste et identitaire ont décidé de se fédérer sous le sigle Union de la Droite Nationale. Cette confédération fonctionnera sur le modèle de ce que fut l’UDF. Chaque organisation ou revue conservera une entière indépendance, la seule contrainte étant une adhésion totale à la défense intransigeante de l’identité nationale et européenne,  dans le respect des identités régionales.

 

Jamais nous n’accepterons la colonisation de notre terre : Que cette colonisation soit ethnique, militaire ou économique.

 

Le Parti de la France, présidé par Carl Lang ; le Mouvement National Républicain fondé par Bruno Mégret et dont la porte-parole est Annick Martin ; la Nouvelle Droite Populaire, dont le délégué général est Robert Spieler, ancien député ; Synthèse nationale dont le directeur est Roland Hélie (qui a réuni près d'un millier de partisans l’an dernier, le 11 novembre), ont décidé de fédérer leur détermination, leur énergie. Nous pouvons compter sur le soutien de nombreuses associations et revues telle Rivarol, Militant... et nous rappellerons que le 8 mai de chaque année, près de 1 000 nationalistes défilent, à Paris, pour Jeanne d’Arc et la résistance nationaliste. Nous exigeons une condition absolue pour ceux qui nous rejoignent, une condition sine qua non que nous nous appliquons : un respect total de nos différences de sensibilités. La seule exigence étant la défense intransigeante de nos identités. Nos différences de sensibilités se situent sur des thématiques telle l’Europe (certains, tels la NDP sont de sensibilité plus européenne), d’autres tel le PDF, plus nationaliste, ou sur la place de la morale par rapport au politique (la NDP refuse le primat de la morale sur le politique). Le MNR, quant à lui a une vision particulièrement aiguisée sur les questions économiques.

 

Bref, nous sommes différents mais avons décidé de nous rassembler. Car ce qui nous unit est plus fort que ce qui nous divise.

 

Nous entendons aussi abandonner le fonctionnement ultra centralisé que pratique le Front national. Le Führerprinzip doit être jeté aux orties de l’Histoire pour être remplacé par une direction collégiale où le respect l’emporte sur l’invective.

 

Notre force se situe dans notre capacité de fédérer. Plusieurs organisations, revues, groupes, personnes, qui nous suivent ou manifestent leur sympathie ne feront pas officiellement parti de notre galaxie. Mais ils nous accompagneront dans notre combat.

 

Les objectifs

 

L’Union de la Droite Nationale soutiendra, bien sûr, la candidature de Carl Lang à l’élection présidentielle. Notre objectif est aussi de présenter 200 candidats aux élections législatives qui suivent. Nous serons présents lors des échéances électorales futures. Notre objectif est de constituer une alternative nationaliste et identitaire au Système, qu’il soit incarné par l’UMP, le PS ou le Front national.

10:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’UNION DE LA DROITE NATIONALE EST NÉE

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De gauche à droite : Hubert Savon (MNR), Carl Lang (PdF), Roland Hélie (Synthèse nationale), Robert Spieler (NDP). Photo D.R.

Pour eux, le Front national est devenu un parti du système au même titre que l’UMP ou le PS. Eux ce sont les déçus de ce qu’ils appellent désormais le Front familial en référence au passage de témoin entre Jean-Marie Le Pen et sa fille Marine. Pas question pour Carl Lang (PdF), Robert Spieler (NDP), Annick Martin (MNR), Roland Hélie président de Synthèse Nationale, de laisser à Marine Le Pen le monopole du combat national.

Union de la Droite Nationale ou UDN tel est le nom adopté par ces divers mouvements et associations qui s’opposent à la nouvelle orientation politique prise par le Front national sous la direction de Marine Le Pen.

Dans le "bulletin de naissance" distribué aux journalistes présents mardi matin dans un hôtel parisien les responsables de ces petits partis détaillent les raisons qui les ont amenés à se fédérer pour participer aux prochaines échéances électorales, présidentielle d’abord et législatives ensuite.

Parmi les griefs retenus contre la nouvelle direction du FN : l’abandon des "fondamentaux du camp nationaliste et identitaire" pour complaire au "politiquement correct" et de citer l’ambiguïté du FN sur l’islam (Jean-Marie Le Pen qui se prononce en faveur d’une grande mosquée à Marseille) et le discours résolument laïciste de sa fille ou bien encore l’acceptation du parti à considérer les immigrés comme "des branches de l’arbre France".

Les membres signataires de la charte de l’UDN se fixent comme objectif de lutter pour "la décolonisation de la France et de l’Europe"," la défense intransigeante de l’identité nationale et européenne, dans le respect des identités régionales".

C’est l’ancien secrétaire général du FN et aujourd’hui président du Parti de la France, Carl Lang qui sera le candidat de l’UDN à l’élection présidentielle de 2012. L’Union de la Droite Nationale prévoit également de présenter 200 candidats aux élections législatives qui suivront.

Source Le nouveau NH cliquez là

10:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CONFÉRENCE DE PRESSE DE L’UNION DE LA DROITE NATIONALE...


Source Le nouveau NH cliquez ici

00:21 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 08 novembre 2011

Revue de presse : la création de l'Union de la Droite nationale dans la presse

2012: Carl Lang (ex-FN) est "confiant"

Le Figaro Cliquez ici

L'ex-FN Carl Lang a présenté aujourd'hui l'Union de la droite nationale (UDN), une confédération de partis et d'acteurs d'extrême droite qu'il entend mener à la présidentielle, s'affirmant "parfaitement confiant" sur le fait qu'il recueillera les 500 signatures nécessaires. "La dynamique de campagne se met en place de manière très encourageante, tant en termes de mobilisation militante qu'en termes de contact, très positifs, avec les maires de France", a assuré Carl Lang, ex-secrétaire général du FN et opposant historique à Marine Le Pen, suspendu du parti en 2008.

S'exprimant au cours d'une conférence de presse dans un hôtel parisien, il s'est dit "parfaitement confiant quant à la possibilité d'obtenir" les "500 signatures" nécessaires pour être candidat.

Carl Lang sera candidat pour l'UDN, une confédération de partis d'extrême droite "avec des sensibilités différentes", signataires d'une charte "pour la défense et la promotion de nos identités, régionales, nationale et européenne". Parmi ces partis qui veulent "organiser la décolonisation de la France et de l'Europe", il y a le Mouvement national républicain (MNR), anciennement présidé par Bruno Mégret; la Nouvelle droite populaire (NDP) de Robert Spieler, qui a sa chronique régulière dans l'hebdomadaire d'ultra-droite Rivarol, le Parti de la France (PDF) de Carl Lang, plutôt d'inspiration catholique traditionaliste.

Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale liée à la NDP, occupera la fonction de secrétaire national, Jean-Pierre Reveau, membre du fondateur du FN et ancien député, sera lui trésorier national et mandataire financier. L'UDN est aussi soutenue par des mouvements (Terre et Peuple; Jeunesses nationalistes d'Alexandre Gabriac, exclu du FN en avril pour une photo le montrant effectuant un salut nazi) et des revues (Rivarol ; Militant, fondée par Pierre Bousquet, ancien de la division SS Charlemagne).

Lire aussi : Le Post cliquez ici, Le Parisien cliquez ici

23:56 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi matin, à Paris, a été officiellement annoncée la création de l'Union de la Droite Nationale...

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Hubert Savon, Secrétaire général du MNR, Carl Lang, Président du Parti de la France, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, ce matin lors de la conférence de presse.

Dans les heures qui viennent nous vous communiquerons toutes les informations sur cet événement.

Lire Le Parisien cliquez ici

Photo Le nouveau NH

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Toutes “leurs” envies en triple A...

Philippe Randa 3.JPGLa chronique de Philippe Randa
 
Rappelez-vous, à l’été 2007, François Fillon, Premier Ministre inamovible du président Nicolas Sarkozy, avait lâché le morceau : « Les caisses sont vides ! »
 
Un tel constat resta sans suite : entre ceux qui jugeaient ses propos inutilement alarmistes, ceux qui les contestaient ou ceux encore qui estimaient qu’on le savait depuis longtemps, personne ne précisa alors que non, les caisses de la France n’étaient pas seulement vides, elles étaient déjà dramatiquement trouées par un endettement vertigineux : car il y a une différence de poids entre avoir les poches vides et avoir des dettes. Comme il y a une différence tout aussi notable entre avoir des dettes… et être surendetté !
 
Des dettes, la plupart des citoyens ne disposant pas d’une fortune personnelle à sa naissance en a eu, en a permanence ou est susceptible d’en contracter dans l’avenir. On ne dit pas dette, alors, mais “crédit”… Mais qu’est-ce qu’un crédit, sinon une dette sous appellation plus politiquement correcte ? De même qu’on ne dit plus “balayeur”, mais “technicien de surface”, “vagabond”, mais “sans domicile fixe”, “indigent”, mais “en situation précaire”…
 
Alors, au-delà des chiffres mis en avant par les uns et les autres et des chicanes autour de ceux-ci pour comprendre à quoi ils correspondent exactement, leur gravité ou leur normalité suivant les points de vue des brillants économistes et des non-moins compétents politiciens, toutes tendances confondues, il est une froide réalité, bien plus lourde de conséquences : le plan de rigueur que François Fillon vient d’annoncer et qui est à 70 % une augmentation pure et simple d’impôts, n’a qu’un seul objectif avoué : permettre à notre pays de conserver sa cotation triple A.
 
Soit la possibilité de continuer à emprunter encore et toujours.
 
Et nul doute que la quasi-totalité de la classe française se réjouira que nous conservions coûte que coûte cette notation à laquelle les gouvernements qui en disposent s’accrochent ou tentent de s’accrocher désespérément, en oubliant l’article 4 de la loi n° 2010-737 du 1er juillet 2010 portant réforme du crédit à la consommation et qui est pourtant rappelé à tout citoyen désirant emprunter auprès de sa banque : « Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager. »
 
Toute l’énergie de l’actuel gouvernement français est donc déployée à conserver la possibilité d’augmenter ses det… non : de bénéficier de crédits supplémentaires !
 
Ce mercredi sort dans les salles de cinéma le film de Philippe Lioret Toutes nos envies dont le sujet est le surendettement. Face aux représentants des sociétés de crédit sans scrupules qui sont les “méchants” du film, cyniques et sans états d'âme, les personnages de Vincent Lindon et de Marie Gillain “se lancent dans une bataille loin d'être gagnée d'avance”, lit-on sur le site internet du Nouvel Observateur dont le titre est explicite : ““Toutes nos envies” : dans la spirale du surendettement”.
 
Mais c’est du cinéma bien sûr… Dans la réalité, la bataille des contribuables français est, elle, officiellement, programmée perdue d’avance.

09:34 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence de presse unitaire (PdF MNR NDP) aujourd'hui à Paris...

67695960_p.jpgMardi 8 novembre, à 10 h 30, à Paris, conférence de presse commune de Annick Martin (MNR), Robert Spieler (NDP) et Carl Lang (PdF) pour présenter la nouvelle structure unitaire de la Droite nationale.

09:29 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il sera présent à la 5e Journée de Synthèse nationale, vendredi 11 novembre à Paris...

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00:38 Publié dans 05 - La 5e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 07 novembre 2011

Mercredi soir, à 20 h 00, Roland Hélie sur Radio Courtoisie...

P1010959.jpgRoland Hélie, directeur de Synthèse nationale, sera mercredi 9 novembre, à partir de 20 h 00, invité au Libre Journal de Martial Bild sur Radio Courtoisie.

Paris et Ile-de-France, 95,6 | Caen, 100,6 | Chartres, 104,5 | Cherbourg, 87,8 | Le Havre 101,1 | Le Mans, 98,8.

Ou encore en cliquant ici

22:43 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Économies budgétaires : si on parlait de l'immigration ?

Annick Martin.jpgUn communiqué du MNR :
 
Dans son intervention télévisée du 27 octobre 2011, Nicolas Sarkozy a indiqué qu'il fallait réaliser «6 à 8 milliards d'économies» pour 2012.

Sans que des annonces précises aient été faites, on se doute qu'un nouveau tour de vis budgétaire va frapper les français. Et pourtant, il existe un gisement d'économies gigantesque, auquel il n'est jamais touché : il s'agit du coût de l'immigration.

Selon Yves-Marie Laulan, cofondateur de l'institut de Géopolitique des Populations, le coût réel de l'immigration est de 60 à 70 milliards d'euros par an (propos pour Monde et Vie du 16 juillet 2011). En 2010, Malika Sorel, membre du Haut Conseil à l'intégration, chiffrait ce coût à 36 milliards d'euros par an. Malgré l'écart entre ces deux évaluations, on comprend bien qu'il s'agit d'un coût énorme, se chiffrant en dizaines de milliards.

Alors, pour quelles raisons, les gouvernements successifs n'en ont-ils pas tenu compte ?
 
AVEC LE MNR, DÉPOSONS LE FARDEAU DE L'IMMIGRATION (AME, CMU, logements sociaux, allocations familiales, etc...).

22:31 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi soir, au Local...

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22:24 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang, candidat de la Droite nationale à la Présidentielle, était vendredi à Lyon...

Photo 045.jpgCarl Lang a tenu une conférence de presse à Lyon avec la participation d'Olivier Wyssa et Alexandre Gabriac(animateur des Jeunesses Nationalistes), conseillers régionaux de Rhône-Alpes, Pierre Vial, ancien conseiller régional et représentant de la Nouvelle Droite populaire, Yvan Benedetti, conseiller municipal de Vénissieux et avec la présence amicale de Liliane Boury, conseillère régionale de Rhône-Alpes.

Carl Lang et les personnalités politiques présentes ont animé une soirée militante de mobilisation de la Droite nationale pour les échéances présidentielle et législatives de 2012.

De nombreux jeunes militants ont ainsi pu prendre date afin de s'associer à la grande entreprise politique de reconquête nationale et de décolonisation de la France et de l'Europe. Reconquête qui devra être l'objectif des défenseurs de la Communauté nationale et de nos valeurs de civilisation.

Il a été rappelé à l'occasion de cette réunion que les échéances de 2012 ne représentent évidemment qu'une première étape d'affirmation des droits du peuple français à rester lui-même.

15:45 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 11 novembre, à la 5e Journée de Synthèse nationale : 16 h, meeting pour l'Union de la Droite nationale !

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15:23 Publié dans 05 - La 5e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |