lundi, 15 février 2016
Quand la LICRA s'attaque à Riposte laïque
L'accusé s'explique
La réaction de l'avocat de RL et de son Président, Pierre Cassen
A propos de la LICRA : lire le livre d'Anne Kling, La France licratisée cliquez ici
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Le vent s’essouffle dans l’emploi éolien
Michel Gay Métamag cliquez ici
Éolien : mauvaise nouvelle pour les emplois en France qui vont se concentrer en Allemagne.
La concentration des acteurs du marché de l’éolien offshore et la sortie d’Areva de ce secteur se confirme, comme le prédisaient les opposants, et certains professionnels de la branche. Mauvaise nouvelle pour les emplois en France qui vont se concentrer en Allemagne.
Quand des entreprises sont en avance sur un marché, comme Siemens (plus de 1.000 éoliennes offshore) et le géant danois Vestas, alors ceux qui sont partis trop tard, comme Areva ou Alstom, ne peuvent plus être compétitifs. Il était donc à prévoir que le marché s’adapterait aux règles économiques.
Le rachat d’Adwen/Gamesa par Siemens n’est pas une bonne nouvelle pour les opposants à l’éolien. Siemens aura les moyens financiers de développer la turbine de 8 mégawatts (MW) de puissance promise dans les appels d’offre français. Le prototype Adwen était toujours à l’étude et Areva / Gamesa n’avait pas les moyens financiers de développer à la fois la turbine de 8 MW, dont le coût de développement est d’environ 100 millions d’euros (M€), et de mettre en place son seul projet éolien offshore « Vikinger ».
Malheureusement, l’éolien offshore n’apportera presque pas d’emplois en France. Les habitants de la région qui escomptaient du travail peuvent se faire du souci. Il ne faudra pas compter sur les postes locaux de maintenance : c’est l’entreprise allemande Siemens qui en sera responsable. Les Allemands vont d’abord utiliser leurs effectifs, et ils ne formeront des « locaux » à la marge que pour des tâches subalternes. Il n’est en effet pas économiquement pertinent pour une entreprise de former quelques dizaines de personnes éparpillées ici et là. Le personnel doit être transférable, « mutualisable ».
Par ailleurs, Siemens a déjà ses outils de production et ses fournisseurs pour construire les éoliennes, et ils ne se sentiront pas obligés d’embaucher des Français. Si l’État français demande des garanties d’emplois locaux dans les accords de rachat avec Gamesa / Adwen / Areva, ce sera juste une façade rutilante pour rassurer la population et calmer les esprits.
C’est affligeant mais, en clair, il n’y a aura pas d’emplois locaux. Les élus avaient été prévenus il y a un an, mais ils ne savaient comment allait se dérouler le scénario. Maintenant, ils savent. L’éolien offshore en France sera allemand, danois, mais pas français.
Alstom sortira de l’éolien quand cette entreprise aura mené à terme les trois projets offshore français promis, à contre-cœur, au gouvernement français par General Electric lors du rachat d’Alstom Power… sauf s’ils trouvent une solution de sortie d’ici là.
Les turbines des six projets français d’éoliennes devaient être de fabrication française (trois projets avec Alstom et trois autres avec Areva). Mais maintenant, adieu la filière éolienne française et les emplois locaux avec la sortie de notre fleuron français Areva.
En revanche, les nuisances visuelles, le tourisme sacrifié, les dégâts environnementaux, les prix d’électricité en hausse, les populations divisées, et les élus décrédibilisés sont une réalité.
Et tout ça pour des projets inutiles, ruineux pour les contribuables, et… si peu d’emplois français.
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dimanche, 14 février 2016
Manœuvres pré-électorales pour un désastre annoncé
Dr Bernard Plouvier
En ce glacial et tempétueux mois de février (« réchauffement climatique » oblige), les crocodiles, usagés et moins connus, s’ébrouent dans le marigot politicard. Et l’on comprend la raison de cette agitation : à la présidentielle de l’année prochaine, l’un des deux sauriens – celui de la droite mondialo-globaliste ou celui de la pseudo-gauche globalo-mondialiste – emportera pour cinq années le jackpot des sinécures dorées de la Ripoublique, qu’il pourra distribuer aux plus puissants de ses partisans.
Car, dès à présent, tout est joué. Au premier tour, 60 à 65% des inscrits iront voter avec un reste d’enthousiasme. Le ou la candidat(e) des populistes arrivera en tête avec peu ou prou 35% des suffrages ; le candidat de la droite molle-divers centres marécageux et celui des pseudo-gauches, mâtinées d’écologistes de diverses obédiences, en plus des minorités sexuelles, des dinosaures marxistes, syndicalistes et maçonniques, et des groupuscules d’immigrés ayant le droit de vote, remporteront chacun entre 25 et 30% des voix.
Au second tour, et après 15 jours de propagande démagogique sur fond de scénario « républicain-apocalyptique », 55 à 60% des Français iront voter et sera élu Président soit le candidat estampillé droite molle, soit le candidat certifié pseudo-gauches, tous deux étant inféodés aux évergètes de la finance cosmopolite et/ou de l’islamo-pétrodollar… une resucée de la 2e élection de Chirac le Nul Black-Beur, avec un score moins insultant pour la Nation française, puisqu’en une douzaine d’années de gabegie et de descente aux enfers, les Français sont devenus un peu moins niais.
Qu’importe à la Nation que le nouveau locataire de l’Élysée se nomme Hollande ou Sarkozy (Juppé étant moins probable, en dépit d’un fort soutien d’émirs du pétrole), la France continuera de s’éteindre, de s’aveulir. Le chômage continuera de s’aggraver, par désindustrialisation accélérée et mort à petit feu de l’agriculture et de la pèche françaises, la Dette connaîtra une croissance exponentielle, pour alimenter une immigration-invasion en augmentation continue, avec les menus inconvénients du péril djihadiste (déjà connus, mais qui n’ont pas suffi à réveiller les Français autochtones), et, non plus la probabilité, mais cette fois-ci la certitude de la substitution de population dominante en France pour la seconde moitié du XXIe siècle.
L’électorat français – composé comme partout ailleurs de 75% de sous et de moyennement doués – n’aura que ce qu’il mérite. Quant aux autres Français autochtones, les productifs, les inventifs, les honnêtes travailleurs, ils auront un choix : émigrer – ce qui est à la portée du premier couard venu, mais qui, en principe, assure la survie, au prix d’un déracinement – ou s’insurger. Parce qu’après tout, mourir pour défendre la terre des ancêtres, cela ne manque ni de panache ni d’intérêt. L’histoire abonde en sursauts salvateurs. Alors, pourquoi pas en France, avant qu’elle ne soit devenue terre de Charia.
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Commémoration de la Bataille de Verdun le dimanche 21 février prochain
A propos de la Bataille de Verdun :
Rappelons aussi que Le Comptoir des éditeurs vient de rééditer les oeuvres complètes du Capitaine Danrit, héros de Verdun. Pour en savoir plus cliquez ici
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Au moment où il semble reprendre les choses en mains, le Président Bachar al-Assad s'explique
Le Président syrien, Bachar al-Assad, a accordé un entretien à l'AFP. Cet entretien fort intéressant est repris aujourd'hui par l'agence syrienne SANA. A lire cliquez ici
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samedi, 13 février 2016
La réponse du GUD au grand remplacement
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Hédonisme et sens de l’honneur : incompatibilité ou alternative ?
Dr Bernard Plouvier
L’étude de l’histoire démontre aisément l’opposition entre les partisans du bien-être, pour eux-mêmes et leurs proches, et les humains motivés par le sens de l’honneur… qui n’est pas l’équivalent de la gloriole.
Or, l’histoire humaine démontre également que certaines périodes favorisent la première attitude et d’autres la seconde. L’opposition n’est nullement permanente, mais se fait plutôt selon un phénomène de bascule, en fonction des conditions de l’époque. Autrement dit, l’inné et l’acquis jouent leur rôle dans ce choix individuel et collectif. On peut le démontrer par deux exemples suffisamment proches de nous pour que l’oubli et les déformations induites par les concepteurs de dogmes historiques n’aient pas embrouillé les faits.
En août 1914, la quasi-totalité des hommes de 20 à 35 ans des pays d’Europe occidentale, danubienne et orientale se sont rués à l’assaut les uns des autres, emportés par leur chauvinisme. Cet enthousiasme guerrier, signalé par tous les témoins, n’est discuté que par les universitaires qui évoquent « l’été 14 » comme s’il formait un tout homogène. Or, s’il est évident qu’au mois de juillet la majorité des opinions publiques espérait encore que l’on puisse éviter une guerre pour un motif aussi futile que l’assassinat d’un prince héritier, en août, une fois la guerre enclenchée, les Nations (à l’exception de la magyare, où l’on haïssait l’archiduc assassiné) se sont ruées à la guerre, ignorant tout de ce que seraient ses tristes réalités.
L’été de 1939, il n’y a, certes, nulle passion guerrière en France, où aucun intérêt national n’est en jeu, mais l’on est enthousiaste par inconscience en Pologne, et en Grande-Bretagne, où l’on compte faire la guerre avec l’Armée française et la Royal Navy.
Ce contraste ne fait que refléter la dissemblance entre les situations. Chauvinisme et croyance, fortement ancrée dans chaque opinion publique, en son « bon droit » en 1914. Refus « de se faire casser la gueule pour rien » en 1939. On ne peut pas reprocher les illusions, bellicistes pour les pères, pacifistes pour les fils (en outre, horrifiés par les récits des survivants du premier épisode), sans remarquer l’énorme différence de contexte entre les deux périodes.
Il existe des individus génétiquement programmés pour être, en toutes circonstances, des lâches et d’autres des téméraires. Chacun de ces deux groupes ne doit pas dépasser 5 à 10% de l’humanité. Le reste, soit l’écrasante majorité, choisira l’une ou l’autre option, en tenant compte de l’ambiance générale et de la conjoncture, c’est-à-dire de ce que l’on croit savoir des événements et des intentions de ceux que l’on présente comme des ennemis.
Pourquoi évoquer ces banalités, objectera-t-on ? Parce que notre époque est l’un de ces moments de l’histoire des civilisations où se présente l’alternative : hédonisme versus sens de l’honneur.
En Occident, les Nations autochtones sont confrontées à ce que la globalo-mondialisation pouvait offrir de pire. Face à la destruction rapidement progressive de l’industrie, de l’agriculture et du commerce nationaux, face à une immigration-invasion africaine et moyen-orientale, en énorme majorité musulmane, qui expose à la probabilité d’une substitution de population dominante durant la seconde moitié de notre XXIe siècle et à l’implantation de l’anachronisme islamique, face à la confiscation de tous les pouvoirs par les maîtres de l’économie, les Nations européennes autochtones doivent choisir entre les petits plaisirs, les petites joies, le confort et la révolte, l’insurrection, le refus de ce monde de médiocrité intellectuelle et spirituelle.
Hédonisme versus Honneur. Il faut choisir… avant que d’être submergés. Car, s’il est vrai que ce sont les minorités agissantes qui font l’histoire, il n’en est pas moins vérifié que, sauf à pouvoir utiliser unilatéralement des armes de destruction massive, la guerre à un contre cinq ou six - ce fut la proportion des combats en Europe durant les années 1943-45 - est constamment perdue !
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Un nouveau venu dans la presse non-conformiste : Raskar Kapac
Saluons la parution d'un nouveau bi-mestriel dans le paysage médiatique non-conformiste. Il s'agit de Raskar Kapac qui se définit lui-même comme étant "une gazette artistique et inflammable". Le premier numéro, huit pages, grand format, maquette agréable, est en grande partie consacré à l'oeuvre de Jean-René Huguenin.
On le trouve dans les "bonnes librairies", dans certains kiosques parisiens ou en le commandant (3 € l'exemplaire, 25 € l'abonnement) à Raskar Kapac 48, rue Condorcet 75009 Paris
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Le Journal du Chaos de cette semaine
Pour le lire cliquez ici
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vendredi, 12 février 2016
Le nouveau numéro de "Salut public", la revue dirigée par Serge Ayoub, est en vente sur synthèse-edition.com
Salut public, la revue dirigée par Serge Ayoub
N°19 (Hiver 2015 - 2016), avec des contributions de :
- Georges Feltin-Tracol
- Kali Yuga
- Anthonin Lamoureux
- Jean-Claude Rivière
La commander en ligne cliquez ici
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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro
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L’Inaptocratie (in english : ineptocracy), conséquence logique de la globalisation-mondialisation
En 2006, lorsque l’État fédéral tarda à venir au secours des sinistrés US de l’ouragan Katrina, un journaliste accola le néologisme d’Ineptocracy au gouvernement de George W. Bush (qui, en comparaison de son lamentable successeur, passe désormais pour un gestionnaire rigoureux des Finances US, même si sa politique étrangère, orientée par les néo-conservateurs judéo-US, fut désastreuse, moins toutefois que celle du crypto-islamiste Barack-Hussein Obama).
David Remer, journaliste et sujet de Sa Gracieuse Majesté britannique, a repris le terme, en 2012, pour qualifier le spectacle pitoyable de la vie politique et administrative française. Depuis lors, rien n’a changé… et l’on pourrait affirmer, sans encourir le risque d’être taxé de méchanceté, qu’il en va ainsi depuis 1981, c’est-à-dire lors de l’intégration de la France - Mitterrand régnant ou faisant semblant – aux fééries de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et pseudo-culturelle.
Le mot est une chimère grammaticale (l’adjectif anglais « Inept » étant accolé au classique verbe grec antique utilisé pour signifier l’art de commander : « kratein »). Au plan sémantique, sont interchangeables, en langue française, les adjectifs « inapte » et « inepte », pour l’excellente raison que nos « chefs » sont à la fois l’un et l’autre… et ceci est fort logique.
Que nos élus et nos agents de la haute administration (en France, nos merveilleux Énarques) se révèlent parfaitement inexperts à diriger la répression de la délinquance et de la criminalité n’étonnera personne, puisqu’ils ont l’ordre d’accepter une immigration islamique brutale, inculte, pratiquant avec virtuosité trafics de drogues et d’armes, vols et rackets, assassinats pour cause religieuse ou de règlement de comptes entre bandes rivales, enfin viols, coups et blessures, en plus de l’expression la plus ordurière d’un racisme quotidiennement exprimé.
Qu’élus, économistes, experts ès n’importe quelle spécialité, s’avèrent incapables de gérer l’économie du pays au mieux des intérêts de la Nation, ne peut surprendre que les niais : ils ne dirigent rien, recevant leurs ordres par des circuits complexes, de telle façon que le chef théorique de l’État ignore jusqu’à l’identité des véritables décideurs.
Élus et hauts-fonctionnaires ne sont guère utiles aux intérêts des Nations. Cela n’est que trop vérifié : corruption omniprésente ; détournement de l’argent public en faveur des sociétés privées appartenant aux amis de la majorité en place ; quasi impunité (sauf règlement de comptes personnels ou politiques) des Banksters et des chefs d’entreprises, des élus et des hauts-fonctionnaires peu délicats dans leur gestion ; lâche complicité de l’immigration-invasion musulmane… le tout par absolue soumission – admirablement rétribuée, cela va sans dire - au seul vrai Pouvoir de notre époque : l’Économique.
À quoi sert de ruminer la définition des dictionnaires anglo-américains du mot Ineptocracy, soit : le gouvernement des moins capables, des incompétents notoires, élus par une majorité de minables, puisque le système mis en place dans les années 1980 sq. exige la simple obéissance des pseudo-chefs d’États et de gouvernements aux ukases des patrons du very-hyper-big business.
La conclusion s’impose d’elle-même. Les Nations du bloc globalo-mondialiste ne peuvent rien attendre du résultat d’élections, systématiquement faussées par les énormes quantités d’unités de compte (selon la monnaie locale) octroyées pour le financement de tous les partis dits de gouvernement… nos bons maîtres laissent à l’électorat la joie de mettre aux apparences du Pouvoir le pantin à la mode du jour. Et la loi du nombre – démocratie oblige - fait le reste : 75% de crétins et de peu doués ne peuvent qu’élire les plus beaux démagogues, ceux qui promettent la lune (résorption du chômage, réduction des impôts, croissance économique, sécurité, égalité etc.).
Ergo, si les Nations exploitées par le système globalo-mondialiste veulent se sortir de l’ineptie ambiante et de l’inaptitude des « chefs », elles doivent s’insurger et mettre en place de véritables régimes populistes. L’étude de l’histoire offre des exemples que chacun est libre de méditer.
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L'intervention de Me Pascal Junod à la Table-ronde de Terre et peuple (29 novembre 2015)
Me Pascal Junod est le Président des Amis de Robert Brasillach
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"Kosovka" : qui se souvient du Kosovo ?
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3221 du 4 février 2016
RÉCEMMENT, une famille de Calais a été prise à partie par une horde de “migrants” dirigés par des militants “antifas” et d’extrême gauche. Pour se défendre, l’un des jeunes de la famille a brandi un fusil à bille, sans en faire usage. Le père, agressé par les sauvages, s’est défendu avec courage. Résultat : il s’est retrouvé en garde à vue, devant se justifier d’avoir exhibé un fusil factice. On pouvait évidemment s’attendre à ce que le Front national, fût-il mariniste, s’emparât du sujet et exprimât son soutien, d’autant que Marine Le Pen est élue du secteur. Eh bien non, rien de rien, silence complet. Yann Valerie, sur le site Boulevard Voltaire, ne cache pas sa colère, écrivant : « N’était-ce pas pourtant le rôle de celle qui se veut incarner l’opposition à l’immigration, le changement de cap, de se rendre au chevet de cette famille menacée ? N’était-ce pas le rôle d’un parti politique anti-immigration que de protéger, concrètement, une famille de son peuple, sans doute des électeurs à elle, que le maire de la commune (LR) veut faire partir “pour éviter les représailles” » ? Et l’auteur de l’article de conclure : « Le Front national et Marine Le Pen ne pourront pas, indéfiniment, se muer dans la peau des rebelles, des opposants au système si, dans les faits, ils ne font rien. » Evoquant Calais, il ajoute cruellement : « Le FN n’a pas compris qu’il avait un rôle à jouer dans l’histoire, que des citoyens attendent un signal fort autre qu’un appel du pied électoral ou une invitation à la galette des rois locale » et conclut par cette phrase, oh combien juste : « Attention à ce que ce parti ne devienne pas une arnaque politique, comme les autres… »
“CACHEZ CE SEIN QUE JE NE SAURAIS VOIR”
Le président de la République islamique d’Iran, M. Hassan Rohani, en visite cette semaine à Rome, avant de se rendre à Paris, pour conclure des contrats d’affaires avec les entreprises locales, était convié à une visite des musées du Capitole. Pour ne pas heurter sa pudeur musulmane, le gouvernement italien prit une étrange décision, cachant des statues antiques de déesses et de guerriers nus dans des coffres de bois construits à cet effet. Par cette décision, l’Italie s’est couverte de ridicule. Voici les titres de la presse transalpine : « Humiliés chez nous », « Burqa d’État », « Ces nus recouverts qui couvrent l’Italie de ridicule », « L’Italie met le voile »… Les responsables de la censure des arts se sont défendus en clamant qu’il ne s’agissait là que d’un signe de respect, un geste d’accueil.
François Hollande s’est, pour une fois, comporté correctement. Rohani avait exigé qu’il n’y ait pas d’alcool de servi lors d’un éventuel déjeuner. Refus de Hollande. Le déjeuner s’est mué en petit-déjeuner. Dommage qu’il soit moins courageux quand il s’agit de résister au CRIF. S’opposer à la République islamique d’Iran, suspectée de révisionnisme, c’est en effet beaucoup plus facile que de résister à certaines revendications communautaires.
ANGELA MERKEL AU BORD DE L’EFFONDREMENT NERVEUX
A Düsseldorf, 40 % des jeunes Marocains ou Algériens deviennent criminels, la première année de leur présence. Un commissariat de Düsseldorf (Allemagne) a réalisé une étude, baptisée “Casablanca”, concernant la criminalité spécifique des jeunes selon leurs origines, au cours de la première année suivant leur arrivée en Allemagne. La conclusion du rapport — divulguée par la presse — a fait l’effet d’une bombe : à Düsseldorf, 40 % des jeunes Marocains et Algériens deviennent criminels au cours des douze premiers mois de leur séjour en Allemagne, contre 0,5 % pour les Syriens. « Seuls les Bosniaques et les Monténégrins commettent si rapidement autant de délits », soulignent les auteurs. Les délits et crimes vont du trafic de stupéfiants aux vols, braquages, coups et blessures, menaces… Le texte relève que « toutes les trois heures et demi, un criminel maghrébin frappe à Düsseldorf ». Mais que devient Angela Merkel, la traîtresse qui a ouvert toutes grandes les portes de l’Allemagne aux “migrants” ? Certains media commencent à se demander si elle ne va pas perdre son poste de chancelière avant la fin de l’année. Le Huffington Post (pourtant de gauche) vient de publier le diagnostic d’un célèbre psychanalyste allemand, Hans-Joachim Maaz, selon lequel Angela Merkel souffre d’un excès de narcissisme et semble au bord de la dépression nerveuse. Il parle de son entêtement dans une politique totalement irrationnelle face aux immigrants et sa perte de contact avec la réalité. Le psychanalyste se dit certain d’un prochain effondrement psychologique ou psychosomatique de la chancelière et dit être inquiet des conséquences de l’état mental d’Angela Merkel sur la sécurité du pays. Sauf que ce sont quasiment tous les chefs d’Etat et de gouvernement occidentaux qui se comportent de manière criminelle trahissant leur propre peuple et le conduisant à la servitude et au chaos.
“MIGRANTS” : LA RÉSISTANCE S’ORGANISE EN EUROPE
Milos Zeman, le président tchèque, connu pour ses positions anti-immigration, a affirmé récemment qu’intégrer les musulmans dans la société européenne est “impossible”. Il a déclaré lors d’un entretien télévisé : « L’expérience des pays européens occidentaux qui ont des ghettos et des localités exclues montre que l’intégration de la communauté musulmane est impossible d’un point de vue pratique », ajoutant : « Laissons-les avoir leur culture et leurs pays et ne les prenons pas en Europe, sans quoi cela finira comme à Cologne. » Zeman considère que certaines cultures “similaires” sont capables de s’intégrer dans la société européenne, prenant les communautés vietnamiennes et ukrainiennes en Tchéquie comme exemples. Il a affirmé que l’afflux de réfugiés en Europe avait été piloté par les Frères Musulmans égyptiens et martelé qu’il était décidé à « surveiller chaque musulman du pays ». Quant au Premier ministre slovaque, social-démocrate, Roberto Fico, il cogne dur sur l’islam et plus il cogne, plus il monte dans les sondages ! Pour lui, migrants et musulmans, c’est la même chose. Robert Fico ne veut pas entendre parler de 2 500 demandeurs d’asile syriens ou érythréens. Quant au Danemark, il cherche à décourager les demandeurs d’asile de s’installer dans le pays. Le Parlement danois a adopté le 26 janvier à une écrasante majorité (y compris avec les voix socialistes), une loi qui prévoit de confisquer les effets de valeur des migrants, de diminuer leurs droits sociaux et d’allonger les délais de regroupement familial et d’octroi du permis de séjour permanent.
MARINE LE PEN SUBIT UNE ENQUÊTE PRÉLIMINAIRE DU PARQUET FINANCIER
Depuis le 7 janvier, une enquête préliminaire du parquet national financier vise Marine Le Pen, soupçonnée d’avoir sous-évalué son patrimoine en 2014 dans sa déclaration de députée européenne déposée auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Elle aurait sous-évalué ses propriétés de plus de deux tiers de leur valeur. Le Canard Enchaîné, qui s’est penché sur la question, raconte que Marine Le Pen est « copropriétaire de quatre belles maisons » dont la valeur représenterait plusieurs millions d’euros. Le code pénal punit d’une peine de trois ans de prison, de 45 000 euros d’amende et de dix ans d’inéligibilité le fait d’omettre de déclarer une partie substantielle de son patrimoine ou de fournir une évaluation mensongère. La stratégie de défense de la présidente du FN ? Se défausser sur son père. Elle n’aurait fait que transmettre à l’administration fiscale les estimations faites par son géniteur, selon le trésorier du FN Wallerand de Saint-Just. Autrement dit, s’il y a un problème (ce que nous ignorons), ce n’est pas de sa faute, c’est celle du Menhir ! C’est un raccourci un peu facile, non ?
NICOLAS SARKOZY VA À LA MESSE. MAIS IL FINIRA EN ENFER…
L’histrion était flanqué de Valérie Pécresse. Il a assisté à la (nouvelle) messe dans l’église Saint-Louis de Fontainebleau récemment incendiée… Commentaire de Gabrielle Cluzel sur Boulevard Voltaire : « Et disons-le tout de go : s’il n’y a pas été accueilli par un “Casse-toi, pov’con”, il ne le doit sans doute qu’à l’extrême bonne éducation de l’assistance et à sa charité sans faille. » Ou plus probablement hélas à la mollesse et à la tiédeur des convictions de cette assemblée. Et d’ajouter : « Si Nicolas Sarkozy entend, ainsi, se rabibocher à bon compte avec l’électorat catholique qu’il vient de se mettre à dos avec son bouquin (dans lequel il renonce à mettre en cause le “mariage” homosexuel), il se fourre évidemment le doigt dans l’œil jusqu’à la Rolex. » La posture de Sarkozy est tout à fait incompréhensible.
En choisissant le « mariage pour tous », ce qui est conforme fondamentalement à son profil libéral-libertaire, il prend le risque de s’aliéner des strates conservatrices de son parti, un suicide. D’évidence, un conseiller comme Patrick Buisson lui manque. Depuis les manifs, cet électorat aurait changé. Il a senti l’odeur de la poudre et subi la répression policière du système. Il était réactionnaire, quelque peu lâche, trop raisonnable, conservateur, un mot qui commence bien mal, très, trop comme il faut, trop bourgeois pour être révolutionnaire… Gabrielle Cluzel conclut son article par ces mots : « Pour cet électorat, ces manifestations ont sonné comme une conversion. On ne lâche rien et on n’a rien à faire des lâches. » Mais est-ce si sûr que cet électorat soit à ce point intransigeant ? Après tout Bergoglio a lui-même ouvert la voie à la reconnaissance des « unions homosexuelles » lors du synode sur la famille. Si Bergoglio va dans ce sens, pourquoi un Sarko se gênerait-il ?
NICOLAS SARKOZY ? UN CLOWN !
La position fluctuante de Nicolas Sarkozy quant au “mariage” gay montre en tout cas l’absence totale de convictions de l’individu. Allez, un petit résumé de ses considérations : accrochez-vous. Le 1er septembre 2006, le voici qui déclare dans le Figaro Magazine être opposé au “mariage” homosexuel et à l’adoption d’enfants par des “couples” du même sexe. Le 3 septembre 2006, il prône la reconnaissance de l’amour homosexuel sur TF1 et propose l’établissement d’un contrat d’union civile. Elu président en 2007, il promet de faire voter l’union civile, ce qu’il ne fera pas. En mars 2012, il explique au Fig Mag que l’union civile réservée aux homosexuels est anticonstitutionnelle. Toujours en 2012, avant d’annoncer sa candidature à l’élection présidentielle, il annonce réfléchir à intégrer le “mariage” gay dans son programme. En novembre 2014, il promet qu’il abrogera la loi Taubira si la “droite” arrive au pouvoir. Ou en tout cas qu’elle sera réécrite de fond en comble. Et en janvier 2016, dans son livre, il promet de ne pas remettre en cause la loi Taubira. C’est aussi à ce genre de tergiversations lamentables guidées par les intérêts électoraux et sondagiques du moment que l’on comprend qu’il n’y a plus de droite en France. Et hélas depuis fort longtemps.
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler
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jeudi, 11 février 2016
De l’utilité des guerres
Dr Bernard Plouvier
L’histoire humaine (et animale) répond à trois grandes motivations, généralement associées : la géographie (soit des terrains estimés riches et intéressants à conquérir ou dont la possession offre un avantage stratégique défensif ou offensif), l’orgueil d’espèce, de race ou de nation (soit la jouissance issue de la domination), enfin la joie de nuire à autrui (ce que les Allemands nomment Schadenfreude et les Anglo-Saxons gloating).
L’un des plus rudimentaires théoriciens de la polémologie (en plus d’être un écrivain ennuyeux) Carl von Clausewitz l’a écrit (in De la guerre, dont la 1ère publication date des années 1832-34) : une guerre peut être limitée dans son objectif si elle vise à obtenir un gain territorial ou un avantage commercial ; elle peut, au contraire, s’avérer illimitée dans ses moyens et sa durée si elle ambitionne l’anéantissement de l’ennemi. S’il ne fallait retenir qu’une idée (géniale) des livres de ce raseur, ce serait celle-là.
« En régime de libéralisme, c’est le marché (économique) et non le contrat (politique) qui est le vrai régulateur de la société » a écrit Pierre Rosanvallon (in Le libéralisme économique. Histoire de l’idée de marché, Seuil, 1989). C’est une excellente définition du rapport de forces existant, d’abord en Europe et aux USA, puis un peu partout en pays industrialisés, des années 1830 à nos jours, sauf dans les régimes populistes et les ridicules expériences d’économie marxiste. La trinité dorée des financiers, des négociants et des entrepreneurs, aux intérêts souvent enchevêtrés, domine le milieu politique et celui, plus vénal encore, des media.
Montesquieu (in De l’esprit des lois, de 1748) a écrit l’une des plus grosses sottises de l’histoire des idées : « Le commerce adoucit les mœurs et dispose à la paix ». Cette docte niaiserie fut immédiatement exploitée en Grande-Bretagne par David Hume et Adam Smith, puis développée, dans les années 1896-1914, par Jean Jaurès, qui fréquentait les salons des richissimes financiers juifs de Paris, effectivement pacifistes, du fait de leurs investissements en tous pays.
Certes Adam Smith avait longuement disserté (in De la richesse des Nations, de 1776) sur le travail productif et l’improductif (comme la fabrication des armes), mais ce théoricien quelque peu primaire avait oublié le phénomène de redistribution : tout argent gagné, même en effectuant un « travail improductif », alimente la consommation, donc la production, la transformation des matières premières et les services (transports, assurances, commerce).
Une guerre détruit des biens (en plus d’innombrables vies humaines, de valeur marchande diversement appréciée selon les époques), mais elle stimule extraordinairement les industries agro-alimentaires, textiles et de transformation du cuir, en plus des fabrications d’engins de transport et de destruction. Enfin, elle draine l’argent privé vers le secteur public qui le redistribue au secteur industriel et commercial, sans oublier les financiers omniprésents. C’est « l’utilité des guerres », une idée chère au Président Franklin Delano Roosevelt, durant les années 1937-1945, une idée que l’expérience des deux Guerres Mondiales a fait comprendre aux maîtres de l’économie. Enfin, la reconstruction, après déblaiement des ruines, et l’exploitation médiatique de l’héroïsme (réel et imaginaire) des vainqueurs sont d’énormes sources de profits… si bien que le cycle guerre-reconstruction & exploitation se renouvelle périodiquement.
Effectivement, de 1850 à nos jours – soit le triste début de XXIe siècle, où dominent l’économie globale et la mondialisation des vies politique et sous-culturelle, mâtinées de l’utilisation de l’islam dans sa forme la plus barbare -, la plupart des guerres ont eu une cause économique, soit isolée (on pense à la Guerre de l’opium sino-britannique du milieu du XIXe siècle aussi bien qu’à la Guerre du Coltan des années 2010-2012), soit associée à une ou des causes politiques (de la Civil War des USA jusqu’à la Seconde Guerre mondiale). Certaines enfin furent le résultat d’un mélange plus complexe de causes économiques, politiques et morales (ce fut le cas de la Grande Guerre, où les opinions publiques, survoltées par le chauvinisme pratiqué comme seule activité intellectuelle commune à toutes les classes sociales, voulaient en découdre pour s’évader d’une vie monotone).
L’éthologie et l’étude de l’histoire humaine le prouvent aisément : l’homme – comme le reste du monde animal - est invariable dans ses comportements, ce qui est très logique puisque ceux-ci sont génétiquement programmés, depuis l’émergence de l’espèce et jusqu’à sa disparition ou à sa transmutation en sur-espèce. Seuls les êtres d’exception – ce qui définit la sainteté – parviennent, en toutes situations, à dominer leur programme malfaisant, opérant le choix de ce qu’ils nomment le Bien, par opposition à ce qu’ils croient être le Mal. Et depuis des milliers d’années, l’on disserte savamment sur le libre-arbitre et la transcendance… qui n’ont jamais empêché ni les crimes individuels ni les guerres.
En outre, l’activité guerrière suppose une grande inventivité, pour surprendre et surclasser l’ennemi. À toute époque, la guerre et sa préparation furent l’occasion de grands progrès technologiques. Comme l’a écrit, au 6e siècle avant notre ère, Héraclite qui enseignait en la cité d’Éphèse : « La guerre est mère de toutes choses », y compris de l’architecture défensive, des arts et de la littérature.
La Foi, l’Espérance et la Charité sont peut-être vertus théologales, mais « le monde tel qu’il va », comme l’écrivait Arouet-‘’Voltaire’’, n’est régi que par la puissance, qu’elle soit liée à la finance ou aux armes. Et il en sera ainsi « tant qu’il y aura des hommes ».
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol
10:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 9 avril : GRAND BANQUET DE RIVAROL
INVITÉ D’HONNEUR : JEAN-MARIE LE PEN
Outre Jean-Marie et Jany Le Pen, ont déjà confirmé leur présence (par ordre alphabétique) : Yvan BENEDETTI, Thibaut de CHASSEY, Eric DELCROIX, Claudine DUPONT-TINGAUD, Alain ESCADA, Alexandre GABRIAC, Roland HÉLIE, Roger HOLEINDRE, Thomas JOLY, Carl LANG, Henry de LESQUEN, Hervé RYSSEN, Pierre SIDOS, Pierre VIAL.
Seront également présents les collaborateurs de RIVAROL et des Ecrits de Paris (par ordre alphabétique) :
Léon CAMUS, CHARD, Michelle FAVARD-JIRARD, Michel FROMENTOUX, Martin PELTIER, Arnaud RAFFARD DE BRIENNE, François-Xavier ROCHETTE, Scipion de SALM, Robert SPIELER, Nicolas TANDLER…
Chaque personnalité, chaque collaborateur présidera une table de sorte que, si vous arrivez à l’heure, vous pourrez choisir de vous asseoir à la table de la personnalité que vous êtes le plus désireux de rencontrer.
Des surprises, et non des moindres, sont prévues.
Venez très nombreux à ce grand banquet d’amitié française organisé conjointement par les Editions des Tuileries et l’Association des Amis de RIVAROL. Au menu il y aura champagne et amuse-bouche salés, entrée, viande et garniture, salade, fromage, dessert, café et mignardises, eaux minérales plates et gazeuses, Bordeaux blanc et rouge à discrétion.
Envoyez un chèque de 40 euros à l’ordre des Amis de RIVAROL, 19 avenue d’Italie, 75013 Paris. Nous vous donnerons, dès réception de votre règlement, l’adresse exacte de la salle retenue.
Nous serons heureux de vous voir et d’échanger avec vous.
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mercredi, 10 février 2016
Réflexions inexpertes sur le droit de grâce
Dr Bernard Plouvier
L’auteur n’étant pas un juriste, ses réflexions sur un sujet qui touche à l’interférence entre des pouvoirs d’essences (en principe) différentes ne peuvent qu’être impertinentes… le lecteur est donc averti d’entrée de jeu.
L’histoire nous enseigne que ce droit fut, toujours et partout, un droit régalien, c’est-à-dire exclusivement dévolu au titulaire du pouvoir exécutif… c’est dire à quel point ont erré le vieux Cicéron, qui a tenté de nous faire accroire que les armes cédaient devant la toge du magistrat, ou ce lourd Montesquieu (pas celui des Lettres persanes, l’autre – celui qui était président à mortier et nous asséna son Esprit des lois) qui s’est littéralement moqué des gens d’esprit avec sa « séparation des pouvoirs ».
L’un et l’autre de ces jurisconsultes éminents, dont la mémoire a défié les siècles, savaient pertinemment qu’ils mentaient, l’expérience leur ayant forcément appris que le Droit n’est jamais que l’expression policée de la Force. D’ailleurs chaque révolution, chaque guerre, chaque mutation socio-économique (pour user du jargon des sociologues) amènent leurs innovations dans le Droit civil, pénal et criminel et même dans le Droit international.
Changeant et mouvant dans ses principes et plus encore dans leur application, le Droit est non pas une constante – c’est à l’équité qu’est dévolue cette permanence universelle et diachronique -, mais une variable, voire une girouette évoluant au gré des vents dominants des dogmes politiques, des croyances religieuses ou de l’opportunité sociale.
Gracier un ou une condamné(e) ou commuer sa peine (ce sont deux choses différentes, car la véritable grâce est la remise totale de la peine) forment ce qu’il est convenu d’appeler le droit de grâce.
Curieusement, ce droit n’a jamais été octroyé à un groupe de savants magistrats. En toute logique, la victime ou, à défaut, sa famille devraient être entendues, car s’il y eut condamnation d’un accusé, il y eut aussi une victime… ce que l‘on oublie de plus en plus dans notre société post-soixante-huitarde, où toutes les valeurs classiques sont, non pas oubliées, mais systématiquement et volontairement inversées.
Le droit de grâce est constitutionnellement dévolu au chef de l’État qui est très rarement un juriste de formation, mais qui est constamment un politicien, soit un individu très sensible aux bruissements de l’opinion publique, façonnée pour les faits divers par les journalistes (c’est le seul privilège qui reste à ces auxiliaires du véritable Pouvoir – de nos jours : le pouvoir économique – et dont la rémunération et la notoriété dépendent directement des services rendus aux titulaires du Pouvoir).
En matière de faits divers sans retentissement politique ni économique, les journalistes sont libres de laisser vagabonder leur imagination. Ils peuvent ainsi transformer un coupable en victime d’erreur judiciaire (variante : victime d’acharnement judiciaire, quand la culpabilité est trop évidente pour être entièrement niée… mais tout est permis à qui entre dans le monde merveilleux des « circonstances atténuantes »). Parfois même, un journaliste plus inventif que ses confrères refait l’instruction de l’affaire à sa façon, transformant une victime en bourreau (variante : pédophile, ivrogne, incestueux, voire simplement autoritaire… bref tous les ingrédients de la supercherie psychanalytique, ce qui est un raffinement suprême dans l’argumentation, la friandise pour public ignare, ne demandant qu’à être ému).
Ainsi ficelé, le dossier transforme le condamné en victime-justicier et la victime initiale en abominable individu. Ne manque plus que la touche finale de démagogie : le grave chef de l’Etat qui s’est penché des nuits durant sur l’épineux dossier… avant d’octroyer ou de refuser le fameux droit en fonction de l’état de l’opinion publique. Car la mascarade judiciaire – c’en est une que de revenir sur un jugement d’Assises, suivi d’une confirmation en Cour d’appel – a pour unique finalité, non pas cette équité, trop sublime pour être humaine, mais une remontée de la cote de popularité du « chef ».
Cette popularité est indispensable à l’autocrate pour éviter l’insurrection des mécontents et des ambitieux qu’il craint constamment. Elle est tout aussi nécessaire au Président d’un régime dit démocratique, qui est presque toujours un candidat potentiel aux prochaines élections. Balzac l’a écrit : notre vie n’est que « Comédie humaine
Les noms et les œuvres de messieurs Cicéron et Montesquieu ont défié le temps, peut-être parce qu’ils étaient de grands naïfs (c’est peu probable pour le premier cité puisqu’il fit une grande carrière de politicien aux opinions et allégeances mouvantes), ou plus simplement parce qu’ils ont menti avec panache, nous faisant croire en l’équivalence des termes Équité et Justice. On attend encore le régime politique qui sera fondé sur cet idéal et l’être d’exception qui en imposera l’application.
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NE NOUS TROMPONS PAS D'ADVERSAIRES
Secrétaire général du
Parti de la France
Depuis quelques jours, nous assistons à des débats enflammés entre patriotes sur les réseaux sociaux à propos des déclarations bien tièdes et très conformistes du Général Piquemal, suite à sa garde à vue, consécutive à son arrestation samedi par les forces de l'ordre socialiste à Calais.
Je tiens tout d'abord à rappeler que certains ont peut-être fondé bien trop d'espoirs dans un Général retraité de 75 ans qui, enfin, avait décidé de sortir du bois, chose tout à fait louable et courageuse de nos jours, n'hésitant pas à participer à une manifestation interdite par la dictature socialiste. Mais celui-ci n'a jamais prétendu, à ma connaissance, s'ériger en porte-parole de la résistance nationale et patriotique. Saluons donc la prise de conscience de ce haut gradé et traitons-le plutôt comme un allié de la cause nationale, même si lui-même s'est bien maladroitement désolidarisé des patriotes qui ont manifesté avec lui samedi dernier.
Ne détournons pas notre légitime colère à l'égard des véritables responsables de la colonisation migratoire de notre pays, à savoir l'engeance gouvernementale et sa pseudo-opposition acquises toutes deux à la destruction du peuple français par la mise en place du grand remplacement de population, ainsi qu'à la destruction de notre civilisation par la soumission aux traditions culturelles de l'occupant.
Samedi à Calais, la trahison était incarnée par ce petit roquet, directeur de cabinet de la « préfète » du Pas-de-Calais, jappant ses ordres - qu'il recevait paraît-il directement d'un Bernard Cazeneuve écumant - à des policiers et gendarmes décérébrés qui ont pratiqué le gazage et le matraquage des patriotes, avec le même zèle et la même agressivité que nous avons connus lors des « Manifs pour Tous ».
C'est donc dans un état d'esprit combatif et unitaire que nous devons faire face à ces ennemis de la France et de son peuple qui a le droit de vouloir rester lui-même. Ne perdons pas de temps en débats stériles et inutiles, tâchons de réunir tous les patriotes sincères, quelles que soient leurs spécificités, afin d'entreprendre la reconquête nationale et européenne face aux forces mortifères qui souhaitent ni plus ni moins que la disparition de notre civilisation.
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Jean-Marie Le Pen sur TV Libertés
00:34 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 09 février 2016
Islamophobie ou christianophobie ?
Dr Bernard Plouvier
Allez consulter le registre orthographique de votre ordinateur ou de très récents dictionnaires (en version papier, ça existe encore) et vous constaterez que s’ils ont enregistré une « islamophobie » et l’ultra-classique « antisémitisme », le mot « christianophobie » n’est pas prévu ! Pourtant, la réalité existe et depuis la fin des années 1980, corrélée - qui en eût douté ? - à l’immigration islamique. Il faut donc remettre à l’heure nos références de vocabulaire et surtout notre conception de la « vie ensemble »…voire se souvenir de ce qu’avait écrit Renan (et d’autres auteurs après lui) : on ne mêle pas impunément deux civilisations et les fidèles de plusieurs religions, surtout si l’une ou l’autre prêchent la « guerre sainte » ou le mépris des non-initiés.
Toute référence à de menus travers des Juifs – voire à d’énormes escroqueries - devient acte ou parole « antisémites » (alors qu’on devrait les qualifier d’antijuifs... et uniquement s’ils étaient calomnieux ou généralisant abusivement un comportement individuel). De la même façon, tout avertissement concernant les dangers évidents de l’invasion musulmane qui déferle sur l’Europe occidentale et danubienne devient « discours islamophobe »… et l’on n’est pas trop assuré que les commentateurs indignés aient lu le Coran et ses prescriptions sur le Djihâd, en résumé qu’ils sachent au nom de quoi ils s’indignent (sur commande).
Des tombes juives ignoblement profanées et toute la France officielle tombe en pamoison, puis résonne d’indignations. Une mosquée-salle de sports de combat ou une boucherie hallal stupidement saccagées et politiciens & media hurlent à l’islamophobie… et l’on ne peut leur donner tort : une partie non négligeable des Français, des Britanniques, des Belges, des Allemands, des Scandinaves etc. ne supporte plus les ignominies des racailles, des fruits pourris de l’immigration-invasion. Que la réaction soit absurde autant que mal ciblée, on le reconnaît volontiers, mais la réalité devient insupportable en une multitude de villes d’Europe.
Or, ces actes d’islamophobie et de judéophobie, qui émeuvent tant les clowns des media aux ordres, ne sont quasiment rien au plan quantitatif en regard du nombre croissant d’actes anti-chrétiens, au point qu’a été créé un Observatoire de cette christianophobie, inconnue des dictionnaires les plus récents ! A priori, cet Observatoire - il en existe tellement – devrait être indifférent à l’athée (c’est le cas de l’auteur de ces lignes). Or, il est évident à tout Européen de souche que les sites, monuments et œuvres d’art chrétien font partie du Bien commun, au même titre que les vestiges de l’Antiquité gréco-romaine, celtique ou germano-scandinave.
Grâce à cet Observatoire, l’on apprend que pour le seul mois de janvier 2016 – et dans la plus totale indifférence des media aux ordres – 23 lieux de culte, cimetières, écoles et œuvres d’art chrétiens ont été vandalisés et/ou partiellement incendiés. Pour la seule Bretagne, ce sont 19 cas similaires qui ont été enregistrés durant l’année 2015, grand cru de l’immondice islamiste. Nos glorieux policiers et gendarmes n’enquêtent guère ou très mollement et presque toujours sans résultat… il faut reconnaitre qu’ils sont surmenés à force de verbaliser les automobilistes ou de réprimer les manifestations plus que légitimes d’autochtones excédés de la barbarie islamique (150 morts en 2015, pour la France) et des exactions quotidiennes des racailles de l’immigration-invasion.
La situation française devient explosive. La Nation ne peut rien attendre des mols politiciens qui vont mendier leur pitance chez les islamo-pétroliers et sont donc des collaborateurs conscients non seulement de l’immigration-invasion, mais aussi des ravages exercés par les racailles sur notre vie sociale et sur notre patrimoine. À trop jouer avec la patience des Français (et des autres Européens de souche), l’islam conquérant et ses complices risquent fort d’être confrontés à une insurrection des autochtones, qui ressemblera fort aux combats de la Libération, inévitablement suivis d’une Épuration.
16:45 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A propos de la démocratie
16:07 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
CALAIS : LÂCHÉS PAR PIQUEMAL, QUATRE MANIFESTANTS CONDAMNÉS HIER
Forum SI cliquez là
Que s’est-il passé dans les geôles républicaines où nous avions laissé le général Piquemal (cf. notre article du 7 février cliquez ici) ? Hier, on apprenait que l’intéressé avait eu un malaise et que sa comparution devant les juges était reportée au 12 (et non au 13…) mai. Ce malaise était-il dû à l’un de ces traitements de type stalinien qui amènent un accusé à s’auto-flageller ? Toujours est-il que, malaise ou pas, le Général, libéré hier, a trouvé la force d’aller s’expliquer à RTL, où il s’est livré à une lamentable séance d’autocritique politiquement correcte (cf. cliquez ici).
Mais d’autres manifestants du 6 février n’ont pas eu de « malaise », quant à eux, qui ont été jugés hier à Boulogne-sur-Mer. Nous apprenons ainsi cliquez là que quatre condamnations ont été prononcées, dont deux à des peines de prison-ferme. Ces deux-là, lâchés par un général qui les avait encouragés à manifester, ne seront sûrement pas interviewés par RTL... Ils ont néanmoins bénéficié du soutien des nombreux légionnaires et parachutistes présents qui, venus pour appuyer le Général, ont finalement apporté leur appui à d’autres manifestants, semble-t-il bien plus honorables que lui.
Plutôt sympathique au départ, il semble que Piquemal soit dépourvu de toute formation politique, ce qui devrait suffire à expliquer la facilité avec laquelle il a été retourné. Il est certes toujours malsain de séjourner dans une prison républicaine, mais ce n’est pas une excuse suffisante pour retourner sa veste. Finalement, tout comme Boulanger, le brav’général Piquemal n’est qu’un officier républicain : n’est pas Salan qui veut !
15:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Serait-il possible qu’un jour un « penseur » différentie le Populisme de « l’Extrême droite » ?
Lorsqu’à l’Assemblée, auto-proclamée Constituante en juillet 1789, on disposa les places de députés (ceux-là même qui avaient été envoyés aux États Généraux du royaume de France), les réactionnaires, partisans de la poursuite de l’institution monarchique de droit divin, siégèrent à l’extrême-droite du fauteuil présidentiel… depuis lors, l’on a toujours – et très justement – assimilé l’extrême-droite au conservatisme politique, économique et social.
À dire vrai, certains monarchistes des années 1830 à 1914 étaient partisans de l’établissement de lois sociales et d’un salaire équitable. Certains d’entre eux inspirèrent à Léon XIII son encyclique Rerum novarum, rendue publique le 15 mai 1891… qui effraya tant le patronat européen. En France, ce patronat était généralement républicain, volontiers de tendance « radicale », voire affilié au Grand-Orient, mais ses membres ne voulaient ni de réformes sociales ni d’augmentation notable des salaires. L’histoire réelle – pas celle enseignée dans nos écoles & facultés – offre de petites joies au chercheur !
Comment qualifier des patriotes (voire des « nationalistes chauvins ») qui veulent améliorer le statut culturel et le pouvoir d’achat des couches les plus pauvres de la Nation ? Par le nom d’Extrême-droite, nous dit-on… mais pour un observateur lucide, cette appellation devrait plutôt être attribuée à un patronat rétrograde, qui permet, par son immobilisme et son égoïsme, aux marxistes, aux socialistes de salons et aux permanents syndicaux de donner périodiquement de la voix, justifiant ainsi leur existence et leur gagne-pain : sans patronat stupide et arriéré, pas de gauche ni d’extrême-gauche ! L’un et l’autre s’entretiennent en une cynique interaction, dont les pauvres font les frais. À octroyer trop vite de décentes conditions de vie au bon peuple, on risquerait de mettre au chômage les démagogues.
De nos jours, les deux groupes complices (patronat et pseudo-gauche) soutiennent l’immigration-invasion, utile pour fournir des travailleurs engagés à bas coût par les patrons – qui ne reculent pas devant l’emploi de « clandestins » davantage sous-payés encore -, utile pour gonfler des effectifs syndicaux désertés par des autochtones désabusés. Tous hurlent auprès des mols politiciens pour que l’on accroisse par des allocations de toutes sortes les bas salaires, ce qui est excellent pour la consommation, donc au premier chef pour la grande distribution.
Pour désigner les hommes et les femmes qui refusent l’invasion de la patrie par des éléments extra-européens, violents, incultes, importateurs d’une religion conquérante et meurtrière par son Djihâd (recommandé à tout musulman en bonne santé), ces patriotes qui réclament la priorité d’embauche pour les nationaux, une meilleure protection de la production nationale exposée à une concurrence extra-européenne qui bénéficie d’un dumping d’État ou de l’exploitation – selon nos critères européens – de populations encore peu exigeantes… pour les désigner, plutôt que d’user à tort du qualificatif d’extrême-droite (qui sous-entend un conservatisme économique et social), il convient de parler de Populisme, soit une doctrine de promotion de la culture en milieu populaire, de revalorisation du travail manuel, d’exigence d’un juste salaire – adapté à la qualité et à la quantité du travail fourni par chacun… bref, comme l’ont écrit divers théoriciens depuis le Moyen Âge, c’est une doctrine qui se résume par l’expression : à chacun selon son dû.
On conçoit que ne soit guère à l’honneur cette notion très démocratique, qui définit la méritocratie, en une Europe des Économies Unies dans le cadre de cette économie globale et de cette mondialisation des vies politiques et sous-culturelle, qui sont plus proches de la merdocratie que de la méritocratie.
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A méditer :
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lundi, 08 février 2016
Le Journal de TV Libertés de ce lundi soir...
20:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
AFFAIRE PIQUEMAL, ENCORE UNE PROVOCATION GOUVERNEMENTALE
Un communiqué de Roger Holeindre, Président du CNC :
Le 6 février dernier, le général Chistian Piquemal, ancien « patron » de la Légion Étrangère, ancien président de l’Union Nationale des Parachutistes (UNP) et ami notoire de notre Cercle a eu le courage de s’opposer publiquement à une interdiction de manifestation à Calais. Ce faisant, le général Piquemal n’a pas hésité à s’opposer aux autorités gouvernementales au nom de l’intérêt supérieur du pays, notre pays, la France. Nous lui en saurons toujours gré. Précisons que Calais – ville française ? – est devenue, de fait, une enclave soumise à un autre droit que le droit français légal, ville dont les habitants de certains quartiers sont devenus des otages en puissance que la force publique n’est plus en mesure de protéger. Le scandale est patent.
Le rassemblement entièrement pacifique qui s’est opéré autour du général Piquemal le 6 février dernier était là, comme dans d’autres villes de France, pour justement dénoncer ce scandale. Alors que les trois sommations d’usage avaient été effectuées, le général, dans une adresse aux forces de l’ordre, plus particulièrement en direction des gendarmes présents qu’il traita de « frères d’armes », venait de donner la consigne de dispersion de la manifestation et allait achever son discours, un groupe de policiers en tenue se précipita, l’encercla et, sans ménagement, bousculant même une personne âgée, s’empara de sa personne… Ce, en vue d’une comparution immédiate.
Dans cette affaire, les provocations délibérées sont multiples :
- le deux poids deux mesures systématique pour l’autorisation de manifester malgré l’état d’urgence, les casseurs gauchistes manifestent et cassent joyeusement ;
- les manœuvres de désinformation de la part des autorités et de la presse serve au sujet de la nature de cette manifestation de Calais ;
- les persécutions en tous genres, y-compris fiscales, contre les associations qui déplaisent, comme actuellement nos amis de CIVITAS ;
- l’interpellation abusive et médiatisée d’un officier général populaire dans le milieu combattant…
Malgré notre indignation légitime, sachons garder le moral et la sagesse des vieilles troupes et ne cédons pas à ces provocations qui visent à nous faire sortir de nos gonds et à manifester bruyamment notre réprobation, ce qui serait le prétexte attendu pour nous faire dissoudre. Rappelons-nous du 6 février 1934 qui servira de prétexte à la dissolution par le gouvernement de tout un ensemble de ligues et associations patriotes, le tout couvert, comme toujours, par le mensonge officiel qui s’imposa par la suite comme vérité…
Ne tombons pas dans leur piège, soyons patients, le régime actuel, à l’agonie, se délite peu à peu…
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La FNSEA en réalité :
18:09 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |