vendredi, 12 février 2016
L’Inaptocratie (in english : ineptocracy), conséquence logique de la globalisation-mondialisation
En 2006, lorsque l’État fédéral tarda à venir au secours des sinistrés US de l’ouragan Katrina, un journaliste accola le néologisme d’Ineptocracy au gouvernement de George W. Bush (qui, en comparaison de son lamentable successeur, passe désormais pour un gestionnaire rigoureux des Finances US, même si sa politique étrangère, orientée par les néo-conservateurs judéo-US, fut désastreuse, moins toutefois que celle du crypto-islamiste Barack-Hussein Obama).
David Remer, journaliste et sujet de Sa Gracieuse Majesté britannique, a repris le terme, en 2012, pour qualifier le spectacle pitoyable de la vie politique et administrative française. Depuis lors, rien n’a changé… et l’on pourrait affirmer, sans encourir le risque d’être taxé de méchanceté, qu’il en va ainsi depuis 1981, c’est-à-dire lors de l’intégration de la France - Mitterrand régnant ou faisant semblant – aux fééries de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et pseudo-culturelle.
Le mot est une chimère grammaticale (l’adjectif anglais « Inept » étant accolé au classique verbe grec antique utilisé pour signifier l’art de commander : « kratein »). Au plan sémantique, sont interchangeables, en langue française, les adjectifs « inapte » et « inepte », pour l’excellente raison que nos « chefs » sont à la fois l’un et l’autre… et ceci est fort logique.
Que nos élus et nos agents de la haute administration (en France, nos merveilleux Énarques) se révèlent parfaitement inexperts à diriger la répression de la délinquance et de la criminalité n’étonnera personne, puisqu’ils ont l’ordre d’accepter une immigration islamique brutale, inculte, pratiquant avec virtuosité trafics de drogues et d’armes, vols et rackets, assassinats pour cause religieuse ou de règlement de comptes entre bandes rivales, enfin viols, coups et blessures, en plus de l’expression la plus ordurière d’un racisme quotidiennement exprimé.
Qu’élus, économistes, experts ès n’importe quelle spécialité, s’avèrent incapables de gérer l’économie du pays au mieux des intérêts de la Nation, ne peut surprendre que les niais : ils ne dirigent rien, recevant leurs ordres par des circuits complexes, de telle façon que le chef théorique de l’État ignore jusqu’à l’identité des véritables décideurs.
Élus et hauts-fonctionnaires ne sont guère utiles aux intérêts des Nations. Cela n’est que trop vérifié : corruption omniprésente ; détournement de l’argent public en faveur des sociétés privées appartenant aux amis de la majorité en place ; quasi impunité (sauf règlement de comptes personnels ou politiques) des Banksters et des chefs d’entreprises, des élus et des hauts-fonctionnaires peu délicats dans leur gestion ; lâche complicité de l’immigration-invasion musulmane… le tout par absolue soumission – admirablement rétribuée, cela va sans dire - au seul vrai Pouvoir de notre époque : l’Économique.
À quoi sert de ruminer la définition des dictionnaires anglo-américains du mot Ineptocracy, soit : le gouvernement des moins capables, des incompétents notoires, élus par une majorité de minables, puisque le système mis en place dans les années 1980 sq. exige la simple obéissance des pseudo-chefs d’États et de gouvernements aux ukases des patrons du very-hyper-big business.
La conclusion s’impose d’elle-même. Les Nations du bloc globalo-mondialiste ne peuvent rien attendre du résultat d’élections, systématiquement faussées par les énormes quantités d’unités de compte (selon la monnaie locale) octroyées pour le financement de tous les partis dits de gouvernement… nos bons maîtres laissent à l’électorat la joie de mettre aux apparences du Pouvoir le pantin à la mode du jour. Et la loi du nombre – démocratie oblige - fait le reste : 75% de crétins et de peu doués ne peuvent qu’élire les plus beaux démagogues, ceux qui promettent la lune (résorption du chômage, réduction des impôts, croissance économique, sécurité, égalité etc.).
Ergo, si les Nations exploitées par le système globalo-mondialiste veulent se sortir de l’ineptie ambiante et de l’inaptitude des « chefs », elles doivent s’insurger et mettre en place de véritables régimes populistes. L’étude de l’histoire offre des exemples que chacun est libre de méditer.
12:31 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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