dimanche, 31 janvier 2016
Les éoliennes : un autre fléau national
15:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi soir, TV Libertés a fêté ses deux ans
Un public nombreux a assisté samedi soir à la fête organisée pour les deux ans de TV Libertés. Philippe Milliau, Président de la chaîne, a présenté les projets de développement de celle-ci. Jean-Marie Le Pen était présent ainsi que de nombreuses personnalités de la Droite de conviction.
En savoir plus cliquez ici
12:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L' Aristoloche n°22
Pour le lire cliquez ici
11:50 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Choses vues à Cologne
Robert Spieler et les intervenants au meeting de Pro Köln
Robert Spieler pour Rivarol
J’étais, le weekend end dernier, à Cologne à l’invitation du mouvement identitaire Pro-Köln, qui avait organisé une réunion de nouvel an à la mairie de Cologne, où il dispose de quelques élus. La salle mise à disposition par la folle mairesse socialiste de Köln (vous savez, celle qui expliquait que pour se protéger des agressions de migrants, il fallait que les femmes se tiennent à distance d’un bras d’eux) était bien entendu trop petite pour contenir les 300 personnes présentes. J’ai pris la parole, aux côtés de Hilde De Lobel, ex députée du Vlaams Belang flamand et d’ A. Herzog, un dirigeant autrichien du Fpoe. J’ai évoqué l’invasion que vit la France et la terrible dénatalité que subit l’Europe. L’Allemagne perdra plus de sept millions d’indigènes, si j’ose dire, d’ici 2050. J’ai évoqué Jean Raspail (que les Allemands connaissent car son livre a été traduit) et Houellebecq et sa réflexion : « L’islam est la religion la plus conne du monde » suscitant, on l’imagine, de vifs applaudissements. J’ai désigné les responsables et exprimé le souhait, qu’un jour, ils soient jugés par un tribunal. Et j’ai ajouté : « Je propose que ce procès ait lieu à Nuremberg… » Deux secondes de flottement dans l’assemblée (aucun Allemand n’aurait osé formuler ce propos, tant la terreur y est grande), puis des applaudissements enthousiastes ! L’Allemagne, je l’ai souvent dit dans ces colonnes, est la pire dictature en Europe. Et les choses ne s’améliorent pas. Angela Merkel, qui s’effondre dans les sondages (plus que 37% d’opinions favorables) a trouvé le sésame pour se refaire une santé. Elle a annoncé vouloir créer une cour de justice spéciale afin de réprimer les opposants à l’immigration musulmane. Quant au ministre allemand des Finances, Wolfgang Schaüble, il a demandé la création d’une “taxe européenne sur le fuel” pour financer l’accueil des migrants… Des traîtres, vous disais-je, des traîtres… Et pendant ce temps-là, l’Autriche résiste. Le président du FPÖ Heinz-Christian Strache a fusillé dans une interview le Premier ministre social-démocrate Werner Faymann en le qualifiant d’ennemi de l’État : « L’Autriche doit s’attendre cette année à 300.000 migrants, qui tous veulent rester ici. Celui qui fait cela à son pays est un ennemi de l’État. ». Mais revenons à la situation en Allemagne, et plus particulièrement à celle des résistants..
Où en sont les mouvements résistants ?
Il y a tout d’abord Pégida,dont le leader est Lutz Bachmann, qui organise partout en Allemagne des manifestations contre l’invasion. Ces manifestations sont particulièrement importantes à Dresden, en ex-Allemagne de l’est, où, tous les lundis, près de dix mille protestataires se réunissent, malgré un froid glacial, pour exprimer leur refus de l’islamisation de l’Allemagne. Ces manifestations ont pour modèle celles qui, organisées semaine après semaine à Dresden, avaient entraîné la chute du mur de Berlin. Pegida n’a pas, pour l’instant, d’ambitions électorales et collabore avec d’autres mouvements résistants allemands et européens (dont le Vlaams Belang avec qui il vient d’organiser une manifestation à Anvers). Le parti anti-européiste Alternative für Deutschland (Alternative pour l’Allemagne) connait un considérable succès dans les sondages, qui donnent au parti 11% des voix si les élections avaient lieu aujourd’hui, derrière la CDU (37 %) et le SPD (24 %), mais désormais devant Die Linke (la gauche) et les Verts. Rappelons qu’en août 2015, le parti AfD n’avait le soutien que de 3 % des électeurs allemands dans les sondages. Depuis, il ne cesse de progresser. Le parti nationaliste NPD, qualifié de néo-nazi, semble, quant à lui, en perdition et subit, une fois de plus une menace d’interdiction. Rappelons qu’une telle menace planait déjà, il y a quinze ans sur le mouvement. Or les juges se rendirent compte que plus de la moitié des dirigeants du parti, dont les plus violents, les plus provocateurs, étaient des policiers du Verfassungsschutz infiltrés… Le Verfassungsschutz est l’organe de défense de la constitution, une sorte de police politique, bien pire que tout ce que nous pouvons imaginer en France. Une manifestation de Pegida avait été organisée récemment à Cologne. 5000 personnes étaient présentes. Un beau succès qui ne dura qu’un quart d’heure. Des hooligans stipendiés par le régime ont attaqué la police. Ils sont membres de l’organisation Hogesa (Hooligans gegen salafisten ; hooligans contre salafistes). Leur fondateur vient de mourir de mort naturelle. Il est confirmé qu’il était un agent du Verfassungsschutz… Et pendant ce temps là, l’avocat Horst Mahler (89 ans), qui fut aussi celui de la RAF (Rote Armee Fraktion), l’ultra-gauche violente des années 1970, croupit en prison, pour douze ans, pour propos révisionnistes. Il est le plus vieux prisonnier politique au monde. Mais la justice allemande sait être clémente. La preuve : Elle est prête à le libérer aux deux tiers de sa peine. Bon, il a quelques soucis de santé, il a été amputé, en prison, d’une jambe, il a été hospitalisé dans un état critique… Mais il conviendrait pour l’esthétique démocratique qu’il ne mourût pas en prison… Ainsi va l’Allemagne dégénérée…
11:38 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Entretien de Daniel Conversano avec Gaël et David, les agressés de Calais...
Suite à l'agression, samedi 23 janvier, par plusieurs centaines de migrants et de racailles d'extrême-gauche d'une famille de Calaisiens dans son propre jardin, Daniel Conversano, pamphlétaire nationaliste, et Kévin Reche, Délégué du Parti de la France pour le Calaisis, sont allés à la rencontre des victimes.
11:24 Publié dans Daniel Conversano | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DE MERKEL EN TAUBIRA
Pierre Vial
Certains noms portent une lourde charge négative. C’est le cas de Merkel et de Taubira.
Merkel a ouvert toutes grandes les portes de son pays aux envahisseurs. Elle est donc coupable de haute trahison à l’égard de son peuple, en appliquant un programme de destruction du peuple allemand qui est dans la tête des germanophobes de tous acabits depuis très longtemps.
Mais il arrive que le diable porte pierre. Les conséquences de l’invasion et en particulier les événements de Cologne commencent à tirer beaucoup d’Allemands d’une torpeur sciemment entretenue, depuis 1945, au nom d’une soi-disant culpabilité collective. Les Allemands ont les défauts de leurs qualités : respectueux de la loi, de l’ordre, de la hiérarchie, ils ont longtemps considéré que les autorités politiques, religieuses, culturelles qui exigeaient d’eux, sans cesse, une repentance avaient forcément raison.
Mais Merkel – et c’est tant mieux – est allée trop loin. Elle est maintenant « plus isolée que jamais, tant en Europe que dans son propre pays (…) la Suède et l’Autriche viennent de restreindre leur politique d’accueil. La décision, annoncée mercredi 20 janvier par Vienne, qui va plafonner le nombre de réfugiés que le pays est prêt à accueillir (37500 en 2016) a été vécue comme un revers majeur pour Angela Merkel » (Le Monde, 24 janvier 2016).
Gerald Knaus, fondateur du think tank European Stability Initiative, résume ainsi la situation : « L’Allemagne est totalement isolée. Les Européens sont d’autant moins enclins à accepter les solutions de Berlin que beaucoup d’entre eux, même à Bruxelles, sont convaincus que c’est elle qui est à l’origine du problème. Quant à la coopération avec la Turquie, c’est l’Allemagne qui l’a imposée et personne n’y croit. Même pas les Turcs, qui n’ont aucune confiance dans les dirigeants européens ».
Un sondage est révélateur : il indique que 79% des Allemands ET 90% DES ELECTEURS DE MERKEL veulent qu’elle durcisse les conditions d’accueil des réfugiés. Même au sein du Parti populaire européen, qui à Bruxelles regroupe les démocrates-chrétiens et qui est donc la famille politique de Merkel, beaucoup considèrent que l’exemple à suivre n’est pas donné par celle-ci mais plutôt par Viktor Orban, le premier ministre hongrois qui fait face sans complexe à la menace des envahisseurs.
Les agressions sexuelles de Cologne ont provoqué un réveil difficile pour beaucoup d’Européens encore bercés par la chanson douce du « vivre ensemble ». Car la vérité, pénible à admettre, est pourtant maintenant décrite par des observateurs lucides, comme la philosophe Alexandra Laignel-Lavastine. Laquelle déclare, non sans quelques illusions sur les remèdes possibles, dans les colonnes de Valeurs actuelles (21 janvier 2016) : « Il faudra un effort pédagogique colossal pour intégrer ces hommes jeunes issus de sociétés arabo-musulmanes ultraréactionnaires où la femme est considérée comme un être incomplet et inférieur (…) Le fossé à combler, immense, est donc aussi culturel et feindre de l’ignorer est aberrant. Il porte sur un système de valeurs distinct, voire en l’état incompatible avec le corpus libéral européen, notamment sur l’égalité entre les sexes ou la liberté de disposer de son corps (…) Pour revenir à Cologne, il faut comprendre que ces jeunes débarquent de pays largement dominés par une énorme frustration sexuelle masculine et par un mépris tout aussi accusé des femmes émancipées, perçues comme des « putes », la femme occidentale en étant l’archétype. Dans l’univers de référence des agresseurs de la Saint-Sylvestre, une jeune fille sortant boire un verre avec ses copines un soir de fête ne saurait être ni décente ni respectable, il sera donc normal d’y voir une créature offerte à leurs plus vils désirs ». Et elle enfonce le clou, en ce qui concerne l’aberrant aveuglement de tant d’Européens quant aux réalités de l’invasion : « L’effarante inefficacité de la police à protéger les victimes puis à identifier les coupables, le réveil tardif des journalistes, le 2 janvier, le malaise des féministes ne retrouvant pas leur abominable mâle blanc – tout cela démontre, une fois de plus, l’extraordinaire puissance du déni sur les esprits. Nous voulons des immigrés supercools, reconnaissants et respectueux des droits de l’homme comme de la femme, alors nous décrétons qu’ils le sont. Après le choc, les Allemands dessaoulent ».
En France, des événements comme ceux de Cologne sont-ils possibles ? Réponse d’un sondage IFOP (15 janvier) : Oui, pour 83 % des femmes interrogées (dont 75% des électrices de Hollande et 93% de celles de Sarkozy…).
Et la Taubira ? Cette caution multiraciale d’Hollande s’est cramponnée aussi longtemps que possible à la gamelle en se persuadant que le locataire de l’Elysée et celui de Matignon avaient tellement besoin d’elle, pour donner une image colorée du gouvernement, que c’était son assurance contre les accidents de parcours. Mais elle en a trop fait, en négligeant la susceptibilité d’un Manuel Valls qui se la joue de plus en plus à la Robespierre (à bien le regarder, lors de certaines de ses interventions, en particulier au Parlement, on voit bien que réintroduire la guillotine dans les usages politiques ne lui déplairait pas…).
Taubira a dû à ses origines sa carrière politique. Tous ceux qui l’ont approchée de près (elle aura usé quatre directeurs de cabinet en quatre ans… un record) savent qu’elle est invivable, d’une prétention rare et d’une agressivité constante. Elle va maintenant tenter de se donner le rôle de conscience morale d’une gauche qui ne sait plus très bien où elle habite, entre les provocations des excités baptisés « frondeurs », les ralliés sans complexe au libéralisme style Macron, les gamellards prêts à avaler les plus grosses couleuvres pour continuer à vivre confortablement, les anarcho-écolos qui essayent de se jouer un néo 68 un peu pâlichon en crachant sur les CRS. Taubira rêve-t-elle de se déguiser en Jeanne d’Arc d’une hypothétique nouvelle gauche ? On lui souhaite bien du plaisir. Et surtout on attend avec intérêt qu’elle se prenne les pieds dans le tapis.
11:16 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Il était une fois le solidarisme
Un entretien avec Francis Bergeron publié dans Rivarol :
A la fin des années 1960, les militants solidaristes affirmaient la nécessité d'une révolution. A la recherche d'une troisième voie entre le capitalisme et le communisme bureaucratique, ils rejetaient la logique des Blocs de la Guerre Froide. Durant dix ans, ils allaient être à la pointe de la réflexion et de l'action révolutionnaire. Francis Bergeron fut l'un d'entre eux.
Rivarol : Le solidarisme est un courant politique très particulier. Comment le définissez-vous ?
Francis Bergeron : C’est un mot en « isme », qui entend marquer la préoccupation sociale au sein du courant national, et l’idée d’une convergence possible entre deux courants trop souvent opposés dans le passé.
Le mot « socialisme » était employé avant la guerre de 14 par beaucoup de patriotes. Chez Maurice Barrès, par exemple. Mais à présent c’est un mot connoté à gauche. Il est notamment revendiqué par le courant communiste. Or le « socialisme réalisé », ce fut le Goulag, les famines, les millions de morts, la plus grande catastrophe de l’histoire de l’humanité. Quant à l’accoler avec l’adjectif « national », ce ne serait peut-être pas une bonne idée…
A la fin des années soixante, nous n’étions « ni de droite ni de gauche mais en avant ! », et ne voulions « ni trusts ni soviets », « ni capitalisme, ni marxisme » ; mais nous souhaitions aussi pouvoir nous définir par un mot résumant cette troisième voie que nous prétendions construire.
Le mot « nationalisme », utilisé par les maurrassiens et l’extrême droite traditionnelle ne mettait l’accent que sur le côté patriotique.
Nous avions trouvé ce mot « solidarisme » chez les Russes anticommunistes du NTS (Le Narodny Troudovoy Soyouz ou Union Populaire du Travail), et les Flamands du DSB (Joris van Severen). Au début de la IIIe République, en France, Léon Bourgeois avait également essayé de populariser ce mot, en tant que troisième voie (mais positionnée au centre).
D’autre part le mot « nationalisme » renvoyait à l’idée de la France seule, alors que notre courant était très européiste (face au bloc communiste) et favorable au concept d’Eurafrique, l’idée que l’Europe et l’Afrique avaient un destin commun. Thème que l’on trouvait chez Pierre Sergent et dans la littérature OAS
Vous avez participé à plusieurs organisations de cette mouvance dans votre jeunesse. Que gardez vous de cet engagement radical ?
J’en garde d’abord ce que gardent tous ceux qui sont passés par des mouvements extrémistes, dans leur jeunesse, de droite ou de gauche, d’ailleurs : le goût de l’action, l’absence de la peur physique, une certaine indifférence au « qu’en dira-t-on », une hiérarchie des valeurs quelque peu différente de celle du commun des mortels, et aussi une capacité à parler en public et à écrire.
La politique, le scoutisme et le service militaire (quand il existait), sont d’excellentes écoles de formation au management et leadership comme on dit aujourd’hui. Les extrémistes de droite et de gauche des années soixante dix n’étaient pas bien nombreux, en fait. Quarante ans plus tard, ils sont partout, jusqu’à la présidence du vénérable Sénat !
Bernanos dit quelque part que celui qui n’a pas été extrémiste avant trente ans est un salaud ou un saint. Je n’étais ni un salaud ni un saint…
Je me rends bien compte de la part d’utopie et d’immaturité de nos idées de l’époque. Vouloir construire un corpus doctrinal de A à Z ! Mais je garde la nostalgie d’une époque où je voyais le monde en noir et blanc, les « bons » et les « méchants ». Comme dans Tintin. La découverte que le monde est trop rarement noir ou blanc, mais surtout gris, est finalement assez pénible !
Pouvez-vous retracer les principales étapes de ce courant à partir de la fin des années 1960 ?
Le Mouvement Jeune Révolution (devenu Mouvement Solidariste Français par la suite) a été constitué par des anciens de l’OAS Métro Jeunes ou OMJ. Leur grand homme – notre grand homme - était Pierre Sergent. Quand Sergent est revenu d’exil, il semble ne pas avoir été très séduit par ce groupuscule. Et du coup le mouvement s’est cherché d’autres causes faisant un peu appel aux mêmes ressorts que l’OAS : esprit de résistance, action secrète ou au moins discrète etc. Et nous avons rencontré les Russes du NTS et toute l’action (parfois clandestine) tournée vers l’Europe de l’Est.
Parmi les plus activistes, le Groupe Action Jeunesse ( GAJ) se fit remarquer en son temps par son style musclé. A quoi tenait le succès de ce groupe de « jeunes turbulents » ?
Le GAJ a été au départ une scission du GUD. Ce dernier mouvement était accusé par certains de ses militants d’être trop proche du pouvoir giscardien (pour faire simple). Les scissionnistes ont rejoint le Mouvement Solidariste.
Mais c’était surtout l’esprit de la bande, les valeurs viriles de la bagarre qui motivaient tout ce petit monde. A l’époque, aux deux extrêmes, nous étions beaucoup plus violents qu’aujourd’hui. Les batailles rangées à coups de manches de pioche étaient fréquentes. Le pouvoir laissait faire. Peut-être les moyens de la police n’étaient-ils pas aussi sophistiqués qu’aujourd’hui.
Entre GAJ et GUD, ce fut une surenchère d’activisme ; puis GAJ et GUD s’affrontèrent, comme deux bandes de quartier se disputant un trafic de drogue. Ce qui était parfaitement ridicule.
Les solidaristes prirent fait et cause pour les dissidents d'Europe de l'Est durant la Guerre Froide. Quelles furent les formes de cette action de solidarité ?
Cette partie est la plus intéressante de l’histoire du solidarisme. Le mouvement solidariste a constitué un véritable vivier pour les organisations de résistance à l’Est. Chaque semaine des hommes et des femmes partaient en URSS, emportant des livres, des lettres, des revues, dissimulés dans leurs bagages ou à même le corps. Il n’y avait pas de scanners, à l’époque !
Et ils repartaient à l’Ouest, en rapportant d’autres courriers, des photos, ou encore des samizdats, ouvrages autoédités, que des maisons d’édition russes implantées en Occident pouvaient alors éditer et diffuser (Possev ou Ymca, notamment). C’est dans ce cadre que j’ai croisé la route de quelques dissidents qui eurent leur heure de gloire, comme Maximov et Guinzburg, ou encore Vadim Delaunay.
Le job était risqué et les jeunes militants du mouvement solidariste avaient peut-être moins froid aux yeux que la moyenne. C’est pour cela que les solidaristes russes venaient y chercher des volontaires.
Vous avez été expulsé d'URSS après une opération spectaculaire sur la Place Rouge. Comment avez vous vécu cette aventure ?
Ces allers-retours entre Paris et Moscou ou Paris et Léningrad (le plus souvent) pouvaient mal se terminer : une filature, une fouille, une arrestation. Et il y avait parfois des opérations spectaculaires et symboliques, des manifestations publiques de jeunes Occidentaux, en soutien à des prisonniers du Goulag. Ces jeunes Occidentaux risquaient tout de même moins que les gens du pays. Au maximum : six mois de prison, peut-être. C’est dans ce cadre que j’ai été arrêté, sur la Place Rouge, avec mon ami Jacques Arnould (qui dirige aujourd’hui les fameux Chœurs Montjoie Saint-Denis). C’était il y a 35 ans, déjà…Nous avons été très rapidement relâchés. Les relations entre la France et l’URSS, à cette période-là n’étaient pas mauvaises…
Les solidaristes français étaient en contact avec les solidaristes russes du NTS. Pouvez-vous rappeler l'histoire et l'originalité de ce groupe très particulier ?
Le NTS – ou Narodny Troudovoy Soyouz – (Union Populaire du Travail) était un mouvement de résistance clandestin, dans la mouvance du grand ministre réformateur du Tsar, Piotr Stolypine. Stolypine était un visionnaire et un homme de convictions. Il aurait pu sauver la Russie de la catastrophe bolchevique. Mais il a été assassiné en septembre 1911 par un agent bolchevique nommé Bogrov.
Le NTS a été créé par des exilés russes, en particulier Arcady Stolypine, le fils de Piotr.
L’intérêt du NTS, c’est qu’il ne s’agissait pas uniquement d’un mouvement politique de l’émigration russe. Il y avait, en URSS même, des résistants clandestins du NTS. Tous ceux qui ont été pris, ont été liquidés par les communistes.
Rue Blomet à Paris, au siège français du NTS, on pouvait voir les photos de tous ces martyrs. Le NTS a été très actif pendant plus de cinquante ans. Et ses principaux militants sont partis s’installer en Russie après la chute du mur de Berlin.
Alain Escoffier, le 10 février 1977, fit le choix de s'immoler par le feu pour attirer l'attention de l'opinion française sur la situation en URSS. Quel était le sens profond de cet acte et comment ce sacrifie fut- il perçu par les militants solidaristes ?
Alain Escoffier fait partie de ces solidaristes très marqués par ces actions en direction de l’Est. L’une de nos idoles était Jan Palach, ce jeune Tchèque qui s’était immolé par le feu, place Venceslas, en janvier 1969, face aux chars soviétiques. Il est bien certain que tout ceci a influencé notre camarade.
J’ai porté son cercueil à l’église. Je ne crois pas du tout que son sacrifice ait été inutile.
En France sa mort avait eu un certain retentissement. Mais plus encore dans les pays de l’Est, où les opposants cherchaient constamment des raisons d’espérer. Les informations parvenaient de l’autre côté du rideau de fer ; et l’idée que de jeunes Occidentaux luttaient pour leur liberté était un puissant réconfort pour les résistants anticommunistes.
Vous avez participé, avec d'autres militants solidaristes ou nationalistes français et européens, aux combats de la guerre du Liban au coté des milices chrétiennes. Pourquoi cet engagement, qui a conduit Stéphane Zanettaci, ancien responsable du SO du GAJ, à tomber les armes à la main ?
Stéphane Zanettacci est mort lors du siège de Tall El Zaatar, le camp palestinien « nettoyé » par les chrétiens. C’est à cause de moi qu’il est parti là-bas. Quand je suis revenu de mon premier séjour (avec Jacques Arnould et quelques autres, nous étions les tout premiers Français engagés dans ce combat), je l’ai raconté à Stéphane… qui m’a dit que la cause des chrétiens du Liban n’était pas notre cause ! Quelques mois plus tard, j’apprenais sa mort au combat, dans ces mêmes troupes libanaises !
A l’époque, dans la presse « progressiste » française, les chrétiens du Liban étaient présentés comme des sortes de colonialistes ou de « sud-africains », faisant suer le burnous aux pauvres musulmans exploités. Evidemment, aujourd’hui, plus personne ne ferait ce genre d’analyse. La réalité de la montée de l’islamisme – dont les chrétiens libanais furent les premières victimes – n’est plus contestée.
Comment expliquer la disparition du solidarisme au début des années 1980 ? Quel bilan tirez-vous de cette fantastique expérience ? Pensez-vous que l'esprit solidariste est encore vivant ?
Il faut bien comprendre que l’âge moyen, dans ces groupuscules, tournait autour de 20 ans. J’y ai milité de 1969 à 1977, soit de 16 à 24 ans, et je crois être une sorte d’ « échantillon représentatif ». La fin des études, le service militaire, le mariage constituaient des ruptures du mode de vie qui éloignaient de fait, et souvent définitivement, les anciens camarades. Car il n’y avait pas de « branche adulte » du solidarisme français.
Beaucoup d’anciens solidaristes sont partis explorer les horizons lointains, avec la Guilde européenne du raid, et les missions en l’Afghanistan, auprès du commandant Massoud. Quelques-uns ont poursuivi des engagements politiques, une minorité, au fond.
Et Jean-Pierre Stirbois – qui était l’un des rares adultes : il était né en 1945 – a ramené quelques rescapés du solidarisme dans le giron d’un Front national naissant.
Propos recueillis pour Rivarol par Monika Berchvok
Sous le signe du Trident
C'est en 1970 que le MJR prend comme insigne le trident, déjà adopté par le NTS russe. Il signifie l'union dans un même combat des forces vives de la nation : Les ouvriers, les paysans et les intellectuels. Le trident est un symbole de lutte populaire : luttes paysannes et de libérations nationale. Pour le MJR, le MSF et le GAJ il s'agit également de se distinguer des nationalistes qui ont chois la croix celtique.
Le dernier livre de Francis Bergeron « Georges Remi dit Hergé » est disponible aux éditions Pardès ( 44 rue Wilson – 77880 Grez-sur-Loing) , coll. Qui suis-je ?, 128 pp., illustré, 12 euros.
11:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 30 janvier 2016
Délit d'images : la photo de la honte...
Source Délit d'images cliquez ici
C’est une honte : voici donc les « réfugiés » qui rallient l’Europe par milliers chaque jour. On nous en annonce 4 millions cette année 2016. Regardez bien cette photo : UNE femme et SEPT hommes. Chacun de ces hommes est bien habillé, chaudement. Certains ont des ponchos imperméables qui les protègent de la neige fondante. Ils portent TOUS des chaussures de bonne qualité SAUF la femme qui va pieds nus !
Ils ont tous de bonnes chaussures et la seule femme va pieds nus ! Elle porte 2 enfants et aucun de ces « réfugiés » ne l’aide. Répugnant !
Aucun de ces hommes n’aide cette femme (voilée) à porter ses deux petits enfants (un sur le dos, un sur le ventre). Elle a un troisième enfant ; une petite fille à ses côtés.
Il s’agit d’un groupe ou je rêve ? ! Comment ces « hommes » peuvent-ils laisser cette femme seule porter 2 enfants sans l’aider ? Aucun respect, aucune morale. Qu’est-ce que c’est que ces barbares répugnants ? C’est eux qui paieront nos pensions demain ? ! De qui se moquent nos politiciens ?
13:18 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Des patrouilles chrétiennes pour sillonner les quartiers musulmans des grandes villes anglaises
Une information Médias presse info cliquez là
Royaume-Uni : voici des patrouilles chrétiennes pour sillonner les quartiers musulmans des grandes villes anglaises.
Tout à commencer en 2010, quand dans les banlieues Est de la capitale britannique, certains islamiques instituèrent des « muslim patrols » (patrouilles musulmanes) : bandes de barbus qui reprennent les couples qui se tiennent par la main dans les rues, terrorisent ceux qui boivent de l’alcool, ou qui porte en public des vêtements impudiques.
Face à ce phénomène d’imposition d’une forme de charia dans les quartiers à majorité musulmanes, le nationaliste « Britain First » a décidé de réagir en créant des patrouilles chrétiennes. Ces rondes veulent être une réponse aux milices musulmanes et rappeler que la Grande-Bretagne est une terre chrétienne. Insultes, coups bas, crachats, de la part des Islamiques, ponctuent leur marche, croix en tête, à travers les rues des quartiers où les Anglais de souche ont été balayés.
Cette initiative du parti de droite a été blâmée par différentes églises chrétiennes qui l’ont définie comme « provocatrice » et « semeuse de division ». Pourtant il suffirait à ces pasteurs chrétiens décérébrés de regarder la vidéo posté par Britain First pour réaliser non seulement que ces islamistes se sentent chez eux chez nous mais qu’ils veulent que le Royaume Uni devienne terre d’Islam !
Vu le masochisme des politiciens britanniques, ce futur n’est peut-être pas si lointain : le parti travailliste a décidé de présenter pour les prochaines élections municipales à Londres, place financière mondiale et ville où les britanniques de souche sont minoritaires, un candidat musulman d’origine pakistanaise, Sadiq Khan.
A quand le reine Élisabeth ou la jolie Kate en burqa pour mieux se fondre dans le nouveau paysage ethnique londonien ?
Que les élites britanniques prennent garde : leur laxisme, leur libéralisme idéologique qui favorise l’invasion de leur royaume va amplifier la cassure qui existe déjà entre pays réel et pays virtuel et créer un Royaume-Uni désuni ! Qu’ils se souviennent de la parabole du Seigneur : « Tout royaume divisé contre lui-même est réduit en désert, et toute ville ou toute maison divisée contre elle-même ne subsistera pas. » (St Matthieu, 12, 25)
Francesca de Villasmundo
11:16 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
PLUS QUE JAMAIS BOSSUET, L’EVEQUE DE MEAUX EST D’ACTUALITE !
de Jean-Claude Rolinat
« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes », écrivait au XVIIe siècle le célèbre prédicateur, évêque de Condom puis de Meaux, précepteur du Dauphin sous le règne de Louis XIV….
Les violences faites aux femmes dans la nuit de la Saint Sylvestre dans un grand nombre de villes allemandes, sont la parfaite illustration de cette maxime ! N’étaient-elles pas, pour un grand nombre d’entre-elles, les premières à accueillir ces masses de « réfugiés » dans les gares de la Bundesbanh, qui avec des bouquets de fleurs, qui avec des pancartes « Wilkommen » ? Le « retour sur investissements », c’est le moins que l’on puisse dire, n’a pas été à la hauteur des espoirs ! Insultes, attouchements et même viols, ont été le lot de milliers de jeunes femmes non seulement à Cologne – où 1076 plaintes ont été enregistrées dont 384 pour délits sexuels – mais aussi à Hambourg, Stuttgart, Bielefeld…Le journal Welt am Sonntag écrivait que « plus de 2000 personnes, presque toutes d’origine arabe, réparties dans un rayon de 2 Km autour de la gare centrale » (de Cologne) s’en sont prises à toutes les femmes, jeunes et moins jeunes, présentes entre la gare et la cathédrale. La police allemande n’avait pas pu dissimuler bien longtemps l’identité des malfrats. Comme en écho à ces révélations d’abord bien cachées « de peur de faire monter l’extrême-droite », on apprenait que des incidents similaires s’étaient produits en Suède particulièrement l’été dernier, en Finlande, en Autriche et aux Pays-Bas ! Décidément, oui, « l’immigration est une chance pour l’Europe »… Un sondage publié par l’hebdomadaire VALEURS ACTUELLES dans sa livraison du jeudi 21 janvier, indique que 83 % des femmes françaises redoutent des vagues de violence à leur encontre identiques à celles de Cologne. Ainsi va la vie dans notre belle République, « une démocratie exemplaire », la terre « du bien vivre ensemble »… Et ce n’est surement pas la communauté israélite de Marseille qui pourra dire le contraire. En effet, le lundi 11 janvier dernier, un professeur de l’Institut Franco-Hébraïque de la cité phocéenne portant la kippa, a été agressé en pleine rue à coups de machette par un jeune Turc de 15 ans, d’origine Kurde ! L’enseignant est traumatisé, on le serait à moins. Sous le coup de l’émotion, consigne a été donnée aux juifs marseillais de ne pas porter la kippa dans la rue ! Faudrait-il donc que les Chrétiens, eux aussi, cachent les symboles de leur foi, petites (ou grosses) croix portées au cou et que les curés en soutane – rares, il est vrai, mais il en reste – rasent les murs ou s’habillent « en civil » , alors que dans le même temps, par provocation ou conviction, de plus en plus de musulmanes sortent dans les rues, « emmaillotées » en noir, de la tête aux pieds ? La communauté Israélite de France à cet égard ou, à tout le moins certains des dirigeants du CRIF notamment, portent une grande responsabilité. N’ont-ils pas jeté l’opprobre sur ceux qui dénonçaient les dangers d’une immigration incontrôlée, les taxant au mieux de « fascistes », au pire de « nazis » ? J’ai, pour ma part, alors que je distribuais jadis des tracts lors d’une campagne électorale, subi pareille insulte alors que, ni de près, ni de loin, je n’ai une quelconque sympathie pour l’ordre SS ! Mais je n’ai pas la mémoire courte ! Etait-ce un attardé mental néo-fasciste, un lecteur de Charles Maurras, un nostalgique d’un certain Chancelier qui, de sang-froid et avec une cruauté absolue, tua à bout portant des enfants d’une école juive de Toulouse ? Et le jeune Ilan Halimi, torturé et massacré dans d’abominables conditions, l’a-t-il été par des adhérents d’un parti « populiste », pour utiliser le langage des médias à la botte ? La communauté s’est trompée de cible et, heureusement, des gens comme Eric Zemmour, Elisabeth Levy ou Gilles-William Goldnadel rectifient le tir.
Des conséquences qui étaient inéluctables
Quand on évoque la citation de Bossuet dans l’introduction du présent article, comment ne pas songer également aux producteurs de porcs et aux évènements de Calais ? Avec un nombre grandissant de fidèles musulmans dans les écoles et les entreprises, point besoin d’être devin pour imaginer que la consommation de porc, certes aux marges, ira en diminuants. Voyagez sur Air France, vous n’aurez JAMAIS de porc dans les menus. Quant aux bidonvilles de Calais, il ne fallait pas sortir de Polytechnique pour envisager, dès la signature lors du 25ème sommet Franco-Britannique en 2003 des accords du Touquet par un certain Sarkozy , que la situation allait empirer. Nos frontières étant ouvertes à tous les vents (mauvais !) des flux migratoires, les demandeurs d’asile pour le Royaume-Uni allaient fatalement s’entasser dans d’ignobles conditions de vie au bord de la Manche. Décidément, celui qui a été chassé par la grande porte et qui veut revenir par le soupirail, par son action déstabilisatrice en Libye, la fermeture de Sangatte ou la départementalisation de Mayotte, aura été l’un des plus actifs fossoyeurs d’une France protégée des nouvelles « grandes invasions ». Stupéfiant venant de la part d’un homme politique donnant plutôt l’impression d’une intelligente dynamique. Comme quoi….
Angela qui rit, Angela qui pleure….
Oui, Dieu se rit des pleurnichards, Dieu se rit de Madame Angela Merkel qui, en ouvrant toutes grandes les portes de la République fédérale allemande l’été dernier, vient de mettre son pays dans une situation plus qu’embarrassante et, par ricochet, va précipiter à terme, l’écroulement d’une institution bancale : « l’espace Schengen ». C’est un coup de boomerang auquel cette fille de Pasteur de la défunte RDA, n’avait pas pensé. Les bons sentiments et l’empathie n’ont jamais été de fructueux conseils pour gouverner. Après la disparition des « Monstres sacrés » de la grande histoire, notre continent manque, de nos jours, d’hommes ou de femmes ayant le sens de l’Etat et une perception pragmatique des intérêts supérieurs de leurs pays respectifs. Cela s’appelle, tout simplement, la Realpolitik !
09:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : samedi prochain, 30 janvier, Emmanuel Albach à la Librairie française
Commander le livre en ligne cliquez là
01:09 Publié dans Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un nouveau livre de Georges Feltin-Tracol
Après avoir fait paraître un violent réquisitoire contre le système liberticide en 2014 (« En liberté surveillée », Les bouquins de Synthèse nationale cliquez ici), Georges Feltin-Tracol revient sur le devant de la scène éditoriale en ce début d'année avec un dense recueil d'articles intitulé « Eléments pour une pensée extrême ».
Prévenons dès à présent notre lectorat que le contenu de cet ouvrage ne s'adresse en aucune façon aux modérés et à ceux qui tentent inlassablement d'« arrondir les angles». Avec Georges Feltin-Tracol, nous "mettons les pieds dans le plat" et c'est tant mieux car l'année 2016 s'annonce décisive pour l'avenir de notre peuple !
Provocateur, polémique, radical,« Éléments pour une pensée extrême » vise le bankstérisme, les FemHaine, les sordides valeurs républicaines, le bellicisme humanitaire, la société suédoise, le désordre sécuritaire, l’OTAN, la non-Europe de Bruxelles, les oligarchies politico-mafieuses, les tentatives fallacieuses d’« union nationale », le grotesque Charlie…
Eléments pour une pensée extrême, Georges Feltin-Tracol, Editions du Lore, 440 pages, 30 €
Georges Feltin-Tracol est aussi l'auteur d'un essai Bardèche et l'Europe, publié aux Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici, il anime le site Europe maxima et collabore aux revues Réfléchir et agir et Synthèse nationale ainsi qu'aux Cahiers d'Histoire du nationalisme.
01:05 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'Association des Amis de Synthèse nationale est en cours de constitution. Adhérez pour participer à ses activités...
ASSOCIATION DES AMIS
DE SYNTHESE NATIONALE
Depuis bientôt dix ans, Synthèse nationale mène sans relâche un combat contre le Système mondialiste broyeur des Peuples et des Nations et pour l’instauration d’un Ordre nouveau, nationaliste, social et identitaire.
Pour cela nous avons créé une machine de guerre qui repose sur :
■ la revue Synthèse nationale, 40 numéros parus, diffusée à 4 000 exemplaires, qui est le fer de lance de notre organisation... Ajoutez à cela des numéros thématiques hors-série…
■ Le blog éponyme, actualisé trois fois par jours, consulté quotidiennement par des milliers d’internautes…
■ Une maison d’édition, Les Bouquins de Synthèse nationale, créée en 2012, qui a déjà publié une vingtaine de titres diffusés dans les librairies non-conformistes et grâce au site synthese-editions.com
■ Une revue historique, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, lancée en avril 2014, dont le septième numéro, consacré à la Croix celtique, vient de paraître…
■ Les « Journées nationalistes et identitaires » qui se déroulent chaque année depuis neuf ans et qui sont devenues le rendez-vous de rentrée des forces patriotiques… Nous en sommes à la neuvième édition cette année. Une autre réunion de ce type a lieu chaque année au printemps, depuis 2013, près de Lille…
■ Des réunions, colloques, conférences de presse dans plus d’une trentaine de villes de France...
■ Des campagnes militantes remarquées (contre la réintégration dans l’OTAN en 2009, contre l’islamisation de la France en 2009 et 2010, contre l’étau bruxellois en 2011, pour l’Union de la Droite nationale en 2012, pour la dissolution de l’officine anti-française SOS-Racisme en 2013, contre le Traité transatlantique en 2014, « Non, nous ne sommes pas Charlie » en 2015…).
■ Un soutien fraternel aux organisations nationalistes victimes de la répression gouvernementale, comme ce fut le cas en 2013 au moment de « l’affaire Méric »…
■ Des contacts amicaux avec une grande partie des mouvements nationaux, nationalistes et identitaires, tant en France qu’en Europe…
Aujourd’hui, face à l’accélération du processus de décomposition de notre Nation et contre le génocide par substitution que nous impose le Système, nous avons le devoir d’intensifier notre action. Pour cela, nous avons besoin de votre soutien !
ADHEREZ AUX AMIS DE SYNTHESE NATIONALE !
AIDEZ-NOUS A AMPLIFIER LE
COMBAT NATIONALISTE ET IDENTITAIRE
Adhérez en ligne cliquez là
00:41 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 29 janvier 2016
Les Brigandes : une nouvelle chanson sur Cabrel
19:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie prochaine d'un film sur Céline
08:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Me Gilbert Collard défendra les Calaisiens agressés samedi dernier...
La France entière s'est émue samedi dernier en voyant comment les hordes de migrants, excitées par les petits valets de la haute-finance mondialiste que sont les gauchistes du NPA, ont attaqué une humble famille calaisienne devant son domicile lors d'une manifestation organisée par les partis de gauche.
Et lorsque nos compatriotes ont appris que des membres de cette famille lâchement agressée avaient été embarqués par la police sous le prétexte que l'un d'entre eux, dans un réflexe de légitime défense, avait sorti une (fausse) carabine, cette émotion s'est carrément transformée en colère.
Enfin, la réaction lamentable du maire (Les Républicain) de la ville qui demanda en début de semaine aux victimes de l'agression de déménager ne peut que nous inspirer le dégoût le plus total.
Voilà pourquoi nous ne pouvons que saluer la décision de Me Gilbert Collard de prendre en charge la défense de la famille calaisienne.
Synthèse nationale
08:08 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Du bon usage de la fonction hospitalière
Dr Bernard Plouvier
En ce mois de janvier 2016, comme pour reposer l’opinion publique des ignominies islamiques en Europe occidentale, la presse bruit du triste comportement de jeunes stagiaires affecté(e)s en services hospitaliers consacrés aux déments et débiles mentaux. Et ceci pose de nombreux problèmes, sans commune mesure avec la simple répulsion provoquée par les sévices physiques et moraux infligés aux patients. S’indigner est chose aisée ; éviter les récidives est plus utile ; réformer est indispensable.
D’abord, il convient de déterminer quels idiots administratifs ont pu exposer sans examen psychologique préalable des adolescents, et surtout des adolescentes de 16-17 ans, au contact effrayant d’humains qui n’en sont plus vraiment malgré les apparences, ayant perdu ce qui nous différentie des autres espèces animales : le cerveau… certes imparfait, mais avec ses six couches de neurones du néocortex, il est ce que l’évolution des espèces animales a fait de mieux pour l’instant.
On a osé, par l’effet d’une irréflexion et d’une irresponsabilité qui confinent au pur crétinisme, mettre des gamines, qui rêvent du prince charmant qui les couvrira de baisers, voire de bijoux, des idiotes à peine sorties du monde merveilleux de Walt Disney et des bisounours, qui ne pensent qu’à flirter et regarder des téléfilms made in USA débiles et sirupeux, en relation immédiate avec des « enveloppes corporelles » vidées de ce qui fait l’essence de l’être humain. Comme l’écrivait Erich-Maria Remarque (in L’Obélisque noir) à propos de débiles mentaux et de déments : « à côté de ces monstres, les animaux sont des dieux ».
Le contact avec déments, psychotiques graves et débiles profonds est déjà un traumatisme pour un étudiant en médecine lors de ses premiers stages hospitaliers (en 3e et 4e années d’études)… alors plonger gamins et gamines dans cet enfer terrestre est une absurdité, une erreur grotesque qui, dans notre monde où grâce aux téléphones-appareils photo et vidéo portables chacun peut se croire devenu le nombril du monde, débouche sur la mise en scène de sottises qui dégénèrent vite en cruautés. Plutôt que de se référer à la supercherie psychanalytique, il suffit de se remémorer La Fontaine : « Cet âge est sans pitié »… et il évoquait des gamins de moins de 10 ans ; chacun sait que les « ado » sont pires.
Depuis la fin des années 1980, les administratifs ont progressivement imposé leur dictature dans les hôpitaux, passant du rôle de gestionnaire, plus ou moins habile et mégalomaniaque, mais toujours carriériste, à celui de « chef » omnipotent, tenu en bride, exclusivement pour la question financière, par « l’autorité régionale de santé » (qui change d’appellation toutes les décennies). Le médecin chef de service, considéré comme un gêneur, est informé une fois prises les décisions, et l’infirmière-surveillante, autrefois associée aux médecins, a été placée dans la mouvance administrative, au point que certaines surveillantes ne font même plus la visite des malades avec les médecins !
Les abominations, qui ont indigné l’opinion à juste titre, doivent servir à autre chose qu’alimenter les jérémiades sur le passé et « la jeunesse dépravée actuelle »… lamentations d’autant plus déplacées que c’est la société que nous avons créée ou tolérée qui a façonné cette jeunesse. Les « dysfonctionnements » (c’est le terme administratif pour désigner une faute, une carence d’encadrement ou tout autre accident) témoignent de l’absurdité kafkaïenne de notre système hospitalier.
Il est temps de se souvenir qu’un hôpital n’est pas « une affaire à gérer comme n’importe quelle entreprise » (paroles très souvent entendues depuis les années 1995 sq. par l’auteur, chef de service hospitalier durant trente années), mais une structure de soins, physiques et mentaux. C’est d’abord et avant tout le médecin qui soigne, étant seul habilité à établir les diagnostics, à prescrire les thérapeutiques et à juger de l’évolution… même si certaines infirmières ont voulu usurper ces fonctions, selon le schéma du principe de Peter qui veut que chaque acteur de la comédie humaine s’élève jusqu’à son plus haut degré d’incompétence.
L’ignominie récente doit être l’occasion de prendre conscience des dangereuses dérives administratives et financières qui ont présidé à la « politique hospitalière » des deux dernières décennies. Les soins sont d’abord et avant tout affaire de médecins. C’est au chef de service et à la véritable surveillante de soins de décider qui il faut affecter aux « endroits sensibles » et qui doit en être exclu. Les administratifs doivent se contenter du rôle de gestionnaires et non de celui de dictateurs, singulièrement à propos de sujets dont ils ignorent tout.
07:41 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mercredi soir les Parisiens se sont rassemblés devant le ministère de la Justice pour fêter le départ de Taubira
Près de 80% des Français, selon les sondages, ont été heureux d'apprendre la démission de Christiane Taubira dont le passage Place Vendôme laissera un triste souvenir. Mercredi soir des centaines de Parisiens se sont spontanément rassemblés aux abords du ministère pour fêter au champagne ce départ tant attendu. La France patriote n'est pas prête d'oublier le mal que cette femme a fait au pays...
07:25 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 28 janvier 2016
Pour sauver notre pays et sauver notre culture : mobilisation européenne les 6 et 7 février prochains
Un communiqué de Pierre Cassen (Riposte laïque) et de Christine Tasin (Résistance républicaine) :
Sous l’impulsion de Pegida Allemagne et du fondateur de l’English Defense League Tommy Robinson, une initiative européenne regroupant quatorze pays aura lieu les 6 et 7 février, sur le thème : « Sauvons notre pays, sauvons notre culture, sauvons notre futur ».
Les peuples européens, confrontés depuis plus d’un an à une accélération de la déferlante migratoire, sont sommés d’accueillir, en 2016, sur leur sol, en période de chômage de masse, des millions de clandestins, souvent hommes seuls, de culture musulmane, qui, manifestement, ne partagent pas les mêmes modes de vie, ni les mêmes valeurs qu’eux.
Les événements de la nuit du 31 décembre, en Allemagne, mais aussi en Finlande et en Suisse, où des milliers de femmes européennes ont été insultées, agressées, frappées, violées, montrent les conséquences de la politique irresponsable et criminelle de l’Union européenne, qui menace directement les peuples autochtones, agressés de plus en plus souvent sur leur propre territoire.
Le drame vécu, quotidiennement, par les Calaisiens, submergés par une jungle de 10.000 clandestins, dont certains attaquent les camions, agressent les policiers et les riverains, confirment que cette immigration n’est pas une chance pour la France, ni pour ses habitants.
Les attentats de Charlie Hebdo, puis ceux du Bataclan, montrent la réalité de la présence, en France et en Europe, d’une cinquième colonne islamiste, qui a décidé, par la violence et la terreur, d’imposer ses pratiques à l’ensemble des Européens. L’accélération de l’invasion migratoire ne peut que renforcer ces desseins, l’Etat islamique se vantant d’avoir infiltré les flots de migrants qui arrivent dans nos pays.
Coordinateurs, au niveau français, de cette initiative européenne, nous nous réjouissons que cinq rassemblements se déroulent, les 6 et 7 février, dans différentes villes de France : le 6 février à Montpellier, Bordeaux, Saint-Brieuc, Calais, et, le 7, à Rungis, avec la présence, entre autres, du général Antoine Martinez, de Karim Ouchikh, président du Siel et conseiller régional Ile-de-France, et de l’écrivain Renaud Camus, mais aussi de Calaisiens qui viendront témoigner de la réalité de leur ville.
Nous appelons nos compatriotes, par leur présence, à assurer le succès de ces initiatives, afin que la France prenne toute sa place dans la Résistance européenne qui se construit, et contribue à « sauver notre pays, sauver notre culture, sauver notre futur », aujourd’hui menacés par l’invasion migratoire, l’islamisation et le terrorisme.
Détails des journées de mobilisation cliquez ici
13:45 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Marquis sur TV Libertés
11:02 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Point sur la situation en Syrie à la veille des pourparlers de paix
Martial Roudier Languedoc infos cliquez ici
Ce vendredi 29 janvier 2016 vont débuter à Genève des pourparlers de paix entre l’opposition syrienne et les représentants du gouvernement toujours légitime de Bachar El-Assad. Cette rencontre peut être qualifiée d’historique puisque les combats auxquels nous assistons en Syrie pourraient aisément être qualifiés de « Troisième Guerre mondiale ». En effet, au vu des forces en présence sur le terrain et des états participant de près ou de loin aux combats, il n’est pas interdit de qualifier ce conflit moyen-oriental de majeur.
Syrie : quelles forces en présence ?
Pour schématiser nous avons d’un coté le camp « officiel » qui soutient le président alaouite Bachar El-Assad mené de manière spectaculaire par la Russie et son président Vladimir Poutine. Ce dernier a voulu que son pays reprenne une place majeure dans la géopolitique de la région, qui est sa zone d’influence directe; mais a souhaité également soutenir un pays allié et fidèle client. Il est à rajouter que la Russie possède localement quelques infrastructures militaires dont le port de Tartous et qu’une victoire lui assurera dans la région un partenariat privilégié payé au prix du sang. Se sont agrégés à la Russie, deux acteurs locaux majeurs dans la région qui composent l’alliance chiite. Le Hezbollah libanais qui a délaissé son ennemi historique, Israël, pour miser sur le futur et consolider sa position auprès de nouveaux partenaires. L’un de ces derniers est constitué par la République Islamique d’Iran, troisième composante de poids des « pro-Bachar ». L’Iran, qui avait revu ses prétentions politiques à la baisse avec le remplacement du président Mahmoud Ahmadinejad (réputé pour ses saillies verbales à l’ONU envers Israël) par le plus mesuré Hassan Rohani, effectue un grand retour en envoyant ses soldats combattre en première ligne.
Le camp adverse est celui que l’on pourrait qualifier « d’occidental » puisqu’il est composé principalement des Etats unis et de pays européens. Mais, et il est impératif de garder ce point à l’esprit, si l’Europe et les USA semblent maîtres de la situation, il est plus probable qu’ils jouent les « idiots utiles » d’autres pays qui agissent en sous main pour leurs propres intérêts. Nous pensons ici au rôle majeur de l’Arabie Saoudite sunnite qui est le principal fournisseur d’armes à tous les opposants à Bachar El-Assad. Il est d’ailleurs surprenant d’observer sur des photos de combats, des insurgés dépenaillés utiliser du matériel sophistiqué comme les missiles anti-chars TOW coutant plusieurs dizaines de milliers de dollars. Ce type de système d’arme est aujourd’hui le principal frein à l’avancée des forces pro-gouvernementales. Nous n’oublierons pas de signaler le rôle pour le moins ambigu de la Turquie et le jeu particulièrement trouble de son président Erdogan. La Turquie est LA base logistique des forces anti-gouvernementales, de l’opposition dite « modérée » par Laurent Fabius, comme des combattants de Daech. Personne n’oubliera l’épisode du bombardier russe SU-24 abattu pour avoir prétendument survolé l’espace aérien turc. C’est par la Turquie que les jihadistes « européens » passent en Syrie et c’est également par là que les « migrants » entrent en Europe. Parmi ces derniers, les auteurs des attentats de Paris. Et dire que certains veulent intégrer la Turquie dans l’Europe…
La situation en Syrie aujourd’hui
Sur le terrain, à la veille des fameux pourparlers de Genève, quelle est la situation militaire? Il est difficile de répondre à cette question car le conflit qui nous occupe ne se présente pas comme une guerre de position avec un front bien établi. Il faut ici prendre en compte deux éléments que sont les composantes ethniques et la géographie. La Syrie d’avant 2011 n’existe plus et n’existera plus, toutes les minorités ethniques veulent tirer avantage de ce conflit pour devenir autonomes, on pense aux Kurdes qui se taillent la part du lion dans le nord du pays. Le territoire syrien est composé de zones désertiques et de zones montagneuses où les forces en présence constituent une véritable mosaïque s’étirant principalement le long des vallées et des axes routiers. Nous retrouvons des enclaves pro-gouvernement cernées par l’Etat Islamique et des zones favorables à l’insurrection isolées par les forces gouvernementales. Pour résumer, on peut distinguer huit tendances et toutes sont en opposition les unes avec les autres. D’un point de vue purement militaire, il est intéressant de constater que les fondamentaux sont de retour. On se bat de manière acharnée pour Sheikh Maskin qui est un carrefour clef, la M5 devient l’axe majeur (sud-nord) de progression, dans les montagnes au nord de Lattaquié et à proximité de la frontière turque, on réapprend la prépondérance d’une position en hauteur sur l’axe routier de fond de vallée, le fameux « qui tient les hauts, tient les bas ».
Aujourd’hui l’avantage revient aux forces loyalistes. Ces dernières progressent globalement sur tous les fronts grâce évidemment à la maîtrise de l’espace aérien et l’appui logistique russes.
Très importante progression dans les montagnes du Nord de Lattaquié où s’est déroulé l’incident du bombardier russe. Cette zone est en passe d’être nettoyée. Elle présentera plusieurs avantages. A savoir : 1/ réduire l’influence néfaste liée à la frontière turque (acheminement de combattants, de matériels, d’argent, etc.) 2/ sécuriser les infrastructures portuaires et aéroportuaires militaires russes présentes dans la région 3/ préparer l’englobement de l’axe menant à la ville d’Idlib « capitale » des forces insurgées.
Forte poussée également autour de l’aéroport de Qweires à l’Est immédiat d’Alep, libéré il y a trois mois d’un encerclement de deux ans par l’Etat Islamique. Le saillant s’étend et se transforme en un mouvement tournant afin d’encercler les forces jihadistes. L’objectif principal est la plaque tournante d’Al Bab et cette victoire permettra de récupérer une centrale thermique, de sécuriser un axe important et surtout de faire baisser la pression sur cette zone de la périphérie d’Alep.
La conquête de l’autoroute M5 qui relie le sud et le nord du pays est pour l’instant à l’arrêt mais constitue l’objectif principal de la reconquête. Gageons que l’effort sur cet axe reprendra une fois les autres secteurs consolidés.
Plusieurs autres secteurs marquent des avancées mais qui n’apparaissent pas comme majeures pour le moment. On ne sait pas par exemple ce que va donner la prise de Sheikh Maskin au sud ou bien comment va évoluer la réduction de la poche insurgée du nord de Homs.
La situation est très préoccupante pour les forces loyalistes dans la poche de Deir-Eizor. Cette enclave en plein territoire de l’Etat Islamique a subi une féroce attaque jihadiste la semaine dernière et la situation sur le terrain ne promet pas de s’arranger.
De durs combats ont lieu au Nord à la frontière turque entre l’Etat Islamique et les forces insurgées de l’Armée Syrienne Libre. Notons que ce territoire est également convoité par l’opposition Kurde qui réaliserait ainsi la jonction entre deux de ses territoires, verrouillant ainsi la zone de frontière avec la Turquie.
La ville islamiste de Manbij au Nord se retrouve menacée depuis quelques temps par les forces kurdes du YPG, discrètement aidées par les américains, qui ont pris possession du barrage de Tishrin et ont ainsi pu traverser l’Euphrate menaçant directement l’Etat Islamique au cœur de son territoire. Cette avancée est pour l’instant au point mort.
Aucune bonne nouvelle ne nous est parvenue quant à la libération de Palmyre. Chaque jour qui passe est une catastrophe pour cette cité romaine qui est un des joyaux de la civilisation et dont les trésors architecturaux sont détruits à la dynamite par les fous d’Allah !
Qu’attendre finalement des pourparlers de vendredi? Il parait illusoire de croire qu’ils seront déterminants, tant les belligérants de ce conflit régional -mais d’un enjeu dépassant les frontières du Moyen Orient-, ayant fait entre 100 000 et 300 000 morts, sont nombreux et sur des positions diamétralement opposées. Ce matin, on apprenait d’ailleurs que la Turquie menaçait de boycotter les pourparlers si les kurdes étaient invités à la table des négociations.
10:37 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
10:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3219 du 21 janvier 2016
FLORIAN Philippot, le numéro deux du FN mariniste l’avait déjà dit : il n’avait jamais voté pour Jean-Marie Le Pen. Il aura des choses à dire lors du séminaire de réflexion stratégique organisé par Marine Le Pen du 5 au 7 février. Il vient de déclarer son admiration pour Philippe Séguin : il salue « les idées de Séguin, son côté visionnaire, son courage, son patriotisme et son gaullisme qui ne se sont jamais démentis ». Il exprime un regret : que Philippe Séguin « ne soit pas devenu le leader souverainiste qu’il aurait dû être, plus qu’un Villiers, un Pasqua ou un Chevènement », et n’en finit pas de se demander pourquoi il n’a pas franchi le pas. « Il avait toutes les qualités pour jouer ce personnage qui nous aurait fait gagner vingt-cinq ans ». Bon, Séguin était favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne, se liquéfia face à Mitterrand dans le débat décisif organisé sur TF1 avant le référendum de Maastricht le 20 septembre 1992, se battait en 1998 contre toute alliance avec le FN, déclarant au sujet des élus régionaux de “droite” et du centre tentés par un rapprochement avec le Front : « Ils ne vont tout de même pas vendre leur âme pour des Safrane ! » Et qu’en est-il de Jean-Marie Le Pen, que Philippot ne cite même pas comme chef souverainiste ? Il le balaie d’un revers de tablier : « Je ne me sens absolument pas engagé par le FN de 1998 ». Où va le FN ?
OÙ VA LE FN ?
L’interview de Robert Ménard, parue sur Boulevard Voltaire, est intéressante car on devine en filigrane la probable évolution du FN et les probables décisions issues du séminaire destiné à réfléchir à l’évolution du FN, organisé prochainement par Marine Le Pen, auquel Ménard est invité, alors qu’il n’est pas membre du FN.
« J’ai eu l’occasion, par la suite, d’en parler (du FN) de vive voix avec plusieurs dirigeants du FN. Eux de l’intérieur, moi de l’extérieur, nous avons le même sentiment : il faut refonder le FN, l’élargir, pour qu’il devienne le grand parti de gouvernement dont nous avons besoin. » A la question : « Comment abordez-vous ce séminaire ? », il répond : « Dans un esprit de critique positive. Dans les esprits, nous sommes largement majoritaires. Comment concrétiser électoralement ce fait majoritaire ? Quels sont les freins qui s’y opposent actuellement ? Je parle des freins intrinsèques au programme du FN, intrinsèques à sa stratégie, des freins sur lesquels nous pouvons agir. » Il poursuit : « Sur le plan psychologique, le changement de nom du FN aurait un impact considérable. Encore faut-il qu’il ne s’agisse pas d’une opération de communication, mais que ce nouveau nom soit la signature d’un nouveau projet et d’un élargissement à de nouvelles personnalités. Pour prendre le pouvoir, le FN a le devoir de changer. »
Décidément le Front national de Jean-Marie Le Pen ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir…
MERKEL ACCUSÉE DE HAUTE TRAHISON
Plusieurs centaines de citoyens ont écrit au Parquet fédéral de Karlsruhe pour exiger une enquête officielle sur l’accusation de haute trahison à l’encontre de la chancelière Angela Merkel. Cette accusation est corroborée par un rapport commandé par la CSU, le parti frère en Bavière de la CDU d’Angela. Son auteur est un juriste allemand, Udo di Fabio, qui fut juge du Tribunal constitutionnel fédéral de 1999 à 2011. Il rappelle que le gouvernement fédéral est tenu par la constitution allemande de se charger de la sécurité des frontières du pays si les institutions européennes font défaut et estime que, par son inaction, le gouvernement d’Angela Merkel viole la constitution allemande qui n’impose pas la protection de toutes les personnes dans le monde en leur permettant d’entrer sur le territoire allemand, ce qui est la politique actuelle du gouvernement.
La constitution allemande précise que les citoyens ont le droit de résister à toute personne cherchant à violer l’ordre constitutionnel allemand s’il n’existe pas d’autre solution. Certains groupes de résistants se sont évidemment emparés de la constitution pour combattre la trahison de Merkel. De fait, les risques d’actions violentes dans les prochaines semaines ne sont pas totalement à écarter.
BONNE NOUVELLE : LA MARIJUANA ENFIN CACHÈRE
On ne savait pas trop, et cela suscitait l’inquiétude : la marijuana est-elle cachère ? La réponse est oui ! La société américaine Vireo Health, qui figure parmi les cinq entreprises autorisées à commercialiser la marijuana dans l’Etat de New York, a annoncé fièrement que ses produits sont désormais certifiés cacher par l’Orthodox Union. Les rabbins de l’Orthodox Union ont visité méticuleusement la chaîne de production afin de vérifier que cette substance ne pose aucun souci en matière de cacheroute. Le vice-président de Vireo Health, Ari Hoffnung, a déclaré, fou de bonheur : « Etre certifié cacher par l’Orthodox Union ne va pas simplement nous aider à répondre aux besoins de la plus grande communauté juive des Etats-Unis mais aussi de combattre les préjugés associés au cannabis médical. » Mais que se passe-t-il pendant la période de Pessah ? Pas de problème, nous dit le journal israélien Haaretz. Les rabbins le disent : « La marijuana est cachère toute l’année, donc je ne vois pas pourquoi elle ne le serait pas pendant la fête de Pessah ». Nous voici soulagés…
CHAUPRADE FONDE SON PARTI
Aymeric Chauprade avait claqué la porte du Front national le 9 novembre 2015, dans la foulée de son équipée destinée à exfiltrer de République dominicaine les deux pilotes français impliqués dans l’affaire « Air cocaïne ». On comprend sa rage contre Marine Le Pen, qu’il accuse de “trahison”. Elle s’apprêtait à le traduire devant le conseil de discipline du FN pour avoir participé à cette opération, et lui avait déjà retiré, quelques mois plus tôt, la présidence de la délégation frontiste au Parlement européen pour des propos qu’elle avait jugé trop islamophobes. Il avait en effet déclaré que « la France était en guerre avec des musulmans » et avait évoqué le danger « d’une cinquième colonne islamiste en France ». Pas de quoi fouetter un chat mais il comparaissait le 13 janvier devant la 17e chambre correctionnelle de Paris pour incitation à la haine.
Il a annoncé le jour même la création de son parti à la tonalité très gaulliste, Les Français libres, mouvement qui souhaite se placer dans l’orbite des Républicains, ayant pour objectif de permettre en 2017 la victoire d’une « droite crédible et assumée ». Il entend combattre le « socialisme mondialisé » que représente le PS et le « socialisme nationalisé » qu’incarne à ses yeux le FN. Son programme : la désislamisation, la désétatisation et la reconstruction de la puissance géopolitique française, avec un rééquilibrage vers la Russie. Mais il prône curieusement le maintien de la France dans l’Otan et l’UE. Parmi ses soutiens, l’entrepreneur et homme politique Charles Beigbeder pourrait le rejoindre prochainement. Chauprade estime que « le FN mène à l’impasse ». Curieux qu’il ne s’en soit pas rendu compte quand il fut élu député européen sur la liste FN et qu’il occupa la présidence de la délégation frontiste au Parlement européen…
En tout cas, ce nouveau parti ne nous dit rien qui vaille d’autant qu’il semble renoncer au combat contre l’immigration (pour lui les Asiatiques et les Africains non mahométans ne posent aucun problème en France et peuvent y rester) et s’inscrit de plus en plus ouvertement dans une ligne très sioniste et judéophile. Il a ainsi regretté le départ des juifs de France qui fuiraient le nouvel antisémitisme, se réclame de l’héritage “judéo-chrétien” de la France (ce qui ne veut rien dire mais qui est une concession verbale à qui l’on sait !) Même si beaucoup de ses critiques à l’égard du FN mariniste ne sont pas dénuées de fondement, son recentrage de plus en plus manifeste et sa soumission au Système ne sauraient avoir l’aval des rivaroliens.
DAVID BOWIE, HITLER, ET ISRAËL
David Bowie, la star androgyne de la musique rock, vient de disparaître (voir article de Léon Camus dans RIV. du 14 janvier). Il avait déjà failli disparaître, il y a une quarantaine d’années dans les cachots de la musique. Pensez : à Londres, en 1976, à Victoria Station, David Bowie arrive dans une Mercedes décapotable. Debout, il salue la foule, le bras tendu, comme le Führer à Nuremberg. Les media qui se penchèrent sur le personnage dévoilèrent qu’il possédait une collection de memorabilia (objets souvenirs à valeurs sentimentales) nazis. Il aggrava son cas en allant jusqu’à déclarer : « Adolf Hitler était une des premières stars du rock. » Alors là, ça a commencé à chauffer sérieusement pour lui. Il fut sur le point d’être égorgé quand ses conseillers purent le convaincre de demander pardon. Il commença à expliquer que son jugement était totalement altéré par la drogue, et qu’il était « complètement dérangé, totalement, complètement fou. » Les media, compréhensifs, considérèrent qu’il était sous l’emprise de la drogue et non d’Adolf Hitler. Mais ça ne suffisait évidemment pas pour être totalement pardonné. Il fallut qu’il allât plus loin. Du coup, il donna plusieurs concerts en Israël et, bien avant Madonna, se mit à étudier la Kabbale et le fit savoir. Du coup, il vient de disparaître, comblé d’honneurs et d’admiration. La gloire, c’est simple comme un aller-retour à Jérusalem !
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler
10:15 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 27 janvier 2016
BYE, BYE, TAUBIRA : BON DEBARRAS !
Femme courageuse défendant ses convictions avec une foi inébranlable, cette Ministre de la Justice représente l’incarnation d’un Système que je combats. Cette militante gauchiste œuvre pour le Nouvel Ordre Mondial et compte des complices dans toutes les organisations internationales. Ces dirigeants qui ne savent pas, qui ne peuvent pas ou qui ne veulent pas accepter les réalités. Ces modernes inquisiteurs de la Religion Droits-de-l’hommiste.
ET ON TUERA TOUS LES AFFREUX *
Ceux qui détiennent le pouvoir légal, mais déconnectés du monde réel de leurs concitoyens, prennent leurs désirs qu’ils voudraient nous imposer, comme une certitude non contestable. Et leurs rêves ne sont pas les nôtres, nous, ceux d’en bas, qui sommes confrontés aux maux qui gangrènent notre quotidien. Ces princes qui dirigent nos pays, élus ou cooptés, bénéficient de sinécures hautement rémunérées et de privilèges moyenâgeux. Si encore ils étaient compétents, efficaces et honnêtes moralement, le peuple n’exprimerait pas son mécontentement, que ce soit à Saint-Brieuc, à Barcelone, à Athènes ou à Cologne. Partout un sentiment de révolte gronde : cela ressemble étrangement aux semaines qui ont précédé la révolution de mai 1968. Après avoir assisté à la révolution de Jasmin dans les pays arabes en 2011, allons-nous aussi connaître un printemps du muguet en Europe ?
Parce que, franchement, peut-on réellement bondir de joie et relever une nette amélioration quand on examine la situation où se trouvent certains pays européens depuis 40 ans :
- Augmentation ininterrompue des impôts et des taxes
- Hausse du chômage structurel et surtout parmi les moins de 25 ans
- Insécurité grandissante dans toutes les villes
- Corruption permanente des élites au pouvoir
- Immigration sauvage envahissant nos quartiers
- Islamisation de tous les secteurs d’activités
- Laxisme généralisé de la Justice envers les délinquants
- Enseignement scolaire défaillant
- Déliquescence totale du rôle de l’Administration
Ne touchez pas à ma sœur ! Clandestins, aidez-nous à combattre le racisme : rentrez chez vous !
Un seul exemple suffit à résumer les tares du Système que Bruxelles veut nous imposer : Le Nouvel An à Cologne, en Allemagne !
Les faits ont été occultés par la police et passés sous silence par les médias durant 3 jours. Il s’agissait d’attentats à la pudeur et de harcèlements sexuels commis à l’encontre, non pas de quelques femmes, mais de plusieurs centaines, par des hordes de maghrébins et d’immigrés arabes en chasse de gibier féminin.
Et le scandale en Allemagne incombe à Angela Merkel qui avait ouvert en grand les frontières pour accueillir tous les « migrants » du monde et appelé le peuple germanique à faire preuve d’humanité envers les plus persécutés…sortez vos mouchoirs !
C’est quand même elle qui, le samedi 10 septembre 2010, lors d’un Congrès de la CDU avait déclaré « le Multikulti a échoué, totalement échoué ! » Comprenne qui pourra.
Il est probable que lentement, mais sûrement, les complices européens du mondialisme nous conduisent vers le chaos, vers un choc de civilisations et sans doute vers des affrontements armés entre les communautés. Car comment expliquer sinon leur laxisme, leurs silences, leur lâcheté et leur veulerie ?
Du chaos naît la tyrannie, dont Platon disait :
« Lorsque les pères s’habituent à laisser faire leurs enfants.
Lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles.
Lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves.
Lorsque finalement les jeunes méprisent les lois, parce qu’ils ne reconnaissent plus,
au-dessus d’eux, l’autorité de rien ni de personne…
Alors c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie. »
Note
*Titre d’un roman-noir, fiction de Vernon Sullivan (écrit en 1948).
17:02 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les media et le pourrissement de l’opinion publique française
Dr Bernard Plouvier
Depuis le début des années 1980, notre pays subit une immigration-invasion qui a non seulement accéléré son rythme d’accroissement ces dix dernières années, mais a également importé un bien inutile surplus de haine raciale et religieuse, en plus d’avoir introduit une nouvelle criminalité : le défi quotidien à l’État, avec ses moments de pointes (les fiestas de voyous contre forces de l’ordre et pompiers et, friandise suprême, les émeutes raciales).
Depuis 2014, avec un record qui ne demande qu’à être battu : celui de l’année 2015, le terrorisme islamique s’est abattu sur la France, réprimé par l’État avec la plus extrême faiblesse et une inefficacité telle que le Président de la République a cru bon d’avertir ses chers administrés du risque de nouveaux attentats.
Tout ceci est bien connu (ou devrait l’être). Or, surprises du dernier week-end – qui prouvent que l’on est encore loin d’avoir touché le fond, alors que l’on croyait impossible d’explorer plus avant les abysses de l’abjection depuis les ignominies des mois de novembre et décembre derniers -, on manifeste POUR les immigrés et un fou furieux vient, sur les écrans, clamer son approbation enthousiaste des agissements terroristes des fidèles d’Abou Bakr II et de son État Islamique... le tout devant une ministresse, issue elle-même de l’immigration-invasion, qui reste coite face à ce déchaînement de haine, à cet encouragement au crime.
Il existe certes des lois réprimant l’apologie de crimes contre l’Humanité, mais qui oserait, en France molle et corrompue, cliente des émirs et roitelets islamo-pétroliers, les appliquer dans toute leur rigueur à un cacique du système islamique pur et dur ?
Nous a-t-on assez injuriés, depuis les années 1980, parce qu’il semblait que l’on ne respectait pas suffisamment un devoir de mémoire à propos d’une Shoah ancienne, fort peu française dans son essence et son organisation, au demeurant très largement indemnisée… et l’on ressort l’argument à chaque fois qu’un malheureux Juif est victime d’un fou d’Allah. Or c’est de la réduction en esclavage de la Nation française autochtone, après extermination de sa couche la plus patriote, qu’il s’agit désormais ! Le devoir est à la fois de mémoriser sans oubli possible les ignobles événements des années passées, mais aussi et surtout de se défendre avec la dernière énergie, soit d’être prêt à mourir s’il le faut pour assurer la survie des enfants et petits-enfants de notre race.
Il devient urgent de nettoyer les écuries et porcheries françaises : la haute direction de l’État, nos media consensuels et l’ensemble de l’islamisme militant installé en France. À la différence d’un Augias, nous n’avons pas d’Hercule local à notre disposition, même si l’on peut espérer, en cas de péril extrême, disposer d’un allié de poids venu de l’Est européen.
Nous devons surtout compter sur nous-mêmes et créer une armée de patriotes, prêts à s’engager physiquement au combat, dès que l’ennemi, déjà largement installé dans le pays, déclenchera la guerre permanente, aidé de sa puissante 5e colonne : les musulmans des forces de police et de gendarmerie, de l’armée et du gardiennage de prisons, et leurs collaborateurs et collaboratrices autochtones dévoyés.
En attendant le jour du combat, il faut inlassablement dénoncer la pourriture des media vendus aux maîtres du système économique. Ceux-là mêmes qui ont fait savoir, en ce mois de janvier 2016, qu’il était nécessaire d’introduire en l’Europe occidentale 1 million d’immigrés extra-européens supplémentaires par an durant une vingtaine d’années pour soutenir la « croissance économique »… ce qui signifie, traduit en langage clair et moins noble : maintenir les profits issus de la consommation de masse, au besoin aidée par les allocations tirées du produit de nos impôts.
Il y a croissance et croissance : la vraie qui est liée à la production et à l’exportation de nos produits et la fausse qui n’est qu’une hyperconsommation, parasitaire ou à crédit. Pour nos maîtres, tout bénéfice est bon à prendre et plus il y a de consommateurs dans les pays encore riches, plus les profits sont grands.
Le grand art de nos maîtres et de leurs valets est de masquer le sens des termes, de pratiquer la confusion sémantique… en termes moins savants : d’embrouiller le bon peuple. Il faut reconnaître qu’ils y parviennent encore très facilement. Il reste à faire un énorme travail de désintoxication d’une opinion publique abêtie et aveulie par 35 années de pourrissement systématique.
10:25 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
BON DEBARRAS !
La réaction de Thomas Joly,
Secrétaire général du Parti de la France :
La plus calamiteuse Ministre de la justice de l'Histoire de la Ve République a présenté sa démission à François Hollande qui l'a acceptée. Jean-Jacques Urvoas, un apparatchik socialiste breton, la remplace. Il ne faudra hélas pas s'attendre à beaucoup de changements de la part du gouvernement socialiste, toujours dans le camp des criminels et des délinquants - pourvu qu'ils soient étrangers - plutôt que dans celui des victimes, surtout s'il s'agit de Français de souche.
Source cliquez ici
10:03 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau site de Gabriele Adinolfi
Notre ami Gabriele Adinolfi, Président du Centre Polaris de Rome et instigateur du Projet européen Lansquenet, vient de se doter d'un nouveau site. Il y développe ses positions politiques, sociales et géopolitiques. En particulier l'activité de lobbying qu'il est en train de mettre en place. Nos lecteurs qui désireraient en savoir plus peuvent consulter ce site en cliquant ici ou prendre contact avec Gabriele Adinolfi en écrivant à cette adresse
Profitons-en pour vous proposer les deux derniers livres de Gabriele Adinolfi publiés par Les Bouquins de Synthèse nationale :
En savoir plus cliquez ici
En savoir plus cliquez là
01:04 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 26 janvier 2016
La France, province de l’Europe
Dr Bernard Plouvier
Il serait temps que l’opinion publique autant que nos stratèges politiques et militaires comprennent cette profonde réalité qui fait grincer les dents des « souverainistes » : la France est devenue, légalement et pratiquement, une région (ou une province) de l’ensemble européen. Il faut donc tirer les conséquences de ce fait incontestable, sauf à vouloir repasser en mode nationaliste et s’enfermer dans l’autarcie politique, comme le font, avec un indéniable succès, les Suisses… qui ont un ratio immigrés/natifs bien inférieur au nôtre.
La première conséquence de l’actuel état de fait est d’ordre militaire et douanier. Dans le contexte de notre époque d’immigration-invasion musulmane, ces deux fonctions : la sécurité aux frontières et la défense, n’en font plus qu’un. Or, à toute époque historique, les stratèges du temps de paix se sont lourdement trompés, tant sur les moyens que sur la durée, voire – et c’est plus grave – sur les objectifs de la guerre prochaine.
En 1990-93, quand l’URSS et ses satellites du Pacte de Varsovie se sont effondrés, il était devenu évident pour le moindre pékin d’Europe occidentale qu’il fallait pivoter de 90 degrés vers le sud les regards angoissés, ainsi que les objectifs militaires des États du continent. Lorsque ce pékin de base exposait cette idée aux stratèges issus de Saint-Cyr ou de Polytechnique, comme aux demi-dieux sortis de l’ENA, il se faisait considérer comme un parfait abruti, qualifié de « dangereux » quand il ajoutait que l’OTAN n’avait plus aucun intérêt, ne servant objectivement que les seuls intérêts de l’État ploutocratique des USA.
Un quart de siècle plus tard, l’OTAN s’est couvert de gloire en déstabilisant – de 2008 à nos jours – les vieilles dictatures musulmanes, transformant ces pays en zones de guérilla permanente et en centres de formation des guerriers de l’islam. Il y aurait beaucoup à dire sur la véritable personnalité de Barack-Hussein Obama, fils de musulman ensuite officiellement passé à l’athéisme : le crypto-islamisme du Président des USA peut aisément se déduire de son action politique… c’est aux fruits qu’on juge l’arbre. En l’occurrence, les fruits sont pourris.
Il y a pire. L’OTAN, initialement créé à fort juste titre pour contenir le communisme, s’est mué en organisme de combat contre la seule Russie, pourtant occidentalisée, d’économie de type libéral, en voie de rechristianisation accélérée, où le chef de l’État tente de lutter contre le capitalisme de spéculation et contre une maffia qui n’a de russe que le nom (elle est composée de Juifs, de Géorgiens et de Tchétchènes : rien que d’affirmer cette triste réalité vous fait passer pour un « révisionniste »). Il est évident que la Russie de Wladimir Poutine fait hurler nombre d’humanistes financiers de Wall Street, Washington, Londres et autres hauts-lieux de la saine spéculation et de l’arnaque juridiquement inattaquable.
D’un autre côté, l’on nous assure que « la question de guerre ne se pose plus de nos jours comme autrefois… Il n’y a plus de menace à nos frontières » (in conférence donnée le 26 mars 2012 à l’Académie des Sciences morales et politiques – soit un curieux accouplement d’adjectifs -, par un stratège de poids, l’ex-chef d’état-major des armées françaises, Jean-Louis Georgelin). N’importe qui peut aisément se rendre compte que l’on a simplement déplacé notre souveraineté frontalière aux États limitrophes de l’Union Européenne… ce qui, en France, correspond à notre littoral méditerranéen, largement ouvert sur l’Afrique, et au littoral atlantique, offert à qui veut se donner les moyens de débarquer clandestinement.
Or, tout a basculé au mois de novembre 2015, moins en raison des attentats islamistes qui ne sont pas une nouveauté s’ils sont devenus d’une ampleur inquiétante, qu’en raison d’un début d’affrontement entre forces aériennes de l’OTAN (en l’occurrence l’aviation turque) et force aérienne russe. L’OTAN contre la Russie : cela peut plaire aux USA, voire à leur « 51e État » - la Grande-Bretagne, si peu « européenne » -, à leurs alliés touraniens (qui, de la Turquie au Turkménistan, menacent le Sud de la Russie et l’Ouest de la Chine), mais en aucun cas aux véritables Européens.
Notre continent ne se réduit pas à l’Union des économies européennes occidentales, centrales et danubiennes, encore moins à une relation de dépendance - qui confine à l’asservissement – avec les USA. Notre continent est le berceau de la race blanche (« caucasienne » selon les anthropologues peu savants du XIXe siècle ; en réalité, elle naquit de façon plurifocale des rives de la Baltique aux grandes plaines russo-ukrainiennes). L’Europe s’étend de l’Islande à Vladivostok. Il est temps de s’en souvenir et de mieux choisir nos amis et nos ennemis.
18:03 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Il reste deux places pour le voyage en Syrie organisé en février
Communiqué de la Communauté syrienne de France :
En solidarité avec le peuple syrien, et suite à la réussite des voyages de solidarité d'avril, août et novembre 2015, La Communauté Syrienne de France organise un quatrième voyage au cœur de la Syrie, fin février 2016. Lors de ce voyage, seront organisées des visites accompagnées des principaux musées, des sites historiques, et quelques joyaux du patrimoine syrien et du patrimoine de l’humanité. Venez découvrir l'autre visage de la Syrie.
Renseignements : 06 05 60 56 79 ou rcsfrance@gmail.com
Interventions de Rima, de la Communauté syrienne de France, et de Stéphane qui a participé au premier voyage, lors de la 9e Journée de Synthèse nationale le 11 octobre dernier cliquez ici
Comte rendu de ce voyage publié par Breizh infos et repris dans Synthèse nationale cliquez là
18:01 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Modernes gorgones
La chronique de Philippe Randa
L’humanité est riche en monstres, c’est un fait, mais il est toujours déroutant de découvrir qu’en ce domaine, la parité n’a pas attendu le politiquement correct actuel pour s’imposer… Le dégoût est forcément plus grand encore quand l’inadmissible est commis par des êtres d’un sexe qu’on pense trop souvent à tord faible, alors qu’il peut se révéler particulièrement ignoble.
La preuve par ces trois femelles – peut-on les appeler autrement ? – âgées de 16 et 17 ans, en « stage d’apprentissage professionnel » dans un établissement pour personnes âgées d’Annet-sur-Marne : non seulement, elles excellèrent à martyriser « dès le premier jour » de leur stage des personnes handicapées, certaines atteintes d’Alzheimer, mais cherchèrent ensuite les lauriers d’une gloire douteuse en postant sur la plateforme Snapchat pas moins de 33 vidéos de moins de 20 secondes de leurs turpitudes…
Diffusés et visionnés 340 fois en 48 heures, ce sont des internautes écœurés par la violence des images qui ont alertés la gendarmerie.
Mises en examen vendredi pour violences en réunion avec préméditation, diffusion sur internet de scènes de violence et atteinte à la vie privée, les trois gorgones ont été placées sous contrôle judiciaire…
On savait depuis Michel Audiard que « les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! »… Mais désormais, il est certains que les dégénérés, eux, n’ont pas de limites… et qu’il n’y a qu’à visionner leurs « exploits » sur les réseaux sociaux pour en être convaincus !
17:38 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |