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lundi, 25 janvier 2016

Calais : pour sauver l'honneur de la ville, un grand rassemblement est organisé samedi 6 février

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Ce rassemblement aura lieu simultanément avec plusieurs autres programmés à Bordeaux, Saint Brieuc, Montpellier et juste avant celui du dimanche 7 février à Rungis.

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Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

16:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Calais : le Parti de la France apporte son soutien aux Calaisiens agressés

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Communiqué de Kévin Reche, Délégué du Parti de la France pour le Calaisis :

Dans l’après-midi du samedi 23 janvier s’est tenue à Calais une manifestation de clandestins et d’extrémistes de gauche demandant la « destruction des frontières ». La marche est partie de la « Jungle », direction la Place d’Armes en passant par les axes de Calais les plus fréquentés.

Une fois arrivées rue Mollien, des racailles d’extrême-gauche reconnaissent Gaël et David, un père et son fils, militants très fidèles du collectif Sauvons Calais qui prenaient l’air devant leur domicile avec d’autres membres de leur famille.

Entre 100 et 150 personnes (clandestins et crasseux gauchistes) se sont alors précipitées devant la maison en insultant et menaçant la famille. Pendant plusieurs minutes, des projectiles (pneus de vélo, pierres et bâtons) ont été lancés sur la famille calaisienne qui tentait, tant bien que mal, de faire partir les indésirables de leur parcelle (voir la vidéo). Le courage de cette famille, énervée et apeurée à la fois, a payé puisque les agresseurs ont finalement reculés. La police est intervenue, une fois que tout était terminé, et a embarqué David (le père de famille) ainsi que Gaël (le fils) en prétextant qu’ils les emmenaient pour déposer plainte contre les clandestins et les No Border. Une fois au commissariat, ils seront tout deux placés en garde à vue. Pour ce qui est du cortège de clandestins et de pseudos-humanistes, il dégradera plusieurs véhicules sur son passage et taguera des inscriptions comme « FUCK CAPITALISM », « FEUX AUX FRONTIÈRES » ou encore « NIK LA FRANCE » sur des magasins et une statue de Charles de Gaulle.

Le Parti de la France apporte tout son soutien à la famille de Calaisiens agressés et dénonce la complicité active de l’État socialiste et de la municipalité avec les clandestins et les voyous d’extrême-gauche.

Cette situation de guerre civile encouragée par nos gouvernants n’est plus supportable, il est plus que temps de mettre un terme à cette submersion migratoire et de sauver Calais du chaos !

09:30 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Europe face au nouveau type de Djihâd

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Dr Bernard Plouvier

Il est évident que le Coran, qui prêche l’amour mutuel entre fidèles (muslim, en langue arabe), au moins de façon théorique - car son enseignement n’a jamais empêché les assassinats pour raison privée ou pour cause de différend politique, voire ethnique (en Algérie, par exemple) -, prône également la lutte impitoyable contre les apostats (sourate 4) et les infidèles (athées et croyants en un autre dieu). Les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60 et 61 ordonnent à tout muslim en bonne santé de participer à la guerre sainte (ou Djihâd), tandis que d’autres sourates (3 et 10) glorifient la mort au combat des guerriers de l’islam. Nul lecteur du Coran ne peut le nier.

Toutefois, les condamnations du récent terrorisme djihadiste par de nombreux musulmans (pas tous, loin de là, et singulièrement pas par les jeunes voyous qui ravagent tant de quartiers de cités européennes, qui trafiquent, volent et violent dans les zones de non-droit et dans les lieux où ils se sentent en nombre et en force face à des policiers fort peu présents et rarement pugnaces) sont probablement honnêtes et justes.

La lutte pour imposer l’islam là où il n’est pas pratiqué par tous - ce qui définit le domaine de la guerre, Dâr al-Harb, par opposition au domaine de l’islam - est une affaire de combat entre hommes et seuls des lâches osent s’en prendre armés à des hommes désarmés, à des femmes et à des enfants. Dès son origine, l’islam fut une religion d’hommes rudes, mais non de lâches, bien au contraire. C’est une affaire de combat, voire de corps à corps, qui engage physiquement et moralement le guerrier d’Allah, pas une affaire de meurtre.  

Il est exact que les sourates 8 et 47 n’encouragent pas à la clémence envers les vaincus qui refusent de se convertir à l’islam. Le djihadiste peut tuer ses prisonniers, les vendre comme esclaves, prendre tous leurs biens (dont femmes et enfants). Il ne doit y avoir ni compromis avant ou durant le combat, ni bienveillance envers le vaincu infidèle, mais jamais la doctrine de Mahomet n’a encouragé l’assassinat pur et simple d’individus désarmés, si elle autorise les relations sexuelles avec les femmes non-musulmanes, considérées à l’égal d’esclaves… l’actuel comportement des jeunes mâles envoyés en Europe, pour former l’avant-garde de l’islam conquérant, ne surprend que ceux qui n’ont rien compris à la mentalité des djihadistes ni au contexte géopolitique actuel.

Aucune sourate du Coran, aucun des innombrables volumes de hadiths (des commentaires sur le Coran) n’envisagent la participation des femmes au combat, encore moins celle des enfants impubères. Il serait donc absurde, pour un véritable fidèle, d’armer femmes et enfants ou de les envoyer en kamikazes, porteurs de charges d’explosifs, pour tuer à l’aveugle fidèles et infidèles. En outre, cette forme de terrorisme, responsable de morts instantanées, contrevient à l’enseignement coranique qui proclame que tout être humain peut se convertir jusqu’à son dernier instant de vie : le tuer de façon inopinée lui ôte cette ultime chance. À l’évidence, le terrorisme aveugle est opposé à la pure doctrine coranique.

Il en va autrement de certains ulémas et mollahs, infiniment plus agressifs en paroles, tout en se gardant bien de s’exposer eux-mêmes. Quand l’un d’eux est tué, c’est par une action de commando nord-américain ou israélien, voire par l’effet d’un de ces « dommages collatéraux », inhérents aux bombardements de populations civiles.

Il importe de comprendre que les règles du Djihâd ont récemment changé par la volonté d’un homme : Abou Bakr II, autoproclamé calife le 29 juin 2014 et intronisé le 5 juillet suivant dans la grande mosquée de Mossoul, et de ce fait paré du titre de commandeur des croyants.

Un calife est le personnage religieux le plus important de l’islam en sa variété sunnite (qui regroupe plus d’un milliard de fidèles), à condition, bien sûr, d’être reconnu comme tel par les fidèles et surtout par les docteurs de la loi coranique, les très nombreux ulémas. La différence essentielle avec la papauté réside dans l’absence d’élection et même de collège électoral. Le fait même qu’Abou Bakr II n’ait pas été immédiatement réduit en cendres, lors de sa proclamation du 29 juin 2014 et de la cérémonie du 5 juillet, est la meilleure preuve pour ses fidèles qu’il est bien l’envoyé d’Allah, qui l’inspire directement ou par le biais de l’archange Gabriel.

Ibrahim Awad est né en 1971, dans une famille de chorfa (des individus réputés descendre de Mahomet par les femmes). Théologien islamique de la mouvance salafiste irakienne, il a été arrêté par les troupes d’occupation nord-américaines en 2004, détenu quelques mois, puis relâché, étant officiellement considéré comme quantité négligeable. Or, en mai 2010, cette soi-disant nullité succède au premier émir du tout jeune État Islamique du Kurdistan irakien, créé, armé, financé par les émirs et roitelets pétroliers de la péninsule arabique pour détruire leurs ennemis d’Irak et de Syrie et servir d’épine irritative à l’allié trop arrogant des USA.

Dès l’an 2010, Awad ordonne de multiplier les attentats, à la fois contre les chrétiens, les Juifs et les Yézidis (de lointains descendants de Zoroastriens qui refusent tout prosélytisme et pratiquent l’endogamie). De même, il lance l’offensive qui permet à l’État Islamique d’Irak et du Levant de contrôler actuellement le Nord de l’Irak et l’Est de la Syrie, en n’oubliant pas que la très riche zone pétrolifère de Mossoul sert de quartier général à cet État, le pétrole étant commercialisé par des Turcs (de l’entourage intime du Président Erdogan) et en partie acheté par des négociants israéliens !

Depuis 2010, une nouvelle forme de terrorisme djihadiste exerce ses ravages, à la fois en Occident et en terres d’islam (par exemple au Pakistan, en Malaisie et en Indonésie), par décision du calife autoproclamé. Désormais, des musulmans jugés tièdes, voire honorables, sont devenus des cibles d’attentats meurtriers, imprévisibles sauf à infiltrer le quartier général de l’État islamique. Abou-Bakr II a une vision très personnelle du djihad, peu conforme à la pure tradition coranique. Il a réactualisé, vis-à-vis des victimes musulmanes des attentats qu’il commandite, la très cynique phrase d’un prélat français lors de la Croisade des Albigeois : « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ».  

La simple honnêteté commande de reconnaître ces faits, tandis qu’une nouvelle guerre religieuse féroce, impitoyable et très stupide, commence à ensanglanter notre continent.

09:27 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 24 janvier 2016

Le site de la Ligue francilienne fait peau neuve

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La Ligue francilienne, présidée par notre ami Hugues Bouchu, vient de se doter d'un nouveau site d'information que nous vous invitons à consulter régulièrement en cliquant ici

Ce site, fort bien fait, donnera régulièrement les positions politiques des identitaires d'Ile-de-France regroupés au sein de la Ligue.

Rappelons que samedi 16 janvier, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale prit la parole lors du dîner amical de cette sympathique organisation. cliquez ici

23:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Calais comme à Quimper : le double fiasco de la gauche collaborationniste

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Cette fin de semaine, ce qu'il reste de la gauche et de l'extrême gauche a tenté de mobiliser pour soutenir l'arrivée massive de populations étrangères sur notre sol. En effet deux manifestations étaient organisées par l'ensemble des partis de gauche, une dizaine de collectifs grassement subventionnés, les associations anti-racistes et les quelques groupuscules d'extrême gauche encore existants.

Autant le dire tout de suite, ces mascarades qui devaient prouver au monde entier que la France "accueillante et généreuse" était toujours là ont tourné au fiasco total.

A Calais la manifestation, essentiellement composée de migrants surexcités et d'islamistes belliqueux qui n'hésitèrent pas à agresser de paisibles riverains, ressemblait plus à un mauvais carnaval tropical qu'à autre chose. Nos observateurs locaux n'ont d'ailleurs pratiquement pas repéré de Calaisiens ou d'habitants de la région parmi les quelques blancs que l'on distinguait à peine au milieu du cortège bigarré.

A Quimper, il en allait a peu près de même. Sauf que les quelques dizaines de manifestants afro-arabo-gauchistes étaient concurrencés par un magnifique rassemblement organisé par les nationalistes bretons du mouvement ADSAV. Ceux-ci montrèrent ainsi qu'il en était terminé avec l'image de région soumise aux diktats du politiquement correct qui caractérisait jusqu'à maintenant la Bretagne. Ils étaient en effet près de deux cents dans les rues de la capitale de la Cornouaille pour relever l'honneur de leur terre et défendre l'identité de leur peuple.

Les 6 et 7 février prochains, dans plusieurs villes de France, des nouvelles manifestations patriotiques auront lieux. Et par la suite ce mouvement qui s'amorce un peu partout prendra une ampleur que nous souhaitons importante. Nous entrons dans une période de reconquête. Celle-ci n'a qu'une issue possible : la victoire totale des forces nationalistes et identitaires ou bien il en sera définitivement terminé avec notre liberté et notre civilisation européenne.

Synthèse nationale apporte son soutien à toutes les initiatives qui sont prises dans ce sens par les uns et par les autres, même si nous ne partageons pas forcément toutes les positions des organisateurs de chacune d'entre elles. Il en va de notre avenir. Mobilisation générale !

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Quimper, samedi après-midi, ADSAV fait face aux collabos.

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Réunion à Cologne pour préparer la riposte à l'invasion

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Afin de préparer la résistance européenne à l'invasion, une réunion s'est déroulée cette fin de semaine à Cologne à l'initiative du mouvement Pro NRW présidé par Markus Beisicht. La France y était représentée par Robert Spieler, ancien député, chroniqueur à l'hebdomadaire Rivarol et Amis de Synthèse nationale. Hilde De Lobel, responsable du Vlaams belang, était aussi présente à cette importante réunion sur laquelle nous reviendrons très prochainement.

Rappelons qu'il y a quelques années Pro NRW et Pro Köln étaient les premiers à s'opposer dans la rue à l'islamisation de l'Allemagne en organisant plusieurs manifestations contre la construction d'une immense mosquée à Cologne.

15:43 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pourquoi risquons-nous de perdre la guerre de races et de religions ?

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Dr Bernard Plouvier

Il est évident que l’Europe occidentale, riche et de haute technicité, devrait pouvoir briller dans la guerre, encore larvée pour l’instant, lancée par les peuples du Sud et du Sud-Est contre elle. La supériorité en armes et en télécommunications n’est que trop évidente.

Mais, ce n’est nullement ce qui permet à coup sûr de gagner une guerre. Après tout, en 1940, l’armée française avait davantage de chars et de meilleure qualité que ceux de la Wehrmacht. Il lui manquait autre chose. Certes, il lui manquait de bons avions de combat en quantité suffisante. Certes, l’état-major français, majoritairement peuplé de généraux trop vieux ou nommés par l’effet du favoritisme politique, avait oublié la méthode Pétain sur l’emploi combiné du char d’assaut et de l’avion de combat, exposée dans la Directive N°5 du 12 juillet 1918.

Mais, il manquait par-dessus tout l’ardeur combative de la majorité des soldats français, qui n’avaient pas de défaite à venger (contrairement aux hommes de 1914), qui voulaient jouir des congés payés et d’un confort de vie qu’ignoraient leurs pères, qui considéraient enfin (et ils n’avaient pas tort) qu’aucune motivation d’ordre national n’avait commandé l’entrée en guerre.

De nos jours, nos armes ultra-modernes doivent être approvisionnées en munitions coûteuses et l’on s’est aperçu à la fin de l’année 2015, au bout d’un mois d’utilisation d’une quarantaine d’avions ayant lancé moins de 700 bombes, que les arsenaux étaient presque vides, car d’autres dépenses avaient paru plus urgentes que l’accumulation de munitions, puisque les stratèges répétaient aux politiciens qu’il n’y avait plus de « péril aux frontières ». Ces choix, grotesques dans le contexte des années 1980 à nos jours qui était et demeure celui d’une immigration-invasion musulmane, furent politiques et les « maîtres » furent à l’image de leurs électeurs.

Quand bien même nous disposons d’armes extraordinairement puissantes - l’arme atomique et son avatar, la bombe à neutrons -, quel homme politique oserait les utiliser en cas d’extrême besoin ? C’est une question de volonté politique, qu’aucun de nos « chefs » ne semble avoir.

Nous risquons de perdre la guerre qui s’annonce, parce que la majorité de la population est aveulie, affaiblie physiquement et moralement. À quoi peuvent servir les beaux raisonnements sur l’effective grande qualité raciale des Barbares qui détruisirent la Rome corrompue au Ve siècle, quand l’on s’aperçoit que la propagande tiers-mondiste, l’hédonisme, la déspiritualisation, les sophismes distinguant l’islam de l’islamisme (en contradiction totale de la lecture du Coran), exercent leurs ravages sur les Nations d’Europe occidentale et scandinave ? En outre, la régénération physique et morale des Européens de l’Ouest, qui fut effectivement constatée grâce à l’apport génétique des Germano-Scandinaves, ne peut en aucun cas être comparée aux effets prévisibles de l’immigration actuelle.

De bonnes armes bien approvisionnées en munitions, une logistique et des transmissions impeccables, des renseignements de qualité et rapidement utilisables, notamment ceux qui sont fournis par les satellites et les moyens de géolocalisation, tout cela est très utile… mais pas suffisant pour « gagner » une guerre. Pour vaincre, il faut une mentalité de combattant, rude, discipliné, frugal et impitoyable. Où voit-on de telles qualités en notre Europe occidentale et scandinave, dans laquelle des cuistres parlent de guerre à pertes humaines nulles : le « risque zéro », une curiosité guerrière inédite, made in USA ? Face à des capons et à des femelles, des hommes sous-doués, mais assurés de mener « le bon combat » et de gagner ainsi leur place « au paradis d’Allah », ne peuvent que l’emporter. À la force matérielle, il faut obligatoirement ajouter la force morale et l’esprit de sacrifice. 

Il semble que les qualités morales qui définissent le véritable combattant existent en Europe de l’Est. Après les Germains, régénérateurs d’une Europe romanisée amollie, on pourrait espérer que des Slaves bien dirigés viennent régénérer la jeunesse autochtone d’une Europe occidentale qui ne demanderait que cela. Mais ceci est une histoire qui ne s’écrit pour l’instant qu’au futur et au conditionnel.  

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samedi, 23 janvier 2016

Rencontre avec Pierre Cassen, Président de Riposte laïque

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Publié dans le n°41 de Synthèse nationale cliquez ici

Propos recueillis par Guirec Sèvres

Après Carl Lang, Hervé Van Laethem et Jean-Marie Le Pen dans nos précédentes livraisons, nous donnons la parole aujourd'hui à Pierre Cassen. Venu de l'extrême gauche, il est, depuis quelques années, aux côtés des nationalistes et des identitaires à la pointe du combat contre l'islamisation de la France. Son parcours n'était pas tracé d'avance. Ses motivations sont peut être différentes des nôtres. Elles peuvent surprendre mais, qu'importe, l'essentiel, c'est de se retrouver coude à coude. Il s'explique...

Pierre Cassen, vous êtes issus d’une famille politique bien éloignée de la nôtre, pour ne pas dire carrément opposée, et, depuis quelques années on vous retrouve aux côtés des nationalistes et des identitaires dans le combat commun contre l’islamisation de la France et de l’Europe. Pouvez-vous nous expliquer comment vous en êtes arrivé là ?

PC : Dans tous les engagements, il y a les priorités de la période. Je ne faisais pas partie d’une famille militante, mais j’ai rapidement ressenti une fibre sociale chez moi. Je me suis rapidement reconnu dans la défense du salariat, sachant que, apprenti typographe à 14 ans, j’ai vendu ma force de travail, comme disent les marxistes, à 17 ans. J’ai trouvé naturellement ma place dans le camp de la gauche et du syndicalisme, à la CGT et au Syndicat du Livre. J’ai milité un an au PCF, cinq années à la LCR, et je n’ai plus eu d’engagement politique. J’étais délégué syndical CGT-Livre à La Tribune et je menais le combat, à l’intérieur de la CGT, contre la main-mise du PCF, dont j’ai rapidement perçu l’aspect totalitaire, dans ses pratiques syndicales. Intuitivement, je ne supportais pas deux types de totalitarisme, ce que j’appelais, dans mon jargon de l’époque, les dictatures d’extrême droite et le stalinisme. Autrement dit, ni Jaruzelski, ni Pinochet.

Je crois que sur le fond, je n’ai jamais toléré l’islam, même sans connaître ce dogme comme à présent. La vision de Khomeiny en 1979, de ses voilées et barbus dans des manifestations syndicales, le 1er mai (que faisaient-ils là ?), les images qu’on voyait de Téhéran, l’affaire Rushdie m’ont rapidement convaincu que cette religion représentait un réel danger. En 1989, je n’ai pas supporté l’affaire du voile de Creil imposé par trois écolières de 13 ans, et encore moins l’attitude capitularde de la gauche. Mais j’étais alors délégué syndical, et c’était mon engagement prioritaire.

Ce qui m’a fait basculer était en 2003, au salon de l’UOIF, au Bourget, quand plus de 10.000 musulmans, séparés par sexes, majoritairement barbus et voilées, ont sifflé plus de 10 minutes Sarkozy, qui, après leur avoir concédé le Conseil Français du Culte Musulman, se permettait de rappeler que la loi était la même pour tous, et qu’une femme devait retirer son voile pour une photo d’identité. Par cette bronca, qui ne visait pas l’homme de droite, mais la France laïque, ces musulmans montraient clairement leur refus de nos codes et de nos lois, et leur intention de refuser notre modèle de société. J’ai essayé de convaincre mes amis de gauche de rentrer dans ce combat. J’ai alors découvert l’ampleur de la connivence entre mon camp d’origine et l’islam, la culpabilité, la repentance, l’incapacité de nombre de militants de gauche de s’engager contre les disciples de « la religion des pauvres ».

Petit à petit, j’ai alors compris que le combat social n’était plus prioritaire, mais qu’il fallait se regrouper pour défendre le pays, nos valeurs patriotiques, nos libertés, notre laïcité, notre conception du rapport égalitaire hommes-femmes, notre liberté de conscience. A quoi bon continuer à se battre pour la retraite à 60 ans ou pour le plein emploi, si notre environnement quotidien est pollué par le cancer islamique, si nous devons subir des voiles, des mosquées, des boucheries halal, et ne plus entendre parler Français ? D’où la création de Riposte Laïque, en 2007, qui nous a valu immédiatement l’excommunication du camp de gauche, qui nous interdit toute invitation, tout débat, et nous qualifie systématiquement de racistes et d’extrême droite. Nous en avons eu vite marre de cet isolement, et avons accepté toutes les invitations. Je suis venu au Local de Serge Ayoub avec Pascal Hilout, apostat de l’islam. Tout s’est bien passé. Mais bien sûr le plus spectaculaire furent notre apéro saucisson pinard et les Assises internationales contre l’islamisation de nos pays, organisés en 2010 de concert avec le Bloc Identitaire, ce qui nous valut les foudres du politiquement correct.

A partir de là, nous étions faits pour nous rencontrer, sachant que l’essentiel est d’unir nos forces au service de la France. La question n’est pas de savoir d’où on vient, mais où on va.

Certains vous diront que l’islamisation n’est que la conséquence logique de l’immigration. Quelle est votre position et celle de votre mouvement par rapport à cela ?

Bien sûr, sans immigration, pas d’islamisation. L’islam, contrairement au communisme dans les années 1930 et 1950, ne progresse pas parce que des Français rejoignent ses organisations. Il ne se développe que parce que, depuis plus de quarante ans, nos gouvernants font rentrer en France un nombre incroyablement élevé de musulmans. Très souvent, dans vos rangs, un discours assez réducteur consiste à expliquer qu’il suffit d’arrêter l’immigration pour résoudre le problème de l’islam. Julien Rochedy, ancien responsable des jeunes du FN, disait même que, selon lui, que les immigrés soient musulmans ou bouddhistes ne changeait pas la donne. Or, s’il est évident que l’immigration, en période de chômage de masse, est un fléau, l’islam est, lui, un cancer qui ronge tous les rouages de notre société, avec la complicité de ceux que nous appelons les islamo-collabos. Dix millions d’Asiatiques, ce n’est pas la même chose que dix millions de musulmans. L’islam nécessite donc un combat différent, complémentaire à celui de la lutte contre l’immigration.

Souvent, dans les manifestations de Riposte laïque et de Résistance républicaine le terme « islamo-fascisme » est employé. Nous avons eu l’occasion, dans les pages de cette revue (cf. Synthèse nationale n°39), de faire part de notre réprobation par rapport à ce raccourci que nous estimons pour le moins facile. Pensez-vous que celui-ci soit vraiment d’actualité ?

C’est plutôt le mot fascisme islamique qui a été utilisé lors de notre première manifestation de rue, le 10 novembre 2012, réunissant 3000 personnes à Paris. J’ai en effet cru comprendre que dans vos rangs, cela dérangeait quelque peu. J’ai essayé, dans une entretien avec Jean-Yves Le Gallou, sur Polemia, de m’en expliquer. Le fascisme étant considéré comme le mal absolu, dans l’imaginaire des Français, nous essayons d’utiliser ce fait pour montrer que l’islam n’est en rien une religion d’amour de tolérance et de paix, comme on nous le martèle depuis des décennies, mais le pire des totalitarismes. Nous pensons que qualifier les plus radicaux d’entre eux de « fascistes islamistes » est médiatiquement payant, et montre encore davantage la vraie connivence entre la gauche politique, syndicale et associative, les médias, qui se prétendent anti-fascistes, et les barbares islamiques. Peut-être y a-t-il des mots à utiliser davantage dans certains milieux que dans d’autres, je veux bien le concéder. Il nous arrive, nous aussi, de ne pas apprécier les diatribes anti-laïques de quelques-uns de vos amis, qui parlent du mot « laïciste » pour nous définir. De même la notion de République ne paraît pas faire l’unanimité chez certains de vos lecteurs... A nous de savoir dépasser tout cela pour construire l’Union de tous les patriotes dont la France a tant besoin.

Il semblerait que, un peu partout en Europe, l’opposition à l’immigration-islamisation s’organise. Que ce soit avec Pégida en Allemagne, les nationalistes en Italie, en Grèce, au Portugal ou en Espagne, les identitaires du Vlaams belang en Flandre, d’autres en Grande Bretagne et en Europe du Nord, sans oublier le gouvernement hongrois bien sûr. Or en France, mis à part dans quelques villes particulièrement touchées comme Calais, cette opposition est encore plutôt discrète. Beaucoup, lors de la journée de Synthèse nationale du 11 octobre dernier ont exprimé leur volonté de voir s’organiser une manifestation d’ampleur nationale. Ce projet est-il réalisable ?

Il faut d’abord mesurer ce que signifie organiser une manifestation ou un rassemblement, dans notre pays la France, en 2015. Ce qui vient de se passer à Varennes-sur-Allier résume tout. On impose à cette paisible petite ville de 3000 habitants la présence de 200 clandestins musulmans, sans concertation. Sur un marché, deux lecteurs de Riposte Laïque distribuent un tract, très bien accueilli par la population. Dix minutes plus tard, trois gendarmes sont présents, qui leur imposent un contrôle d’identité. Devant la montée du mécontentement, la responsable départementale du FN, Claudine Lopez, aide les habitants de Varennes, et dépose un projet de rassemblement devant la mairie. Les intimidations commencent alors. Le préfet demande au procureur d’ouvrir une enquête sur ce tract « nauséeux » et peut-être « raciste ». La gauche locale, sous l’impulsion d’un trotskiste secrétaire de la FSU, organise une contre- manifestation. La direction du FN fait pression sur Claudine Lopez pour qu’elle retire sa demande de rassemblement, et se dissocie de Riposte Laïque, jugé trop islamophobe pour la bien-pensance qui sévit aussi dans les milieux patriotiques. Ecoeurée, la secrétaire annule le rassemblement, puis démissionne de ses responsabilités au FN. Résultat : alors que tout était réuni pour qu’une réaction de Français en colère se mette en place, nous avons eu, ce jour, deux cents apparatchiks syndicaux, associatifs et politiques, dont aucun n’était de Varenne, qui ont tenu la rue, disant bienvenue aux Migrants et glapissant que le fascisme ne passerait pas. Et les gens de Varennes étaient terrés chez eux.

Cet exemple ne doit pas nous décourager, mais nous aider à mieux comprendre le contexte hostile dans lequel nous évoluons. On nous dit que nous avons gagné la bataille de l’opinion. Je crois que cela est vrai, et c’est méritoire, face au rouleau compresseur politico-médiatique. Mais les gens ont peur, et le seul parti qui pourrait mobiliser massivement ne pense qu’aux élections. Le Siel, avec son président Karim Ouchikh, essaie, après avoir organisé un premier rassemblement devant l’ambassade d’Allemagne, d’impulser d’autres mobilisations, notamment en rendant hommage à Viktor Orban devant l’ambassade de Hongrie. C’est bien, espérons qu’on sera bientôt devant l’ambassade d’Arabie saoudite. Nous sommes en contact avec des militants de Pegida et Tommy Robinson, fondateur de l’English Defense League, qui souhaitent mettre en place une journée européenne de résistance à l’invasion migratoire et à l’islamisation de la France. Mais au vu de l’ampleur de l’offensive de nos adversaires, tout cela est bien peu, j’en suis conscient. Mais je ne vois pas ce qu’on peut faire de plus, me souvenant de ce rassemblement où nous avions invité Roland Hélie (cf Synthèse nationale n°40), place de la Bourse, suite à la première décapitation islamique sur le territoire français. Nous étions deux cents, c’était symbolique, mais si peu. La quadrature du cercle est la suivante : seules les forces patriotiques, classées par le système à l’extrême droite, sont capables de descendre dans la rue. Et leur classification fait peur aux Français, qui craignent, en descendant dans la rue, d’être classés dans ce camp. Si quelqu’un sait comment débloquer la situation...

Dernièrement, une malheureuse affaire au tribunal de Melun, a mis Riposte laïque et Résistance républicaine au devant de l’actualité. Pouvez-vous nous éclairer sur ce drame qui endeuille tout ceux qui sont opposés au Système ?

Maître Scipilliti a été le premier avocat de Riposte Laïque. Il avait offert bénévolement ses services à la cause. C’est l’exemple typique d’un homme broyé par le système judiciaire, comme il l’a expliqué dans son journal qu’il a fait parvenir à Christine Tasin et à moi, quelques minutes avant son geste fatal. Il y explique le double harcèlement dont il a été victime, d’abord par sa hiérarchie, qui multipliera procédures, brimades, sanctions et vexations à son encontre, puis de la part du fisc, qui lui imposera des redressements financiers

invraisemblables. Rappelons que ce bâtonnier venait de le condamner socialement et professionnellement à mort, en le suspendant trois années, à l’âge de 63 ans ! Joseph, notre ami, était le fruit de toute la méritocratie républicaine. Né en Italie, il avait franchi tous les échelons, devant professeur avant, à la quarantaine, d’épouser le métier d’avocat. Jusqu’au bout, il a été disponible pour conseiller amicalement les amis. Naturellement, la presse a surtout insisté sur son appartenance supposée à l’extrême droite pour mieux le salir, et minorer le contenu de son ultime « J’accuse ». Nous avons, Christine Tasin et moi, refusé de condamner son geste, considérant qu’il est la principale victime dans cette affaire. Il serait intéressant, par ailleurs, qu’une enquête s’ouvre pour qu’on en sache davantage sur ce bâtonnier, Henrique Vannier, dont nous nous réjouissons, naturellement, qu’il n’ait été que blessé. Nous avons rendu à Joseph l’hommage qu’il méritait en organisant une cérémonie de recueillement émouvante en l’Eglise Sainte Rita, symbole de la Résistance des Français qui se refusent à sa démolition programmée. Il faut savoir que le mairie de Paris veut y construire, à la place, des logements sociaux, qui, à mon avis, ne seront pas réservés aux travailleurs pauvres et aux retraités modestes qui ont cotisé toute leur vie...

Les projets de Riposte laïque dans les mois qui viennent ?

Comme je vous le disais tout-à-l’heure, nous allons essayer de monter au plus vite une initiative européenne, pour que, en même temps, dans nombre de pays, les patriotes puissent descendre dans la rue. J’espère vraiment que cela pourra se faire. Nous faisons également, avec Christine Tasin, un tour de France de nos militants, pour leur expliquer que la période a changé, et qu’il faut prendre des nouvelles dispositions, tout en restant dans un cadre légal, bien sûr, pour assurer sa sécurité et celle de son entourage. Nous répondons présents à toutes les sollicitations de conférences que les réseaux locaux nous demandent. Nous demeurons disponibles pour toute initiative rassembleuse qui fait progresser la construction de la résistance patriotique. Nous préparons au mieux nos procès, car manifestement, nous devons déranger de plus en plus en haut lieu. Quatre plaintes du ministre de l’Intérieur en personne, qui n’a pas apprécié le terme « islamo-collabo » que nous lui avons accolé, une plainte du maire de Paris, Anne Hidalgo, qui elle n’a pas aimé qu’on la représente léchant une babouche musulmane, au lendemain de sa commémoration du ramadan dans l’Hôtel de ville de la capitale, plus du menu frottin, Pierre Bergé, Jacques Méric, le chef des flics parisiens et quatre ou cinq autres plaintes. J’ai également cru comprendre, suite à deux interrogatoires de police, que, bien que n’exerçant plus aucune responsabilité officielle au sein de Riposte Laïque, on chercherait à prouver, en haut lieu, que je demeurerais le véritable chef du site. J’ignore si je dois être flatté ou inquiet...

S’ils ne veulent pas nous tuer financièrement, c’est bien imité.

Nous allons sortir notre quatorzième ouvrage, début janvier, et je devine d’avance que le titre choisi devrait en faire un beau succès... Nous en aurons bien besoin pour faire face à tout ce qui nous attend.

Entretien publié dans la n°41 de la revue Synthèse nationale. Vendu en ligne sur le site synthese-editions.com ou par correspondance à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (12 € + 3 € de port, chèque à l'ordre de Synthèse nationale).

Rappelons que Riposte laïque et Résistance républicaine organisent une grande réunion dimanche 7 février à Rungis :

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Plus d'infos cliquez ici

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Immigration, islamisation, intégration... L'échec total du Système

Roland Hélie Poitiers.jpgRoland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Années 60, quelques revues et mouvements, comme Europe Action ou la Fédération des étudiants nationalistes, s'inquiètent de l'arrivée de milliers de ressortissants de pays africains ayant fraîchement acquis leur indépendance sur notre sol...

Juin 1973, le mouvement Ordre nouveau lançe la première campagne d'envergure pour dénoncer l'immigration sauvage. Le gouvernement de l'époque envoya ses chiens de garde gauchistes pour tenter de perturber les réunions organisées dans le cadre de cette campagne et finalement procéda à la dissolution d'Ordre nouveau...

Mars 1978, le Front national et le Parti des forces nouvelles se présentent aux élections législatives et leurs candidats inscrivent dans leurs programmes l'arrêt de l'immigration. Depuis lors, le FN n'a cessé, à chaque élection, d'amener celle-ci au cœur du débat politique...

La problématique posée par l'immigration n'est donc pas nouvelle.

Au cours des années 80, 90 et 2000, ils sont des millions à avoir quitté leurs terres d'origine pour venir s'installer dans ce qu'ils considéraient comme un Eldorado, à savoir l'Europe. Devenues majoritaires dans des zones entières de notre continent ces populations en majorité musulmanes ont, ce qui est après tout normal, importées leurs us et coutumes chez nous. Et, parmi ceux-ci, l'islam qui, quoiqu'en disent les "gardiens du temple" du politiquement correct, ne fait pas vraiment parti des fondamentaux de la civilisation européenne. Or, l'islam n'est pas seulement une simple croyance, c'est une conception globale du monde qu'il entend dominer.

Le développement en Europe de l'islamisme conquérant se traduit aujourd'hui par les carnages que l'on sait. Certains parlent, pour masquer leur duplicité, d'un "islam radical", mais ils n'ont jamais lu le Coran. Il n'y a pas un "islam radical ou un "islam modéré", il y a la volonté hégémonique d'une civilisation qui repose sur le Coran. Cette domination peut passer par la violence immédiate comme elle peut prendre le temps qu'il faut pour s'imposer, mais le résultat sera toujours le même.

Dénoncer en permanence les vrais responsables

Au delà de l'horreur et de la situation de guerre dans laquelle nous sommes plongés (c'est maintenant Hollande qui le dit), il convient, une fois de plus, de rappeler qui sont les véritables responsables. Les mahométans se sont installés en France et en Europe parce que les "élites" dirigeantes de celles-ci l'ont bien voulu. Le patronat, libéral ou démocrate chrétien, qui ne résonne que par intérêts à court terme, tout comme les syndicats, marxistes ou réformistes, qui vivent dans leurs illusions, ont vu d'un bon œil l'arrivée des immigrés. Les uns pensant avoir trouvé une main d'œuvre facile à exploiter et utile pour faire baisser les salaires, les autres croyant voir là un prolétariat de substitution capable de regonfler les effectifs de la gauche de plus en plus clairsemés. Ajoutez l'angélisme des églises chrétiennes, la lâcheté de la presse aux ordres, la démagogie des partis du Système et la repentance institutionnalisée et cela se termine par une véritable guerre ethnique dont on ne mesure pas encore vraiment les conséquences.

Et derrière tout cela, il y a la volonté de la haute finance mondialiste de transformer le monde en un vaste marché planétaire dans lequel les identités seraient broyées et l'homme réduit à l'état de consommateur docile et malléable. Cette hyper classe apatride est totalement inconsciente de ce qu'est en réalité l'islam et pense naïvement que le brassage des populations, et par conséquent leur déracinement, ne peut être que bénéfique pour ses funestes projets. Mais en attendant que leurs folles illusions se dissipent ce sont les peuples européens qui trinquent.

Les apprentis sorciers du mondialisme n'avaient pas imaginé que les islamistes seraient capables, un jour, d'exporter leurs guerre au-delà du monde arabe et de frapper au coeur des capitales occidentales. Ils ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes et ce n'est pas en faisant pleurnicher les Français qu'ils "sont Charlie" qu'ils changeront le cours des choses. D'ailleurs, plus personne ne croit dans ce type d'incantations idiotes.

Reprenons en main notre destin

Oui, dans ce domaine comme dans bien d'autres, les nationalistes ont eu raison dès le début mais le Système a préféré les matraquer que les écouter. On voit les résultats aujourd'hui. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir sonné le tocsin !

Aujourd'hui, en France comme partout ailleurs en Europe, un vaste mouvement se lève en réaction contre cette islamisation que beaucoup trouvent de plus en plus insupportable. Notre rôle est de montrer à ces masses grandissantes qui sont les fossoyeurs de nos nations et de notre civilisation. Ce n'est pas en criant "haro" sur les immigrés que l'on changera les choses, c'est en détruisant ce Système criminel qui est prêt à sacrifier les peuples, quels qu'ils soient, sur l'autel de la mondialisation et du profit immédiat. C'est en redonnant aux pays d'origines des allogènes la capacité de se développer et en imposant une remigration que l'on mettra fin au "grand remplacement" qui s'opère depuis trop longtemps. C'est en apportant un soutien sans faille aux états laïques, comme la Syrie baasiste du Président Bachar el Assad, que l'on mettra fin à l'extension des islamistes. C'est en définissant des rapports constructifs avec la Nouvelle Russie de Vladimir Poutine que l'on mettra fin à la volonté américaine de régir la terre entière. C'est en reprenant en main notre destin que nous reconstruirons une France française forte dans une Europe européenne libre.

SN 41 Couverture.jpgEditorial du n°41 de la revue Synthèse nationale (hiver 2015 2016) en vente en ligne cliquez ici

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vendredi, 22 janvier 2016

Il y a des limites à la sottise et à la puérilité…

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Dr Bernard Plouvier

Il y a des limites à la sottise et à la puérilité… du moins, devrait-il y en avoir ! Qu’un Président de la République calme, fort calme, voire même placide, prenne pour chef du gouvernement un agité, après tout cela peut se concevoir : c’est l’application de la vieille loi psychologique des compensations.

Mais que le dit excité brouille gratuitement, par pure joie de nuire à un groupe de concurrents politiques, la France avec un ami fidèle, au prétexte que cet allié exotique est trop proche de la droite molle qui pourrait bien remporter le jack pot présidentiel en 2017, cela passe l’entendement.

La dynastie Bongo règne sans partage sur le Gabon, pays exportateur de pétrole, depuis 1967, profitant peut-être de l’immaturité politique d’une Nation peu évoluée. On accuse ses membres de corruption, de mépris pour certaines couches de la population locale. Mais tous ces reproches peuvent être retournés contre le vallsien donneur de leçons de morale !

Où est la légitimité des tenanciers de l’apparence du Pouvoir en France, de nos jours ? Avec une série ininterrompue de franches défaites électorales, avec des cotes de popularité tellement basses (hors période de digne inauguration des chrysanthèmes) qu’elles frôlent le ridicule, notre beau Président et son sémillant premier ministre sont-ils encore légitimes ? Quant à leur mépris pour une fraction de la population, on ne le connaît que trop : les femmes blanches violées par les honorables fruits pourris de l’immigration africaine et proche-orientale, les personnes cambriolées, rackettées, molestées, injuriées ne savent que trop bien qu’ils n’intéressent nullement les titulaires des sinécures dorées de la République. En outre, pour ce qui est de la corruption, nos très honorables socialistes n’ont réellement de leçon à donner à personne. 

Quelle mouche (hélas, pas Tsé-tsé !) a pu piquer notre Valls pour qu’il insulte gratuitement le chef d’un des rares États africains où l’on fut toujours un allié fidèle de la France ? Certes, le Président Bongo et sa famille ne sont pas très bien vus des islamo-pétroliers d’Arabie… mais, quand bien même ces émirs et roitelets furent, jusqu’à ce mois de janvier où leurs finances croulent quelque peu du fait de la baisse des cours du pétrole brut et raffiné, des bienfaiteurs du Trésor public français et des caisses de certains partis politiques favorables à l’immigration islamique de masse, la politique extérieure française n’a pas vocation pour être régie de Riyad, de Dubaï ou du Qatar. Il y a des limites à la complaisance, du moins devrait-il y en avoir.

La politique extérieure de l’État doit être menée dans l’unique intérêt de la Nation, qui se moque des états d’esprit d’un ministre partisan, qui trop souvent parle plus vite qu’il ne réfléchit. N’est pas Vergennes qui veut. Certains curieux personnages finiraient par nous faire regretter Maurice Couve de Murville qui, du moins, avait de la classe et de la retenue.

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RAPPEL : samedi après-midi à la Librairie Duquesne diffusion à Paris

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Un article sur le Petit abécédaire : cliquez ici 

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER- RIVAROL N° 3218 du 14 janvier 2016

MARINE Le Pen rêve d’une victoire, certes très improbable, à l’élection présidentielle de 2017. Mais quel serait dans ce cas la composition de son gouvernement ? Une bande dessinée, qui vient de paraître aux éditions Les arènes, dont le titre est La Présidente, réalisée par François Dupaire et Farid Boudjellal nous livre la liste de quelques futurs ministres. Gérard Longuet, ex-co-fondateur d’Occident, serait Premier ministre, Nadine Morano ministre de la Famille, Thierry Mariani à la Politique étrangère et Geoffroy Didier, fondateur de la Droite forte, à la Justice. En septembre, Marine Le Pen avait déclaré qu’elle verrait bien Eric Zemmour ministre de la Culture. Les intéressés se récrient d’importance. Pas question pour eux d’accepter de figurer dans un gouvernement d’une France lepénisée. Morano vient ainsi de déclarer : « Je ne partage en rien les élucubrations de Mme Le Pen sur l’économie, comme sur l’Europe. Je suis lorraine, dans une région où il y a le plus grand cimetière militaire allemand. Alors on sait ce que c’est que le prix de la réconciliation allemande et de la construction de l’Europe. » Philippe de Villiers, quant à lui, pense que l’année 2017 va réserver beaucoup de surprises, déclarant que « contre ceux que j’appelle les naufrageurs en cravate, ceux qui coulent le pays depuis quarante ans et osent se représenter sans vergogne, il peut y avoir une offre politique nouvelle », estimant que Marion Maréchal-Le Pen pourrait un jour fédérer des gens très différents venant aussi bien du FN que de la droite classique. Pas impossible non plus que Villiers pense très fort à son propre retour et à sa candidature à l’élection présidentielle, le succès de son livre l’y encourageant fortement.

UN GÉNÉRAL SUISSE TIRE LA SONNETTE D’ALARME

A la tête de l’armée suisse, le général André Blattmann vient d’exprimer sans langue de bois quelques vérités que peu de généraux français oseraient formuler. Il a mis en garde contre une « explosion de l’insécurité durant ces deux dernières années », ceci alors que le budget de la Défense avait été notablement réduit. Il a ensuite expliqué : « Même si nous n’avons pas encore été directement touchés par les événements de la guerre dans le monde d’aujourd’hui, nous pouvons déjà en ressentir les effets. »

Et de poursuivre : « La menace terroriste augmente, les guerres hybrides sont de plus en plus fréquentes, les perspectives économiques s’obscurcissent et les flux migratoires causés par ces guerres et les problèmes économiques ont déjà pris une proportion insoupçonnée, aggravant la concurrence sur le marché du travail. »

Pour terminer, il a tenu à souligner que « le mélange est de plus en plus explosif » et que « les fondements de la prospérité sont une fois encore remis en question ». La situation lui rappelle, dit-il, les années de l’entre-deux-guerres, et les citoyens suisses doivent s’armer pour faire face aux défis qui les attendent. Il a aussi pointé du doigt le risque de violents troubles sociaux en Europe. Nous avons déjà évoqué ce personnage qui ne manque pas de courage ni de lucidité. Il avait initié des exercices de l’armée suisse, imaginant la sécession d’un territoire français qui déciderait d’attaquer la Suisse ! André Blattmann avait expliqué, quelques jours avant les attentats de novembre dernier : « La menace terroriste est à nouveau plus concrète pour tout l’Occident. » Résultat : 130 morts… La gauche et les Verts expliquent que ses déclarations sont exagérées et que tout va bien. A noter que les Suisses sont armés (3 millions d’armes à feu pour 8 millions d’habitant) et conservent leur fusil à leur domicile. Ceci dit, les munitions sont dissociées, étant conservées dans les casernes. La situation n’est donc pas tout à fait comparable à celle des Etats-Unis. Mais il est curieux de constater que l’armée conventionnelle suisse est plus forte que l’armée française. Espérons qu’il ne leur viendra pas l’idée saugrenue de nous envahir…

REPENTANCE ESPAGNOLE

Pardon aux Musulmans d’avoir été expulsés de la ville de Grenade, en Espagne, il y 524 ans par les Rois catholiques. L’Espagne vient de commémorer samedi la reconquête de la ville de Grenade sur les musulmans, il y a 524 ans. On découvre à cette occasion qu’il y a une belle brochette de fous furieux chez notre voisin (au demeurant comme chez nous). Le parti d’extrême gauche Podemos, arrivé troisième aux élections législatives de décembre avec 20 % des votes (et qui pourrait peut-être participer à un prochain gouvernement), considère les commémorations comme étant la « célébration fasciste » d’un “génocide” contre le « peuple andalou ». Le parti de Pablo Iglesias souhaite que l’Espagne demande pardon à l’Islam pour cette reconquête…

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MUSULMAN ET CEPENDANT MYTHOMANE

C’est un curieux personnage que ce « président de l’Assemblée des musulmans de Corse », Rachid Birbach, qui est apparu dans le Soir 3 pour réagir aux incidents des dernières semaines en Corse. Car cette « Assemblée des musulmans de Corse » n’existe que dans son imagination, fort fertile. Il a expliqué que « les musulmans de Corse vivent vraiment en harmonie avec les Corses, il n’y a aucun problème, je peux le confirmer ». Il en a profité, histoire de se faire bien voir de ses amis juifs, pour critiquer le Conseil français du culte musulman (CFCM) et de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), « responsables de tout ce que la communauté musulmane est en train de vivre ». […] Car le personnage s’est forgé des relations. On le voit, sur internet, enlacer Marek Halter, poser, tout fier, aux côtés de Cazeneuve et de Cukierman entre autres importantes personnalités. En 2013, il organisait à Auxerre, en tant qu’imam de la ville, une « “conférence d’amitié judéo-musulmane” en présence notamment du président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Richard Prasquier ». Problème : l’association Avicenne, gérant une mosquée d’Auxerre, expliquait en août 2014 que « M. Birbach n’est pas notre imam ni l’imam d’aucune mosquée à Auxerre ». Rachid Birbach serait-il un imposteur ? Son parcours, retracé par l’émission Arrêt sur Images, paraît très fantaisiste. Personne ne le prend au sérieux quand il se présente en tant que représentant des Corses musulmans : Dans ses différentes interventions médiatiques, Rachid Birbach a, par ailleurs, souvent relayé les thèses israéliennes comme celle selon laquelle le Hamas, à Gaza, se sert de civils palestiniens comme « boucliers humains ». Bref, un traître à ses frères.

LES SOUCIS DE MARINE LE PEN

Marine Le Pen avait déjà été convoquée à deux reprises (les 13 octobre et 9 novembre) par la justice pour être entendue dans le cadre de l’enquête menée sur le financement du Front national. Elle avait refusé de s’y rendre, arguant de son engagement dans la campagne électorale des régionales. Marine Le Pen a finalement consenti, mardi 5 janvier, à se présenter devant le juge Renaud Van Ruymbeke. Entendue comme témoin assisté (statut intermédiaire entre témoin simple et mis en examen), sur des soupçons de fraude dans le financement des campagnes 2012 (législatives et présidentielle) de son parti, son audition a duré toute la matinée et elle n’a fait aucun commentaire. Steeve Briois, ancien secrétaire général du parti, devrait être bientôt entendu dans la même affaire. En fait, les juges financiers soupçonnent des dirigeants du parti et d’une société proche du mouvement, Riwal, d’avoir mis en place un système frauduleux d’enrichissement avec de l’argent public. Les enquêteurs soupçonnent derrière un montage complexe des prestations gonflées et surfacturées sur le dos de l’Etat, qui rembourse les frais de campagne. Essayons de faire simple pour expliquer ce système. Chaque candidat a droit au remboursement par l’Etat des frais de propagande (affiches, tracts, mailings, etc), toutefois dans une limite liée au nombre d’électeurs de la circonscription et à condition qu’il ait obtenu 5 % des suffrages. Les remboursements peuvent atteindre 15 à 30 000 euros par circonscription. Ces frais ne sont remboursés que s’ils ont été facturés par le prestataire et payés par le mandataire du candidat. La tentation est évidemment forte de passer par des sociétés “facturantes” qui vont, en gonflant les factures, obtenir un remboursement maximum de l‘Etat. C’est ainsi que le kit de campagne fourni aux candidats, facturé 16 650 euros est soupçonné par la justice d’avoir été largement surfacturé. Au total, plusieurs millions d’euros sont soupçonnés avoir été détournés, ce que le FN nie énergiquement, dénonçant un complot politique. Dix mises en examen ont été prononcées jusqu’ici, dont deux vice-présidents du FN, Jean-François Jalkh et le trésorier, Wallerand de Saint-Just mais aussi le FN, mis en examen pour recel d’abus de biens sociaux et complicité d’escroquerie. Que risque Marine Le Pen ? Théoriquement, cela pourrait aller jusqu’à une peine d’inéligibilité. Et comme si cela ne suffisait pas, depuis le 7 janvier, Marine Le Pen est visée par une enquête préliminaire du Parquet financier « pour avoir sous-évalué son patrimoine ».

VIOLS MASSIFS EN EUROPE

La nuit de la Saint-Sylvestre a suscité des viols massifs dus, bien entendu à des allogènes, dont essentiellement des ‘migrants’, dans diverses villes européennes, dont Cologne, en Allemagne. La police estime entre 500 et un millier les agresseurs « d’origine arabe et nord-africaine », dit-elle, âgés de 18 à 35 ans qui ont violenté ou violé une centaine de femmes allemandes. Les jeunes Allemandes, souvent humanistes, qui accueillaient avec joie les migrants il y a quelques mois, découvrent ce que leurs grands-mères ont subi avec l’invasion soviétique en 1945 (2 millions de femmes violées). Certains commentateurs évoquent la perspective d’« un tremblement de terre dans l’opinion publique » et pensent que les « effets en seront dévastateurs ». Espérons-le. Angela Merkel, quant à elle, se conduit comme une traîtresse à son peuple, à sa Nation. Elle avait récemment refusé de suivre la demande, pourtant plus que modérée, de son allié, la CSU bavaroise, de limiter le seuil annuel à 200 000 migrants. Au fait, les violences et les viols se sont produits partout en Allemagne, dont Dresde, Hambourg, et nombre d’autres villes. Mais pas seulement en Allemagne. D’autres villes européennes ont été la cible des hordes barbares. Frauke Petry, la présidente du parti Alternative pour l’Allemagne (Alternative für Deutschland, AfD), a évoqué « les conséquences épouvantables d’une politique migratoire et d’asile catastrophique ». A Cologne, le chef de la police, Wolfgang Albers a déclaré au Süddeutsche Zeitung que « l’ampleur des crimes a atteint une nouvelle dimension ». Albers a confirmé au quotidien allemand que les agresseurs étaient nord-africains et arabes, selon les victimes et les témoins. Mais qu’en dit la maire socialiste de Cologne, Henriette Reker ? Cette abrutie d’envergure a insisté sur « les mesures de prévention ». Il convient, selon elle, que le comportement des jeunes femmes (allemandes) soit « mieux adapté » et elle prône même un « code de conduite ». Cette folle a eu une idée géniale pour éviter les agressions sexuelles : « que les femmes se tiennent à distance de bras d’un potentiel agresseur ». Hurlements d’indignation sur les réseaux sociaux. Le journaliste (de gauche) Sasha Lobo a adapté les conseils de la folle à la politique étrangère : « Le ministère des Affaires étrangères recommande urgemment aux personnes qui se rendent en Syrie, de garder une distance de la longueur d’un bras vis à vis des combattants de l’Etat islamique. » L’Allemagne dégénérée a, faut-il le rappeler, accueilli plus d’un million de “réfugiés” en 2015. Un policier a livré l’information : « (Les agresseurs arrêtés) étaient tous demandeurs d’asile et portaient leurs titres de séjour ». Dernier commentaire et conseil de la maire de Cologne : « Nous devons expliquer aux hommes d’autres cultures le carnaval de Cologne [son fonctionnement, son sens], afin que son comportement si joyeux ne soit pas confondu avec de la disponibilité sexuelle. » Mais qu’est devenu le peuple allemand pour accepter tout cela ? Je serai le 24 janvier à Cologne, à l’invitation des élus du mouvement identitaire Pro-Köln et, dans mon intervention, je m’autoriserai à transmettre le salut des lecteurs de RIVAROL à nos camarades allemands.

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

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Les nouveaux barbus

14-181.jpgDr Bernard Plouvier

Il ne s’agit nullement, dans ce petit texte, de se moquer de quelle que façon que ce soit des gens qui, par conviction religieuse ou par statut, ornent leur visage d’un additif capillaire, somme toute naturel. Ainsi des popes orthodoxes, des imams, mollahs et autres ulémas, des Kurdes Yézidis ou de leurs ennemis islamistes… une fois pour toutes, l’on doit refuser de différentier le musulman de l’islamiste, puisque le Djihâd est ordonné à tout fidèle – muslim en arabe – en bonne santé par neuf sourates coraniques sur 114 (mais les sourates consacrées en partie au Djihad sont parmi les plus longues).

De même, il serait ignoble de sembler se moquer des pauvres femmes affublées d’un virilisme pilaire, de commande génétique ou par maladie acquise, ce qui fait d’elles des clientes obligées des instituts de beauté et des pharmaciens, ce qui est moins ridicule (mais nettement moins rentable) que leur ancienne exhibition en tant que phénomènes de foire ou de cirque.  

On se contente d’ébaucher une réflexion d’ordre sociologique sur l’épidémie qui gagne une foule d’Occidentaux, devenus subitement réfractaires au rasage… abandonnant un acquis culturel gréco-romain antique, du moins pour les guerriers non spartiates. La pédiculose fut toujours une des nombreuses plaies des armées en campagne ou au cantonnement, d’où la rareté de la barbe dans les armées de terre… et les Perses étaient réputés tirer la barbe de leurs adversaires lors du corps à corps !

Sans vouloir se référer le moins du monde à la supercherie psychanalytique (c’est, avec le marxisme, l’une des rares idioties humaines mortes sous le poids de son ridicule intrinsèque), on peut évoquer les études fort bien faites de psychiatres et de psychologues des XIXe et XXe siècles consacrées au phénomène de compensation.

Quand j’étais jeune interne, un philosophe remarquable (et glabre) m’a dit, parlant de ses confrères barbus, qu’ils « cachaient leur médiocrité sous leur barbe ». Il serait stupide de généraliser l’application de cette boutade, mais à la réflexion on peut y trouver un (petit) fonds de vérité. Considérer la barbe comme un attribut de la sagesse est d’une remarquable absurdité, même si certains historiens (et surtout des historiennes, frustrées ou atteintes de ce virilisme pilaire évoqué plus haut) ont généralisé le cas des philosophes grecs antiques… dont on ne connaît rien de l’apparence physique : seule la tradition artistique des sculpteurs nous les révèle barbus, ce qui est d’autant plus stupide qu’à l’époque hellénistique et qu’en la Rome du 1er siècle avant JC jusqu’à la fin du IIe siècle après JC, il était de bon ton de se raser quotidiennement. Ce fut un Imperator homosexuel (Hadrien) qui remit la barbe à l’honneur !

Cet attribut pileux est-il autre chose que le désir d’affirmer sa virilité par un être quelque peu dubitatif sur son ego ? Quel homme digne de ce nom a besoin de faire savoir, urbi et orbi, qu’il en est « Un » et non « Une » ? Faut-il corréler le renouveau de popularité de la barbe, depuis les années 1995 sq., à la reprise de la vieille lubie d’Otto Weininger (un schizophrène homosexuel refoulé, suicidé en 1903 à l’âge de 23 ans et demi) : la théorie du genre librement choisi, par certains esthètes de l’autoanalyse ou de l’originalité comportementale, en contradiction du sexe déterminé par la génétique et clairement exprimé dès la naissance (sauf malheureux et rares cas d’ambiguïté) ?

À la grande époque des anarchistes terroristes de France (en gros de 1880 à 1912), on appelait « poilu », non pas le barbu ou le moustachu, mais celui qui avait autant de témérité que de poils… en un endroit caché. Et le terme fut tout naturellement employé pour désigner nos remarquables aïeux qui firent preuve de courage et d’abnégation de 1914 à 1918. Il est vrai que Joffre avait exigé de ses soldats, en septembre 1914, qu’ils se laissent pousser la moustache, considérée par lui comme « un attribut gaulois » (alors que les Germains antiques se laissaient bien plus pousser les poils que leurs cousins celtes). Après la mode de la barbe (ou de son timide succédané : l’individu mal rasé), va-t-on assister au renouveau de la moustache ?

Ce serait merveilleux si nos contemporains mâles en profitaient pour retrouver l’ardeur combative de leurs aïeux, face aux nouveaux envahisseurs. Dans ce cas, on leur permettrait – et avec joie – toutes les formes d’hirsutisme qu’ils voudraient.  

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Un regard catholique sur le rexisme : une conférence d'Alain Escada, Président de Civitas

Médias presse infos - Alain Escada cliquez ici

Imagine-t-on en 2016, qu’un meeting politique puisse être précédé d’une prière et d’une allocution d’une demi-heure donnée par un prêtre – un dominicain de surcroît ? Cela se passait en Belgique francophone, il y a 80 ans. Des meetings allant jusqu’à réunir plus de 30.000 personnes étaient organisés par REX, le parti catholique belge inspiré par l’encyclique Quas Primas de Pie XI. A partir de documents d’époque, cette passionnante conférence donnée par Alain Escada, Président de Civitas, à l’association Deus Vult le samedi 16 janvier 2016, vous fera découvrir une vérité historique très différente de la version officielle enseignée aujourd’hui.

3663303506.jpgNDLR SN : sur Léon Degrelle et le rexisme, avez-vous lu le n°1 des Cahiers d'Histoire du nationalisme cliquez ici et écouté le double CD Léon Degrelle raconte publié par Synthèse nationale cliquez là

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Nantes. L’agression des « antifas » contre une cérémonie en hommage à Louis XVI a tourné court

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Nantes (Breizh-info.com) – Ce jeudi soir 21 janvier, l’Action Française Etudiante de Nantes (royalistes) cliquez là ainsi que l’URBVM (Union Royaliste Bretagne-Vendée Militaire) cliquez ici organisaient – comme tous les ans – un hommage au roi Louis XVI. Un dépôt de gerbe était ainsi annoncé à 19h30 devant la statut du roi décapité par les partisans de la République et de la Révolution française. Une messe avait eu lieu au préalable, à 18h30 en l’église Saint-Clément.

Cette cérémonie d’hommage à Louis XVI était visiblement insupportable pour les « antifas ». Ces membres de l’extrême gauche radicale – dont certains ont été reconnus dans le casse du centre-ville de Nantes il y a un peu plus d’un an – appelaient ouvertement à venir perturber le rassemblement : « Les groupuscules royalistes Nantais habitués aux rassemblements homophobes et contre l’avortement se mobilisent cette fois pour honorer la mémoire de » leur roi » Louis XVI. Face à cette mobilisation d’un autre âge mais foncièrement réactionnaires l’Action Antifasciste Nantes et Nantes en Resistance appellent à une présence antifasciste, la rue n’est pas elles/eux, Louis XVI et tout les intégrismes ne seront jamais les bienvenus ! Fachos hors de nos villes ! » clamait le communiqué signé AAF Nantes (sic).

Répondant à cet appel, une trentaine d’individus ont voulu perturber, par la violence, la cérémonie de jeudi soir. Mal leur en a pris. De jeunes militants royalistes avaient en effet pris l’initiative d’assurer eux-mêmes la sécurité des familles attaquées simplement parce qu’elles entendaient respecter la mémoire du roi guillotiné. Après une violente charge et quelques coups, sous les yeux de la police qui avait laissé venir les militants « antifas » jusqu’au plus proche de la commémoration, les militants d’extrême-gauche ont pris courageusement la fuite avant de se retrouver encadrés sur une autre place par les autorités.

« Ils ont eu ce qu’ils sont venus chercher. Ils ne respectent même pas les morts, ce sont des marginaux » raconte une femme présente sur place. « Certaines années, ils avaient réussi à agresser des participants, car nous n’avions pas une telle sécurité. Ca fait plaisir de voir ces jeunes se mobiliser pour nous défendre, vu que la police a visiblement des consignes pour ne pas le faire»

La fin de la cérémonie, ainsi que le dîner qui s’en est suivi, se sont déroulés dans le calme.

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jeudi, 21 janvier 2016

6 et 7 février : mobilisation contre l'islamisation

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L'Aristoloche n°21

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Avez-vous lu le n°8 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au NSDAP ?

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Sujet très controversé, l'histoire du Parti national socialiste des travailleurs allemands mérite qu'on s'y intéresse de plus près.

Remarquable machine révolutionnaire édifiée en très peu de temps par un groupe d’hommes déterminés parmi lesquels se distinguait un certain Adolf Hitler qui fera beaucoup parler de lui, le NSDAP profita indiscutablement du dramatique Traité de Versailles qui accablait l’Allemagne pour prendre le pouvoir en 1933.

S’en suivit une période faste au cours de laquelle les Allemands eurent le sentiment légitime d’avoir retrouvé leur dignité.

Mais très vite l’Europe sombra à nouveau dans une guerre effroyable dont elle ne s’est toujours pas vraiment remise. Le grand rêve national socialiste se terminait en tragédie

C'est le Dr Bernard Plouvier, auteur de nombreux livres et spécialiste reconnu de cette période étonnante et tragique que fut celle de l'Allemagne des années 30 et 40, qui a rédigé ce huitième volume des Cahiers d'Histoire du nationalisme.

Un document qui s'en tient aux faits et qui remet bien des choses à leur place.

220 pages, 20 €

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Parlement européen : intervention de Marie-Christine Arnautu (FN) au sujet de la Syrie

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L'Orient compliqué...

Plus simplement, lisez lie livre d'Emmanuel Albach :

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Discrimination positive et Démocratie

liste_Democratie_9353.jpgDr Bernard Plouvier

En conséquence logique de la subversion soixante-huitarde et de la fin de l’État régi par le Droit napoléonien, de nobles âmes et de beaux esprits, après avoir solubilisé leur marxisme dans l’alcool et goûté à la nouvelle trinité : Haschisch-cocaïne-LSD (et succédanés), ont inventé toutes sortes de béquilles sociales pour les moins aptes de nos contemporains, dont le plus beau fleuron demeure sans conteste la « discrimination positive ».

L’on nous avait longuement bassiné avec la honteuse discrimination raciale et sexiste (celle des vilains Blancs et des vilains mâles envers les pauvres colorés et les pauvresses du sexe faible). On nous refit le coup, en inversant la polarité, et en ajoutant le couplet sur les « handicapés ». Cela devint une grande conquête sociale, patronnée par Dame Démocratie… qui, telle qu’elle est présentée de nos jours par nos merveilleux politiciens et les marchands de soupe populaire des media, est une donzelle guère moins recommandable et vertueuse que ses sœurs Liberté, Égalité, Fraternité ou Historia.

Dans certaines Universités des USA – il aura fallu une dure campagne électorale entre Démagogues et Républicains pour qu’on l’apprenne dans notre beau pays où la sous-information sur certains sujets est une règle d’or -, 25% des étudiants sont admis non par ordre de mérite, mais en raison de leur race ou de leur couleur de peau… Liberty for all s’est mué en Black and Latinos are beautiful.

En France, dès l’Ancien Régime, existaient des bourses d’études pour les « pauvres méritants » (Napoléon Bonaparte en avait bénéficié) et l’Église catholique a toujours assuré l’enseignement quasi-gratuit pour ses ouailles douées les moins riches. Chacun concourrait ensuite selon ses mérites, sa force de caractère et ses aptitudes aux relations humaines. C’était avant la basse démagogie des champions de la promotion des médiocres et des sous-doués.

Or les profonds penseurs cités plus haut, qui sévissent plus que jamais de nos jours, semblent avoir oublié – s’ils les ont jamais sus – les fondements de la Démocratie, la vraie, pas celle des pitres. Ils sont au nombre de deux sur ce point particulier. La Loi doit être égale pour tous les citoyens (riches et pauvres, dominants et dominés, élus et administrés). Toute fonction, toute admission à un poste financé par l’État – gestionnaire du Bien Commun – doit se faire en fonction des mérites du candidat et non par piston (racial, religieux, maçonnique), nullement par l’effet du népotisme ou d’un léchage de bottes (voire plus si affinités), encore moins par une « promotion canapé ».

Si l’on s’en tient à la stricte définition de la Démocratie, soit un gouvernement favorable aux intérêts de la majorité des honnêtes citoyens – ce qui n’a rien à voir avec le type de régime politique, n’en déplaise aux sectaires –, une discrimination (si l’on préfère un choix biaisé par l’effet d’un quelconque favoritisme) est absolument, totalement, irrémédiablement un non-sens. La discrimination, quel que soit le signe arithmétique qu’on lui attribue, est le triomphe de l’arbitraire.

Les contribuables et les épargnants qui alimentent le budget de l’État, ceux qui créent, entretiennent et accroissent le Bien Commun, ont un devoir : celui de protester contre des lois iniques, contraires à toute éthique, quelle que puisse être la motivation pseudo-humanitaire affirmée par les clowns qui les proposent et par les démagogues qui les votent. Démocratie sous-entend : méritocratie… et non merdocratie !

En cas de persistance dans l’erreur, en cas de dénis répétés de Démocratie, la seule démarche citoyenne qui s’impose est de s’insurger contre un Pouvoir abusif, contre des tyrans qui n’ont ni sens moral ni dignité dans l’exercice de leurs fonctions électives.      

10:20 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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mercredi, 20 janvier 2016

Des viols racistes et de la télégonie

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Dr Bernard Plouvier

La presse anticonformiste retentit de clameurs justement indignées à propos de l’épidémie de viols de la Saint-Sylvestre, Outre-Rhin. À Cologne, plus de 500 femmes ont été sexuellement agressées, battues (et parfois très violemment), enfin (qui en eût douté ?) volées, comme plusieurs dizaines d’Allemandes à Hambourg, et bien d’autres à Stuttgart. Dans tous les cas, les plaignantes accusent des agresseurs « de type arabe » (terme vague, on le reconnaît volontiers, mais qui exclut toute ambiguïté : il ne s’agissait pas de bambocheurs nordiques). Comble de l’ignominie, ces honorables « réfugiés-immigrés » ont procédé par bandes, d’une quinzaine d’individus à Stuttgart, d’une trentaine aux alentours de la gare de Cologne… et là, il n’existe plus le moindre doute : il n’est pas dans les usages des Européens de souche de s’en prendre à plusieurs à une femme isolée.

En dehors du caractère épidémique ponctuel de la chose, ces viols ne sont en rien une nouveauté. En France, on les déplore depuis le début des années 1980. Il en va de même en Scandinavie, en Belgique et en Grande-Bretagne. Les accusés sont en majorité (en quasi-totalité à Oslo) des immigrés africains, noirs, antillais et maghrébins, ou proche-orientaux, agissant autrefois en bandes séparées… moins différentiées de nos jours où l’islam a jeté un pont entre noirs et musulmans d’autres origines.

L’Allemagne, où l’on a accueilli 1,1 million d’immigrants-réfugiés politiques en 2015 (selon les statistiques du BAMF, le bureau fédéral des migrants et des réfugiés), connaît une flambée de viols depuis plus d’un semestre, touchant femmes et jeunes filles, mais aussi adolescents et jeunes mâles, avec des âges extrêmes de 13 et 55 ans, du moins officiellement, car les services de la police allemande, même s’ils sont plus coopératifs que les nôtres, ont tendance à minimiser les faits, sur ordre de la Chancelière… et, tout récemment, les chefs des polices suédoises ont intimé à leurs hommes l’ordre de ne plus signaler l’origine raciale des agresseurs sexuels pour ne « pas les stigmatiser » !

La recommandation des hauts-fonctionnaires suédois est d’une exceptionnelle stupidité, en plus d’être totalement opposée à la très démocratique honnêteté dans l’information des citoyens-contribuables. Car, désormais, le public, qui est moins sot qu’on ne le pense et a tendance à braver les interdits absurdes, fera automatiquement (et parfois abusivement) la liaison entre « violeur » et « immigré d’origine extra-européenne », comme, en France, l’on fait, depuis les années 1980 lorsque les media évoquent des actes odieux et des émeutes, l’amalgame automatique entre « jeunes » et « rejetons pourris de l’immigration ».  

En notre pays et depuis les années 1980, dans les milieux immigrés honorables, on parle de ces violeurs - qui aggravent souvent leurs actes par des brûlures de cigarettes incandescentes ou des vols – comme de « requins vicieux ». Or les choses sont souvent plus complexes que la seule perversion sexuelle, qui se rencontre – on le reconnaît volontiers - dans toutes les races et tous les milieux sociaux.

Lorsque l’on a fréquenté la sous-littérature raciste africano-arabe, et les textes orduriers de certains rappeurs, l’on comprend que ces « intellectuels » de haute volée ont réactualisé une vieille théorie, aussi absurde que célèbre… c’est presque une constante de l’humanité : plus une thèse est idiote, plus elle fait florès.

En l’occurrence, il s’agit de la docte stupidité d’un universitaire français, qui avait ressuscité la vieille hypothèse lamarckienne de l’hérédité des caractères acquis, l’appliquant à la conception des enfants : Alfred Giard (1846-1908) et sa Télégonie. Si cet universitaire avait eu quelques connaissances historiques, il aurait pu rappeler à ses lecteurs que, dans la Rome archaïque dominée par les rois étrusques, l’enfant né d’une mère violée des années auparavant (donc non issu de ce viol) était réputé « spurcus », soit souillé. En outre, depuis des siècles, des éleveurs de bestiaux propageaient les mêmes âneries, qui pour vanter l’excellence de son taureau de compétition, qui pour prôner son étalon… dont les prestations étaient hautement tarifées. Quelques littérateurs vicieux y étaient même allés de leur comparaison entre les reproducteurs humains et ceux d’un monde animal de haute fantaisie.

Giard était à la fois un politicien radical-socialiste et un enseignant à l’École de médecine et à la faculté des sciences de Lille, demeuré célèbre comme spécialiste de la flore océanique, ce qui lui valut une élection à l’Académie des sciences. En 1904, dans son livre délirant, intitulé Controverses transformistes, il affirmait que le premier homme à féconder une femme la marquait de façon indélébile et que tous les enfants qu’elle aurait par la suite, même issus de géniteurs différents, porteraient la « marque » de ce premier agent fécondant. Cette thèse fut très célèbre au Japon, dans les pays danubiens et en Allemagne, où le livre Péché contre le sang, d’Arthur Dinter, paru en 1917, fut un best-seller jusqu’en 1945.

C’est en se fondant sur la télégonie que furent édictées les lois nazies condamnant à l’internement en camp de concentration (à mort, durant la guerre) des Slaves et des Juifs pour avoir « souillé à vie une Allemande » en ayant une relation sexuelle avec elle. C’est au nom de la télégonie que les racistes encouragèrent les viols de Chinoises par des Japonais, des viols de femmes bosniaques ou serbes par des Croates (et réciproquement), durant la Seconde Guerre mondiale.

Depuis 1945, la télégonie est toujours diffusée en terres d’islam et, comme le chantent certains rappeurs : « Bourrer un petit cul blanc », c’est propager la nouvelle race supérieure, d’origine africaine, destinée à « remplacer la race des faces de craie », en France, « cette putain », comme partout ailleurs en terres d’immigration-invasion. Il importe tout particulièrement, pour un violeur africain ou proche-oriental, « d’arriver le premier », pour « marquer à vie une meuf à cul blanc ».

Comme l’on voit, le niveau intellectuel de ces « penseurs » est exceptionnellement élevé, mais il ne faudrait pas oublier que la caution pseudo-scientifique de ce délire raciste est estampillée d’origine universitaire… et française ! C’est une autre conception du « Vivre ensemble ».

L’unique moyen de lutter contre ces viols racistes à finalité de procréation est de soumettre chaque violeur capturé à la castration. Celle-ci n’empêche nullement la récidive des viols (car persistent des androgènes surrénaliens qui permettent une érection, plus ou moins stable, et le castrat trouvera toujours une belle âme pour lui fournir de la testostérone de synthèse), mais l’honorable violeur ne pourra plus procréer. Être contraints de vivre ensemble, ce n’est en aucun cas tout permettre aux immigrants-envahisseurs.

Au cas où certains lecteurs souhaiteraient approfondir le sujet, on peut signaler :

  • de Fersan : Le racisme anti-français, L’Æncre, 1997
  • Giard : Controverses transformistes, Naud, 1904
  • Plouvier : Les Juifs dans le Reich hitlérien, volume 1, Dualpha, 2015
  • Rostand : Science fausse et fausses sciences, Gallimard, 1958

14:35 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les deux rendez-vous littéraires de la fin janvier à Paris

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14:34 Publié dans Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La mèche est allumée !

TP_66_couverture.jpgPierre Vial

Editorial dans la n°66

de Terre et peuple magazine

Les hommes du Système ont eu chaud aux fesses. Gauche et droite ont révélé, de façon particulièrement spectaculaire en Nord-Pas de Calais-Picardie et en PACA, leur connivence profonde, avec le seul souci de sauver leurs prébendes (c’est ce qu’ils appellent « sauver la République »…).

Leur victoire est une victoire à la Pyrrhus : le quotidien La Provence (14 décembre) est obligé, la mort dans l’âme, de reconnaître que « le paysage politique ressemble bien à un champ de ruines ». Mais nous, nous sommes les hommes au milieu des ruines…

Les chiffres sont là : le Front National, en rassemblant 6,82 millions de voix, passe de 118 à 358 conseillers régionaux. Et, quand on regarde de près les résultats, on voit se dessiner des réalités de terrain. Ainsi, dans le département des Alpes de Haute-Provence, Marion Le Pen est en tête dans 54 communes. Cela signifie que le secret des futures réussites est dans l’ancrage territorial, local. Avec la perspective de prendre des mairies et de tisser des réseaux efficaces.

Mais le plus important n’est sans doute pas là. Il est dans les perspectives qui s’ouvrent pour ceux qui, comme nous, considèrent les enjeux électoraux comme de simples leviers destinés à contribuer – mais seulement à contribuer – à faire s’écrouler le Système. Cet écroulement deviendra possible quand, dans les têtes, aura progressé la mentalité révolutionnaire (on ne discute pas avec le Système, on le détruit).

L’essentiel est la conquête culturelle des esprits, qui prépare, comme l’enseigne Gramsci, la conquête politique. De ce point de vue là, nous sommes sur la bonne voie et les moins stupides des gens d’en face le savent fort bien (c’est même ce qui les inquiète le plus). A nous d’enfoncer le clou.

En clair, le sentiment de frustration né de la déception d’une victoire volée doit déboucher, chez les électeurs du FN, sur une prise de conscience allant dans le sens d’une radicalisation, totale et irrémédiable. Radicalisation des convictions, radicalisation des projets. Qui permette d’en finir, enfin, avec l’illusion que la droite peut sauver quoi que ce soit dans le naufrage d’une société que nous sommes en train de vivre.T&P Marion Le Pen, cette frêle jeune femme qui a révélé qu’elle était en acier trempé, a bien résumé la situation en déclarant : « Ils ont gagné une élection mais ils ont perdu leur âme (…) Il y a des victoires qui font honte au vainqueur (…) Ces régions que la gauche a fait gagner à la droite est un cadeau empoisonné (..) S’ils pensent nous effrayer, nous décourager, ils se trompent… Nous allons redoubler d’efforts et de combativité ».

Alors que le chômage, la misère, l’insécurité, l’immigration-invasion vont continuer, immanquablement, à répandre toujours plus leurs ravages, il n’est plus temps de faire la fine bouche sur l’impératif de l’engagement car il existe, clairement, désormais en France, deux camps et seulement deux : les agents (et les victimes consentantes, bêlantes) du Système et les Patriotes. Quand l’ennemi est là, dans nos murs, nous ne sommes pas du genre à couper les cheveux en quatre et à discuter du sexe des anges.

C’est pourquoi nous marchons au son du canon.

10:24 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 6 février, à Montpellier, manifestation contre l'islamisation

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10:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Avez-vous pensé à vous abonner à la revue Synthèse nationale ?

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Synthèse nationale n°41 :

- Editorial de Roland Hélie

- Dossier Attentats : Arnaud Raffard de Brienne, Dr Bernard Plouvier, Philippe Randa

- Pour un Front des Patriotes, Pierre Vial

- Un entretien avec Pierre Cassen, Président de Riposte laïque

- Patriotisme français ou Europe aux cent drapeaux, Emmanuel Leroy

- Un entretien avec Les Brigandes, Thierry Bouzard

- Le monde agricole victime de l'ultra libéralisme imposé par Bruxelles

- Les pages du Marquis, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

- Les articles de Pieter Kerstens, Patrick Parment, Charles-Henri d'Elloy, Francis Bergeron

- Les livres passés au crible par Georges Feltin-Tracol

- Témoignage de Roger Holeindre

124 pages, 12 €

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10:00 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 19 janvier 2016

Les « Sages » de la Cour des Comptes et les économies nécessaires

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Dr Bernard Plouvier

La Cour des comptes de la République (elle existait déjà sous l’Ancien Régime, sous la forme d’une Chambre, dont les avis n’étaient guère plus suivis que ceux des membres de l’actuelle Cour par nos merveilleux politiciens) émet ponctuellement chaque année une très copieuse brochure, aussitôt épluchée par les journalistes économiques et politiques. La dénonciation des scandaleuses dépenses abusives et d’une manière générale de la gabegie dans la gestion de la chose publique font la joie et les délices des plumitifs satiriques.

En ce début d’année 2016, les « Sages » (c’est le surnom qu’on leur donne, probablement pour les dédommager de leur rage de ne jamais voir suivies d’effet leurs propositions) ont accouché d’une grande idée : il faut faire des économies sur le Budget de l’État et celui des caisses sociales ! Un esprit taquin pourrait rappeler que les « économies » sont l’un des plus beaux Leitmotive de la vie publique française depuis le XVIIIe siècle. Après tout, c’est au nom des économies nécessaires, de l’indispensable péréquation fiscale entre les différents Ordres de la société et de l’exigence de la Nation de voter le montant et la répartition de l’impôt, que l’on a lancé le mouvement de 1788 qui a dégénéré, comme chacun sait, l’été de 1789.

En cette glaciale mi-janvier – pour cause de « réchauffement climatique » -, nos « Sages » ont frappé très fort : s’il est une économie « urgemment urgente » à réaliser en France, c’est celle des allocations-chômage ! Effectivement, la dette de l’Unedic (ex-Assedic) dépasse les 27 milliards d’euros (avec une prévision d’environ 29, 4 milliards pour la fin de l’année… alors que nos prodiges Hollande & Valls ont promis une baisse spectaculaire du chômage pour cette année : messieurs les « sages », vous êtes de dangereux agents de subversion pré-électorale).

Or, n’y aurait-il pas, ô « Sages » et moins sages théoriciens et praticiens de l’organisation de la vie sociale, des économies plus urgentes et plus déontologiques, en un mot mieux orientées vers la nécessaire éthique dans la gestion du Bien commun et de la solidarité ?

1 – Le budget de fonctionnement de la très efficace direction de notre merveilleux État (Présidence de la République & ministères) coûte très exactement 3 fois plus que celui de l’État allemand voisin. Or la France est peuplée d’environ (car on ne sait plus très bien à quel niveau se monte l’immigration clandestine) 67 à 68 millions d’habitants et l’Allemagne était peuplée de 81,2 millions au début de l’année 2015 (soit, de nos jours, environ 82,3 millions, par l’afflux d’1,1 million d’immigrés-réfugiés, dont chacun a pu constater le comportement civique exemplaire). Un budget de fonctionnement du haut état-major civil français trois fois supérieur, pour une population inférieure de 22% : c’est sûr, on pourrait grignoter un peu, voire beaucoup, sur les dépenses de nos excellences et de leurs pléthoriques cabinets de conseillers et chargés de mission.

2 – Nos roitelets de la Chambre et du Sénat dépassent largement le chiffre de 900 individus (927 selon les sources officielles), alors qu’aux USA (peuplés 300 millions d’habitants, là aussi en évitant de trop se pencher sur l’immigration illégale), les Sénateurs et Représentants nationaux sont moins de 600 (535 selon les statistiques officielles)… et l’on ne compte même pas les sinécures régionales des merveilleux féodaux de notre République. En outre, nos élus touchent encore des indemnités s’ils ont été blackboulés après deux législatures ; enfin leurs retraites sont plus que généreuses. Là aussi, de substantielles économies pourraient être réalisées.

3 – L’on pourrait également rogner quelque peu, voire éliminer totalement (puisqu’aussi bien leurs salaires ne sont pas précisément des aumônes), les frais de représentation, de logement, de déplacement etc. de nos élus, de leurs innombrables collaborateurs et des hauts-fonctionnaires ? Pour une directrice de l’INA mouchée, combien pourrait-on épingler d’excellences, de barons et de petits princes « indélicats » dans le maniement des fonds publics de fonctionnement… et l’on n’évoque même pas le cas des excellences qui usent du Mobilier national comme d’une brocante à usage personnel. Il est effectivement plus simple de s’en prendre aux chômeurs.

4 – Sur cette dernière catégorie de (pauvres) personnes, il existe certes des économies à réaliser… et de cette même façon « urgemment urgente » que pour nos élus dorés. Comment se fait-il qu’il existe en France une allocation pour les immigrés clandestins en plus de l’entière gratuité des soins en cas de maladie ? Par définition, un clandestin n’existe pas pour l’état-civil… sauf dans notre beau pays !

Idem, nous offrons généreusement une retraite aux immigrés âgés qui n’ont jamais travaillé dans notre pays, donc jamais cotisé à une caisse de retraite française. Les allocations-chômage sont octroyées à tout immigré sans travail, qui est en outre dispensé de payer, par de très généreux et très nombreux mécanismes d’allocations et de couverture sociale, quoi que ce soit pour les soins, la fourniture d’eau, de gaz, d’électricité, voire de loyer… le tout sans jamais avoir cotisé à une caisse sociale française.

Nos brillants théoriciens et praticiens de la Chose publique pourraient en revenir aux « Fondamentaux » : les caisses sociales ont été conçues sur le principe de la mutualité. De ce fait, seuls ceux qui ont alimenté ces caisses par le produit de leur travail ont droit aux allocations tirées de ces caisses. On peut étendre ce bénéfice aux descendants des travailleurs, mais il est totalement illogique, inéquitable, voire absurde d’en faire profiter d’authentiques parasites.

De fait, lorsqu’un pays compte plus de 5 millions de chômeurs, soit environ 12% de sa population en âge de travailler, on ne voit pas trop l’intérêt d’importer de nouveaux chômeurs, ni même des travailleurs immigrés (qui prennent le travail des autochtones). Leur entrée dans le pays ne représente d’intérêt que pour l’accroissement de la consommation intérieure. On sait bien que, même si cette consommation est en partie parasitaire, tout bénéfice est bon à prendre pour la grande, la moyenne et la petite distributions. N’en déplaise à ces vendeurs, le retour à leur continent d’origine est la solution la plus économique pour notre pays et surtout pour notre Nation.

5 – Enfin, s’il est des économies substantielles à réaliser, c’est également dans le surcoût en matières d’assurances, pour rembourser les dégâts, perpétrés par les sauvageons de l’immigration extra-européenne de façon quotidienne et surtout lors de leurs fiestas et leurs émeutes raciales, ainsi que les assurances-vie des victimes des fous d’Allah. L’on pourrait aussi réaliser des économies du côté des forces du maintien de l’ordre, de l’organisation judiciaire et des prisons. Renvoyer dans leur continent d’origine tous les criminels issus de l’immigration extra-européenne (ipso facto dénaturalisés) et tous les délinquants, quel que soit leur âge, dès la première récidive (qui doit entraîner automatiquement la perte de la nationalité française), est une mesure à la fois économique et juste.

Il est temps de ramener nos « maîtres » à une plus saine conception de la gestion du Bien commun, notamment dans ses coûts de fonctionnement. En outre, il serait bon de ne plus confondre la solidarité avec l’assistanat, notamment vis-à-vis d’une immigration extra-européenne de plus en plus mal tolérée par la Nation autochtone, en raison de l’inconduite des fruits pourris de cette immigration, qu’il s’agisse de voyous, de trafiquants, de violeurs ou de djihadistes.

C’est sûr, il faut faire d’importantes économies, mais il en est de plus urgentes à réaliser que d’autres et selon le principe fondamental de la préférence nationale, une valeur trop oubliée de nos jours.

19:02 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang en Bretagne samedi prochain

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12:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |