vendredi, 18 mars 2016
Vendredi 22 avril : Renaud Camus à Cavaillon
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Samedi 23 avril, à Bourges, journée identitaire et patriote
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jeudi, 17 mars 2016
1916-2016 : la tromperie du Président-candidat Thomas-Woodrow Wilson et son retentissement sur le sort de l’Europe… un centenaire à méditer
Dr Bernard Plouvier
Si l’on veut à toute force célébrer un anniversaire riche en symboles, plutôt que celui de l’inutile et stérile héroïsme franco-allemand de la bataille homérique de Verdun, il est plus profitable – du point de vue de l’esprit critique – de se pencher sur la réélection d’un très malhonnête homme dans le maniement des promesses électorales : le sieur Wilson, Président des USA depuis 1913, qui fut une calamité pour l’Europe en 1919, après avoir envoyé à la mort 114 000 soldats des USA, dans un conflit où ils n’avaient objectivement rien à faire.
C’était d’ailleurs ce qu’avait solennellement proclamé tout au long de sa campagne électorale le candidat Wilson, promettant et jurant aux électeurs des USA qu’il mènerait une politique de paix et de totale neutralité dans la guerre européenne.
Or cet homme-lige des grandes banques (c’est lui qui avait entériné la création de la FED – la Federal Reserve - en décembre 1913) devait impérativement voler au secours des milliards de dollars imprudemment investis dans le camp allié, où l’on était bien mal en point à la fin de l’hiver 1916-17.
Les trusts bancaires (groupes Morgan, Mellon, Rockefeller) et industriels (ATT, General Electric, US-Steel) avaient prêté ou avancé des biens pour 4 milliards $ à la Grande-Bretagne, 3 pour la Russie, 2,86 pour la France, 1,75 pour l’Italie et quelques centaines de millions $ à de petits États alliés... au total un peu plus de 12 milliards de dollars, soit l’équivalent en pouvoir d’achat actuel d’environ 19,5 milliards d’euros, mais dans un monde alors infiniment moins riche que de nos jours. Par mesure de comparaison, le budget des USA, en 1916, s’était élevé à 10,6 milliards $.
Très sensible aux demandes de ses sponsors du beau monde des financiers, négociants et entrepreneurs, Wilson, le pacifiste & neutraliste de 1916, déclare la guerre aux Empires Centraux, le 6 avril 1917. Ce calviniste paranoïaque proclame qu’il s’agit d’une « Croisade pour le Droit, la Démocratie et la Justice »… ses compatriotes apprendront la vérité en 1934, lorsque la Commission sénatoriale présidée par Gerald Nye dévoilera les véritables raisons, financières, d’une guerre fort coûteuse en vies de libres citoyens des USA.
Or cet honnête chrétien (c’est de cette façon qu’il se présentait), était un menteur pathologique de la pire espèce. Depuis le début des années 1890, il souffrait d’une hypertension artérielle sévère, incurable à l’époque, et d’un tabagisme forcené qui en aggravait le retentissement sur les parois artérielles. Dès 1896, soit une quinzaine d’années avant sa première élection à la présidence des USA, il avait présenté un premier épisode de paralysie transitoire de la moitié droite du corps. Les épisodes d’accidents ischémiques transitoires du cerveau se renouvellent et, en 1906, il perd brutalement la vision de l’œil gauche, par thrombose de l’artère centrale de la rétine.
C’est donc un sujet menacé d’un accident vasculaire cérébral majeur que les électeurs US envoient à la Maison Blanche en novembre 1912 et réélisent en 1916, en totale méconnaissance des faits, car ce grand honnête homme, ce défenseur du Droit et de la Démocratie, a caché ses soucis de santé à ses électeurs… les Français se souviennent sûrement du cas d’un certain François Mitterrand.
Durant les années 1917-1918, où il est sollicité par les deux coalitions belligérantes, il développe progressivement un délire interprétatif. Il se persuade que par l’appel « du monde entier » (l’exagération n’est pas surprenante chez un paranoïaque), Dieu s’adresse à lui, le chef de l’État le plus riche de la planète… donc le plus méritant si l’on se réfère à l’Ancien Testament.
Lorsqu’il débarque en France, en janvier 1919, il est convaincu depuis quelques mois déjà que Dieu l’a investi d’une mission prodigieuse, celle d’imposer la « paix définitive à l’Humanité », la paix universelle et perpétuelle. Wilson, pas plus que ses conseillers, ne connaît autre chose de l’Europe que de pitoyables poncifs sur son histoire, sa géographie physique et humaine ou ses mœurs. Assuré d’être l’expression de la volonté divine, il est obnubilé par quelques slogans (ses fameux points) et sa grande idée, la Société des Nations.
Il veut « crever l’abcès austro-hongrois » et va, pour ce faire, charcuter l’Europe danubienne sur les indications de politiciens slaves de fort mauvaise foi et de diplomates et universitaires français ignares ou partisans. Il veut offrir à la Pologne son indépendance et un accès à la Baltique, et choisit la solution la plus absurde qu’on puisse rêver, un casus belli expérimental : le « Couloir polonais » de Prusse-Occidentale qui coupe en deux morceaux le Reich allemand.
Quant à sa SdN, qui doit effacer des siècles de diplomatie secrète, anéantir la course aux armements et imposer la paix perpétuelle, il en fait un parlement international, dépourvu de la moindre force contraignante, une académie de beaux-parleurs. Le président US a voulu ignorer le précédent de la Cour Internationale de Justice de La Haye qui n’a jamais servi qu’à régler des litiges mineurs et dont la réactivation, à la fin du XXe siècle, pour juger des crimes commis en Europe danubienne et en Afrique décolonisée, n’a servi qu’à flatter l’ego des juges et fournir de la copie aux journalistes.
En cette année 1919, quand sonne son heure de gloire, il est parfaitement inapte à répondre à l’attente générale. Il est incapable de jouer le rôle d’arbitre international espéré par les populations d’Europe, d’Asie et d’Afrique : non seulement il est délirant autant qu’incompétent, mais il devient gâteux !
Durant le premier semestre de 1919, le couple Wilson mène grand train à Paris. Madame, beaucoup plus jeune que monsieur, se lance avec enthousiasme dans la « vie parisienne ». Au long des 8 premiers mois de l’année 1919, Wilson présente de gros troubles de la concentration mentale, en plus de troubles caractériels, et surtout deux nouveaux épisodes d’hémiparésie droite de brève durée. Le 28 septembre 1919, le président des USA, l’homme qui a engagé imprudemment son pays, tant pour fonder la SdN que pour assurer le gouvernement français de la protection des USA en cas d’agression allemande non provoquée, est terrassé par une hémiplégie gauche, ce qui témoigne d’une atteinte de l’autre carotide ! À l’évidence, il s’agit d’un sujet au cerveau et aux artères gravement malades, un homme incapable de gérer les affaires publiques.
On assiste alors à une comédie ahurissante. Edith Wilson persuade les ministres et le médecin personnel du président, l’amiral Cary T. Grayson, de cacher la triste réalité au peuple et au Sénat : l’épouse du président se substitue à lui dans l’exercice des fonctions officielles ! Quelques semaines plus tard, la supercherie sera découverte, mais nul ne sera pénalisé pour cette forfaiture.
Le Sénat US rejette naturellement les Traités et la garantie donnée à la France. Au long du premier semestre de l’année 1919, les sénateurs avaient fait savoir au président qu’ils refuseraient de cautionner tout engagement à moyen ou à long termes en Europe et qu’ils exigeaient un retour à la politique traditionnelle des USA : le repli sur le continent américain. Wilson, plus colérique que jamais et en proie à son délire mégalomaniaque, avait refusé de prendre en compte l’avis des sénateurs… alors que la Constitution exige une ratification sénatoriale pour tout traité international. Le président, sûr d’incarner la volonté divine, était passé outre, persuadé que « Dieu règlerait l’affaire à Son heure » !
Un fou de Dieu, également un grand malade, aidé il est vrai du grand vieillard et germanophobe haineux Georges Clemenceau et de David Lloyd George, lui-même psychotique non délirant, a créé les conditions de déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Un autre fou de Dieu, Adolf Hitler, l’a débutée, puissamment aidé d’un homme au dernier stade d’un cancer, Neville Chamberlain, et d’un paranoïaque alcoolique, Josef Beck, le mégalomane polonais, tous deux stimulés par Franklin Delano Roosevelt, le père de l’ère globalo-mondialiste.
Un siècle plus tard, lors d’une nouvelle campagne présidentielle US, l’on entend les mêmes promesses démagogiques et mensongères que celles du candidat-président Wilson… sauf du côté d’un candidat populiste, viscéralement haï des banquiers, des boursicoteurs de haut vol et de la presse cosmopolite !
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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18 mars 1978 : assassinat de François Duprat, théoricien du nationalisme-révolutionnaire ?
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Martial Bild reçoit Bruno Mégret sur TV Libertés
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mercredi, 16 mars 2016
La pitrerie Antifa fait toujours recette auprès des media, beaucoup moins auprès des électeurs
Dr Bernard Plouvier
On le sait depuis des siècles : la propagande cible les masses, soit – en tout continent et dans toutes les races et leurs sous-variantes – les 75% de sous- et de moyennement doués, qui forment l’écrasante majorité des opinions publiques et des électorats.
Il est réconfortant de constater qu’aux USA également, la comédie burlesque du « combat antifasciste » exerce ses charmes ravageurs. Du coup les Européens en paraissent (un peu) moins idiots dans leur acharnement à poursuivre cette vieille lune.
Les méthodes sont inchangées depuis les années 1920. Des « pacifistes », des « antiracistes », des « antimilitaristes », bref des tas de gens autoproclamés « non-violents » usent de la force, de l’hystérie médiatique, du matraquage publicitaire, et volontiers d’arguments « démocratiquement frappants », pour interdire de parole des hommes politiques qu’ils sont incapables de contrer par le raisonnement.
C’est toujours d’un gros rendement, auprès des faibles en esprit critique, que d’user et d’abuser du sentiment, de la noble indignation hypocrite, de la plus basse démagogie (étymologiquement : ce qui plait au peuple inculte et irréfléchi) pour s’attaquer à des orateurs trop efficaces dans le déroulement logique de leur argumentation. Cela vaut en Europe occidentale pour la diabolisation des mouvements populistes. La pré-campagne des présidentielles aux USA nous apprend que cette pratique y (re)devient à la mode.
En l’occurrence, Donald Trump vole de succès en écrasement de ses adversaires (remportant jusqu’à présent 70% des primaires), parce qu’il refuse le discours gnan-gnan, à la sauce de feu Walt ‘’Disney’’-Elias, de la politicaille US et qu’il propose des solutions dictées par la froide raison et le pur bon sens, en matière d’immigration, de coût en dépenses de santé, de réduction du déficit de l’État central, de politique fiscale, de régulation du commerce international, de relations politiques cordiales avec la Russie et de lutte impitoyable contre toutes les formes de terrorisme. Contrairement à ce qu’assène la « presse internationale », Trump est l’unique candidat présentant un programme cohérent, antidémagogique, fort peu favorable aux maîtres de la globalo-mondialisation.
Cela ne fait absolument pas les affaires d’un candidat démocrate, lamentablement dominé par l’épouse la plus trompée des USA, lady Clinton, et qu’il ne parvient même pas à capter l’attention et les subsides de sa très riche communauté judéo-US… à dire vrai, qui veut encore d’un « socialiste » aux USA, où ce terme n’a jamais signifié que : « marxiste qui n’ose pas avouer son obédience » ? On comprend que cet authentique démagogue ait besoin de coups de publicité pour ne pas sombrer.
D’un autre côté, quelques Noires, partisanes d’une immigration noire massive aux USA, ont profité d’affrontements violents entre des voyous noirs et des policiers blancs pour lancer un mouvement « pacifiste », intitulé Black Lives Matter (les vies de Noirs sont d’une grande importance)… ce qui, pour des militants noirs, n’est qu’une lapalissade.
Or, les nervis du « socialiste » Bernie Sanders et les « pacifistes » à gros bras du mouvement BLM ont organisé des émotions populaires à Chicago pour protester contre un meeting électoral prévu par le candidat populiste républicain. Pour éviter toute effusion de sang, Trump a fort justement annulé ce meeting, le vendredi 11 mars 2016… ce qui a entraîné la fureur des « pacifistes » qui s’en sont pris à la police et aux partisans de Trump (des gens coupables d’arborer une cocarde ou un insigne, comme cela se fait couramment aux USA). La presse internationale, qui ne rate jamais une ânerie quand il s’agit de défendre de très gros intérêts, dénonce la haine de… Trump !
De même, le spéculateur juif le plus connu de la planète, le sieur György Schwartz, plus connu sous le nom de George Soros (même après 1945, de nombreux Juifs sont restés des Fregoli du changement de patronyme), vomit Trump, coupable d’excès de popularité, alors que Soros accumule vainement les œuvres dites philanthropiques pour faire oublier ses spéculations sur les monnaies et les matières premières qui font de lui un être méprisé par tous les honnêtes travailleurs de la planète. Condamné par la Justice française pour une canaillerie boursière, Soros est partisan de l’immigration musulmane massive en notre pays et il la finance… on se venge comme l’on peut !
Le locataire, sur le départ, de la Maison Blanche, qui hait tous les candidats et qui estime que « tout va bien aux USA », joue les bons apôtres en prêchant le retour au calme, sans condamner le moins du monde les vrais responsables ; bien au contraire, c’est Trump qu’il conspue ! C’est comme cela que l’on se prépare une confortable retraite : des conférences dans les riches Universités US, payées 20 000 $ de l’heure.
La comédie Antifa reste immuable dans ses procédés, prouvant à la fraction la moins sotte de l’humanité que la bête immonde marxiste et trotskiste n’est pas morte et que le racisme anti-Blancs est devenu une valeur sûre, un peu partout dans notre monde frelaté, saturé de bêtise, d’hypocrisie et de pseudo-humanisme de pacotille.
18:16 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’Allemagne, un pays comme les autres… à nouveau ! Mais définitivement ?
La chronique
de Philippe Randa
Depuis les élections du dimanche 13 mars 2016 et la percée du parti Alternative pour l'Allemagne (AFD), unanimement autant qu’abusivement catalogué droite « extrême » parce que s’opposant à l’accueil des migrants extra-européens, le landernau politique européen est en émoi ; en effet, il était entendu que l’Allemagne n’était pas un pays comme les autres… et surtout qu’il lui était interdit de le redevenir. La défaite militaire de son IIIe Reich, la diabolisation du régime national-socialiste et le rappel incessant, depuis soixante-dix années maintenant, de ses crimes, était sensé marquer à jamais la patrie de Goethe au fer rouge de l’opprobre politique.
Ne lui était toléré qu’une certaine et jugulée puissance économique, et à toutes vélléités d’indépendance, lui était rappelée, comme une impitoyable épée de Damoclès citoyenne, son diabolique passé.
Las ! En quelques années, ce pays s’est progressivement libéré de l’insupportable carcan de l’éternelle repentance. D’abord par sa réunification en 1990, obtenue au grand dam de la France et achetée au prix le plus le plus fort par la parité du Mark est-allemand (négocié à l’époque à un niveau bien inférieur sur le marché libre) avec celui de l’ouest qui devait sinon ruiner, du moins l’affaiblir durablement… Mais plus encore par l’acceptation de la future monnaie unique, l’Euro… La riche Allemagne n’était plus divisée, mais allait être économiquement étranglée.
Les thuriféraires de la mondialisation, notamment anglo-saxons, déchantèrent rapidement : l’Allemagne mit quelques années à digérer sa réunification, ce qui n’était peut-être pas gagnée d’avance comme l’avait sans doute espérée certains… Elle redevenait ainsi, rapidement, plus puissante économiquement que jamais, mais restait néanmoins un nain politique… et le serait sans doute restée longtemps encore, si les événements ne s’étaient précipités en 2015 : l’invasion migratoire de l’été offrit une occasion inespérée à la chancelière allemande de rebattre les cartes brutalement : en ouvrant l’Allemagne aux pseudo-réfugiés syriens – en réalité à une immigration économique multinationale – et prenant ainsi de court tout le monde, elle rachetait – soldait ? – le passé nazi de son pays. Définitivement ? On peut l’envisager désormais.
Certes, son parti, la CDU, a essuyé une défaite électorale ce dimanche 13 mars 2016, mais l’irruption électorale d’un parti populiste menace-t-elle réellement la chancelière ? La CDU reste le premier parti d’Allemagne et son principal rival, le socialiste SPD, tout comme la gauche plus radicale de Die Linke et les écologistes des Grünen, sont tout autant en net recul.
Habituée des coalitions gouvernementales – tout comme les Français le sont désormais à la cohabitation entre PS et Républicains – Angela Merkel va donc pouvoir continuer de gouverner sans véritable menace électorale immédiate…
Et gouverner une Allemagne qui a désormais son parti populiste, à l’image de la plupart des autres pays européens… Façon de montrer, finalement, qu’elle est désormais une Nation comme les autres.
Définitivement ?
17:54 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 15 mars 2016
80 ans de supercherie : 1936, le « triomphe électoral » du Frente Popular en Espagne
Dr Bernard Plouvier
« Les sciences morales et politiques sont inexactes
et pleines d’incertitudes »
Anatole France, Sur la pierre blanche
Certains Européens veulent à toute force commémorer le centenaire de la Bataille de Verdun, qui fut un authentique désastre pour l’Europe. N’y aurait-il pas mieux à faire, d’un point de vue didactique ? Car si les environs de Verdun sont devenus célèbres par l’hécatombe de héros Français et Allemands, sa bataille ne dégage aucune aura de mystère historique, si elle laisse flotter un parfum de gloire autant que de stérilité pour notre race et notre continent.
2016, c’est aussi le millésime d’une énorme imposture historique, qui demeure encore une source exceptionnelle de désinformation. Il faut pour cela tourner les yeux vers l’Ibérie et se remémorer l’ignominie historique la plus immonde de toute l’histoire humaine : la barbarie marxiste.
En avril 1931, l’aimable dilettante Alphonse XIII est chassé de l’apparence du Pouvoir en Espagne à la suite d’une émeute déclenchée par des marins communistes, dans la grande tradition bolchevique. En juillet de la même année, dans la nouvelle République, une coalition de conservateurs et de centristes remporte les élections aux Cortes (l’Assemblée nationale) et fait mieux encore, en novembre 1933, raflant les deux tiers des sièges.
Cela n’a pas l’heur de plaire au Président de la République, Niceto Zamora-Alcala, dont l’exigeante conscience de « démocrate de gauche » l’empêche d’appeler à la présidence du Conseil des ministres le chef de la coalition victorieuse.
Se succèdent donc des gouvernements sans majorité parlementaire, rivalisant d’inefficacité, tandis que les anarchistes, nombreux en Catalogne, et les dévots des deux chapelles marxistes ennemies, les staliniens du Komintern et les trotskystes du POUM, multiplient grèves, attentats et « manifestations spontanées de la colère du peuple ». En octobre 1934, l’on assiste même, dans le nord du pays, à plusieurs insurrections marxistes. On est obligé de recourir à l’armée pour rétablir la légalité.
En janvier 1936, Zamora dissout les Cortes pour la troisième fois en moins de cinq ans. Sur l’ordre des maîtres du Komintern (l’organisation d’agitation, de propagande et de subversion de la IIIe Internationale), le minuscule Parti communiste (qui compte moins de 3000 adhérents) organise un Front Populaire, qui associe les marxistes purs et durs aux socialistes de la IIe Internationale ouvrière, aux radicaux (des Francs-maçons anticatholiques), aux autonomistes basques et catalans, et même à certains groupuscules d’anarchistes.
Le 16 février 1936, la coalition de droite et du centre remporte 4,5 millions de suffrages, tandis que le Front Populaire n’en totalise que 4,2 millions. Toutefois, le système électoral, calqué sur le français (le scrutin d’arrondissement), permet de transformer cette défaite électorale en triomphe parlementaire. Avec ses 48% de voix, le Front rafle 54% des sièges aux Cortes, tandis que les « réactionnaires », majoritaires en voix, doivent se contenter de 46% des sièges… c’est ce qui arrive quand on refuse le seul scrutin démocratique : le régime de la proportionnelle intégrale.
Trois générations d’historiens universitaires et mondains, curieusement informés, ont présenté ces élections comme un triomphe électoral et « l’expression de la volonté populaire ». L’on comprend mieux que certains des vainqueurs légitimes, spoliés de leur succès, aient parlé de Frente Crapular, d’autant qu’en moins de trois mois, les pseudo-vainqueurs laissent se perpétrer, sans réagir notablement, 712 attentats sur les personnes et les édifices publics et 251 saccages d’églises et de couvents, généralement agrémentés de viols et d’assassinats.
Le 12 juillet 1936, deux héros du prolétariat déguisés en militaires assassinent le meilleur orateur de la droite parlementaire, José Calvo Sotelo, que la tendre Pasionaria communiste, Dolores Ibarruri, désignait de façon quotidienne depuis quelques mois comme étant « l’homme à abattre ».
Cinq jours plus tard, la guerre civile débute, par l’insurrection des nationalistes contre les « rouges ». Commence alors la plus grande campagne de désinformation de l’histoire contemporaine. Jamais, depuis 1789, historiens et journalistes n’auront menti avec autant d’impudeur qu’à propos de la Guerre d’Espagne !
Sur la Phalange espagnole, lire :
Présence de José Antonio
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19:00 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Eric Zemmour se moque des communicants à propos de la réforme territoriale
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Dimanche 24 avril, près de Lille : 4e Journée régionale de Synthèse nationale
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lundi, 14 mars 2016
Pourquoi devient-on un politicien ?
Dr Bernard Plouvier
La question n’aurait somme toute pas plus d’intérêt que celle de connaître la raison pour laquelle un individu choisit d’être policier ou malfaiteur, médecin, ingénieur, fonctionnaire ou chômeur peu motivé par la quête d’un emploi, si notre société ne souffrait considérablement d’un manque d’éthique dans l’exercice des fonctions électives.
Une remarque préliminaire s’impose, les révolutions dites « démocratiques » (telle celle de 1789-1798), ont accouché du parlementarisme et, de ce fait, ont créé par extension abusive ce fléau social, ce parasite qu’est le politicien professionnel, passé directement d’études fort orientées et de la fréquentation de syndicats étudiants ou de la pépinière des jeunes de tel ou tel parti à la manipulation de l’électorat, à la plus basse démagogie, sans avoir exercé, au moins durant une décennie, un métier utile à la société.
Tout le monde le sait : le politicien professionnel est à la fois un séducteur et un prédateur. Un séducteur n’est pas un violeur (les sociologues et psychologues des années 1930-60 n’ont rien compris aux mécanismes de la relation politicien-électorat en parlant de viol des foules). Cette séduction est un mécanisme à double entrée : le politicien veut être aimé, admiré, supporté car c’est avant tout un être en état de manque d’affection ou de reconnaissance ; l’électorat veut avoir à sa disposition un être à encenser. Ce n’est pas pour rien qu’en Occident, le XXe siècle fut à la fois une époque de déréliction et le siècle triomphal du fait politique.
Tout séducteur finit par lasser et ce d’autant plus vite que se révèle l’autre part de sa nature, la prédatrice. Certains savent mieux cacher que d’autres cette seconde partie du métier de politicien et restent très longtemps aimés, même s’ils se sont avérés d’une prodigieuse nullité (l’exemple de Jacques Chirac vient immédiatement à l’esprit).
À l’évidence, le politicien est au service de quelque chose. Mais les motivations de ses agissements peuvent être multiples. Il arrive même qu’y entre, chez certains d’entre eux, une part d’idéal.
Trop souvent, il est vrai, le politicien n’est qu’un être au service de sa gloriole, d’une soif d’argent, de pouvoir (qui est d’ailleurs davantage une délégation qu’un réel pouvoir, sauf en cas de dictature populiste) ou du désir compulsif de manipuler autrui (ce qui réalise un exemple d’art pour l’art !). Reste à envisager ceux qui sont motivés en tout ou en partie par un idéal (et, parmi ceux-là, les plus désintéressés sont généralement les plus grands dévoreurs de vies).
À quelques exceptions près, seuls les édiles locaux sont animés par une volonté ferme et simple de servir la collectivité. Les politiciens aux grandes ambitions sont des exaltés, souvent des psychotiques, au service d’une idée philosophique (la démocratie), religieuse (ce sont en général des hallucinés ou des paranoïaques), économique, sociologique (la patrie), voire zoologique (la race).
Les intoxiqués par l’idéal démocratique sont pervertis par deux âneries fort anciennes, que le Britannique John Locke a énoncées doctement : l’égalité et la bonté native des êtres humains. Un demi-siècle après lui, Jean-Jacques Rousseau, s’il n’était pas idiot au point de développer la première idée (s’en tenant prudemment à une égalité devant la Loi, ce qui était la reprise du grand classique athénien depuis Solon, au 6e siècle avant notre ère), développa ad nauseam la seconde : si l’être humain est fondamentalement bon, de bonnes lois établiront une société idéale… ce sophisme, qui n’était qu’une tautologie, fit l’objet d’un bref essai d’application par son admirateur éperdu, le paranoïaque austère Maximilien Robespierre, qui tenta d’imposer le Bien et le Juste par la Terreur.
L’irruption de la foi religieuse en politique est toujours aussi désastreuse. On ne connaît que trop bien les massacres en Angleterre et en Irlande provoqués par le fou de Dieu halluciné Oliver Cromwell, la désastreuse intervention du paranoïaque calviniste (et cérébro-scléreux) Thomas Woodrow Wilson dans les affaires européennes en 1919 qui furent l’une des causes directes de la Seconde Guerre mondiale, ou, plus près de nous, l’affrontement de deux paranoïaques iraniens s’estimant missionnés par Allah : le shah réformateur Mohamed Reza et son rival victorieux, l’anachronique ayatollah Ruhollah Khomeiny, sorti tout droit d’un cauchemar médiéval.
Les désastres des champions du totalitarisme matérialiste sont tout aussi connus. Si très rares sont encore les Nations à subir le joug de fous furieux marxistes (qui tuèrent au bas mot 120 millions d’êtres humains au XXe siècle et gâchèrent irrémédiablement la vie de deux milliards d’autres), l’Occident et les Nations de style de vie occidental subissent de plein fouet les pratiques démentielles des adorateurs du libéralisme : individualisme, hédonisme, naïveté et vide sidéral de la course au profit.
L’exaltation de l’idée de Patrie a souvent conduit aux guerres, provoquées par des motifs futiles (l’exemple de la Grande Guerre est bien connu). Quant à la notion d’exaltation de la race, elle a souvent été grosse de génocides – du Xe siècle avant notre ère jusqu’à notre époque -… le pire est que trop souvent les paranoïaques qui vantent leur « race élue » (de la divinité ou du destin) confondent races et nations (ainsi de Moïse ou d’Adolf Hitler).
Que la corruption, la démagogie, le mensonge, l’hypocrisie et l’égoïsme des carriéristes soient des plaies de nos sociétés européennes (et d’autres continents, mais ceci n’est d’aucune importance pour un Européen) est un truisme. Les électeurs ayant soutenu, puis constamment réélu les canailles, les brasseurs de vide, les démagogues et les imbéciles, ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes.
Seuls sont fondés à se plaindre les êtres de grande qualité intellectuelle ou éthique (les deux éléments ne sont pas obligatoirement corrélés) qui, en vertu de la loi du nombre, sont les victimes des choix absurdes de majorités d’idiots et de naïfs.
Toujours et partout (dès ses débuts dans la Grèce antique), la « démocratie » fut la résultante de deux chiffres : le nombre des électeurs opinant et, surtout, la quantité d’argent dépensée pour soutenir les candidats jugés les plus aptes à favoriser les affaires des riches. Démocratie, toujours et partout, fut l’équivalent du mot : Ploutocratie… il serait temps que même les moins doués de nos contemporains en soient informés.
L’homme politique idéal peut-il exister ? Il devrait être un individu charismatique, assurant la paix civile et garantissant l’indépendance du Pouvoir judiciaire, organisant une activité économique cohérente, avec une juste rétribution du travail bien fait, entretenant des relations harmonieuses avec les législateurs, les encourageant à se maintenir dans une ligne de responsabilité éloignée de la démagogie électoraliste, exaltant l’enthousiasme des administrés en leur procurant la certitude de participer, par leur travail et leur dévouement à la chose publique, à une authentique entreprise historique, donnant un idéal à la jeunesse et lui procurant une utilité sociale durant sa période de formation (l’adolescent utile à la place du jeune consommateur-roi), encourageant une production authentiquement artistique destinée à traverser les siècles... une véritable quadrature du cercle politico-social. L’histoire antique, médiévale, moderne ou contemporaine ne mentionne (presque) aucun individu de cette trempe... c’est ce que l’optimiste est en droit d’espérer du surhomme !
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3225 du 3 mars 2016
L’ABBÉ Xavier Beauvais, ancien prieur de Saint-Nicolas du Chardonnet à Paris, exilé par Mgr Fellay à Lille puis à Marseille, car trop populaire, trop combattant, pas assez lâche face au politiquement et au religieusement correct, et en total désaccord avec l’actuelle politique de ralliement à Bergoglio, a été condamné en appel le 17 février à 2 000 euros d’amende avec sursis pour injure raciale, pour avoir lancé « Y’a bon Banania, y’a pas bon Taubira ». Il avait crié ce slogan le 20 octobre 2013 lors d’une manifestation contre la “christianophobie” à l’appel du mouvement Civitas. Il avait expliqué à la barre du tribunal qu’il entendait opposer une référence au petit déjeuner familial à l’élément de destruction de la famille que représente à ses yeux la loi ouvrant le mariage aux “couples” de même sexe, portée par l’ancienne garde des Sceaux Christiane Taubira. Relaxé en première instance, il vient donc d’être condamné en appel. Pour la cour, « Il ne fait aucun doute que la formule fait nécessairement référence à la couleur de peau de Mme Taubira » et « à une époque colonialiste du début du XXe siècle, présentant le tirailleur sénégalais comme une sorte d’être primaire, naïf, un peu niais, dont le langage souligne une culture limitée et un maniement de la langue restreint », ce qui est évidemment faux, comme tout Rivarolien bien né le sait.
JEAN-MARIE LE PEN, PERSÉCUTÉ, LUI AUSSI, PAR LEUR “JUSTICE”
Jean-Marie Le Pen avait déclaré lors d’un meeting à Nice, le 4 juillet 2013, lors d’un discours d’investiture de la candidate niçoise du Front National : « Vous avez quelques soucis, paraît-il, avec quelques centaines de Rroms qui ont dans la ville une présence urticante et disons… odorante ». Il vient d’être jugé pour provocation à la haine et à la discrimination ethnique. Une peine de 25 000 euros d’amende a été requise, ainsi que la publication du jugement dans les media qui avaient, à l’époque, cité ses propos. L’avocate des associations parties civiles, dont SOS-Racisme et la Ligue des droits de l’Homme, Me Patricia Suid, a plaidé avec force, déclarant : « Il décrit les Rroms avec une image dégradante mais surtout qui incite à la haine en les comparant à des punaises qui vont envahir la Côte d’Azur ». Des punaises ? Quelle drôle d’idée, en effet… Le jugement doit être rendu le 7 avril. Le réquisitoire aurait-il été plus clément s’il les avait comparés à des rats ? On ne sait pas.
Les persécutions à l’encontre du vieux lion mais toujours si jeune n’en finissent pas. On sait qu’une peine d’amende d’au moins 30 000 euros a été requise contre le président d’honneur du Front national pour « contestation de crime contre l’Humanité » pour avoir une nouvelle fois qualifié les chambres à gaz de “détail” de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, le 2 avril 2015 sur le plateau de BFMTV-RMC, face à Jean-Jacques Bourdin. Jugement le 6 avril. Si l’on ajoute dans les deux affaires les sommes demandées par les parties civiles et les publications judiciaires exigées (chacune équivaut à 5 000 euros), c’est plus de 100 000 euros qui sont réclamés à Le Pen, une véritable folie ! Un des amis du Menhir a confié ce propos qu’aurait tenu le fondateur du FN, au plus fort de l’offensive du couple Marine Le Pen/Philippot contre lui, l’été dernier : « Ils veulent tous me tuer mais je vais les faire chier jusqu’à 100 ans ».
JEAN-MARIE LE PEN, LUI, NE RECULE PAS !
Comme chacun d’entre nous, Jean-Marie Le Pen a des défauts. On le sait. Comment a-t-il pu s’illusionner ainsi quant à sa fille ? Comment a-t-il pu laisser s’éloigner de valeureux militants ? Passons… Mais il a une immense qualité, si peu partagée aujourd’hui : le courage, tant physique qu’intellectuel. Et l’on pourrait y ajouter l’humour. On se souvient de la scène amusante où, à l’occasion des fêtes de Mardi Gras, il apparaissait sur une chaîne numérique, le visage recouvert d’un masque de carnaval, déclarant : « Les hommes politiques sont masqués toute l’année, c’est aujourd’hui qu’ils devraient l’enlever, moi c’est l’inverse ». Mais qu’en est-il du traditionnel défilé du 1er mai, en l’honneur de Jeanne d’Arc ? Daesh a lancé des menaces contre les militants du FN, qualifiés d’“idolâtres” dans le 8e numéro de dar Al-Islam, l’organe de propagande de l’organisation islamique, et contre le défilé du 1er mai présenté à partir d’une photo de foule comme « une cible de premier choix ».
Du coup, Marine et son entourage, qui n’ont, il est vrai jamais fait la guerre, si ce n’est dans des boîtes de nuit, se déballonnent. Il n’y aura pas de défilé du FN mariniste, à cause de Daesh ! Pitoyable. En fait il s’agit là d’un prétexte car, dès le 29 janvier, avant même les menaces de Daesh, L’Opinion indiquait que les dirigeants du néo-FN entendaient renoncer définitivement à ce défilé, le symbole de la Pucelle étant jugé désuet, archaïque et le risque que des militants frontistes puissent s’exprimer lors de ce défilé de manière peu politiquement correcte devant les caméras de télévision étant considéré comme trop important dans un contexte de dédiabolisation voire de normalisation dont témoigne notamment le nouveau blog de Marine Le Pen totalement dépolitisé et où l’on ne voit que des photos d’elle, concernant pour l’essentiel sa vie privée. Jean-Marie Le Pen relève, quant à lui, le défi et ne recule pas. Il appelle tous les militants nationaux et nationalistes à se joindre à lui le 1er mai au matin pour honorer la sainte de la patrie place des Pyramides.
L’ÉTONNANT SUICIDE DE MARINE LE PEN
Marine Le Pen avait déjà refusé de se rendre devant les militants LMPT lors de la campagne des régionales, refusant de participer aux manifestations. Mais maintenant elle s’en prend aux militants LMPT qui, selon elle, voteraient tous UMP. C’est Le Point qui le raconte : Karim Ouchikh, ancien socialiste devenu conseiller à la culture de Marine Le Pen, a déploré que le FN n’ait pas “récupéré” la Manif pour tous. Réponse de Marine Le Pen : « Ces gens (les cathos) détestent ce que nous sommes (Non !, ce qu’elle est !). Ils ont tous voté UMP (quelle imbécillité !). J’ai autre chose à faire que de courir après ceux qui nous crachent à la figure ». Voilà, c’est tout. Compris ?
ENCORE UN JUIF MYTHOMANE
Le professeur juif de Marseille disait avoir été blessé au couteau en novembre, cinq jours après les attentats de Paris. L’attaque présumée avait suscité une vague d’indignation jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. François Hollande avait ainsi publié un communiqué dans lequel il dénonçait l’acte. La victime a raconté : « Ils m’ont demandé si j’étais juif ou musulman. Et quand j’ai dit que j’étais juif, ils se sont rués sur moi et m’ont jeté à terre, en me disant qu’ils allaient me faire souffrir et me tuer ». Ils l’ont « tailladé avec deux couteaux » et lui ont montré une photo de Mohamed Merah et un tee-shirt de l’Etat islamique. « Puis un troisième homme est arrivé avec un autre scooter et a filmé la scène », raconte-t-il. Ces agresseurs étaient de « jeunes adultes d’une vingtaine d’années », avait-il aussi assuré. De très importants moyens policiers avaient été déployés pour en retrouver les auteurs. La victime, blessée (très, très légèrement) aux bras aux jambes et au ventre, avait été hospitalisée. L’enseignant s’en sort avec quelques plaies et quitte l’hôpital le soir même. L’affaire avait suscité une pluie de déclarations politiques et associatives. François Hollande avait vivement condamné cette agression, en appelant à une « réponse impitoyable ». Michèle Teboul, présidente du Crif Marseille-Provence, s’était affirmée « très choquée ». « Cela fait deux affaires du même type en très peu de temps », avait-elle relevé, se disant « très inquiète ».
Las, cette belle histoire finit mal pour le mythomane (un de plus) juif. Tout avait éclos dans l’imagination riche du personnage. « Les blessures font un peu rigoler si l’on peut dire, et les constatations médico-légales qui ont été effectuées ne collent pas à ce qu’il raconte, tout comme d’autres examens qui ont été réalisés au cours de ces semaines d’investigations », a confié une source proche de l’affaire, interrogée par La Provence. « Des semaines d’investigations… En attendant, il vient d’être placé en garde à vue… l’hypothèse la plus probable est celle d’une auto-mutilation, a précisé le procureur de Marseille, Brice Robin, dans un communiqué. A l’issue d’une enquête particulièrement approfondie, il est apparu que les déclarations de la prétendue victime d’une tentative de meurtre n’étaient corroborées ni par les premières constatations des pompiers intervenants, ni par l’expertise médico-légale, ni par la dernière expertise médico-technique. » Il sera jugé en avril pour « dénonciation mensongère d’un délit imaginaire », a annoncé le parquet, le jeudi 25 février. En attendant, le professeur, Tsion Sylvain Saadoun « a maintenu ses déclarations dans les moindres détails » et « est vraiment désolé qu’on ne le croie pas », a précisé son avocate à Me Karine Sabbah. Il risque six mois d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende, mais nul doute que l’avocat général sera clément avec un homme qui a tellement souffert…
BRUNO LE MAIRE, UN OISEAU EXCEPTIONNEL !
Bruno Le Maire l’a dit : il ne doute pas un instant qu’il sera élu président de la République. Il a annoncé qu’il se présentait aux primaires des Républicains et ne doute pas une seule seconde qu’il l’emportera haut la main face à Sarkozy et à Juppé, entre autres. Il vient de déclarer : « Dans des temps ordinaires, je n’aurais aucune chance. Comme les temps sont extraordinaires, je vais gagner. » La nouvelle Jeanne d’Arc au masculin semble assez contente d’elle. Florilège hilarant : « Que c’est bon de se lever le matin et de vouloir diriger le pays » (Le Monde du 23 février). Et puis : « Je suis une exception. Je suis autant écrivain que politique » (Le Monde). Et puis, celle-ci, qui est grandiose : « Mon intelligence est un obstacle » (Le Point du 18 février). Mais ce n’est pas fini : « Mon problème, c’est que j’ai les yeux trop bleus pour la télévision » (lors d’un déjeuner de presse). Pauvre chou, on le plaint… Pour ceux qui n’auraient pas saisi la modestie du personnage, il conclut par cette considération émouvante : « Je suis dans une démarche d’humilité ». On l’avait compris… En attendant, j’ai décidé de le placer d’autorité dans ma volière, aux côtés de Cricri et d’autres improbables moineaux qu’engendre la démocratie, et vous tiendrai évidemment au courant, d’heure en heure, des délires du personnage…
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La France revue et corrigée par les socialistes
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Sortie chez Dualpha du livre de Rémi Tremblay consacré aux Acadiens...
« Le premier génocide moderne, bien avant les Vendéens… »
Entretien avec Rémi Tremblay, auteur du livre Les Acadiens : du Grand Dérangement au Grand Remplacement, éditions Dualpha, préface de Jean-Claude Rolinat.
Pourriez-vous revenir sur le Grand Dérangement, événement clé de l’histoire acadienne ?
Le Grand Dérangement est effectivement un moment crucial de l’histoire des Acadiens. Ce peuple, qui est français de langue, de foi, de culture et de race vit sur une terre passée sous contrôle britannique en 1713. Coincée entre les colonies américaines britanniques et la Nouvelle-France, elle représente un territoire géopolitique capital pour les deux puissances en conflit à l’époque. Les Acadiens, peuple n’ayant aucun objectif de puissance, se cantonnent dans une position de neutralité qui finalement ne fait ni l’affaire des Français, ni des Anglais. Ces derniers, jugeant la politique de neutralité acadienne suspecte et considérant ces Catholiques francophones comme une menace potentielle décident alors de se débarrasser des Acadiens en tant que peuple. Commence alors le Grand Dérangement, soit la déportation des Acadiens vers d’autres colonies ou vers l’Europe. En les dispersant aux quatre vents, la couronne britannique espère qu’ils s’assimileront aux colons anglais des autres colonies et disparaitront donc en tant que peuple. Cet épisode représente le premier génocide moderne, bien avant les Vendéens, et comme dans le cas de ces derniers, il est aujourd’hui peu connu, même chez les Canadiens français.
Quelles sont aujourd’hui les perspectives d’avenir des Acadiens ?
Les Acadiens, malheureusement, risquent de disparaître s’ils ne changent pas leur fusil d’épaule. La disparition d’un peuple n’est pas que théorique en Amérique. Les Cajuns et les Canadiens français du Manitoba ont disparu au fil des dernières décennies, s’assimilant à la masse anglo-saxonne qui compose la grande majorité du continent. Un destin pareil attend les Acadiens si rien n’est fait.
Je m’explique. De un, les Acadiens comme la plupart des autres peuples occidentaux font face à une décroissance due à un taux de natalité excessivement bas, qui peut être mis en lien avec l’abandon de la religion. En parallèle, une immigration massive vient faire diminuer son importance relative. Ça, c’est vrai pour tous les peuples occidentaux, seulement, chez les Acadiens, ceux-ci sont déjà minoritaires sur leur propres terres ancestrales. Alors non seulement ils tendent à devenir une minorité parmi tant d’autres dans la grande mosaïque canadienne, mais leur statut de minorité est de plus en plus fragilisé par l’arrivée d’immigrants. Il faut aussi ajouter que l’assimilation des Acadiens aux Anglo-Saxons n’est pas un phénomène aussi marginal qu’on le pense. Bien qu’il s’effectue lentement, il est impossible de nier ce problème majeur pour la survivance acadienne.
Comment expliquez-vous la méconnaissance actuelle des Acadiens ?
L’Acadie représente un petit peuple numériquement parlant, surtout comparativement à son voisin le Québec, peuplé de millions de Canadiens français. Déjà, le Québec est peu connu en France, alors la petite Acadie l’est évidemment moins. Même au Québec, l’Acadie est peu connue et ce malgré le fait que nombre d’Acadiens vivent sur le territoire québécois. Est-ce du nombrilisme, du chauvinisme ? Dur à dire. Seulement, comme le disait Raoul Roy, chantre de la Francité, les peuples français (et non pas francophones), doivent resserrer les rangs et c’est dans cet esprit que j’ai voulu faire connaître le monde acadien à nos cousins français.
Les médias modernes ont tendance à vouloir susciter la sympathie pour des causes aussi lointaines de nous que possible et ce alors qu’une partie de notre peuple risque de s’éteindre lentement dans le silence assourdissant du reste de la Francité.
Les Acadiens : du Grand Dérangement au Grand Remplacement de Rémi Tremblay, Préface de Jean-Claude Rolinat, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 158 pages, 23 euros, cliquez ici
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Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine
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dimanche, 13 mars 2016
Elections régionales en Allemagne : Merkel écrasée par le parti anti-immigration
Source BREIZATAO cliquez ici
Treize millions d’Allemands étaient appelés aux urnes, dimanche 13 mars, dans les Länders (régions) de Bade-Wurtemberg, de la Rhénanie-Palatinat et de la Saxe-Anhalt. Le scrutin était considéré comme un test majeur pour Angela Merkel avant les élections fédérales de 2017. Elles ont tourné au désastre pour la chancelière allemande, écrasée dans son fief historique par le nouveau parti anti-immigration “Alternative pour l’Allemagne”.
Défaite historique
Le parti de la chancelière, l’Union chrétienne-démocrate (CDU), enregistre une défaite dans deux régions des trois régions où se déroulaient les élections, selon les premiers sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote. La CDU (centre-droit) est battue en particulier dans son fief historique du Bade-Wurtemberg, où elle obtiendrait 27,5 % des voix et est devancée par les Verts (32,55 %).
Surtout, le principal vainqueur de ces scrutins régionaux est le nouveau parti anti-immigration, Alternative pour l’Allemagne (AFD). Il réalise une percée majeure, obtenant 10% dans la Rhénanie-Palatinat, 21,5% dans la Saxe-Anhalt et 12,5% dans le Bade-Würtemberg.
Le début de la fin pour Angela Merkel
Cette défaite historique est un coup terrible pour Angela Merkel qui subit là les conséquences de sa politique migratoire extrémiste. L’Allemagne a ainsi accueilli, sur ordre de la chancelière, plus d’un million de musulmans en 2015 et devrait en recevoir autant en 2016. L’actuel chef du gouvernement allemand refusant catégoriquement de changer sa politique sur la question.
Totalement isolée en Europe, ayant provoqué la désintégration de Schengen, Merkel est désormais clairement menacée en Allemagne où son parti risque de voir ses électeurs se tourner en masse vers l’AFD. Un parti pourtant âgé de seulement 3 ans.
Cette défaite va, à n’en pas douter, donner matière à réflexion dans les capitales d’Europe de l’Ouest. Si le chef du gouvernement le plus puissant d’Europe tombe sur la question migratoire, il deviendra pour les partis de gouvernement très risqué – pour ne pas suicidaire – de défendre une politique immigrationniste radicale.
23:47 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Ligue du Midi solidaire de Génération Identitaire : face à l'invasion, de Calais à Montpellier, la résistance est un droit sacré !
Un communiqué de la Ligue du Midi :
Ce samedi 12 mars, les jeunes identitaires ont bloqué les deux ponts qui reliaient le centre-ville de Calais à la « jungle » qui héberge encore des milliers de migrants. Cette action symbolique est un acte fort, un message clair pour ceux qui aujourd'hui envahissent l'Europe : « On est chez nous, rentrez chez vous ! »
Un message que refuse d'entendre ceux qui prétendent nous diriger. Pire, le système qui protège avec tant de passion, les migrants, s'acharne en revanche contre ceux qui veulent défendre leur terre. Après les sept Calaisiens qui sont déja en prison, plus une deuxième fournée de quatre et l'arrestation infame du général Piquemal, ce sont maintenant quatorze militants de Génération Identitaire qui sont détenus en garde à vue et qui ont passé la nuit derrière les barreaux.
La stratégie du “deux poids , deux mesure” d’un gouvernement aux abois, obligé de donner des gages à son extrême gauche, apparait en pleine lumière : on laisse les migrants et les no-borders monter à l’assaut d’un paquebot et on réprime impitoyablement toutes les manifestations patriotes ou identitaires. Preuve de ce double langage, on a vu hier à Perpignan un préfet autoriser dans une salle municipale du centre-ville une conférence donnée par des salafistes (partisans avoués de la charia).
Face à cette répression insupportable du gouvernement socialiste, face aux attaques contre nos libertés fondamentales, il est plus que jamais nécessaire de revendiquer notre droit à s'opposer à cette invasion ! On se rappelle que la Ligue du Midi avait manifesté il y a une semaine à Montpellier devant le Centre d’accueil des migrants - dans les locaux de l’ancienne gendarmerie -, pour justement s’opposer à la venue de clandestins en provenance de Calais.
Engagé depuis des années dans ce combat pour la défense de nos libertés et de notre identité, la Ligue du Midi appelle à soutenir les militants de Génération Identitaire emprisonnés.
De Calais à Montpellier, soyons maîtres chez nous !
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La stratégie de l’invasion et du pourrissement et ses contre-mesures
Dr Bernard Plouvier
On sait depuis longtemps que la stratégie indirecte donne parfois de bons résultats et à très bas coût, si on la compare à une guerre déclarée. Le grand art de ce type de stratégie a toujours été de pourrir les sociétés dont on veut la perte ou de leur susciter des ennemis.
Pour prendre un exemple qui ne peut fâcher personne de nos jours, on peut citer l’Empire byzantin, qui survécut un millénaire à la ruine de l’Empire romain d’Occident par le recours préférentiel à ce type d’opérations, où l’on ne se résolvait à l’emploi de la force qu’après échec de cette diplomatie machiavélique.
L’Europe, continent d’origine de la race blanche, est une créatrice de civilisations et en fut longtemps exportatrice. Après tout, les cairns à degrés du futur domaine celtique ont précédé de deux millénaires la première pyramide d’Égypte, qui servit elle-même de modèle aux ziggurats mésopotamiennes.
Les premières cités connues, qui remontent au 10e millénaire avant notre ère en ce que l’on appela ensuite l’Anatolie, furent peuplées d’Européens. Ce furent des sujets parlant une langue indo-européenne, les Hyksos, qui civilisèrent l’Égypte antique, y introduisant la roue et la domestication du cheval en plus de l’armement le plus sophistiqué de l’époque. Si l’on doit diverses découvertes à la Chine, il ne faudrait pas oublier que l’étude des momies des premières dynasties, exhumées aux alentours de l’An 2000, a révélé que ces premiers monarques étaient des Européens de culture kourgane.
Ce qui ne signifie nullement que les autres races n’aient pas participé aux progrès de l’humanité. L’on doit aux Asiatiques, entre bien d’autres exemples possibles, la découverte de l’arc composite et de la poudre noire, deux armes de destruction massive en leur temps. Par ailleurs, certaines formes de musique doivent à l’Afrique un instrument essentiel : le tam-tam.
Il faut croire que les actuels maîtres du jeu international redoutent encore les exceptionnelles facultés créatrices des Européens puisqu’ils utilisent à leur égard une stratégie d’invasion avec un encouragement au métissage de la population autochtone et une stratégie de pourrissement intellectuel, par l’emploi d’une arme de décomposition intellectuelle massive : l’islam djihadiste, rétrograde autant que barbare.
La stratégie d’invasion-métissage-pourrissement de l’Europe est à l’évidence poursuivie par les USA depuis le début du XXIe siècle. Parallèlement, les trois faux ennemis : les roitelets islamo-pétroliers, le gouvernement islamique turc et le nouveau califat couplé à l’État islamique (Daesh, si l’on préfère), ont entrepris une nouvelle vague d’expansion tous azimuts de l’islam, dans laquelle l’Europe est la cible à la fois la plus riche et la moins bien défendue.
Le troisième larron, qui agit en étroite liaison avec les deux précédents – en dépit d’une opposition de façade au second groupe – est l’État d’Israël, où la propagande officielle, assez peu subtile, a pour but d’apeurer un maximum de Juifs fortunés d’Europe visant à les faire passer en Israël. Pour ne pas mourir d’implosion, Israël a besoin d’une immigration juive, de préférence fortunée. On hurle donc, en Europe, des slogans sur la recrudescence de « l’antisémitisme » et parallèlement, l’on vante les charmes – plutôt inexistants – d’un Israël de légende… un État où l’inflation dispute à l’insécurité les gros titres des journaux. En outre, le gouvernement israélien n’est pas mécontent de voir émigrer en Europe des centaines de milliers de jeunes islamistes du Proche et du Moyen-Orients : cela fait autant d’ennemis potentiels en moins pour des États islamiques qui pourraient lui redevenir hostiles.
Face à ces Machiavels, qui ne prennent même pas la moindre précaution pour masquer leurs agissements, que doivent faire les Nations européennes, manifestement trahies par leurs politiciens, du moins en Europe occidentale et scandinave… ce n’est pas le cas des Nations d’Europe danubienne et surtout pas d’Europe orientale.
À l’évidence, elles doivent impérativement abandonner les phantasmes marxistes, soixante-huitards et libéraux à propos d’une quelconque repentance liée à l’époque coloniale, ou d’une soi-disant obligation de solidarité envers des peuples arriérés aux plans culturels et techniques. La charité chrétienne est une fort belle chose en théorie, dont l’application pratique, menée sans discernement, confine à la niaiserie la plus grotesque : quelle idée un pape peut-il avoir en tête pour vanter les mérites de l’accueil massif de populations islamiques en Europe ?
Les Nations européennes, dans leur part autochtone, doivent adopter - sans hypertrophie de l’ego collectif comme le font les racistes qui se proclament élus d’une quelconque divinité – un sentiment ferme et respectueux de leur appartenance raciale. L’Europe ne doit nullement devenir un nouveau continent fourre-tout, un nouveau continent de melting pot : il y a pour cela l’immense continent des trois Amériques, dont cela fut et reste la vocation première. Nul n’a jamais reproché aux Juifs, depuis 1945, leur pratique obsessionnelle de l’endogamie, comme c’est le cas pour les Yezidis du Kurdistan ou des Comoriens. On ne voit donc pas de raison de reprocher aux Européens le refus du brassage des races et de l’option du métissage général.
Enfin, les Nations européennes doivent organiser le retour de tous les immigrés-réfugiés dans leur continent d’origine, de façon à ce que ces êtres humains retrouvent leur dignité en œuvrant pour le développement de leur terre ancestrale. Il est évident qu’il faut supprimer aux puissances d’argent le « droit d’ingérence » dans les affaires intérieures des États. L’on a trop vu les funestes conséquences de ce principe grotesque depuis les débuts de l’ère globalo-mondialiste pour en tolérer encore l’application.
Il est évident que les maitres du jeu international (USA, Israël, Turquie, États islamo-pétroliers) doivent impérativement présenter des excuses aux Nations décimées, déracinées, plongées dans le chaos, par leur politique de gribouille. Et ces excuses devront, comme pour d’autres crimes contre l’humanité, donner lieu à des réparations financières, en prenant comme exemple celui de l’hypermédiatisée Shoah. Repentance et réparations ne peuvent et ne doivent être unilatérales.
livre du Dr Plouvier ?
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Un entretien entre Franck Abed et Emmanuel Albach sur le livre "Beyrouth 1976 des Français aux côtés des Phalangistes"
Au milieu des années 70 une guerre terrible éclata au Liban. Celle-ci opposait les diverses milices musulmanes aux Phalanges chrétiennes alors dirigées par Béchir Gemayel. Elle ensanglantera le pays du Cèdre pendant de nombreuses années. Aujourd’hui encore le Liban garde les séquelles de ce terrible conflit.
A Paris, un groupe d’étudiants est scandalisé par la lâcheté du gouvernement giscardien qui refuse d’intervenir pour soutenir les chrétiens menacés. Ils décident de sauver l’honneur de la France et partent se battre, les armes à la main, à Beyrouth. L’un d’entre eux, Stéphane ZANETTACI n’en reviendra jamais. A ce sujet, je vous conseille d’écouter la chanson « Occident en avant ».
Emmanuel ALBACH fut l’un des deux premiers Français à se rendre sur les champs de batailles libanais. Après avoir lu son livre passionnant et intéressant, j’ai voulu en savoir plus. Voilà la raison de cet entretien qui j’espère en réveillera certains…
Franck ABED
Franck ABED : Bonjour. Pourriez-vous prendre la peine de vous présenter en quelques mots ?
Emmanuel ALBACH : Je suis un ancien militant des Groupes Action Jeunesse et le fils d’un ancien membre de l’OAS. Dans la famille on a le sens du devoir, et l’on est prêt à se battre pour la patrie et pour l’honneur du drapeau, même quand on ne nous l’a pas demandé. J’ai fait aussi les langues’ 0 (arabe littéral et parler du machrek) et ai été journaliste pendant quinze ans, dès mon retour du Liban. Aujourd’hui je fais tout autre chose, mais je suis obligé de me montrer discret par égard à l’entreprise qui m’emploie.
Pour quelles raisons vouloir publier votre expérience au Liban plus de trois décennies après les faits, alors que l’ouvrage avait été écrit dès votre retour en France à la fin des années 70 ?
J’ai toujours eu un carnet et un stylo en poche, et j’avais pris des notes, au fil des jours. Rien d’un journal, mais suffisamment pour me permettre de construire un ensemble presque cohérent dès 1977-78. Et puis j’ai laissé dormir ce texte avant de le mettre une première fois en forme à la fin des années 90, mais ce n’était pas très achevé. Je l’ai soumis à un ou deux copains éditeurs, le temps de me faire pirater pas mal de choses par un imposteur dont je tairai le nom mais que vous reconnaîtrez probablement. Je l’écrase de mon mépris. Puis je suis parti vivre à l’étranger. En 2011, quand la guerre a éclaté en Syrie, j’ai assez vite compris ce qui se dessinait et ce qui menaçait les chrétiens là-bas. Malheureusement ceux-là, au contraire des chrétiens du Liban, n’ont pas de tradition de résistance armée. Ils sont livrés depuis des siècles au bon vouloir des musulmans locaux. Bref, j’ai compris alors qu’il était vraiment temps de témoigner et que je trouve un éditeur. Mais tous avaient peur de se faire taxer d’islamophobie. Roland Hélie (Synthèse Nationale) ne s’en soucie guère, lui ! C’est comme moi, un vieux militant !
Avec le recul, regrettez-vous votre engagement ? Si c’était à refaire, le referiez-vous ?
Aucun regret ! Et je suis prêt à y retourner ! Je crois d’ailleurs que cette fois je serais plus efficace qu’en 1976…
Vous êtes partis de France pour aider des Jeunes Chrétiens dans leur combat. Le christianisme était-il un élément fondamental de votre vie au moment où vous avez fait ce choix important ?
Emmanuel ALBACH : Honnêtement, même si je suis d’une famille catholique et pratiquante, en 1976 j’étais issu d’une mouvance nationaliste-révolutionnaire où l’on ne faisait pas grand cas de ce christianisme gnangnan ou marxisant que l’on nous infligeait depuis Vatican II. Ma motivation était, en quelque sorte, de sauver l’honneur de la France qui faillait à son devoir en ne se portant pas au secours des chrétiens du Liban. C’était une tache de plus sur le drapeau dont je ne voulais pas. Cela dit, une fois là-bas j’ai rencontré des chrétiens de combat (c’est le cas de le dire) animés d’une foi magnifique et communicative. Grâce à eux, j’ai retrouvé le Christ et je ne l’ai plus quitté.
D’une manière plus générale, comment expliquez-vous le peu de virilité qui frappe la jeunesse catholique de France ?
Le sang des Français est un sang magnifique. J’ai pleinement confiance qu’il peut à tout moment révéler sa force et son courage. Il suffit simplement de dire bien fort : « Les gars, les filles, le courage est à la mode ! Risquer son sang pour le Christ et pour la France, quoi de plus exaltant ? Quoi de plus chrétien ?» Faites leur entonner le chant des Chouans : « Les bleus sont là, le canon gronde… ». Nous le chantions la nuit, pour nous donner du courage. Ditesleur, à ces jeunes catholiques, que défendre l’honneur du Christ donne le droit imprescriptible de se battre, et que se préparer à combattre est légitime, et même un devoir chrétien quand il s’agit de sa foi et de son pays. On ne donne à ses malheureux catholiques, pour seul idéal, que les ONG et la « gloire » de faire la bonniche en Afrique dans les programmes d’aide de l’ONU…On ferait mieux de leur parler de Godefroy de Bouillon, ou des Cristeros, ce serait plus d’actualité !
S’il n’y avait qu’un seul enseignement à tirer de votre expérience libanaise, quel serait-il ?
N’attendez pas que l’on vous donne l’ordre ou une autorisation officielle ! N’ayez pas peur que l’on vous taxe d’extrémisme ! Quand ils font cela, ils vous disent seulement que vous dérangez leur ordre établi, qui n’est qu’un chaos moral. Le Christ aime ceux qui sont prêts à tout risquer pour lui : le confort, la vie tranquille de shopping, de vacances, de ciné, de soirées-télé, et parfois aussi la vie…
Comprenez-vous aujourd’hui le désir de certains jeunes de vouloir faire la guerre ? Ne sont-ils pas leurrés par une vision trop romanesque de l’activité guerrière ?
La France est une vieille nation guerrière qui s’est couverte de gloire en maintes occasions. Si elle n’avait pas su faire souvent la guerre, elle n’existerait plus depuis longtemps. Les nations aussi peuvent mourir, vous savez? Un jour, à Jérusalem, le rédacteur en chef d’un grand quotidien israélien me demandait, à mon avis, pendant combien d’années ils allaient devoir se battre avant de se faire accepter dans la région. J’ai éclaté de rire ! « Mille ans, lui ai-je dit ! Au moins ! Nous, en France, nous nous battons contre nos voisins depuis bien plus longtemps que cela. Alors vous… » Les seules nations qui échappent à l’esclavage, à la soumission, sont celles qui se battent : « Il n’y a pas de liberté pour celui qui refuse de combattre. » Donc, il faut se battre, et il faut rendre à nos jeunes le goût de se battre pour rejeter la soumission. Et puis, ils vont avoir à le faire, c’est inéluctable. Cela dit, si vous faisiez allusion aux jeunes qui veulent s’engager en Syrie, moi je suis en l’occurrence très réservé. Je ne fais pas crédit de grand-chose aux Kurdes. Et je me garderai bien de dépendre d’eux. Mais évidemment les chrétiens de Syrie n’ont guère le choix. Au Liban, même si le danger était probablement plus grand, au moins nous savions aux côtés de qui nous combattions.
Suite aux invasions migratoires qui se déroulent en Europe, comment voyez-vous l’avenir de notre continent ?
Je l’ai indiqué ci-dessus : il faut se préparer au combat. Les Européens vivent dans le culte de l’immobilier, mais leur immobilier ne vaudra plus grand-chose quand eux et leurs enfants seront égorgés, et leurs filles violées. Cela vous paraît exagéré ? Voyez comment à Oran, en juillet 1962, les gentils voisins musulmans avec lesquels on cohabitait pacifiquement depuis des générations, ont débarqué soudain chez les chrétiens pour se saisir des appartements, des maisons, et des commerces, tandis que le FLN égorgeant à qui mieux-mieux, et enlevait des centaines de femmes et jeunes filles. Et demandez aux Libanais : ils savent bien eux, qu’il n’y a pas d’exemple dans toute l’Histoire de cohabitation pacifique, durable, avec les musulmans (et que l’on ne me ressorte pas l’épisode mythique des royaumes arabes d’Espagne : les chrétiens y étaient régulièrement persécutés !) Si vous voulez vivre avec eux, il faudra vous habituez à vivre l’arme à portée de main. En vous montrant aussi chatouilleux que les musulmans sur votre honneur et sur le respect qui vous est dû, alors vous pourrez vivre comme des chrétiens du Liban, et être en guerre « civile » tous les cinquante ans. Sinon, vous finirez en dhimmi. Ou alors il faut se libérer pour de bon…
Quel sera le mot de la fin ?
Je suis heureux d’avoir mérité la Médaille du Combattant Kataëb que m’a remise (ainsi qu’à mes camarades), Sammy Gemayel en août 2014 à Bickfaya, et je serai fier de la laisser à mes enfants. Elle vaut à mes yeux mille, cent mille de cette Légion d’honneur galvaudée qu’on jette en pluie sur la caste politico-médiatique. « Et comme les honneurs foisonnent quand l’honneur manque ! » rappelait Flaubert.
Propos recueillis par Franck Abed le 9 mars 2016
Les entretiens de Franck Abed cliquez ici
Beyrouth 1976 des Français aux côtés des Phalangistes, Emmanuel Albach, Les Bouquins de Synthèse nationale, décembre 2015, 260 pages, 22 €. En vente à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (ajouter 3 € pour le port, correspondance uniquement) ou en cliquant ici
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Samedi 19 mars colloque de Civitas à Paris
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Le Journal du Chaos de cette semaine
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vendredi, 11 mars 2016
Le paradoxe et le génocide
Durant les années 1960-70, les médecins devaient parfois envoyer en Belgique ou en Suisse des femmes enceintes à qui leur grossesse faisait courir un risque grave, tant était sévère et restrictive, en France, la législation sur l’avortement thérapeutique.
Puis vint la « grande avancée sociale », la Loi du 17 janvier 1975, qui dépénalisa l’avortement volontaire, le transformant en un geste médical. Des hommes et des femmes qui avaient choisi un métier de grande noblesse, au moins théorique, sont passés du statut de soignant à celui d’avorteur, soit d’assassin de fœtus sains, abandonnés par absence d’amour de leur génitrice.
Le sigle IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) est indéniablement plus joli que l’expression : avortement de complaisance. Toutefois la réalité demeure celle d’un meurtre prémédité, avalisé par la loi. Même si certains pitres ont osé parler « d’eugénisme », à propos de ces IVG… l’eugénisme a pour but d’éviter la reproduction des adultes et adolescents tarés, physiquement ou mentalement. Pour les théoriciens de l’eugénisme, né à la fin du XIXe siècle, il s’agissait d’élever le niveau de qualité des enfants à naître, nullement d’assassinats.
L’on n’arrête pas les « progrès sociaux » ! Le 8 mars 2016, le Journal Officiel de la République Française rend public, afin que nul n’en ignore, le remboursement intégral (variante : à 100%) des soins liés à l’avortement volontaire. L’on évoque même, chez les honorables élus du peuple, la prochaine suppression du délai de réflexion de 7 jours, entre la première consultation de la candidate à l’avortement et le passage à l’acte tueur.
Dans l’Évangile de Thomas, l’on trouve une belle phrase de Jésus de Nazareth. À une Juive qui lui demandait s’il lui était permis de refuser d’avoir des enfants, Jésus aurait répondu : « Consommes toute plante, mais ne manges pas celle de l’amertume ». Même chez un athée, les textes religieux ont parfois une curieuse résonnance.
De nos jours, les journaux people lamentent le sort des mères chinoises, trop vieilles pour enfanter, désolées par la mort prématurée de leur enfant unique. Avec 1,4 milliard d’autochtones, les Chinois n’ont pas trop de souci à se faire pour l’avenir de leur Nation, même si l’on peut compatir aux drames individuels.
Néanmoins, plutôt que de verser des pleurs de sauriens sur les malheurs exotiques, il est peut-être plus urgent de se pencher sur le sort de notre continent et sur l’avenir de notre race. Ce sont 220 000 fœtus que l’on assassine annuellement dans notre pays. Merveille des merveilles, les mères sont quasi-toutes des Européennes de souche, l’avortement étant jugé un crime aussi bien chez les musulmans que chez les Juifs judaïsants.
Bien évidemment, pour compenser ce manque à naître, l’on importe annuellement des dizaines de milliers d’immigrés d’origine extra-européenne. C’est le nouveau paradoxe français, qui prend des allures de génocide. On peut remercier les honorables ministres, sénateurs et députés pour ces grandes avancées sociales… ou se souvenir de leur rendre justice le jour où les Français auront décidé d’être de nouveau dignes de leurs ancêtres.
11:46 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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09:32 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
HOMMAGE AU COLONEL BASTIEN-THIRY
Alexandre Simonot
Rendons un hommage tout particulier au Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY, héros et martyr de la Patrie, fusillé il y a aujourd’hui 53 années, le 11 Mars 1963.
Jean-Marie BASTIEN-THIRY était Lorrain, Polytechnicien, Lieutenant-colonel dans l’Armée de l’air et l’inventeur de deux missiles antichars, les SS-10 et SS-11. Il avait 36 ans et laissait une veuve et trois petites orphelines.
Organisateur de l’opération du Petit-Clamart, le Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY aura tout sacrifié, sa famille et sa vie, pour que vive la France. Il nous a laissé, en versant son sang, un message, un exemple à méditer, à admirer et à suivre.
Alors que les tireurs du Petit-Clamart seront graciés par De Gaulle, celui-ci refusera d’accorder sa grâce au Colonel BASTIEN-THIRY.
Jean-Marie BASTIEN-THIRY est l’exemple parfait du dévouement, du courage, de l’abnégation, du don de soi et du sacrifice de sa vie envers la Patrie. Il est l’honneur de l’Armée Française.
Homme de foi, grand Catholique, il mourra comme un saint, marchant vers le peloton d’exécution son chapelet à la main, après avoir entendu la Messe. Refusant d’avoir les yeux bandés, il regardera la mort droit dans les yeux avant de pouvoir contempler ensuite la Vie Eternelle. Il sera le dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France.
Assassiné sur ordre de celui qui aura trahi l’Algérie Française et livré des dizaines de milliers de Harkis et Pieds-noirs aux tortures les plus innommables des bouchers fellouzes du FLN, le Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY demeure un Français modèle, un héroïque soldat dont le nom restera pour toujours inscrit sur le Martyrologe de notre pays.
Que Jean-Marie BASTIEN-THIRY repose en paix, aux côtés de tous les Morts pour la France, dans le Paradis des Héros, des Martyrs et des Soldats.
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09:27 Publié dans Nous avions un camarade..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 10 mars 2016
Quand l’Europe « rend » l’argent…
La chronique de Philippe Randa
On se rappelle de l’injonction de Margaret Thatcher à l’intention de l’Union européenne : « Je veux qu'on me rende mon argent »… voilà 36 ans ! Depuis, tous les Eurosceptiques n’ont de cesse de le rappeler en se demandant ce que Bruxelles peut bien faire de l’argent des nations membres…
Le « plan Juncker » de soutien à l’investissement semble apporter une partie de la répondre puisqu’il est en passe d’en redistribuer une partie à la France.
Signé en juillet de l’année dernière à Bercy par les ministres des Finances et de l’Economie, messieurs Sapin et Macron, 50 millions d’euros furent ainsi à l’époque investi dans Omnes Capital, fonds tricolore consacré aux énergies renouvelables… Aujourd’hui, d’autres projets devraient être financés, notamment (pour moitié) la création d’une usine normande de production de poudre de lait, destinée au marché chinois.
« Les coopératives concernées ont signé un gros contrat de long terme avec la Chine, mais n’avaient pas les reins assez solides financièrement pour faire cet investissement, et leurs banques n’ont pas suivi. La BEI devrait permettre la réalisation de ce projet », a détaillé M. Francq, commissaire général adjoint à l’investissement.
D’autres projets « potentiels » sont en attente : création de la première usine européenne de recyclage de déchets de titane aéronautique ou encore modernisation des équipements industriels de fournisseurs de l’industrie aéronautique… En tout, 18 projets ont ainsi été retenus à la fin de l’année dernière pour être financés par le Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS) (en partenariat avec des investisseurs privés) pour un montant de 9,4 milliards d’euros…
Reste à savoir maintenant si la France paie plus qu'elle ne reçoit du budget européen : « That is the question ! » dirait sans doute Maggie…
17:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 12 mars : Bruno Mégret à la Librairie française
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11:14 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 09 mars 2016
Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes : une conférence d'Emmanuel Albach mercredi 9 mars à Paris
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10:28 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
9 mars 1971 : meeting d'Ordre nouveau au Palais des Sports de Paris
Avez-vous lu l'histoire du mouvement Ordre nouveau racontée par les militants d'Ordre nouveau ?
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Le meeting d'Ordre nouveau :
10:25 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 07 mars 2016
Une circulaire des Amis de Synthèse nationale
Chers lecteurs, Chers Amis,
L'Association des Amis de Synthèse nationale a été créée en octobre dernier. Son but est de soutenir le développement de la revue Synthèse nationale et des éditions éponymes. Dans ce sens, plusieurs activités sont programmées :
- Mercredi 9 mars, à 19 h 30 : conférence à Paris avec Emmanuel Albach, auteur du livre Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes. Cette conférence se tiendra dans le salon de l'Hôtel des Etats-Unis Opéra, 16 rue d'Antin 75002 Paris - métro Opéra. Entrée : 5,00 €
- Dimanche 24 avril, de 11 h à 18 h : 4e Journée nordiste (Flandre-Artois-Hainaut) de Synthèse nationale. Stands, conférences, librairies, animations... Parmi les intervenants : Carl Lang, Pierre Cassen, Robert Spieler, Roland Hélie, Luc Pécharman et d'autres. Cette journée se déroulera comme d'habitude à la Ferme de l'Epinette à Nieppe (15 kms de Lille).
Entre temps, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, participera à la journée de Jeune nation à Lyon le samedi 12 mars et au banquet de Rivarol le samedi 9 avril à Paris. Enfin, le samedi 7 mai, Synthèse nationale aura un stand au 3e Congrès du Parti de la France.
Cela fera dix ans au mois d'octobre prochain que notre revue et notre quotidien d'information en ligne existent. Le dimanche 9 octobre nous organiserons notre 10e Journée annuelle à Rungis. Nous fêterons donc à cette occasion le dixième anniversaire de Synthèse nationale. D'ores et déjà retenez cette date. Ce sera un événement exceptionnel...
Sur le plan éditorial plusieurs parutions sont prévues :
- Le 15 mars sortira le n°42 de Synthèse nationale.
- Le 21 mars, ce sera le tour au n°9 des Cahiers d'Histoire du nationalisme qui sera consacré à la vie et à l'œuvre de l'écrivain régionaliste et identitaire Jean Mabire disparu il y a dix ans.
- Une nouvelle collection de livres argumentaires intitulée "Pourquoi ?"
- Au mois de mai, une bonne surprise pour les lecteurs de Synthèse nationale...
Pour vaincre le mondialisme destructeurs des peuples et des nations, nous avons besoin de la mobilisation de tous...
A partir du mois d'avril, une nouvelle collection sera éditée par Les Bouquins de Synthèse nationale. Elle s'intitulera "Pourquoi ?". Il s'agira de livres argumentaires traitant de manière approfondie à chaque livraison d'un sujet spécifique.
Trois titres sortiront d'ici la fin de l'année :
- Pourquoi la Syrie baasiste plutôt que l'Etat islamique ?
- Pourquoi nous sommes contre les éoliennes ?
- Pourquoi le Traité transatlantique tue notre indépendance ?
Plusieurs autres publications seront aussi présentées au début du mois de mai. Vous allez être surpris. Nous vous en reparlerons d'ici là.
Vous le voyez, ce ne sont pas les activités qui manquent dans les semaines qui viennent. Pour amplifier notre combat, nous avons besoin de votre aide à tous. Venez assister aux réunions annoncées, aidez-nous en adhérant aux Amis de Synthèse nationale, abonnez-vous à nos revues et diffusez nos livres autour de vous.
Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes pur combattre le projet mondialiste d'anéantissement des nations et des identités. Ensembles, nous sommes plus forts.
Tout ce que nous faisons, c'est grâce à l'aide et à la fidélité de chacun d'entre vous.
Meilleurs sentiments nationalistes et identitaires à tous.
Les Amis de Synthèse nationale
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