dimanche, 06 mars 2016
L'anneau de Jeanne d'Arc au Puy du Fou
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Parmi les livres qu'il faut avoir lu : "Maurice Bardèche et l'Europe" de Georges Feltin-Tracol
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La force de la foi des Francs : la bataille des Mongisard le 18 novembre 1177
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Michel le Syrien, qui connut bien Baudouin, nous a raconté le geste émouvant du roi lépreux à cet ultime moment : « Il descendit de sa monture, se prosterna la face contre la terre devant la Croix et pria avec des larmes. À cette vue le coeur de tous les soldats fut ému. Ils étendirent tous la main sur la Croix et jurèrent de ne jamais fuir et, en cas de défaite, de regarder comme traître et apostat quiconque fuirait au lieu de mourir. Ils remontèrent à cheval et s’avancèrent contre les Turcs qui se réjouissaient pensant avoir raison d’eux. En voyant les Turcs qui étaient comme la mer, les Francs se donnèrent mutuellement la paix et se demandèrent les uns aux autres un mutuel pardon. Ensuite, ils engagèrent la bataille ».
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Crises économiques et crises financières
Dr Bernard Plouvier
Trop souvent, l’on confond crise financière et récession économique. Cela se comprend volontiers, car presque toujours la première engendre l’autre, de façon fugace ou durable. Or, les mécanismes de survenue peuvent être différents et les moyens d’en sortir le sont aussi.
De 1830 à nos jours, la totalité des crises financières multinationales a résulté de l’explosion de bulles spéculatives :
- 1837, New York, spéculation sur les prix du coton
- 1847, Londres, sur les actions des chemins de fer
- 1857, New York, sur les cotations et les achats à découvert de nombreuses variétés d’actions
- 1866, Londres, mêmes anomalies
- 1873, Reich et Autriche-Hongrie, spéculation de banquiers ni véritablement allemands ni réellement autrichiens sur l’immobilier et les valeurs boursières, crise exportée vers les cousins de Londres et de New York qui avaient participé à la spéculation
- 1882, Paris, à la suite de deux années d’agiotage boursier, dans ce qui était devenu en 1877 « la République aux Républicains »
- 1893, New York et Francfort/Main, spéculation hasardeuse sur les chemins de fer et diverses actions (s’ensuivit une crise économique de 3 années)
- 1907 et 1913, New York et « les cousins» de Berlin, Hambourg, Londres et Francfort (avec une moindre participation des correspondants de Paris), par spéculation boursière effrénée (ce qui mène à la constitution de la Federal Reserve en décembre 1913)
- 1929 et 1937, New York : spéculation boursière effrénée (tout le monde connaît « La Grande Crise » ; on connaît moins la rechute dramatique de 1937)
- 1989 et 1997, explosions de deux bulles spéculatives, la première japonaise, la seconde touchant l’ensemble de la péninsule malaise et des marchés financiers de l’Asie du Sud-Est
- 2001-2002, énième explosion d’une bulle spéculative aux USA (sur les entreprises informatiques)
- 2007, 2009 et 2011, New York : monstrueuse spéculation immobilière et financière
En Europe, on avait connu au XVIIe siècle l’explosion de la spéculation sur les bulbes de tulipes, aux Pays-Bas néerlandais, et, en France, vers 1720, l’ascension puis la chute tout aussi vertigineuses l’une que l’autre du système de John Law.
Le point de départ n’est pas toujours absurde : investir dans la mise en culture de terres vierges sous un climat fertile (c’était l’origine du système de Law), promouvoir des secteurs d’innovation (du chemin de fer à l’informatique), c’est le fondement même de l’investissement intelligent et rentable sur le long terme.
Or, les spéculateurs à grande échelle exigent des profits à court terme. Le financier avide est un joueur et un psychopathe qui veut rafler une mise maximale et le plus tôt possible. C’est parfaitement incompatible avec une économie saine, qui - par définition – exige du temps, de l’ingéniosité, enfin énormément de travail.
Les trop célèbres cycles de Nicolas Kondratiev (placé sous la sainte garde de la bienveillante autorité du GOULAG en 1930 et liquidé en 1938, lors de la dernière purge du bon Joseph du Kremlin), font sourire. Pour fonder sa Loi simpliste, il a mélangé des crises économiques d’intensité, de diffusion géographique et de durée très variables, élaborant de jolis schémas de phases ascendantes et descendantes, durant approximativement 25 à 30 années chacune, se terminant par une crise économique durable. En outre, ses renseignements étaient parfois erronés : il estimait que 1788-89 avaient été en France des années de bas prix de vente (ce qui est entièrement faux) ; de la même façon, la reprise de 1896 avait été précédée d’une remontée des prix durant le lustre précédent, ce qu’il semble méconnaître.
Les seuls enseignements à tirer du XIXe siècle économique et financier sont la rapacité des boursicoteurs, qui se comportent comme des flambeurs, voire comme des psychopathes, et le fait que toute grande poussée économique est liée à l’introduction puis l’exploitation d’une innovation technique : transports rapides, domestication de la vapeur puis de l’électricité, explosion de la chimie de synthèse, bouleversements de la métallurgie etc.
La France est devenue un pays riche de 1830 à 1914, alors que plus de 70% des Français étaient pauvres. Grâce à une conception meilleure de l’économie : une forte consommation induite par de bons salaires, les Français travailleurs des années 1955-1975 sont devenus aisés (surtout si l’on compare leur niveau de jouissances matérielles avec celui de leurs pères) en travaillant énormément.
Une crise économique survient faute de crédit (quand ceux-ci se sont volatilisés lors d’une bulle spéculative ou que l’État ne remplit pas sa fonction de créateur de monnaie saine) ou lorsque le marché est saturé. De nos jours, d’absurdes règlements communautaires brident toute initiative, tandis qu’un libre-échangisme stupide, car déséquilibré, favorise l’invasion du marché intérieur par des produits médiocres voire des imitations réalisées à très bas coût par des populations exotiques peu exigeantes (l’économie chinoise est en grande partie fondée sur l’imitation des innovations occidentales).
Notre enseignement (primaire, secondaire, technique et universitaire) est devenu lamentable, incapable de produire des techniciens, des savants en nombre suffisant [pour prendre un exemple bien connu de l’auteur : la qualité actuelle des étudiants en médecine est absolument navrante].
Nos travailleurs veulent du loisir et nos chômeurs ne sont que modérément motivés pour œuvrer. Nous souffrons, certes d’une invasion d’immigrés extra-Européens, grotesque en période d’énorme chômage des autochtones. Mais nous souffrons aussi de sous-instruction et de sous-motivation des autochtones et c’est infiniment plus grave que l’immigration-invasion, à laquelle d’énergiques mesures mettront fin, d’une façon ou d’une autre.
Pour guérir d’une crise économique, il faut innover, soit créer, produire et répandre des produits nouveaux. Cela ne se fait que grâce à une forte technicité, un labeur immense et la protection par l’État du ou des secteurs porteurs.
Il nous faut retrouver notre liberté d’action en même temps que le feront les autres Nations européennes : instaurer un nouvel esprit européen, en liaison avec l’immense Russie et en rupture des USA. Il faut surtout nous reprendre : enthousiasme, respect des valeurs du travail, de la famille et de la race européenne… que cela plaise ou non au demi-monde des politiciens et des media aux ordres des multinationales.
Chaque Européen doit désormais clamer son indignation face à l’existant et réclamer de véritables consultations populaires sur les grands choix de société. Il ne s’agit pas d’élire un clown à la place d’un autre, de faire triompher l’un ou l’autre des partis vautrés devant les maîtres de la spéculation. Il importe de créer une société nouvelle, fondée sur nos valeurs, en rejetant avec force les nouveautés de Wall Street et les vieilleries proche-orientales.
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Samedi 12 mars à Lyon : la fête des patriotes
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samedi, 05 mars 2016
La Ligue du Midi a manifesté vendredi soir à Montpellier
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CIVITAS invite Jean-Marie Le Pen et les sympathisants du FN à rejoindre son défilé d’hommage à Jeanne d’Arc le 8 mai à 14h30 place Saint Augustin
Un communiqué d'Alain Escada, Président de Civitas :
Civitas vient d’apprendre la décision du Front national d’abandonner son défilé d’hommage à Jeanne d’Arc.
J’invite Jean-Marie Le Pen et tous les membres et sympathisants du Front National qui souhaitent continuer à honorer la Sainte de la Patrie à rejoindre le défilé organisé par CIVITAS ce dimanche 8 mai, à partir de 14h30, de la place Saint Augustin à la place des Pyramides.
Tous les patriotes y seront les bienvenus.
Nous rendrons hommage avec faste et panache à Jeanne d’Arc, sainte héroïne de la France. Elle, qui a chassé l’envahisseur et accompli sa mission sans faillir, est et reste le modèle de chef dont nous avons cruellement besoin pour l'indispensable restauration nationale.
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Lâcheté & mensonges sont les deux mamelles de l’État Hollando-Vallsien
Dr Bernard Plouvier
Tout le monde se souvient de la répression minable – et plutôt féroce – exercée par nos courageux CRS lorsque d’honorables parents et adultes sains d’esprit ont défilé pour marquer leur désapprobation de la légalisation du « mariage » entre personnes de même sexe (ce qui réalise une authentique antinomie) et l’adoption d’enfants par des homosexuels.
Tout le monde se souvient de la charge héroïque des glorieux CRS contre des manifestants français protestant contre l’invasion de Calais par des hordes de voyous immigrés. À cette occasion, on a arrêté un général chenu qui avait à son actif quelques actions militaires au service de l’État, ce que n’ont jamais eu les Hollande, Valls et autre Cazeneuve, à moins de faire passer des parlottes au Siècle ou dans telle ou telle officine plus ou moins secrète pour des « actions au service »… de leur carrière.
Depuis le 25 janvier 2016, circule sur le Net une vidéo montrant des CRS armés qui laissent courageusement passer, en s’écartant respectueusement, une meute d’immigrants qui courent ravager les installations portuaires de Calais, de façon à tenter de passer clandestinement en Grande-Bretagne. Au cas où certains Français, si bien informés par nos honnêtes journalistes des chaines télévisées et radiophoniques, l’ignoreraient, ce genre de scène se passe aussi à Dieppe.
Cette vidéo – aussi honteuse, par sa lâcheté, que la charge brutale à coups de matraque et de gaz lacrymogènes des honnêtes Français, deux semaines plus tôt, et dans la même cité – appelle plusieurs commentaires.
D’abord la preuve est faite qu’il n’y a pas, qu’il n’y a jamais eu « d’état d’urgence » en France depuis novembre 2015. En « état d’urgence », les manifestations violentes, ou qui risquent de le devenir, sont par définition interdites. Cette vidéo démontre qu’il n’en est rien et que, bien au contraire, des immigrés violents obtiennent ce qu’ils veulent, quand ils le veulent, où ils le veulent, face à un « Pouvoir » à la dérive, et que nos forces de l’ordre ne sont plus que des matamores, prêts à frapper d’honnêtes citoyens et à s’aplatir devant les hordes étrangères… en quelle que sorte des « faibles de notre déclin » !
La préfète du Pas-de-Calais devait avoir des ordres pour laisser faire une telle gabegie, puisqu’elle n’a pas été aussitôt révoquée par notre « viril » ministre de l’Intérieur et notre « puissant » premier ministre qui aime tant à singer l’homme en colère. À consulter cette vidéo et à la comparer avec la charge violente des CRS contre d’authentiques Français, on comprend ce que sont nos Janus bifrons : des taureaux furieux face aux honnêtes contribuables, des bouvillons apeurés face aux envahisseurs-casseurs.
Puisque ces « chances immigrées pour l’Europe » veulent absolument passer en Grande-Bretagne et ne veulent pas rester en France (on les embrasserait presque pour cette sage décision), pourquoi ne pas les y autoriser ? Après tout, des « chances » comme celles-là, il faut savoir les partager.
Enfin, une notion de Droit ne peut être ignorée. La Nation française, seule souveraine légitime, n’a pas été consultée par son mandant Hollande… notre prospère Président n’est nullement le souverain de l’État. Il n’en est que le gestionnaire…et dans la course au prix du plus minable, il est parti pour concurrencer victorieusement Chirac, le Président Black-Beur, et Satan sait si le défi était dur à relever.
Plutôt que de pérorer sur un soi-disant « état d’urgence » qui restera la plus belle supercherie du non-règne Hollando-Vallsien, il importe de réaliser au plus tôt la seule mesure démocratique qui s’impose : un referendum sur l’immigration européenne et, pendant que l’on y est, l’on pourrait exiger, en codicille, le strict respect de la Loi de 1905 consacrée à la laïcité de l’État par les musulmans. La France n’est pas encore un pays de Charî’a. Elle est encore régie par la Constitution de 1958. Et si des lâches et des menteurs se sentent inférieurs à leur tâche, dépassés par les événements, qu’ils s’en aillent. On ne trouvera jamais pire qu’eux.
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A LIRE : "LE TEMPS DU PHENIX", LE NOUVEAU LIVRE DE BRUNO MEGRET.
Je viens de lire le nouveau livre de Bruno Mégret, "Le Temps du phénix", et je dois vous avouer que je suis assez "emballé". Dans cet ouvrage, remarquablement bien écrit, Bruno Mégret nous fait rêver. Ce qui n'est pas évident dans l'état actuel des choses.
L'auteur s'est retiré de la vie politique en 2008. Mais cela ne lui interdit pas de s'intéresser à l'avenir de notre pays. Pour lui, rien n'est encore définitivement perdu. Tout est une question de volonté.
Imaginons un instant qu'en 2017 un Président issu du "mouvement national" soit élu. Celui-ci aurait comme premier objectif de remettre la France debout... Ce qui n'est pas une mince affaire. Et la question que beaucoup peuvent légitimement se poser est de savoir quelle méthode il devra employer pour réussir cette tâche ?
A travers ce roman de "politique fiction" Bruno Mégret imagine cette situation pour le moins hypothétique et raconte comment ce Président, à la fois déterminé et attachant, finira par réaliser, non sans embuches, ce pourquoi il a été élu. Il profite aussi de cette occasion pour développer des idées qui, vous le verrez, ne sont pas aussi irréalistes que cela.
Les éternels pessimistes diront bien sûr qu'il ne s'agit là que d'un roman. Mais l'Histoire de France n'est-elle pas justement une succession de romans ?
Roland Hélie
Le Temps du phénix, Bruno Mégret, Editions Cité Liberté, 2016, 324 pages, 20 €
Pour le commander :
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3224 du 25 février 2016
BHL était l’invité d’« On n’est pas couché », pour présenter son nouveau livre dont le titre est L’esprit du judaïsme. Il a évidemment trouvé moyen de créer la polémique sur le plateau de Laurent Ruquier qui s’agaça. Le pseudo-philosophe a expliqué que l’antisémitisme était omniprésent en France, planqué dans de sombres complots. Il s’est mis à délirer, voyant dans l’affaire du sang contaminé, dans laquelle Laurent Fabius est compromis, rien moins qu’un complot antisémite, fait d’une « longue tradition dans notre antisémitisme national, du crime rituel ». Avait-il abusé de certaines substances ? Pour lui, cette affaire n’était qu’un moyen d’évincer Fabius, parce que juif. Il a poursuivi : « La manière dont on a ressorti, à l’époque pour l’ancien Premier ministre français, une histoire de sang contaminé — c’est-à-dire de crime rituel — disait quelque chose, hélas, d’une tendance (antisémite) dans ce pays ». Mais ce n’est pas fini. L’affaire Strauss-Kahn et le Sofitel ? Un complot, aussi. BHL déclare, défendant son ami : « Dans certains portraits de lui que j’ai lus dans la presse française, il y avait quelque chose qui ne sentait pas bon ! […] Je ne me suis jamais posé la question de savoir s’il y entrait de l’antisémitisme, mais si vous me posez la question, il y entrait probablement une part ». Laurent Ruquier a fini par lui claquer le bec, lui répliquant : « Cette affaire du sang contaminé qui a collé à la peau de Laurent Fabius un long moment, on n’est pas obligé d’y voir de l’antisémitisme. Ça a été un vrai scandale […] Depuis, Laurent Fabius a été, je le rappelle, président de l’Assemblée nationale, à nouveau ministre et même maintenant président du Conseil constitutionnel. Si c’est ça de l’antisémitisme, il s’en sort plutôt pas mal ! » Et Léa Salamé d’arguer à son tour : « C’est là la faiblesse de votre texte : il faut dénoncer la montée de l’antisémitisme, et elle est réelle mais vous l’affaiblissez en voyant de l’antisémitisme partout ». Nul doute que cet excité de BHL doit considérer aujourd’hui Ruquier et Salamé comme de dangereux antisémites, avançant masqués…
TROP DE MINISTRES D’ORIGINE MAROCAINE EN FRANCE SE PLAINT L’ALGÉRIE !
L’information n’a été reprise que par peu de media français, sauf le site de Thomas Joly, contre-info et Le Point. L’origine de la nouvelle est le site Mondafrique, créé à l’initiative du journaliste d’investigation Beau. Ce dernier a travaillé pour le Quotidien du Médecin, Le Monde, Libération, l’agence CAPA, le Nouvel Économiste, L’Expansion et en tant que journaliste d’investigation au Canard enchaîné. Le site vise, selon Wikipédia à « traiter sans tabou de la politique, de l’économie, de la société et des cultures des pays africains, mais il aborde aussi des questions françaises, européennes et internationales ».
De quoi s’agit-il ? Après Najat Vallaud-Belkacem et Myriam El Khomri, c’est au tour d’Audrey Azoulay de rentrer au gouvernement avec la double nationalité (franco-marocaine). La nomination de la fille de l’ancien conseiller du roi du Maroc a, semble-t-il, déclenché l’ire d’Alger qui dénonce une « marocanisation de la vie politique française ». Mondafrique raconte : Frère et conseiller spécial du président algérien, Saïd Bouteflika aurait déploré une manœuvre de “lobbying” de la part du Maroc, au sein d’une scène médiatique française qu’il estime “infestée” de politiciens, de journalistes et de stars d’origine marocaine. Alger voit ce rapprochement entre l’Hexagone et le Maroc d’un mauvais œil en raison de ses relations tendues avec ce dernier. Voir trois ministres d’origine et de nationalité marocaine dans le gouvernement français, et aucun Algérien, déplaît fortement à Alger. Mais gageons que cette grossièreté sera corrigée lors d’un futur remaniement…
CANAL + NE DIFFUSERA PLUS DE REPORTAGES QUI DÉRANGENT CERTAINS…
Thomas Joly nous raconte sur son blog : « Volkswagen, entreprise de tous les scandales », « Le monde selon You-Tube », « François Homeland » (sur le chef de l’Etat et les guerres), « Attentats : Les dysfonctionnements des services de renseignement », « Les placards dorés de la République » (consacrés aux emplois fictifs dans la fonction publique), « La répression made in France » (dédié à l’exportation, par la France des matraques électriques et autres outils de répression), « Nutella, les tartines de la discorde », ces thématiques sont désormais non gratae sur Canal+. C’est la décision qu’a prise Vincent Bolloré, le propriétaire de la chaîne, suscitant un vif mécontentement dans ses équipes, notamment auprès de Jean-Baptiste Rivoire, rédacteur en chef adjoint de Spécial Investigation. La raison de cette autocensure ? Bolloré a fait savoir que Canal+ souhaitait « avant tout défendre ses intérêts » et « éviter certaines attaques frontales ou polémiques à l’encontre des partenaires actuels ou futurs du groupe ». En d’autres termes, pas question de déplaire à des clients ou de futurs clients. Jean-Baptiste Rivoire explique que, bien entendu, « il n’y aura plus d’enquête sur le monde bancaire ». La décision était, à vrai dire, attendue depuis qu’un reportage consacré au Crédit Mutuel, l’accusant d’évasion fiscale, avait été rejeté par Canal. C’est France 3 qui finira par le diffuser en octobre, dans le magazine Pièces à conviction. Vincent Bolloré s’en est expliqué récemment devant le Comité d’entreprise, déclarant : « Il ne faut pas embêter les partenaires du groupe, attaquer la BNP ou le Crédit Mutuel, c’est débile ». Les lecteurs de RIVAROL savent ce qui leur reste à faire quant à leur (éventuel) abonnement à Canal+…
FABIENNE KELLER, UNE AFFREUSE TRAÎTRESSE STRASBOURGEOISE
Fabienne Keller est sénatrice Les Républicains et conseillère municipale d’opposition à la ville de Strasbourg. Au Sénat, elle est vice-présidente de la commission des Finances et de la commission des Affaires européennes. Elle avait été maire de Strasbourg de 2001 à 2008, mais avait été battue aux dernières municipales par le socialiste Roland Ries. Un exploit, si l’on peut dire dans le contexte d’une vague de “droite”. Arrogante, haineuse à l’encontre des patriotes, intolérante, sa défaite nous avait réjouis. Il est vrai qu’elle avait fait tout ce qu’il fallait pour perdre, prenant des positions qui allaient à l’encontre de ce qu’attendait son électorat. Elle avait notamment contribué, en tant que maire, au financement de la Grande mosquée de Strasbourg. Tout ceci pour chercher à complaire à l’électorat de gauche et aux bobos, nombreux à Strasbourg.
La voici qui récidive dans le grandiose. Dans une interview donnée à la radio RCF, pour l’émission « Face aux chrétiens », elle s’est déclarée favorable à la proposition du ministre allemand des Finances Wolfgang Schaüble de taxer l’essence et le gazole au niveau européen pour financer l’accueil des migrants. Elle a également déclaré dans cette émission être favorable à une intégration de l’islam au concordat d’Alsace-Moselle. On sait qu’en Alsace-Moselle, les prêtres, pasteurs et rabbins sont payés par l’Etat et que l’on y trouve les seules facultés de théologie d’Etat, catholique et protestante, de France. La loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905, date à laquelle l’Alsace-Moselle était allemande, n’y est, en effet, pas appliquée. Rappelons aussi qu’en 2013, Fabienne Keller avait voté le projet de loi du mariage pour tous au Sénat. On se demande pourquoi François Hollande ne lui a pas proposé d’intégrer le gouvernement socialiste…
“LES INSOLENCES DE CHRISTINE BOUTIN”
Cricri revient. Elle a des choses à dire, et elle les dit dans un livre à paraître le 25 février, Les Insolences de Christine Boutin, aux éditions Jacques-Marie Laffont. Il paraît que le livre fait preuve d’un certain humour car elle n’hésite pas à l’illustrer avec des caricatures la représentant. On y découvre (ou redécouvre) ainsi l’image d’une boîte de « La vache qui prie ». Elégant. Mais cela ne la traumatise pas plus que cela. Elle assume, déclarant : « La quasi-totalité des caricatures me concernant font référence soit à la prière, soit à la croix du Christ. Ce n’est pas pour me déranger, j’assume. » Elle raconte avoir eu cependant plus de mal à accepter une caricature la représentant sous forme de… truie. Et puis, elle livre la clé d’un mystère qui avait ébranlé tout le monde politique. Elle avait menacé Nicolas Sarkozy de lui balancer une « bombe atomique » si ce dernier l’empêchait de se présenter à l’élection présidentielle de 2012. Grâce à son livre, on en sait plus sur cette terrifiante menace. Elle aurait, en guise de bombe atomique, effectué une grève de la faim ! Nul doute que Sarkozy aurait été terrorisé. Mais elle avait retiré sa candidature d’elle-même. Sacrée Cricri ! Elle est décidément impayable !
MIEUX VAUT S’APPELER ORELSAN QUE RIVAROL, LE PEN, SORAL OU DIEUDONNÉ !
Le rappeur Orelsan, Aurélien Cotentin de son vrai nom, était rejugé pour provocation à la violence dans plusieurs chansons interprétées lors d’un concert à Paris en mai 2009. Florilège : « J’te quitterai dès qu’j’trouve une chienne avec un meilleur pedigree », « J’respecte les schnecks (les femmes) avec un QI en déficit, celles qui encaissent jusqu’à finir handicapées physiques », « les féministes me persécutent […], comme si c’était d’ma faute si les meufs c’est des putes », « Renseigne-toi sur les pansements et les poussettes, j’peux t’faire un enfant et t’casser le nez sur un coup d’tête », ainsi que « ferme ta gueule ou tu vas t’faire marie-trintigner (référence à Marie-Trintignant, battue à mort par son compagnon Bertrand Cantat, le chanteur de Noir Désir) ». Résultat du procès ? Il est relaxé au motif que “sanctionner” les chansons incriminées « reviendrait à censurer toute forme de création artistique inspirée du mal-être, du désarroi et du sentiment d’abandon d’une génération, en violation du principe de,la liberté d’expression ». Ce n’est pas à RIVAROL, à Le Pen, à Soral ou à Dieudonné que cela arriverait…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler.
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Le Journal du Chaos de cette semaine
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Pour honorer Jeanne d'Arc, Jean-Marie Le Pen sera Place des Pyramides le 1er Mai
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Échec de la tentative de censure et d’intimidation physique sur Bernard Lugan à Clermont-Ferrand
Le jeudi 3 mars 2016, à la Faculté de droit de Clermont-Ferrand, et à l’invitation de l’Alliance française, Bernard Lugan devait prononcer une conférence ayant pour thème la Déstabilisation de la Libye, suivie d’une séance de dédicaces de son dernier livre Histoire et géopolitique de la Libye.
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vendredi, 04 mars 2016
Ce soir, sur Méridien zéro :
LE FAUX « ROMAN VRAI » D’UN FASCISTE QUI NE L’ETAIT PAS
Francis Bergeron
Article publié dans le n°41 de la revue Synthèse nationale cliquez ici
C’est une impression étrange que de lire la vie d’un homme qu’on a bien connu, ou que l’on croyait avoir bien connu, et d’en découvrir certaines faces cachées. C’est ce qui arrive avec la biographie de Christian Rol, intitulée Le Roman vrai d’un fasciste français. Car le fasciste portraituré s’appelle René Resciniti de Says.
René, « Néné l’élégant », on pouvait le rencontrer sans problème, et presque à tout coup, à la sortie de la messe de Saint-Nicolas du Chardonnet, ou lors de meetings de l’abbé de Nantes à la Mutualité, ou encore à l’occasion de réunions de l’Action française. C’était un « grand arpenteur des trottoirs parisiens », comme l’écrit Grégory Pons dans le numéro de juillet-septembre 2015 de la revue Eléments.
Le premier et principal défaut de ce livre, c’est son titre. En effet René Resciniti était royaliste. Il ne pouvait donc pas être fasciste. Ses idéaux politiques et intellectuels n’étaient pas exactement ceux des militants groupusculaires se réclamant du fascisme. Dans ces années-là, les « fascistes » revendiqués comme tels ou qualifiables de cette étiquette qui, aujourd’hui, est considérée comme une injure, sur le plan légal, étaient rarissimes. Comme ils restent rarissimes actuellement. C’est que le fascisme est une doctrine, née en Italie, d’une scission du Parti socialiste tentée par l’autoritarisme et le patriotisme. René Resciniti se voulait aristocrate, sensible aux 40 rois qui ont fait la France. Et le socialisme lui était totalement étranger. De ce point de vue, un Montebourg, avec son passé socialiste, son culte de l’image (de son image), et son patriotisme économique affiché, répond bien mieux à la vraie définition du fasciste (au sens doctrinal, et non injurieux du terme).
Mais revenons au militant royaliste Resciniti. Ce surnom « Néné l’élégant », sans doute a-t-il été employé plus tard, car à 20 ou 30 ans, dans ces années soixante-dix (il était né en 1951), il ne passait pas pour un prince de l’élégance. Et comme nous tous, il portait plus souvent le casque que le panama, et maniait plus fréquemment le manche de pioche ou le nunchaku que la canne de golf ou la cravache (sauf pour un usage détourné). Buveur, flambeur, il a traversé son époque en réussissant à ne jamais vraiment travailler.
Beaucoup d’entre nous le considéraient comme un personnage pittoresque, sympathique, aux fortes convictions et au courage physique indiscutable, mais finalement assez peu utile à la cause du trône et de l’autel. Une sorte de parasite, fatigant, à la longue. Car quand il était temps d’aller se coucher, lui voulait continuer à boire, et à parler. Mais encore une fois cette image date de quarante ans ou presque. Puis René eut quelques aventures, en Afrique, et au Liban. Nos routes se sont croisées à Beyrouth, en 1976, l’une de nos dernières rencontres.
Tandis que nous nous embourgeoisions progressivement (mariage, carrière, appartement, enfants, maison de campagne, bateau, ski, estomac, décorations et présidences…), René Resciniti, lui, semblait l’éléments fixe ; l’homme fidèle à ses idéaux de jeunesse. Immuable dans ses convictions – comme la plupart d’entre nous – mais surtout immuable dans son mode de vie.
Une rumeur qui enfle : Curiel, Goldman, c’est lui
L’une de mes dernières rencontres avec lui a été au restaurant Les Ronchons, agréable lieu de rencontre de la « génération Occident ». Je ne me doutais pas qu’il nous quitterait quelques mois plus tard, en avril 2012.
A cette date, la rumeur avait commencé à filtrer sur le fait que les deux crapules staliniennes Henri Curiel et Pierre Goldman, chouchous de l’extrême gauche, magnifiquement liquidés en 1979, avaient été exécutés par René lui-même. Et si j’ai acheté Le Roman vrai d’un fasciste française, c’est en quelque sorte, pour me faire pardonner d’avoir douté de René. En fait le livre nous offre une version plausible de ces deux exécutions (4 mai 1978 et 20 septembre 1979).Et il est possible en effet que René Resciniti de Says (1951-2012) ait été le justicier masqué. Mais en même temps le récit reste imprécis. Le vrai héros est plutôt Pierre Debizet, fort probable commanditaire. Debizet, je l’ai connu, aussi, et interviewé pour Le Choc du mois : patriote intransigeant, gaulliste, malheureusement, mais partisan de l’Algérie française, néanmoins.
Après la lecture de la biographie de René Resciniti, le doute reste entier : fut-il oui ou non, le justicier qui liquida les deux assassins ? Mais le seul fait qu’on puisse se poser la question constitue déjà une sorte de prise de conscience que ce semi-clochard royaliste a été ou aurait pu être un authentique héros de la France française.
Le Roman vrai d’un fasciste français, par Christian Rol, La Manufacture de livres, 2015.
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Samedi 9 avril, à Lyon : Patrick Pearse et le nationalisme irlandais
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jeudi, 03 mars 2016
LES GUEUX ONT CRIÉ, LE CHATELAIN EN EST TOUT RETOURNÉ
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Pouvait-il imaginer un autre accueil alors que cette corporation des agriculteurs, hormis les céréaliers, est en pleine crise. Le samedi 27 février au matin, au salon de l’agriculture Porte de Versailles à Paris, et non à Versailles avenue de Paris, ce qui eut été un fâcheux télescopage avec un épisode de l’histoire mouvementée du XVIIIe siècle français, le sol s’est soudainement dérobé sous les pieds du monarque : cris, sifflets, huées, insultes ont accueilli François Hollande venu voir et complimenter les nouveaux « damnés » de la terre.
Le Salon 2016 ne pouvait être que sous tension. Oubliés les colliers de fleurs de Wallis et Futuna ou de Tahiti. Ici, à Paris, c’était plutôt ronces et chardons ! Probable que ses conseillers et le Président lui-même avaient prévu une visite difficile, mais certainement pas à ce niveau. C’est que les agriculteurs français, tout en exprimant avec force une légitime colère catégorielle, étaient aussi les interprètes de celle, encore retenue – mais pour combien de temps ? – des autres Français qui en ont assez d’un gouvernement incapable d’œuvrer dans l’intérêt suprême du pays.
Quelle paysannerie pour quelle agriculture ?
Les éleveurs de porcs comme les producteurs laitiers sont à la pointe des manifestations. La concurrence est rude, mais les premiers ne se sont-ils jamais interrogés sur l’influence grandissante que l’Islam avait sur la société française et, partant, sur les menus des cantines de tous les établissements publics ? Demandez donc du porc sur un vol Air France, vous ne serez pas déçu de la réponse… Absent de tous les menus ! Pour les seconds, la concurrence « libre et non faussée » qu’exige l’oligarchie bruxelloise est un véritable coup de poignard. On se souvient que l’été dernier, à la suite de négociations avec le gouvernement, un accord avait abouti à la revalorisation du prix du litre de lait à 0,34 Euros et celui du porc par la même occasion à 1,40 € le kilo. La Commission de l’Union Européenne a estimé que ce coup de pouce des Autorités françaises allait à l’encontre de la concurrence. Le Commissaire européen en charge de l’agriculture, un certain Phil Hogan, se moque bien que les fermiers travaillent, parfois à perte, et ne puissent se servir un modeste salaire. La main d’œuvre dans les Pays de l’Est est moins chère et Danemark, Pays-Bas ou Allemagne ont des exploitations qui sont de quasi-industries, les fameuses « fermes aux mille vaches ». Dans ces conditions, avec des fiscalités et des conditions de travail différentes, comment lutter et comment maintenir une paysannerie « à la française », c’est-à-dire une ferme de taille raisonnable pouvant faire vivre une petite famille ? C’est notre modèle spécifique de société rurale qui est en jeu. N’oublions jamais que les paysans, devenus des agriculteurs et qui ont de nos jours, tout autant la fourche que l’ordinateur comme outil de travail, sont les jardiniers de la France. Et il n’y a pas que la concurrence européenne. Le futur traité Transatlantique, dit « TAFTA » qui se négocie dans notre dos, est lourd d’inquiétudes, notamment sur les normes, les appellations contrôlées, le « laisser faire, laisser passer » du libéralisme le plus extrémiste… N’oublions pas non plus qu’un petit pays du bout du monde, la Nouvelle-Zélande, est le maître du marché de la production du lait en poudre et qu’il impose ses prix. Pas étonnant, il faut avoir vu ses immenses troupeaux de vaches, poussés au lointain par un tracteur, s’engouffrer dans des tunnels passant sous les routes striant le bush et rejoindre leurs lieux de traite… Décidément, le jour inaugural de cette grande manifestation annuelle où se rencontrent public et agriculteurs, n’était pas un bon jour pour le Président. Encore heureux qu’une belle blonde d’Aquitaine ou une tachetée noir et blanc normande, n’aient pas satisfait leurs besoins à son passage !
Ça sent le roussi pour l’équipe Valls
Mais comme un malheur n’arrive jamais seul, voilà que le gouvernement se sent obligé de retirer provisoirement – dit-il – sa « Loi travail » devant réformer justement, le Code du dit Travail. Dame Myriam El Khomri, toute retournée, en aurait fait un malaise, la pauvre… Son entourage dément et parle d’un «accident domestique ». La brosse à dents se serait-elle rebellée ? On se perd en conjectures… Il faut dire que la Gauche officielle est mise à rude épreuve. Tandis qu’une pétition est lancée pour organiser des primaires au sein de la famille, afin de désigner le futur candidat portant les couleurs du PS à la course de 2017, refusant ainsi , de fait , à François Hollande l’automaticité légitime de sa propre candidature en raison de son statut de Président sortant, c’est Martine Aubry du haut de son donjon Lillois, qui « marque à la culotte » le Président.
Ulcérée par plusieurs aspects du projet de loi El-Khomri, la Maire de Lille, tout en précisant qu’elle n’était pas candidate à cette éventuelle primaire à gauche, est sortie de sa réserve en décochant ses flèches dans une tribune écrite au vitriol, publiée dans le quotidien du soir Le Monde. Cette sortie faisait suite à la parution d’une autre tribune cosignée par les « Frondeurs », de Christian Paul à Benoit Hamon, en passant par l’écologiste agitateur franco-allemand, Cohn-Bendit, toujours à la recherche d’une occasion pour se faire mousser. Alors que le vote relatif à la déchéance de nationalité pour les binationaux auteurs d’actes terroristes se ballade entre Assemblée et Sénat, subissant ici ou là amendements et modifications, qu’il n’est aucunement garanti que cette nécessaire mais symbolique disposition soit votée en séance plénière du Congrès réuni à Versailles, Bernard Cazeneuve fait face à des « mutineries » diverses et variées, du bidonville de Calais à la ZAD de Notre Dame des Landes. Rien n’est fini, tout peut exploser. Les seules certitudes que l’on aie avec ce ministre, ancien Maire de Cherbourg au look de croque-mort, c’est que ses argousins sont durs avec les faibles et faibles avec les forts. Il n’est que de voir la façon « musclée » dont le général en retraite Piquemal, ex-commandant de la Légion Etrangère, a été expulsé de la gare de Calais ou Katia LipovoÏ, une dame hostile à l’abattage de platanes à Poitiers, trainée par des policiers la maintenant à terre de leurs genoux avant de la menotter ! Quels crimes avaient commis ces deux personnes ? Protester, exerçant ainsi leur droit d’expression de libres citoyens ? Les forces de l’ordre sont bien plus clémentes face aux casseurs qui vandalisent les rues de Rennes et de Nantes ou avec les Borders, collabos étrangers de l’invasion exotique. Il n’y a pas que le frelon asiatique, les chenilles processionnaires ou les moustiques tigres qui migrent dans nos campagnes….
Un attentat, imprévisible à ce jour, comme bouée de sauvetage ?
Bref, cette gauche incapable de tenir ses promesses, déçoit jusqu’à ses partisans les plus déterminés, sur fond de rivalité entre Messieurs Valls et Macron. Question « existentielle » qui agite le petit monde politico médiatique, lequel des deux portera les couleurs d’une Gauche moderne, rénovée, sortie des vieilles lunes dirigistes et postmarxistes ? Les deux années qui viennent promettent d’être palpitantes pour l’observateur de la « chose » publique. Il n’est pas jusqu’au Président de la République qui, ayant sans doute le regard fixé sur les sondages, laisse planer un doute quant à sa présence dans la course présidentielle. Disons-le brutalement, seul un tragique attentat pourrait lui permettre de reprendre des couleurs et lui éviter d’être éliminé dès le premier tour, tant les Français dans les périodes de malheur ont besoin de se resserrer autour de celui qui, tout de même et pour l’instant, est encore le « chef ».
Une fois n’est pas coutume, encore qu’il est toujours bon de faire appel à plus talentueux que soi, je laisserai le mot de la fin à Dominique Jamet qui, dans les excellentes chroniques du « Boulevard Voltaire » diffusées sur Internet, s’exprimait ainsi à propos de la visite du Président Porte de Versailles : « Dans ces conditions, l’accueil fait à M. Hollande a été celui qu’une famille en deuil ferait à l’individu qu’elle tiendrait pour responsable de la mort du défunt et qui, le jour de ses obsèques, aurait le culot de venir lui présenter ses condoléances à la sacristie ». Rien à ajouter, rien à retrancher…
23:42 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pour l'association Entraide solidarité, Martial Roudier s'est rendu à Calais pour rencontrer les familles des inculpés
Il nous raconte son séjour à Calais :
Quand vous débarquez dans une région différente de la vôtre, les « locaux » ont à cœur de vous faire découvrir les particularités locales, bâtiments historiques, bonnes tables… À Calais, la première chose qu’on vous fait visiter c’est la Jungle ! Ambiance surréaliste : des grillages recouverts de barbelés, des camions de CRS à chaque carrefour, des gyrophares bleus dans la nuit, un no man’s land de 80 mètres de large établi au bulldozer entourant les habitats de fortune des « migrants », des hordes de clandestins déferlant dans les rues de Calais où un couvre feu pèse sur les habitants…
La première soirée est consacrée à de la veille internet et à de la surveillance des événements liés aux migrants. « Est ce que ça bouge ? » Tout le monde est prêt à se déplacer pour faire de la vidéo afin de témoigner de la réalité. Le gouvernement souhaiterait que personne ne sache ce qui se passe mais aujourd’hui la lutte passe par les réseaux sociaux. Chaque femme se soutient moralement en attendant le retour des « maris ».
Samedi matin, Séverine reçoit une lettre de Christophe, incarcéré depuis plus de 15 jours et me la lit avec beaucoup d’émotion dans la voix. C’est la première fois que ces familles sont confrontées au monde carcéral et elles sont désemparées. Je sais que cette situation ne va pas durer, puisqu’il n’y a aucun élément dans le dossier et je tente de la rassurer. C’est une femme forte.
Christophe lui raconte sa petite vie de « taulard ». Ça se passe bien pour lui car il n’est pas considéré comme un « vrai délinquant » par les matons. Il est seul en cellule mais a dû montrer qu’il ne se laisserait pas faire aux autres détenus qui ont tenté de lui « mettre la pression ». Heureusement pour lui, c’est un grand gaillard qui impose naturellement le respect.
Espérons que ça se passe bien pour les autres gars, dispersés dans 6 maisons d’arrêt différentes.
Dans le jardin un drapeau français flotte bravement.
J’apprends qu’il y a eu des blessures importantes pendant l’interpellation. Christophe a 2 côtes cassées, Stéphane en a 3 plus un œil tuméfié. Son fils, Jefferson a un traumatisme important au niveau du tympan. Les jours d’ITT sont nombreux. Tous ont des blessures un peu partout suite à un tabassage en règle alors qu’ils s’étaient laissés arrêter et qu’ils étaient menottés au sol.
J’apprends également que le Parquet a obligé les inculpés à prendre un avocat chacun au motif que leurs déclarations étaient contradictoires. C’est bien la première fois que j’entends parler de ce genre de choses !
Dans l’après-midi je rencontre les familles des personnes incarcérées. Les femmes sont angoissées et les enfants sont maintenus dans une ignorance du sort de leur papa. Alice, 14 ans, n’est pas dupe et sait très bien que quelque chose de pas normal est en train de se passer. Nous mangeons les gâteaux que j’ai aidé à préparer le matin avec la femme de Christophe, le soi-disant « meneur ». J’ai hâte de le rencontrer, il a l’air de quelqu’un de bien. Il fait partie des « Voisins Vigilants » et est une figure de son quartier: bricoleur, serviable…
Corinne la femme de Nino ne peut pas se joindre à nous car elle habite loin et la police a placé les véhicules de nos patriotes sous scellés. Elle ne peut pas se déplacer…
15 jours après l’incarcération, personne n’a encore d’autorisation de parloir.
Je transmets un chèque de 250€ à chacun de la part d’Entraide Solidarité pour que les détenus puissent cantiner le minimum nécessaire pour le premier mois.
J’explique que la situation ne peut pas s’éterniser puisque le dossier est vide. Lorsqu’elles partent, les familles me remercient pour le geste et le soutien et semblent rassurées quant à la suite des événements.
Bien évidement je n’ai pas résisté à la tentation de me rendre à l’intérieur de la « Jungle ». C’est réellement impressionnant. J’y ai vu des magasins, des restaurants, des centres de soins, un homme se faisant soigner une dent sur un banc. J’ai assisté à une distribution de nourriture. Je ne me sentais pas trop en insécurité car il y avait beaucoup d’européens. Ces derniers font partie des « bénévoles » des nombreuses associations qui travaillent à l’intérieur de la Jungle. Beaucoup d’anglais parmi ces derniers. C’est d’ailleurs l’anglais qui est la langue commune ici. Ce sont ces bénévoles blancs qui ramassent les déchets que les migrants laissent partout. Je ne peux m’empêcher d’imaginer l’état de la Jungle et les problèmes d’hygiène si ces bénévoles ne s’occupaient pas de la propreté des lieux. Mais ça fait un choc !
Stéphane a pu sortir suite à un appel sur la décision de placement en détention. Entraide Solidarité lui a proposé de changer d’avocat car son « commis d’office » était favorable aux migrants, on ne sait jamais. Ce matin c’est au tour de Jefferson de quitter les murs de sa maison d’arrêt. Signe que l’affaire commence à se dégonfler, mais c’est surtout grâce au travail des avocats et à la mobilisation de tous !
Je repars de Calais avec l’assurance que les familles restent soudées et tiennent le choc. Il faut maintenant travailler la « Justice » au corps pour qu’elle relâche les 5 autres gars, que l’ensemble des 7 soient relaxés et que nous arrivions à faire condamner les policiers auteurs du passage à tabac! Rude boulot…
Vous pouvez aider Entraide solidarité en cliquant ici ou par chèque en précisant « soutien aux 7 de Calais » au dos à : Entraide Solidarité - BP4-7187 - 30914 Nîmes Cedex
18:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le samedi 12 mars, Gabriele Adinolfi présentera à Paris son projet politique et euroéen
Le projet imaginé par Gabriele Adinolfi part de cette constatation que la situation politique européenne est relativement bloquée. Dans le cas de la France, par exemple, même si le Front national représente une bonne machine à détruire le système en place, il reste que, d’une part, ledit système dispose d’une arme efficace, le « front républicain », pour se maintenir, et que, d’autre part, le FN est encore trop instable sur le plan idéologique pour être en mesure de gouverner dans le sens souhaitable.
Il résulte de cette double constatation qu’il convient de mettre en œuvre une démarche permettant, non seulement de contourner le front républicain, mais aussi d’aider la Droite nationale à disposer des armes idéologiques permettant de représenter une alternative crédible. Cette démarche ne peut être qu’européenne, parce que les droites nationales et les peuples européens sont exposés aux mêmes difficultés, et également parce qu’il faut être conscient que, au-dessus des intérêts nationaux, il y a l’idée impériale européenne, qui habite l’imaginaire de nos peuples depuis la chute de l’Empire romain et s’est traduite, tout au long de l’histoire de notre continent, par des tentatives récurrentes de reconstruction de l’unité perdue : il est évident qu’une démarche totale comme celle qu’il faut engager aujourd’hui ne peut que se référer, d’abord et avant tout, à cette dimension impériale européenne.
Pour contourner le front républicain et donner des armes idéologiques aux droites nationales et européennes, il convient, d’une part, de développer un ancrage dans la vie économique et sociale qui permettra d’exister réellement sur le terrain, en dépit des obstacles placés par les réseaux du front républicain pour empêcher toute existence des droites nationales et européennes dans ce qui constitue les structures politiques, économiques et sociales. Il convient, d’autre part, de développer des structures de réflexion, de formation et d’action, capables d’apporter la matière idéologique attendue. On notera également que, si l’on se développe dans la réalité économique, on pourra disposer, si les choses se passent bien, des moyens de financer les structures de réflexion, de formation et d’action.
La démarche du projet repose, en conséquence, sur trois axes : la réflexion, l’action et le financement. Et c’est à un point sur ce qui a déjà été réalisé dans ce domaine en Europe, ainsi que sur ce qu’il est prévu de faire, en particulier en France, que Gabriele Adinolfi se livrera le 12 mars, à l’heure et dans les lieux précisés dans l’affiche reproduite ci-dessus.
DESTINÉ À CEUX QUI EN ONT ASSEZ DE TOURNER EN ROND, LE PROJET ADINOLFI EST UN PROJET TOTAL, POUR NOS NATIONS ET POUR L’EUROPE !
Source Forum SI cliquez là
Avez-vous lu les derniers livres de Gabriele Adinolfi ?
Années de plomb et semelles de vent, édité par Les Bouquins de Synthèse nationale en 2014,raconte les vingt ans de cavale qu'Adinolfi a passé en France alors que l'Italie était sous la coupe de la mafia démocrate chrétienne. cliquez ici
L'Europe, édité aussi par Les Bouquins de Synthèse nationale en 2015, l'auteur développe sa conception de l'Europe cliquez là
Un entretien avec Gabriele Adinolfi sur TV Libertés cliquez ici
15:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LIBÉRONS CALAIS, PROTÉGEONS LES FRANÇAIS, REFUSONS LA COLONISATION DE LA FRANCE ET DE L’EUROPE
Un communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :
Depuis plusieurs jours, le gouvernement envoie les forces de l'ordre afin de démanteler une partie de la Jungle de Calais.
Un démantèlement bien évidemment émaillé de violences à l’encontre des forces de l'ordre, des riverains et des automobilistes commises par des hordes déchaînées dont très peu des auteurs sont arrêtés.
Libérons Calais, protégeons les Français, refusons la colonisation de la France et de l’Europe !
Mais derrière cette opération se cache avant tout une immense imposture ; une partie de la Jungle de Calais va être fermée, mais pour mieux la répartir sur l'ensemble du territoire français. Ces délinquants migratoires que le peuple français n'a pas invités ici, arrivent désormais en bus dans les Centres d'Accueil et d'Orientation dans toutes nos régions. Ils n'en repartiront plus, la France ne pratiquant plus d'expulsions dans leur cas.
Le Parti de la France souhaiterait que les sans domicile fixe français livrés à eux-mêmes dans nos rues puissent bénéficier des mêmes attentions humanitaires de la part du gouvernement socialiste et que le ministre de l’intérieur puisse leur offrir, à eux aussi, la garantie d’un logement et d’une régularisation sociale.
Le Parti de la France réclame non seulement le démantèlement total et immédiat de la Jungle de Calais, mais aussi l'expulsion de la totalité des clandestins présents sur notre territoire national.
Pour se faire, la France se doit d'avoir le courage de rompre avec l’ensemble des politiques qui font systématiquement basculer les procédures administratives en faveur des clandestins.
Elle doit ensuite mettre sa flotte aérienne en situation de pouvoir expulser tous ces individus hors des frontières de l'Europe, sauf menace réelle et prouvée dans leur pays d’origine pour les demandeurs d'asile potentiels.
La France doit enfin engager une partie de son armée aux frontières maritimes de l’Union européenne afin de nous protéger contre l’arrivée massive et quotidienne de clandestins. Un dialogue et un travail doivent être menés conjointement avec le groupe de Visegrad qui s'est montré efficace dans la lutte contre l'immigration sauvage.
Le temps est venu de tourner le dos à la démagogie pseudo humanitariste et aux politiques immigrationistes qui sont mortelles pour l’identité, la sécurité et les libertés des peuples d’Europe. L'heure est au déploiement de forces capables de protéger nos patries d’Europe du danger de la colonisation migratoire et de la submersion étrangère.
Libérons Calais, protégeons les Français, refusons la colonisation de la France et de l’Europe !
11:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le métissage universel : avenir ou cauchemar de l’humanité ?
Dr Bernard Plouvier
Deux constatations de départ : les races existent au sein de l’espèce Homo sapiens sapiens ; on a publié en Europe, depuis la fin du XIXe siècle - et bien avant que le métis Richard Coudenhove-Kalergi ne débute son apostolat, dans les années 1920 sq. -, un nombre effarant de livres vantant les qualités du métissage, généralement écrits par des individus provenant d’une race imaginaire, auto-proclamée élue de la divinité pour diriger le troupeau humain et où l’on pratique rituellement l’endogamie.
Le racisme ne peut en aucun cas être la conséquence de la subdivision de l’humanité en quatre grandes races fondamentales (blanche ou caucasienne, qu’on ferait mieux de dénommer européenne ; noire ou africaine ; asiatique et mélanésienne) avec une multitude de sous-variantes, liées aux produits de métissage, car la réalité de ce phénomène est aussi vieille que la pré-humanité… la génétique nous a fait connaître des métissages entre Homo sapiens neandert(h)alensis et Homo sapiens sapiens ou entre Homo sapiens sapiens et Homo sapiens denisoviensis.
Le racisme est une vue de l’esprit parfaitement stupide, puisque l’on trouve des surdoués et des crétins dans chacune des races fondamentales et dans leurs sous-variantes. Un seul surdoué suffit à mettre fin à la notion de race inférieure et une poignée de crétins à celle de race supérieure. Nous autres, Européens, avons hébergé au sein de notre groupe ethnique tellement de marxistes ces dernières 150 années que nous pouvons abandonner définitivement tout sentiment indu de supériorité.
À ce propos, si l’on considère l’effarante surreprésentation de membres de la soi-disant race élue d’un certain Yahvé dans les milieux marxistes, où l’on fut directement responsable de la mort de 100 à 120 millions d’êtres humains et d’au moins deux milliards de vies irrémédiablement gâchées, l’on peut imaginer que se fera jour très prochainement, de ce côté-là, une certaine repentance avec excuses publiques adressées à l’humanité souffrante.
Des années 1890 à nos jours, de Jakob Novicow aux immortels théoriciens de la « pureté [raciale] dangereuse » et de la « panmixie », a-t-on assez vanté les charmes et les bienfaits du métissage universel !
Or, il existe depuis ses origines un continent peuplé des races différentes qui ont donné naissance à toutes les variantes possibles de métis : les Trois Amériques, peuplées lors de la dernière glaciation, à la fois d’Européens de l’Est (des Sibériens et des Aïnos) et d’Asiates (Lapons et Mongoloïdes), les Européens d’Occident apportant ensuite un nouveau contingent de Blancs en plus des malheureuses victimes de la Traite négrière.
Chacun connaît les bienfaits du melting pot nord-américain et brésilien : émeutes raciales et flamboiement de racismes, en ville et aux champs, en prison comme dans les forces armées. Les deux mandats du métis Obama ont apporté, comme nul n’en ignore, paix et prospérité non seulement aux libres citoyens des USA, mais aussi au monde occidental et aux pays d’islam. Encore deux ou trois métis surdoués comme lui à la tête des USA et nous serons délivrés pour quelques siècles de la domination fort pesante de ce pays trop grand et trop riche pour la tranquillité du reste de la planète.
Un Européen qui a goûté, depuis ces quarante dernières années, aux charmes peu discrets de l’immigration-invasion africaine ne peut qu’approuver, sans la moindre restriction, le slogan : « L’Afrique aux Africains ». Il est curieux que le slogan similaire : « L’Europe aux Européens » soit devenu répréhensible en certains pays d’atteintes répétées à la libre expression de la pensée.
Qui connaît un peu le Japon et la Chine sait que l’on n’y goûte guère les immigrés non-asiatiques s’ils sont bruyants et turbulents ou sont jugés trop nombreux. Reconnaissons que les Asiatiques sont suffisamment travailleurs et prolifiques pour n’avoir pas à importer en grand nombre d’immigrés venus d’autres continents. Quant aux métissages, ils y sont tolérés, mais sans le moindre enthousiasme… et l’on fait dans la litote en parlant de tolérance.
La conclusion s’impose d’elle-même : si le racisme est une absolue stupidité, largement démontrée par l’histoire, le métissage est affaire de goût et d’habitude. À dose homéopathique, il peut passer pour une expérience amusante. Pour envisager sa généralisation, qui serait la conséquence d’un énorme brassage de populations induit par une immigration massive (soit la répétition annuelle durant 20 ou 30 ans de ce qui s’est passé en Europe occidentale et danubienne l’An maudit 2015), il faut au moins demander l’avis des autochtones.
On sait, par la malheureuse et honteuse expérience marxiste, ce qu’il en coûte de souffrances et d’abjection à imposer par la force un dogme peu judicieux, voire du plus haut crétinisme. On est encore en droit d’espérer que cette douloureuse leçon ne soit pas perdue !
du Dr Plouvier ?
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11:42 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Jungle aux alouettes de Calais
de Philippe Randa
"Ces migrants, certains de ce qu’ils voulaient quitter, mais tragiquement trompés sur ce qu’ils ont trouvés !"
L’immigration extra-européenne est redevenue, si tant est qu’elle n’a jamais cessée de l’être, le problème majeur de notre continent depuis l’arrivée massive d’un million de migrants en 2015… Tous ceux qui tentaient jusqu’alors de minimiser le problème migratoire ou encore de le fantasmer comme une « chance » pour son avenir ont perdu toute crédibilité… ou font face à de sévères contestations jusque dans leur propre camp politique à l’image de la chancelière allemande Angela Merkel…
À l’exception de groupes extrémistes reconvertis dans la manipulation des migrants, la quasi-totalité des responsables politiques est aujourd’hui unanime à vouloir endiguer les flots migratoires à venir… sans toutefois proposer quoi que ce soit de concret pour cela.
Et si, pourtant, nous allions assister au tarissement de l’invasion migratoire dans les années à venir ? Non par l’inaction affichée des dirigeants de l’Union européenne, mais parce que les candidats potentiels à l’immigration prenaient conscience de l’imposture de cet Eldorado européen dans lequel on les a encouragés à croire ? Et renonçaient eux-mêmes dans le futur à abandonner leurs pays d’origine ?
Ce qui peut apparaître comme un vœu pieu pour beaucoup est peut-être toutefois en passe de devenir une réalité grâce au cauchemar humain baptisé – jusqu’au lundi 29 février 2016, premier jour de son éradication – la « jungle de Calais ».
L’Europe, pire que l’Afghanistan des Talibans ? Pire que la Syrie en guerre ? Pire que l’esclavage avéré au Quatar ? Pire que les petits boulots au Koweit ?
Edouard de Mareschal a recueilli pour Le Figaro des témoignages édifiants de migrants avant et pendant le démantèlement de ce no man’s land de violences et de désespérance… Au-delà des jugements lapidaires – « On est traités comme des animaux », « J’ai perdu une année de ma vie dans cette foutue jungle » –, on découvre ainsi l’autre réalité de ces demandeurs d’asile pour beaucoup économiques… et pour beaucoup sans illusion aucune désormais sur une vie meilleur en Occident qu’en Orient.
Tous savaient ce qu’ils voulaient quitter, mais ont été tragiquement sur trompés ce qu’ils ont trouvé !
Ainsi Hussein, syrien d’Homs, photographié dans une caravane, qui reconnaît qu’il avait un travail au Koweit où il envisage de retourner, n’ayant pas découvert la fortune espérée en Europe… ou encore cet Afghan, Nasarat, qui « préfère encore retourner dans (son) village, malgré les talibans… »
Si l’enfer est pavé de bonnes intentions, les tragédies peuvent parfois arracher des sourires ironiques lorsqu’on apprend que l’Europe est mauvais pour la santé grâce à l’aveu d’Amarkhan, Afghan de 24 ans, qui n’aura trouvé ni éducation, ni maison, ni travail, mais une addiction à l’alcool et au tabac : « Aujourd’hui, je fume un paquet par jour ». Vu le prix du tabac en incessante augmentation, on ne peut que compatir… tout en se demandant tout de même comment il a pu assurer financièrement sa consommation ; gageons qu’il est préférable de l’ignorer pour ne pas heurter les esprits trop sensibles !
Les cas cités par le journaliste du Figaro ne semblent pas être exceptionnels, comme le confirme le directeur de l’OFII (L’Office français de l’immigration et de l’intégration) ; les dossiers d’aide au retour sont en progression et « c’est un mouvement qui s’observe dans plusieurs pays d’Europe… »
Ces dossiers concernent des Afghans (à 75 %), des Pakistanais, des Iraniens et des Soudanais, pays sans guerre civile, à ce qu’on sache (en tout cas depuis 2005 en ce qui concerne le Soudan).
La jungle de Calais, monstruosité humanitaire, ce que personne ne songe à contester, aura-t-elle permis une prise de conscience, à la fois par les Européens – car images désastreuses et témoignages poignants des riverains autant que des clandestins ont été largement diffusés à travers le continent – mais surtout par les éventuels candidats à l’immigration : il est à espérer que ceux qui retourneront chez eux rapporteront ce qu’ils ont vécus… évitant ainsi à leurs compatriotes les mêmes tourments.
L’Eldorado européen apparaîtra-t-il désormais comme ce qu’il est, soit un miroir aux alouettes, aux yeux des populations du tiers-monde ? Et celles-ci décideront-elles enfin de prendre leur destin en main… plutôt que de tendre celle-ci comme certains manipulateurs sans scrupules, les ont incités à faire pour leur plus grand malheur et le nôtre ?
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La médecine islamique au secours de la santé des Français
Test par l'imam de Brest et ses disciples d'une recommandation coranique : boire de l'urine de chameau… En espérant qu'ils penseront à en proposer à tous les politiciens collabos qui ne manqueraient pour rien au monde une invitation à la rupture du jeûne pendant le Ramadan…
08:47 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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mercredi, 02 mars 2016
L’islam et le terrorisme : un adultère de longue durée
Dr Bernard Plouvier
Nul ne peut le nier : Mahomet a ordonné la « guerre sainte et juste », le Djihâd, pour imposer l’islam à tous les peuples de la Terre. Mais dans son esprit, comme pour tout muslim de stricte obédience, ce Djihâd était et aurait dû demeurer une affaire de combat direct entre hommes. Seuls des lâches osent s’en prendre armés à des hommes désarmés, à des femmes et à des enfants. Dès son origine, l’islam fut une religion de rudes combattants, mais non de lâches, bien au contraire. Le Djihâd originel fut une affaire de combat, voire de corps à corps, engageant physiquement et moralement le guerrier d’Allah, pas une affaire d’assassinat (qui, par définition, est un meurtre prémédité).
C’est ainsi que fut conçue et réalisée la première vague d’expansion de l’islam aux VIIIe –Xe siècles, qui s’accompagna d’énormes destructions de biens, d’exécutions massives des prisonniers de guerre qui refusaient de se convertir et de réduction en esclavage des femmes et enfants des peuples conquis, en application des sourates coraniques 8, 47 et 60.
À la fin du XIe siècle, dans le massif iranien du Khârezm, le chiite Hassan ibn Sabbah fonda une secte de fanatiques, prêts à tuer au nom d’Allah tous ceux que le maître leur désignerait. Dans leur repaire d’Alamout, les apprentis-terroristes étaient gavés de Haschisch, mais également dopés par une doctrine qui éliminait un principe coranique fondamental, selon lequel un muslim (musulman en langue arabe, celle que le fidèle devrait seule employer) ne doit pas tuer ni même blesser volontairement un autre muslim. Car le Vieux de la Montagne dictait sa loi tant aux sultans sunnites qu’aux roitelets chiites, en les menaçant, voire en faisant exécuter par des tueurs silencieux les personnages rétifs. L’islam, vicié, accouchait du terrorisme politique, exclusivement ciblé sur la personne de chefs de tribus, de chefs d’État et de leurs ministres. Au XIIIe siècle, les conquérants mongols débarrassèrent le Moyen-Orient de la capacité de nuisance des successeurs d’Hassan.
Mais un Mongol fit bien pire, au siècle suivant. Timur Leng (Tamerlan, pour les Occidentaux) inventa le génocide de propagande. Ce fou d’Allah, né en 1336, usa sa vie à propager l’islam sunnite par des guerres de conquête, soumettant 27 royaumes et même l’Ouest de l’Empire chinois, ne connaissant jamais la défaite, en raison de l’enthousiasme religieux de ses soldats et d’une supériorité en armement (ses troupes avaient le monopole de l’arc composite). Au début de chaque campagne, il prenait d’assaut une grande ville, que ses soldats pillaient et incendiaient, puis la population était entièrement exterminée, les crânes étant empilés pour former des pyramides. Quelques témoins laissés délibérément en vie apportaient le message aux autres cités du royaume à conquérir au nom d’Allah le tout-puissant : reddition & conversion ou extermination.
À sa mort, survenue en 1405, Tamerlan, l’émir de Transoxiane, régnait sur toutes les terres, de l’Anatolie et du Caucase jusqu’en Chine. Partout, on y adorait Allah… ou on faisait semblant, dans l’attente d’un mouvement de libération. Un descendant de ce fou d’Allah, Babur le Grand, fonda l’Empire moghol des Indes en reprenant les méthodes du grand ancêtre.
La colonisation par l’Européen et la décrépitude de l’Empire ottoman assoupirent le fanatisme destructeur des islamistes, sauf en péninsule arabique, tellement pauvre et aride que les Turcs s’en désintéressaient. Mohamed ibn Abd el Wahhab (mort en 1792) ressuscita l’islam primitif (ou salafisme), s’alliant avec un Saoud, obscur chef de tribus, régnant sur quelques oasis du Riyad. Ce retour à la pureté des origines de l’islam s’accompagna de la stricte observance de la Charî’a et de l’extermination systématique des infidèles qui s’aventuraient sur les terres du roitelet saoudien. Nul ne pouvait prévoir qu’un Saoud unifierait l’Arabie durant les années 1925-35, ni qu’il deviendrait l’un des hommes les plus riches de la planète grâce à la découverte puis à l’exploitation par des ingénieurs US d’immenses réserves de pétrole. Le salafisme saoudien ou Wahhabisme est, en principe, opposé au terrorisme aveugle (qui tue au hasard), s’il ne répugne pas à exterminer des cibles précises, choisies de préférence chez les sionistes.
En 1928, un lettré égyptien, Hassan el-Banna fonda ses confréries salafistes, xénophobes, haineusement anti-occidentales : les Frères musulmans et les Mères musulmanes (devenues ensuite Femmes musulmanes). Dès 1936, sous la direction de son gendre Saïd Ramadan, le mouvement devint terroriste, étant combattu – une fois l’indépendance obtenue après la Seconde Guerre mondiale - par les gouvernements égyptiens et syriens (dont ceux des Assad, père et fils) et soutenu par les Saoudiens, les cheikhs du Qatar et les USA (un an avant l’arrivée à l’apparence du Pouvoir d’Hussein Obama… dont l’action est typiquement celle d’un crypto-islamiste, du moins si l’on en juge d’après les résultats).
Le Turc Alparslan Türkes (mort en 1997) a de son côté amalgamé l’islam sunnite au racisme pantouranien (Turcs, Azéris, Turkmènes, Tadjiks et Uzbeks), pour déclarer une guerre impitoyable aux Kurdes (descendants des antiques Mèdes) et aux chiites. Son mouvement terroriste, dont le but est de faire dominer la Terre par les Touraniens, « peuple élu d’Allah », est soutenu discrètement par les Israéliens et les USA, dans le cadre de leur guerre contre les chiites d’Iran, d’Irak, de Syrie et du Liban. On comprend aisément que la position de la Turquie soit ambiguë dans la guerre contre l’État Islamique (sunnite et antikurde)… et l’on sait le rôle qu’ont joué les proches de l’actuel Président turc Erdogan dans la commercialisation discrète du pétrole extrait dans la région de Mossoul, capitale de l’État Islamique, du moins jusqu’à ce que l’offensive russo-syrienne bloque la frontière..
Le dernier-né des fous d’Allah, Abou Bakr II, est à la fois l’un des chefs temporels de cet État Islamique et le calife auto-proclamé de Mossoul. Il a autorisé les femmes à jouer aux djihadistes et intensifié le Djihâd en autorisant les attentats même dans le Dâr al-Islam. Aucune sourate du Coran, aucun hadith n’envisage la participation des femmes au combat, encore moins celle d’enfants impubères. Il serait donc absurde, pour un véritable fidèle, d’armer femmes et enfants ou de les envoyer en kamikazes, porteurs de charges d’explosifs, pour tuer à l’aveugle des fidèles (ce qui est l’horreur suprême pour un musulman) ni même des infidèles innocents. Ce terrorisme, responsable de morts instantanées, contrevient en effet à l’enseignement de la sourate 39 qui proclame que tout être humain peut se convertir jusqu’à son dernier instant de vie : le tuer de façon inopinée lui ôte cette ultime chance. À l’évidence, le terrorisme aveugle est opposé à la pure doctrine coranique.
L’Europe s’était crue débarrassée des guerres religieuses, sauf dans les îles britanniques… mais sont-elles réellement européennes ? Avec l’immigration musulmane massive, qui est allée crescendo des années 1970 jusqu’à nos jours, les Européens ont laissé s’installer sur leur sol une religion médiévale par son fanatisme conquérant et sa brutalité, important en outre la haine irréductible entre musulmans et Juifs sionistes.
Il est évident que de nombreux chefs d’États extra-européens avaient et ont toujours intérêt à casser la puissance inventive, technique et culturelle de la race européenne. Ce n’est nullement une raison pour faire le jeu de ces Machiavels de bas étage. Le retour vers le Dâr al-Islam est, pour les musulmans, non pas un Droit, mais un Devoir… ou une mesure de bon sens. Car la patience et la mansuétude des Européens ne seront pas éternelles.
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mardi, 01 mars 2016
STOP !.... OU PLUS ENCORE D’ISLAMISATION A QUIMPER ?
Claudine Dupont-Tingaud, Présidente de Réagir et Agir
C’est ce refus qu’avaient exprimé plus de 10 000 quimpérois en 1996, habitant essentiellement ces quartiers, dits sensibles, mais déjà en résistance à une soumission islamique rendue visible par deux mosquées (maghrébine et turque) et le projet d’une école coranique entrainant installation culturelle et cultuelle de celui-ci en la capitale de la Cornouaille… Ils furent plus nombreux encore l’an passé, 2015, par pétition papier et internet !
Vingt ans après cette résistance, dans les boîtes aux lettres de ces mêmes zones, une publicité « MUSLIM SHOP QUIMPER » propose des vêtements (hijab, jilbeb (voile intégral) robe trapèze, musc) et plus si affinités… livrés à domicile ou en réunion… Sans doute des tenues permettant d’assister au festival du Film (comique) turc programmé ces jours-ci mais dont est éliminé la projection du si révélateur et accusateur des mœurs musulmanes, le long métrage « MUSTANG » ! Manifestation présentée par la COJEP dont le but est : l’intégration des migrants, le vivre ensemble, la citoyenneté, la lutte contre les discriminations et le racisme… N’en rajoutez plus, ! Car rien ne manque à ce qui pourrait faire tomber le Français ou le Breton de souche, interrogatif, sous le coup des lois Pleven, puis qu’ il lui est impossible d’émettre un choix ou une préférence !
Le vestimentaire ne concerne bien sûr pas que l’espace impur dans lequel se meuvent les femmes dont les appâts sont à dissimuler de l’appétit naturellement sexué des hommes ! Quimpéroises, elles sont, incitées, sur les 300 milliards de kebabs vendus en France, à privilégier ceux de l’une des quinze boutiques de Quimper et, mieux encore, a les composer elles mêmes à partir de la viande halal des trois boucheries spécialisées comme dans les rayons des Grandes Surfaces sous le contrôle des abatteurs musulmans, fonctionnaires finançant la cause islamique. Il s’agit ainsi de flatter un clientélisme religieux en rien freiné par une municipalité privilégiant ce communautarisme électoraliste au détriment d’une simple diversité exogène ou exotique ! Qu’en pensent nos éleveurs de cochons ?
La crise identitaire et économique que connait la Bretagne, et plus encore notre extrême Ouest, est encore aggravée par la migration installée de force par le pouvoir socialiste avec la complicité de maires de touts bords (structures vacancières non occupées, cars scolaires, repas halal etc…) créant par un état dans l’état en favorisant des coutumes opposées aux nôtres comme le révèle l’imam de la mosquée magrébine de Quimper dont l’épouse porte le voile intégral et reconnaît avec angélisme, qu’il est « de son choix de suivre les principes de l’islam ! » et non de cette république si couramment évoquée.
Il est temps de stopper ce déploiement sur notre ville en invitant son maire, M. Ludovic Jolivet, a organiser un referendum d’initiative communale afin de savoir si notre territoire doit devenir terre d’islam avec l’acceptation de minaret et coupoles sur le centre culturel et cultuel turc de l’ancienne fabrique de galettes bretonnes « Gavottes » comme pourrait le laisser craindre l’actuel chantage et l’arrivée du quota de migrants, musulmans, dont il est, hélas, demandeur !
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Faits & Documents n°411 est sorti...
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La bureaucratie gangrène la croissance.
Pieter Kerstens
La bureaucratie s’est métamorphosée. Du petit chef de bureau tatillon, disposant d’un pouvoir discrétionnaire, nous sommes passés dans les rouages et le virtuel des systèmes d’information.
La bureaucratie n’est plus seulement concentrée dans de grosses administrations ou organisations, elle est dans notre poche. La tablette, l’I.Phone, l’I.Pad et les smartphones ont permis à la bureaucratie d’entrer dans les domiciles de chacun, avec de nouvelles formes de contrôles permanents et multiples, échappant à votre sagacité.
En 2015, une majorité d’Administrations qu’elles soient locales ou nationales étaient informatisées et connectées à Internet. Les fonctionnaires à 95% n’étaient plus occupés à des tâches manuelles comme en 1980 et à rechercher des documents classés et répertoriés dans des fichiers manuscrits.
On peut donc croire que, à l’exemple de l’industrie privée, la gestion « en bon père de famille » aurait pu faire diminuer le nombre de fonctionnaires et les coûts correspondants (salaires, primes, caisses maladie et surtout financement des retraites). Il n’en a rien été et une grande part des déficits budgétaires et la hausse de la dette publique n’est que la conséquence de l’embauche, année après année, de dizaines de milliers de nouveaux fonctionnaires.
En 2010, les personnes payées par l’argent public, employées dans la fonction d’Etat et la fonction publique territoriale, s’élevaient à 4.383.526 ; en 2014, malgré la modernisation de tous les services publics, ils étaient 4.457.863. Pourquoi ?
Alors même que 57% du PIB français sont absorbés par la dépense publique, la pression fiscale globale en France est la 2ème des pays de l’OCDE avec 45,7% du PIB (derrière le Danemark et devant la Belgique), en 2014 ; et ce n’est pas près de diminuer avec les nouvelles augmentations des taxes concernant le tabac, les carburants, les timbres, les alcools, etc... Si encore avec une telle dépense pour la fonction publique nous ayons en contrepartie des administrations efficaces, compétentes et à l’écoute des populations (car à leur service) nous, contribuables, ne pourrions nous plaindre.
C’est tout l’inverse et le plus bel exemple de gabegie, d’incompétence, de bureaucratie stalinienne et d’immobilisme est fourni par l’Education Nationale, bastion des droits acquis et forteresse des syndicats gauchistes. En augmentant leur temps de travail de 5%, en diminuant tous les ans pendant 5 ans leurs effectifs de 2% et en augmentant le nombre moyen d’élèves par classe (de la maternelle au bac) de 20% sur 5 ans , les économies de ce seul ministère s’élèvent à plus de 8 milliards d’euros TOUS LES ANS !
Et les possibilités d’économies dans tous les ministères et les collectivités territoriales sont innombrables. Il suffit d’en avoir la volonté politique et de ne plus se réfugier derrière des tabous érigés par des minorités et issus d’un autre âge. Il en va de même pour des privilèges catégoriels et des sinécures accordées par des coquins à leurs copains.
On ne peut pas demander à nos industriels de se développer d’une part et de concurrencer les importations étrangères d’autre part, alors même qu’ils sont handicapés, depuis des décennies, par des normes et des règlements plus restrictifs et pénalisants les uns que les autres. A quand le retour du bon-sens ?
00:37 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |