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jeudi, 03 mars 2016

Le métissage universel : avenir ou cauchemar de l’humanité ?

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Dr Bernard Plouvier

Deux constatations de départ : les races existent au sein de l’espèce Homo sapiens sapiens ; on a publié en Europe, depuis la fin du XIXe siècle - et bien avant que le métis Richard Coudenhove-Kalergi ne débute son apostolat, dans les années 1920 sq. -, un nombre effarant de livres vantant les qualités du métissage, généralement écrits par des individus provenant d’une race imaginaire, auto-proclamée élue de la divinité pour diriger le troupeau humain et où l’on pratique rituellement l’endogamie.

Le racisme ne peut en aucun cas être la conséquence de la subdivision de l’humanité en quatre grandes races fondamentales (blanche ou caucasienne, qu’on ferait mieux de dénommer européenne ; noire ou africaine ; asiatique et mélanésienne) avec une multitude de sous-variantes, liées aux produits de métissage, car la réalité de ce phénomène est aussi vieille que la pré-humanité… la génétique nous a fait connaître des métissages entre Homo sapiens neandert(h)alensis et Homo sapiens sapiens ou entre Homo sapiens sapiens et Homo sapiens denisoviensis.

Le racisme est une vue de l’esprit parfaitement stupide, puisque l’on trouve des surdoués et des crétins dans chacune des races fondamentales et dans leurs sous-variantes. Un seul surdoué suffit à mettre fin à la notion de race inférieure et une poignée de crétins à celle de race supérieure. Nous autres, Européens, avons hébergé au sein de notre groupe ethnique tellement de marxistes ces dernières 150 années que nous pouvons abandonner définitivement tout sentiment indu de supériorité.

À ce propos, si l’on considère l’effarante surreprésentation de membres de la soi-disant race élue d’un certain Yahvé dans les milieux marxistes, où l’on fut directement responsable de la mort de 100 à 120 millions d’êtres humains et d’au moins deux milliards de vies irrémédiablement gâchées, l’on peut imaginer que se fera jour très prochainement, de ce côté-là, une certaine repentance avec excuses publiques adressées à l’humanité souffrante.

Des années 1890 à nos jours, de Jakob Novicow aux immortels théoriciens de la « pureté [raciale] dangereuse » et de la « panmixie », a-t-on assez vanté les charmes et les bienfaits du métissage universel !

Or, il existe depuis ses origines un continent peuplé des races différentes qui ont donné naissance à toutes les variantes possibles de métis : les Trois Amériques, peuplées lors de la dernière glaciation, à la fois d’Européens de l’Est (des Sibériens et des Aïnos) et d’Asiates (Lapons et Mongoloïdes), les Européens d’Occident apportant ensuite un nouveau contingent de Blancs en plus des malheureuses victimes de la Traite négrière.

Chacun connaît les bienfaits du melting pot nord-américain et brésilien : émeutes raciales et flamboiement de racismes, en ville et aux champs, en prison comme dans les forces armées. Les deux mandats du métis Obama ont apporté, comme nul n’en ignore, paix et prospérité non seulement aux libres citoyens des USA, mais aussi au monde occidental et aux pays d’islam. Encore deux ou trois métis surdoués comme lui à la tête des USA et nous serons délivrés pour quelques siècles de la domination fort pesante de ce pays trop grand et trop riche pour la tranquillité du reste de la planète.

Un Européen qui a goûté, depuis ces quarante dernières années, aux charmes peu discrets de l’immigration-invasion africaine ne peut qu’approuver, sans la moindre restriction, le slogan : « L’Afrique aux Africains ». Il est curieux que le slogan similaire : « L’Europe aux Européens » soit devenu répréhensible en certains pays d’atteintes répétées à la libre expression de la pensée.

Qui connaît un peu le Japon et la Chine sait que l’on n’y goûte guère les immigrés non-asiatiques s’ils sont bruyants et turbulents ou sont jugés trop nombreux. Reconnaissons que les Asiatiques sont suffisamment travailleurs et prolifiques pour n’avoir pas à importer en grand nombre d’immigrés venus d’autres continents. Quant aux métissages, ils y sont tolérés, mais sans le moindre enthousiasme… et l’on fait dans la litote en parlant de tolérance.

La conclusion s’impose d’elle-même : si le racisme est une absolue stupidité, largement démontrée par l’histoire, le métissage est affaire de goût et d’habitude. À dose homéopathique, il peut passer pour une expérience amusante. Pour envisager sa généralisation, qui serait la conséquence d’un énorme brassage de populations induit par une immigration massive (soit la répétition annuelle durant 20 ou 30 ans de ce qui s’est passé en Europe occidentale et danubienne l’An maudit 2015), il faut au moins demander l’avis des autochtones.

On sait, par la malheureuse et honteuse expérience marxiste, ce qu’il en coûte de souffrances et d’abjection à imposer par la force un dogme peu judicieux, voire du plus haut crétinisme. On est encore en droit d’espérer que cette douloureuse leçon ne soit pas perdue !

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11:42 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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