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vendredi, 23 juin 2023

Questions sur la fin de vie

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Alors qu’un projet de loi « fin de vie » doit être présenté d’ici à la fin de l’été 2023, le professeur d’éthique de la santé néerlandais Theo Boer* tire le bilan des trente-cinq ans d’expérience de l’euthanasie aux Pays-Bas. Il alerte la France quant au risque de dérive de cette pratique.

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(*) Theo Boer est professeur d’éthique de la santé à l’Université théologique protestante de Groningue.

Source : Le Figaro 23/6/2023

 

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Sortie du livre Transgression : un grand entretien avec Pierre Cassen et Bernard Germain, ses auteurs, sur Breizh info

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Source Breizh info cliquez ici

Ils étaient trotskystes. L’un (Pierre CASSEN) à la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR), l’autre (Bernard GERMAIN) à l’Organisation Communiste Internationaliste (OCI). Ils sont aujourd’hui dans le camp du “mal”, le camp national et identitaire.. Ils ont donc transgressé tous les interdits de la gauche et des bien pensants pour parcourir ce chemin qui les a conduits de la gauche à la droite.

C’est parce qu’ils ont accepté de s’ouvrir aux arguments du camp d’en face, parce qu’ils ont refusé de rejeter par principe les opinions des autres, qu’ils ont pu étudier de manière critique les arguments et contre arguments du débat. Aujourd’hui, une multitude de gens s’autocensure, s’interdise de réfléchir et de confronter les points de vue. Terrorisés de se voir affubler des qualificatifs de raciste ou extrême droite.

Ce faisant, ils acceptent de s’enfermer dans une prison idéologique d’où sont bannis toute réflexion critique et tout véritable débat. Ces gens sont en fait des victimes du totalitarisme intellectuel ambiant. Si seulement ils osaient étudier les problèmes sans se contenter de réciter la messe des bien pensants, ils vivraient sans doute une évolution de leurs certitudes vers une véritable opinion.

C’est ce parcours, cet engagement, cette (ces) transgressions qu’ils racontent aujourd’hui dans un livre paru aux éditions Synthèse nationale (livre à commander ici). Au travers de nombreux sujets Pierre CASSEN et Bernard GERMAIN exposent leurs opinions, expliquent pourquoi il ont changé et interpellent les membres du « camp du bien » en les invitant à répondre à de nombreuses questions.

Un livre très intéressant. Un témoignage important sur ce qui fait basculer – comme c’est d’ailleurs fréquemment le cas – des militants de gauche et d’extrême gauche, sincères mais déçus par les manipulations et les impasses idéologiques récentes de leur camp – vers d’autres cieux.

Nous avons interrogé Bernard Germain, qui a répondu, avec l’accord de Pierre Cassen.

Breizh-info.com : Tout d’abord, pourquoi avoir décidé de co-écrire ce livre, maintenant ? Qu’avez vous souhaité y raconter ?

Bernard Germain  : Devant l’étonnement de certains de nos amis politiques s’agissant de notre parcours, nous avons voulu répondre à leur interrogation de fond : comment peut-on passer de l’extrême gauche au patriotisme ? Commencer à l’OCI ou LCR , continuer au PS ou PCF pour finir à Reconquête.

En même temps, ce livre s’adresse aussi à tous les gens de gauche qui “oseront ” transgresser les tabous, notamment celui-ci : “on ne parle pas à l’extrême droite, on la combat”. Dès lors qu’ils acceptent cela, ces gens de gauche s’enferment dans une prison idéologique.

Ils ne réfléchissent plus, il ne prennent aucun recul, ils n’ont aucune analyse critique. Ils tombent ainsi dans un monde binaire : d’un côté le bien, de l’autre le mal. Et si on discute avec un représentant du mal, c’est qu’on a commencé à vendre son âme au diable.

Donc le réflexe immédiat c’est de diaboliser l’autre, (extrême droite, fasciste, …etc) et de répéter la messe des bien pensants comme un mantra. C’est beaucoup plus simple et rassurant que d’oser une analyse critique des faits et des idées et d’accepter un débat avec le camp d’en face.

Pour ceux qui osent transgresser, un terrible problème les attend. S’ils se rendent compte qu’ils se sont trompé ou ont été trompés depuis des années ou même toute leur vie, que vont-ils faire ? Se taire pour ne pas perdre leurs amis ou ne pas être mis à l’index ? ou avoir le courage d’en tirer les leçons ?

Des générations de militants ont connu ce problème du temps du stalinisme. Je me souviens de cet article des Lettres Françaises “J’ai mal de me taire”. Mais son auteur a continué de se taire face à tous les crimes du stalinisme.

L’époque a changé, mais le problème politique reste de même nature. En rédigeant ce livre, notre objectif était triple : mettre nos idées au clair, permettre aux gens de gauche de réfléchir et peut-être d’entamer le même voyage, donner des arguments aux gens de droite pour dialoguer avec ceux de gauche.

Breizh-info.com : Vous venez tous les deux de l’extrême gauche, du trotskisme. Même si vous expliquez votre itinéraire politique dans le livre, quel a été votre “point de bascule” ?

Bernard Germain : Je crois pouvoir répondre que même si cela n’a été provoqué par les mêmes évènements, c’est le même problème qui nous a fait “basculer” : le fait de nous heurter à la réalité et d’accepter face à cette réalité de cesser de réagir en fonction de ce que le “bien” nous commandait de dire ou de faire.

Un exemple permettra de me faire comprendre. La Loi Taubira qui condamne l’esclavage (rien à redire sur le principe) mais qui “oublie” la traite arabo-musulmane qui dura 13 siècles et fit plus de 20 millions de morts. Ce que Tidiane N’Diaye a décrit dans son livre “Le génocide voilé”.

Lorsque la presse demanda à Taubira pourquoi elle fit cet oubli elle répondit “Pour ne pas culpabiliser les jeunes arabes de banlieue pour des faits commis par leurs ascendants, et pour lesquels ils ne sont pas responsables”. Fabuleuse réponse en vérité qui éclaire tout ce que je viens de dire.

Ainsi, on peut culpabiliser les petits blancs pour 3 siècles d’esclavage et alors que c’est la France qui a aboli l’esclavage, mais on ne doit pas le faire pour les jeunes arabes de banlieue pour 13 siècles d’esclavage et 20 millions de morts.

Tous les problèmes sont sur la tables avec cette Loi Taubira sur l’esclavage. J’observe simplement qu’à gauche personne n’accepte de voir le problème. Au nom du bien, il faut ne pas voir le mensonge historique ni l’opération politique. Il faut taire qu’apprendre cela aux enfants dans les écoles c’est les tromper et leur mentir.

Mais lorsque vous dites cela aux gens de gauche, au lieu de reconnaître que ce sont des faits indiscutables et les condamner, ils disent que c’est une horrible attaque de “l’extrême droite”. Tout est là. Et tout est dit.

C’est avec ce genre de problème que la bascule s’est faite pour Pierre et moi. Nous avons refusé de continuer à nous mentir et à mentir aux autres. Nous avons dit : nous voyons la réalité et nous en tirons toutes les leçons.

Breizh-info.com : Plutôt que de parler d’une forme “d’excommunication” que vous avez vécue, comme d’autres à différentes époques, n’est-ce pas finalement parce que vous n’avez pas changé sur le fond des choses et de vos idées que vous ne vous êtes plus reconnu dans l’extrême gauche telle que vous la viviez quotidiennement ?

Bernard Germain : Je ne pense pas que les choses s’expliquent ainsi. J’ai quitté l’extrême gauche sur un problème de dysfonctionnement du parti. En fait à cause de l’absence de démocratie interne. Pierre a rompu du fait des discours politiques de la LCR, parce qu’ils ne répondaient pas à ce qu’il attendait et pensait nécessaire.

Ce n’est qu’ensuite, que lui et moi, chacun avec son parcours, nous avons privilégié l’engagement pour la défense de la justice sociale à travers notre engagement syndical, lui à la CGT et moi à FO, plutôt que l’engagement politique qui nous avait déçus.

Quant à l’extrême gauche de l’époque elle a quasiment disparu. La gauche est devenue l’extrême gauche en relation avec le tournant Terra Nova de 2011 et le développement du wokisme qui provoquèrent l’abandon de la classe ouvrière au profit des immigrés et des minorités notamment sexuelles.

Il n’y a plus de gauche telle que nous l’avons connue durant notre jeunesse. La gauche aujourd’hui se résume à l’extrême gauche.

Breizh-info.com : Finalement, le gros problème de la gauche n’est-il pas qu’elle a fait passer (par la force et par le sang très souvent) ses idées et ses utopies avant le réel…? Des idées nobles, mais finalement incompatibles avec la nature humaine, ici, européenne ?

Bernard Germain : Je pense surtout que la gauche réécrit l’histoire après coup en s’y donnant le beau rôle. Ainsi, la colonisation est présentée comme une épouvantable entreprise conduite par des gens cupides et dénués de toute morale (la droite, pour tout un chacun). Sauf que c’est la gauche qui était à l’initiative de la colonisation. La droite voulait récupérer l’Alsace et la Lorraine (perdues en 1870) avant d’aller planter le drapeau français sur d’autres continents. Et il faut entendre les justifications de l’époque pour cette colonisation (“il est normal que les peuples supérieurs aillent éduquer les peuples inférieurs pour qu’ils s’élèvent afin d’atteindre notre niveau”).

De même, s’agissant de Pétain, la gauche n’a pas de mot assez durs pour condamner ce régime. Mais qui l’a mis en place ? C’est l’Assemblée Nationale issue du Front populaire qui a voté les pleins pouvoirs à Pétain. C’est donc la gauche qui a mis en place Pétain. Et tout est comme cela. Sur d’innombrables sujets.

La vérité c’est qu’à peu près sur tous les sujets, la gauche s’est trompé. Et même la plupart des avancées sociales n’ont pas été obtenues par elle. Les gigantesques mouvements sociaux (1936, mai 1968, …) n’ont pas été déclenchés par les appareils, mais par des mouvements spontanés derrière lesquels les appareils couraient.

Et c’est justement en plongeant le nez dans l’histoire que le rôle des uns et des autres apparaît. Celui de la gauche est largement enjolivé et ne correspond pas à la vérité historique. Mais comme les gens ne lisent plus et qu’on n’apprend plus rien aux enfants dans les écoles, sauf des mensonges, peu de gens réagissent et les pires bêtises passent très facilement.

Breizh-info.com : A contrario, ne plus se reconnaitre dans la gauche extrême d’aujourd’hui, est ce forcément devoir se définir de droite ? N’est-ce pas tout simplement la fin d’un échiquier politique, tout comme la fin d’une série de régimes politiques qui ne sont tout simplement plus adaptés aux maux et aux aspirations qui traversent la société actuelle ?

Bernard Germain : Le monde n’est plus binaire en terme de gauche et de droite. Cette grille de lecture de la société ne fonctionne plus. Aujourd’hui, la ligne de clivage se situe sur le problèmes de la mondialisation. Il y a ceux qui sont pour et ceux qui sont contre. Y compris sa traduction pour notre continent : l’européisme.

On constate aujourd’hui le mariage de la carpe et du lapin face aux valeurs “identitaires” que nous défendons. Ainsi, des Européistes s’allient à des islamistes et des wokistes afin de mener le combat contre ce que nous défendons : notre identité, notre culture, notre nation, notre civilisation.

Même si on voit déjà des islamistes avoir des réactions agressives contre les LGBT dans plusieurs endroits, pour l’instant globalement ils poussent la roue dans le même sens. Les européistes parce qu’ils veulent un continent où les nations auraient disparu et les gens seraient réduits à un statut de consommateur, les islamistes car il veulent conquérir le continent pour en faire une terre d’islam et les wokistes parce qu’ils veulent détruire la société blanche et le patriarcat.

La gauche a totalement disparu du paysage politique. Aujourd’hui la gauche c’est l’extrême gauche et son identité politique c’est le wokisme.

Breizh-info.com : Quelles sont les solutions que les anciens syndicalistes que vous fûtes ont à proposer aujourd’hui, au service des travailleurs autochtones justement ? Et pour plus de justice sociale, cette justice qui a, quoi qu’en disent vos détracteurs, guidée une large partie de votre engagement jusqu’à aujourd’hui ? En quoi la question identitaire est-elle désormais indissociable de la question sociale pour les autochtones ?

Bernard Germain : Je crois que c’est Callac qui nous a donné la réponse. La défense de l’identité nationale, la préférence nationale sont des questions totalement liées à la justice sociale. J’ai écrit de nombreux articles sur ce sujet. Ainsi le fait que des familles ou des individus français, qui ont cotisé ou qui cotisent, se trouvent à la rue parce que la priorité est donnée pour l’attribution de logements sociaux à des gens qui viennent de l’autre bout de la terre, est-ce normal ? De même, est-il normal qu’une réforme des retraites soit imposée à la population qui n’en veut pas, pour un déficit de 15 milliards, alors qu’on dépense plus de 100 milliards par an pour l’immigration ? Enfin, les habitants de Callac ont clairement compris le problème quand ils ont vu qu’il y a avait des millions pour les immigrés venant à Callac, mais qu’il n’y avait pas un sou pour les habitants pauvres ou dans le besoin de leur localité.

A ce moment là, les gens font le lien entre défense de notre pays et de sa population avec défense de la justice sociale. Et quand la gauche dit ouvertement qu’elle préfère aider les immigrés que les français, les dernières illusions tombent et les gens comprennent que les vrais défenseurs des français et de la justice sociale, c’est nous. La gauche n’a que faire des couches “populaires” depuis son virage Terra Nova. C’en est la preuve éclatante.

Tant que ces questions sont vues à la télévision, les gens ne comprennent pas bien et se font facilement berner. Quand ils vivent les choses, les masques tombent et les gens voient bien qui les défend. Et ce n’est pas la gauche, mais les “identitaires” que nous sommes.

D’autant que chacun sait que les ONG sont les alliés des trafiquants d’êtres humains qui s’enrichissent de la misère humaine et de plus les gens commencent à voir que le droit d’asile est largement dénaturé par tous les avocats des ONG qui en font le principal moyen d’accès au territoire européen.

Propos recueillis par YV

Transgression, voyages du camp du "mal" vers le camp du "bien", Pierre Cassen et Bernard Germain, + 9 témoignages, préface de Jen-Yves Le Gallou, Synthèse nationale, collection "Idées", 224 pages, 22,00 € cliquez ici

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Alexandre Simonnot, délégué général du Parti de la France, prendra la parole samedi 24 juin à la manifestation pour la Liberté

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11:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Affolé par la résistance contre l'invasion des villages, le régime et ses médias veulent intimider les "meneurs"

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Un communiqué de la Coordination Partout Callac :

Nous assistons en ce moment en France à une formidable opération politico-médiatique. Son objectif est des plus simples : faire céder ceux qui se battent pour défendre leur identité, leur culture, leur pays et leur civilisation face à une invasion migratoire qui ne cesse d’amplifier.

Dans ce combat, ceux qui se prétendent du côté du « bien » ne reculent devant rien pour imposer leur point de vue. Mensonges, calomnies, pressions en tous genres, campagnes de presse honteusement mensongères, procédures judiciaires abusives, tout est bon pour faire taire les patriotes.

Ainsi, pour ne prendre que deux exemples :

  • À Saint-Brevin, le collectif qui combat contre un CADA est traîné dans la boue, accusé de tout et n’importe quoi, convoqué chez les gendarmes alors qu’ils n’ont rien fait de mal ni commis aucun délit. Leur seul crime c’est de vouloir protéger leurs enfants alors que des inconscients veulent construire un CADA juste à côté de l’école. Est-ce un crime de vouloir protéger ses enfants ? À Saint-Brevin, on est en droit de se poser la question vu le traitement réservé à ceux qui veulent protéger les gosses. D’ailleurs, la nouvelle maire de Saint-Brevin a déposé 4 plaintes en moins de 15 jours.

  • À Callac, la présidente de l’Association « Les Amis de Callac et ses environs » a été convoquée à la gendarmerie et traitée comme une délinquante, alors qu’elle ne fait que défendre la population de son village. Son crime ? Dire « il faut d’abord aider les Français qui en ont besoin. Les abandonner pour aider des gens venant de l’autre bout de la terre est une faute et même une trahison de nos compatriotes ». C’est parce que pour certains Français, leurs compatriotes ne sont pas prioritaires que de malheureux Français doivent dormir dans les rues. Parce qu’elle a osé dire cela, et défend cette opinion, la présidente de l’association « Les Amis de Callac et ses environs » a de nombreuses plaintes déposées contre elle.

Et puis il y a la campagne incroyable menée par la presse nationale et régionale pour salir et combattre tous ceux qui entendent résister. Ces journaux bien-pensants nous accusent, sans aucune preuve, des pires violences et exactions. Toutes imaginaires. Mais lorsque des violences bien réelles ont lieu comme récemment à Brest lors d’une réunion de dédicace d’Éric Zemmour, là aucun bien-pensant ne dénonce les coupables qui sont invariablement les mêmes : l’extrême gauche et les antifas.

Pour les sites qui dénoncent ces faits, tels Riposte Laïque et les animateurs comme Pierre Cassen, ils sont très souvent poursuivis devant les tribunaux afin de leur faire rendre gorge. C’est d’ailleurs le cas en ce moment pour Pierre qui est à Montpellier pour comparaître au tribunal à cause d’une plainte de la responsable locale de la Ligue des Droits de l’Homme à qui l’une de ses productions n’a pas plu.

Quant aux auteurs d’articles, telle ma petite personne, le même sort nous est non moins souvent réservé. Allez hop, au tribunal parce que l’un de vos articles n’a pas plu à un membre du camp du bien. Moi ce sera à Lorient, certainement au moment de la rentrée de septembre.

On pourrait tirer de tout cela que les choses vont très mal et qu’il y a des raisons de s’inquiéter.

Moi, j’en tire la leçon inverse. Pour de plus en plus de Français, les masques tombent. Mais au lieu de baisser les bras, ils se disent : «Ce n’est pas possible d’accepter cela», et donc cela produit l’effet inverse.

Au lieu de se coucher, de plus en plus de gens se «réveillent» et se mobilisent.

Pour moi, c’est sûr, ceux qui veulent nous faire plier sont très loin d’avoir gagné la partie.

Source cliquez ici

10:35 Publié dans Callac 22, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

HISTOIRE DE L'ALSACE-LORRAINE D'HERMANN BICKLER RÉÉDITÉ PAR LES ÉDITIONS DU LORE

1040-1792-large.jpegAmi du Breton Olier Mordrel, Hermann Bickler (1904-1984) fut une grande figure de l’autonomisme alsacien-lorrain. Au fil des années, sa pensée se hissera à un niveau plus vaste, à la notion générale de germanité. Cela le conduisit notamment à être nommé Kreisleiter de Strasbourg et il fut reçu à la SS et nommé par Himmler au cours d’une cérémonie le 6 septembre 1940.

Dans sa préface qui offre d’excellents repères biographiques à travers les influences contemporaines à Bickler, Robert Steuckers rappelle à juste titre que cette Histoire de l’Alsace-Lorraine est la résultante des expériences militantes de l’auteur dans le combat alsacien-mosellan de l’entre deux-guerres.

Cette histoire passionnante s’échelonne de l’Antiquité, en passant par le commencement de l’empire allemand et son apogée, sans oublier la guerre de Trente Ans ou encore la domination française jusqu’à la Révolution, pour finir sur la situation de l’Alsace-Lorraine durant et après la Première Guerre mondiale.

Ce texte stimulant sur l’une de nos Patries charnelles induira le lecteur à relativiser la vision officielle de l’histoire.

Histoire de l'Alsace-Lorraine, Hermann Bickler, préface de Robert Steuckers, Éditions du Lore, 156 pages, 23,00 € 

10:23 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 22 juin 2023

St-Brévin : Énorme manipulation politico-médiatique !

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Un communiqué du Collectif de la Pierre Attelée :

Hier, mercredi 21 juin 2023, nous étions 8 à être convoqués dans plusieurs gendarmeries, suite aux plaintes déposées par la maire Dorothée Pacaud.

Bien sûr tout le monde en est sorti libre. Rien d’étonnant à cela puisque nous menons notre combat à visage découvert et sans recourir à des méthodes violentes ou douteuses, méthodes que nous réprouvons.

D’ailleurs, les gendarmes nous ont bien confirmé qu’ils n’avaient rien à nous reprocher.

Alors pourquoi cet acharnement contre notre collectif ?... parce que le maire de St-Brévin à peine installé a décidé qu’elle voulait faire taire les opposants au CADA et lance des procédures multiples en mettant une énorme pression sur les gendarmes. On cherche donc à nous intimider, à nous impressionner afin d’obtenir notre soumission. Peine perdue, nous ne nous inclinerons pas.

La presse bien pensante joue également un sale rôle dans cette affaire.

Elle n’a strictement aucune preuve pour justifier ses accusations mais cela ne l’empêche nullement de nous accuser sans détour, notamment d’avoir mis le feu aux véhicules et à la façade de la maison de Yannick Morez ?

Cette presse n’informe pas le lecteur, elle l’embrigade. Elle hurle avec les loups. Cette presse n’est qu’une presse de propagande qui fait honte à la profession de journaliste.

Elle a, en plus des accusations d’incendie portées contre notre collectif, produit des articles indiquant que les deux personnes gardées à vue étaient membres de notre collectif. Nouveau mensonge. Aucune des deux personnes concernées n’appartient à notre collectif. Par ailleurs, les gendarmes n’ont rien à reprocher à ces deux personnes. Elles ont donc été relâchées rapidement.

En revanche, notre collectif s’étonne de plusieurs faits :

 Pourquoi l’enquête est-elle menée uniquement dans un seul sens, en cherchant seulement des preuves de notre culpabilité ?

 Pourquoi aucune enquête n’est menée du côté opposé ? Ainsi, le soir de l’incendie des véhicules du maire, il y avait à quelques centaines de mètres seulement de son domicile des antifas sur le pont de St-Nazaire qui ont mis le feu. Curieusement aucune recherche n’a lieu de ce côté... et il se dit même que les caméras de vidéo-surveillance n’ont pas été regardées. Nous sommes prêts à parier que les enregistrements ont été effacés depuis.

 Sur le chantier du CADA, une grue a été endommagée ainsi que des mobiles-homes. Plusieurs jeunes, 5 selon nos informations, ont été interpellés. Ils sont membres de l’Ultra-gauche. Curieusement tout le monde fait silence sur cela, y compris la presse bien pensante si prompte à nous accuser et à se dire opposée à toute violence.

 Quant au chantier, il aurait du être arrêté le temps de l’enquête. Il se trouve qu’il n’a pas été arrêté parce qu’il ne faut pas retarder les travaux du CADA. Et puis une enquête sur l’Ultra gauche ce n’est pas à cela que veulent aboutir les bien pensants.

 Enfin la voiture d’un patriote a été brûlée lors de la manifestation du 25 avril devant la mairie. Les gendarmes ont identifié le coupable qui est un antifas, mais ne l’ont pas arrêté. Cela n’intéresse pas non plus les journalistes bien pensants. Lorsque c’est l’extrême gauche et les antifas, la presse fait silence.

Tout cela se passe dans une ambiance surréaliste avec des services de l’État complètement affolés, courant dans tous les sens, et redoutant surtout de se voir reprocher un manque d’implication pour protéger le maire et trouver les «coupables».

Loin de cette agitation et de l’hystérisation de la situation, le Collectif de la Pierre Attelée va continuer son combat pour protéger les enfants. Nous ne céderons jamais, car protéger les enfants est un combat non négociable.

Nous continuerons à nous battre à visage découvert sans nous laisser impressionner par les campagnes de presse mensongères et haineuses, ni par les pressions et procédures judiciaires de la mairie.

Nous nous battrons jusqu’au bout pour le retrait du CADA !

Le 22 juin 2023.
Le Collectif de la Pierre Attelée (collectif-non-au-cada@outlook.fr)

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Le talentueux chanteur Louis-Antoine se produira au Puy-en-Velay samedi 1er juillet

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Louis-Antoine avait donné un concert lors du Rendez-vous avec nos chères provinces, le 24 avril dernier, en Mayenne. Il sera samedi 1er juillet à 17 h à la Librairie Arts enracinés au Puy-en-Velay (43).

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Pourquoi le monde va continuer à crever de chaud

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Il y a des logiques implacables. La terre se réchauffe, mais ce n’est pas de la faute de l’homme, ce qui n’est pas le cas des conséquences que cela entraîne dans le bourbier mondialiste et la financiarisation de l’économie. Le libéralisme tue non seulement les peuples, mais il tue plus encore leurs économies. La démonstration de Natacha Polony dans le dernier numéro de Marianne est sans appel. Comment sortir de ce suicide collectif où nous entraîne la course aux profits ?

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Source : Marianne 22/06/2023

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mercredi, 21 juin 2023

L'entretien avec Didier Lecerf, auteur de "François de La Rocque, des tranchées au Parti social français", publié dans le dernier numéro de Lectures françaises

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Source Lectures françaises cliquez ici

Vous venez de publier, aux éditions Synthèse nationale, dirigées par Roland Hélie, un livre consacré à François de La Rocque. Pourquoi avoir choisi de travailler sur cette grande figure de la droite nationale antimarxiste, sociale et populaire des années 1930 dont beaucoup, aujourd’hui, ont oublié l’existence et dont les autres, notamment dans nos milieux au sens large, ont souvent l’image négative d’un velléitaire pusillanime qui aurait entraîné la foule de ses partisans dans une aventure politique stérile ?

Roland Hélie et moi-même avons fait ce choix pour tout un ensemble d’excellentes raisons parmi lesquelles, pour ne pas faire trop long, je n’en retiendrai que trois.

D’abord, le colonel de La Rocque, comme son grade nous le rappelle, c’est un militaire de carrière, un officier de l’armée française aux brillants états de service, toujours très bien noté, qui, de 1908 à 1928, a servi – au sens le plus noble du terme – la patrie avec dévouement et abnégation. Ce qui lui a valu, entre autres, la légion d’honneur et la croix de guerre avec cinq palmes et deux étoiles… Successivement, il a été affecté en Algérie, au Maroc (durant les premières années de la "pacification", sous le général Lyautey, de 1913 à 1916 - avec une blessure fortement incapacitante reçue au combat en août 1916 - puis pendant la guerre du Rif, sous le maréchal Pétain, en 1925-1926), en France, notamment sur le front, entre janvier 1917 et octobre 1918, puis à l’état-major du maréchal Foch, au côté de Maxime Weygand, entre 1919 et 1928, et enfin en Pologne, au sein de la Mission militaire française, de 1921 à 1923.

Ensuite, celui que ses partisans qualifiaient affectueusement de "patron", c’est aussi un chef politique qui, dans des conditions difficiles, a bâti avec courage, détermination, persévérance, mais également sens de la mesure et des responsabilités (en particulier vis-à-vis de ses adhérents), les deux plus grands mouvements de masse de la France moderne. Il est tout de même l’homme qui a réussi à attirer autour de lui, au sein des diverses associations du mouvement Croix de feu (Croix de feu, Briscards, Volontaires nationaux, Section sociale féminine…) puis du PSF, des centaines de milliers de Français de tout âge et de toute condition (jusqu’à un à deux millions en 1939), dans un souci constant de réconciliation et de rassemblement le plus large possible, pour le redressement, la grandeur, la puissance de la France, gage de sa sécurité et donc du maintien de la paix.

Enfin, selon ses propres mots, c’est un patriote ardent qui, élevé dans le catholicisme et « profondément croyant », est viscéralement attaché aux principes fondamentaux de la civilisation française. Son expérience du front l’a convaincu que la fraternité des tranchées, « ignorante, au moment de l’offrande totale, des différences de fortune, des rangs, des grades, contenait en elle toute l’essence de l’esprit chrétien ». Dès lors, il s’emploie à transposer « la doctrine chrétienne dans le civisme », puis à la mettre en œuvre « dans le "social" » et à l’élargir « dans tous les plans (politique, économique, etc.) ». À ses yeux, en effet, « le retour de la France aux règles et préceptes de la chrétienté est une question de mort ou de vie, d’immobilisation et de déchéance ou de requalification pour prendre la tête de tous les progrès humains ». Pour lui, la France doit « s’adapter, intérieurement et extérieurement » mais « en restant elle-même quant à son tempérament, à sa mystique, sa façon d’être ». François de La Rocque est aussi, fondamentalement, un catholique social. Il rejette bien sûr la notion de lutte des classes et considère l’engagement patriotique, civique, politique indissociable d’une action d’entraide et d’assistance, suivie, efficace, professionnalisée, en faveur des plus faibles, des déshérités, des victimes de la grande dépression des années 1930. Comme l’écrira une vingtaine d’années plus tard, son ami Robert Garric, fondateur des Équipes sociales et intime de Lyautey, le colonel « avait le sentiment, qui dépasse la politique, d’une urgence nationale, une sorte de grande blessure faite au-dedans de la patrie, une nécessité de reconstruire, de rassembler les différents courants, les différentes valeurs spirituelles du pays. (…) Il y avait chez lui la passion du social étendue très loin. Être social, pour lui, c’était tout simplement être humain, être avec les autres hommes, être pour l’amélioration de leur sort, pour leur progrès, pour leur rapprochement. (…) Il avait atteint ce point supérieur dans les destinées humaines où, résigné aux coups et aux blessures, résigné à l’incompréhension, il passait outre, avec ce que comporte le mot admirable de notre langue "passer outre" : savoir que l’on ne sera pas compris, qu’on pourra être discuté, qu’on pourra se voir contesté. Il admettait tout. Il savait bien qu’un combat engageant l’homme dépasse toujours le combat d’un intérêt personnel et d’une humeur particulière. Il était donné à quelque chose qui le dépassait : son pays, son Dieu, tout ce qui, en lui, dominait la notion de service personnel, et tout ce qui transformait son action en un appel au service des autres ».

Par conséquent, François de La Rocque mérite bien mieux que la caricature dont, encore trop souvent, il est l’objet. C’est un grand Français, un homme d’exception. Les centaines de milliers de nos compatriotes qu’il a ressemblés autour de lui, l’amour ou la haine qu’il a suscités en attestent. Par la manière dont il a conduit son existence, par son action au service des autres et du pays, par les épreuves subies, les sacrifices consentis, il a gagné le droit que l’on s’intéresse à lui, à sa pensée, à son œuvre. Faire en sorte qu’il ne soit pas oublié et, mieux, que lui et ses mouvements soient davantage connus me semble une question de justice. À travers l’écriture puis la promotion de cet ouvrage, c’est la tâche à laquelle j’essaie modestement de contribuer, à ma place et avec mes moyens…

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Les Éditions de Chiré publient un livre consacré à Joseph de Maistre

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Au fil des étapes de sa vie et de ses oeuvres, bouleversé par la révolution, Joseph de Maistre fut confronté au mystère du gouvernement et inspiré par lui.

À la lecture des textes les plus significatifs, profonds et magnifiques, de chacune des grandes oeuvres du magistrat savoisien, le lecteur clairvoyant pourra constater, au-delà de toute désuétude, leur actualité supérieure.

Joseph de Maistre (1753-1821) est tout à la fois le plus brillant et le plus énigmatique penseur de la contre-révolution. Comment un jeune magistrat savoyard, initié à la franc-maçonnerie sur ses trente ans, a-t-il pu devenir l'adversaire résolu des Lumières et de la Révolution, en même temps que le plus pénétrant philosophe de l'Histoire en marche ? Celle de nos temps révolutionnaires et postrévolutionnaires. Patrick Malvezin, dans cet ouvrage issu de sa thèse de doctorat, nous invite à redécouvrir l'homme et l'oeuvre, jetant une vive lumière sur le mystère d'une vie et d'une pensée. Une indispensable introduction à l'oeuvre de Maistre.  

Patrick Malvezin est né à Paris en 1949. Après sa thèse à la Sorbonne intitulée : Joseph de Maistre, les conditions ontologiques du recours à la tradition dirigée par Pierre Boutang, il devint professeur, notamment en Afrique, puis directeur de lycée à Issoire, à Saint-Brieuc et enfin du Groupe scolaire l'Estran, une structure brestoise complexe de 3300 élèves. En 2005, Philippe Barthelet, en charge du considérable Dossier H consacré à Maistre, fait tout naturellement appel à Patrick Malvezin pour le chapitre "Politique et Métopolitique".

Joseph de Maistre ou le mystère du gouvernement, Patrick Malvezin, préface de l'abbé Alain Lorans, Editions de Chiré, juin 2023, 380 pages, 29,00 € cliquez ici

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Saint-Brevin : Dorothée Pacaud veut faire taire ses opposants, l'Etat en panique !

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Un communiqué de la Coordination Partout Callac :

La semaine dernière, Danielle Le Men, Présidente des « Amis de Callac et ses environs », était convoquée à la gendarmerie de Callac pour y répondre de son intervention devant la mairie de Saint-Brévin : lors de la dernière manifestation contre le CADA. Elle eut droit au grand jeu : photo face-profil et relevé complet d’empreintes.

Hier ce fut le tour de Pierre Cassen, animateur du site Riposte Laïque, d’être convoqué « en urgence » à la gendarmerie pour y répondre de plusieurs articles et commentaires sur le combat mené à Saint-Brévin.

Aujourd’hui, trois membres du Collectif de Saint-Brévin sont convoqués à la gendarmerie à Nantes (alors qu’il y a une gendarmerie à Saint-Brévin), sans doute pour y répondre de leurs actions contre l’installation du CADA à côté de l’école primaire et maternelle où vont leurs enfants, à moins que cela ne soit pour l'incendie de la maison du maire...

Manifestement c’est la panique au niveau de l’État, spécialement de son bras armé, la gendarmerie. La raison en est simple et porte un nom : Dorothée Pacaud, le nouveau maire de Saint-Brévin. Dès son élection elle s’est lancée dans une croisade judiciaire, avec trois plaintes déposées en moins de 10 jours et même une 4e si l’on en croit ses dernières déclarations. Son message est clair : avec Dorothée Pacaud, ça ne va pas se passer comme avec Yannick Morez. Gare aux opposants.

L’État pour sa part a bien reçu le message et ne veut surtout pas qu’on puisse lui reprocher son manque de réaction pour défendre le nouveau maire. Donc c’est panique à tous les étages et actions en tous sens dans l’affolement.

On comprend bien que Dorothée Pacaud souhaite en finir avec l’opposition au CADA, notamment en intimidant les opposants. Mais cela ne réglera nullement le problème de ce CADA.

Dorothée Pacaud s’est gentiment dédouanée de toute responsabilité en déclarant « la mairie n’a fait que vendre le terrain. Le CADA, c’est l’affaire et la responsabilité de l’État ». Certes, mais la mairie aurait également pu dire : « le risque est trop grand de mettre ce CADA à côté de l’école, donc nous ne vendons pas ce terrain ». Ce que la mairie n’a pas fait.

Pour la Coordination Partout Callac, en vendant ce terrain la mairie a engagé sa responsabilité et ne saurait s’exonérer de cette responsabilité en disant « le responsable ce n’est pas moi, c’est l’État ».

La Coordination Partout Callac, observe qu’aucun des acteurs de ce dossier ne répond aux questions de fond : Au nom du principe de précaution, surtout après Annecy, ne faut-il pas renoncer à mettre le CADA à côté de l’école ? Quelqu’un peut-il garantir qu’aucun accident ne va arriver à un ou plusieurs enfants si le CADA est installé à côté de l’école ? S’il arrive un accident a un ou plusieurs enfants du fait d’une ou plusieurs personnes du CADA, ceux qui auront pris la décision de placer le CADA à cet endroit plaideront-ils coupable devant le tribunal qui jugera les faits ?

La Coordination Partout Callac, condamne totalement les intimidations d’où qu’elles viennent contre les opposants au projet de CADA. Les opposants mènent leur action contre le CADA pour protéger leurs enfants. Qui ne défendrait pas ses enfants ? Attaquer, salir et traiter les opposants au projet de CADA comme des délinquants est ignoble et inacceptable.

La Coordination Partout Callac réaffirme son soutien le plus total à tous ceux qui mènent ce combat et sont de ce fait inquiétés que ce soit par la mairie de Saint-Brévin ou les services de l’État.

Coordination Partout Callac cliquez là

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21 juin 1973 : Ordre nouveau introduisait le problème de l'immigration dans le débat politique français

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Au début des années 1970, la droite nationale française n'était pas, c'est le moins que l'on puisse dire, au top de sa splendeur. Cependant, avec courage et panache, un jeune mouvement maintenait en vie l'idéal nationaliste. Ce mouvement, c'était Ordre nouveau... Durant son existence éphémère (1969-1973), Ordre nouveau suscita tout ce qui, dans les décennies qui suivirent, devait amener la droite nationale aux portes du pouvoir, à savoir le Front national et le combat contre l'immigration incontrôlée. 

C'est justement la dénonciation de cette immigration, si juteuse à la fois pour le grand patronat et pour les organisations marxistes, qui attira sur Ordre nouveau les foudres du Système. En effet, le 21 juin 1973, au Palais de la Mutualité à Paris, ON organisait la première grande réunion publique sur le thème "Halte à l'immigration sauvage !". La soirée fut épique... Une semaine plus tard, le 28 juin, le gouvernement prononçait sa dissolution. C'était il y a 50 ans... Et, depuis, la situation n'a pas cessé d'empirer.

Afin de marquer le 50e anniversaire de cette ultime campagne d'Ordre nouveau, il nous a semblé intéressant de mettre en ligne l'article que notre camarade et ami Philippe Pierson, hélas décédé en 2015, consacra à ce mouvement dans la revue Synthèse nationale (n°16, novembre-décembre 2009).

Roland Hélie 

LE TEMPS D’ORDRE NOUVEAU…

L’existence d’Ordre Nouveau a  été relativement brève. De sa naissance, en novembre 1969, à la dissolution de juin 1973, il ne s’est guère écoulé plus de trois années. Ordre Nouveau succédait à d’autres mouvements nationalistes au parcours plus ou moins météorique et même s’il s’est dans une large mesure prolongé dans le Parti des forces nouvelles (PFN), le « temps d’ON » fut bref et singulier. Cette singularité même fut porteuse d’avenir.

Contrairement à ce qu’on dit parfois, l’aventure n’a pas été sans lendemain. Celui qui croit à son combat ne milite jamais en vain.  Le « groupuscule avorton et paradeur »- ainsi que ses grands amis de la Ligue communiste le désignaient dans leur style inimitable – n’est pas resté sans héritage.

J’ai parlé d’une aventure. C’en fut une, en effet, et qui vit encore en nous. Nous avions eu vingt ans quelque part autour de mai 1968 et poussés par je ne sais quelle aberration, nous nous étions engagés dans le combat nationaliste à une époque où régnait une atmosphère de gauchisme assez comparable dans son unanimisme à la mode écolo d’aujourd’hui. A cette différence près que toutes les chapelles du gauchisme prônaient la révolution violente, en paroles, mais aussi en actions. Pour un lycéen, un étudiant, un jeune travailleur, s’affirmer militant de l’ULN (Union des lycéens nationalistes – branche lycéenne d’Ordre nouveau), du GUD (Groupe Union et Défense – branche étudiante) ou d’ON était assez concrètement dangereux.

D’où une première singularité : il était préférable de ne pas avoir de répugnance de principe pour l’affrontement physique, ou alors de savoir la garder pour soi.

Autre singularité : nous nous voulions en rupture. Avec la démocratie bourgeoise, version gaulliste ou libérale, avec le conformisme marxiste et marxisant, bien sûr, mais aussi avec nos aînés « nationaux ». Soyons clair : c’était très souvent - pas toujours –  injuste mais pour nous, tout ce qui dans la famille « nationale » avait plus de 30 ans (plus de 75% des adhérents n’avaient pas cet âge) était au mieux un honorable vaincu, au pire un vieux con (1). Nous ne voulions rien connaître des défaites du passé, sinon les enseignements à en tirer.

Nous avions notre propre style, nos propres emblèmes et signes de reconnaissance – comme le rat noir et ce graphisme particulier que l’on rencontre encore aujourd’hui dans les coins d’Europe les plus inattendus (2).

L’organisation était assez brouillonne et aléatoire. Il suffisait souvent d’adhérer pour se retrouver à son corps défendant responsable de plusieurs arrondissements parisiens ou d’un département entier.

Les cheveux étaient plutôt longs, nous pratiquions l’autodérision plus souvent qu’à notre tour et nul n’était plus moqué que le « mytho », celui qui se complaisait dans la nostalgie des combats d’hier. Nous préférions les Stones et les Who à la musique militaire, nous riions beaucoup, nous chantions, nous recevions des coups que nous rendions généreusement, nous buvions pas mal aussi…. Nous étions fêtards et bagarreurs et les petites militantes désireuses de protéger leur vertu avaient parfois fort à faire…Et « le mouvement » était toute notre vie.

Finalement, nous ne vivions pas si mal notre époque. Pour nous aussi, d’une certaine façon, mai 68 était passé par là. Nous savions que rien ne serait plus vraiment pareil, que cela nous plaise ou non, et incarner le nationalisme d’après 68 était très exactement ce que nous voulions.

Alors bien sûr, ce qui reste d’abord aux « anciens » ce sont des souvenirs épiques, tumultueux et des amitiés indéfectibles. Une vraie solidarité aussi… Comment pourrait-il en être autrement ?

Mais est-ce bien tout ? Sûrement pas, sinon l’héritage d’ON serait au final assez conforme à l’image qu’en donnaient nos adversaires : barres de fer et casques noirs, meetings homériques, bagarres sur les marchés et guère de  réflexion, ni de véritables visées politiques.

Dirigeants et militants avaient bel et bien une ligne et un objectif principal et le « style ON », dans ses excès même, n’en était qu’une traduction. Mais ce n’est pas dans les documents d’actualité de l’époque qu’on pourra s’informer là-dessus, tant l’occasion ne fut quasiment jamais donnée à ON d’exposer ses thèses dans les médias.

Nous n’y comptions guère d’ailleurs, tablant sur l’agressivité et le goût du spectaculaire pour obtenir une visibilité qui ne nous aurait jamais été accordée spontanément. Dans certaines circonstances et à condition de ne pas confondre le moyen et le but, un tel choix peut se justifier : il ne sert à rien de chercher à plaire à  des adversaires qui ont tous les moyens de vous ignorer sur le fond et tout intérêt à vous diffamer. De surcroît, compte tenu de l’ambiance de l’époque où le gauchisme faisait régner une atmosphère de terrorisme intellectuel mais aussi physique, le « style ON » n’était pas vraiment un obstacle au recrutement à condition de savoir éliminer détraqués et provocateurs (3).

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16:57 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pèlerinage en Espagne sur les traces de la Reconquista du 22 au 24 juillet

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Le Chapitre François Athanase Charette, créé par des jeunes d'Academia Christiana participera au pèlerinage Notre Dame de Chrétienté en Espagne sur les traces de la Reconquista. Ce pélerinage se déroulera du 22 au 24 juillet. 

 Pour y participer avec ce chapitre français et des membres d'Academia Christiana, envoyez un mail à :

chapitrecharette@gmail.com

13:10 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De retour de Syrie, Claude Janvier donnera une conférence à Paris le samedi 8 juillet

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11:53 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mondialistes, islamistes et wokistes unis pour détruire le blanc hétéro patriote

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Bernard Germain

Les évènements de ces derniers jours confirment qu’un tournant s’est opéré, et qu’une à chasse à l’homme « blanc, hétérosexuel et patriote » est aujourd’hui lancée. Cela peut sembler étonnant, mais une alliance objective et indiscutable s’est réalisée sous nos yeux, qui allie des gens absolument différents : les mondialistes, dans leur version « européiste », les islamistes et l’extrême gauche dont l’identité politique est le wokisme.

On me demandera peut-être : comment des gens aussi différents peuvent-ils être alliés ? La réponse se trouve dans une formule : « les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». C’est ainsi que nous assistons au mariage de la carpe et du lapin.

Les européistes détestent ceux qui aiment leur pays, leur culture, leur identité et leur civilisation. Les européistes rêvent de la destruction des nations européennes et la réduction du continent à une simple zone géographique et sa population « européenne » a de simples consommateurs, dont peu importe qu’ils s’appellent Mustapha, Pierre, Sigmund, José ou Francesco. Donc ils combattent les patriotes et ceux qui entendent défendre leur nation et leur civilisation.

Les wokistes, c’est à dire ce qu’avant on appelait la « gauche » et qui est devenue l’extrême gauche mangée par LFI et sa machine de guerre NUPES qui a purement et simplement rayé de la carte la « gauche traditionnelle des années 1970-1980 ». Ces wokistes n’ont qu’un objectif : détruire la société blanche et patriarcale. Depuis le virage Terra Nova de 2011, terminé les « couches populaires », leur nouvelle base électorale et leurs alliés, ce sont les immigrés et les minorités notamment sexuelles.

Les islamistes, pour leur part ne cachent nullement leur objectif : l’Europe doit être conquise et devenir une terre d’islam.

Et ces gens si différents s’entendent, en apparence seulement, même si c’est incompréhensible. Eh oui, ces gens si différents ont un ennemi commun : l’homme blanc, hétérosexuel et sa société patriarcale, par ailleurs sa société est de tradition chrétienne et de culture grecque et latine. Pour tous, certes avec des raisons différentes, mais pour tous c’est cela qu’il faut abattre. Alors, par les temps qui courent, ils s’unissent pour détruire l’ennemi commun. Et ces derniers temps, les choses s’accélèrent sérieusement et nous rendent la vie plus compliquée.

Prenons par exemple ce qui s’est passé ce week-end à Brest. Eric Zemmour a fait une séance de dédicace dans un Hôtel de Brest. Rien que de très normal dans une démocratie. Sauf que nous sommes en France et, désolé d’en faire le constat, mais ce pays n’est plus une démocratie. En effet, le préfet - alors qu’il sait que des groupes politiques ultra-violents appellent à se mobiliser contre cette venue de Zemmour à Brest - ne fait rien pour protéger l’hôtel concerné.

Lorsque des centaines d’individus attaquent l’hôtel, des policiers finissent par arriver. Mais trop tard pour empêcher plusieurs vitrines d’être cassées et un jeune homme d’être blessé et envoyé à l’hôpital. De même, pas d’arrestation. Pas de garde à vue pour ces individus ultra-violents. Aucune poursuite engagée.

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00:33 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 20 juin 2023

Alexandre Hinger prendra la parole samedi 24 juin à la manifestation pour la Liberté

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Poor lonesome wokistes

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La chronique de Philippe Randa

Allons bon ! N’en déplaise aux adorateurs habituels de l’islamo-gauchisme, tout ne va pas pour le mieux dans le meilleur des paradis fantasmé LGBTQXYZ (et plus si affinités).

Ainsi, outre-atlantique et plus précisément dans le Michigan, le drapeau bariolé des « M’sieurs-dames tout en un » vient d’être interdit par un maire et la totalité de son conseil municipal… musulman !

Le toujours bien informé site helvétique Lesobservateurs.ch livre en effet à ses lecteurs une traduction intégrale d’un article paru sur le site américain Breitbart News : « Le 13 juin, le conseil municipal entièrement musulman de la ville de Hamtramck a voté à l’unanimité pour approuver une résolution interdisant le déploiement du drapeau LGBTQ+ Pride sur les propriétés publiques de la ville. La résolution, proposée par le maire musulman Pro-Tem Muhammad Hassan, interdit également les drapeaux des groupes religieux, ethniques, raciaux, politiques ou d’orientation sexuelle. »

Et ce, au nom de la liberté religieuse et après des manifestations l’année précédente à Dearborn, autre ville du Michigan où des parents musulmans avaient exigé que la « saleté » et la « pornographie » soient retirées des écoles publiques, entre autres les livres LGBTQetc.etc. ; ils faisaient également remarquer que les couleurs bariolées étaient quelque peu inappropriées aux cotés des drapeaux des prisonniers de guerre (seuls autorisés avec le drapeau américain, ceux des États, des villes des États-Unis ou encore ceux d’autres pays) : « Des soldats américains se sont sacrifiés pour le drapeau américain, pas pour le drapeau de la fierté homosexuelle », ainsi que l’avaient fait remarquer assez justement des orateurs de la ville de Dearborn.

Et le site Breitbart News de rappeler encore qu’« en 2008, les chrétiens conservateurs ont fait un effort pour faire échouer une proposition de loi qui voulait “protéger les droits des homosexuels” et ont travaillé avec la communauté musulmane en organisant des rassemblements contre la proposition LGBTQ. »

Depuis plus d’un demi-siècle maintenant, on constate que ce qui se produit outre-atlantique arrive invariablement en France quelques années plus tard… Mauvais présage donc pour tous ceux qui font les yeux doux à nos islamistes hexagonaux dont ils favorisent la venue et mendient les bulletins de vote avec autant de cynisme que d’inconscience.

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Pour imposer l’immigration dans nos campagnes, ils harcèlent judiciairement les opposants

80380a433914e3f11f47004702cdb916_400x400.pngUn communiqué de Riposte laïque et de Résistance républicaine :

C’est sans surprise que nous voyons se mettre en œuvre un véritable harcèlement judiciaire contre ceux qui ont osé s’opposer à ce que Macron a appelé, devant ses préfets, le 17 septembre dernier, “la transition démographique” de nos campagnes, soit le Grand Remplacement des familles françaises traditionnelles par des migrants, souvent musulmans et africains.

À Callac, 14 plaintes ont été déposées par la municipalité et ses alliés, dont de nombreuses par l’adjointe pro-migrants Laure-Line Inderbitzin, qui vient d’être débarquée. Suite à cela, Bernard Germain, Pierre Cassen, Catherine Blein, Danielle Le Men et des militants des Amis de Callac et des environs ont été interrogés par la gendarmerie, quand les auteurs gauchistes de violences contre les forces de l’ordre n’ont fait l’objet d’aucune poursuite.

À Beyssenac, Philippe Ponge, un des animateurs du combat local contre l’implantation d’un Cada, a subi trois plaintes, heureusement classées sans suite, par le maire, qui, pourtant, affirmait publiquement s’opposer au projet.

Bernard Germain, porte-parole de la Coordination Partout Callac, est poursuivi par une journaliste de France 3 Bretagne, Carole Collinet-Appéré, soutenue par sa direction, pour avoir décortiqué un article à charge contre sa personne, et montré combien il était partisan et mensonger.

Bernard Germain et Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine, sont poursuivis par le journal Le Poher et son directeur, Erwan Chartier, qui leur reprochent d’avoir répondu, arguments à l’appui, à un article ordurier de l’hebdomadaire contre les animateurs du combat de Callac. Le journaliste réclame 25 000 euros de dommages et intérêts.

Danielle Le Men, présidente des Amis de Callac et des environs, subit à son tour une plainte de la part de Sylvie Lagrue, immigrationniste notoire de Callac, qui lui reproche des propos qu’elle aurait tenus lors d’un rassemblement à Saint-Brevin. Elle a subi, lors d’un interrogatoire, des prises d’empreintes digitales humiliantes, comme si elle était une délinquante.

Différentes sections de la LDH multiplient les plaintes contre les auteurs de tracts, à Belâbre, Saint-Brevin, Beyssenac  et Corlay, pour leur imposer le silence.

Le Collectif de la Préservation de la Pierre Attelée de Saint-Brevin est à son tour poursuivi par le nouveau maire, Dorothée Pacaud, pour avoir simplement écrit : “quelle femme normalement constituée peut installer un centre pour migrants à côté d’une école ?” Selon l’édile, qui annonce, malgré le drame d’Annecy, la poursuite du projet, cela serait insultant et injurieux à son encontre.

Le constat est partout le même. Minoritaires sur le terrain, les immigrationnistes, qu’ils soient élus, journalistes ou associatifs, essaient de faire taire les opposants en multipliant les démarches judiciaires à leur encontre. Ils savent que la plupart du temps, ceux-ci n’ont pas les moyens d’y faire face financièrement, tandis que les plaignants n’ont aucun problème, puisque disposant des structures de l’État, de leur journal et des subventions associatives pour y faire face.

Seuls ceux qui se battront pourront gagner, et après Callac, une deuxième victoire a été enregistrée, à Réalmont, dans le Tarn, où le préfet a dû reculer devant la mobilisation de la population, soutenue par son maire.

Nous appelons tous ceux qui refusent l’invasion de leurs villages par des nouveaux venus qui n’ont rien à faire en France à ne pas se laisser intimider, et à continuer le combat pour que nos villes restent nos villes, nos régions restent nos régions, et la France reste la France.

Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine

Pierre Cassen, porte-parole de Riposte Laïque

Source cliquez ici

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Seuls face à l’Absurdistan

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Vincent Trémolet de Villers

Qelques chiffres pour planter le décor. Entre 2013 et 2023, le nombre de démissions d’élus municipaux a doublé par rapport à la décennie précédente. Depuis 2020, on en compte plus de 4000. Incivilités, insultes, agressions tiennent leur part. Indemnités dérisoires, tâches infinies et harassantes, aussi. Mais le mal est plus profond. Ce qui désespère les maires, c’est qu’ils ne parviennent plus à exercer leur mandat.

Comment ne pas être enseveli par la cataracte de paperasse qui surgit à la moindre initiative ? Tel un personnage de Sempé, minuscule face au monstre bureaucratique, le maire doit redoubler d’ingéniosité et de ténacité pour simplement faire ce pourquoi il a été élu. Perpétuellement pris entre le marteau des impulsions étatiques et l’enclume des restrictions réglementaires, il vit en permanence le cauchemar des injonctions contradictoires. Le président appelle à la réindustrialisation, mais la loi climat et résilience interdit d’artificialiser les sols. La première ministre demande que l’on «construise des logements», mais la multiplication des règles auxquelles plus personne ne comprend rien, l’extension toujours plus grande du code de l’environnement rendent l’opération dantesque. « Il faut être ferme sur l’immigration», affirme le ministre de l’Intérieur, mais le préfet, parfois sans prévenir le maire, lui impose d’accueillir des demandeurs d’asile ou des déboutés que l’on peine à reconduire chez eux.

L’élu municipal qui incarnait la politique concrète se heurte à l’impuissance publique. Il est désemparé face à l’Absurdistan. « Mais laissez-nous faire ! », supplie David Lisnard, le président de l’Association des maires de France, reprenant l’un des slogans fondateurs du libéralisme. Ivresse normative, passion technocratique effacent progressivement le mot «liberté» du fronton des mairies. Pourtant, « les institutions communales sont à la liberté ce que les écoles primaires sont à la science, disait Tocqueville, elles la mettent à la portée du peuple». Ces maires qui, découragés, démissionnent, c’est la première ligne de la République française qui se disloque.

Source : Le Figaro 20/06/2023

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Faux chrétien ou vrai islamiste ? (Suite).

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Michel Festivi  

Je vous ai tout récemment fait part des énormes doutes cliquez ici, que des chrétiens d’Orient, relayés par des sites anglo-saxons ou arabes, font valoir à propos du « statut » de chrétien du poignardeur d’Annecy. Ces mêmes personnes pensent qu’en réalité, il s’agirait d’un islamiste qui s’est fait passer pour chrétien, pour obtenir plus facilement un statut de réfugié.

D’autres informations nous parviennent qui vont encore en ce sens.  Des syriens qui vivent à Al-Hasakah, dans le nord de la Syrie auraient reconnu l’agresseur d’enfants comme se nommant Selwan Majd, et il serait islamiste.

Originaire de cette localité, il aurait quitté la Syrie en 2012 durant la campagne militaire de l’armée syrienne dans cette région contre les Kurdes, et des groupes d’opposition au régime dont des djihadistes salafistes. Après avoir vainement tenté d’obtenir l’asile politique, il aurait compris que les organismes des Nations Unies, recommandaient l’accueil des minorités persécutées dont les chrétiens qui effectivement ont souffert le martyr en Syrie comme en Irak. D’ailleurs la meilleure preuve des persécutions massives subies par les chrétiens dans ces contrées, outre les assassinats et l’exode massif qu’ils ont vécus, est incontestablement le fait que les ONG recommandent aux futurs réfugiés musulmans de tenter de se dire chrétiens.

Il s’est donc manifesté comme chrétien en Turquie, avec sans doute de faux papiers ou en prétendant ce qui est fort courant, que ses papiers avaient été détruits. Sur place, il a alors rencontré sa future épouse qui était de passage dans cette région pour visiter sa famille, car elle vit en Suède. Il a réussi à la rejoindre, dans ce pays, où il a fini par obtenir fin 2013 un permis de séjour, mais pas la nationalité suédoise.

Un Syrien rappelle, comme je le soulignais, que les chrétiens n’utilisent pas en Syrie le prénom de Abd al-Massih « serviteur du Messie », ou « esclave du christ », selon les traductions, pour leurs enfants. Ce sont plutôt les chrétiens coptes qui donnent ce prénom à leurs progénitures.

En tout état de cause, il semble vraisemblable, que l’épouse de ce tortionnaire, s’apercevant de la supercherie de son mari a demandé et obtenu le divorce. Selwan Madj, si tel est son nom, s’est alors enfui en Suisse à l’automne 2022 et a tenté aussi d’y obtenir l’asile. Obtenant refus sur refus, en France et aussi en Italie, car il avait acquis ce statut en Suède. Il s’est retrouvé pour le malheur des victimes et leurs familles à Annecy.

Le Daily Mail aurait en tout cas affirmé, que l’ex-épouse avait averti les autorités françaises et suisses de la fausseté de l’identité de son ex-mari, avec lequel d’ailleurs elle a eu une fille âgée de trois ans. L’Office français de l’immigration aurait prétendu que le courriel de l’épouse ne lui serait pas parvenu, car dirigé vers une boite mail qui n’existait plus ? Mgr Pascal Gollnisch, directeur de l’Œuvre d’Orient aurait affirmé qu’il était inconnu dans la communauté chrétienne syrienne d’Annecy. Il semble être également méconnu dans la même communauté en Suède où il a vécu assez longtemps.

J’avais souligné précédemment qu’aucun certificat de baptême le concernant, n’aurait été découvert, ni en Syrie, ni en Suède. Les chrétiens d’orient qui se sont exprimés sont formels, pour eux ce n’est pas un chrétien. D’autant qu’ils soulignent que de très nombreux terroristes islamistes, après la défaite de Daesch, se sont répandus en occident en se faisant passer pour chrétien, avec de fausses identités, et ce à l’instigation des islamistes mêmes qui les y encourageaient selon la célèbre technique de la taqiya coranique. Ce qui pose la question impérieuse de notre sécurité en France.

Alors où se situe la vérité ? Espérons que les autorités judiciaires françaises, par commissions rogatoires notamment, pourront investiguer sérieusement sur l’identité réelle de celui qui n’a pas hésité à poignarder de très jeunes enfants et des adultes, et démêler le vrai du faux. Depuis son arrestation, le tortionnaire préfère s’enfermer dans un mutisme total, sans doute pour éviter d’être confondu. En tout cas la vérité objective mérite d’être établie et les services de renseignements sont parfaitement à même de le faire, si tant est que le gouvernement les laisse travailler en ce sens et qu’ensuite les informations valables nous soient données en toute transparence, le peuple français y a droit.  

Car bien sûr pour l’extrême gauche, tout cela n’est que fakes news, comme nous le démontre un article de Libération du 16 juin. Le seul argument du journaliste pour prétendre qu’il s’agirait d’un chrétien et non d’un musulman, provient du fait que ce sont des sites « d’extrême drrrroite » ou islamophobes qui relaient les doutes dont je viens de faire état.

Car pour les gauchistes, tout ce qui ne va pas dans leur sens est forcément fasciste ou islamophobe, les pires des insultes.

Attendons donc de plus amples informations, mais il me paraissait utile de faire connaître aux lecteurs, l’état des recherches actuelles.

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lundi, 19 juin 2023

Samedi 24 juin, en Sologne : fête de la Violette organisée par Reconquête !

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Inscriptions cliquez ici

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Politicaillerie

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Le billet de Patrick Parment

Voici une bonne quinzaine de jours qu’on nous casse les pieds avec un soi-disant possible, éventuel… remaniement ministériel et le départ d’Elisabeth Borne. Bien évidemment, tout ce cirque médiatique nous fait franchement rigoler, car on ne voit vraiment pas en quoi le remplacement de la mère Borne changerait quelque chose au bordel ambiant. La France est placée aujourd’hui - elle n’est pas la seule – devant un no man’s land politique rarement atteint, une absence totale de perspective, même à moyen terme. Nous sommes face à un vide politique sidéral. Je regarde à gauche et cherche en vain un programme quelconque de défense du travailleur ? Rien. Je ne trouve rien si ce n’est les chamailleries de boutiquiers entre un mâle qui se veut dominant, Mélenchon, et ses concurrents les Roussel, Faure, Cazeneuve, Ruffin, j’en passe et des meilleurs, quand ce n’est pas de la pure concurrence interne, avec la pétroleuse Clémentine Autain. Donc, de ce côté-ci de la barrière, pas de souci réel à se faire pour un pouvoir qui n’en peut mais.

A droite – quelle droite ? – on a trois tendances tout aussi mollassonnes les unes que les autres. Passons rapidement sur toutes les nuances de gris que représente le Centre pour se diriger vers les Républicains qui se disent de droite. Paraît qu’il y a en son sein, les tenants d’un gaullisme social qui se voudrait de gauche et ceux qui se réclament d’un gaullisme de droite, version plus Pasqua que le désormais collabo Nicolas Sarkozy. Cette tendance véhiculée par Eric Ciotti et Olivier Marlex, et qui joue au poker, a balancé dans le Landerneau son projet de loi sur l’immigration un tantinet plus musclé que ce que l’on entend d’habitude. Sauf qu’une fois de plus, les factieux de gauche vont annuler ceux de droite.  C’est sur ces divisions que compte le gouvernement pour sauver les meubles et continuer de gouverner à vue.

A droite de la droite, on trouve évidemment le Rassemblement national qui est au Front national  ce que le MacDo est à la grande gastronomie. Un ersatz ! Mais qui jouit d’un petit monopole avec son rejet de l’immigration. Jusqu’à quel point ? Nonobstant, le RN a le vent en poupe parce qu’il fait figure d’unique parti réellement d’opposition. Que les Français en ont ras-le-bol de leur classe politique dans son entier qui ne cesse de les baratiner sur tout, les finances, le covid, l’immigration et qui ne font que constater que l’école, la justice et la police se barrent en sucette. Que la rue, à n’importe quelle heure de la journée, est un coupe gorge. Que la notion même de république et de laïcité est foulée au pied. Que la France n’est plus une et indivisible mais fractionnée en communautés. Et comme si cela ne suffisait pas, Bruxelles et sa soi-disant Union européenne en remet une louche dans la perte de notre souveraineté. Alors, côté moral, les Français l’ont plutôt dans les godasses. Et comme le rassemblement national est l’unique option jamais tentée… Voyez ce que je veux dire.

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Manif du samedi 24 juin pour la Liberté : un entretien avec Thomas Joly sur Riposte laïque

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Notre ami Thomas Joly, président du Parti de la France, organise une manifestation samedi prochain, sous les fenêtre de Darmanin, dont il exige la démission…
 
Riposte Laïque : Vous avez été reconduit à la tête du Parti de la France, lors du dernier congrès de votre parti. Quelles seront les principales actions menées par votre parti, dans l’année qui vient ?
 
Thomas Joly : Le Parti de la France a l’intention de poursuivre son action politique tant sur le terrain que sur internet mais aussi lors des différentes élections si nous en avons la possibilité. Nous ne sommes pas un parti éphémère, nous existons depuis 2009. Même si nous sommes boycottés par les médias depuis notre création, un certain nombre de Français lucides et politisés connaissent notre existence et notre ligne de droite nationale non-reniée. Nous agirons en fonction des événements et n’hésiterons pas à pratiquer le compromis politique dans l’intérêt de la France et des Français ; comme nous avons pu le faire lors de l’élection présidentielle de 2022 en soutenant activement la candidature d’Éric Zemmour au 1er tour et en appelant à faire battre Emmanuel Macron au 2e tour. La situation est trop grave pour jouer aux perfectionnistes qui recherchent le point de détail qui les séparent de tel ou tel candidat ou formation pour justifier leur marginalité.
 
Riposte Laïque : Comment expliquez-vous les réticences à votre égard de la part d’importantes composantes du camp patriotique ? Avez-vous l’intention de lisser votre image, voire de vous dédiaboliser ?
 
Thomas Joly : Les pudeurs de chaisières, ce n’est pas notre tasse de thé. Nous nous présentons comme le Front National canal historique mais également comme la droite radicale et décomplexée. Nous nous foutons complètement de déplaire aux journalistes de gauche qui, quoi que l’on fasse ou dise, nous traiterons toujours de nazis. La dédiabolisation est une ineptie politique. D’une part, nos idées ne sont pas diaboliques, d’autre part, ce n’est pas à l’ennemi de dicter les règles de bienséance du débat public. Quant aux réticences d’un parti comme Reconquête à notre égard – ne parlons même pas du RN – elle est tout à fait déplorable mais émane surtout de cadres mous du genou qui viennent du RN, de DLF ou encore de LR et qui s’imaginent qu’ils sont aux portes du pouvoir. Je leur rappellerai que lorsqu’on n’a que « l’union des droites » à la bouche, on ne commence pas à faire la fine bouche avec ses partenaires naturels ; en particulier quand on fait 3 % aux législatives, soit un score à peu près similaire à celui que faisait le Parti de la France il y a quelques années avec des moyens et une médiatisation bien moindre.
 
Riposte Laïque : Qu’avez-vous pensé des récentes injonctions de Darmanin à ses préfets, les sommant d’interdire toute initiative d’extrême droite ou d’ultra-droite ?
 
Thomas Joly : De la répression politique, nous sommes entrés dans une phase d’oppression politique. Suite à la manifestation très réussie du C9M en hommage à Sébastien Deyzieu, Gérald « Moussa » Darmanin a littéralement baissé son froc devant les parlementaires d’extrême-gauche en intimant, au mépris des libertés publiques, à ses serviles larbins appelés préfets l’ordre d’interdire de manière arbitraire toutes les manifestations et réunions considérées comme d’« extrême-droite ». Ce qu’ils se sont empressés de faire, au mépris du droit et de la liberté de manifester garantie par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen que les mêmes chérissent tant habituellement.
 
Riposte Laïque : Est-ce pour cela que vous organisez, le samedi 24 juin, un rassemblement devant la place Beauvau, demandant, entre autres, la démission de Darmanin ?
 
Thomas Joly : Tout à fait. Il n’est pas question de se laisser faire par ce nabot arrogant et ses sbires dans les préfectures. C’est pourquoi le Parti de la France invite, sans exclusive, tous ceux qui sont attachés à la liberté d’expression et de manifester librement sur le territoire français à venir samedi 14 juin à 14h, sous les fenêtres de Darmanin, Place Beauvau à Paris, réclamer sa démission et l’arrêt de l’oppression politique mise en place par notre gouvernement à l’encontre des Français qui ne souhaitent pas voir leur pays transformé en coupe-gorge afro-islamique.
 
Riposte Laïque : Et vous pensez avoir une chance de passer au travers les gouttes ?
 
Thomas Joly : Le Parti de la France est un parti politique qui respecte les règles de la République et se présente régulièrement aux élections. Pour quelle raison n’aurions-nous pas le droit de manifester notre mécontentement à Paris, place Beauvau, ce 24 juin ? Aucune manifestation ou réunion du Parti de la France depuis près de 15 ans n’a entraîné de troubles à l’ordre public, de violences ou de dégradations. Nous ne sommes pas des voyous d’extrême-gauche qui eux, curieusement, bénéficient d’une quasi-impunité politico-judiciaire. Enfin, qui ne tente rien n’a rien. Geindre sur les réseaux sociaux ne fera pas avancer la cause nationale.
 
Riposte Laïque : Comment nos lecteurs pourront-ils savoir si ce rassemblement aura vraiment lieu, et qui y interviendra ?
 
Thomas Joly : Nous communiquerons bien sûr dans l’éventualité d’une interdiction. Pour ce qui est des intervenants, nous les annonçons chaque jour. Pour l’instant, Roland Hélie (Synthèse nationale) et moi-même sommes annoncés mais d’autres bien sûr seront dévoilés dans les jours qui viennent.
 
Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Thomas ?
 
Thomas Joly : Ne restez pas spectateurs de l’invasion, de la décadence et de l’oppression. Montrez-vous dignes de vos aïeuls qui ont su prendre leurs responsabilités au cours de l’Histoire lorsqu’il a fallu sauver la France ! Courage, on les aura !
 
Propos recueillis par Pierre Cassen cliquez ici

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Les flux d’immigration selon l’Insee comparés à ceux du ministère de l’Intérieur.

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André Posokhow

L’INSEE (Institut National de la Statistique et des Etudes économiques) a fait paraitre le 30 mars 2023 une étude sur les « immigrés et les descendants d’immigrés ». Il a consacré un des six chapitres thématiques de sa parution aux « flux d’immigration et trajectoires migratoires ». ( N°2 ). La première fiche (n°2-1), particulièrement importante, est dédiée aux « flux migratoires en France et dans les pays européens » (p. 96).

D’entrée, l’institut annonce que 385 000 personnes sont entrées en France en 2019. Notons que le titre se réfère aux flux migratoires et le texte, tout simplement, aux entrées en France ce qui pourrait introduire une confusion. C’est pourquoi il distingue les personnes nées en France qui reviennent de l’étranger  : 90 000, et les 23 000 qui sont nées françaises à l’étranger.

Par conséquent, seules 272 000 personnes peuvent être considérées comme immigrées. Parmi elles 112 000 viennent d’Afrique, 41 000 d’Asie et 30 000 d’Amérique ou d’Océanie. Un chiffre important est celui des arrivées d’Europe : 90 000 qui, visiblement regroupe les étrangers en provenance de l’UE et les non UE. Or ce ne sont pas les mêmes statuts car les UE ont des droits et les procédures ne sont pas les mêmes ; d’autant plus que depuis le Brexit, se pose la question délicate des Britanniques.

Le niveau de ces chiffres de flux migratoires apparaît étonnant car inférieur aux réalités si l’on tient compte de toutes les différentes rivières humaines qui forment le tsunami migratoire actuel.

Contrairement à l’Insee qui se réfère principalement aux données du recensement du nombre des immigrés en France qu’il effectue, le ministère de l’Intérieur produit les statistiques annuelles des titres de séjour qu’il délivre. Il communique également les chiffres des demandes d’asile et des protections accordées, les données des documents provisoires de séjour (DPS), un tableau des interpellations des étrangers en situation irrégulière (ESI), les chiffres, faibles, des éloignements, etc…C’est à ces informations chiffrées que nous allions nous référer.

Le premier de ces flots et le plus important est celui de l’immigration régulière qui prend la forme des 277 000 titres de séjour accordés aux ressortissants des pays tiers en 2019. Ce nombre se détaille ainsi :

  • l’immigration de travail dont les effectifs sont réduits ;
  • l’immigration familiale : environ 90 000 personnes, la plus importante ;
  • le flux estudiantin qui arrive presque à égalité avec immigration familiale et dont la nature présente une différence considérable puisque les étudiants sont appelés, en principe, à rentrer chez eux à la fin de leurs études ; ce que beaucoup d’entre eux ne font d’ailleurs pas.
  • l’immigration humanitaire et les arrivées pour motifs divers.

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dimanche, 18 juin 2023

Ces médias complices des gauchistes qui ont agressé la réunion d'Eric Zemmour

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Un communiqué de la Coordination Partout Callac :

Une fois de plus, la violence de la gauche et de l’extrême gauche s’est exprimée, à Brest ce jour. Cette fois, c’était pour agresser la réunion au cours de laquelle Eric Zemmour faisait signer son nouveau livre. Les victimes de ces violences ont été des personnes âgées et des adolescents. L’un d’eux a d’ailleurs été hospitalisé.

Une fois de plus la presse « bien-pensante » a montré sa lâcheté et son soutien sans faille à cette violence insupportable des antifas et de l’extrême gauche.

Ainsi, alors que l’hôtel où allait se passait dans le calme la séance de signature était attaqué par plusieurs centaines d’individus ultra-violents, voilà ce que dit la presse :

• France bleu : « Après des invectives de part et d’autre, antifas et partisans de Zemmour en sont venus aux mains ».
• Le Télégramme : « Manifestation contre la venue de Zemmour à Brest : échange de coups et vitrines cassées. »
• Ouest France : « Dédicace mouvementée pour Eric Zemmour à Brest. Des heurts devant l’Hôtel Océania. »

La presse est donc incapable de décrire la réalité, à savoir qu’il s’agit de l’attaque d’un hôtel par une horde de plusieurs centaines d’individus antifas, LFI, CGT et autres. Cette presse ne cesse de dénoncer les violences imaginaires commises par la prétendue extrême droite, sans pouvoir citer un seul acte précis. Tout comme cette presse est toujours disponible pour salir les patriotes qui défendent leur pays et combattent notamment contre l’immigration totalement incontrôlée qui touche la France. En les dénonçant publiquement et nommément, tout comme elle n’hésite pas à les traduire devant les tribunaux lorsqu’ils répondent à des articles qui les ont traînés dans la boue.

Mais curieusement, lorsque les violences des antifas et de l’extrême gauche sont absolument visibles et incontestables, les mêmes journalistes semblent frappés de cécité totale. Ils n’arrivent pas à voir qui est l’agresseur et qui est l’agressé. La coordination Partout Callac condamne cette cécité sélective.

De même, la coordination Partout Callac, ne peut que s’étonner de la légèreté avec laquelle le préfet a traité la venue à Brest d’Eric Zemmour. Il n’y avait aucune force de l’ordre pour protéger l’hôtel où se faisait la séance de signature. Il a fallu que l’agression ait lieu pour que des policiers finissent par apparaître.

Qu’attend le préfet pour faire engager des poursuites contre les responsables de ces actes ?

Bernard Germain, porte-parole de la Coordination cliquez ici

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Faux chrétien ou vrai islamiste ?

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Michel Festivi

Les médias grand public ont bien insisté : le poignardeur d’Annecy était un syrien d’origine chrétienne. Mais est-ce aussi sûr ? Les sites anglo-saxons, relayant des enquêtes effectuées par des chrétiens d’orient affirment au contraire que l’agresseur au couteau ne serait pas chrétien mais islamiste.

Certes il portait une croix, il aurait aussi crié « au nom de J.C » selon le Parisien. Pour certains commentateurs de la scène filmé, il n’est pas du tout évident qu’il ait crié cela, néanmoins. Fragilité des témoignages ou intoxication du politiquement correct ?  

Pour des chrétiens d’orient, dont le fondateur de l’Association d’Entraide pour les minorités orientales, Yako Elisk, aucun acte de baptême n’aurait été retrouvé en Syrie. En Suède, on n’a pas pu exhumer un quelconque acte de baptême non plus ; ni de célibat aussi, document pourtant obligatoire pour pouvoir se marier dans ce pays.

Car notre poignardeur s’est marié en Suède, avec une Syrienne qui avait, elle, obtenue la nationalité suédoise. Or plusieurs sites anglo-saxons, comme Countingstars ont publié la copie de ce curieux acte de mariage. Ainsi, la rubrique « acte et lieu de naissance » de notre transperceur d’enfants est très curieusement restée vierge, tout comme celle où l’on doit mentionner l’identité de ses parents. Curieux non ?

Cet acte de mariage porte l’entête de l’Eglise syriaque orthodoxe, Eglise Jacobite, séparée de Rome depuis le VIe siècle, composée d’environ 8 millions de chrétiens répartis essentiellement en Syrie, au Liban et en Irak.

Mais le site Jihadwatch, organisme spécialisé dans la surveillance du terrorisme islamiste a de très sérieux doutes sur le prénom déclaré : « Abdalmasih », qui signifierait « esclave du christ » en arabe.

Il pointe à juste titre les différences fondamentales entre les Evangiles et le coran. Dans le premier des textes, et quel que soit l’apôtre, aucun appel au meurtre contre quiconque bien au contraire ; dans le coran de multiples versets demandent aux croyants (aux musulmans) de tuer des « mécréants », soit des juifs, des chrétiens, des impies, ou des apostats, il suffit de les lire.

De plus, le site relève judicieusement la pratique coranique permise de la taqiya, : « les croyants ne s’allient jamais aux mécréants au lieu des croyants…. A moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux. » S3, V28. Cette tactique coranique est extrêmement répandue.

Pour ce site spécialisé, ce prénom revendiqué est suspect. En effet, en Syrie, les chrétiens ont l’habitude de vivre dans la discrétion comme l’oblige le statut du dhimmi.

Raymond Ibrahim, historien américain, auteur de nombreux ouvrages sur l’islamisme et les chrétiens en pays d’islam, rappelle sur le site PJmedia, que les chrétiens au Moyen-Orient donnent à leurs enfants des prénoms le plus neutre possible, comme Ibrahim ou Ysuf, portés aussi par des musulmans.

De plus, cette tenue noire, avec sur la tête un keffieh flottant semble être plus un attribut islamique que chrétien.

Enfin, deux autres points sont à relever. Pour des syriens résidants en France et en Allemagne, son vrai nom serait Selwan Majad ? Et un fait constant est établi : de très nombreuses ONG conseillent aux migrants de se faire passer pour des chrétiens persécutés en terre d’islam pour obtenir le statut de réfugiés, et ce en changeant de prénom, en arborant une croix, on leur fait même apprendre les principales dates du calendrier chrétien.

Affaire à suivre comme on dit. Pendant ce temps, dans notre belle France, des enfants des écoles primaires font la prière dans les cours de récréation selon les termes même de Christian Estrosi, qui a relayé l’information à Pap Ndiaye, puisque sa ville, Nice, est concernée au tout premier chef. « Des faits extrêmement graves » ont répété en chœur l’édile et le ministre.

Oui, mais que fait-on ? Rien, comme d’habitude. A Nice, certains élèves ont même « organisé une minute de silence en mémoire de Mahomet », selon ce que rapportent Valeurs Actuelles et le Figaro.

Toujours et encore de belles pétitions de principe qui n’aboutissent strictement à rien. Imaginez un seul instant, des élèves faisant la prière chrétienne et organisant une minute de silence en mémoire de Jésus Christ ? Les foudres de la police et de la justice se seraient immédiatement abattues avec une implacabilité redoutable. Car comme l’indique Mathieu Bock-Côté dans une chronique du Figaro du 16 juin 2023 : « Faible avec l’islamisme, fort avec les chrétiens. »

C’est la même politique des deux poids deux mesures pratiquée par Gérald Darmanin, très fort avec des mouvements qualifiés abusivement « d’ultra-droite » très rarement violents ou qui organisent des réunions ou manifestations pacifiques, et très faible, voire laxiste avec les violences répétées de l’ultra-gauche, où avec l’écologisme saccageur de plantations agricoles par exemple, très nombreux et très violents, comme ceux qui manifestent contre la ligne à grande vitesse Lyon-Turin, alors que pourtant, ces manifestations avaient été interdites, car violentes comme elles le démontrent. Décidément l’adage « vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà » à de beaux jours devant lui.

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Brest : LES MILICES ANTIFAS TENTENT D'EMPÊCHER LA SÉANCE DE DÉDICACE D'ÉRIC ZEMMOUR

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Ce samedi après-midi, dans les salons d'un hôtel de la rue de Siam à Brest, se déroulait une séance de dédicaces du dernier livre d'Eric Zemmour, Je n'ai pas dit mon dernier mot (Rubempré éditions). Plus de 300 personnes s'étaient massées devant l'hôtel pour rencontrer le président de Reconquête ! lorsque déboulèrent les groupes terroristes d'extrême gauche qui agressèrent avec une violence inouï les paisibles patriotes bretons. C'est grâce à l'efficacité et à la détermination du service d'ordre nationaliste que les assaillants furent repoussés. Les forces de police, pourtant nombreuses, restant curieusement pusillanimes face aux casseurs de gauche. 

Roland Hélie

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Eric Zemmour et Roland Hélie à l'issue de la séance de Brest

Voici la réaction d'Eric Zemmour suite à cette odieuse attaque :

Une attaque a eu lieu aujourd'hui et c’est un triple scandale :

1. Des milices d’extrême gauche, soutenues par LFI, attaquent cet après-midi ma dédicace à Brest.
Ils s’en prennent à des adolescents et à des personnes âgées sans défense, les tabassant jusqu’au sang. Le reste des sympathisants est confiné à l’intérieur de l’hôtel, en panique entre les jets de projectiles et les gaz lacrymogènes. 

2. Les antifas les plus violents ont été capables d’approcher mes sympathisants : pourquoi ?
Pourquoi ne sont-ils pas enfin empêchés de nuire ?
Pourquoi le pouvoir arrive-t-il à neutraliser des manifestants inoffensifs avec des casseroles et pas des voyous qui jettent des barrières sur des sympathisants et des policiers ?
Le préfet du Finistère, le même qui a « géré » la catastrophe du stade de France, choisit-il les citoyens qui méritent d’être protégés ?

3. Le comble : je vois que la presse, au lieu de s’indigner d’une telle violence, parle désormais d’affrontements, de heurts entre sympathisants et opposants. Ce signe égal entre les agresseurs et les agressés est insupportable.

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Les vitres brisées de l'hôtel

En savoir plus cliquez là et cliquez ici 

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samedi, 17 juin 2023

Le nouveau numéro (n°202) de la revue Eléments est sorti

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Chez les marchands de journaux ou cliquez ici

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Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

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Contre les interdictions : manifestation Place Beauvau à Paris samedi 24 juin à 14 h

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