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mardi, 23 septembre 2008

Le nouveau livre d’Anne Kling :

anne.jpgREVOLUTIONNAIRES JUIFS  - Les principaux acteurs des révolutions bolcheviques en Europe (fin XIXe – 1950)…

 

Par Robert Spieler

 

Pourquoi Anne Kling, auteur de l’excellent ouvrage LA FRANCE LICRATISEE, s’est-elle focalisée dans son nouveau livre sur les révolutionnaires juifs ? Pourquoi pas les révolutionnaires allemands, ou lettons, ou hongrois ?  Pourquoi les Juifs, toujours les Juifs ?

 

La réponse est fournie dès la page de garde par une citation du Dr Angelo Solomon Rappoport. Ce dernier, dans le feu de la toute nouvelle révolution, proclamait sans équivoque et avec fierté dans son ouvrage dithyrambique, Pioneers of the Russian Revolution, paru à Londres en 1918: « Il n’y avait pas une seule organisation politique de ce vaste empire qui ne fût influencée par des Juifs ou dirigée par eux. Le parti social-démocratique, le parti socialiste-révolutionnaire, le parti socialiste polonais comptaient tous des Juifs parmi leurs chefs. Plehve maintenait que 80% des révolutionnaires en Russie étaient Juifs. Plus que les Polonais, les Lettons, les Finlandais ou même n’importe quel groupe ethnique du vaste empire des Romanov, ils ont été les artisans de la révolution de 1917 ».

 

Alexandre Soljenitsyne, dans Deux siècles ensemble, étrangement passé sous silence lors de  sa sortie, avait lui aussi analysé l’influence majeure des Juifs dans les mouvements révolutionnaires en Russie, et les tensions qui en résultèrent.

 

Mais, mis à part cet ouvrage majeur, il faut bien reconnaître que fort peu d’ouvrages ont jusqu’ici paru sur cette très délicate question.

 

Dans son livre, Anne Kling met en évidence le rôle essentiel que jouèrent les révolutionnaires juifs dans la gestation, l’organisation, la réalisation et la consolidation de la révolution bolchevique de 1917 en Russie, mais aussi, plus largement, dans la sphère européenne au cours des décennies qui suivirent.

 

Elle nous présente une galerie de quelque soixante-douze portraits souvent terrifiants, toujours étonnants, des principaux acteurs – hommes et femmes - de cette barbarie. Tous eurent d’importantes responsabilités et jouèrent un rôle, souvent majeur, dans l’instauration d’un régime sanguinaire qui mit à genoux les peuples et pays qu’il parvint à tenir dans ses griffes.

 

On y découvre les banquiers américain et suédois Jacob Schiff et Olaf Aschberg, qui financèrent les bolcheviks ; Trotski, Zinoviev et Kamenev, qui finirent assassinés sur ordre de Staline, car la Révolution dévore ses enfants, ce qui n’est pas le moindre de ses charmes… ; Kaganovitch, le Eichmann soviétique qui planifia l’Holodomor, la grande famine ukrainienne orchestrée par le pouvoir, qui fit au moins six millions de victimes, dont deux millions d’enfants… Sans oublier Lagoda, que le journaliste israélien Sever Plocher qualifiait récemment, dans un article intitulé Les Juifs de Staline, de « plus grand meurtrier juif du 20ème siècle » ; ou Jacob Agranov, qui avait pour slogan :  « S’il n’y a pas d’ennemis, il faut en créer, les dénoncer et les punir ». Anne Kling évoque aussi le Mengele bolchevique, Gregori Moissevitch Maïranovski,qui fut chargé de mettre au point un poison mortel ne laissant aucune trace et pratiqua de nombreuses expérimentations sur des cobayes humains (qu’il appelait poétiquement « les oiseaux »), dont il observait l’agonie à travers un judas. Ainsi qu’un autre personnage digne d’entrer dans l’histoire pour son invention, en 1937, des chambres à gaz « ambulantes » :  Isaï Davidovitch Berg. Et tant d’autres, et non des moindres. Sans oublier un certain nombre de femmes qui n’eurent rien à envier à leurs homologues masculins.

 

Dans sa conclusion, Anne Kling écrit notamment: « A l’heure où les nations européennes, Allemagne en tête, sont invitées de façon pressante à se souvenir encore et toujours de leurs propres fautes, à assumer leur responsabilité historique pour les horreurs commises, est-il normal que des pages entières continuent à être systématiquement occultées dans la mémoire des Juifs ? »

 

Je ne peux que vous engager à lire ce livre extrêmement intéressant et bien documenté, qui aurait mérité d’être préfacé par Alexandre Soljenitsyne.

 

 

Pour commander le livre d'Anne Kling, envoyez un chèque de 21 euros (le port est inclus) à l'ordre d'Anne Kling à l'adresse: Anne Kling BP 60291 67008 Strasbourg Cedex. Vous avez aussi la possibilité de vous offrir les deux ouvrages (Révolutionnaires Juifs et La France Licratisée) au prix de 32 euros, frais de port inclus.

16:45 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 15 septembre 2008

A propos de la laïcité positive...

Communiqué de Jean-Philippe Wagner, Conseiller régional de Lorraine, membre de la Direction nationale de la NDP.

La Lorraine en général et la Moselle en particulier (étant donné son statut concordataire) seront bien placées pour expérimenter les riches potentialités du concept de laïcité positive, lancé par le Président SARKOZY dans son discours du Latran et largement repris depuis par le pape Benoît XVI.

 

Loin de remettre en cause, comme certains le prétendent, le principe de séparation de l’Eglise et de l’Etat – ce qui d’ailleurs ne serait ni réaliste, ni souhaitable –, la laïcité positive peut contribuer utilement à faire tomber quelques tabous, comme par exemple la légitimité de l’engagement des Chrétiens en politique ou la reconnaissance des racines chrétiennes de la France.

 

Ce dont personnellement je me félicite.

22:09 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une mise au point de Roland Hélie :

Depuis quelques jours, je reçois un nombre impressionnant de messages de lecteurs de Synthèse nationale ou d’adhérents de la Nouvelle Droite Populaire me faisant part de leur courroux et de leur réprobation à la suite des prises de position récentes de Jean-François Touzé. Cet afflux de messages prouve au moins l’intérêt que portent les militants et sympathisants de la Droite nationale et identitaire au « débat d’idées » qui s’est instauré au sein de la NDP. Qu’ils en soient ici tous remerciés.

 

Je dois préciser d’emblée, et je pense que personne n’en doutera, que je ne partage absolument pas le positionnement atlantiste proposé par Jean-François Touzé. Ce positionnement personnel n’engage que son auteur et en aucun cas la NDP dans son ensemble et Synthèse nationale en particulier. Samedi dernier, le Bureau national du mouvement s’est  réuni à Paris et l’a rejeté clairement. Jean-François Touzé en a d’ailleurs tiré les conclusions qui s’imposaient et a démissionné de sa fonction de porte-parole.

 

La NDP a été fondée au printemps dernier sur des bases claires, comme la nécessaire émergence d’une Europe indépendante, seule capable de faire face aux prétentions hégémoniques de telle ou telle autre puissance, la lutte contre l’immigration et l’islamisation qui menacent l’existence même de nos peuples et, par conséquent, l’indispensable application de la préférence nationale et européenne. Ces principes sont aux antipodes de ceux du libéralisme débridé prônés par l’occidentalisme anglo-saxon. Ils restent, et resteront, la base de notre engagement.

 

Le Bureau national a aussi désigné comme Délégué général du mouvement Robert Spieler. C’est lui qui représentera désormais la NDP et je pense que vous pouvez lui faire confiance pour maintenir la ligne initiale qui a présidé à la création de celle-ci. Jean-François Touzé garde, pour sa part, le poste administratif de Secrétaire général.

 

Par ailleurs, le prochain numéro de la revue Synthèse nationale (*), qui sortira demain, sera en grande partie consacré à la fin du Nouvel ordre mondial. Les analyses que vous pourrez lire sont loin d’être complaisantes à l’égard de l’hégémonie américaine sur le monde.

 

Cala étant dit, la NDP a la volonté de devenir le grand mouvement de rassemblement des forces nationales et identitaires de demain. Le débat d’idées qui s’est ouvert en son sein, quelques mois après sa création (ce qui est somme toute assez rare dans notre milieu et mérite d’être souligné), a au moins le mérite de prouver qu’elle est déjà capable de rassembler des sensibilités fort différentes. De ce point de vue, je ne peux que m’en féliciter.

 

Une dernière chose enfin. Depuis plus de vingt ans, vous le savez sans doute, Jean-François et moi avons partagé de nombreux combats. Même si nos lignes divergent aujourd’hui, il n’en demeure pas moins qu’il a été et qu’il restera un Ami. Je ne doute pas un instant de sa sincérité lorsqu’il nous fait part de sa réprobation absolue de l’islamisation, mais je pense qu’il se trompe lourdement dans les réponses qu’il propose. Néanmoins, je respecte son choix et je réprouve certains commentaires excessifs que j’ai pu recevoir à son encontre.

 

Chacun le sait, le mouvement national est à la veille d’une recomposition historique. L’évolution du monde, qui s’est accélérée ces derniers mois, remet en cause bien des principes qui, depuis des décennies, guidaient nos engagements. Aujourd’hui plus que jamais, l’heure est à la construction d’une véritable puissance européenne, fière de son passé, respectueuse de ses identités régionales et nationales et dégagée de toutes influences tutélaires. Pour mener à bien ce combat, la mobilisation de toutes les énergies est indispensable. Ensemble, nous pouvons gagner.

 

(*) N°10, septembre-octobre 2008, en vente (12,00 €) à la librairie Primatice (10, rue Primatice 75013 Paris). Vous pouvez aussi le commander à : Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

 

 

 

 

11:45 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 13 septembre 2008

Communiqué de la Direction nationale de la Nouvelle Droite Populaire :

La Direction Nationale de la Nouvelle Droite Populaire s’est réunie le samedi 13 septembre 2008 et a désigné Robert Spieler, ancien député, au poste de Délégué général, et Jean-François Touzé, Conseiller régional d’Ile-de-France, au poste de Secrétaire général.

 

La Nouvelle Droite Populaire s’inscrit résolument dans une optique de rupture avec l’idéologie dominante et le « politiquement correct ». Elle propose l’émergence d’une véritable Europe de la puissance, respectueuse de ses identités régionales et nationales, et dégagée de toutes influences tutélaires.

 

La NDP  constate l’échec du camp national. Consciente de la nécessité vitale de continuer le combat pour les valeurs qui lui sont chères, elle appelle toutes celles et tous ceux qui veulent reprendre le flambeau à se rassembler pour constituer le mouvement populaire que les Français attendent.

 

La NDP réunira son Conseil national le 6 décembre prochain à Paris afin de mettre en place l’organisation du mouvement.