vendredi, 19 mars 2021
Quand Eric Zemmour pulvérise Aurélien Taché
23:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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J’AI RECU MA DOSE DE « RADJAÏDJAH » ! *
de Jean-Claude Rolinat
Une rumeur veut que dans notre sympathique petit microcosme des amis de Synthèse nationale, de « Présent », du PDF et de TV Libertés, je sois « un grand voyageur ». Cette réputation flatteuse est, à mon sens, un peu surfaite encore que, c’est vrai, j’ai bourlingué pas mal en touriste engagé et averti de la Nouvelle-Zélande à la Laponie, de Moscou à Denver, de Copenhague à Phnom-Penh, de Barcelone à Ho-Chi-Minh ville, - pardon, Saigon ! -, de Nouméa à Pretoria ou encore de Mexico à « mon » Argentine des Perón, sans oublier ni le Brésil, ni le Proche-Orient « bien compliqué ».
Or, avec l’irruption depuis une bonne année de ce foutu virus chinois dans les deux hémisphères, se déplacer à l’étranger revient à résoudre la quadrature du cercle ! Pour pouvoir sortir de l’hexagone et faire encore quelques petits reportages de « choses vues », J’ai donc dû me résoudre à me faire vacciner ce vendredi 19 mars, - date sinistre s’il en est -, en espérant qu’elle ne me portera pas la poisse ! Je me suis donc fait injecter le « Radjaïdjah », vous savez, « le poison qui rend fou » comme le dit l’infecte Mitsuhirato en piquant Tintin page 23, dans l’inoubliable album d’Hergé, Le lotus Bleu édité chez Casterman !
Alors, s’il me pousse des écailles ou des nageoires, ou que je doive faire, moi aussi, mon coming out pour changement de sexe, je vous le dirai !
Sauf nécessité absolue et beaucoup de contacts humains rendus obligatoires par votre profession, il est peut-être urgent d’attendre et d’observer les éventuelles retombées négatives ou positives, de la vaccination au Pfizer sur les cobayes dont, désormais, je suis l’un d’entre-eux. Ou, mieux, guetter l’arrivée attendue sur le marché de nouveaux vaccins dont, cocorico, le nôtre, bien enrubanné de tricolore, ou encore le Spoutnik russe. (Un comble, la Russie venant au secours de l’Union européenne alors qu’elle fit trembler tout l’occident pendant plus d’une bonne moitié du XXe siècle, quelle revanche !) Quant à l’Astra Zenica, victime d’une mauvaise presse reposant sur d’alarmants constats à vérifier, attendons de voir ses effets sur monsieur Castex « qui s’est jeté à l’eau », et n’en parlons pas par charité chrétienne !
En attendant, le grand Pasteur doit se retourner dans sa tombe en voyant dans quelle mélasse se débat sa patrie.
*Lire et relire « Le Lotus bleu » !
18:07 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le “budget genré”, étape vers le “budget racisé” ? »
La philosophe, Bérénice Levet, analyse la portée de l’adoption par la mairie de Lyon d’un « budget genré », l’influence de la théorie du genre et la question de son lien avec le décolonialisme.
A lire ICI
10:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Covid-19 : un an de cauchemar, déjà…
Charles-Henri d'Elloy
Il y a un an, je me suis réveillé dans un monde étrange. Tout a changé brutalement dans la nuit. Dans la rue, je vois un tas de gens affublés d’une muselière. Comme des zombies, ils marchent tête baissée et ceux qui me croisent descendent du trottoir. J’ai l’impression d’être un étranger pestiféré. Je venais de comprendre qu’un véritable cauchemar avait commencé.
J’ai vu une pauvre femme paniquée aller chercher son pain avec des gants Mapa™, une visière et un masque chirurgical. Dans les entreprises, les employés se surveillent. Malheur à celui qui ôte sa muselière dans les couloirs ou à la machine à café. Mais quel donc est ce pays cauchemardesque où la nouvelle devise du système est « Absurdité, servilité et cruauté » ?
Plus étrange encore :
Dans mon cauchemar, les gens qui se promènent sur les immenses plages de l’océan n’ont pas le droit de s’asseoir dans le sable.
Dans mon cauchemar, il faut remplir un papier et le signer pour s’autoriser à sortir de chez soi ; j’ai dû imiter ma propre signature !
Dans mon cauchemar, j’ai été interpellé par un homme qui m’a demandé, d’un ton menaçant, pourquoi je ne portais pas le masque. Je lui ai répondu naïvement que je n’étais pas au courant du carnaval. Un autre homme m’a demandé quelle planète j’habitais ? Dans mon cauchemar, les messes sont interdites. Il faut faire comme au temps des premiers chrétiens à Rome et se réunir dans des catacombes.
Dans mon cauchemar, les autorités sachantes ont interdit les rassemblements de plus de six personnes, même chez soi ! Dans mon cauchemar, il est interdit d’aller au restaurant, même pour prendre un café. Tout ce qui fait les joies de la vie est interdit. Les soirées entre amis sont fortement réprimées. Les mariages ne doivent pas donner lieu à des fêtes. Les théâtres et les cinémas sont fermés.
Dans mon cauchemar, les frontières sont fermées.
Dans mon cauchemar, des vieillards meurent seuls dans la chambre pour qu’ils ne deviennent pas malades.
Dans mon cauchemar, les morts sont enterrés en catimini.
Cette nuit dans le brouillard est d’une angoisse terrible.
Il y a des policiers qui passent dans les rues avec un mégaphone et qui crient « Rentrez chez-vous ! Rentrez chez-vous ! »
Dans mon cauchemar, tout est possible… des choses les plus absurdes aux plus invraisemblables.
Le ski est autorisé mais il est interdit d’emprunter les télécabines et les télésièges.
Les garçons disent aux filles « Allez, montre-moi ton nez » et les filles répondent « Non, pas avant le mariage ! »
Dans ce monde étrange, il se passe des événements extraordinaires qui auraient été impossibles dans la réalité.
Dans mon cauchemar, il faut être rentré à six heures chez soi, alors que même Cendrillon avait la permission de minuit !
Dans mon cauchemar, la société est sous le joug d’un comité Théodule composé de Diafoirus et de médiocres Cassandre, de cuistres grandiloquents qui annoncent l’Apocalypse tous les jours à la télévision. C’est la surenchère dans le catastrophisme !
Le véritable virus, bien plus dangereux que tous les autres, est un concentré de panique, d’égoïsme, de crédulité, de poltronnerie, de bêtise et de grégarisme. Il n’a pas de nom mais il est très contagieux et fait des ravages dans le monde entier. Ses effets sont autant immédiats que différés.
J’ai connu les années 80 et son SIDA. Les backrooms n’étaient pas fermées pour autant.
Comme quoi, même les cauchemars, c’était mieux avant !
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00:09 Publié dans Charles-Henri d'Elloy | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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