samedi, 31 juillet 2021
En chanson... interprétée par Joël La Bruyère
18:04 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
10:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mobilisation alsacienne en faveur de la candidature d'Eric Zemmour...
10:48 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Parution du nouveau numéro (n°191) de la revue Eléments
10:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les chiffres qui en disent long...
10:32 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
09:51 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
C’est grave, docteur ?
Alain de Benoist
Après l’ère du soupçon, l’ère du délire. Sous l’influence du politiquement correct, du néoféminisme halluciné et d’un néoracialisme obnubilé par le cutané, le politique tourne maintenant au psychiatrique. Objectif : mettre en accusation la « blanchité » (whiteness) au nom de la supériorité noire, et l’« hétérocaptivité » au nom d’une misandrie associée à l’idée que la distinction masculin-féminin ne correspond à rien.
Lire la suite ICI
Source : Revue Eléments n° 191
09:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 29 juillet 2021
Le Puy-en-Velay : les nervis du Système s'en prennent à la Librairie "Arts enracinés", véritable espace de Liberté, ouverte récemment au coeur de la ville
23:18 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Faits divers ? Pas si sûr...
Camille Galic
En théorie, le château de Poligné, datant du XVIIe siècle et classé en Ille-et-Vilaine aux Monuments historiques, avait été loué du 10 au 17 juillet pour « une famille de dix personnes participant à l’anniversaire du grand-père ». En fait, plus de 150 jeunes, presque tous mélanodermes, ont déferlé pour assister plusieurs soirs de suite au « showcase exclusif Négrito » proposé par des rappeurs et faisant un boucan infernal. Malgré plusieurs demandes pressantes de la propriétaire des lieux a la gendarmerie, il a fallu qu’une fusillade oppose les fêtards et fasse deux blessés pour que les pandores se décident a intervenir et a faire évacuer les lieux, jonchés d’immondices, de bouteilles d’alcool vides, de narghilés et de bonbonnes de protoxyde d’azote, ce gaz hilarant désormais indissociable de toute réjouissance. Et ne parlons pas des massifs de fleurs saccagés, des plates-bandes transformées en parkings, de la piscine remplie d’excréments, des tapisseries et rideaux arrachés ni des vasques et meubles d’époque brisés. Quand on vous disait que les Noirs avaient un sens inné de la fête !
Fleury-Mérogis… hôtel quatre étoiles
On le sait, de belles âmes se sont émues de |’« exploitation dégoûtante » des attentats islamistes du 13 novembre 2015 par les Amis d’Eric Zemmour. Les familles des victimes et les rescapés de ces massacres s’émeuvent-ils aussi du coût extravagant pour la collectivité nationale de l’emprisonnement à Fleury-Mérogis de Salah Abdeslam, instigateur, logisticien et sans doute acteur de ces tueries qui firent 131 morts en région parisienne, et seul survivant du commando, cité à partir de septembre devant la Cour d’assises spéciale de Paris ? De l’aveu même du ministère de la Justice répondant à une question écrite du député RN Sébastien Chenu, « le coût de la détention du terroriste par les services pénitentiaires s’éléve 4 433 000 euros par an, soit environ 36 000 euros par mois ». Une somme énorme s’expliquant par l’entretien du djihadiste (35 500 euros par an pour sa nourriture, le blanchiment de son linge et le chauffage de sa cellule) mais surtout, selon Capital, par la rémunération (397 000 euros) des « huit agents qui se relaient jour et nuit pour assurer une veille continue du détenu ». De crainte sans doute qu’il mette fin à ses jours et, surtout, ne soit suicidé par des « fréres » redoutant qu’il ne se montre trop disert à son procés. Autre précision donnée par la Chancellerie : l’une des cellules attenantes à celle occupée par le Maroco-Francais « est laissée libre et équipée, en cas d’incident. Une autre cellule voisine reste vide, pour des raisons de sécurité. Le dispositif de surveillance des gardiens est abrité dans une quatrième cellule. Enfin, le détenu utilise occasionnellement une cinquième cellule, équipée d’un rameur et d’un vélo ». Toutes gâteries dont l’essayiste Hervé Ryssen, emprisonné plusieurs mois a Fleury-Mérogis pour mal-pensance, n’aurait même pas osé rêver.
Source : Présent 27/07/2021
10:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une journée pour la diversité ? Quelle curieuse idée...
10:15 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bob Morane, le héros aux mille vies
Aristide Leucate
Il a quitté la Vallée infernale pour rejoindre les Berges du temps. Henri Vernes, créateur de Bob Morane, s’en est allé, à 102 ans, rejoindre les Hergé, Jean Ray, J.-H. Rosny aîné, Bob de Moor et autres Edgar P. Jacobs qui, auteurs de BD ou romanciers d’aventures ou de fantastique, constituent la galaxie belge de la littérature d’évasion la plus imaginative d’Europe.
Bob Morane ! Trois syllabes qui résonnent d’un son si particulier dans l’esprit de plusieurs milliers de lecteurs francophones. Tous ont à l’esprit les noms de personnages immortels tels Bill Ballantine (complice écossais de l’aviateur français qu’il appelle Commandant), Monsieur Ming, alias l’Ombre jaune, ennemi juré des deux précédents et qui, à l’instar du phénix, revient sans cesse – pour le plus grand bonheur des aficionados – se mettre en travers de leur route, la troublante et énigmatique Miss Ylang-Ylang, chef du SMOG – organisation criminelle internationale qui n’est pas sans rappeler celle du SPECTRE opposée à l’agent 007 de Ian Fleming –, meilleure ennemi de Morane qui la subjugue, Tania Orloff, nièce de Ming qui, secrètement éprise du trentenaire aux cheveux noirs et drus, a toujours quelques scrupules à contrecarrer les plans criminels de son oncle, Roman Orgonetz, dit encore « l’homme aux dents d’or », espion cruel qui a juré la perte du reporter de la revue Reflets.
Né Charles-Henri-Jean Dewisme à Ath, dans le Hainaut, le 16 octobre 1918, il aura, lui aussi, une vie d’aventures. À 19 ans, il s’amourache d’une jeune Chinoise qu’il suivra jusqu’à son bordel de Canton, avant de revenir en Europe où il sera, tout à tour, courtier en pierres précieuses, agent des services de renseignement belges, puis des services secrets britanniques durant la Seconde Guerre mondiale, rejoignant ainsi la Résistance. Après-guerre, il travaille pour une agence de presse américaine et en qualité de correspondant pour deux quotidiens français.
En 1953, il est approché par Jean-Jacques Schellens, directeur littéraire des Éditions Marabout. Après un premier texte convaincant – Les Conquérants de l’Everest –, il signe La Vallée infernale, toute première aventure de Bob Morane qui le propulsera au firmament du succès et en fera un des plus solides piliers de la maison belge. À un rythme effréné, il écrira plus de deux cents romans contant les péripéties de son héros à travers le monde. Écrivain infatigable, il publiera d’autres livres sous divers pseudonymes (dont, sous le nom de Jacques Colombo, une torride série d’espionnage, Don, au Fleuve noir). Après avoir été croqué pour les couvertures des livres par Pierre Joubert, Henri Lievens ou Coria (pour la Bibliothèque verte), Bob Morane fera une incursion remarquée dans le 9e art grâce aux talents successifs de Dino Attanasio, Gérard Forton ou William Vance.
Avant d’inspirer la chanson « L’Aventurier » au groupe Indochine en 1982, la télévision française s’emparera du mythe dans les années soixante. C’est Claude Titre qui endossera la tenue du personnage vernésien, tandis que Billy Kearns tentera de rentrer dans la peau de Bill Ballantine. La série, qui comptera deux saisons et 26 épisodes, échouera totalement à restituer l’atmosphère bondissante, si singulière, des romans d’Henri Vernes.
Toutefois, ce séducteur hors pair qui aura pour ami Blaise Cendrars, Jean Ray ou Le Corbusier se montrait, dans la vie, assez péremptoire, sinon tranché dans ses jugements. N’ayant pas de mots assez durs contre « les horreurs du christianisme », il fustigeait dans un même élan son compatriote Hergé auquel il reprochait le racisme de Tintin.
Vétilles sans importances pour un homme qui aura fini par être totalement éclipsé par son héros auquel nombre d’adolescents prirent plaisir à s’identifier.
Source Boulevard Voltaire cliquez là
09:26 Publié dans Aristide Leucate, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 28 juillet 2021
L’animal est-il une personne ?
Alain de Benoist a publié à la fin de l’année dernière, La Place de l’homme dans la nature. En effet, c’est en voulant répondre au livre d’Yves Christen, L’Animal est-il une personne. ?, que le philosophe s’est aperçu que le sujet était loin d’être anodin. D’où ce livre, percutant et qui remet à leur place une bonne fois pour toutes les cinglés antispécistes qui voudraient nous priver du plaisir d’un beau et bon morceau de viande et coller au chômage des professions entières, éleveurs et cuisiniers. Michel Geoffroy nous fait part de tout le bien qu’il pense de ce livre. La chasse est ouverte.
Lire la suite ICI
L’animal est-il une personne, d’Yves Christen, Flammarion - La place de l’homme dans la nature, par Alain de Benoist, éditions de La Nouvelle librairie.
Site de La Nouvelle Librarie
11:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
CUBA LA ROUGE : RAFRAICHISSONS LES MÉMOIRES…
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Cette « île crocodile », surnommée ainsi en raison de sa forme géographique, et de élevage que l’on y fait de ce « charmant » animal, - peut-être aussi une allusion aux vieux caciques du Parti communiste qui tirent les ficelles en coulisse -, est entre les mains des kleptocrates du clan Castro depuis 1959 et sa révolution de la Saint-Sylvestre.
Un faux romantisme
Tout avait pourtant bien commencé. Les photos du jeune chef rebelle et de ses maquisards de la Sierra Maestra, cartouchière en bandoulière et fusil à la main, faisaient le tour du monde, et attiraient la sympathie de tous, y compris et surtout celle des Américains. (Qui voulaient se débarrasser à bon compte, comme à Santo-Domingo avec Rafaël Trujillo, d’un caudillo devenu « trop encombrant ».) Pensez, un jeune avocat rebelle qui plus est barbu comme un révolutionnaire du XIXe siècle, face à un vieux dictateur, le général Fulgencio Batista, c’était vendeur. Un pur descendant de Galicien* contre un sang-mêlé. Paris-Match, pour ne citer que cette revue qui fut jadis un grand magazine, en fit des tonnes. Mais bien vite, le nouveau pouvoir allait montrer son vrai visage, celui hideux d’une dictature communiste. Le jeune intellectuel avait bien trompé son monde. Très rapidement, de nombreux Cubains furent contraints à l’exil pour échapper à la sanguinaire épuration menée avec un zèle criminel par un certain médecin argentin, Guevara, qui allait se faire mondialement connaitre sous le nom du « Che ». Les États-Unis, sous le magistère de Kennedy, tentèrent bien de renverser Castro, mais l’expédition de la « Baia dos cochones », la « Baie des Cochons » en 1961, tourna à la catastrophe. Le « parrain » américain des révoltés cubains laissa tomber ses protégés qui finirent, pour les plus chanceux, dans les geôles castristes de l’île des Pins, au grand dam des exilés de Floride. Déjà, à cette époque, les pénuries de produits courants commençaient à pointer leur nez, et l’embargo US n’arrangeait rien.
D’années en années, les files s’allongeaient devant des magasins aux rayons quasiment vides, comme dans la Roumanie de Ceausescu. Le système monétaire reposait sur deux jambes, le péso local et le dollar, quasi officiel, la monnaie de l’ennemi ! Les Cubains, qui voulaient s’acheter des chaussures ou des vêtements corrects de marques étrangères, devaient solliciter la complicité des touristes pour pouvoir s’approvisionner dans les seuls magasins réservés à ces derniers, le tout payé avec les billets « verts », bien sûr ! Vingt ans après la « geste » du Movimiento 26 de julio et du yacht Granma, à bord duquel Castro avait clandestinement quitté les côtes mexicaines pour débarquer dans l’Oriente, ça « tournait vinaigre » à La Havane.
Une île sous écrou, le troc avec les Soviétiques !
Les Cubains n’avaient pas encore reçu l’autorisation d’ouvrir leur maison à des étrangers afin de pouvoir y faire une sorte d’activité « bed and breakfast » pour améliorer l’ordinaire. Les chauffeurs de taxi acceptaient, en douce, de se faire payer la course en monnaie étrangère, le Dollar de préférence, et se cachaient littéralement le visage au moment de la transaction. Ambiance ! On ne risquait pratiquement aucune agression, rien, un policier en uniforme étant de garde statique, tous les cinquante mètres. C’était et c’est là, le seul avantage d’une dictature pour un touriste. Cuba a toujours eu la réputation d’avoir un bon système de santé. Vrai ou faux, elle a exporté ses médecins un peu partout dans le tiers-monde, histoire de se faire de la « pub » à bon compte. Le régime castriste, un autre rare bon point, fut de faire accéder le pays à un bon niveau scolaire. Vous me direz, comparé à celui de la France, il n’y a pas un grand mérite au classement Pisa !
L’île caraïbe vendait son sucre à l’URSS à un prix supérieur au marché, et cette dernière lui vendait du carburant en dessous du prix du marché. En échange de quoi ? Cuba fournissait la chair à canon alimentant les entreprises guerrières des Soviétiques, notamment en Afrique. Comme beaucoup de Cubains sont noirs ou mulâtres, les Russes pensaient que les Cubains seraient mieux acceptés qu’eux ou que leurs complices est-allemands par les populations locales. Un calcul qui ne s’est pas avéré tout à fait juste, notamment en Angola. Là aussi, si les Américains avaient joué le jeu de la carte occidentale, au lieu de laisser tomber les Sud-Africains qui y menaient une vaste offensive à partir de la Namibie, - coordonnée avec les milices de l’UNITA de Jonas Savimbi -, ce vaste pays lusophone où la crème de la colonisation portugaise s’était échinée, ne serait pas tombée entre les mains des marxistes. Bref, ne refaisons pas l’histoire, mais nombre de cercueils revenaient au pays de la rumba et du mambo. L’aventure « néo-coloniale » du satrape Castro commençait à coûter cher à Cuba. La population murmurait : cette guerre « anti-impérialiste » conduite par procuration au bénéfice du « Grand frère »,ne faisait pas les affaires du petit peuple. Cette partie de la population hostile au communisme ne pouvait pas faire grand-chose, chaque quartier, chaque maison étant encadrée par des membres des CDR, les Comités de défense de la révolution. C’est à dire un mouchard qui notait tout, les va et vient des uns et des autres, - qui venait, qui sortait -, bref, une espionite aigue à grande échelle, une malsaine activité qui n’a pas cessé un seul jour.
L’éruption !
C’est tout ça qui est ressorti, qui a explosé les semaines dernières, avec le manque de victuailles et de perspectives d’avenir. Sans le communisme, Cuba pourrait être une île riche, largement capable de rivaliser avec la République Dominicaine au plan touristique, pouvant mieux exporter ses produits tropicaux, son tabac, installer des « maquilladoras » comme au Mexique… Bref retrouver, à terme, le niveau de vie qu’elle avait AVANT, quoique l’on puisse dire du régime corrompu et délictueux de Batista. Il est vrai que sous son règne, La Havane, c’était la ville des tripots, de la prostitution et des gangsters américains. Pourtant cette dictature assurait, tout de même, un assez bon niveau de développement à l’île. Laquelle était, dans les années cinquante, classée parmi les pays d’Amérique latine, - avec l’Argentine et le Venezuela -, en tête du peloton. Avec la chute de l’URSS en 1991, tous les avantages marchands que tirait Cuba de ses relations avec la grande Russie, sont allés progressivement dans le panier des souvenirs « heureux », même si Moscou entendait conserver Cuba comme un pion dans le jeu qui l’oppose aux États-Unis. Obama, au grand dam des exilés cubains de Floride, avait reconnu le gouvernement communiste et ouvert une ambassade dans l’île. Actuellement, il semble que Jo Biden lève progressivement les sanctions qui pourrissent la vie des îliens. Ce qui n’a pas fait baisser pour autant la pression dans la marmite. Mais tout de même, la levée progressive de l’embargo et la fourniture de pétrole iranien ou vénézuélien, va desserrer un peu l’étau qui étreint La Havane.
Mais le peuple cubain en a assez de cette dictature qui ne lui offre aucune perspective d’avenir, pas plus que du pain. Les pièces détachées des « belles Américaines » qui font la fierté des Cubains, manquent, et les transports en commun, dans certains endroits, ont eu recours aux chevaux ! Il n’y a aucun espace de liberté, les gens qui ont pu fuir ne reviendront pas et, grâce à leurs dons, mettent sous perfusion les membres de leur famille restés au pays. Les camps de prisonniers sont plus abondants en locataires que les produits de première nécessité dans les épiceries ou les pharmacies. Les tickets de rationnement, plus d’un demi-siècle après la révolution, sont toujours de mise. La pandémie, - qui n’est certes pas du fait du régime -, assèche le tourisme qui amenait des devises. Donc, des milliers et des milliers de Cubains sont descendus dans la rue pour manifester contre le pouvoir. Ce dernier n’a pas fait dans la dentelle, faisant tirer ses troupiers à balles réelles, et invitant ses partisans à contremanifester. Des morts, des arrestations, de quoi rafraichir l’ardeur protestataire.
Le nazisme a disparu, mais le « cadavre » communiste bouge encore !
Et dire qu’il y a encore, dans la France de 2021, des gens pour se réclamer du marxisme. Il y a même un olibrius qui veut se présenter à l’élection présidentielle sous l’égide du parti au marteau et à la faucille ! Au fou ! On avait pu penser qu’avec la mort de Fidel Castro en 2016, son remplacement par son frère Raoul, puis la démission de celui-ci en 2019 au bénéfice de Miguel Diaz Canel, - un apparatchik du Parti communiste cubain, le PCC -, l’étreinte mortifère allait se relâcher. Que nenni, le visage des dirigeants changent peut-être, mais la matière est la même, la pâte dont ils sont faits est identique. Et le pire pour nous, est de voir en Occident des jeunes crétins porter un t-shirt à l’effigie de Che Guevarra, ce tueur congénital, que Castro avait expédié au Congo ex-belge et en Bolivie pour exporter sa révolution. Il finit comme il avait commencé, dans la violence, à savoir, tué comme un chien par des rangers dans la selva bolivienne. Tout a été faux dans cette révolution cubaine frauduleusement nimbée d’un halo de « romantisme ». Il n’y a eu rien de « romantique ». Ce n’était pas Lamartine en 1848 ! Fidel Castro a trompé son monde. Et certains fidèles l’ont quitté. Bien mal leur en pris, comme Hubert Matos ou Camilo Cienfuegos, fidèle parmi les fidèles, qui périt mystérieusement en octobre 1959, dans un étrange accident d’avion**. Si dans « le cochon tout est bon », comme le dit un dicton populaire, dans la révolution cubaine tout, ou presque, est à rejeter.
* Ce qui explique l’étrange complicité entre une Espagne franquiste à la tête de laquelle régnait un certain général Franco, lui-même Galicien, et un satrape communiste d’ascendance galicienne !
** « L’avion, ce mystérieux tueur de célébrités » à L’atelier Fol’Fer, et « Pronunciamiento sous les tropiques, » éditions Dutan/Dualpha, du même auteur.
11:22 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 27 juillet 2021
Des contrôles et vérifications inapplicables
Olivier Baccuzat
Doit-on vraiment, comme l’a fait la semaine dernière la Défenseure des droits, s’inquiéter du « contrôle d’une partie de la population par une autre » avec la mise en place du pass sanitaire et du projet de loi sur lequel députés et sénateurs viennent de se mettre d’accord ? Si la proportionnalité des restrictions et des sanctions prévues peut légitimement poser question au regard des droits et libertés fondamentales de chacun, si on peut s’offusquer à juste titre de l’examen, imposé à marche forcée aux parlementaires, d’un texte ne prolongeant rien moins que l’état d’urgence sanitaire, à l’arrivée, ne risque-t-il pas d’y avoir davantage de peur que de mal tant plusieurs mesures de ce texte semblent tout bonnement inapplicables ?
Entre les contrôles dévolus à un « ex- ploitant de transport » comme la SNCF qui, amendes ou pas, va se heurter à la résistance assumée des cheminots, ceux devant être assurés par des forces de l’ordre dont les syndicats ont d’ores et déjà prévenu qu’elles feraient avec les moyens du bord, autant dire avec peu d’empressement, entre les vérifications dévolues, sans plus de détails, à des fonctionnaires des agences régionales de santé dont on ignore s’ils sont équipés pour la circonstance, et l’obligation de pass sanitaires dans les centres commerciaux laissée à la libre appréciation des préfets, l’indigestion administrative est totale.
Une énième fois depuis le début de cette crise sanitaire, l’appareil d’Etat démontre qu’il a le chic pour accoucher de procédures aussi brouillonnes que complexes là où précisément simplicité et souplesse devraient être les maîtres mots pour obtenir l’adhésion de tous. Tout le contraire de ce projet de loi dont il n’est pas acquis qu’il re- çoive dans son intégralité l’imprimatur du Conseil constitutionnel la semaine prochaine.
Source : l’Opinion 27/07/2021
12:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 26 juillet 2021
De la violence libérale
Jarente de Sénac
La mondialisation est en train de ravager la planète. Entendons-nous bien sur le terme de mondialisation. Les pays échangent depuis des siècles et l’ancienne route de la soie nous en apporte le flagrant témoignage. Les épices venaient d’Orient pour agrémenter les mets des tables européennes, l’or des conquêtes espagnoles d’Amérique du sud, a apporté une prospérité inconnue en Europe au même titre qu’elle a alimenté ses guerres ; les Anglais ont tiré bénéfices de leurs colonies à l’image des Hollandais. Les exemples ne manquent pas d’une économie d’échange globalement heureuse. Certes, les Espagnols ont éradiqué les cultures indiennes (Incas au Pérou, Aztèques au Mexique), mais ce n’est pas le cas des Anglais en Inde, des Français en Afrique, des Européens en Chine.
Cependant ce n’est pas le cas d’une mondialisation reflet d’une économie libérale où plutôt d’un capitalisme débridé et qui modifie le mode de fonctionnement de l’économie. Aujourd’hui le libéralisme fait fi de tout, des hommes comme des cultures car son unique souci est la rentabilité du capital et l’accumulation de richesses. On revient à ce bon vieux Veau d’Or dénoncé dans la Bible, éminent symbole du lucre !
Aujourd’hui, on ne commerce plus en raison de la nécessité, on commerce en vue d’un cumul du capital. Ce n’est plus le besoin qui dicte sa loi, c’est le capital et derrière lui, l’actionnaire. Ajoutons à cela que ce que nous nommons « modernité » ou « progrès », c’est-à-dire l’ensemble des besoins industriels au sens le plus large, est un ogre énergétique dont l’appétit est gigantesque, pour ne pas dire sans fin. L’homme s’est encagé et l’on a du mal à voir où se trouve la porte de sortie. L’avenir n’est pas pavé de bonnes intentions.
Au réchauffement climatique, dont il devient plus difficile de nier les effets, vient s’ajouter un désastre écologique qui n’est jamais que la conséquence de cette course aux besoins grandissant en énergie. On le sait bien, le niveau de vie atteint par les Européens n’est guère extensible à la terre entière. Et pourtant, tous y aspirent (mis à part les rares tribus de la forêt amazonienne ou celles de Papouasie !), exception faite aussi de l’Afrique qui n’a jamais su gérer son destin et que se chargent de piller dans l’indifférence générale les Chinois et les Américains. Dans cette course, les Européens, et notamment la France, font figure de nains.
Longtemps l’Europe a été le moteur du développement en faisant montre d’un génie qui s’est exprimé dans la science, les arts et les lettres. Mais c’est surtout de son « progrès » scientifique que tout le monde a profité et profite toujours. Ne perdons cependant pas de vue ce que disait Rabelais : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». On a semble-t-il oublié ce sage conseil.
Sans tomber dans le catastrophisme béat, on a tout lieu d’être inquiet tant se multiplient les sources de conflit concernant les ressources. Les conflits à venir viendront de là. Et d’une la démographie galopante aussi. L’homme est en train de modifier son environnement à tus les étages. Or, quel que soit le scenario, l’homme sera toujours perdant face à la nature. On ferait bien de ne pas l’oublier.
02:12 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 25 juillet 2021
Dix ans pour rien !
Bertrand de Saint-Vincent
Dix ans que ça dure. A Nantes, la cour d’appel administrative vient d’annuler les autorisations d’un parc éolien dans les Côtes d’Armor, en raison de son impact négatif sur le paysage. Les travaux avaient déjà démarré et la société responble a annoncé se tourner vers le Conseil d’État. Près de Saint-Brieuc, malgré la colère croissante des pêcheurs, l’érection de soixante-deux mâts de 207 mètres de haut a été validée le long de côtes labélisées Grand Site de France. Dans le Nord, la Belgique saisit la justice pour tenter de faire annuler un vaste projet offshore du côté de Dunkerque... Quel gâchis ! De temps, d’argent, d’énergie. À quoi servent les dirigeants s’ils sont incapables de fixer une ligne claire sur un point aussi fondamental que la politique énergétique de la France ? À nourrir l’abstention. Malgré les recours, les dossiers alarmistes, les critiques étayées, les éoliennes continuent, dans un va-et-vient chaotique, à tracer leur sillon de laideur inutile. Coulés dans le béton, nourris de métaux rares, à l’extraction polluante, alimentés par des centrales à gaz, ces candides moulins à vent persistent à faire figure de sauveurs de la planète. Tous les rapports sur leurs limites – faible rendement, coût exorbitant, impact désastreux sur le patrimoine et l’environnement – n’y font rien. Aux yeux de leurs partisans les plus acharnés, ces encombrants pylônes demeurent le seul moyen d’avancer sur la voie magique de la neutralité carbone. Quoi qu’il en coûte.
Il est temps de dissiper le brouillard coupable qui entoure et dissimule la vraie nature de ces tourniquets ; d’extirper les arrière-pensées idéologiques de ceux qui aspirent à les voir balayer les fondements de notre croissance. « Du rêve aux réalités », comme le dit un documentaire dont l’audience témoigne de l’évolution de l’opinion, la marge est béante. L’exigence d’une énergie propre, renouvelable, est partagée par le plus grand nombre. On ne peut la laisser entre les pales d’une armée dont l’une des caractéristiques est de demeurer les bras croisés les trois quarts du temps.
Source : Le Figaro 24/07/2021
08:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 24 juillet 2021
Drôle de jeu
Le billet de Patrick Parment
Difficile de raison garder dans le contexte sanitaire, social et économique qui est le nôtre aujourd’hui. Mais l’Etat, ou plutôt le seul président de la République, Emmanuel Macron, est responsable de ce climat délétère dans lequel nous baignons. Au lieu de faire de la pédagogie, Macron a eu recours à des mesures autoritaires. On a bien conscience que la vaccination pour tous n’ajoute pas aux maux que nous connaissons et globalement à défaut de protéger totalement – ce que ne garantissent d’ailleurs pas les laboratoires -, elle atténue la pandémie. Au stade où nous en sommes, il n’était donc pas nécessaire de soulever une population contre une autre, les non vaccinés n’étant pas plus nombreux que les vaccinés eux-mêmes qui sont à ce jour près de 32 millions. Et ce n’est pas fini.
Ce que l’on comprend mal en revanche, c’est le refus fait aux médecins de soigner avec des médicaments qui ont, semble-il, donnés des résultats. On pense évidemment au professeur Didier Raoult dont le traitement à l’hydroxychloroquine, flingué à vue pour des raisons qui nous échappent, a finalement mis en valeur la soumission du corps médical au politique. Et jusqu’à preuve du contraire, ce professeur est tout sauf un charlatan. Pourquoi l’avoir traité comme tel ?
Mais ce n’est pas l’unique traitement testé, il y en a d’autres, sous condition évidemment qu’ils ne mettent pas en danger la vie du patient. Je le dis d’autant qu’un de mes amis, diabétique, a été sauvé par son médecin via un traitement proche des recommandations du professeur Raoult. Je sais bien que toutes les Françaises ne sont pas rousses… Mais il eût été intéressant de tester d’autres pistes en laissant ce soin à nos médecins de quartiers. Pourquoi cela n’a-t-il pas été fait ? Cela aurait peut-être eu pour effet de désengorger les hôpitaux. Au lieu de cela on a eu droit à trois petits tours de paracétamol et rendez-vous à l’hôpital.
On a vu, au contraire, débarquer la grosse artillerie des laboratoires qui ont imposé leurs vaccins et suivis par la plupart de nos gouvernants en Europe. On se demande d’ailleurs à pourquoi le vaccin russe – Spoutnik V – n’est-il toujours pas homologué ? On voit bien que la politique et ses cantines sont derrière tout ce barnum où de forts intérêts financiers sont en jeu. Les gouvernants ont-ils agi dans la panique ? On a tout lieu de le croire et on se demande à quoi servent tous ces bazars scientifiques qui nous ont abreuvé d’informations contradictoires ? Et puis, cette question que sait-on de plus sur ce virus qui sévit depuis plus qu’un an maintenant ? Rien a priori.
Enfin, reste un sujet que l’on ne peut élucider, celui des populations extra-européennes, noires, maghrébines et autres que nos autorités auront bien du mal à contrôler et qui ne sont pas moins de 10 millions dans ce pays. On sait déjà que les mosquées ne seront pas contrôlées – les lieux de culte en général. Et ils sont nombreux à être réfractaires au vaccin. Alors on fait quoi Darmanin ? Castex ? Macron and Co ? Et ils ne sont pas qu’en Seine-Saint-Denis depuis que nos autorités éclairées les ont répartis sur tout le territoire.
Il semble bien que ce covid-taquin et ses variants va nous pourrir la vie pendant encore… un certain temps. Il revient à chacun d’aviser ce qui est le mieux pour sa santé sans que le ciel vengeur ne lui tombe sur la tête.
On peut consulter ce site
10:07 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
09:20 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 23 juillet 2021
Éloge mesuré de la dictature sanitaire
En Europe, nous avons toujours été une terre de discussions, parfois vives, sur divers sujets. La vérité n’est atteignable que si le débat est libre et si toutes les opinions s’expriment. (Polemia)
Eric Delcroix
Le pays bruit de mille échos, dans les médias, dans les réseaux sociaux et jusque dans la rue, contre la « dictature sanitaire ». Certes, nous avons l’impression d’être sous une telle dictature, mal vécue après dix-huit mois de restrictions, de confinements ou couvre-feu. Mal vécue d’abord parce que maladroite, maladresse symbolisée par le maintien à la Direction de la Santé d’un bureaucrate qui nous avait dit que le masque « ne servait à rien », avant d’en justifier l’obligation, même au milieu de nulle part.
Sur le principe toutefois, et de façon momentanée, cette dictature informelle (le président n’a même pas activé l’article 16 de la Constitution) mais civique paraît justifiée, comme ce peut être le cas face à la guerre, aux grands cataclysmes ou aux dangereuses épidémies. Sommes-nous réellement dans ce dernier cas ?
De la gravité de l’épidémie
On entend dire là-contre que cette pandémie est assez modérée en termes de létalité, notamment au regard des grandes grippes de l’après-guerre, dites asiatique et de Hongkong. L’argument est certes pertinent, mais hélas inaudible car notre rapport à la mort a changé… et malheureusement aussi le rapport de nombre d’entre nous à la science et à la médecine.
Indéniablement, la pandémie de la covid-19 désorganise les sociétés contemporaines, notamment quant aux relations humaines, à la vie sociale et économique, à l’enseignement. Voilà pourquoi, cette quasi dictature, aussi médiocre puisse-t-elle être avec Emmanuel Macron, quand elle impose enfin une décision raisonnable, doit être admise. Il faut arrêter les confinements et autres couvre-feux et s’en donner les moyens.
Oui, la communauté scientifique peut être raisonnablement suivie quand elle postule la généralisation du vaccin, vaccin qui jusqu’ici nous a tout de même libérés de la variole, de la tuberculose, de la diphtérie ou du tétanos. Les « soignants » rétifs, acceptent l’obligation de vaccination contre l’hépatite B, mais pas contre le nouveau coronavirus ! Il est du ressort du pouvoir de veiller à ce que ces irresponsables cessent de transmettre cette maladie, notamment sous forme nosocomiale, à leurs patients.
Objections des opposants à la vaccination
Les opposants à la vaccination expriment en premier lieu un refus de la science qui frise la superstition. La connaissance et la pratique des sciences (ici biologie et médecine), ne rend pas nécessairement le praticien scientifique. Prométhée ne s’enseigne pas, pas même aux étudiants en médecine : c’est un état d’esprit historiquement très européen… Louis XVI, plus hardi que nombre de nos contemporains, s’était fait inoculer le tout premier vaccin, celui de Jenner (1749-1823) ; il avait vu son grand-père Louis XV mourir de la variole et, de La Pérouse à Jenner, encourageait toutes les découvertes scientifiques. Peur de la nouveauté, peur de la science et du terme ésotérique d’ARN messager : et si cela induisait des cancers dans quinze ans, entend-t-on dire… Et si, en l’absence de vaccin, la covid 19 induisait des cancers dans quinze ans ?! Toujours la réponse du berger à la bergère ! Le génie de l’Occident fut tout de même de faire naître le science…
En second lieu, ces opposants, expriment un individualisme exacerbé que cultivent la ploutocratie (ou si vous préférez le capitalisme mondialiste) et l’extrême gauche, dans l’oubli de l’intérêt général. Étrangement, cette notion semble échapper à MM. Philippot et Dupont-Aignan qui manifestent une hargne d’anarchistes brouillons.
Oui, en cas d’épidémie aux conséquences désastreuses, les libertés publiques auxquelles nous sommes historiquement et esthétiquement attachés, peuvent être brièvement suspendues. Entendre des gens des milieux de la droite radicale reprendre le slogan « Mon corps est à moi » (Moi ! Moi ! Moi !) des militantes de l’avortement sans limites, est confondant. Non, notre corps n’est pas une propriété ; nous entendons certes qu’il soit respecté, mais nous ne saurions prétendre le conserver comme libre vecteur de quelque peste que ce soit. Les mêmes opposants ne s’imaginent pas malades, mais il faudra quand même les soigner le cas échéant, aux frais de l’assurance maladie bien sûr, et peut-être avec une nouvelle catastrophique saturation des services de réanimation…
On sait, depuis plus de deux siècles que, pour éliminer les maladies endémiques ou épidémiques, le vaccin est un impératif catégorique, comme la quarantaine, depuis le Moyen-Âge, dont les fichus droits de l’homme ne permettent même plus l’application stricte.
Eric Delcroix est juriste, essayiste, écrivain, auteur de Droit, conscience et sentiment.
Source : site Polemia
11:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre HILLARD : La grande réinitialisation, origines et conséquences
11:12 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les naïfs espoirs des vaccinés seront vite douchés
Ce petit clip en dit long en quelques images. C’est probablement pourquoi il est en mode privé et totalement invisible sur Youtube sauf à en connaître l’adresse exacte. Étant donnée son efficacité, il y a fort à parier qu’il sera dénoncé rapidement et que YouTube le supprimera aussitôt. Probablement copié sur Odysee, nous nous chargerons de mettre à jour notre présent article. En attendant, les vaccinés, comme notre professeur agrégé de philosophie, devront en prendre de la graine : ils ne sortiront jamais du piège dans lequel ils s’enferment tous seuls.
Source : E&R
10:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 22 juillet 2021
Restauration : un patrimoine en danger
La restauration ne saurait se résumer à ce que l’on trouve dans son assiette. La restauration en appelle d’abord à un certain art de vivre, fondement de notre patrimoine culturel et pour tout dire quasi consubstantielle à notre être. Le restaurant comme le bistrot sont inséparables de notre vie quotidienne et dont nous sommes maintenant privés depuis plus d’un an. Ce n’est pas sans conséquence pour ce que l’on appelle les métiers de bouche. Dans ce court article Natacha Polony cible bien les enjeux de cette profession en grand danger.
Lire la suite ICI
19:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 21 juillet 2021
MERCREDI 21 JUILLET : JEAN-CHRISTOPHE GRUAU, LIBRAIRE PARISIEN, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS
Cette dernière émission « Synthèse » de la saison est consacrée à la défense des librairies non-conformistes. Fort heureusement, il en existe quelques-unes en France. Ces librairies, dans lesquelles sont diffusés des livres que l’on ne trouve généralement pas ailleurs, sont des espaces de libertés essentiels pour ceux qui refusent la mainmise de l’idéologie dominante. Elles constituent une véritable alternative aux multinationales du prêt-à-penser que sont les GAFA dont l’objectif est d’avoir le monopole de l’édition et de la diffusion dans le monde.
Il nous a donc semblé opportun de donner la parole à l’un de ces libraires parisiens, Jean-Christophe Gruau (La Librairie française, 5 rue Auguste Bartholdi 75015), qui se battent quotidiennement pour que l’on puisse encore acheter librement les livres que nous souhaitons lire.
Il est reçu par Roland Hélie et par Philippe Randa, eux-mêmes éditeurs.
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI
SITE DE LA LIBRAIRIE FRANÇAISE CLIQUEZ LÀ
15:54 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cette fin de semaine, en Provence : les journées d'été des Lansquenets
Roland Hélie, Philippe Randa et Georges Feltin-Tracol
participent à ces journées.
En savoir plus cliquez ici
15:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après le virus qui rend fou, le vaccin qui rend zinzin !
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Le gouvernement impose à partir du 1er août le pass-sanitaire dans les manfestations publiques, les trains et les restaurants, ainsi que la vaccination obligatoire pour le personnel médical ; trouvez-vous ces mesures justes ?
Juste inacceptables autant que débiles, tout à fait, et on ne peut que saluer ceux qui manifestent contre ces mesures et/ou ceux qui engagent dès à présent des procédures judiciaires pour s’y opposer.
Une quatrième vague de contamination est tout de même en cours ; le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal parle d’un « tsunami viral » que seul la vaccination peut arrêter…
Si tsunami il y a, c’est bien le tsunami de la bêtise et celle-ci est d’ailleurs largement partagée, hélas ! chez les « pro » comme chez les « anti » vaccins… Pour les premiers, toute nuance, remarque, mise en garde et interrogations est juste… interdite ! Ils détiennent la vérité, seule et unique : hors du vaccin, point de salut ! Pour les seconds, les vaccins ne sont pas autre chose que du poison. Et on ne doit pas le discuter ! S’il y a bien une seule et unique vérité, c’est que ce virus, à défaut d’une hécatombe, rend fou. La preuve !
Il y a tout de même eu beaucoup de morts ?
C’est vrai, rappelons qu’il n’y a seulement QUE 98 % de cas-contaminés qui survivent, c’est effectivement effroyable ! Vous voulez les chiffres officiels, ceux du 20 juillet de Université Johns-Hopkins de Baltimore qui fait référence en matière d'épidémiologie pour le Monde entier ? Allons-y… Contaminations : 190, 9 millions (contre 178 au 20 juin) ; morts « estampillées » Covid-19 (avec toutes les réserves d'usage !) : 4,096 millions (au 20 juin : 3,865), soit ratio morts/contaminations 2,14 % (à la mi-juin, il était de 2,17 %) : on le voit, le ratio est parfaitement stable depuis la mi-mai 2021 !
Et en France ?
5,932 millions de cas personnes contaminées et… 111 680 morts, soit un ratio de 1,25 %, alors qu’il était de 1,81 % fin mai ! Et là, effectivement on peut légitimement s’interroger sur ces chiffres que la France a transmis au Johns-Hopkins car 33 % de baisse en un mois, c’est stupéfiant, comparé aux chiffres de la Suède, par exemple : un ratio (stable depuis mai) de 1,33 % (pas de confinement)… aux chiffres du Japon : 1,77 % de ratio (pas de confinement et ratio stable depuis mai)… aux chiffres de l’Allemagne (confinement draconien, ratio stable depuis mai) dont le ratio actuel est de 2,43 %… et aux chiffres de la Grande-Bretagne (confinement majeur) au ratio de 2,87 % (stable depuis mai) … Ces chiffres nous prouvent en passant que le confinement dont le gouvernement français brandit à nouveau la menace pour imposer la vaccination ne fait rien à l'affaire…
Avec une situation qui se serait notablement améliorée, pourquoi alors Emmanuel Macron panique-t-il alors de nouveau les Français ?
La France a précommandé 200 millions de doses de vaccins en décembre dernier, soit de quoi vacciner 100 millions de personnes avec deux doses ! Notre pays ne comptant que 67 millions d’habitants, faites le calcul… 134 millions de doses auraient seulement été administrées et encore, à condition que tout le monde y passe ! Mais tout le monde ne le souhaite pas (ou ne peut pas être supporter de vaccins, de ceux-là, on ne parle jamais)… Le gouvernement français qui fait tout dans la précipitation allait donc courir le risque de voir des millions de doses de vaccins lui rester sur les bras. D’où scandale financier et preuve supplémentaire de son incompétence… Dans la précipitation, toujours et encore, il a donc décidé en plein été d’imposer le pass-sanitaire pour forcer la population récalcitrante à liquider ses stocks… Coûte que coûte et quoi qu’il en coûte comme dirait l’apprenti-sorcier de l’Élysée !
N’êtes-vous pas un peu complotiste pour dire cela ?
Être complotiste serait de croire qu’on a commandé des millions de doses de vaccin pour s’enrichir ou pour décimer la population ou pour je-ne-sais quelle stupidité encore… Je me contente que constater que chaque mesure prise l’est dans la précipitation et l’incohérence.
Un dernier mot sur la réalité du nombre de morts… Au Portugal, une décision de justice a obligé le gouvernement à baisser les chiffres officiels de la mortalité due à la Covid 19 de 17 000… à 152 !
C’est le site Nice Province Info qui l’a révélé en premier, avant que cet article ne soit reprit sur Synthèse nationale et que je le publie à mon tour sur EuroLibertés : oui, suite à une pétition citoyenne, le nombre de décès vérifiés entre janvier 2020 et avril 2021 n’est en fait que de… 152 ! Soit 0,9 % de la « réalité gouvernementale ». Et en France ? Et dans le reste du monde ? Plus qu’un « tsunami » de morts, cette pandémie du Covid aura surtout provoqué un tsunami de mensonges éhontés et de délires tous azimuts… !
13:56 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La stratégie de la peur... un entretien avec le sociologue Michel Maffesoli
13:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 20 juillet 2021
Une société de suspicion généralisée
La chronique de Philippe Randa
Quel auteur de roman policier, à l’imagination particulièrement asséchée, aurait-il pu songer à une telle motivation de crime : un différent sur une facture de téléphone ! On imagine la tête de son éditeur, voire de ses éventuels lecteurs : au fou ! Et pourtant… Pourtant, c’est le aussi sanglant que minable fait-divers survenu au Centre commercial de Claye-Souilly (Seine-et-Marne) en cette mi-juillet. Un client mécontent de son échange avec deux jeunes employés quitte la boutique de téléphonie pour aller chez lui se munir d’un couteau et revenir « planter » ses deux interlocuteurs, tuant l’un des deux, tout juste bachelier, et envoyant aux urgences son collègue, plus « chanceux »…
Ni motif crapuleux, ni motif passionnel, ni motif terroriste… Pire : la terrible réalité d’une société qui, chaque jour, défraie la raison, le bon sens, l’imaginable…
Pourtant, dans notre vie quotidienne, les signes avant-coureurs de cette monstruosité et de bien d’autres devraient nous alerter.
Aurait-il été imaginable, voici encore dix ou quinze ans – encore moins au siècle dernier –, que les caissières des grandes surfaces exigent désormais de contrôler systématiquement les cabas de leurs clients pour vérifier s’ils n’y dissimulent pas quelques marchandises dérobées ? Suivant ainsi les consignes de leur direction, lassée de voir augmenter le chiffre des « démarques inconnues », cette pudique appellation du vol…
Et ces restaurants où le serveur, après avoir noté votre commande, vous demande d’aller à la caisse régler d’avance l’addition avant qu’il ne vous serve, s’excusant du procédé, certes, mais invoquant l’augmentation extravagante des clients qui se carapatent une fois la dernière bouchée avalée… Certes, la grivèlerie a de tout temps existé, mais restait exceptionnelle… et aucun restaurateur ou hôtelier n’aurait osé systématiser le paiement d’avance !
Autre temps, autre mœurs…
Dans un temps que les moins de vingt ans n’auront pas connu, qu’on ait été peu argentés ou très aisés, l’insulte n’aurait été ni acceptable… ni acceptée !
Source EuroLibertés cliquez ici
Passée dans le quotidien Présent.
13:45 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le pape François déclare une nouvelle guerre liturgique !
L'auteur de cet article, François Floc'h, s'entretenant avec Mgr Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, en 2019 à Prat (22).
François Floc'h
Dans le motu proprio Traditionis custodes qui vient d'être publié par le Vatican, le pape François annule les dispositions prises par son prédécesseur, le pape émérite Benoît XVI. En 2007, par son motu proprio Summorum Pontificum, Benoît XVI voulait ramener la paix liturgique dans l’Église catholique en validant la messe dite "de saint Pie V", rebaptisée "rite extraordinaire", tout en conservant la messe dite "de Paul VI" de rite ordinaire.
L'affaire est un peu compliquée pour les non initiés mais, il faut le reconnaître, une paix liturgique un peu précaire mais bien réelle s'était ainsi installée. Preuve en est que le nombre de pratiquants réguliers du rite extraordinaire allait en augmentant régulièrement. Et surtout dans les jeunes générations qui forment notre relève.
Le pape François par son nouveau Traditionis custodes annule tout cet équilibre, déclare la guerre liturgique en des termes très jésuites où la charité est bien absente, et fait un pied de nez bien peu fraternel à Benoît XVI ! Tout cela écrit-il pour l'unité de l’Église. Il faut oser !
Même Michel Onfray, athée déclaré mais honnête, dans une tribune du Figaro, clame son écœurement et décrit les objectifs cachés : "Ce qui se joue dans cette affaire, c'est la suite de Vatican II, autrement dit l'abolition du sacré et de la transcendance". Patrick Buisson fait le même constat dans son livre La fin d'un monde.
Ce nouvel épisode de l'offensive que mène le clan progressiste contre la Tradition me fait repenser à ma grand-mère paternelle… Nous l'appelions Mamm Gozh, ce qui veut dire tout simplement grand-mère en breton. C'était une humble paysanne du Pays Pagan, au Nord Finistère. En retraite chez son fils Yves, à Dinan, à l'autre bout de la Bretagne, elle portait avec fidélité la coiffe du Léon.
Décédée en septembre 1963, elle avait constaté par elle-même les premières nouveautés liturgiques avant même la fin du concile Vatican II. Par petites touches, il y avait eu l'apparition de la langue vernaculaire dans les prières de la messe, la disparition du Dominus vobiscum, l'utilisation du tutoiement pour parler à Dieu, la communion dans la main… Je l'entends encore déclarer avec un grand chagrin dans la voix : "On nous change la religion !"
J'avais alors 17 ans et je me disais en moi-même : "La grand-mère radote !" J'ai compris quelques temps plus tard que ma grand-mère avait raison, que dans sa sagesse paysanne elle avait perçu avec justesse le chambardement qui commençait dans l’Église. Merci Mamm Gozh !
Bien plus tard, en juillet 2019, nous menions à sa dernière demeure l'abbé Antoine Le Bars, ancien recteur de Prat, dans le Trégor. Mgr Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, était venu présider la messe de funérailles, en l'église de Prat. Pendant la procession de bénédiction du défunt, je lui avait remis le texte d'une interview du cardinal Sarah dans laquelle il argumentait pour la célébration de la messe "ad orientem", prêtre et fidèles tournés vers l'Orient, donc vers le Christ de Jérusalem.
A la sortie de l'église, c'est Mgr Moutel qui était venu vers moi et un bref dialogue s'était engagé :
– Mgr : Le cardinal Sarah ne dit pas qu'il soit obligatoire de célébrer "ad orientem".
– Moi : Non bien sûr, il ne dit pas que c'est obligatoire mais que c'est bien préférable. C'est le sens du sacré qui est en jeu.
– Mgr : Mais, avant tout, il faut la charité !
– Moi : La charité ? Oui, bien sûr Monseigneur. Mais dans les deux sens !
Et nous nous étions quittés sans qu'il me donne un coup de sa crosse qu'il tenait d'une main ferme !
Aujourd'hui, après l'annulation du motu proprio de Benoît XVI, en un texte méchant dans la forme comme dans le fond, je sais que la charité ne viendra pas de la Rome moderniste. A nous de résister !
13:44 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Vial contre la dictature sanitaire
10:25 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cinéma : le conformisme est de rigueur !
Xavier Eman
L’interdiction de se rendre dans les salles de cinéma faite, à partir de cette semaine, aux parias refusant la vaccination obligatoire ne devrait pas être trop difficile à supporter. En effet, après la piteuse pantalonnade des César, c’est au tour du festival de Cannes de finir de nous détourner de ce qui fut jadis le « 7e art » et qui ressemble aujourd’hui à quelque chose à mi-chemin entre un meeting LGBT et une séance chez le psychiatre.
IL ne fallait certes pas attendre grand-chose d’un festival dirigé par Pierre Lescure, ancien patron de Canal+ et incarnation paroxystique de « l’esprit » de cette chaine, à savoir le ricanement bobo faussement transgressif, et dont le président du jury était le militant racialiste noir Spike Lee. Un président d’ailleurs totalement à côté de ses pompes lors de la cérémonie de clôture, puisqu’il a annoncé la Palme d’or au début - et non a la fin - de la soirée, créant un important malaise dans le public et la panique des organisateurs.
La dite Palme d’or a donc été attribuée à Titane de Julia Ducournau, un film « trash » (en français : dégoûtant) selon la plupart des commentateurs, qui avait provoqué des nausées et des évanouissements chez certains spectateurs lors de sa projection, ce qui serait apparemment un gage de qualité et même d’excellence. Une vingtaine de personnes choquées par l’extrême violence des images avaient ainsi dû être prises en charge par les pompiers. Mais de quoi parle donc ce nouveau chef-d’oeuvre ? Titane narre Phistoire d’Alexia, une jeune femme victime d’un accident de voiture, à qui a été greffée une plaque de titane dans la tête, ce qui lui fait développer une attirance sexuelle pour les voitures (sic) ainsi que des pulsions meurtrières envers les hommes. Sera-t-elle sauvée par l’amour de Vincent, un pompier accroc aux piqures de testostérone, qui pleure son fils disparu enfant ? Si vous n’êtes pas impatient de vous précipiter dans les salles obscures pour avoir la réponse à cette angoissante question, c’est que vous êtes un affreux ringard, pour ne pas dire un « has been »complet.
Pour l’anecdote, on pourra aussi noter, en marge du palmarès officiel, la remise de la « Queer Palm », le prix LGBT, aune autre oeuvre au scénario tout à fait passionnant, La Fracture, où Marina Fois et Valeria Bruni-Tedeschi campent un couple lesbien au bord de la séparation, qui se retrouve à |’hôpital en pleine crise des Gilets jaunes. Encore un grand succès populaire en perspective...
Mais laissons le dernier mot à la lauréate de la Palme d’or, Julia Ducournau, tant son pompeux charabia est emblématique de ce qu’est devenu le grand raout annuel du cinéma international : « Je remercie le jury d’avoir reconnu le besoin avide et viscéral que nous avons d’un monde plus fluide et plus inclusif. J’appelle à plus de diversité dans nos expériences au cinéma et dans nos vies. Merci aussi au jury de laisser rentrer les monstres. »
Eh bien, pour notre part, nous préférons laisser les monstres entre eux.
Source : Présent 20/07/2021
09:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |