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samedi, 24 juillet 2021

Drôle de jeu

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Le billet de Patrick Parment

Difficile de raison garder dans le contexte sanitaire, social et économique qui est le nôtre aujourd’hui. Mais l’Etat, ou plutôt le seul président de la République, Emmanuel Macron, est responsable de ce climat délétère dans lequel nous baignons. Au lieu de faire de la pédagogie, Macron a eu recours à des mesures autoritaires. On a bien conscience que la vaccination pour tous n’ajoute pas aux maux que nous connaissons et globalement à défaut de protéger totalement – ce que ne garantissent d’ailleurs pas les laboratoires -, elle atténue la pandémie. Au stade où nous en sommes, il n’était donc pas nécessaire de soulever une population contre une autre, les non vaccinés n’étant pas plus nombreux que les vaccinés eux-mêmes qui sont à ce jour près de 32 millions. Et ce n’est pas fini.

Ce que l’on comprend mal en revanche, c’est le refus fait aux médecins de soigner avec des médicaments qui ont, semble-il, donnés des résultats. On pense évidemment au professeur Didier Raoult dont le traitement à l’hydroxychloroquine, flingué à vue pour des raisons qui nous échappent, a finalement mis en valeur la soumission du corps médical au politique. Et jusqu’à preuve du contraire, ce professeur est tout sauf un charlatan. Pourquoi l’avoir traité comme tel ?

Mais ce n’est pas l’unique traitement testé, il y en a d’autres, sous condition évidemment qu’ils ne mettent pas en danger la vie du patient. Je le dis d’autant qu’un de mes amis, diabétique, a été sauvé par son médecin via un traitement proche des recommandations du professeur Raoult. Je sais bien que toutes les Françaises ne sont pas rousses… Mais il eût été intéressant de tester d’autres pistes en laissant ce soin à nos médecins de quartiers. Pourquoi cela n’a-t-il pas été fait ? Cela aurait peut-être eu pour effet de désengorger les hôpitaux. Au lieu de cela on a eu droit à trois petits tours de paracétamol et rendez-vous à l’hôpital.

On a vu, au contraire, débarquer la grosse artillerie des laboratoires qui ont imposé leurs vaccins et suivis par la plupart de nos gouvernants en Europe. On se demande d’ailleurs à pourquoi le vaccin russe – Spoutnik V – n’est-il toujours pas homologué ? On voit bien que la politique et ses cantines sont derrière tout ce barnum où de forts intérêts financiers sont en jeu. Les gouvernants ont-ils agi dans la panique ? On a tout lieu de le croire et on se demande à quoi servent tous ces bazars scientifiques qui nous ont abreuvé d’informations contradictoires ? Et puis, cette question que sait-on de plus sur ce virus qui sévit depuis plus qu’un an maintenant ? Rien a priori.

Enfin, reste un sujet que l’on ne peut élucider, celui des populations extra-européennes, noires, maghrébines et autres que nos autorités auront bien du mal à contrôler et qui ne sont pas moins de 10 millions dans ce pays. On sait déjà que les mosquées ne seront pas contrôlées – les lieux de culte en général. Et ils sont nombreux à être réfractaires au vaccin. Alors on fait quoi Darmanin ? Castex ? Macron and Co ? Et ils ne sont pas qu’en Seine-Saint-Denis depuis que nos autorités éclairées les ont répartis sur tout le territoire.

Il semble bien que ce covid-taquin et ses variants va nous pourrir la vie pendant encore… un certain temps. Il revient à chacun d’aviser ce qui est le mieux pour sa santé sans que le ciel vengeur ne lui tombe sur la tête.

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10:07 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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