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vendredi, 08 avril 2022

Entretien avec Jean-Marie Le Pen

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Une fois de plus, Jean-Marie Le Pen, 93 ans et toute sa tête, nous livre une analyse de bon sens sur les événements de la guerre en Ukraine, de la folie anti-Russe qui a gagné les Européens et son opinion sur cette surréaliste élection présidentielle. Pour lui, Macron va se prendre une veste !

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 Source : Présent 8/04/2022

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La présidentielle face au front « antisystème »

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Yvan Rioufol

Dimanche soir, les « antisystèmes » pourraient bien être les vainqueurs du premier tour. L’addition des abstentions et des votes  de rupture (de Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen en passant par Éric Zemmour) s’annonce majoritaire. Emmanuel Macron a d’ailleurs pressenti ce risque, potentiellement révolutionnaire : samedi, lors de son unique meeting parisien, le président- candidat a accusé à plusieurs reprises le « système » en le rendant coupable d’entraver sa politique. En réalité, s’il est un dirigeant qui symbolise le pouvoir établi, c’est lui. Les sondages le donnent en tête dimanche et gagnant in fine.  Toutefois, la fronde électorale demeure une réalité indomptable. Le chef de l’État redoute ce « populisme » contre lequel il a construit son mandat. Depuis, ce courant « dégagiste » a pris de l’ampleur.

Les Français se révolteront-ils, comme le souhaite Valérie Pécresse (LR) ? Le somnambulisme apparent de l’opinion est un terrain qu’entretient Macron. Son salut viendra d’une démobilisation des mécontents. Le président sortant s’emploie à dépolitiser les enjeux, en les réduisant à des priorités d’évidence : l’égalité hommes-femmes, la protection de l’enfance, l’éducation, la santé. Le recours à la diversion est l’autre méthode pour détourner les regards : la perpétuation de la guerre en Ukraine donne l’occasion au candidat de se présenter en président habité par sa mission d’ « éviter la paix... la guerre, pardonnez-moi » (lapsus, sur TF1, mercredi soir). Enfin, l’usage de la diabolisation de l’adversaire est l’ultime méthode retenue par le pouvoir pour rejouer le duel Macron-Le Pen : le « danger extrémiste » sera, pour la macronie, l’argument du pauvre. Mais la corde est usée.

Disons-le : ce cirque est navrant. Ceux qui cherchent à endormir les électeurs par des sirops consensuels s’adonnent à des tricheries qui se voient.  Les cuisines politicardes ne suffiront plus à embrouiller les plus lucides. Le choix de Macron de qualifier d’« extrême droite » ceux qui parlent de la survie de la nation dévoile l’indifférence, sinon le mépris, qu’il porte à la France et à sa cohésion. En mimant ce manichéisme pour les nuls, Pécresse applique le logiciel doctrinal des macronistes qu’elle dit combattre. Jamais élection n’a été aussi capitale si l’on admet qu’un choix de civilisation est à faire : poursuivre la dilution des nations dans des structures postnationales, ou revenir à la protection des peuples et de leurs identités. Une victoire de Macron le 24 avril accélérerait le déracinement national.

Il y a quelque chose de pourri dans la démocratie française. La vacuité des débats est l’effet d’un monde politique hébété : il n’est plus à la hauteur des enjeux existentiels. Ceux-ci ne peuvent se réduire à des « chèques énergie », des ristournes sur les carburants, des soutiens aux « mamans solos », des « quoi qu’il en coûte » renouvelés. Craindre la perspective d’un grand remplacement civilisationnel, vouloir que la France reste ce qu’elle est, défendre la distinction entre le citoyen et l’étranger sont des aspirations légitimes. Elles ne peuvent être assimilées à des attitudes racistes ou antisémites, ou au retour de la peste brune. C’est pourtant ce que soutient le Système, soucieux de préserver sa rente par ses fatwas. Il se prépare à nouveau à appeler, au second tour, à « faire barrage » au candidat non homologué. Toutefois, le « tout sauf Macron » pourrait contrarier sa victoire annoncée.

Idée fausse

Le « progressisme » macronien a su garder son socle de fidèles. Mais la courbe de ses sondages est à la baisse. Sa réserve de voix s’est asséchée par rapport à 2017. De fait, l’indifférence portée aux plus modestes n’encouragera pas, cette fois, les ralliements de la gauche. Il n’est pas sûr d’obtenir non plus ceux de la droite la plus sensible à la question identitaire. La vision aseptisée de la société que promeut Macron lui fait dire des légèretés. Alors qu’il commentait le geste d’un agriculteur qui, craignant pour son enfant, avait mortellement blessé au fusil de chasse un cambrioleur qui s’était introduit chez lui, avec des complices, durant la nuit, il a déclaré : « Je suis opposé à la légitime défense. » L’Élysée a précisé que le président voulait dire : « Opposé à la présomption de légitime défense. » Il n’empêche : cette incapacité de Macron à mesurer l’état d’insécurité dans lequel vivent des Français est liée à sa déconnexion des réalités. L’irritation qu’il suscite tient à sa morgue. Macron se croit porté par l’histoire. À tort : celle- ci s’écrit chez ceux qui protestent.  

Depuis 2017, ce quinquennat européiste poursuit une même idée  fausse. Elle veut faire croire que les nations et les peuples auraient fait leur temps, tout comme les héritages et les traditions. Or c’est le phénomène inverse qui, partout, s’observe.  Une révolution conservatrice est à l’œuvre. Elle va à rebours de l’idéologie liquide du grand mélangisme et de l’indifférenciation des cultures comme des sexes. Dimanche, en Hongrie, c’est ce courant réactif, honnis par l’Union européenne et la macronie, qui a remporté pour la quatrième fois les législatives en donnant à nouveau la victoire à Viktor Orban (53,3 %), bête noire de la bien-pensance. De nombreux « progressistes » se sont empressés de mettre en doute ces résultats qui osent les défier. L’UE, dès mardi, a déclenché contre le pays rebelle une procédure pour violation de l’État de droit. La Hongrie n’est pas la France. Mais un même mouvement populaire y a ses assises. Il rejette pareillement les donneurs de leçons et les convertis au mondialisme. Orban, au-delà des défauts de son régime illibéral, symbolise l’utile mise en cause des idéologues de l’immigrationnisme, du multiculturalisme, des minorités LGBT. Ce sont eux qui imposent leur État de droit, qui n’a jamais obtenu l’aval des citoyens. Parce que ce monde s’éloigne de la démocratie, il est menacé.

L’heure des comptes

Face aux carences de l’« État protecteur », les Français demandent des comptes. Mercredi, la famille du professeur Samuel Paty, décapité par un islamiste, a attaqué deux ministères. La famille d’Yvan Colonna, assassin du préfet Érignac, poursuit l’État après son meurtre en prison par un autre djihadiste. Quant à la famille de Jérémie Cohen, jeune juif handicapé qui a été happé par un tram à Bobigny en fuyant des racailles, elle a dû alerter Zemmour pour briser l’omerta. Macron, lui, a mis en garde contre les « manipulations politiques ». Surtout, ne pas « faire le jeu de l’extrême droite »...

Source : Le Figaro 8/04/2022

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De la guerre...

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Le billet de Patrick Parment

Une guerre, ce n’est jamais joli, joli. Et je ne suis pas sûr que les guerres modernes soient aussi cruelles que celles qui se sont déroulées du Moyen Age à la Renaissance par exemple, où bien souvent le pillage engendrait ou permettait bien des exactions. Sachant que la nature humaine, livrée à elle-même, est tout sauf bienveillante, le pire est toujours à portée de main. On oublie toutefois que les bienfaits de la civilisation peuvent adoucir les mœurs et amener l’homme à porter un regard plus bienveillant sur son alter égo. Mais, là encore c’est une question de civilisation et de culture. Car on relit toujours avec effroi le Manifeste du camp numéro 1, de Jean Pouget, sur la guerre d’Indochine et la vie de nos soldats dans les camps de concentration aux mains des Viets, qui montre combien l’âme asiatique a une perversité culturelle que n’a pas le soldat européen.

Dans le genre, on en remet une louche, on a écrit beaucoup de conneries sur la Deuxième Guerre mondiale et la soi-disant cruauté du soldat allemand qu’on a paré de tous les maux à des fins de propagande. Et les juifs s’en sont même faits une spécialité, histoire de rançonner l’Allemagne, de la faire cracher au bassinet comme l’on dit. Ce qui n’a pas empêché les soldats juifs américains de maltraiter – le mot est faible -, les soldats allemands lors de l’occupation de l’Allemagne dès 1945.  L’affreux nazi est devenu un gimmick dont on affuble tout individu que l’on veut diaboliser. Même Eric Zemmour, juif sépharade, en a fait les frais en le balançant direct dans la case imaginaire d’extrême droit au motif qu’il entend défendre tout simplement la France et son patrimoine culturel. Sur le sujet, il y a d’excellents livres qui démontrent si besoin était que nul n’est blanc bonnet dans cette affaire. On oublie trop souvent que la guerre est aussi un fait culturel. Aux quatre coins de la planète, celle-ci n’a pas la même signification, ni la même cruauté.

Raison pour laquelle je reste dubitatif sur tous les maux que l’on prête à l’armée russe en territoire ukrainien. L’Occident a décidé que le diable s’habillait en Vladimir Poutine. Et le camarade président Zélensky, bien formé à l’école de la propagande américaine (CIA), en fait des tonnes pour nous convaincre que le soldat russe n’est qu’un soudard avide de pillage, de bombardements et de viols. A en croire nos médias, c’est Stalingrad tous les jours en Ukraine. Et ce même Zelinsky, selon son maître washingtonien, pousse au crime en invitant les membres de l’Union européenne à couper tous les ponts – économiques de préférence -, avec la Russie. Pour le plus grand profit de son maître américain. Zelensky, héros ? Non, valet de ferme porté par un peuple qui, lui, a décidé de résister.

On oublie un peu vite dans cette affaire que ce sont les Américains qui ont généré la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui. A la suite de la chute du mur de Berlin, en 1989, les Soviétiques d’alors, avait posé comme condition de la reconnaissance de la réunification allemande, la non extension de l’Otan à l’Est. Autant les Américains n’avaient pas toléré la présence de missiles à Cuba en 1962, autant les Russes ne tolèreraient pas de missiles en Europe en 1989. A quoi s’ajoutèrent différents traités jusqu’aux les accords de Minsk en 2015. En fait les Américains se sont empressés de bafouer ces accords et n’ont eu de cesse que de reculer à l’est les frontières de l’Otan. Les Baltes, les Polonais, les Roumains, tous hantés par une invasion des troupes russes ont favorisé cette implantation délétère. Dès son arrivée au pouvoir en 2000, Vladimir Poutine n’a cessé de répéter que toute extension de l’Amérique via l’Otan à dans l’Est européen constituait un casus belli. Faute d’avoir écouté, on n’a pas laissé d’autre choix à Poutine que de dévoiler sa propre vision de la sécurité en Europe. Et une fois de plus, au lieu de négocier voire de baisser les armes, Zelesny préfère appeler à la résistance – et là on a été bluffé, il est vrai, par la résilience du peuple ukrainien -, et voir son peuple se faire massacrer. Zelesnky signe ainsi un chèque en blanc à Washington. Cet homme a le culot de venir nous dire ce que nous, Européens, devons faire faire face à la Russie. Tout juste s’il ne nous demande pas de prendre, nous aussi, les armes contre le Grand Satan. Il suffit pourtant de regarder une carte de géographie pour comprendre la nature même du problème. De qui avons-nous besoin en matière d’énergie ? De qui, culturellement, sommes-nous plus proche, un Américain shooté au dollar ou un Russe buveur de vodka ? Si nous n’avions pas un ramassis d’imbéciles à Bruxelles et à la tête de nombreux Etats européens, il y a belle lurette que cette question aurait été réglée. Voir un Macron qui prône une Europe de la puissance – là on est d’accord – est louable. Mais saura-t-il tirer les conclusions de cette soi-disant Union européenne dont les Etats membres se tirent la bourre ! L’Europe, l’Europe, mais quelle Europe ? Elle est aux abonnés absents. Elle est shootée Coca Cola !

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Le Palais des Sports d'Eric Zemmour jeudi soir avec la jeunesse de France

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Fumisteries universitaires

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La chronique flibustière de  Georges Feltin-Tracol

Le sociologue et essayiste québécois Mathieu Bock-Côté range dans ses ouvrages et ses interventions publiques le multiculturalisme dans ce qu’il convient d’appeler l’« idéologie diversitaire ». Mais ce terme comporte d’évidents contresens, en particulier quand il concerne l’ethno-différencialisme, cette prise en compte de l’indéniable diversité humaine. Il est par conséquent préférable de désigner cette manifestation de l’œuvre égalitariste par « idéologie inclusive ». Cette dernière infecte en priorité le monde universitaire.

La « capitale des Gaules » compte trois universités : Lyon–I-Claude-Bernard s’occupe des sciences et de la médecine; Lyon– II-Lumière et Lyon–III-Jean-Moulin résultent d’une scission post-soixante-huitarde. Longtemps, Lyon–III fut réputé pour l’excellence de son enseignement. Bien des professeurs avisés n’y cachaient pas leurs solides convictions non-conformistes : Jean Haudry, Jean-Paul Allard, Jean Varenne, Bernard Lugan, Bruno Gollnisch, ou les amis Pierre Vial, Bernard Notin et Jacques Marlaud. Président de cette université entre 1979 et 1987 (une longévité notable et exceptionnelle), Jacques Goudet enseignait la culture italienne. Ce chrétien orthodoxe gaulliste militait tant à l’UNI (Union nationale interuniversitaire) qu’au SAC (Service d’action civique). Il avait cependant dans son bureau une grande affiche originale du Duce... 

En comparaison, Lyon – II fait figure de foyer gauchiste historique où prolifèrent les études post-coloniales et de genre. Les services de cet établissement publient chaque mois quatre pages en format dépliant intitulées La Gazette Culture. Quand on consulte son numéro 4 de mars 2022, on comprend la virulence et la profondeur de la contamination ! Tout est rédigé en écriture inclusive dans un jargon politiquement correct avec les inévitables anglicismes. Sa lecture nous plonge dans une franche hilarité tant sa prétention de sérieux vire vite en une formidable bouffonnerie.

La présentation, par exemple, d’un spectacle de danse nocturne étudiante nécessite la logorrhée suivante : « À la croisée des temps, entre œuvres et présences d’aujourd’hui, une dizaine de danseuses créent des petites pièces in situ, laissant la mémoire de l’œuvre traverser le temps et l’espace pour toucher l’histoire de leurs propres mythologies du moment. » Ne serait-il pas plus simple de parler de « machine à explorer le temps » fonctionnant non pas à la pile cosmo-nucléaire, mais grâce aux pas de danse d’un cul-de-jatte bipolaire ? Le 24 mars dernier se tenait à 12 h 15 une « conférence gesticulée » au titre révélateur « J’aurais dû m’appeler Aïcha ». L’intervenante qui doit peut-être animer son texte devant le regard médusé, surpris ou goguenard des quelques rares spectateurs disponibles à cette heure-là explique qu’« en m’assimilant, j’ai refoulé une partie de mon héritage. Je fais aujourd’hui marche arrière en prenant bien soin de ramasser un à un tous les indices et reformer le puzzle de mon histoire, de notre histoire pour mieux la déconstruire ». Cinq jours plus tard s’organisait dans l’amphithéâtre culturel une représentation de danse – performance qui « transforme le corps en un réceptacle, en un refuge accueillant quantité d’êtres, d’identités et d’histoire ». Doit-on comprendre que des corps deviennent des camps de base pour migrants clandestins ? Il faudrait quand même qu’une âme charitable se dévoue à définir la « danse – performance » et la « conférence gesticulée ». Un célèbre homme d’État allemand d’origine autrichienne de la première moitié du XXe siècle n’en serait-il pas le précurseur ? Une autre pièce de théâtre, « Le petit chaperon Uf », proposé dans le cadre de la semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme, emploie « des éléments de marionnettes posés à même les corps ». La dramaturgie en est toute révolutionnée ! À quand une pièce de théâtre sur une cuvette de toilette ?

Bien que n’existant pas, la « théorie du genre » s’invite néanmoins dans la programmation. À l’occasion de la Journée internationale de la visibilité transgenre, des « courts-métrages engagés LGBTQIA+ » sont proposés au public étudiant. Mieux, l’université lyonnaise projette un documentaire réalisé en 2017 par un certain David France sur la vie et le meurtre de Marsha P. Johnson. Qui était cette personne dont le nom commence à orner des lieux publics à Metz et à Lyon ? Il s’agissait d’une « femme noire, transgenre, travailleuse du sexe et activiste souvent surnommée “la Rosa Parks du mouvement LGBT“ ». On apprend avec une réelle inquiétude que « cette projection sera suivie d’un échange entre spectateurs et spectatrices ». N’y aurait-il pas une invitation sous-entendue pour une bacchanale estudiantine dysgenrée à venir ?

Plus sérieusement, comment les étudiants peuvent-ils suivre ces animations à des moments où se déroulent cours magistraux et séances de TD ? Ne négligeons cependant pas que certains doivent y assister presque contraints et forcés, car ils bénéficieront ensuite de la validation d’une partie de leur année. L’université Lyon – II n’est pas un cas à part. Toutes les universités de France reprennent ce salmigondis idéologique ultra-moderne, y compris Lyon–III désormais épuré de ses brillants enseignants « mal-pensants ». Qu’on ne soit donc pas ensuite surpris par la place négligeable des universités hexagonales dans les classements internationaux. L’enseignement supérieur fourgue une couche supplémentaire d’idéologie inclusive. Guère étonnant dès lors que maints nouveaux bacheliers choisissent des études courtes en IUT qui, à terme, s’ouvriront, eux aussi, à la déconstruction des connaissances si ne surgit pas auparavant une réaction vitale de rejet ontologique de ce néant conceptuel !

Salutations flibustières !

• « Vigie d’un monde en ébullition », n°27, mise en ligne le 5 avril 2022 sur Radio Méridien Zéro.

01:05 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |