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samedi, 09 avril 2022

Il y a dix ans, disparition de François Brigneau

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François Brigneau (1919-2012), Emmanuel Allot de son vrai nom, était l'un des journalistes les plus engagés et, par conséquent, les plus respectés ou détestés, de son époque. Il fut à la fois écrivain, polémiste (à Minute et National hebdo entre autres) et militant (il participa à tous les combats nationalistes de la seconde moitié du siècle dernier). Aux côtés de Jean-Marie Le Pen, il contribua à la création du Front national au début des années 1970. Il est décédé le 9 avril 2012. Ayons une pensée pour lui...

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Jean-Yves Le Gallou : « Immigration, Grand Remplacement… Éric Zemmour a imposé ses thèmes dans le débat »

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Propos recueillis par Yann Vallerie cliquez ici

Jean-Yves Le Gallou, fondateur de Polémia, est devenu il y a quelques mois conseiller d’Éric Zemmour. On lui doit notamment le concept de remigration – le rapatriement d’immigrés extra-européens dans leur pays d’origine. À quelques jours d’une élection présidentielle importante, Yann Vallerie, rédacteur en chef de Breizh-Info l’a interrogé pour savoir comment il a vécu, de l’intérieur, la campagne, mais aussi pour connaitre son regard sur la situation politique, en France, à l’internationale, entre violence politique, guerre en Ukraine ou encore scandale McKinsey.

Entretien, comme d’habitude, sans langue de bois.

Breizh-info.com : Tout d’abord, qu’est-ce qui vous a amené à vous investir dans la campagne présidentielle aux côtés d’Éric Zemmour, vous qui aviez quitté la politique politicienne pour la métapolitique ?

Jean-Yves Le Gallou : La politique ne se réduit pas au combat électoral mais le combat électoral en fait partie.

Et la métapolitique a un double lien avec la politique : par les idées qu’elle diffuse au sein du monde politique (comme elle en diffuse dans les mondes intellectuels, culturels et économiques) ; et à travers les idées que les hommes politiques eux-mêmes reprennent (ou pas) et contribuent ainsi (ou pas) à diffuser

La politique et la métapolitique ne sont pas des mondes étanches.

Prenons un exemple : une femme politique qui par crainte du politiquement correct des médias et de ses adversaires nie le constat du Grand Remplacement fait reculer la prise de conscience et sert – consciemment ou non – l’invasion migratoire et les pouvoirs qui la mettent en œuvre. A contrario un candidat plus disruptif qui « dit ce qu’il voit, et ce qui est plus difficile encore voit ce qu’il voit » (Péguy) fait avancer les choses dans la bonne direction.

Vous avez compris pourquoi Eric Zemmour me paraît préférable à Marine Le Pen.

Breizh-info.com :  Quelles sont les idées qu’Éric Zemmour défend que vous jugez essentielles ?

Jean-Yves Le Gallou : C’est davantage une question de priorités que de propositions. De projet que de programme. De stratégie que de tactique.

Priorités, projet, stratégie sont clairs chez Zemmour : il inscrit son combat électoral dans une seule perspective « que la France reste la France », c’est à dire un peuple de civilisation européenne et chrétienne. Refusant l’islamisation et l’africanisation. Prônant la remigration : 1 million d’étrangers de moins en cinq ans au lieu de 2 millions de plus, cela changerait sacrément les choses ! Et comment imaginer que celles qui n’ont pas le courage de nommer les faits aujourd’hui auraient le courage d’agir demain ?

Breizh-info.com : Comment avez-vous vécu la campagne électorale en France ? Il semblerait que le débat, cette notion pourtant majeure de la Civilisation européenne, ait disparu au profit de la violence politique, de l’anathème, de la « bulle individuelle ». Qu’en dites-vous ?

Jean-Yves Le Gallou : Tout l’art d’une campagne électorale est d’imposer ses thèmes dans le débat.

Eric Zemmour a imposé l’immigration et le Grand Remplacement. Il a aussi fort bien parlé d’instruction et de transmission.

Ses adversaires et les médias ont mis en avant :

  • le feuilleton Covid,
  • le pouvoir d’achat, vrai sujet mais qui se prête à toutes les démagogies : entre le président qui ouvre le chéquier et les oppositions qui se livrent au concours Lépine de la mesure la plus démagogique,
  • et enfin la guerre russo-ukrainienne, propice à la manipulation de l’opinion à travers des images émotionnelles.

Breizh-info.com : Quel regard portez-vous sur les évènements qui se déroulent en Ukraine ? Au-delà de la guerre, ne sont-ce pas les conséquences terribles pour l’Occident, économiquement, qui devraient nous inquiéter ?

Jean-Yves Le Gallou : De Gaulle avait rêvé d’une Europe de l’Atlantique à l’Oural. Et privée de matières premières l’Europe aurait dû nouer un partenariat stratégique avec la Russie : « Paris, Berlin, Moscou » est une logique qui aurait pu prévaloir dans les années 2000. L’occasion a été manquée. C’est la géopolitique de Brezinski qui s’impose, opposant le monde atlantique (Etats-Unis et Europe occidentale) au monde orthodoxe et à la Russie. De l’autre côté la Russie a rallié la géopolitique eurasiste de Douguine. C’est à la charnière de ces mondes qu’ont eu lieu, hier, les guerres dans l’ex Yougoslavie et aujourd’hui en Ukraine. Cette guerre fratricide est profondément triste : des jeunes Européens meurent pour leur patrie respective alors que le pouvoir « woke » de Zelenski s’appuie sur les poitrines des nationalistes pendant que la Russie de Poutine utilise ses milices tchétchènes contre ses frères slaves.

L’Europe sortira de cette guerre plus affaiblie que jamais et dépendante pour ses approvisionnements en énergie des États-Unis et des pays arabo-musulmans. Le licol américain va se resserrer. Avec le « wokisme » qui l’accompagne…

Breizh-info.com : Les élections seront terminées, en juin. Avec à la clé possiblement de grosses déceptions pour ceux qui auraient tout misé sur le jeu électoral. On voit notamment qu’Emmanuel Macron semble tout de même bien parti pour être réélu, avec possiblement derrière une large majorité parlementaire. Du coup, que se passe-t-il après, dès demain ?

Jean-Yves Le Gallou : Une fois n’est pas coutume, je vais citer Jacques Chirac : « C’est à la fin de la foire qu’on compte les bouses ». Il est encore tôt pour tirer les conséquences de la séquence électorale. Reste que la puissance de l’appareil de propagande pour contrôler les esprits et influencer les votes est impressionnante. Notons toutefois que cet appareil de propagande exerce sa tyrannie dans tous les domaines de la vie sociale : entreprise, école, culture, sport. Nous vivons dans une Société-de-Propagande. Thème sur lequel je vais prochainement revenir.

Breizh-info.com : Quels sont les prochains évènements de la fondation Polémia que vous animez ?

Jean-Yves Le Gallou : Nous organiserons un forum de la dissidence le samedi 3 décembre. Il pourrait s’agir d’un décryptage des sondages, de leur rôle dans l’analyse mais aussi dans le formatage de l’opinion. Je ne pense pas seulement ici aux sondages électoraux mais à tous ceux qui sont mis en avant avec des questions souvent biaisés pour faire changer l’opinion des citoyens et des consommateurs. Le sondage est un instrument de l’ingénierie sociale.

Breizh-info.com : Vous avez longtemps travaillé dans une inspection générale interministérielle que pensez-vous de l’affaire Mac Kinse.

Jean-Yves Le Gallou : Au-delà des péripéties (les doublons, les conflits d’intérêt, le coût pour le contribuable, l’évasion fiscale), je crois que le scandale Mac Kinsey est significatif d’un basculement des élites françaises : malgré bien des imperfections, les grands corps de l’Etat, issus de l’X et de l’ENA s’inscrivaient dans une logique de service public ou l’Etat restait un instrument au service de la puissance française ; la logique des cabinets conseils qui recrutent aussi leurs cadres dans les grandes écoles scientifiques ou de commerce est différente : il s’agit de « moderniser » l’administration et la France, sous-entendu de les adapter à la mondialisation marchande et de démanteler leurs structures identitaires. Et au passage d’en tirer profit : l’objectif d’un cabinet conseil ce n’est pas le bien commun c’est le bonus de ses « partners », de ses associés, quitte à en redistribuer un peu à ses collaborateurs.

C’est vraiment un changement de paradigme. Qui a débuté lorsque Sarkozy a lancé la Revue générale des politiques publiques (RGPP), qui s’est poursuivi sous Hollande avec la modernisation de l’administration publique (MAP) et à qui Macron a donné encore plus d’ampleur. Mais enfin de Sarkozy à Macron, il y a une grande continuité : le ralliement de l’un à l’autre est finalement cohérent.

Breizh info cliquez ici

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10 avril : Zemmour, évidemment !

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Didier Lecerf

Les nations, fussent-elles, comme la nôtre, millénaires, peuvent s’éteindre et disparaître. Elles peuvent mourir victimes de leur lassitude, de leurs renoncements, de leurs faiblesses, de leurs petites et grandes lâchetés. Elles peuvent mourir de leur acceptation de l’inacceptable, de la confusion des valeurs et des esprits. Elle peuvent mourir de l’oubli de leurs racines et de leur identité ou, pire, de la honte et du reniement de leur histoire. Elles peuvent mourir de trop écouter et de trop suivre de piètres bergers, démagogues irresponsables ou carriéristes passe-murailles, toujours prompts à renoncer à toute forme de courage plutôt que de risquer de léser leurs intérêts. Elles peuvent mourir de trop écouter et de trop suivre de pâles imitations de femmes ou d’hommes d’État, nains ternes se prenant pour des géants, moutons déguisés en lions qui ne savent que bêler quand il faudrait rugir, et que sauter sur place en criant : « L’Europe ! » ou « La République ! » quand il faudrait s’écrier : « La France ! »

Oui, la France est mortelle. Elle le sent bien, au plus profond de son être, et c’est pourquoi elle souffre… Elle souffre de la crise de son modèle économique et social, de la perte de ses repères, du recul de ses valeurs, de l’amenuisement de sa grandeur. Elle souffre de sa volonté qui s’étiole, de sa cohésion qui se lézarde, de sa souveraineté et de son indépendance qui s’amenuisent, de l’affaiblissement de l’Etat qui l’a fait naître, qui a forgé sa puissance, a permis sa gloire et qui, jusqu’à présent, a été l’artisan et le gardien de son unité et de sa liberté. La « Grande Nation », notre patrie, souffre parce qu’au fond, elle ne peut se résoudre – et c’est tant mieux – à ne plus être qu’1% du monde. Elle ne peut s’y résoudre car, bien au-delà de ces dérisoires 1% d’hommes ou 0,4% de terres, bien au-delà de ses faiblesses, de ses fractures, de ses doutes actuels, la France sait qu’aujourd’hui encore, elle représente bien davantage, et que ses motifs de satisfaction et de fierté, ainsi que ses atouts, sont encore nombreux.

Alors, certes la France se sent menacée. Certes, elle s’interroge, hésite et se cherche. Mais elle veut surtout continuer à exister, debout et libre, parce qu’elle sait qu’elle n’est pleinement elle-même que lorsqu’elle vise haut et se tient droite parmi les autres nations. Notre patrie veut et doit poursuivre son chemin particulier, car elle a encore beaucoup à dire, à faire, à offrir. Plus que jamais, elle attend un espoir, une étincelle, un souffle susceptibles de ranimer sa flamme. Plus que jamais, elle a besoin d’un grand dessein qui lui permette de retrouver pleinement son âme et sa foi dans l’avenir. Pour ce faire, elle a sans doute besoin de femmes et d’hommes nouveaux, mais, surtout, elle a besoin d’une autre politique.

Cette autre politique, salutaire, de reconquête et de redressement national, c’est celle qu’Éric Zemmour nous invite à mettre en œuvre, tous ensemble. Le temps n’est plus au doute, aux hésitations, aux petits calculs, aux arrière-pensées. L’état des lieux est fait, les problèmes et les responsables sont identifiés. Voici venu le temps de la décision et du courage. « De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace et la France est sauvée ! » s’écriait Danton, il y a deux cent trente ans, à la tribune de l’Assemblée législative. Oui, de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace ! Après-demain, dimanche 10 avril, une seule consigne, un seul bulletin : Zemmour, évidemment !

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Samedi 7 mai : Pèlerinage 2022 des Lucs-sur-Boulogne (85)

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10:41 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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Le Parti de la France appelle à voter Eric Zemmour dimanche

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Thomas Joly, président du Parti de la France
 
Dimanche 10 avril, nous avons l'occasion historique de bousculer l'ordre établi en qualifiant au 2nd tour de l'élection présidentielle un candidat qui se propose de mettre en place la remigration - certes imparfaite - des extra-européens indésirables dans notre pays et l'immigration zéro.
 
Rien que pour cette raison, tous les patriotes lucides et sincères doivent apporter leur suffrage à celui dont le projet se rapproche le plus, en bien des domaines, du programme de redressement national du Parti de la France.
 
Ne vous laissez pas influencer par des sondages bidons, commandés par le Système, destinés à vous faire douter. Il n'y a pas de « vote utile » ; Marine Le Pen est l'assurance-vie d'Emmanuel Macron, ne vous faites pas berner. En revanche, il y a un « vote vital », c'est celui en faveur du seul candidat qui souhaite que la France reste la France, que les Français soient Maîtres chez eux.
 
Pour le salut de notre Nation, votez Éric Zemmour !
 

00:07 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |