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mardi, 14 mars 2023

Pierre Jovanovic - Mondialisation : un monde à deux vitesses

En guise d’apéritif, la revue de presse avec Pierre Jovanovic, éditorialiste économique, commence par la folie des insectes dans notre alimentation, nouvelle lubie de la davocratie : la viande, c’est vilain et pas bon pour la planète ! Mais qu’on se rassure, les meilleurs cuisiniers continueront de régaler ces messieurs et dames dans leurs réunions mondialistes.

Pendant ce temps, Rolls-Royce n’a jamais vendu autant de voiture depuis 118 ans, aux dires de son directeur. Ainsi, nous dit-on jamais que le CAC 40 avait atteint son plus haut historique. De même, le chômage est en baisse, les raisons de s’en réjouir sont tempérées par cette explication : seules les catégories A sont bénéficiaires. 

En France, les dirigeants des banques nous disent que tout va bien : BNP et Société Générale ont repris le chemin des bénéfices grâce à l’inflation et à la hausse des taux, mais leur équilibre reste sujet à caution. Cet état de fait se vérifie sur une série de banques en ligne ou d’autres en grand péril, les baltringues banques selon le mot de Pierre Jovanovic. Emblématique est le cas d’Orange Bank en voie de rachat. Mais qu’on se rassure, les banques vous menacent de Tracfin pour les petits dépôts. Pour les grosses sommes, c’est tapi rouge, commissions obligent.

Et le scandale FTX continue de dérouler ses péripéties surréalistes tandis que Crédit Suisse ébranle le système bancaire tout entier. Quant aux médias de grand chemin, ils continuent de nous désinformer. Tout va bien !

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18:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Notre Ami Jean-Claude Rolinat invité par Martial Bild pour parler de son dernier livre : "17 ans dans les tranchées du Front national"

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Pour suivre l'émission : cliquez ici

Souvenirs d’une vie d’apparatchik peu ordinaire… Dans "17 ans dans les tranchées du Front National", Jean-Claude Rolinat raconte avec entrain et émotion ces années de militantisme au sein du FN - canal historique - de 1981 à 1998. L’auteur donne des détails précis et savoureux de la vie interne du mouvement de Jean-Marie Le Pen ponctuée de réunions, de collages et de tractages, d’engagements locaux et régionaux. Le lecteur revit la victoire de Dreux en 1983 où Jean-Pierre Stirbois conclut une alliance locale avec le RPR ! Il observe aussi l’onde de choc de la triste "affaire du détail" ou le terrible montage de Carpentras. Tout au long de l’ouvrage, on ressent la fraternelle chaleur militante mais aussi les échecs électoraux et les ruptures politiques violentes. On découvre enfin les visages de personnalités remarquables, simple militant comme Michel Golliard ou cadres et dirigeants comme Carl Lang, Marie-France Stirbois, Yves de Verdilhac, Jean-Yves Le Gallou, Bruno Megret,  Bruno Gollnisch et bien d’autres. Avec simplicité et minutie, Jean-Claude Rolinat évoque une page de l’histoire de la droite nationale, entre angoisses et espérances.

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Pour acheter le livre cliquez là

14:43 Publié dans Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 15 avril : le programme du colloque de l'Iliade à Paris

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12:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse. Marion Maréchal : « Nous voulons grand-remplacer la droite »

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Entretien avec Charles Sapin Le Point cliquez ici

ENTRETIEN. La vice-présidente du parti d’Éric Zemmour prédit l’avènement d’un nouveau clivage : « droite civilisationnelle » contre « gauche de la déconstruction ».

Qu'importe la déception de la dernière présidentielle, les déboires des législatives… L'ancienne députée FN du Vaucluse, qui a rallié Éric Zemmour il y a un an, presque jour pour jour, croit en l'avenir du parti de l'essayiste, Reconquête !Vice-présidente du mouvement en charge de la formation, elle annonce au Point le lancement d'une école des cadres le mois prochain. Au sein de laquelle elle entend préparer ses troupes au clivage politique qu'elle croit voir venir, opposant une « droite civilisationnelle » et une « gauche de la déconstruction », incarnée selon elle aujourd'hui par la Nupes. Un affrontement qu'elle ne cache pas vouloir mener lors des prochaines élections européennes.

Le Point : Vous êtes vice-présidente en charge de la formation au sein de Reconquête ! Où en est votre école des cadres ?

Marion Maréchal : Cette école va être lancée en avril. Elle constitue l'une des priorités du mouvement pour faire émerger la prochaine génération de responsables politiques de droite. Des moyens importants sont mis au service de ce projet qui répond à une double ambition. Former les mille cadres qui font Reconquête ! pour les mettre au niveau en vue des échéances électorales à venir et les accompagner dans l'implantation locale du parti. Mais aussi détailler, préciser, harmoniser et définir le socle idéologique commun de notre mouvement. L'école dispensera une formation complète, à la fois philosophique, doctrinale et militante. Nous organiserons également des colloques avec des experts pour réfléchir aux grands enjeux de société. Le premier aura lieu sur la question de la légalisation de l'euthanasie samedi prochain. Cette école transmettra les marqueurs politiques qui font notre singularité comme le primat civilisationnel dans notre combat. Dire que la grande question historique, vitale, à laquelle nous sommes confrontés est celle de la sauvegarde de l'identité française, qui implique d'aborder les sujets de la démographie, de l'islamisation et de l'immigration. Moi qui suis une femme, mère de deux petites filles, je sais que le jour où l'islam sera majoritaire en France, les premières victimes seront nous, les femmes, et en premier lieu mes filles, puisque c'est sur leur génération que pèse cette menace.

Hormis la lutte contre l'immigration, quels seront les enseignements prodigués ?

La lutte contre le grand endoctrinement est un autre grand marqueur. L'école ne doit être le lieu d'aucune politisation, ni le terrain de jeu des lobbys. Nous voulons décortiquer la menace idéologique de la théorie du genre, du wokisme, des lobbys LGBT et dénoncer les moyens d'influence qu'ils ont auprès des plus jeunes et les soutiens dont ils bénéficient de la part des pouvoirs publics. Ce sont des sujets difficiles à manipuler, « politiquement incorrects ». Nous allons nous en emparer quand tous, à droite, ont déserté. Il y a un troisième marqueur, qui est la défense de la valeur travail face à l'assistanat et à l'enfer fiscal. Les soi-disant libéraux à la tête de notre pays passent leur temps à alimenter l'étatisme réglementaire et à distribuer des chèques en pagaille. Ils ne remettent en rien en cause le poids d'un État providence ruiné par l'immigration au détriment de l'État régalien et stratège. Notre mouvement a l'ambition d'être une boussole idéologique de la droite, en installant une nouvelle offre politique, la droite civilisationnelle, qui est la réponse la plus adaptée au nouvel adversaire qu'est la gauche de la déconstruction, aujourd'hui incarnée par la coalition de la Nupes.

Depuis la présidentielle, votre formation se veut le chantre d'une « droite civilisationnelle ». N'est-ce pas se tromper de clivage ? Retraites, pouvoir d'achat, mondialisation… La principale ligne de fracture en France se révèle encore et toujours sociale. Pas identitair.

Je ne suis pas d'accord. La question de l'identité fait partie des sujets de préoccupation majeurs et le sera de plus en plus dans les années à venir. Les questions économiques peuvent être fluctuantes, cycliques. Pas les conséquences culturelles et sécuritaires de l'immigration. Regardez la multiplication des viols et d'agressions commises par des personnes ciblées par des obligations de quitter le territoire (OQTF), l'aggravation est terrifiante. La démographie est irréversible, pas la notation des marchés financiers. Nous considérons que la question civilisationnelle est déterminante parce qu'elle détermine toutes les autres. Ne croyez pas qu'un pays peut réussir économiquement s'il est plombé de l'intérieur par une immigration nombreuse et mal intégrée avec un taux de chômage élevé, une violence endémique, une défiance générale entre citoyens alimentés par le communautarisme. Regardez au Danemark, ils ont compris que s'ils voulaient sauver leur État providence, ils devaient réduire l'immigration. C'est ainsi qu'ils ont justifié leur politique. La spécificité d'Éric Zemmour, la force de Reconquête ! est de ne pas arrêter ses positions en fonction de sondages. Lorsque nous défendons des idées, c'est parce qu'on y croit. Non parce qu'elles sont majoritaires.

En répondant pied à pied au mouvement woke, à ce que vous qualifiez de « gauche de la déconstruction », vous faites de Jean-Luc Mélenchon et de sa Nupes vos principaux adversaires. Il ne vous a pas échappé qu'ils ne sont pourtant ni l'un ni l'autre au pouvoir…

Cela va bien au-delà de la personne de Jean-Luc Mélenchon. Ils seront bientôt les principaux adversaires. C'est la trajectoire en cours. Je suis convaincue que la grande opposition politique, demain, se fera entre une droite civilisationnelle au sens large et cette gauche de la déconstruction. Entre nous et cet anti-humanisme de gauche qui déconstruit le peuple par l'immigration, la culture par le multiculturalisme, l'histoire par le déboulonnage des statues, la biologie par la négation des sexes féminin et masculin, la langue par l'écriture inclusive… D'autres dérives viennent, avec la déconstruction de la place de l'homme dans la nature par l'idéologie antispéciste. Tous ces sujets qui paraissent des coquetteries intellectuelles aujourd'hui seront des grands sujets idéologiques demain. Cette gauche qui les porte, relativement marginale il y a encore quelques années, est en train de devenir extrêmement puissante et a d'ores et déjà une traduction électorale. Le socle du centre, tel que nous l'avons connu en France, régnant sur les élections, va s'amoindrir pour des raisons générationnelles et sociologiques. Nous allons assister à une polarisation de la vie politique, sur le modèle américain d'une certaine manière. Parce que la vie et le quotidien des Français sont difficiles à tous les niveaux, il paraît logique qu'il y ait un durcissement de la vie politique. On le voit d'ores et déjà dans la dialectique et la rhétorique de la gauche. La réponse devra être à la hauteur. Loin du centre mou du parti Les Républicains, l'autre parti du « en même temps ».

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L’IVG dans la Constitution, une bien mauvaise idée

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Cédant à l’air du temps, Emmanuel Macron veut inscrire la possibilité pour les femmes d’avoir recours à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution. Pour la philosophe Chantal Delsol, les postmodernes occidentaux sont hantés par le « retour en arrière » au point qu’ils ne tolèrent plus la liberté de pensée et la diversité d’opinion sur des questions sociétales. Chantal Delsol pose les bonnes questions dans un pays où le mainstream devient proprement totalitaire.

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Source : Le Figaro 13/3/2023

09:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

À l'occasion de la sortie de son nouveau livre : Eric Zemmour est invité par Christine Kelly mercredi soir sur C-News

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09:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |