mercredi, 23 août 2023
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Sarah el Hairy, secrétaire d'État à la Biodiversité, aurait été un parfait juge au tribunal de l’inquisition
Sarah el Hairy, secrétaire d'État à la Biodiversité
Bernard Germain
Le député RN Thomas Ménagé ayant osé contester les affirmations et recommandations du GIEC concernant la crise climatique est actuellement victime d’une violente charge de la part de tous les « croyants » des théories fumeuses du GIEC.
C’est volontairement que j’écris « croyants », car la plupart de ceux qui s’expriment sur ces sujets sont juste des convertis n’ayant aucune connaissance sur le sujet et se contentant de répéter la messe, sans même s’interroger sur ce qu’ils affirment et professent.
Tenez, faites un petit test : interrogez autour de vous les gens qui affirment que le GIEC a raison et posez leur cette simple question : quel est le pourcentage de CO2 dans l’air (atmosphère) ?
Fort peu sauront vous répondre (0,04%). Et pourtant, alors qu’ils ne savent même pas ce qui est pourtant une information des plus basiques, ils prennent fait et cause pour le GIEC.
La raison en est simple : les thèses du GIEC sont un dogme quasi religieux. Donc on y croit ou pas, mais ça ne se discute pas. Et si vous doutez vous êtes diabolisé et classé « climato-sceptique », ce qui dans le domaine revient à se faire traiter d’extrême droite en politique.
Et comme dans toutes les histoires de croyances religieuses, si vous osez contester, il y a des accusateurs - l’inquisition espagnole ou romaine hier, les bien pensants et leurs médias aujourd’hui - et leurs agressions verbales ou plus.
Dans le cas de Thomas Ménagé, il y a eu par exemple Sarah el Hairy, secrétaire d'État à la Biodiversité, qui a osé qualifier ces paroles de "propos honteux et graves". On croit rêver. En bon français, cela veut dire que ce député n’a même pas le droit d’exposer un point de vue qui conteste la thèse «officielle» du GIEC reprise par les gouvernants.
Heureusement pour ce député que nous ne sommes pas en 1600, car sinon il aurait connu le même sort que le philosophe Giordano Bruno, brûlé vif sur un bûcher par l’inquisition romaine pour avoir soutenu la conception copernicienne de l’univers. À savoir que la terre n’est pas le centre de l’univers, mais qu’elle tourne sur elle-même et autour du soleil qui est le centre de notre galaxie.
Il a failli arriver la même chose à Galilée en 1633. Il n’évita le bûcher et la mort que grâce à une déclaration faite par lui devant le tribunal de l’inquisition et reconnaissant qu’il renonçait à soutenir la théorie de Copernic. Après sa déclaration, il aurait murmuré : « et pourtant elle tourne ».
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