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lundi, 12 mai 2025

Répression et remigration : les seules réponses face à la barbarie

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Samedi à Evian, un pompier a été grièvement blessé par un voyou de 19 ans qui l'a volontairement percuté lors d’un énième rodéo urbain.

Cette barbarie n’est pas un fait divers : c’est le symptôme d’une société gangrenée par la lâcheté politique et le laxisme judiciaire. Quand nos soldats du feu, ces héros du quotidien, deviennent des cibles pour une racaille sure d’elle-même et impunie, c’est que l’État a abdiqué.

Il ne suffit plus de « condamner fermement » ou de faire semblant d’« ouvrir une enquête ». Il faut des actes. L’insécurité ne se combat pas avec des lamentations et des indignations médiatiques mais avec une répression implacable. Assez de cette justice qui relâche ou condamne la vermine à des peines dérisoires !

Le Parti de la France exige l’expulsion systématique des criminels et délinquants étrangers à l’issue de leur peine, avec toute leur famille. La France n’est pas un centre de loisirs pour caïds enragés. Il est temps de rendre la peur aux voyous et la sécurité aux Français.

19:34 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La dictature européiste s’accentue et tente de se renforcer, l’exemple de la Roumanie, l’Allemagne et la France

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Michel Festivi 

Plus la bête est blessée, plus elle devient méchante donc dangereuse, c’est bien connu. Partout en Europe les tenants de l’européisme débridé, sous la houlette de la Commission européenne, d’Emmanuel Macron, de Friedrich Merz qui vient de s’allier avec la gauche allemande, trompant 14 millions d’électeurs qui avaient cru élire un Chancelier de droite, s’organisent. De Donald Tusk premier ministre polonais, en passant par Keir Starmer qui pourchasse les patriotes en Grande Bretagne, et qui impose une censure féroce contre ceux qui dénoncent l’immigration sauvage, et sous la supervision organisationnelle et financière de George Soros, ils tentent tous d’empêcher les peuples de s’exprimer et n’hésitent pas à faire annuler des élections qui avaient porté au pouvoir des hommes décidés à ne pas se laisser coloniser par les superstructures mondialistes, qui veulent abattre les nations.

Commençons justement par la Roumanie qui est en pleine actualité électorale, puisque George Simion, qui incarne le renouveau contre Bruxelles et ses tentacules totalitaires, est arrivé largement en tête avec plus de 40% des voix, et qu’il peut dès le 18 mai, effacer l’affront considérable du 6 décembre 2024, qui a vu une élection annulée, parce que le candidat national-conservateur allait l’emporter, sur de simples soupçons, qui n’ont jamais vu le moindre commencement de preuves au demeurant.

Simion dénonce cette dérive totalitaire que vivent bon nombre de pays européens actuellement. Il alerte sur une vague massive de désinformation qui est en train de se mettre en place contre lui et le peuple roumain « savamment orchestrée par des médias mondialistes, dont nombre sont financés par des organisations à la solde de Soros ». Les fraudes électorales sont possibles en Roumanie, car sur 19 millions d’habitants, 18 millions sont inscrits sur les listes électorales ce qui parait totalement impossible et ubuesque. Il y figure toujours des millions de morts, qui potentiellement peuvent voter par tricheurs interposés. Et ce d’autant plus qu’il considère que « les cadres communistes du régime de Ceausescu sont toujours aux commandes, sous un vernis européen ». Bon sang totalitaire ne saurait mentir ! (Cf son passionnant entretien dans The Epoch Times du 11 mai). 

L’Allemagne voit renaître, elle, un déferlement d’atteinte considérable à la démocratie, depuis les dernières élections législatives, qui ont vu l’AFD réalisée un score à plus de 20%, ce qui n’était jamais arrivé dans ce pays depuis 1945 à des élections générales. Cette secousse tellurique a littéralement affolé les tenants d’un ordre mondial aseptisé. La CDU qui n’a pas obtenu la majorité absolue qu’elle convoitait, s’est empressée de faire alliance avec la gauche, le SPD, qui avait connu l’un des plus mauvais résultats de son histoire. Immédiatement, les sondages pointaient l’AFD au coude à coude avec la CDU. Il n’en fallait pas plus pour que le système organise une énième tentative d’interdiction de l’AFD. En tout cas, et pour la première fois de l’histoire politique de la RFA, Merz a échoué à être élu par le Bundestag, au premier tour de scrutin, ce qui démontre un malaise croissant.

Effectivement, et seulement quelques jours avant l’intronisation difficile du nouveau Chancelier, les services de renseignement intérieur ont classifié l’AFD « comme parti extrémiste de droite », la mettant juridiquement sous surveillance, car pouvant représenter un danger pour l’ordre démocratique et obtenir ainsi son interdiction. Aussitôt, Donald Trump et J.D Vance ont fustigé cette décision qui bafoue plus de 10 millions d’Allemands, qui sont de plus en plus nombreux à voter pour ce parti. Cette volonté de fouler au pied la démocratie, provoque actuellement de vives tensions politiques outre-Rhin. Suite à un recours intenté par l’AFD devant la juridiction administrative de Cologne, cette résolution inique a été provisoirement suspendue, dans l’attente de l’arrêt à intervenir. La démocratie n’est pas respectée en Allemagne, parce que tout simplement la CDU s’est une fois de plus acoquinée avec la gauche, alors que Merz avait promis un virage conservateur. Que cela nous serve d’exemple en France et fasse réfléchir les électeurs.

Justement chez nous, nous subissons peu ou prou, les mêmes avanies anti-démocratiques. Non seulement les Juges ont pris le pouvoir avec l’accord implicite des politiciens du système bien trop satisfaits de ne pas prendre leurs responsabilités, en détricotant les quelques mesures un tant soi peu de bon sens, mais dès que l’on leur en donne l’occasion, ils se mettent à décider, sur des fondements juridiques des plus contestables, qui peut se présenter à une élection ou pas. Déjà, Nicolas Sarkozy avait donné de sérieux gages à Bruxelles en passant outre le referendum gagné par le peuple en 2005, en imposant le Traité de Lisbonne, que sa majorité parlementaire, ainsi que la gauche vota.    

Alors que tous les sondages d’opinion qui se succèdent, révèlent que les français, même de gauche, à une très large majorité, entendent que l’on organise des referendums sur l’immigration ou la sécurité publique, les tenants d’une Europe bruxelloise et mondialisée ont beau jeu de nous expliquer que cela n’est pas possible en l’état de nos textes constitutionnels, sans penser un seul instant à les modifier. Car les résultats de ces consultations populaires sont bien connus d’avance, et il est hors de question pour le système de les organiser.

Des jours sombres se profilent donc, sauf si les électeurs réagissaient en masse et ne se laissaient pas subvenir par les sirènes de ceux qui prétendent renverser la table, mais qui n’ont en réalité qu’une seule ambition, laisser les choses en l’état.

15:51 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

INDE/PAKISTAN : « Tour de chauffe » ou hache de guerre enterrée ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat  

Pour la énième fois depuis leur indépendance, les deux pays se sont affrontés aux frontières du Cachemire. Il est probable que seule la possession de l’arme nucléaire par les deux parties a retenu la main de leurs dirigeants respectifs.

Le front s’est soudainement embrasé après l’attentat islamiste du 22 avril dernier ayant causé la mort de 26 personnes dans la ville indienne de Pahalgam. Pressentant des représailles de la part des autorités de New-Delhi, le représentant d’Islamabad aux Nations-Unies alertait, dans la foulée, la communauté internationale, du désir de vengeance de l’Inde et de l’imminence d’une attaque de l’Indian army.

Cette dernière ne pouvait pas ne pas riposter, d’une façon ou d’une autre, à cette provocation pakistanaise. Provocation dont il n’est pas certain qu’elle ait été volontaire, les mouvements terroristes séparatistes du Cachemire indien lui échappant parfois, peu ou prou. Le pays des « hommes purs », dirigé par Shebaz Sharif - frère cadet de Nawaz, leader de la Ligue musulmane -, a immédiatement  réagi en affirmant que le Pakistan « est uni derrière ses courageuses forces armées prêtes à protéger chaque centimètre carré de la patrie ».

Tirs d’artillerie, échanges de missiles et raids aériens ont ponctué une semaine de combats de basse intensité, aucun des deux rivaux ne voulant s’embarquer dans un conflit majeur, qui ne pourrait aboutir qu’à la mutuelle destruction des deux nations, chacune possédant l’arme suprême. (Mais l’expérience nous enseigne que l’on sait quand commence un conflit, et que l’on ignore quand il cessera !)

Le Cachemire, une vieille pomme de discorde

Au moment du partage sanglant de l’Empire des Indes britanniques entre Hindouistes et Musulmans en août 1947, la Principauté du Jammu et Cachemire - dont la population était majoritairement musulmane -, fut arbitrairement rattachée à l’Inde le 27 octobre suivant, car le  maharadjah Hari Singh, de confession hindouiste, en avait décidé ainsi. Les troupes indiennes arrivèrent juste à temps pour sauver sa capitale, Srinagar, assiégée par des envahisseurs islamistes cornaqués par des officiers pakistanais.

Toute la portion de territoire cachemiri restée aux mains des insurgés musulmans et de l’armée pakistanaise, fut placée sous contrôle du Pakistan sous le nom « d’Azad-Cachemire » à compter du cessez-le-feu intervenu seulement en janvier 1949 !

Depuis cette époque, la tension n’a jamais cessé dans la région, et une rébellion récurrente agite le Cachemire sous administration indienne, soutenue par la population pakistanaise de l’Azad Cachemire. Face aux risques de troubles graves et à la menace de subversion, le gouvernement indien révoqua le 5 août 2019, le statut d’autonomie, qui avait fait de cette région un État membre comme les autres, de l’Union indienne.

Ce nouvel épisode de fièvre entre les deux parties, n’est certainement pas le dernier, ni le premier. Il faut se rappeler qu’en 1971, l’Inde encouragea l’explosion du Pakistan pour mieux diminuer ses capacités de nuisance, un État alors divisé en deux parties, séparées de plusieurs milliers de kilomètres - capitales respectives Karachi et Dacca -, et facilita la création dans sa zone orientale , du Bangladesh, République souveraine et distincte du Pakistan. Toujours la fameuse application du « diviser pour mieux régner » !

Mais le gouvernement d’Islamabad dispose d’au moins deux leviers d’action contre son voisin : les 14 à 16 % d’Indiens de religion musulmane qui vivent au cœur du pays, et une kyrielle de mouvements terroristes séparatistes actifs ou plus ou moins  mis en veilleuse – Front de Libération du Cachemire, Harkat-al-Jihad islami, Lashkar-e-Toiba, Jaish-e-Mohamedi, etc. -,  tandis que New-Delhi peut à tout moment agiter le spectre du détournement des eaux de l’Indus. Un fait nouveau et inédit, les deux capitales ont suspendu leurs traités bilatéraux. Tout ceci n’augure rien de bon dans le sous-continent indien. Affaire à suivre, comme on dit….

15:41 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sarah Knafo invitée de LCI dimanche soir

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10:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi 12 mai, à Paris : colloque sur le racisme antiblanc organisé par Identité & Libertés

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10:56 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi et dimanche à Paris : colloques et Hommages à Sainte Jeanne d'Arc

Celui de l'Action française :

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Samedi : colloque de l'AF avec comme invité

l'ancien ministre Charles Millon

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Dimanche matin : défilé en l'honneur de Jeanne d'Arc

et celui des nationalistes :

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Samedi : le Forum de Jeune nation

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Dimanche : devant la statue de la Place des Pyramides

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Intervention d'Yvan Benedetti

10:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |