Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 09 octobre 2023

4 MOIS DE PRISON FERME POUR UN MILITANT DE L'ORIFLAMME À LA SUITE D’UNE ACTION BANDEROLE PRÈS DE RENNES

F8BLaaiXgAE19uf.jpeg

A Saint Senoux (près de Rennes), il y a quelques semaines, un groupe de militant du mouvement nationaliste local l'Oriflamme a déployé une banderole pour protester contre une conférence LGBT dans une école.

La police, toujours plus gaillarde lorsqu'il s'agit d'arrêter de pacifiques patriotes que les racailles qui vendent de la drogue dans les quartiers, a interpelé ces militant. Le verdict est tombé : l'un d'entre eux vient d'être condamné à 4 mois de prison. 

La répression macronienne continue à sévir... La détermination de la résistance nationale et identitaire se renforce !

Nous donnerons très bientôt la parole à l'Oriflamme.

S.N.

23:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La milice djihadiste sanguinaire des Frères Musulmans, dont le Hamas fait partie, menace aussi les Français. Signez la pétition pour les repousser hors de France !

unnamed.jpeg

La milice djihadiste sanguinaire des Frères Musulmans, dont le Hamas fait partie, menace aussi les Français. Signez la pétition pour les repousser hors de France !

Le Hamas mène en Israël une guerre brutale, sanguinaire. C'est un groupe djihadiste directement issu des Frères musulmans, mouvance qui n’est toujours pas interdite en France.

La devise du Hamas ne fait pas référence au nationalisme palestinien comme l’extrême gauche fait semblant de le croire.

Non, la devise du Hamas est la suivante : « Allah est sa cible, le Prophète est son modèle, le Coran sa constitution : le Jihad est son chemin et la mort pour l'amour d'Allah est le plus élevé de ses souhaits ».

Voilà ce qu'est le Hamas. Pas un mouvement de libération nationale, pas une ligue révolutionnaire : un groupe islamique, une milice dji-ha-diste !

Et comme il l'a toujours fait, au Moyen-Orient, en Asie ou en Occident, le djihad s'en prend aux civils et aux innocents. La cruauté de son attaque laisse sans voix.

Quelle est cette culture qui ose prendre en otage une grand-mère qui a déjà connu tant de guerres avec des kalashnikovs ?
Quelle est cette culture qui crache sur le corps d'une jeune femme, nue, souillée et désarticulée, jetée à l'arrière d'un camion ?
Quelle est cette culture, qui, comme au Bataclan, surprend des jeunes gens en pleine fête, pour leur tirer dessus et les abattre comme des chiens ?
Quelle est cette culture, qui comme dans l’école juive de Toulouse tire dans la tête d’un enfant parce qu’il est Juif ?

Et que dire des millions de fans du Hamas qui vivent chez nous, en Europe, en France, dans nos rues, qui se réjouissent en ce moment même au cœur de nos banlieues et parfois même sur les bancs de notre Assemblée nationale ?

Pourquoi ce conflit tragique, qui a lieu si loin de chez nous, doit-il immédiatement impliquer une protection aux abords de nos synagogues et de nos écoles ?

Éric Zemmour le dit depuis des années : la présence massive des adorateurs du Hamas sur notre sol fait peser un risque sur les Français de confession juive comme sur chacun d'entre nous.

Les djihadistes qui frappent Israël aujourd'hui sont les mêmes que ceux qui ont tué dans notre pays ces dernières années. Ils ont la même loi, les mêmes ennemis, les mêmes méthodes. L'internationale djihadiste frappe partout.

Partout, elle peut compter sur les mêmes soutiens. Et la gauche française en fait honteusement partie. Une nouvelle fois, elle a franchi le Rubicon ; elle s'est soumise et s’est deshonorée.

Demandez l’interdiction des Frères musulmans tout de suite en signant cette pétition :

Signez la pétition pour demander :

  1. L'interdiction des Frères Musulmans dont est issu le Hamas et la dissolution de toutes les associations qui leur sont liées.

  2. L'expulsion des étrangers fans du Hamas pour apologie du terrorisme, comme de tous les fichés S étrangers ou double nationaux.

Pour signer la pétition cliquez ici

23:23 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cachez ces électeurs français du Hamas…

B9735244179Z.1_20231008091929_000+G28NJGR3J.1-0.jpg

La chronique de Philippe Randa

En France, la classe politique est quasi unanime à condamner l’attaque du Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, contre Israël : seul le parti de la France insoumise fait entendre un autre son de cloche avec un communiqué explicite : « L’offensive armée de forces palestiniennes menée par le Hamas intervient dans un contexte d’intensification de la politique d’occupation israélienne à Gaza, en Cisjordanie et à Jérusalem Est », renforcé par le tweet tout aussi explicite du député insoumis Louis Boyard : « Trop longtemps que la France ferme les yeux sur la colonisation et les exactions en Palestine. Trop longtemps que la France renvoie dos à dos la violence de l’État israélien et celle de groupes armés palestiniens. Des années d’inaction et toujours les civils qui en paient le prix. Comment s’habituer à l’horreur ? »

Une façon de renvoyer dos à dos les protagonistes, l’attaque « terroriste » de l’un ne faisant que répondre à l’oppression tout autant « terroriste » de l’autre.

Tollé donc dans le landerneau politique français contre le mouvement de Jean-Luc Mélenchon : le maire de Reims et vice-président du conseil régional du Grand Est Arnaud Robinet exige même la levée de l’immunité parlementaire des députés LFI.

On peut être d’accord ou non sur le constat fait par l’extrême gauche, mais il relève avant tout de la liberté d’expression et, exprimé par des membres de l’Assemblée nationale, c’est aux électeurs du Parti mélenchoniste et à eux seuls d’en juger la pertinence, en leur âme et conscience… et d’en tirer éventuellement toutes les conséquences électorales.

Et justement, remarquons qu’étrangement, les commentateurs, journalistes ou politiques, qui ne voient dans une telle posture politique qu’une démarche électoraliste, se gardent bien d’en tirer, eux aussi, les évidentes conclusions. Certes, elles ne sont guère politiquement correctes et c’est sans doute là que le bât blesse le plus.

Constater chaque jour depuis des années maintenant que la gauche mélenchoniste cajole les populations d’origine extra-européenne et plus particulièrement musulmane pour obtenir leurs suffrages est une évidence…

Mais pourquoi donc personne ne fait alors le constat que ces populations – qui ne doivent guère être horrifiées plus que cela par les actions du Hamas – représentent désormais dans notre pays une masse non négligeable (euphémisme) de citoyens français… capable, le cas échéant, de faire basculer une élection ?

Les députés LFI ne sont donc que les représentants parfaitement légitimes d’électeurs en bonne et due forme ; ces électeurs-là seraient-ils alors des Français de seconde zone ? Envisage-t-on de les priver de suffrages universels pour cause d’« immoralité » politique ?

Certains veulent le vivre ensemble ? Oui, mais avec le Hamas, donc ! Ne leur en déplaise !

18:21 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Allemagne : Deux superbes victoires électorales pour l’AFD

Unknown.png

Michel Festivi 

Ce dimanche 8 octobre, dans deux des régions les plus riches d’Allemagne, la Bavière, l’un des Land les plus grands et les plus peuplés du pays, et dans la Hesse qui a Francfort comme capitale, loin de ses bases de l’Est du pays, l’AFD a démontré qu’elle avait bien le vent en Poupe.

Les partis gouvernementaux, le SPD, les Verts et les Libéraux ont subi une défaite cuisante, démontrant l’inquiétude grandissante des allemands sur l’immigration massive et la détérioration économique qui s’empare de l’Allemagne.

En Bavière, si la CSU, un avatar bavarois de la CDU, obtient 37% et 85 députés maintenant tout juste son score de 2018, l’AFD concurrencé par un parti régional très droitier le FW, obtient 14,60% des voix, soit plus de 4 points qu’aux dernières élections et 32 sièges, 10 de plus que précédemment.

L’AFD devance les Verts, et le SPD qui s’effondre avec 8,40%.

En Hesse, si la CDU obtient un très bon résultat avec 34,6% et 52 députés, l’AFD est désormais le deuxième parti avec 18,4%, 5,3% de plus qu’en 2018 et 28 sièges soit 9 de plus qu’à la précédente consultation.

Elle domine largement le SPD, les Verts et les Libéraux du FDP qui avec 5% se maintiennent in extremis pour la répartition des sièges.

Compte tenu du fait que les fiefs de l’AFD se situent dans les régions pauvres et déshéritées de l’Est du pays, ce sont de très belles victoires, qui en appellent d’autres. Le week-end dernier l’AFD a été à deux doigts de remporter au second tour une mairie de plus de 35 000 habitants.

Pourtant ce Parti est vilipendé par toutes la classe politique et les élites. Il est brimé, martyrisé judiciairement et politiquement. Cela nous rappelle aussi la situation française. La CDU trahit complètement ses électeurs, qui tous n’ont pas encore compris, pour l’instant... 

12:23 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Espagne se refuse à mourir : très importante manifestation à Barcelone pour une Catalogne espagnole.

téléchargement.jpeg

Michel Festivi 

Ce dimanche 8 octobre, l’organisation citoyenne : Société Civile Catalane, avait appelé au refus de l’amnistie pour ceux qui avaient violé la constitution en 2017, en organisant ce référendum illégal sur l’indépendance de la Catalogne, et au rejet de tout autre référendum.

Ce fut un très grand succès, d’autant que les partis politiques n’y étaient pas conviés officiellement, mais on a noté la présence à titre personnel d’Alberto Nuñez Feijoo le Chef du Parti populaire et de Santiago Abascal, le patron de Vox.

Déjà il y a une quinzaine de jours, une grande manifestation réunissant plus de 40 000 personnes, mais organisée à Madrid par le Parti Populaire, avait connu une grande réussite. Cette fois ci, dans le fief même des indépendantistes catalans et du Parti Junts, avec ses 7 députés qui permettraient à Pedro Sanchez d’être investi, le peuple espagnol et catalan a dit non et à l’amnistie et à l’organisation d’une nouvelle consultation sur l’indépendance de la Catalogne.

Les opposants à Carlos Puigdemont et à Pedro Sanchez scandaient « Nous avons cessé d’être la majorité silencieuse ! Vive l’Espagne ! ». Les principaux cris de ralliement furent : « Non à l’amnistie, Sanchez démission, Puigdemont en prison ». Car Puigdemont, avait courageusement quitté l’Espagne dans le coffre d’une voiture, et s’était réfugié en Belgique avec ses lieutenants, pour ne pas être incarcéré, compte tenu des condamnations qui lui ont été infligées.

Pedro Sanchez, que vient de désigner Felipe VI pour qu’il tente d’obtenir des Cortès l’investiture, après l’échec de Feijoo, a cruellement besoin du vote positif des 7 députés de Junts, le parti de Puigdemont.

En tout cas les images télévisées du cortège pour la catalogne espagnole étaient impressionnantes, les commentateurs les plus objectifs ont fait valoir que le cortège approchait voire dépassait les 200 000 personnes, et non pas 50 000 comme l’avait insinué la police du gouvernement séparatiste catalan.

De nombreuses personnalités ont pris la parole, pour dire tout le mal qu’elles pensaient de la politique de Pedro Sanchez, prêt à toutes les compromissions pour conserver le pouvoir. De nombreuses pancartes étaient brandies avec la mention « Pedro Sanchez mentiroso ». Le journal de centre-droit El Español, titrait : « Société Civile mobilise plus de 50 000 personnes contre une amnistie qui sert uniquement le pouvoir ». Quant au journal bien plus droitier, El debate, il évoquait la répulsion de Barcelone contre l’amnistie et reprenait les propos du socialiste, ex maire de La Corogne, Francisco Vàzquez, très applaudi, s’exclamant que les socialistes et les indépendantistes : « voulaient faire un Venezuela ».

Car pendant toute la campagne électorale, ni l’amnistie, ni le référendum ne furent un thème de campagne, et jamais ces questions ne furent mises sur la table par le PSOE et son Chef. Donc les électeurs n’ont donné aucun mandat ni pour amnistier les félons, ni pour provoquer un nouveau référendum.  En réponse à cette perfidie, de nombreux participants entremêlaient les deux drapeaux, celui de l’Espagne, et celui de la Catalogne, exprimant ainsi leur volonté de voir leur Région rester dans l’Espagne, que la Catalogne fasse partie de l’Espagne, de sa grandeur et de son Histoire.

Peut-être aussi voulaient-ils exprimer leur ras le bol de la dictature catalaniste qui pourchasse la langue Castillane et qui briment tous ceux qui veulent continuer, en Catalogne à parler la langue de Cervantès, imposant le seul Catalan  et refusant d’appliquer les lois qui imposent qu’au moins 25% des cours se fassent en espagnol dans les écoles et les lycées.

C’est en voyant tout ce peuple se dresser contre la partition, que l’on regrette amèrement que le Roi n’ait pas eu la force morale nécessaire pour refuser toute autre nomination, et ainsi renvoyer le peuple aux urnes.

Compte tenu du fait que les partis séparatistes catalans et basques, et le parti indépendantiste Junts, avaient dénié se rendre au Palais Royal, comme les usages constitutionnels l’imposent pour donner leur position, Felipe VI, avait un argument simple pour refuser de désigner Pedro Sanchez. A la vue de cette foule joyeuse, pacifique mais déterminée, défiler dans les rues de Barcelone, on ne peut s’empêcher de penser, que ce monarque ne mérite pas d’être au Palais d’Orient.

12:19 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hervé Carresse – Ukraine : stratégies, réalité militaire et prospective

Près de 600 jours après l’entrée des troupes russes en Ukraine, le conflit est loin d’être terminé, mais les lignes de front sont stabilisées depuis plusieurs semaines. Les Russes, après une première étape optimiste, ont décidé depuis longtemps de miser sur l’attrition du camp d’en face formé par les combattants ukrainiens, mais aussi l’appui occidental, aussi bien sur le plan militaire que stratégique.

L’Ukraine et la Russie voient toutefois leur engagement respectif dans le conflit bien différemment. Pour la première, une guerre totale qui affaiblit son économie, son territoire, mais aussi et surtout son peuple. Pour la Russie, un conflit à la portée civilisationnelle, soutenu par sa population et dont les dommages financiers restent encore contenus.

À l’orée d’un nouvel hiver synonyme de difficultés croissantes sur le terrain, l’ancien militaire Hervé Carresse (État-Major de l’Armée de Terre et BSPP) livre son analyse objective du terrain. Il présente les centres de gravité des deux camps, leurs points forts et leurs faiblesses et dresse les différents scenarii pour la suite de cette guerre fratricide aux portes de l’Europe.

Capture d’écran 2023-10-09 à 10.33.13.png

11:16 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le retour du problème palestinien

24727431lpw-24728094-mega-une-israel-jpg_9642125 - copie.jpg

Jarente de Senac

Cela fait des décennies que le Moyen-Orient est un baril de poudre. Et plusieurs raisons en sont la cause. La première qui nous vient à l’esprit est le refus par Israël de la constitution et de la reconnaissance d’un Etat palestinien. Confinés dans la bande de Gaza, les Palestiniens n’ont eu de cesse d’harceler les Israéliens. On a encore en mémoire Yaser Arafat.  L’autre aspect du problème est religieux. Mais pas du tout, aussi curieux que cela puisse paraître, entre les juifs et les musulmans, la Torah et le Coran. De ce point de vue, Juifs et Arabes ont toujours cohabité partout où ils ont dû vivre ensemble. Pour une raison très simple d’ailleurs, les Juifs ne sont pas prosélytes.

Non, le problème religieux est la guerre d’influence que ne cessent de se livrer chiites et sunnites. Deux pays avaient pacifié ce conflit : l’Irak et la Syrie. Saddam Hussein et le père Hafez al-Assad comme son fils Bachar, tous deux alaouites par ailleurs. Mais les Américains ont débarqué avec leurs gros sabots et sont venus mettre ces deux pays à feu et à sang. Sans compter la destruction pure et simple du Liban qui a longtemps joué un rôle de catalyseur. Le résultat des courses est l’entrée de l’Iran chiite, nouvelle image du diable pour Israël, dans la danse et surtout l’accord passé par Israël avec l’Arabie saoudite. Ravalant le problème palestinien dans les limbes. Par cette déclaration de guerre, les Palestiniens veulent montrer qu’ils n’entendent pas être exclus de la géopolitique du Moyen Orient et que la résolution du problème palestinien reste d’actualité. Alors, ils se sont résolus à une guerre classique, très meutrière, car ce sont les populations qui paient l’addition. C’est Stalingrad au Moyen-Orient.  Et nul ne peut dire comment cela va se terminer.

08:37 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Attaques du Hamas contre Israël : la réaction de Eric Zemmour

264621400_292891122851192_6182086905835534142_n.jpg

00:30 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |