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dimanche, 25 août 2024

Un nouvel âge des ténèbres ou le réveil de l’Occident aveuli ?

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Bernard Plouvier

1 - La décadence des vieux peuples civilisés…

Dans son roman Classe 22 (publié en Allemagne en 1928 et en français l’année suivante), l’excellent romancier Ernst Glaeser, ni marxiste, ni national-socialiste, décrivait l’ambiance fin de civilisation régnant dans le Reich en 1918, vaincu par le blocus ennemi et par la révolution judéo-bolchevique davantage que par les victoires militaires alliées : « La classe patricienne meurt. Une nouvelle classe, dont la philosophie de la vie est différente de la nôtre, prend les commandes ».

Cette description est applicable à l’effondrement actuel de la civilisation humaniste en Europe occidentale et scandinave, sous l’assaut d’une invasion extra-européenne massive et de l’islam conquérant, sectaire, intolérant et meurtrier : le nombre d’Européens massacrés au poignard depuis 15 ans – en période de paix, du moins officielle - atteint le chiffre hallucinant de près d’un demi-millier !  

À l’œil de l’historien ou du philosophe, un culte s’avère totalitaire s’il exige du fidèle une absolue obéissance au dogme et une soumission aveugle à ses rites et à ses pratiques. Qu’il soit d’inspiration politique – ce fut le cas de la barbarie marxiste - ou d’essence religieuse – l’islam en est un excellent exemple -, le mouvement veut saisir l’homme dans son intégralité : esprit et corps à la fois, voire cette âme, censée représenter une émanation de la divinité.

Quoi qu’on en dise, les deux phénomènes totalitarisme politique et totalitarisme religieux sont de même nature, naissant tous de la perversion de la conscience éthique de l’être humain.

Une théocratie réclame son dû au nom du dieu, présenté comme seul authentique - les autres n’étant que le fruit de l’imagination délirante d’imposteurs. Un totalitarisme politique pose la même exigence au nom d’un idéal social, patriotique ou racial. Et certaines croyances mêlent leur dieu à l’imposition d’un racisme endogamique ou d’un égalitarisme, qui reste toujours théorique, car le haut-clergé et les haut-dignitaires de l’État restent toujours au-dessus des lois : en régime non-démocratique, il existe toujours des gens « plus égaux » que d’autres !

Il n’est rien de nouveau dans tout cela, et depuis la plus haute Antiquité. Généralement, les grands-prêtres d’un culte finissent par adoucir leur sectarisme, en dépit de nombreuses protestations de fanatiques menant un combat d’arrière-garde. Le mouvement accomplit alors une Renaissance humaniste, dans laquelle s’instaure une cohabitation entre fidèles et libres-penseurs, non sans agressions verbales et littéraires, cela va sans dire ! Seules une débâcle économique majeure ou une défaite militaire écrasante peuvent faire disparaître le mouvement.

Le drame de l’Occident des premières décennies du XXIe siècle était prévisible dès les années 1970. Était alors en gestation le réveil d’un islam agressif, conquérant, intolérant et l’implantation de théocraties en pays mahométans. Et tout cela était directement provoqué par la générosité des Occidentaux, payant d’énormes royalties alors qu’ils avaient découvert puis réalisé à grands frais l’exploitation des richesses enfouies depuis des millénaires dans le sous-sol des pays mahométans, que les autochtones avaient été trop arriérés pour les détecter et les commercialiser !  

Dans les années 1944-45, Adolf Hitler en avait perçu les prémices, mais ses vainqueurs, occupés à se congratuler de leur victoire et à se partager le monde, ne trouvèrent rien de mieux à faire sur le moment que d’écraser de façon sanglante les indépendantistes – soit les islamistes et leurs inspirateurs marxistes.


2 – … profite aux sous-évolués agressifs

Après la défaite de l’esprit colonial, devenu soudain un objet de répulsion pour les opinions publiques occidentales infestées de marxisme et de féminisme, après l’octroi de l’indépendance à des nations hétérogènes et de mentalité féodale, les Occidentaux poussèrent la sottise jusqu’à laisser envahir leurs continents (l’Europe et l’Amérique du Nord) par les innombrables rejetons déçus du médiocre résultat de la décolonisation. Car aux nullards médiévaux, avaient succédé des leaders politiques, militaires et religieux qui ne pensaient qu’à faire fortune !

À l’immigration-invasion, l’on ajouta, en Europe ex-colonisatrice, une très sotte repentance pour d’indéniables erreurs commises par une minorité de colons esclavagistes et une poignée de militaires abrutis, ainsi qu’un très absurde silence à propos de l’extraordinaire avancée civilisatrice qu’avait été la colonisation par l’Occident de peuplades restées jusque-là soit au niveau du néolithique, soit à l’équivalent technique du Moyen Âge européen.

Les impératifs miniers et commerciaux dictaient cette conduite aux politiciens d’Occident et à leurs serviles agents de communication : les affaires devaient continuer, décolonisation bâclée ou pas ! Et mesdames et messieurs les potentats des pays ex-colonisés étaient à la fois très susceptibles et très gourmands. Quelle meilleure façon y avait-il pour eux d’offenser les ex-colonisateurs blancs que de favoriser un culte exotique ?

L’animisme semblait trop primitif et le bouddhisme trop peu adapté à l’énergie destructrice de peuples saturés de jeunes gens agressifs. L’islam était là, qui, n’expliquant aucun des mystères de la Nature, ne pouvait être démodé par les progrès de la physique et de la biologie, mais dont l’espoir eschatologique et la glorification de la guerre sainte convenaient admirablement à de jeunes mâles, majoritairement peu doués pour les études et les travaux minutieux qui seuls procuraient de hauts salaires en Occident.

Plutôt que de construire une famille et de travailler pour lui créer des conditions de vie décentes, ce qui exige beaucoup de temps et de soins, nombre de jeunes mahométans des deux sexes trouvèrent plus simple de gagner immanquablement leur place au paradis d’Allah en pratiquant le djihad, recommandé par tant de sourates du Coran.

Ils y étaient vivement encouragés par des vieillards qui voulaient vivre par procuration un grand moment de vie religieuse, soit la mort ou la conversion du plus grand nombre possible d’infidèles ; Allah leur ferait sûrement une place en son paradis pour avoir encouragé par leurs vociférations fanatiques l’expansion de son culte par « la guerre juste et sainte ».  

Quant aux gras quadragénaires et quinquagénaires fort ambitieux des pays d’islam, ils plaçaient leurs espoirs de puissance et de richesses dans la mise à feu et à sang d’un Occident trop veule pour réagir, mais prêt à payer beaucoup pour que cessent les tueries et les destructions aveugles.

Tout nouveau pays conquis par l’islam agressif - c’est presque un pléonasme - devient automatiquement une foire d’empoigne pour les ulémas (variante chiite : mollahs), les politiciens, voire les militaires, très avides de gloriole et de biens matériels.

Assoupie depuis le XVIIe siècle, l’expansion de l’islam reprit ainsi une vigueur considérable, en Afrique et en Asie du Sud-Est durant les décennies 1950-70, puis en Occident où d’ineptes politiciens aux ordres des maîtres de l’économie laissèrent entrer massivement des mahométans, moins pour travailler que pour accroître le nombre des consommateurs en des terres victimes de dépression démographique, du fait des ravages de la doctrine féministe.       

En 1979, l’un des derniers despotes éclairés, Mohamed Reza, ultime shah d’Iran, fut renversé par une coalition d’intrigants de tous poils, dominés par un théocrate, admirable exemple de cet obscurantisme disparu d’Occident depuis les premières années du XVIIIe siècle : un nouvel âge des ténèbres s’abattait sur Terre.

Durant les années 2000-2010, disparut progressivement le kémalisme, soit le premier régime qui avait libéré une nation mahométane de son carcan religieux médiéval, et de nos jours, l’islam fait – au moins temporairement - un excellent ménage avec le racisme pantouranien. L’imbécillité (ou la rouerie) de politiciens made in USA et Israël fit le reste et, du Maghreb au Pakistan, l’islamisme le plus fanatiquement rétrograde règne ou est en passe de le faire.   

Il importe peu de savoir qui a financé le terrorisme des Talibans, de déterminer si la mouvance al-Qaïda existe ou n’est qu’un mythe repris ou exploité abusivement par divers groupuscules de djihadistes, ou encore si tel ou tel politicien d’Occident – dirigé par tel ou tel groupe financier – excite, finance, arme en sous-main l’activisme de tel ou tel groupe de fanatiques, de l’Afrique Noire jusqu’aux vastes provinces occidentales de la Chine.

La seule question à considérer est d’envisager les moyens de mettre notre continent européen à l’abri du terrorisme islamique et du prosélytisme qui exerce ses ravages dans la masse autochtone, abrutie par quarante années de la gabegie sociale qui a provoqué un énorme chômage structurel, par désindustrialisation massive de l’Europe occidentale, par destruction systématique de l’Instruction publique pour cause de sottise féministe, psychanalytique et marxiste, enfin par l’habilité dialectique de dinosaures marxistes reconvertis dans l’écologie de pacotille.

L’islam n’est pas une solution envisageable pour combler la déréliction de l’Occident. Les Européens, à la différence des peuplades islamiques, ont accompli leur Renaissance depuis un demi-millénaire. Ils ne doivent pas retomber dans un nouvel âge de fanatisme destructeur. Ils ont mieux à faire, comme par exemple construire un Empire européen exclusivement peuplé d’autochtones, car l’Europe est le continent d’origine de la race blanche ou européenne et n’a nullement vocation à se laisser envahir sans réagir puissamment.

S’il est logique de beugler : L’Afrique aux Africains, nous autres, Européens de souche, devons imposer fermement cette réalité : L’Europe aux Européens !  

00:28 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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