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lundi, 14 avril 2025

Italie: une fresque murale en hommage à Stefano et Virgilio Mattei, victimes du terrorisme d’extrême-gauche

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Stefano et Virgilio Mattei sont symboliquement rentrés chez eux. Le 16 avril à 9h30, à l’occasion du 52ème anniversaire de leur horrible assassinat, la fresque les représentant en pleine hauteur sera officiellement inaugurée sur le bâtiment Primavalle où ils ont vécu et trouvé la mort, dans l’incendie allumé par les militants de « Potere Operaio », (Pouvoir Ouvrier), Achille Lollo, Marino Clavo et Manlio Grillo. Les jeunes visages des enfants de Mario, secrétaire de la section locale du Mouvement social italien - MSI, se détachent désormais sur un drapeau tricolore, flanqué de deux lys blancs.

A la cérémonie qui se déroulera via Bernardo da Bibbiena participeront, entre autres, le président de la région Latium, Francesco Rocca, le conseiller pour le budget, Giancarlo Righini, qui a suivi le dossier, les sœurs de Stefano et Virgilio, Antonella et Silvia, et leur neveu Federico Ciuferri. Federico Ciufferi est également le président de l’association dédiée à la mémoire de Stefano et Virgilio Mattei, qui a promu l’idée de la peinture murale, en obtenant des fonds de la région du Latium pour sa réalisation. Plusieurs représentants d’institutions nationales prendront également la parole : parmi ceux qui ont confirmé leur présence figurent le vice-président de la Chambre, Fabio Rampelli, et la sous-secrétaire à l’Éducation, Paola Frassinetti.

La nouvelle de la création de la fresque, réalisée par l’artiste Massimiliano Carli, a provoqué une grande émotion dans les milieux de droite et parmi les habitants de Primavalle qui n’ont jamais oublié ces deux victimes innocentes de la haine politique et qui ont toujours, au cours de ces longues années, participé aux cérémonies de commémoration de la via Bibbiena.

« A Rome, une fresque dédiée à Stefano et Virgilio Mattei, les deux frères tués lors d’un incendie déclenché par des extrémistes rouges à Primavalle, en 1973. Nous ne vous avons pas oubliés. « Notre mémoire et nos idées ont gagné », peut-on lire sur la page Facebook de la FdI nationale, qui a partagé la photo de la fresque, comme beaucoup d’autres ont commencé à le faire sur les réseaux sociaux.

 

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Lisez le Cahier d'Histoire du nationalisme consacré

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23:39 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France en ruine...

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Dimanche 13 avril, Éric Lombard, ministre de l’Économie issu des rangs de la haute fonction publique socialiste, a une fois de plus dévoilé le vrai visage de ce gouvernement : celui d’un gestionnaire comptable d’un pays en ruine, incapable de remettre en question les causes profondes de la faillite française. Le budget 2026, déjà annoncé comme un plan d’austérité, ne sera qu’un cautère sur une jambe de bois.
 
Car les vrais postes de dépense — l’immigration massive, la bureaucratie tentaculaire, les milliards engloutis dans des politiques d’assistanat inefficaces — ne seront, comme toujours, pas touchés. Ce ne sont pas les fraudeurs au RSA qui trembleront. Ce ne sont pas les clandestins logés, soignés et entretenus aux frais du contribuable qui verront leur train de vie diminuer. Non, ce sont encore les classes moyennes, les familles françaises, les retraités modestes et les artisans étranglés par les charges qui paieront la facture.
 
Lombard annonce des coupes mais refuse de nommer les vrais parasites du système. Il protège un modèle néo-soviétique où l’État continue d’acheter la paix sociale à crédit, pendant que la France laborieuse est pressée jusqu’à l’os. Tout cela pour prolonger artificiellement un régime à bout de souffle, dont l’unique ambition est de survivre jusqu’à la prochaine échéance électorale.
 
Le Parti de la France dénonce avec force cette mascarade. Il est grand temps de remettre la France sur ses pieds : stopper net l’immigration, démanteler l’administration paralysante et redonner à ceux qui travaillent la juste récompense de leurs efforts. Nous refusons que les Français soient les vaches à lait d’un État-providence devenu État-pompier, éteignant ses propres incendies à coups de milliards.
 
Il faut censurer ce gouvernement, et vite. Car derrière l’austérité, c’est la soumission qui se profile : soumission à Bruxelles, à l’idéologie mondialiste, au multiculturalisme forcené, à l’effondrement de notre modèle civilisationnel.

11:42 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Masochisme

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Gaëtan de Capèle

La guerre commerciale déclenchée par Donald Trump donne à voir un spectacle fascinant : une crise économique et financière mondiale créée de toutes pièces. Mensongère et populiste, sa justification – une Amérique « pillée et violée » par le reste de la planète – peine à convaincre, de la part de la première puissance économique du monde, hégémonique à maints égards. Pas davantage que le protectionnisme, cette arme de défense à double tranchant, causant autant de dégâts chez l’agresseur que chez l’agressé. Enfin, la méthode - une litanie quotidienne d’embardées brutales et contradictoires - crée un climat d’incertitude et d’insécurité qui paralyse l’activité. Donald Trump veut rendre l’Amérique plus forte, mais il la punit en même temps que le reste du monde.

Il existe, dans l’histoire récente, un autre exemple ahurissant de masochisme auto-destructeur. L’automobile a longtemps symbolisé la puissance économique de l’Europe, avec ses grands constructeurs capables de tenir la dragée haute aux concurrents asiatiques ou américains. Pour l’industrie du continent, il s’agit d’un sec- teur crucial, assurant, en amont comme en aval, l’activité de filières entières, de milliers d’usines et de millions de salariés. Par pure idéologie, il a été décidé, sous couvert d’écologie, de le saborder. Sans la moindre considération pour les conséquences à venir, Bruxelles lui a imposé d’autorité une intenable révolution industrielle, avec le basculement en quelques années vers le tout- électrique. Face à des clients méfiants et refusant de se saigner pour ces nouveaux modèles, les ventes s’effondrent. Ajoutons-y, chez nous, une chasse à l’automobiliste, présenté comme le barbare des temps modernes qu’il faut évacuer du centre des villes. Le résultat de ce suicide économique est en train de se payer. En misant tout sur la voiture électrique, nous avons choisi de jouer sur un terrain où les constructeurs chinois disposent d’une décennie d’avance. Pour tenir, les groupes européens n’ont d’autre choix que de trouver des alliances avec eux. Ou comment passer de la souveraineté à la dépendance.

Source :Le Figaro 14/04/2025

09:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |