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jeudi, 26 juin 2025

Crimes communistes en Croatie

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Par Fabrice Dutilleul

Entretien avec Ghislain Dubois, auteur du livre Né français mort croate. Jean-Michel Nicolier, un Français à Vukovar aux éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire »

(propos recueillis par Fabrice Dutilleul). 

Ghislain-Dubois.jpgPourquoi un livre sur la Croatie et Jean-Michel Nicolier ?

Je suis avocat depuis 35 ans au Barreau de Liège en Belgique et suis également un homme de cœur et de convictions.

Après avoir aidé les Chrétiens du Liban entre 1985 et 2025, en me rendant à 15 reprises sur place et organisant un pèlerinage à Lourdes de 25 jeunes handicapés de guerre en septembre 1997, puis en 2010 le parrainage par 150 familles belges d’autant d’enfants orphelins de toutes confessions, les souffrances de la Croatie et sa guerre d’indépendance imposée par la Serbie communiste me conduisirent à organiser, entre octobre et décembre 1992, l’envoi de 7 camions de 22 tonnes chacun, de vivres, médicaments et vêtements, à destination de l’association Caritas à Zagreb, et à Dubrovnik assiégée.

En décembre 1991, je me suis rendu sur place et singulièrement sur la ligne de front afin de porter témoignage.

Quand j’ai appris, bien plus tard, le parcours de ce jeune français de Vesoul, Jean-Michel Nicolier, alors âgé, comme moi, de 25 ans, qui a voulu témoigner jusqu’au martyre de sa solidarité avec le peuple croate, j’ai voulu lui consacrer un livre.

Entre-temps, sa maman Lyliane et son frère Paul me demandèrent de les assister, comme avocat, dans leur quête pour retrouver le corps de Jean-Michel. Ce que j’ai accepté immédiatement. La boucle étant, en quelque sorte, bouclée.

Parlez-nous de Jean-Michel Nicolier…

Au printemps 1991, Jean-Michel a décidé de rejoindre les Croates dans leur guerre d’indépendance, touché par les souffrances qu’ils enduraient. Il n’était ni un militant ni un idéologue, mais seulement un jeune homme de cœur, un idéaliste. Il est arrivé seul et sans connaître qui que ce soit, à la gare de Zagreb, et s’est engagé dans la résistance. Il défendra Karlovac, puis Vukovar.

Blessé au cours des combats de Vukovar, en novembre 1991, il est hospitalisé à l’hôpital de la ville quand celle-ci tombe le 18 novembre 1991 après un long siège et de multiples victimes. Le 19, les milices serbes prennent possession de l’hôpital et le 20 évacuent par bus tous les hommes. Ceux-ci finissent leur sinistre voyage dans le hangar d’une ferme à Ovcara, à 4 kilomètres au sud-ouest de Vukovar.

Là, Jean-Michel et ses 264 compagnons d’infortunes sont battus avant d’être purement et simplement assassinés. La plupart au bord d’une fosse commune creusée par les Serbes, et quelques autres, comme Jean-Michel, abattus d’une balle dans la tête à la sortie du hangar. Son corps n’a, à ce jour, pas encore été retrouvé.

Quel est votre rôle d’avocat ?

Lyliane et Paul ont saisi la justice en vue de voir les coupables recherchés et condamnés, et surtout en vue de retrouver le corps de Jean-Michel, pour lui donner une digne sépulture.  Sa maman espère pouvoir être enterrée à ses côtés sur cette terre de Croatie qu’il a tant aimée.  Mon rôle est de les assister et de les aider dans ce combat autant humain que judiciaire.

Mon livre est une manière de les aider car il s’agit, notamment, de faire pression sur le gouvernement serbe actuel pour qu’il mette tout en œuvre pour livrer les coupables à la justice française et le corps de Jean-Michel, à sa famille.

Ghislain Dubois, auteur du Né français mort croate. Jean-Michel Nicolier, un Français à Vukovar aux éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », 180 pages, 25 €. Pour commander ce livre, cliquez ici

19:46 Publié dans Livres, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Portugal muscle sa législation anti-immigrationniste

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Michel Festivi 

Beaucoup de français sincères, se déclarent découragés de se rendre aux urnes pour y déposer leurs bulletins, prétendant parfois, que de toutes façons, rien ne change. Certes, on peut comprendre cette attitude, mais qui en toutes circonstances est à bannir absolument. Refuser de voter pour le candidat ou le parti qui apparaît le moins mauvais, ou le plus proche de nos idées, même s’il y a parfois loin de la coupe aux lèvres, est une attitude à proscrire. Inévitablement, cela donne des points aux gauches, qui elles, savent toujours se rassembler pour le malheur du pays. J’ai coutume de rappeler que ne pas voter, ou voter blanc, c’est donner une voix à la gauche ou pire à l’extrême gauche, qu’on le veuille ou pas. C’est suicidaire à plus d’un titre.

Il y a quelques semaines, et je l’avais évoqué, les Portugais ont voté, et ont élu 60 députés du parti qui défend la patrie, le pays, et qui apparaît le plus drastique contre la délinquance et l’immigration, Chega. Certes, le centre droit portugais, l’Alliance démocratique, se refuse à tout accord avec lui pour le moment. Néanmoins le gouvernement centriste, fortement aiguillonné sur sa droite par Chega, vient d’annoncer des mesures conséquentes pour lutter contre l’immigration, mesures qu’il n’aurait jamais soumises au vote du parlement sans Chega à ses trousses.

Ces dernières années, sous les socialistes, l’immigration avait très fortement augmentée, et parallèlement il avait été demandé beaucoup d’efforts à ceux qui travaillent et qui paient l’impôt. La loi sur la nationalité portugaise va être modifiée. Tout d’abord les textes envisagent la création d’une Unité nationale des étrangers et de police de sécurité publique, pour mieux contrôler les entrées aux frontières, et effectuer des vérifications sur tout le territoire, arrêter et expulser les illégaux.

La future loi disposera qu’une demande expresse de nationalité devra être formulée, alors qu’aujourd’hui, cela reste automatique. Le délai minimal pour obtenir une naturalisation sera de 7 ans pour les citoyens de la communauté de langue portugaise, et 10 ans pour les autres. Le calcul sera effectué à partir de l’obtention du titre de séjour, et non pas de l’entrée sur le territoire. L’impétrant devra en outre posséder des connaissances suffisantes de la langue, de la culture portugaise et de l’organisation politique de la société. La naturalisation sera refusée en cas de condamnation à une peine d’emprisonnement, voire retirée à ceux qui commettraient des crimes violents, homicides, viols etc. Les critères du regroupement familial vont être renforcés, deux ans de résidence minimum, uniquement pour des enfants mineurs, avec la présentation de garanties de logements adéquats et de moyens de subsistance suffisant, hors prestations sociales, le respect des mesures d’intégration, apprentissage du portugais, suivi d’une scolarité régulière etc.

Une élue RN, députée de la Drôme, Lisette Piollet, qui a de la famille au Portugal a été interrogée par Boulevard Voltaire. Elle indique tout à fait justement que « le fait que les patriotes de Chega aient obtenu une soixantaine de députés et un vice-président à l’Assemblée n’a pu que peser dans ce choix ».

C’est incontestable, de multiples pays européens prennent désormais ou ont pris des dispositions plus sévères en matière de lutte contre l’immigration, et ce grâce aux nombreux députés patriotes qui sont de plus en plus nombreux, que ce soit en Suède, au Danemark, en Autriche, aux Pays-Bas, Grèce, sans parler de l’Italie. Même l’Allemagne s’y met, avec une AFD qui n’a jamais réalisé un score aussi élevé et qui pousse les centristes de la CDU à agir, sous peine d’être dépassés. 

Deux pays en Europe restent des passoires absolues : l’Espagne, gouvernée par des socialo-communistes et la France socialo-macroniste. L’immigration massive et non contrôlée, outre les problèmes sociétaux considérables qu’elle génère, s’avère être un gouffre financier. Une étude de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID), vient de préciser que la France se caractérise par le plus faible taux d’emploi des immigrés en Europe : 62,4%, alors que la moyenne européenne est de 67,5% et l’OCDE 71,8%. L’OID indique de plus, que le taux d’emploi des descendants d’immigrés est inférieur à celui de leurs parents, ce qui démontre l’inanité des thèses du soi-disant racisme des français et l’échec des politiques d’intégration. Pour L’OID, ce taux d’emploi bas chez les immigrés, représente une perte de 3,4% du PIB, soit une différence de 98 milliards en moins, et un manque de 45 milliards d’euros pour les comptes publics. Quand on sait que Bayrou recherche désespérément 40 milliards d’euros !

Autre enseignement de cette étude et non des moindres, le taux d’emploi en France de l’ensemble de la population est de 69%, contre 77,4% en Allemagne, 80,4% en Suisse et 82,5% au Danemark. Ne cherchons pas plus loin les causes de nos difficultés budgétaires. Alors citoyens, réveillez-vous et aux urnes.  

12:21 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En finir avec l'irresponsabilité pénale

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Le 26 mai 2022, Alban Gervaise, médecin militaire, a été sauvagement assassiné à coups de couteau et égorgé devant sa petite fille de 18 mois par un nord-africain nommé Mohamed L. Un crime d’une barbarie inouïe, motivé par une haine délirante, accompagné de cris fanatiques : « Laissez-moi le finir, au nom de Dieu. C’est le diable ! » Cet acte ignoble restera impuni. Pourquoi ? Parce que le meurtrier a été déclaré pénalement irresponsable au motif qu’il était drogué et dérangé mentalement.

Ce scandale insupportable illustre les dérives délirantes de notre justice contemporaine, qui préfère soigner les bourreaux plutôt que de rendre justice aux victimes. Un cinglé ou un drogué est-il moins coupable qu’un autre ? Depuis quand l’horreur est-elle excusée par le délire ? Pourquoi un automobiliste alcoolisé est-il condamné, mais un égorgeur « déséquilibré », non ? Pourquoi la justice s’incline-t-elle devant la pathologie mentale quand celle-ci aboutit au meurtre ?

Le Parti de la France exige l’abrogation immédiate de ce principe d'irresponsabilité pénale, qui nie le droit à la justice pour les victimes. Un criminel, qu’il soit fou, drogué ou mineur, doit répondre de ses actes. Point final.

Nous réclamons également le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus abominables, comme celui dont a été victime Alban Gervaise. La société doit cesser de protéger les monstres et recommencer à défendre les innocents.

Assez de cette lâcheté judiciaire : il est temps de rendre à la France une justice digne de ce nom.

11:03 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |