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dimanche, 26 octobre 2025

Rectificatif : Rumeur sur le décès du colonel Antonio Tejero Molina

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L'espace d'une soirée, le colonel Tejero Molina nous avait tous fait rêver... c'était le 23 février 1981.

Ne supportant plus le processus de décomposition dans lequel son pays, l'Espagne, sombrait, il avait tenté le tout pour le tout en prenant d'assaut les Cortès, le parlement de Madrid. Mais l'euphorie fut de courte durée. En quelques heures, le roi Juan Carlos mit fin à cette conjuration héroïque. Malgré cet échec, à nos yeux, il était devenu "un grand d'Espagne".

Le décès du colonel a été annoncé par des sources espagnoles amies, généralement fiables, que nous avons reprises le 23 octobre. Cependant, la famille a fait savoir depuis que celui-ci, bien que dans un état très grave laissant peu d'espoirs, est toujours en vie. Nous sommes désolés pour la diffusion de cette information non confirmée. Antonio Tejero Molina a 93 ans...

Quoi qu'il en soit, nous reviendrons très bientôt sur la vie de ce colonel rebelle et sur la tentative de coup d'État dont il fut l'initiateur.

R H

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L’Europe, périphérie du monde

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Gérard Araud*

Gérard Araud a accordé un entretien au Journal du dimanche dont nous avons extrait la partie suivante qui nous a paru la plus intéressante.

Le chef d’état-major des armées a affirmé devant les députés de la commission de la défense que l’armée française devait être « prête à un choc dans trois, quatre ans » face à la Russie, qui « peut être tentée de poursuivre la guerre sur notre continent ». Y a-t-il lieu de tirer le signal d’alarme ?

Avec l’invasion russe en Ukraine, nous sortons de 77 ans de paix et de prospérité sur le continent européen – sans doute la période la plus heureuse qu’ait connue l’Europe depuis la chute de l’Empire romain. C’est la fin d’une époque pour les Occidentaux. La guerre est de retour, et nous n’arrivons pas à la comprendre car nous sor- tons d’un paradis anhistorique. La logique éternelle et archaïque de la guerre nous revient en pleine face. Si l’Ukraine s’effondre – car elle peut s’effondrer à tout moment, en dépit des efforts courageux des soldats ukrainiens sur le front –, que va-t-il se passer ? Les Russes ne vont pas lancer leurs chars sur la Pologne. Le risque se situe plutôt du côté des pays baltes : Estonie, Lituanie, Lettonie. Que se passera-t-il si la Russie décide d’occuper une ville estonienne à sa frontière, par exemple la ville de Narva ? Les Estoniens se précipi- teront à Bruxelles pour demander la garantie de sécurité de l’Otan. Les États-Unis feront-ils la guerre pour l’Estonie ? Les Français sont- ils prêts à mourir pour l’Estonie ? J’en doute fortement. Poutine prouverait ainsi que l’article 5 du traité de l’alliance transatlantique n’a en réalité aucune valeur. La réa- lité géopolitique du continent s’en trouverait bouleversée.

Donald Trump a annoncé cette semaine des sanctions américaines « très lourdes » contre les groupes pétroliers russes Rosneft et Lukoil. Est-ce suffisant pour faire fléchir Vladimir Poutine en vue d’éventuelles négociations de paix ?

Donald Trump a de nombreux défauts, mais je pense qu’il est profondément pacifiste et qu’il veut la paix en Ukraine. Il ne veut plus que les États-Unis s’engagent dans des opérations militaires de long terme. La clé de la paix en Ukraine, c’est évidemment la Rus- sie : Poutine va-t-il ramasser ses gains et se contenter des conquêtes territoriales actuelles ou a-t-il l’in- tention d’aller plus loin encore ? Trump veut se désengager et les Européens ne vont pas se sacrifier pour Kiev. Quel intérêt Poutine aurait-il à négocier ? Il est per- suadé qu’il va gagner la guerre et qu’il pourra faire de l’Ukraine une seconde Biélorussie, c’est-à-dire un État vassal. La Russie ne fait qu’appliquer sa politique étrangère éternelle, qui consiste à former un glacis sur ses frontières occidentales. Je ne connais aucun Russe qui considère que l’Ukraine soit un pays indépendant. Pour tous les Russes, il est évident que l’Ukraine doit au minimum être rattachée à leur sphère d’influence. Mais il faudra bien négocier un jour ou l’autre avec Poutine. Je ne connais que deux manières de mettre un terme à une guerre : la victoire totale et écrasante de l’un des deux belligérants, ou la négociation. Or, la victoire totale ne peut être que russe, elle ne sera pas ukrainienne. Nous avons donc tout intérêt à négocier avec la Russie.

Quelle donne géopolitique imaginez-vous sur le continent européen dans les années à venir ?

L’ère néolibérale que nous avons connue pendant quarante ans est finie. Elle s’est achevée avec le Brexit en 2016. Le protectionnisme est de retour. Or, le problème que nous avons en Europe, c’est que la Commission européenne, qui n’administre aucun territoire, n’existe que par la création de normes dans le culte du libre-échangisme. Il faudra changer profondément le logiciel de l’Union européenne si l’on veut l’adapter à l’époque dans laquelle nous vivons désormais. La guerre en Ukraine dure depuis plus de trois ans et l’Europe produit trois fois moins de munitions que la Russie avec un PIB pourtant cinq à six fois supérieur. L’Europe produit autant de munitions que la Corée du Nord, qui a le PIB de l’Isère. À titre personnel, je n’ai jamais cru à l’idée d’une Europe géopolitique. Il ne peut y avoir d’unité stratégique entre vingt-sept pays dont les intérêts économiques et géographiques divergent parfois radicalement. La Russie n’est pas perçue de la même manière selon que l’on se situe à Lisbonne ou à Varsovie.

Vous écrivez dans votre livre que « le destin du monde ne se jouera ni en Ukraine ni au Moyen-Orient, mais en Asie, où se font face les deux superpuissances des décennies qui viennent ». Pour quelle raison la région indo-pacifique concentre-t-elle tous les enjeux diplomatiques, économiques et militaires des années à venir ? Quel rôle pour l’Europe dans tout cela ?

Ce qui est certain, c’est que l’Europe devient une périphérie du monde. La révolution technologique ne se joue pas sur notre continent, mais en Californie et en Chine. La vraie menace aux yeux des Américains, ce n’est pas la Russie, c’est bien sûr la Chine. La grande différence avec la guerre froide, c’est que les échanges économiques entre la Chine et les États-Unis sont permanents et représentent chaque année plus de 600 milliards de dollars d’importations et d’exportations – là où les échanges américains avec l’URSS étaient nuls. Il y avait un rideau de fer en Europe, mais il n’y aura pas de « rideau de bambou » sur le continent asiatique. La nouvelle guerre froide sera essentiellement commerciale et économique, et tout porte à croire que les Américains nous demanderont de prendre parti et tenteront de nous tordre le bras. Par crainte de représailles commerciales sur les droits de douane ou de mesures de rétorsion sur l’aide militaire à l’Ukraine, je gage que certains pays européens céderont à toutes les exigences américaines. Et pour cause : le rapport de force ne plaide pas en notre faveur.

(*) Gérard Araud est diplomate, aujourd’hui à la retraite. Il a été ambassadeur de France aux Etats-Unis (2014-2019), représentant permanent de la France auprès de l’ONU à New York (2009-2014). Il a également été ambassadeur de France en Israël de 2003 à2006. Gérard Araud est connu pour son franc parler, d’autant qu’il n’est plus soumis au devoir de réserve. On tient à signaler que nous n’avons pas toujours, loin s’en faut, partagé ses opinions. Il est l’auteur de Leçons de diplomatie, la France face au monde qui vient, Tallandier, 304 p., 22,50 €.

Source : Journal du dimanche 26/10/2025

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Les femmes françaises principales victimes de l’invasion migratoire africaine

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L'édito de Cyrano

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Tous ceux qui sont allés dans les pays de l’Est de l’Europe ont été les témoins d’une situation qui n’est plus possible en France. Ils ont vu des femmes magnifiques, habillées souvent de manière très audacieuse, se promener en toute liberté dans les rues de Prague, de Varsovie, de Moscou, de Budapest, sans qu’il n’y ait à déplorer des agressions sexuelles, des viols ou des meurtres.

Dans ces pays, il n’y pas de Lola, de Philippine, de Laura, de Mauranne et de tant d’autres jeunes Françaises parties trop tôt. Tout simplement parce qu’il n’y a pas d’immigration africaine, majoritairement musulmane, contrairement aux pays  d’Europe de l’Ouest. Ce qui se passe dans ce  pays était ce que connaissaient les Françaises jusque dans les années 1980. Les combats féministes avaient fait leur oeuvre, les femmes avaient fait de grands pas vers l’égalité, elles avaient presque toutes accès à un travail, et pouvaient sortir librement à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, en menant une vie très libre.

Et puis, petit à petit, car les choses ne se font jamais brutalement, certaines jeunes filles d’origine musulmane ont compris qu’il fallait mieux porter le voile pour ne pas subir le sort de Samira Bellil, victime de tournantes pour la punir d’une vie jugée trop libre, voire de Sohane Benziane, brûlée vive pour avoir refusé les avances d’un petit caïd de la cité.

Beaucoup de femmes françaises se pensaient à l’abri, pensant ces mauvais traitement réservées aux seules musulmanes. Puis elles sont commencé à se faire traiter de « sales putes », à cause de leur tenue, jugée trop provocantes pour la pudeur des jeunes musulmans. Elles ont compris, comme le disait Charlotte d’Ornellas sur un plateau de télévision, qu’on pouvait s’habiller d’une certaine façon dans le XVIe arrondissement, mais que, dans le XVIIIe, vers Barbès, il valait mieux être plus prudente.

Bien sûr, les féministes gauchistes niaient cette question, et qualifiaient de racistes et de fascistes les Français qui osaient faire le lien entre sexisme et immigration. Elles insistaient sur le fait que tous les trois jours, une femme mourait sous les coups d’un homme,  et préféraient ne voir que les agressions gauloises. Une Schiappa se permettait de sortir des clips de propagande où on voyait des Français blancs agresser des femmes issues de la diversité. Il y avait pourtant eu les agressions sexuelles de Cologne, au réveillon de 2015, puis celles de la Porte de la Chapelle, en France, totalement niées par des féministes qui préfèrent la cause de Gisèle Pélicot.

Malgré le déni des Clémentine Autain, Sandrine Rousseau ou Caroline de Haas, malgré les agressions commises contre les militantes de Némésis, le constat est de plus en plus évident pour des millions de Françaises, qui n’osent plus sortir toutes seules, qui ne se permettent plus de s’habiller de manière audacieuse, qui n’osent plus aller dans les centre-villes à partir d’une certaine heure, et qui sont mortes de peur quand elles rentrent chez elles, après une soirée chez des amis qui s’est prolongée une partie de la nuit.

Les parents tremblent de plus en plus plus leurs enfants, et encore davantage pour leur fille. Chacun a compris qu’à cause de l’immigration africaine, majoritairement musulmane, les femmes françaises peuvent, à tout moment, connaître le sort de Philippine et de tant d’autres.

Et cela à cause des associations immigrationnistes, à cause de la gauche et de sa Nouvelle France, et à cause des politicards qui dirigent un pays où 500.000 nouveaux venus rentrent tous les ans, accentuant la mise en danger des Français, et principalement des femmes.

 

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Dimanche 26 octobre, à 11 h 40 : Éric Zemmour sur France 3

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Terrorisme intéllectuel : l'extrême gauche veut faire exclure l'avocat Pierre Gentillet de Paris 1

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Un communiqué de Pierre Gentillet ∗ :
 
Depuis avant-hier, jeudi, je fais face à une violente campagne de menaces et de harcèlements destinée à obtenir mon renvoi de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, où j’enseigne depuis bientôt neuf ans.
 
Chargé de travaux dirigés, puis conférencier en amphi, j’y ai donné, au fil des années, des cours de philosophie du droit, de droit civil, de droit constitutionnel, de droit des sociétés…
 
Tout a commencé mercredi soir, lorsqu’un article m’a été consacré sur le site d’extrême-gauche Révolution Permanente. Dès le lendemain, plusieurs syndicats étudiants d’extrême-gauche (le Poing Levé et le SAP1) réclamaient ma mise à l’écart. Par deux fois, ils ont même diffusé sur la messagerie interne de la faculté un courriel adressé à des milliers d’étudiants (voir plus loin) pour réclamer mon renvoi.
 
Le motif de cette chasse tient en peu de mots, affichés sur les montages qui circulent : "Un militant d’extrême-droite enseigne à Paris I."
 
On me reproche d’avoir été candidat aux législatives de 2024 sous l’étiquette du Rassemblement National, d’avoir cofondé, il y a dix ans, la Cocarde Étudiante, et d’être par conséquent, à les entendre, un dangereux fasciste. L’accusation ferait sourire, si elle ne trahissait pas tant d’ignorance : quiconque a lu mes travaux et écouté mes longs entretiens (et non les passages tronqués) sait la distance qui me sépare de ces caricatures. Mais c’est bien mon opinion, ou ce qu’on suppose être la mienne, qui sert aujourd’hui de prétexte à une chasse coordonnée. Cette campagne vise un but clair au vu de l’acharnement et des commentaires : me mettre une cible dans le dos dans mon quotidien d’enseignant.
 
Depuis, je vois passer des centaines de messages d’injures, de menaces, parfois de la part d’étudiants de Paris I. Et je redoute, un peu, le retour dans ces couloirs où j’ai tant aimé enseigner.
 
A cette heure, l’Université n’a pas réagi et du peu de contact que j’ai eu, on se contente simplement de déplorer la situation. J’ai presque le sentiment désagréable d’être le problème. Je n’en attendais guère autre chose, et ne leur en veux pas. L’Université m’a déjà montré, l’an passé, de quoi elle est capable lorsqu’elle a peur. Je ne me fais pas d’illusion sur ma situation, contractuelle : l’an prochain, on m’écartera doucement, avec des mots polis et de prétextes, comme on éteint une lampe qu’on juge inutile.
 
L’an dernier déjà, après mon engagement politique, on m’avait retiré tous mes enseignements. Parfois sans raison, parfois en m’avouant tout bas la vraie cause. Pour continuer à exercer, il m’a fallu, dérisoire subterfuge, enseigner sous le nom de ma mère. Ainsi, j’ai pu poursuivre ce qui, pour moi, n’a jamais été un simple gagne-pain, mais une vocation. Je ne me suis jamais plains de cet épisode. Je n'en voyais pas l'utilité.
 
Enseigner à la faculté n'est pas une affaire d’argent, et tous les collègues le savent bien. Mais il m’offrait, à moi qui travaille seul au quotidien, ce lien si précieux avec le monde universitaire et avec cette maison que j’aimais, jadis, comme étudiant.
 
Pendant neuf ans, j’ai enseigné à Paris I. J’y ai connu des centaines d’étudiants, de visages, de voix. Jamais je n’ai mêlé mes convictions à mes cours ; j’ai toujours respecté la diversité des opinions et encouragé la réflexion libre. J’ai donné sans compter, souvent hors de mes heures, parce que j’y trouvais un sens supérieur à mon métier d’avocat, tout simplement.
 
C’était un supplément d’âme en même temps que mon quotidien car je suis tous les jours en Sorbonne. Une manière de garder et de tisser le lien avec des générations d'étudiants. Ce qui me blesse aujourd’hui, plus que tout le reste, c’est d’avoir été dénoncé par l’un d'eux, à l’origine de toute cette cabale.
 
Je suis assez lucide et préparé : je sais contre quoi je me dresse. Ces groupuscules viendront peut-être troubler mes cours, m’invectiver, me guetter dans les couloirs. Qu’ils le fassent : j’y suis préparé. Je crains aussi de ne bénéficier d’aucune protection physique ou juridique de l’Université. J’en ai fait la demande pour le principe. Au mieux ils me diront que "pour ma sécurité" je ne dois plus enseigner jusqu'à fin décembre. Nous verrons bien. Et de toute façon je n’ai plus ni l’énergie ni les moyens d’ouvrir de nouveaux fronts par mes propres moyens : j’ai déjà deux plaintes en diffamation qui suivent leur cours. Depuis un an je fais face seul, mais lucide, à toutes les suites de l’engagement politique.
 
J’avais cru, naïvement, que je pourrais enseigner jusqu’à mes vieux jours, que transmettre était un droit aussi naturel que respirer. Peut-être avais-je tort.
 
L’enseignement à la Sorbonne fut, je le crois, le sens discret mais essentiel des dix dernières années. Je n’avais aucune illusion sur ma carrière, au regard de mes engagements politiques. Les événements d’hier et d’aujourd’hui prouvent assez qu’elle eût été brève si j’avais voulu m’y consacrer pleinement comme doctorant puis éventuellement maitre de conférences.
 
Mais enseigner, transmettre, demeurait pour moi un acte de foi, une manière de tenir encore à ce que j’aime de ce pays : son intelligence.
 
A cette heure, j’ignore encore si je dirais bientôt adieu à neuf années d’Université : neuf années de dévouement, de sens et de liens tissés avec tant d’étudiants que j’ai tant aimés instruire.
 
Si ce semestre doit être le dernier, je veux leur dire, si par hasard ils lisaient ce message, que leur curiosité, leur sérieux, leur intelligence et parfois leur bienveillance ont donné à ma vocation sa plus belle justification.
 
(∗) Pierre Gentillet est avocat à Paris, il enseigne aussi à Paris 1. Il fut l'un des fondateurs du syndicat étudiant "La Cocarde" et il s'est beaucoup investit dans sa région d'origine, le Berry, contre l'implantation de centres d'accueil pour migrants. Il intervient aussi régulièrement sur C-News et sur TV Libertés.

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