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lundi, 07 janvier 2019

Les assassins de l’Europe et leur arme de destruction massive

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Bernard Plouvier

Comme chacun sait un assassinat est un meurtre commis avec préméditation.

Le Pacte de Marrakech, approuvé par un pape et des prélats catholiques délirants, par la Merkel qui reste en place bien qu’elle ait été désavouée par ses électeurs, par Grand Président Macron qui est sur une sellette éjectable, ne fait que reprendre, en l’étendant, le génocide initié en 1976 par les Deux Immondes : Giscard et Chirac, qui, rattrapés par la sénilité, mourront impunis pour leur décret 76-383 du 29 avril, paru au Journal Officiel de la Ripoublique le 2 mai 1976.

Quel dommage de ne pouvoir croire raisonnablement en un Enfer ! On aimerait que ces êtres vils, vendus stricto sensu à la Finance anonyme et vagabonde – il n’est pas besoin de cultiver la fleur royaliste en France pour adopter cette phrase prononcée par un prétendant au trône il y a près de 120 années -, subissent des tourments jusqu’à la fin des temps.

Une autre fin est programmée, celle des Nations européennes, amenant inévitablement leur remplacement par les sous-doués massivement importés et leurs produits de métissage... sauf réaction puissante des Européens, encore majoritaires sur un continent qui n’appartient qu’à eux.

Rien qu’en France, en additionnant aux adultes les rejetons nés sur le sol réputé français et devenus citoyens « par droit du sol », on compte environ 15 millions de sujets d’origine africaine. On sait que dans de nombreuses régions, plus du tiers des naissances sont à risque de tare drépanocytaire, soit un marqueur génétique d’origine africaine.

En Allemagne, on sait que depuis 2015, la folle a importé 50% d’illettrés – il n’existe pas de statistique disponible de ce type dans la très démocratique Ripoublique franchouillarde. En revanche, l’INSEE nous apprend que chez les « immigrés de première génération », le taux de chômage des sujets en âge et en état de travailler est de 35%... on a importé des non-valeurs, analphabètes et sans qualification autre que l’intense désir de participer à la féérie de consommation qui est le fondement de l’économie actuelle.

Consommer sans Produire ou sans avoir produit, c’est aussi le slogan des immigrés âgés importés inutilement et auxquels l’État français offre une retraite... parfaitement illégale, puisque non ouverte par des cotisations antérieures. Que ceux des retraités français autochtones qui ont travaillé et cotisé 41 années pour gagner à peine de quoi survivre soient heureux : leurs cotisations servent à payer des retraites aux vieillards importés !

Lorsque, durant les années 1980-2000, des toqué(e)s écrivaient qu’il fallait importer des immigrés pour « payer les retraites », ils ou elles (sans compter les personnes de sexe-genre à géométrie variable) ne croyaient pas si bien dire : on a importé un tiers de chômeurs et un nombre imprécis, mais fort grand si l’on en croit les statistiques allemandes et scandinaves, de sous-doués en plus de vieux inutilisables.

Il est évident qu’il existe, au sein de la très composite immigration, des techniciens, voire des savants, mais cette élite africaine ou moyen-orientale devrait retourner dans son continent ou son sous-continent d’origine, pour l’amener au même degré de civilisation que les Européens ont haussé l’Occident.

Le gouffre financier de la SS (Sécurité Sociale, bien sûr !) a pleinement bénéficié de l’immigration : on soigne – pour quelques milliards d’euros de plus – toutes les smalas importées, dont certaines utilisent abusivement de façon collective une seule carte individuelle d’accès aux soins. Et l’on soigne bien évidemment aussi les clandestins dits « sans papier », sans existence légale, mais néanmoins pourvus d’allocations spécifiques et de droits

Car l’on a inventé un droit des clandestins, un droit des illégaux ! Nos politicards ignorent jusqu’à la sémantique, mais ils sont servis par une armée de juristes oubliant sur commande les fondements du Droit... en quelle que sorte des parjures. Ils font partie de cette triste « élite » européenne à qui il faudra bien un jour appliquer le châtiment dû aux Traîtres et aux Collaborateurs.

La réaction nécessaire des Européens est à l’évidence double. D’abord et de façon urgente, il leur incombe de se révolter et de chasser les guignols irresponsables et corrompus qui ont trompé leurs électorats et qui ruinent le continent pour le seul profit des financiers cosmopolites, des producteurs exotiques et des distributeurs, en principe européens. Ensuite, il faut stimuler la natalité autochtone en combattant le féminisme délirant des folles du « droit à la non-grossesse ».

Les Nations européennes menacées dans leur survie n’ont pas besoin de ringards de la politique atteints par la limite d’âge, ni même de « penseurs ». Elles ont besoin d’hommes d’action qui sont prêts à se battre pour assurer l’avenir de leur peuple et le dynamisme de leur patrie. Elles ont besoin de femmes décidées à mettre au monde de véritables enfants d’Europe.  

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2019 : cette année décisive qui commence

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Jean-François Touzé,
délégué national du Parti de la France
 
Un pouvoir asphyxié oscillant entre le sauve-qui-peut et la tentation de l'autoritarisme ; un mouvement des Gilets jaunes de plus en erratique écartelé entre l’expression légitime de la colère française, la saine révolte contre les élites autoproclamées, les justes revendications populaires, la reconstitution en mode son et lumière du navrant épisode « sans culottes » au chant de la Carmagnole, la dérive ochlocratique et le simple mais ravageur effet de provocation attisé par les réseaux sociaux, le tout en attente de récupération (Rassemblement national, France insoumise, une extrême gauche très active, voire, on croit rêver, Bernard Tapie) ; une rupture potentiellement dramatique entre de nombreux Français et les forces de l'ordre ; un grand débat démago/piège à gogos, qui ne débouchera sur rien ; un peuple français perdu, déboussolé et contradictoire dans ses refus comme dans ses attentes ; une immigration installée et de plus en plus antagoniste aux valeurs nationales, véritable poudrière susceptible d'exploser à tout moment mais plus encore dans le climat actuel de débordement des éléments de police et de gendarmerie ; un islamisme radical qui sait que le temps joue pour lui, que toute nouvelle marque de décomposition de l'État lui profite et qui attend le bon moment pour agir ; une économie sous tutelle de la dette (désormais 99 % du PIB) et des marchés, un chômage qui ne décroît pas… L’année qui débute risque de n’être ni tranquille ni empreinte de sagesse.
 
Faut-il s'en réjouir ? Chacun aura à en juger selon sa propre analyse, les uns se félicitant de toute rupture qui fait bouger les lignes, les autres redoutant un engrenage plus rouge que bleu et blanc.
 
Le Système est atteint. Nul ne peut le contester et nous ne pouvons que nous en féliciter. La France s'est réveillée brisant la malédiction de l’engourdissement.
 
Pour autant, rien n'indique en l'état que la situation ainsi créée soit susceptible de déboucher sur l’émergence de conditions favorables au surgissement immédiat d'un élan national allant dans le sens du relèvement du Pays.
 
Pour que ces conditions soient réunies, il faut bien plus que les rêves de quelques indécrottables irresponsables marginaux rêvant encore, les malheureux, au « coup de force ». Il est nécessaire que s'ajoute au spontanéisme populaire l’existence d'une avant-garde politique déterminée mais agissant dans le cadre des institutions du moment, bien organisée et puissante. Et une incarnation visible et reconnue. Pour le moment le compte n'y est pas. Tout au moins, il n'est pas dans notre camp. Pas encore…
 
Dans ces conditions, l'actuelle agitation risque soit de profiter aux partis d’opposition établis (RN, FI), ce qui, dans le meilleur des cas ne changerait à peu près rien, dans le pire serait à terme dévastateur, soit de conduire rapidement au chaos. On notera que depuis trois semaines les mobilisations les plus importantes et les plus véhémentes ont lieu dans les villes de forte tradition anarcho-syndicaliste comme
 
Toulouse, Bordeaux, Nantes, Rouen ou, dans une moindre mesure Marseille. Rien n'est joué pourtant. Le Système, déçu par Macron, va allumer les contre-feux institutionnels et parallèles pour trouver une alternative. Cela prendra un moment. Pas nécessairement beaucoup de temps. Mettons à profit ce délai relatif pour nous organiser, nous renforcer, nous imposer et préparer les échéances cruciales qui vont venir.
 
Le modèle constant, assumé et revendiqué de Macron, c'est De Gaulle, l'Histoire, la dramaturgie et l'uniforme en moins, la fougue juvénile et la passion des selfies exotiques en plus. Pour le premier, le peuple français se confond avec une foule haineuse. Pour son lointain prédécesseur nos compatriotes étaient des vaux. Rien de nouveau sous triste soleil du régime.
 
En 1968, profitant de la lassitude des Français devant l’émeute, de leur peur grandissante et de leur inquiétude du manque d’essence à l'approche des vacances, De Gaulle avait su rétablir la situation. Un an plus tard, les Français – et le Système qui avait choisi son successeur — lui signifiaient que le temps du départ était venu et le licenciaient.
 
Macron pourrait bien ainsi inaugurer le quinquennat de deux ans et des poussières. Soyons prêts pour ce rendez-vous décisif avec la Nation. Ce moment de vérité approche.
 
Il est plus que temps de faire savoir au Pays que Carl Lang et le Parti de la France sont prêts à répondre à son espérance.
 
C'est à ce travail et à la préparation d'un inévitable retour aux urnes rapide, et à cela seulement, que nous devons nous atteler tout au long de ces prochains mois. Tout le reste n'est que perte de temps, chemins de traverse qui ne mènent qu'à l'impasse.
 
Bonne année malgré tout ! Confiance et ardeur !

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Niort : Houellebecq a perdu une occasion de fermer son bec

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Il nous avait parfois habitués à des réflexions plus pertinentes ce Houellebecq. Son côté déganté avait même quelque chose de séduisant. Mais patatras, tout s'effondre... l'attribution de la Légion d'honneur fait tomber les mythes et Houellebecq se retrouve dans le même sac que n'importe quel politicard avide de breloques ou n'importe quel lèche-bottes du Système.

Mais, plus grave encore, il se croit obligé dans son dernier livre, Sérotonine, de dénigrer la ville de Niort... en la qualifiant de "ville laide". Quelle déchéance ! On peut sans doute reprocher bien des choses à la préfecture des Deux-Sèvres, en particulier d'être restée soumise des décennies durant à un clan socialiste dogmatique qui ne l'a certes pas arrangée, mais le jugement de Houellebecq est pour le moins arbitraire.

La ville de Niort, aujourd'hui libérée de la camarilla socialo-communiste et qui a l'honneur d'avoir parmi ses édiles notre ami Jean-Romé Charbonneau, est loin d'être aussi laide que l'auteur des Particules élémentaires le prétend. Pour s'en convaincre, il suffit de grimper en haut du Donjon et de la contempler à ses pieds. Mais je doute que Houellebecq se soit donné cette peine. Au juste... a-t-il d'ailleurs mis une fois les pieds à Niort ?

Roland Hélie (natif de Niort)

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Métainfos, un nouveau dans la galaxie non-conformiste

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Il y a quelques semaines, nous vous faisions part de la regrettable disparition du site Métamag cliquez là. Celle-ci témoignait de la difficulté d'entretenir par les réseaux militants dissidents un site quotidien de qualité. Beaucoup ignorent le travail que représente une telle entreprise. Nous en savons quelque chose...

Mais, heureusement, il en faut plus que cela pour décourager les bonnes volontés. Et, grâce à la ténacité de quelques rédacteurs de Métamag regroupés autour de notre camarade Michel Lhomme, un nouveau site vient de naître.

L'esprit est le même et il s'intitule Métainfos. Vous pouvez le consulter en cliquant ici

S.N.

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Rome, 7 janvier 1978 : trois militants du Front de la Jeunesse étaient assassinés par la police

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Le 7 janvier 1978, trois militants nationalistes tombent sous les balles de terroristes et de la police.

Les trois jeunes Italiens militaient au Front de la Jeunesse (FGD-Fronte della Gioventù). La première fusillade se déroula quand les militants sortaient alors d’une réunion du Mouvement social italien (MSI-Movimento sociale italiano). Ils furent mitraillés par cinq ou six extrémistes de gauche qui attaquèrent avec des armes automatiques.

Franco Bigonzetti, un étudiant en médecine de 20 ans est tué. Francesco Ciavatta, 18 ans, est blessé ; il parvint à quitter les lieux, pendant que trois autres militants réussissent à revenir au local du MSI, dont Vincenzo Segneri, également blessé par balles.

Les lâches criminels poursuivent Francesco et l’abattent, dans le dos. Il décèdera dans l’ambulance qui le conduit à l’hôpital.  Une manifestation spontanée s’organise alors contre ce crime ignoble. Dans une atmosphère tendue, un journaliste de la RAI se livre à un acte tout aussi ignoble : il va éteindre sa cigarette dans le sang de l’une des victimes. Un mouvement de protestation gronde dans la foule ; la police intervient alors est le capitaine de police Edward Sivori abat Stephen Recchini. L’intention de tuer est certaine puisqu’il tire en pleine tête, entre les deux yeux du jeune militant de 19 ans, par ailleurs guitariste du groupe Janus.

Stephano Recchioni décède après deux jours d’agonie.

L’action criminelle des marxistes fera une quatrième victime : le père de Francesco Ciavatta se suicide quelques mois plus tard.

Un cinquième militant nationaliste sera assassiné suite à cette affaire. Un an après le massacres, les organisations nationalistes italiennes veulent démontrer publiquement en souvenir de leurs camarades et pour protester contre l’inaction de la police et de la justice. La marche est interdite par les autorités. Une manifestation spontanée aura pourtant lieu et se déroulera sans le moindre incident.

Alors qu’il rentre chez lui avec un camarade, Alberto Giaquinto est approché par une voiture de police banalisée. Des policiers finissent par en descendre est l’un d’eux tire une balle dans la nuque d’Alberto. Grièvement blessé, il tombe à terre ; les policiers s’enfuient, laissant leur victime mourir. Il demeure plus de 20 minutes dans la rue sans qu’aucun secours n’arrive. Transporté à l’hôpital, il y décède peu après.

Alors qu’il meure, sa famille à ses côtés, le domicile de ses parents est vandalisé par des policiers qui veulent se couvrir et cherchent des preuves – mais agissent sans mandat. Ils prétendirent en effet qu’Alberto était armé, ce qui était faux.

Albert Giaquinto avait 17 ans.  La justice n’a jamais condamné les assassins. Plusieurs criminels rouges ont été identifiés : Mario Scrocca, Fulvio Turrini, Cesare Cavallari, Francesco de Martiis e Daniela Dolce. Sans aucun doute coupables, le premier s’est suicidé, le dernier s’est enfui. Les autres seront finalement acquittés.
Les flics tueurs ont également été acquittés.

Trente ans après, aucun des criminels n’a été condamné.

Depuis, nos camarades italiens commémorent la mort de leurs camarades sur les lieux du drame.

09:50 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 06 janvier 2019

Entretien avec Pierre Vial sur Vive l'Europe

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Réunion nationaliste à Paris le 19 janvier

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20:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Jacques Goldman, pourquoi pas. Mais pourquoi ?

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La chronique de Philippe Randa

À nouveau, et pour la huitième fois (mais pas consécutive), le chanteur Jean-Jacques Goldman sort gagnant dans la 66e édition du Top 50 Ifop-JDD, avec, note le JDD, un cru marqué, cette année « par la percée des Bleus, le recul des femmes et la disparition des politiques. »

Bon, pourquoi pas ! Loin de nous l’idée de contester ce sacre dont personne non plus nous empêchera néanmoins de songer : Oui, pourquoi pas ! Mais pourquoi ?

Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop, donne bien un début d’explications qui en vaut d’autres : « Il n’a pas d’actualité, mais il fait résolument partie de la vie des Français »… Ah bon ? De quel Français précisément, on ne le précise pas… Pas davantage que de savoir si 9 autres suivant (Omar Sy, Dany Boon, Kylian MBappé, Thomas Pesquet, Zinédine Zidane, Michel Cymes, Jean Reno, Jean-Paul Belmondo, Soprano) en font donc moins, un peu moins ou beaucoup moins « résolument partie »…

Et pas davantage sur quels critères s’est joué cette préférence, s’agissant pour 7 d’entre eux de saltimbanques ; le spationaute Thomas Pesquet et le médecin-chirurgien Michel Cymes faisant dès lors quelque peu figure de faire-valoir…

Il en va donc des personnalités préférées des Français comme des vœux de Nouvel An : l’un et l’autre sont inévitables chaque année… Mais si les seconds, en général, sont plaisants, même si un peu « obligés », les premiers ne cessent de nous laisser quelque peu perplexe…

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Du désaveu à la sanction démocratique

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Bernard Plouvier

Les dix-huit mois d’administration de la France par le Président Macron et son gouvernement, les dix-huit mois de spectacle médiatique indécent du couple Macron aboutissent à une fronde durable, sans précédent depuis la chienlit de 1968.

Un sondage rendu public la première semaine de 2019 tendrait à démontrer que 75% des Français sont très mécontents de l’Exécutif... et l’on aimerait savoir quels sujets de contentement peuvent avoir les 25% restant, car il n’y a assurément pas 25% de millionnaires en euros au sein de la Nation, soit les seuls Français qui pourraient être satisfaits du gouvernement ultraréactionnaire, dirigé par le tandem Macron – Philippe.   

Il serait d’ailleurs bon que les « politologues » - cette engeance fondamentalement inutile – et les journalistes comprennent enfin que seuls représentent « l’Extrême-Droite » les hommes et les femmes voués à la conservation des privilèges des puissances d’argent.

Macron, Philippe et consorts, qui œuvrent à l’évidence pour les financiers internationaux, créanciers-charognards de l’État français (et des autres États européens, mais c’est l’affaire des autres Nations d’Europe), qui alimentent les bénéfices des multinationales de la production et de la distribution des biens de consommation – qui sont les uniques bénéficiaires de l’immigration-invasion que nous subissons, sans avoir été consultés, en négation du principe démocratique -, ces parvenus au pouvoir, forment la pire réaction que nous ayons connue depuis les débuts de la VRépublique.

Même Georges Pompidou, qui était déjà un « homme des Rothschild », n’avait pas osé en faire autant pour le grand capital et ses titulaires que les hypocrites de la « République en marche »... vers un désastre économique et financier sans précédent, mais surtout – et c’est infiniment plus grave – vers l’anéantissement de notre Nation.

Charles De Gaulle était, certes, un général de guerre civile, mais du moins savait-il que la France est peuplée de membres de la race européenne et s’opposait-il à son invasion par les Extra-Européens. Il est de bon ton, en nos jours de confusion sémantique et d’abjecte démagogie tiers-mondiste – ou mondialiste, comme on voudra - d’en faire « un raciste ».

Mais s’il faut affronter ce qualificatif, qui effraie les esprits simples ou émotifs, pour libérer notre patrie des envahisseurs qui n’ont rien, absolument rien à y faire, alors affrontons-le !

Il est absolument nécessaire, en cette année 2019, d’exploiter, pour le salut de notre Patrie et la sauvegarde de notre Nation, le mouvement de rejet de l’abjecte mondialisation qui est incarné – de façon malhabile, c’est évident – par l’émotion populaire durable des Gilets Jaunes.

Il est grand temps que les Français de souche européenne comprennent que les clivages droite-centre-gauche ne signifient plus rien en cette ère d’économie globale qui nous tue.       

Il n’existe qu’une alternative : ou l’on continue de subir la véritable réaction - celle du grand capital international – ou l’on se lance dans l’expérience populiste. Les échéances électorales prochaines ne seront qu’un test et sûrement pas le plus important. L’essentiel est de regrouper la Nation autour d’idées simples orientées vers la conservation et l’accroissement du Bien Commun. Rien ne se fera sans un chef, jeune, dynamique et charismatique, capable d’unir les forces vives de notre Nation.

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Revendiquer notre héritage chrétien, une composante importante de l’identité européenne

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L’oligarchie rejette les racines chrétiennes de notre civilisation. Lors de la mise au point du traité de constitution européenne, elle refusa qu’on y fît référence et, à l’intérieur de notre pays, cette simple évocation attire ses foudres au nom du dogme de la laïcité. Pourtant, l’histoire, la culture et l’esprit de notre nation sont imprégnés de christianisme, preuve que ce dernier est bien une composante de notre identité. Ligne droite estime en conséquence que nos racines chrétiennes, qui font partie de notre héritage, doivent, en dehors de toute considération religieuse, être reconnues, revendiquées et assumées.

Le christianisme, pas seulement une religion, une réalité culturelle et historique

Pour le Système, l’identité de notre pays se réduit à un ensemble de prétendues valeurs, toutes inspirées par la pensée unique, au sein desquelles l’héritage chrétien n’a pas sa place. Parmi celles-ci, figure en revanche la laïcité dont se servent les idéologues laïcards et déconstructeurs de l’oligarchie pour considérer que le christianisme, n’étant qu’une religion, doit être traité comme tel et placé au même rang que l’islam par exemple.

Cette conception abstraite de notre identité ignore complètement que le christianisme a aussi une dimension culturelle et historique qui a forgé l’identité de notre nation depuis des siècles. Car, que l’on soit chrétien ou non, pratiquant ou non, personne ne peut nier que le christianisme a joué un rôle moteur dans la formation de notre nation et qu’il représente à ce titre une composante importante de notre identité nationale et civilisationnelle.

Le christianisme a façonné notre nation pendant mille cinq cents ans

Il suffit pour s’en convaincre de parcourir notre pays où sont implantées chapelles, églises et cathédrales par milliers, où beaucoup de lieux portent le nom d’un saint et où le calendrier qui règle la vie collective est constitué par les fêtes chrétiennes. Il suffit aussi de se remémorer notre histoire qui, pendant près de quinze cent ans, a été façonnée par le christianisme. Une influence qui a d’ailleurs profondément marqué toutes les facettes de notre civilisation, aussi bien les arts, la littérature que la philosophie ou les sciences.

Le christianisme marqué par l’esprit européen

Symétriquement, le christianisme a été marqué par l’esprit européen, en raison notamment de sa conception de la liberté humaine. Devenu religion officielle de l’Empire romain, le christianisme a été le réceptacle des valeurs de l’antiquité finissante. Nombreux sont en effet les Pères de l’Église et les premiers évêques à avoir été des patriciens grecs ou romains. Par ailleurs, la conversion des tribus germaniques et franques au christianisme est venue renforcer son caractère européen. Que serait l’héritage antique sans le christianisme qui l’a porté jusqu’à nous à travers la pensée des Pères de l’Église ou le patient travail des moines copistes ?

Nos racines chrétiennes pour résister à l’islamisation

Aujourd’hui, la dimension chrétienne de notre identité contribue par ailleurs à marquer la spécificité de notre civilisation en particulier par rapport à l’islam. Ainsi, par exemple, le christianisme est-il pour beaucoup dans la distinction entre le spirituel et le temporel propre à notre civilisation. Cette distinction renvoie en effet à une conception chrétienne de la société fondée par les paroles du Christ annonçant que son royaume n’est pas de ce monde, affirmation unique à l’époque. Le célèbre « Rendez à César… » a ensuite structuré les sociétés européennes jusqu’à nos jours en distinguant les domaines temporel et spirituel, à l’inverse de l’islam qui les confond totalement en considérant la loi civile comme de nature divine.

De même, le christianisme a accompagné notre civilisation dans sa quête de connaissance et sa recherche du progrès technique et scientifique. Cette caractéristique de notre civilisation fondée sur l’expérimentation scientifique n’est pas étrangère à la pensée chrétienne. Depuis la Renaissance, le christianisme a en effet encouragé l’homme à comprendre le monde qui l’entoure et à développer son intelligence. Une démarche très différente de celle de l’islam qui bride la pensée et fige les connaissances depuis le treizième siècle.

Ainsi, la composante chrétienne de notre identité peut-elle jouer un rôle utile dans la résistance à l’islamisation. Comme elle peut par ailleurs servir de levier pour contrer les entreprises de déconstruction du Système.

L’héritage chrétien pour contrer les entreprises de déconstruction

Le christianisme est en effet porteur de l’idée de bien commun propre à notre civilisation. Depuis des siècles, les penseurs chrétiens affirment la nécessité pour la politique d’être orientée vers le bien commun et par conséquent d’agir au bénéfice de la communauté que constituent les membres d’une même nation. Le bien commun s’oppose donc à la conception du Système, qui de son côté cherche à substituer à l’intérêt général la somme des intérêts particuliers.

De même, comme les peuples d’Europe, le christianisme a toujours pris en compte la réalité de la nature humaine, considérant qu’elle répond à une loi naturelle qu’il a théorisée et défendue comme référence éthique. Une loi qui s’oppose, là aussi, au projet du Système de déconstruire nos valeurs de civilisation. Aucune des réformes voulues par l’oligarchie concernant par exemple le mariage pour tous ou la GPA n’est en effet compatible avec la loi naturelle.

Il n’est donc pas étonnant que le Système, conscient que la prise en compte de cet héritage peut constituer une menace pour ses initiatives mortifères, s’efforce de couper les peuples de leurs racines chrétiennes.

Ligne droite estime nécessaire que notre peuple reprenne pleinement conscience de la richesse de sa civilisation et que, dans ce cadre, il donne toute sa place à la composante chrétienne de son identité. Indépendamment de sa dimension religieuse, celle-ci est porteuse d’histoire et de valeurs qui font une part de ce que nous sommes. Une part aujourd’hui menacée par la poussée islamique ainsi que par le travail de déconstruction. Aussi, nos racines chrétiennes sont-elles indispensables pour assurer l’avenir de la civilisation européenne. Il est important de les reconnaître et de les prendre en compte.

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Un reportage sur la Nouvelle Droite aujourd'hui

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samedi, 05 janvier 2019

Journal du chaos

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vendredi, 04 janvier 2019

SPÉCIAL ESPAGNE : MANUEL VALLS AU SEIN D’UNE COALITION DES DROITES

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Franck Buleux Metainfos cliquez là

En Andalousie, pour la première fois depuis l’après-franquisme, une coalition de droite dirige la grande région autonome espagnole.

En effet, bien qu’arrivé en tête des voix, le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) d’Andalousie au pouvoir depuis 1976 connait un fort recul, tandis que Ciudadanos, parti de centre droit dont fait partie Manuel Valls, connait une forte hausse. Le scrutin est cependant surtout remarqué dans le pays et à l’étranger par la percée du parti Vox, qui fait son entrée au parlement andalou et devient ainsi le premier parti de droite nationale espagnole à obtenir des sièges dans un parlement régional depuis la transition démocratique. Un coup de tonnerre… L’Espagne faisait souvent figure d’exception en matière de percée des droites populistes ou/et identitaires.

Avec respectivement 21 %, 18 % et 11 %, la droite traditionnelle, le Parti populaire (PP) espagnol, en baisse, le centre droit et la droite nationale sont majoritaires en voix comme en sièges, le mode de scrutin étant proportionnel de l’autre côté des Pyrénées, favorisant ainsi le respect du suffrage universel direct et l’union de mouvements.

Toutefois, un problème semble venir de France… Même si celle-ci fait figure de pays précurseur en matière d’union des droites, puisque dès 1983, une coalition RPR-UDF-FN ravissait la ville de Dreux à la gauche, les élites françaises semblent totalement hermétiques à la démocratie, lorsque celle-ci envoie des élus à droite de la droite.

Or, Vox est un parti fondé en 2013 par des déçus des pratiques du Parti populaire, la droite « classique » espagnole. Vox défend la royauté espagnole, l’unité du pays, la famille et souhaite le rattachement de Gibraltar, actuellement sous contrôle britannique. Enfin, Vox plaide pour la fermeture des mosquées fondamentalistes ainsi que l’arrestation et l’expulsion des imams extrémistes, ce qui doit effectivement le rendre extrémiste aux yeux des bien-pensants hexagonaux.

Et le problème est là… Le candidat à la mairie de Barcelone pour le parti de centre droit, Ciudadanos, membre de la coalition des droites andalouses, est l’ancien Premier ministre français, ancien député-maire d’Évry, Manuel Valls.

L’élection du gouvernement andalou incluant les trois partis de droite, il est donc juste de dire que Manuel Valls fait partie d’un mouvement qui s’unit, au moins régionalement, à l’extrême-droite espagnole. En attendant les élections nationales où cette coalition pourrait faire chuter le Premier ministre socialiste ?

Soyez rassurés, Manuel Valls, membre du centre droit espagnol, a vigoureusement dénoncé l’union des droites andalouses. Mais il reste membre du parti de centre droit. En France aussi, nous avons connu des élus de droite qui condamnaient les alliances avec le FN, tout en restant dans leur parti.

Déjà mal placé dans les sondages pour conquérir Barcelone face à la gauche radicale et indépendantiste catalane, Manuel Valls aura besoin de toutes les voix de droite pour l’emporter.

Alors, Manuel Valls est déjà confronté à un dilemme : ravir Barcelone en s’alliant avec toutes les droites ou… revenir en France ?

Ultime solution, si un pays n’importe où dans le monde ne subit pas la poussée de la droite populiste, il se pourrait que le binational Manuel Valls soit intéressé par une troisième nationalité.

Un Manuel au Brésil aurait fait bonne figure, selon la théorie des prénoms, chère à Éric Zemmour mais vous n’y pensez pas…

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Les méchants et les gentils...

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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jeudi, 03 janvier 2019

Invraisemblable : LE TRAIN BLEU PORTE PLAINTE CONTRE DES SALARIÉS POUR CRIME DE « QUENELLE »

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Pas de prescription pour les "crimes de quenelle"...

Source Paris Vox cliquez là

LE CÉLÈBRE RESTAURANT DE LA GARE DE LYON (PARIS 12e) A ANNONCÉ QU’IL ALLAIT PORTER PLAINTE ET SANCTIONNER CERTAINS DE SES SALARIÉS SUITE À LA DIFFUSION D’UNE PHOTO LES MONTRANT EN TRAIN DE RÉALISER UNE « QUENELLE », LE GESTE HUMORISTIQUE POPULARISÉ PAR DIEUDONNÉ.

Les mal-pensants présents sur le cliché sont au nombre d’une douzaine, tous souriants et en tenue du prestigieux restaurant.

Dans un communiqué, la direction de l’établissement, qui appartient au géant britannique de la restauration dans les transports SSP, a déclaré avoir découvert ce cliché avec «  effarement et horreur  », rien de moins.

Bien que la photo date visiblement de plusieurs années, l’entreprise a annoncé des sanctions «  exemplaires  » contre ceux ayant perpétrés « ce geste en forme de salut nazi inversé, devenu un signe de ralliement dont nous n’ignorons ni la gravité ni la signification antisémite avérée » et qui  ont ainsi « violé les valeurs de notre entreprise qui réprouve toute forme de haine, de racisme et de discrimination  ». En ce sens la société «  se tiendra à la disposition des autorités pour permettre l’identification de toutes les personnes qui se sont adonnées à un geste haineux et qui ont fait partie de l’établissement Train Bleu.  »

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Procurez-vous donc le calendrier 2019 de La Dissidence française

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Un dictionnaire hors des chemins convenus

Dico-Grand-Epuisement-e.jpgGeorges Feltin-Tracol

Ancien rédacteur à L’Action Française, collaborateur à Synthèse nationale, à Réfléchir & Agir, à EuroLibertés, à Éléments, et chroniqueur hebdomadaire de l’émission « Synthèse », Aristide Leucate est aussi un auteur prolifique. À peine a-t-il publié chez Pardès un remarquable Carl Schmittqu’il vient de sortir aux éditions Dualpha un Dictionnaire du Grand Épuisement français et européen (préface de Pierre Le Vigan, 2018, 393 p., 33 €).

Le recueil d’articles classés dans l’ordre alphabétique (malgré l’absence de termes commençant par les lettres K et Y) se veut comme le bilan d’un moment manqué. Bien que réunissant des millions de personnes, La Manif pour Tous a montré ses limites politiques, tactiques et militantes, expliquant son échec final. « Nos compatriotes, écrit-il, engoncés dans la défense consumériste et égoïste de leurs acquis sociaux, éprouvent, en dépit de belles mais sporadiques intentions performatives, de réelles difficultés à s’affranchir des évangiles de la pensée unique, pour oser, enfin, monter sur les barricades et jeter loin les pavés (p. 21) ». L’exemple récent des « Gilets jaunes » confirme l’analyse d’Aristide Leucate : le gouvernement recule devant la force populaire impétueuse. En prenant les cas d’Étienne Marcel, des Vendéens et de la Commune, il s’interroge encore : « La corde de l’insurrection était-elle trop courte ou le puits des audaces trop profond ? (p. 23) ». Il en déduit fort logiquement un « grand épuisement » historique des peuples de France et d’Europe.

Certes, Aristide Leucate ne cache pas son royalisme maurrassien, ce qui ne l’empêche pas d’aborder une actualité que n’aurait jamais pu imaginer le natif de Martigues. Ainsi traite-t-il du Qatar, de l’ubérisation des rapports sociaux, de Macron, voire d’Élie Wiesel. Son farouche anti-républicanisme, fort plaisant, lui permet de rappeler que « la France, à travers une politique étrangère oscillant entre ingénuité universaliste et ignorance coupable, ouvre inconsidérément ses bras à un État qui a délibérément fondé sa stratégie de puissance sur un impérialisme financier décomplexé (p. 298) ».

Même si l’on ne partage pas son avis sur l’Europe, l’avenir de la Corse ou sur une hypothétique restauration monarchique, on le rejoint volontiers quand il pense que « la fonction présidentielle, écrit-il encore, a perdu en majesté ce que ses titulaires ont progressivement engrangé en banalité vulgaire. Avec l’élection de François Hollande, la République a définitivement administré la preuve de son état moribond. Il est désormais accessible à n’importe qui de briguer la charge suprême de l’État. En somme, pour paraphraser Céline, l’Élysée serait devenu cet infini à la portée des caniches (p. 305) ». Et c’était avant la victoire d’Emmanuel Macron, le sous-Jupiter de l’Hexagone !

Outre une qualité exigeante d’écriture, il faut lire ce Dictionnaire du Grand Épuisement français et européen parce qu’il pose le constat clinique sur le déclin avancé de notre civilisation. Le Romain Symmaque a trouvé son successeur, il s’appelle Aristide Leucate !

Bonjour chez vous !

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Vers le krach : tout va mal partout dans le monde

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Marc Rousset

La Bourse de Paris a fini sa pire année depuis 2011, en chute de 10,95 %. À Wall Street, le Dow Jones, le NASDAQ et le S&P 500 ont respectivement lâché 5,6 %, 3,9 % et 6,2 % alors qu’ils s’étaient envolés l’année dernière de 25,1 %, 28,2 % et 19,4 %. 2018 est l’année du retour sur Terre. Les banques du S&P 500 ont perdu 14,7 % et le secteur de l’énergie 20,5 % en raison du plongeon du cours du pétrole de 86,3 dollars, le 3 octobre 2018, à 53,8 dollars, le 26 décembre 2018, soit une chute de 37,7 % en trois mois.

Le repli, à Wall Street, de plus de 10 % sur le mois de décembre – la plus forte baisse mensuelle depuis février 2009, du jamais-vu depuis 1929 – a été spectaculaire, et de 26.000 points au début du mois de décembre 2018, le Dow pourrait chuter jusqu’à 14.000 points durant l’été ou l’automne 2019. Autre signe des temps : la bulle des crypto-monnaies a explosé. En 2018, plus de 700 milliards de dollars sont partis en fumée sur le marché du bitcoin et de ses alter ego. La Bourse de Shanghai, elle, a baissé, en 2018, de 25 % et 75 fonds d’investissement chinois en actions ont fait faillite.

Les obligations d’État japonaises à dix ans considérées comme des valeurs refuges au même titre que l’or ont vu leur rendement tomber en territoire négatif à -0,005 % pour la première fois depuis 2017. De son côté, la Bundesbank est pessimiste pour l’économie allemande, ne prévoyant plus que 1,6 % de croissance en 2019, avec des rumeurs de fusion entre Deutsche Bank et Commerzbank, une crise démographique, un manque de main-d’œuvre – l’armée allemande, faute de recrues, envisageant même très sérieusement de recruter des Européens pratiquant la langue de Goethe.

Une très forte volatilité règne sur les marchés. Du jour au lendemain, le pessimisme des investisseurs peut faire place à l’optimisme. Les indices de volatilité VSTOXX et VIX (connu sous le nom d’« indice de la peur ») se sont envolés, du jamais-vu pour un mois de décembre depuis 1931. Une politique d’assouplissement monétaire comme au Japon, avec des taux d’intérêt négatifs en vue de repousser un krach boursier, ne peut durer indéfiniment ou laisserait place à la perte de confiance et à l’hyperinflation.
L’euro est une excellente idée, un succès reconnu dans le monde, mais suite au laxisme, à l’inconscience des pays non sérieux tels que les pays européens du Sud dont la France, la zone euro est à la veille de l’éclatement. Non seulement les économies n’ont pas convergé, mais l’hétérogénéité structurelle a augmenté entre les différents pays européens. De plus, 50 % des obligations d’entreprises européennes sont notées BBB- (la plus basse note avant d’être placé dans la catégorie « obligations pourries »). Il y a dix ans, ce chiffre n’était que de 19 %. C’est dire le nombre de sociétés dépendant des taux d’intérêt pour assurer leur survie en Europe.

Rome a mis de l’eau dans son vin pour échapper aux sanctions des marchés et de l’Union européenne en ramenant son déficit public de 2,4 % à 2,04 % en 2019. Le plan d’investissement a été réduit, les impôts sur les sociétés augmentés, le revenu minimum de citoyenneté, l’abaissement de l’âge de la retraite, la diminution des impôts des auto-entrepreneurs maintenus. Les syndicats et la gauche demandent maintenant la désindexation des pensions de retraite supérieures à 1.500 euros nets par mois. Avec ce budget démagogique, épris en apparence seulement de justice sociale pour augmenter, finalement, le nombre de chômeurs, l’Italie sérieuse et travailleuse va continuer de décrocher par rapport à l’Europe du Nord.

Le libre-échange mondialiste, avec sa course incessante aux bas salaires et aux délocalisations, doit être mis à bas dans une Europe-puissance protectionniste. 85 millions d’emplois pourraient être théoriquement délocalisés de l’« usine du monde Chine ». La grande mode, la dernière « trouvaille » pourraient maintenant être l’Éthiopie, avec son salaire moyen de 50 euros par mois. Le basculement sans fin du capitalisme vers le Sud conduit à la déstabilisation et à la paupérisation des classes moyennes en Europe. Les pseudo-élites ont été amenées à distribuer du pouvoir d’achat fictif en augmentant la dette publique d’une façon suicidaire et en créant de la fausse monnaie d’une façon non conventionnelle dans les banques centrales. Une raison supplémentaire d’explosion sociale, d’éclatement de la zone euro, de krach économique et financier, de révolution conservatrice en Europe.

Boulevard Voltaire cliquez ici

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Samedi 26 janvier à Beauvais : galette des Rois du Parti de la France

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Samedi 26 janvier à Beauvais se déroulera à 15h la traditionnelle galette des rois du Parti de la France - Picardie.

À l'invitation de Thomas Joly, Secrétaire général et Délégué régional, sera présent Jean-Claude Rolinat, membre du Bureau Politique du PdF, auteur du récent ouvrage « La bombe africaine et ses fragmentations » qui sera vendu à un tarif promotionnel pour les participants.

Réservations au 06 09 96 44 37

ou thomasjoly60@yahoo.fr

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mercredi, 02 janvier 2019

Quand l’urbanisme explique, en partie, les gilets jaunes

Par Catherine Tricot*

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 Largement soutenu par la population, le mouvement des «gilets jaunes» ne s’est cependant pas généralisé. Il y a bien eu le ralliement des dockers du Havre, de quelques centaines de lycées ou du comité Justice pour Adama Traoré, mais la grande convergence des luttes n’a pas eu lieu. Au-delà de positions sociales communes, les catégories populaires se révèlent profondément fragmentées.

Le peuple d’hier était largement – mais jamais complètement − structuré par une relative communauté de vie et par le mouvement ouvrier. Son unité a été mise à mal par le recul de la grande entreprise, l’externalisation des fonctions et le développement de la sous-traitance, la diversification des statuts de travailleurs, l’apparition de nouvelles formes d’organisation du travail. Le mouvement des « gilets jaunes » met en évidence la dimension territoriale de cet éclatement populaire. Les « gilets jaunes » se sont surtout manifestés hors des grandes métropoles, plutôt dans les anciennes terres industrielles et dans la « diagonale du vide » qui dessine la France centrale, encore agricole, celle des moyennes industries, des petites et moyennes villes.

Certes, le critère territorial ne supplante pas tous les autres, mais il compose et caractérise autant ce mouvement que la mosaïque populaire elle-même. Si cette carte est si marquée, c’est qu’elle s’emboîte avec des modes de vie, des expériences politiques et des représentations de l’avenir. Pour se mobiliser, le lieu d’habitation s’avère aussi structurant que le niveau des revenus ou le statut. Pour prendre la mesure de cette réalité des catégories populaires, la grille de lecture par le travail et le revenu ne suffit plus.

Au vu de nombreux reportages, on comprend qu’une forte proportion des « gilets jaunes » résident dans de petites et moyennes villes, qu’ils sont propriétai- res de pavillons construits il y a plus de quinze ans, difficiles à chauffer. Souvent issus d’un monde qui se souvient de la maison familiale à la campagne, beau- coup ont acheté leur logement pour se prémunir de l’avenir.

DIFFICILE ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ

Ils ont parfois quitté la grande ville, trop chère, trop dangereuse ; ils entendaient échapper à la « cité ». Dans le jardin, le barbecue est en bonne place: le voici sur les ronds-points. Ils aspiraient à une idée du bien-vivre, mais la situation s’est révélée plus difficile, avec des services publics raréfiés et éloignés, des réseaux 4G ou la fibre optique inaccessibles, et la voiture, indispensable, de plus en plus coûteuse. La métropolisation, subie, a accentué le sentiment d’une mise à l’écart de la modernité; elle a alimenté le rejet d’une élite méprisante.

Cette histoire est bien loin de celle des habitants des ensembles construits dans les années 1960 et 1970, les logements sociaux habités majoritairement par des familles issues de l’immigration. Ce parc immobilier est important à la périphérie des métropoles, mais on le trouve aussi dans les villes moyennes d’anciennes industries. Loué, et non acheté, l’appartement bénéficie rarement d’espaces extérieurs conviviaux où, ne serait-ce que sur le balcon, on peut manger et inviter. La grillade, on n’y pense même pas... Pour ces familles, obtenir un tel logement est souvent une chance, mais rarement un choix. Les habitants des cités se savent discriminés et vivent dans des quartiers où la règle n’est pas commune : rapports délétères avec la police, services publics de moindre qualité, invisibilité généralisée, centre commercial comme substitut au marché et à la place publique, qui n’existent pas.

Pour une troisième grande catégorie populaire, celle qui vit en ville ou près des grands centres-villes, les loyers absorbent une part croissante des revenus. Elle consent d’énormes sacrifices de temps et d’argent pour rester branchée sur « une modernité » : transports en commun, em- ploi, commerces et loisirs, services pu- blics encore debout. Les services les plus socialisés sont théoriquement à leur portée et à celle de leurs enfants : universités, hôpitaux, musées et salles de concert... La précarité n’est pas que profession- nelle; elle a aussi le visage des projets immobiliers des propriétaires. L’accession à la propriété pour se sécuriser ? Dans le cœur des métropoles, elle devient hautement improbable pour les catégories populaires. Alors, ce qui reste commun, ce sont les problèmes d’argent, l’inquiétude face à l’avenir, souvent la souffrance au travail. Mais tout cela est vécu selon des perspectives divergentes en partie en fonction des lieux, voire des stratégies, de résidence.

Cette réalité éclatée du monde populaire signifie-t-elle l’impossibilité d’une unité future? L’exigence de vivre de son travail et non d’aides, la fronde contre les inégalités et les impôts injustes, l’affirmation de la dignité et du respect ont fait le socle du soutien aux « gilets jaunes ». Sans faire converger ces mondes populaires. Leur réunification ne peut se concrétiser que dans un projet porté par un discours politique d’ampleur. C’est ce qui a manqué au mois de décembre 2018.

(*) Catherine Tricot est architecte. Le titre est de nous.

Source : Le Monde 3/01/2019

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Le Prix 2019 des Lecteurs et Amis de Présent est attribué à Jean-Marie Le Pen

9271-p8-lepen-couv.jpg32 % des participants au Prix du livre des Lecteurs et Amis de Présent ont voté pour Fils de la nation, le premier tome des mémoires de Jean-Marie Le Pen.

L’idée nous était venue un matin d’octobre, lors d’un comité de rédaction, alors que nous évoquions le contenu des pages littéraires de Présent :

— Et si nous demandions à nos lecteurs de désigner le livre qui, à leurs yeux, a été le plus important, cette année ? Nous pourrions les interroger, sans opérer de pré-sélection, mais en orientant éventuellement les choix par des tribunes de collaborateurs et de proches du journal, et de lecteurs, qui expliciteraient leur soutien à tel ou tel livre.

Nos rédacteurs sont montés au créneau. Et nous vous avons invités à en faire autant, à vous exprimer en toute liberté sur vos lectures de l’année 2018 et à propos de celui des livres qui avait le plus marqué.

Le Prix a été placé sous la présidence de Maître Thierry Bouclier, avec l’obligation pour lui de veiller au respect du règlement prédéfini, règlement qui a été rappelé à plusieurs reprises dans les pages de Présent. Maître Bouclier devait également s’assurer de la sincérité du scrutin. Mission dont il s’est parfaitement acquitté.

Le choix est sans appel, et l’ordre d’arrivée ne sera pas bouleversé par d’éventuels votes expédiés tardivement.

Fils de la nation recueille plus de 32 % des suffrages ;

La France interdite, de Laurent Obertone qui, au début de la procédure de désignation, faisait jeu pratiquement égal avec le livre de Jean-Marie Le Pen, arrive en seconde position, ayant recueilli un peu plus de 15 % des votes.

Un grand nombre d’autres titres

Pour que le podium soit complet, il convient de signaler la troisième place, obtenue par Bruno Lafourcade, pour son roman L’Ivraie (9 % des voix). Concernant ce dernier livre, il s’est trouvé propulsé à cette place inattendue après que nos amis et partenaires de la revue littéraire Livr’arbitres eurent rejoint notre entreprise. Il n’est pas exclu que cette troisième place soit le fruit d’un intense lobbying (mais, pour le coup, le règlement ne l’interdisait pas). Ces votes sont en effet arrivés dans la dernière ligne droite, et battent au poteau, pour cette troisième place, l’excellent Destins français, d’Eric Zemmour. L’Ivraie est une satire très méchante, mais très juste, de l’école républicaine, et un roman extrêmement drôle, ce qui ne gâte rien.

Il convient de remarquer que vos suffrages se sont surtout dispersés sur un grand nombre d’autres titres. Citons par exemple, sans prétendre faire preuve d’exhaustivité, Un automne romain, de Michel De Jaeghere, Le Mystère Clovis, de Philippe de Villers, L’Immaculée Conception, de Michèle Reboul, Arnaud Beltrame, gendarme de France, de Christophe Carichon, Blanquer ce monstre froid, de Claude Meunier-Berthelot, Demeure, de François-Xavier Bellamy. Ces livres ont recueilli un nombre non négligeable de votes. Mais il faut citer aussi Un été avec Homère, En terrasse avec Cicéron, L’Eté des quatre rois, Qu’est-ce qu’un chef ?, Mabire (la biographie de Jean Mabire) etc.

Enfin de nombreux livres ont été défendus – et souvent bien défendus – par un ou deux lecteurs seulement. Nous avons essayé de publier un grand nombre de ces messages de soutien à tel ou tel livre, moins médiatisé que les best-sellers, qui, eux, ont assez naturellement trouvé des voix pour les porter. Mais le contenu entier dePrésent n’aurait pas suffi pour citer tous vos messages.

Une critique revenait souvent dans vos courriers : « Vous auriez dû réserver le prix à de bons livres qui, sans un coup de projecteur, ne trouveront pas leur public. » Nous comprenons cette remarque. Mais le livre de Jean-Marie Le Pen n’est-il pas un bon livre ? Et nous savons aussi les entraves apportées à sa diffusion, même s’il est vrai qu’il a su quand même trouver son public.

Le livre qui raconte nos combats et nos espérances, nos joies et nos peines, nos colères et nos passions

Toutefois, l’objectif de notre Prix du Club des Lecteurs et Amis de Présent n’est pas d’abord de révéler des talents cachés ou nouveaux, de faire des paris sur de jeunes auteurs, à la façon du prix Goncourt. Il s’agit pour nous de mettre à l’honneur le livre et la lecture et de montrer l’extraordinaire diversité des thèmes, des talents, des genres, illustrant nos valeurs. De ce point de vue, la démonstration a été parfaitement réussie. Et Jean-Marie Le Pen fait un lauréat plus que légitime ! Pour beaucoup d’entre nous, c’est le livre qui raconte nos combats et nos espérances, nos joies et nos peines, nos colères et nos passions, sur bien plus d’un demi-siècle.

Bravo, donc, à Jean-Marie Le Pen, bravo aux autres auteurs, sélectionnés par notre jury, qui est le plus beau des jurys, puisqu’il est composé, pour l’essentiel, de nos lecteurs ! Et merci à vous, lecteurs, de vous être pris massivement au jeu.

Que va-t-il se passer, maintenant ?

Conformément à notre promesse, nous publierons dix encarts publicitaires dans les pages de Présent pour Fils de la Nation, avec un bandeau : « Prix 2019 du Club des Lecteurs et Amis de Présent ».

Nous allons ensuite contacter le récipiendaire et voir dans quelle mesure nous pouvons solenniser, en sa présence, cette attribution du prix. Il est prévu un partenariat avec La Nouvelle Librairie (11 rue Médicis dans le VIe arrondissement de Paris), et avec un restaurant parisien, La Mère agitée, situé non loin de là, qui pourrait bien devenir notre Drouant à nous. Nous vous tiendrons informés de tout cela dans les pages de Présent.

Mais ce que nous souhaitons par-dessus tout c’est que, l’année prochaine, l’attribution, pour la seconde fois, de ce prix, fasse l’objet d’une plus forte mobilisation, bien au-delà du public des lecteurs de Présent. Nous espérons, forts de ce succès, que les auteurs, les maisons d’édition, les diffuseurs, les librairies amies, rejoignent notre initiative et participent plus massivement à la mise en valeur de nos « grands livres ». Ce prix a vocation à devenir un événement annuel, un rite, un rendez-vous festif, mêlant auteurs, lecteurs, éditeurs et diffuseurs.

Cette attribution du prix 2019 des Lecteurs et Amis de Présent n’est donc pas la fin d’une aventure commune, mais son commencement.

Francis Bergeron, président du CLAP
Thierry Bouclier, président du Prix du CLAP

Source cliquez ici

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Les voeux de Carl Lang et du Parti de la France

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mardi, 01 janvier 2019

Ignace débusque les mensonges

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DE LA FISCALITE ABUSIVE NAISSENT DES MOUTONS ENRAGES.

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Pieter Kerstens

Quelques centimes de taxes supplémentaires en octobre ont fait déborder le réservoir des automobilistes et enclencher la rébellion des gilets jaunes. Ce mouvement disparate, essaimé sur l’ensemble de la France, reflète très exactement la majorité de la population dans les tranches d’âge, les niveaux culturels, sociaux, économiques ou financiers, à l’exception notable des citadins diplômés, écolos-bobos friqués et votant à gôche.

Cette diversité fait sa force, additionnée à une capacité de réaction rapide via les réseaux sociaux et excluant toute forme de hiérarchie.

La vingtaine de « figures » qui ont été interrogées abondamment par les médias traditionnels ces dernières semaines ont déclaré en permanence être « apolitiques » et rejeter les élus et les structures issues de la République.

Par contre, leurs discours et revendications sentaient bon un parfum de gauchisme.

Cette France « d’en bas », cette majorité silencieuse depuis des décennies, symbolise le béret, la baguette, le saucisson, le vin rouge les clopes et le gas-oil.

Curieusement sur les ronds-points, les péages d’autoroute et autour des centres commerciaux bloqués, on ne voyait aucune « chance pour la France », aucun « d’jeune » ni de black. A croire que ceux-là étaient satisfaits et non concernés par les maux qui touchent les Gaulois au quotidien.

NON A LA TRANSITION ENERGETIQUE.

Quand un état taxe à 66% le prix des carburants au prétexte de l’écologie et du « sauvetage de la Planète », c’est prendre les automobilistes pour des arriérés mentaux.

Il faut combattre les talibans verts et les gouvernements européens qui culpabilisent leurs populations comme d’affreux pollueurs, alors même que l’Europe a réduit ses émissions de CO 2 et de gaz à effet de serre de 30% entre 1990 et 2010.

La France ne représente aujourd’hui que 2% du total mondial de la pollution au CO 2 !!!

Il faut le dire et le répéter partout et toujours : les paquebots de croisières, les cargos porte-conteneurs et les éruptions volcaniques sont la cause de la majeure partie de la pollution par le CO2, l’émission de gaz sulfureux et la diffusion de particules fines. Ce que rejette votre diesel est infime et non-recevable.

Un gros paquebot de croisière comme « L’empire des mers », brûle 150 tonnes de fuel lourd et pollue autant qu’1 million de voitures, chaque jour. Les énormes porte-conteneurs qui amènent le made in China en Europe et sont la cause de la fermeture de nos usines polluent encore bien plus, de même que les milliers d’avions qui sillonnent le ciel de l’Hexagone tous les jours. Bizarrement le kérozène, lui, est détaxé.

Personne ne dénonce également les millions de tonnes de gaz sulfureux, de CO 2 et de particules fines qui sont crachés tous les ans dans l’atmosphère par la trentaine de volcans en éruption (sans compter la quinzaine supplémentaire en activité), comme le Stromboli et l’Etna en Italie, le Popocatépetl au Mexique, le Erta Ale en Ethiopie, Le Nyiragongo en RDC, le Krakatoa en Indonésie, le Reventador en Equateur ou le Kilauea à Hawaï, par exemple.

De cela, les Duflot, de Rugy, Mamère, Cohn-Bendit et autres Hulot ne parlent pas. Silence et bouche cousue. Pour les ayatollahs de l’écologie et les ONG de la transition énergétiques, SEUL L’HOMME BLANC serait responsable de la destruction de la Planète. Pas un mot sur les Asiatiques, les pétromonarques ou les Africains.

Quelle arrogance et quel orgueil de croire que ces donneurs de leçons pourraient influencer la Nature !

J’ADORE LA CORRIDA, J’AIME LE FOIE GRAS, JE SOUTIENS LA CHASSE A COURRE ET JE ROULE AU DIESEL.

N’en déplaise aux Eurocrates de Bruxelles, aux laquais du Nouvel Ordre Mondial, aux charlatans du métissage généralisé et aux gourous de la Nouvelle Religion Droits-de-l’Hommiste, je constate qu’un nombre de peuples européens de plus en plus nombreux aujourd’hui ouvrent les yeux et osent agir contre les fadaises, les utopies et la propagande dont le Système nous abreuve depuis bientôt 75 ans. Les macronariens ont voulu les salir et les calomnier en les accusant de destructions et de pillages, alors même que les responsables en étaient l’ultra-gauche et la racaille des banlieues, individus bien connus des services de police.  C’est cela la réalité.

Les gilets jaunes sont l’expression d’une exaspération accumulée depuis quatre décennies. Les gouvernements devraient prendre garde que cette exaspération ne conduise à un désespoir qui ouvrirait les portes à des insurrections ou des révoltes plus dangereuses.

Sans aucun doute, les élections du 26 mai 2019 vont être le dernier avertissement adressé à des élites politiques peu soucieuses de la souveraineté, de l’identité et des intérêts des peuples qu’ils ont l’obligation de défendre.

Que l’An Nouveau puisse nous apporter la Force et la Joie indispensables au combat que nous menons.

19:40 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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