mercredi, 22 janvier 2020
VENDRED 24 JANVIER, 19 H 30 : AIX-EN-PROVENCE, PRÉSENTATION DU LIVRE "ORDRE NOUVEAU RACONTÉ PAR SES MILITANTS"
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mardi, 21 janvier 2020
Fête de l'argent roi, de la finance et de la spéculation cette semaine en Suisse.
L'avis de Jean-François Touzé
L'oligarchie mondialiste se retrouve à partir de ce mardi à Davos pour l'édition 2020 de sa grande partouze capitaliste annuelle connue sous le vocable "Forum économique".
Avec une nouveauté cette année : la présence de Sainte Greta et l'affichage assumé de la jonction du totalitarisme financier et de la nouvelle religion universelle écologique, paradigme imposé de la dictature planétariste.
Lire aussi :
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"Primaires de la droite" : Vincent Vauclin, président de la Dissidence française, annonce sa candidature...
Communiqué de Vincent Vauclin
Nicolas Dupont-Aignan a proposé aujourd’hui l’organisation d’une Primaire pour la France afin de désigner un candidat dans la perspective de l'élection présidentielle de 2022.
Tous les courants du patriotisme français devront y être représentés. Tous les sujets devront y être abordés, sans tabou ni exception, car cette primaire devra être un moment essentiel de débat et de clarification des lignes. Nous devrons notamment pouvoir y aborder la question essentielle de la remigration face au Grand Remplacement.
C’est la raison pour laquelle j’ai décidé d’être candidat lors de cette primaire, en tant que président de la Dissidence Française et candidat tête de liste de la Reconquête aux élections européennes de 2019, pour faire entendre la voix d’une nouvelle génération de Français déterminée à brusquer l’Histoire et à apporter des réponses nouvelles aux défis de notre temps.
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lundi, 20 janvier 2020
Primaires des droites : réponse de Thomas Joly, Président du Parti de la France à Nicolas Dupont-Aignan.
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RETRAITE : LE FAUX DÉBAT DE L’AGE-PIVOT
Franck Buleux cliquez ici
La réforme des retraites a prévu un âge pivot modulable mais général, c’est-à-dire qu’il serait lié à l’équilibre financier du système national de répartition mais général, c’est-à-dire appliqué à toutes et à tous. L’âge-pivot, c’est celui auquel on peut prétendre à une retraite à taux plein, taux plein qui n’est en rien le montant de votre revenu d’activité, bien évidemment, mais un revenu dit de remplacement (le terme « remplacement » étant connoté, on parlera de substitution). On utilise le terme de « pivot » parce que l’on perçoit moins si on liquide sa retraite plus tôt que cet âge défini par décret (ce qui évite le vote annuel d’une loi par le Parlement en laissant la main au Premier ministre).
Quelques repères sur cette réforme pour nos lecteurs, d’abord la forme, le projet introduisant cette réforme préparée par le démissionnaire Jean-Paul Delevoye indiquait un article « bis ». Le supprimer n’induit donc même pas une nouvelle numérotation du projet mais la pure et simple suppression de cet article « bis ». Ce simple constat de forme pourrait nous laisser penser qu’il était prévu de supprimer l’éventuel blocage actuel et permettre aux syndicats dits réformistes CFDT et UNSA de se rapprocher du gouvernement.
Mais allons plus loin, l’âge-pivot tant décrié est déjà en place en matière de retraite complémentaire (ARRCO-AGIRC) puisqu’il existe actuellement un malus de 10 % (sur le montant de liquidation de la retraite obligatoire complémentaire des salariés de droit privé) lorsque l’assuré social souhaite se retirer définitivement de l’activité professionnelle avant 63 ans. En revanche, à partir de 64 ans d’âge de départ à la retraite, un bonus financier est appliqué via une majoration de la pension de retraite complémentaire. Or, cette réforme n’a pas fait l’objet, à ma connaissance, d’un tollé général, voire même particulier. Peut-être me direz-vous parce qu’elle ne concerne que les salariés de droit privé ? Quoi qu’il en soit, il est clair et plus honnête de rappeler qu’il est plus sage de demander la liquidation de sa retraite à 63 ans, même si l’âge légal reste fixé à 62 ans. Un simple conseil aux salariés de droit privé, si cela leur est possible, notamment physiquement, bien entendu.
Outre cette règle de bonus-malus destiné aux salariés de droit privé, il existe aussi un âge-pivot, non pas généralisé, mais individualisé dans le calcul de la retraite de base obligatoire. En effet, chaque assuré social bénéficie du taux plein de sa retraite (soit 50 % de la moyenne de son salaire plafonné et calculé sur les 25 meilleurs années) à condition d’avoir validé un certain nombre de trimestres d’activité, en fonction de son année de naissance. À partir de 62 ans, sauf exceptions (carrières longues, invalidité ou critères reconnus de pénibilité), il est donc possible de liquider le montant de son régime obligatoire (celui de l’assurance vieillesse de la Sécurité sociale) mais pour obtenir une optimisation sociale (sans doute un oxymore) il faut patienter un certain nombre de trimestres. Donc, nous sommes bel et bien en présence d’un système pivot individualisé qui s’applique à toutes les personnes concernées par le régime de droit commun (c’est-à-dire hors des régimes spéciaux, qui sont de l’ordre de 42).
Pour conclure et rester synthétique sur ce domaine complexe : il existe un âge-pivot de 63 ans pour liquider sa retraite complémentaire obligatoire et il existe aussi un âge-pivot individuel pour le régime de base obligatoire qui ne permet d’obtenir une pension complète qu’à partir d’un certain nombre de trimestres travaillés ou validés (maternité, chômage, stage, incapacité, invalidité…).
La question de l’âge-pivot reste donc assez trouble car le projet de l’exécutif ne propose qu’une universalisation d’un système déjà général pour les salariés de droit privé, c’est-à-dire environ 20 millions de personnes en France. Aussi, retirer ce « passage » sur l’âge-pivot ne modifie rien pour la plupart des travailleurs. La suppression de l’âge-pivot ne concerne donc pas celles et ceux qui en « profitent » (sic) déjà mais uniquement et spécifiquement, les personnes qui ne sont pas concernés, c’est-à-dire les bénéficiaires des régimes spéciaux.
Pour ce qui concerne les salariés de droit privé, l’âge-pivot existe déjà et pour certains d’entre eux, pour bénéficier d’un taux « plein » à 50 % (plafonné), il faudra attendre 67 ans, considéré comme l’âge de l’automaticité du taux plein. Et encore le calcul comprend-il aussi le nombre de trimestres réellement validés et le nombre de trimestres de référence en fonction de votre année de naissance.
Alors, si certains estiment avoir « gagné » avec la suppression du fameux « âge-pivot », grand bien leur fasse mais ce n’est en aucun cas la perception des salariés de droit privé, véritable armée de la classe moyenne française, celle qui paie toujours et qui vote parfois. Quant à ceux qui « luttent » en refusant toute réforme, y compris l’âge-pivot, ils ne revendiquent aucunement la fin de l’âge-pivot préexistant pour les régimes complémentaires, âge qui permet donc, d’ores-et-déjà, de repousser d’un an, l’âge de la retraite.
Enfin, un mot sur l’âge légal toujours fixé à 62 ans. Mais un droit n’est pas synonyme de pouvoir d’achat. Avoir le droit de vivre pauvrement ou avec moins de revenus est un « droit » de bien piètre qualité. La France qui se vante d’être un État de droit (droits ?) confond la notion très subjective de droit et la réalité, objective, de vivre décemment.
On a le droit d’être en retraite à 62 ans. Le droit de survivre, pas celui de vivre.
Il serait temps que les journalistes et les politiques se plongent dans l’organisation et la gestion des régimes actuels pour pouvoir critiquer le système qui se met en place, qui je le répète est, pour la plupart d’entre nous, déjà bel et bien existant. Dans le silence de la rue et le mépris des syndicats.
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Investissements étrangers en France : un leurre.
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L’or, un truc aberrant ?
Marc Rousset cliquez là
Patrick Artus vient de déclarer, sur Ecorama, qu’il « déteste l’or ! » « Ce truc est aberrant ; ça ne verse pas de revenus ; c’est le même syndrome que le bitcoin. » Il aurait pu ajouter, mais il s’en est bien gardé : l’or rapporte moins de commissions aux banques que les actions et les obligations.
Patrick Artus est un brillant polytechnicien qui a été professeur d’économie de 1996 à 2011 à l’École polytechnique, administrateur de Total, ancien administrateur de l’INSEE, professeur à Paris I Panthéon-Sorbonne, membre du Conseil d’analyse économique. Sa formation d’économiste est très solide et sa valeur intellectuelle en économie internationale et politique monétaire est indiscutable. Mais il est, aujourd’hui, membre du comité exécutif, directeur de la recherche et des études chez Natixis. Le seul reproche qu’on puisse lui faire, c’est d’avoir vendu son âme au Système pour rassurer les citoyens, compte tenu de son aura intellectuelle, y trouvant en contrepartie une rémunération élevée.
Le 22 mars 2007, Patrick Artus rédige la note Natixis « Flash Marchés » n° 110, où il explique pourquoi il n’y a pas lieu de craindre une crise financière prochaine. Le préambule de cette note s’est révélé complètement erroné : « Les marchés financiers croient n’importe quoi. Les corrections successives des marchés d’actions en février-mars 2007 sont liées à une série de craintes des marchés. Il peut y avoir une récession aux États-Unis. La crise du crédit immobilier “subprime” aux États-Unis va déclencher une crise bancaire et financière. Or toutes ces affirmations sont fausses. La crédulité et l’absence de sang-froid des marchés financiers sont donc remarquables. » Il concluait sa note de onze pages en prétendant, contre toute évidence, que « l’économie américaine [était] largement capable de résister à la crise du “subprime mortgage” ».
Patrick Artus en remet une couche, le 24 mai 2007, dans le magazine Challenges, en prévoyant que « le CAC 40 atteindra 7.000 points au premier semestre 2008 ». Il prétendait, toujours dans Challenges, le 2 avril 2008, que la « crise est finie » et, dans sa note « Flash Marchés » Natixis du 7 mai 2008, que « le pire de la crise financière qui débute à l’été 2007 est derrière nous, [que] la confiance revient », alors que les nombreuses faillites et sauvetages bancaires de Lehman Brothers, Merrill Lynch, AIG, etc., commencaient en septembre 2008.
Le 11 septembre 2015, Patrick Artus, commentant la crise migratoire, signait une chronique dans Challenges intitulée « Pourquoi la crise migratoire est une chance pour l’Europe ? » Le journaliste Laurent Mauduit, dans son ouvrage Les Imposteurs de l’économie. Les économistes vedettes sous influence, n’hésite pas à écrire, p. 82 : « Patrick Artus, bien que brillant, est trop incrusté dans ce système pour en dénoncer tous les vices et toutes les turpitudes. Sans même parler de ses rémunérations principales, celles que lui sert sa banque d’attache. »
Patrick Artus nous ressort l’argument éculé du célèbre Warren Buffett, l’oracle américain d’Omaha à la tête du fonds d’investissement Berkshire Hathaway, prétendant que l’or ne rapporte rien. Pourtant, l’or est une assurance tous risques en cas d’inflation, de refonte du système monétaire international ou d’écroulement du Système en raison de l’hyper-endettement ! Pourquoi, sinon, les banques centrales et les particuliers fortunés se rueraient-ils actuellement sur l’or partout dans le monde ? L’or, ultime valeur refuge, est déjà au plus haut depuis sept ans à environ 1.550 dollars l’once, face à la création monétaire trop laxiste et aux taux négatifs des banques centrales. Greg Jensen, le numéro 2 de Bridgewater, le plus grand fonds d’investissement au monde, voit l’or, suite aux incertitudes politiques et en cas d’inflation, se diriger vers les 2.000 dollars l’once, et la Fed ramener en 2020 ses taux à zéro en cas de récession.
L’or ne ment pas et se moque des mensonges médiatiques ainsi que de la folie, de l’irresponsabilité, de l’hypocrisie humaines. Patrick Artus peut détester l’or dans les médias, tout en goûtant au « Veau d’Or » chez Natixis.
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Parution d'un nouvel essai de Tomislav Sunic sur la Croatie aux Editions du Lore
Parution cesjours derniers d’une toute nouvelle édition du livre de Tomislav Sunic intitulé La Croatie : un pays par défaut ?
Enrichie d’une copieuse introduction de Robert Steuckers nous éclairant sur le parcours et l’œuvre de l’auteur, ce livre incontournable décrit le phénomène de la « soudaineté » dans la notion du politique chez les peuples dépourvus d’États stables.
Tomislav Sunic s’intéresse tout d’abord au cas de la Croatie avant d’élargir sa réflexion et de passer en revue les « fausses identités » qui interviennent dans la construction des nationalismes européens.
Un ouvrage qui vous permettra d’apprendre les linéaments de base de l’histoire complexe de cette zone sud-slave à la lisière des Balkans tout en rebondissant sur les grands thèmes de l’actualité afin de comprendre la genèse des grands maux qui nous frappent depuis plus de 70 ans.
La Croatie, un pays par défaut ? Tomislav Sunic, Les Editions du Lore, 2020, 228 pages, 23 euros
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dimanche, 19 janvier 2020
La nouvelle donne autrichienne
Georges Feltin-Tracol
L’année 2020 commence par un coup de tonnerre en Autriche. Dans la soirée du 1er janvier, après quatre mois d’intenses tractations, le conservateur Sebastian Kurz et le Vert Werner Kogler annoncent qu’ils gouverneront ensemble.
Le 29 septembre dernier, les Autrichiens élisaient un nouveau Conseil national après la dissolution du précédent qui, le 27 mai 2019, avait pour la première fois renversé le gouvernement conservateur de Kurz. L’adoption de la motion de censure résultait de l’explosion de l’alliance entre les conservateurs et les nationaux-populistes du FPÖ, victimes de l’« Ibizagate », un coup monté contre le président du FPÖ, Hans-Christian Strache, par des officines probablement austro-allemandes.
Par l’application de la proportionnelle, aucun parti n’obtient seul la majorité absolue des sièges. Les grands vainqueurs du scrutin sont les conservateurs (37,54%, 71 élus, soit un gain de neuf députés) et les Verts (13,80%) qui reviennent au Parlement avec 26 députés ainsi que, dans une moindre mesure, les libéraux europhiles de NEOS (Nouvelle Autriche et Forum libéral) (8,06%, 15 sièges, soit cinq de plus). Les grands perdants s’appellent le FPÖ (16,21%, 31 députés et une perte de vingt sièges) et les sociaux-démocrates du SPÖ (21,22%, 40 élus et douze députés en moins). L’entente gouvernementale conservateurs – Verts concrétise fort logiquement le refus du plus jeune chancelier de la République fédérale d’Autriche de renouer avec le FPÖ ou de tenter une énième « Grande Coalition » avec des sociaux-démocrates décatis.
Pour la première fois en Autriche, après que leurs délégués ont entériné à 93,18% l’accord de gouvernement lors d’un congrès extraordinaire, les Verts disposent de quatre postes ministériels. Les transports et l’énergie dépendent d’un seul grand ministère technique. Le ministère de la Justice revient à une ancienne réfugiée bosniaque, une autre première. Werner Kogler devient pour sa part vice-chancelier. Cette alliance confirme l’embourgeoisement des Verts, leur conversion au libéralisme économique et leur collusion avec le conservatisme libéral-sécuritaire. Gardons à l’esprit que Kurz veut interdire le mouvement identitaire autrichien de l’héroïque Martin Sellner, très actif contre l’immigration de peuplement.
Le rapprochement entre les Verts et les conservateurs a probablement été encouragé en coulisse par le président fédéral lui-même écolo-compatible, Alexander Van der Bellen. Sans surprise, l’Église catholique autrichienne se félicite de cette nouvelle donne qui met en pratique les aspirations du « pape » conciliaire Bergoglio. Historiquement, à l’instar de son homologue allemand, le clergé autrichien n’a jamais caché son adhésion au modernisme et aux conclusions spécieuses du soi-disant concile Vatican II.
Concomitant à l’effondrement de la gauche sociale-démocrate, le succès des Vertsen Autriche, en Allemagne, en Belgique et en Suisse prouve que les classes moyennes de gauche se détournent de leurs formations habituelles et protestent à leur tour en privilégiant les Verts. Berlin regarde avec attention l’événement autrichien. La CDU d’Angela Merkel et d’Annegret Kramp-Karrenbauer cherche dès à présent un partenaire de remplacement au SPD. Chrétiens-démocrates et Grünenadministrent déjà depuis quatre ans le Land du Bade-Wurtemberg. Plusieurs municipalités sont même dirigées par des attelages CDU – SPD – Verts ou CDU – Verts – libéraux. Il fut même un temps question d’une entente ministérielle fédérale « Jamaïque » noire (CDU) – jaune (libéraux) – Verte…
Cette nouvelle configuration politique prend forme en raison de l’aveuglement de la mouvance nationale aux enjeux de la nature, des écosystèmes et des paysages. L’hyper-classe mondiale réussit ce que l’Opposition nationale, populaire et européenne aurait dû entreprendre depuis au moins trente ans : permettre l’indispensable convergence des luttes identitaires, sociales et écologiques.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°155, mise en ligne sur TVLibertés, le 13 janvier 2020.
23:26 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Gigantesque succès de la manifestation parisienne contre la PMA GPA
La presse aux ordres s'est évertuée à minimiser l'énorme mobilisation contre la PMA GPA en colportant les chiffres fantaisistes du sinistre Castaner. Mais les faits sont têtus et les Français ont constaté, à la vue de l'ampleur de la manif, à quel point le gouvernement les prend pour des imbéciles...
23:16 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouvel ordre moral
La publication d’un ouvrage de Régis Debray est toujours un petit événement, car notre homme a pris le goût de textes courts qui questionnent d’autant notre réalité (L’Europe fantôme, Un été avec Paul Valéry, Du génie français, etc.). Avec ce dernier opus, Le Siècle vert, il poursuit sa réflexion sur la grande mutation occidentale. Il voit dans la montée de ces préoccupations écologiques l’émergence d’un monde féminisé et aseptisé et paradoxalement moins civilisé. « Nous quittons Dieu le père pour la Terre mère. Nous sommes passés de l’Etat, nom masculin, à la société civile, nom féminin », écrit-il.
Lire son entretien au Figaro Magazine ICI
10:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sur un faux rebelle de France Inter
Par Mathieu Bock-Coté
Y a-t-il sur terre quelque chose de moins drôle qu’un humoriste de France Inter ? Ils sont nombreux, assurément, à s’être posé la question après la dernière polémique mettant en question cette station qui ne conjugue pas nécessairement service public et pluralisme idéologique.
Sous prétexte de dénoncer une cour de justice brésilienne ayant censuré une série télé mettant en scène un Jésus gay, Frédéric Fromet, un des blagueurs stipendiés qui y sévit, s’est permis une chanson où il répétait que Jésus était « un pédé » et qu’il aurait dû se faire « enculer ». Quel blagueur de génie que ce Fromet, qui avait déjà tourné en ridicule l’incendie de Notre-Dame ! On devine ses collègues se bidonner, tout en le félicitant pour son audace. Il en faut du courage, n’est-ce pas, pour oser s’en prendre ainsi au catholicisme !
De manière étonnante, l’humoriste a pourtant dû plier le genoux et s’excuser… à la « communauté LGBTQ+ », ou du moins, à ceux qui prétendent parler en son nom. On n’utilise pas le mot « pédé » sans en payer le prix, même en riant. Désormais, il est proscrit pour cause d’homophobie. Le farceur croyait insulter les cathos et susciter la complicité des rieurs mondains. Il a plutôt heurté un groupe de pression qu’on ne doit pas heurter. Les excuses aux catholiques n’ont toutefois pas suivi. L’événement est révélateur des véritables rapports de force qui s’exercent dans le système médiatique et qui codifient l’espace public dans les sociétés contemporaines. Il rappelle l’efficacité de la rhétorique victimaire et l’existence d’une liste des minorités protégées. Celui qui peut exiger des excuses et rapidement les obtenir fait une démonstration de force. Le plus grand pouvoir aujourd’hui est celui de décider ce qui est scandaleux et ce qui ne l’est pas. Dans les médias, est souverain celui qui décide de l’état d’indignation.
Il vaut néanmoins la peine de revenir sur la chanson blagueuse de notre humoriste téméraire, qui voulait faire la guerre aux catholiques décrétés retardataires. On a le droit, assurément, de critiquer le catholicisme, de le ridiculiser, de le vomir, même. Que sa chanson soit aussi bête que de mauvais goût va de soi. Qu’elle soit déplacée l’est aussi. Il ne s’agit pas pour autant d’en appeler à sa censure. La définition du blasphème des uns ne doit pas devenir une interdiction légale pour les autres. On est Charlie ou on ne l’est pas. Mais il faut désormais inviter le brave Fromet à aller au bout de son courage. Pourquoi ne se risquerait-il pas, par exemple, à rire ouvertement de l’islam et de son prophète. S’il cherche un peu, il devrait trouver la matière nécessaire pour quelques blagounettes. Pourquoi se l’interdire ? Que craint-il ? Il n’ose pas ? Comment expliquera-t-il cela ? De quoi a-t-il peur, le blagueur ?
Trêve de moqueries. On sait bien que le petit Fromet se tiendra coi lorsque viendra le temps de blaguer sur ce sujet. Il n’est pas drôle mais il n’est pas fou : il sait bien qu’il risquerait non seulement la sale réputation d’islamophobe, mais sa vie. Alors qu’on commémore, depuis quelques jours, les cinq ans de l’attentat contre Charlie Hebdo, il est difficile de ne pas constater que la liberté d’expression est désormais à géométrie variable. Le voltairianisme appliqué est passible de peine de mort par les islamistes. Plus largement, la parole publique est inhibée comme jamais et, au nom de la lutte contre la haine, on en vient à criminaliser la volonté de défendre la France. De peur d’exciter les franges radicales de l’islamisme ou d’embraser une partie de la « jeunesse » des « banlieues », on censure moralement ce qui vient troubler la légende du vivre-ensemble diversitaire. Le simple fait de nommer certaines tensions sociales peut valoir à celui qui ose la marque de l’infréquentabilité définitive.
De vrais militants, bêtes et méchants, incultes et lâches
Les faux drôles qui dominent l’industrie du rire subventionné sont de vrais militants, bêtes et méchants, incultes et lâches. Ils ne se voient pas aller, pris dans une comédie où ils ne cessent de frapper contre un vieux monde, qui n’a souvent même plus la force de leur répondre ou ne se croit pas autorisé à le faire. Les humoristes du système, en fait, ont une fonction : rappeler à tous ceux qui évoluent dans l’espace public qui est dans les bonnes grâces du régime et qui ne l’est pas. Il y a ceux dont on peut rire et les autres dont on ne rit pas. La distinction est facile à faire: contre l’univers symbolique du grand méchant homme blanc hétérosexuel de plus de 50 ans, tout est permis. La grande tâche de notre époque consiste à lui arracher tous ses privilèges et à l’humilier systématiquement. Inversement, ceux qui s’en disent victimes ont tous les droits, surtout de décider dans quels termes on parlera d’eux. On se consolera en se disant qu’il y a longtemps, Philippe Muray a déculotté ces « humoristes » et a révélé leur vraie nature: ce sont des guignols.
Source, Le Figaro 18/01/2020
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samedi, 18 janvier 2020
Macron débusqué au théâtre : pas très glorieux
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Eoliennes : Fabien Bouglé sur Sud Radio
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Béziers, jeudi 23 janvier : galette des Rois de la Ligue du Midi
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Pourquoi je manifesterai dimanche ?
Bruno Hirout,
secrétaire général du Parti de la France :
Ce dimanche, je prendrai part à la marche en faveur de la filiation et de la famille naturelles.
Le combat contre la GPA est nécessaire. La GPA fait de l’enfant un objet de consommation et transforme les vraies mères en réserve d’enfants pour couples fortunés. Cette fabrication volontaire d’orphelins est une abomination qu’il est légitime, voire impératif, de combattre.
Le combat contre la PMA est également nécessaire, car elle permet notamment à des « couples » de femmes de donner naissance à des enfants qui seront de facto des orphelins de pères, il faut être sacrément égoïste pour en arriver à ce degré d’inhumanité au nom du faux « droit à l’enfant » contre les droits de l’enfant.
Ces manipulations sont une violence inouïe volontairement infligée aux enfants innocents.
Le combat contre cette insupportable marchandisation de la vie n’est pas qu’une question de politique, c’est aussi une question de civilisation.
A dimanche !
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11:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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vendredi, 17 janvier 2020
Pour réussir une grande politique, il faut avoir une vision à long terme...
L'avis de Jean-François Touzé
Après bientôt 20 ans passés sans interruption à la tête de la Russie —soit en tant que Président, soit comme Premier ministre en charge effective des responsabilités — Vladimir Poutine vient d'ouvrir un vaste chantier constitutionnel destiné à renforcer la la fois les pouvoirs de l'exécutif et ceux de la Douma. Mais l'objectif réel de cette réforme est bien plus ambitieux. Il est clair. Il est légitime. Il est vital pour la Russie et sans doute pour l'Europe : créer les conditions du maintien de Poutine au pouvoir au delà de la fin de son mandat que l'actuelle constitution ne permet pas de renouveller.
20:37 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Dissidence française appelle à manifester dimanche contre la PMA-GPA
Communiqué de la Dissidence Française
Dimanche prochain s’élancera une nouvelle grande manifestation à Paris contre le projet de loi bioéthique du gouvernement Macron.
En plein conflit social contre la réforme des retraites voulue par ce même gouvernement, une telle mobilisation contre la PMA-GPA peut sembler hors-sujet. Or, il n’en est rien. Car ces deux projets de lois bioéthique et de réforme des retraites participent d’une même vision du monde, à la fois libérale et libertaire, où tout s’achète et tout se vend, au nom de laquelle la dignité de l’homme s’efface devant l’impératif de la rentabilité, et où les intérêts particuliers prévalent sur l’intérêt général.
L’heure est donc à la convergence des luttes contre cette vision du monde réifiante et individualiste, et c’est la raison pour laquelle la Dissidence Française appelle l’ensemble de ses militants et sympathisants à prendre part à cette mobilisation contre un projet de loi :
- qui entend faire de l’enfant un droit absolu et de la famille traditionnelle une structure dépassée,
- qui prétend autoriser les couples de femmes homosexuelles à recourir à la PMA et priver ainsi délibérément un enfant d’un père et d’un environnement familial stable,
- qui assume la mise en concurrence, pour l’accès aux gamètes, des couples hétérosexuels frappés d’infertilité médicale avec des couples homosexuels qui n’ont recours à la science que pour contourner les limites posées par la nature,
- qui, par l’extension de la PMA aux couples de femmes, ouvrira la porte à la légalisation de la GPA pour les couples d’hommes au nom de la « lutte contre les discriminations »,
- et qui, à l’heure où des millions de Français en grande précarité sont incapables de se soigner correctement, assume d’autoriser le remboursement par la Sécurité Sociale d’un acte qui ne relève pas d’une nécessité médicale, ce qui est profondément inique et contraire aux principes fondateurs de la Sécurité Sociale.
La Dissidence Française appelle l’ensemble des parlementaires, députés et sénateurs, à l’esprit de responsabilité, et les exhorte à refuser de voter le projet de loi bioéthique présenté par le gouvernement. Fidèle à son engagement pour la défense de la famille traditionnelle, la Dissidence Française rappelle son opposition totale à la légalisation de la Procréation Médicale Assistée pour les couples de femmes et à la Gestation Pour Autrui, et réaffirme sa ferme volonté d’abroger la loi Taubira instituant le mariage homosexuel qui fut l’acte fondateur de ces dérives libertaires.
RDV 13H, PLACE DE LA RESISTANCE, PARIS.
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RAPPEL : samedi 18 janvier à 17 h, Sainte Geneviève, marche de la fierté parisienne
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« Marine Le Pen est-elle la candidate idéale pour briser “le plafond de verre” au deuxième tour en 2022 ? » Un entretien avec Guillaume Bernard
Source Boulevard Voltaire cliquez ici
Durant ses traditionnels vœux à la presse, Marine Le Pen a annoncé qu’elle serait bel et bien candidate à la présidentielle en 2022. Pourquoi ici et maintenant ?
Je crains que pour Marine Le Pen ce soit une preuve de fébrilité et de faiblesse et non pas d’affirmation de sa puissance.
Le fait de présenter sa candidature très longtemps à l’avance, avant les municipales, les cantonales, et les régionales, c’est d’une certaine manière vouloir s’imposer comme candidate quoiqu’il arrive. C’est aussi vouloir éliminer les candidatures possibles qui pourraient essayer de rassembler, y compris le Rassemblement national. Par conséquent, c’est un aveu de faiblesse que de vouloir s’imposer comme candidate et non pas être la candidate naturelle d’un rassemblement politique.
Cette déclaration intervient juste avant les municipales et quelque temps avant l’événement qu’organise Patrick Buisson. Est-ce une façon de rassembler son camp avant les municipales autour d’elle ? Est-ce un moyen détourné de répondre à Patrick Buisson ?
Il y a une initiative de Patrick Buisson, mais il y en a d’autres. Il y a celle autour de Jean-Frédéric Poisson pour essayer de constituer un programme commun, pour ensuite dégager une candidature commune. D’une certaine manière, les initiatives de Poisson ou de Buisson vont à peu près dans le même sens, avec des moyens sans doute différents.
Par conséquent, je répète que c’est une preuve de fébrilité que de s’affirmer candidate avant même que les différentes sensibilités de la droite ne se soient parlées pour se mettre d’accord sur un programme commun et dégager une candidature commune avec un candidat naturel.
À la direction du Rassemblement national, il me semble qu’il y a une certaine inquiétude de voir la base s’émanciper de ses directives. On sait qu’au niveau local, un certain nombre de candidats RN cherchent véritablement à constituer des listes pour les municipales, en faisant un vrai rassemblement. Cela montre que la base de droite cherche et souhaite un programme commun, un élargissement de la base du Rassemblement national et pas simplement des ralliements au parti.
Marine Le Pen s’affiche immédiatement comme la femme d’un parti politique. C’est le signe qu’elle n’est pas assurée d’être la plus légitime pour être la candidate d’union des droites lors de la présidentielle de 2022.
Le fait d’annoncer sa candidature maintenant est peut-être un message de force pour s’imposer comme la candidate naturelle de cette partie de l’échiquier…
Elle peut évidemment se targuer que le Rassemblement national est la principale force politique sur la droite de l’échiquier politique. Au premier tour, il faut être capable de rassembler son camp. En évacuant le fait qu’elle puisse être candidate parmi d’autres pour s’imposer comme candidate naturelle, il me semble que c’est plutôt le signe d’une faiblesse qu’autre chose.
Et ensuite au second tour, il faut rassembler les Français et briser le plafond de verre pour le Rassemblement national. On peut se poser la question suivante : « est-ce que Marine Le Pen est la candidate idéale pour briser ce plafond de verre au second tour et battre son adversaire ?
20:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Inanité internationale de la Macronie
Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici
Jour après jour, on ne peut que le constater : si ce pays se maintient dans son état de stagnation sociale et de marécage politique, on ne saurait s'étonner qu'il persiste à s'enfoncer, en dépit de l'arrogance et du caquetage de ses dirigeants, dans l'insignifiance internationale.
Si déplorable que puisse paraître une telle découverte, elle ne devrait pas faire reculer un nationaliste objectif. Éloigné peut-être des angoisses fantasmées et des cocoricos enflammés de ceux que, dans notre jeunesse, nous appelions les "nationaux", un patriotisme logique et lucide doit aujourd'hui commencer par une prise de conscience radicale de la réalité. L'auteur génial [1] de "Cent ans de solitude" définissait ainsi son réalisme "magique" – comme un désir que "les choses les plus effrayantes, les plus inhabituelles soient dites avec la plus grande impassibilité".
Confronté à la défaite de 1940, Roger Nimier conclut, mélancolique, dans son Hussard Bleu : "nous n'avions pas été élevés dans ces idées-là".
Certes. L'auteur de ces lignes a toujours cru et entend croire, au fond, au "peuple inventeur de la Croisade"[2]. Car, si l'Occident européen ne se montre capable ni de se projeter stratégiquement, ni de se penser comme héritier de l'Orient chrétien et de l'espace méditerranéen, il mourra étouffé dans son écœurant consumérisme… Nous ne tomberons pas seulement sous les balles de ce que nos dirigeants, "terrorisés" eux-mêmes à l'avance par l'obligation de désigner l'ennemi, désignent par des mots vagues comme "terrorisme", incarné par des individus "radicalisés". Ayant perdu le sens de nous-mêmes, au mieux nous nous écroulerons, au pire nous nous entre-déchirerons.
19:46 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pour répondre aux diffamations colportées ici et là, Les Brigandes décortiquent les accusations contre elles...
10:52 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Niort : passant au dessus des divisions parisiennes, dans un souci d'efficacité, le Parti de la France apporte son soutien à la liste nationale conduite par Jean-Romée Charbonneau
Communiqué de presse du PdF :
Militant national de toujours, portant fièrement le nom qui est le sien, Conseiller régional de Poitou-Charentes, Jean-Romée Charbonneau (NDLR : ci-dessus, à droite) part pour la cinquième fois à la conquête de Niort dans le département des Deux-Sèvres, ville dont il est Conseiller municipal sortant. Cette fois avec de bonnes chances de l'emporter à la tête d'une liste de rassemblement des droites de convictions parrainée par le RN.
Le Parti de la France soutient sans réserve cette candidature.
09:57 Publié dans MUNICIPALES 2020 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’icône féministe Simone de Beauvoir abusait de ses élèves mineures avant de les rabattre sur le pervers Sartre
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Simone de Beauvoir (1908-1986) fut une militante de l’athéisme, du communisme et de l’existentialisme (doctrine de son concubin, le funeste « philosophe » Jean-Paul Sartre). Elle fut aussi – et c’est surtout à ce titre qu’elle est connue aujourd’hui – une pionnière et championne du féminisme.
Comment se fait-il que cette ancienne enseignante soit une icône de ce mouvement – et que son nom soit donné à de nombreux collèges et écoles ! – alors qu’elle fut non seulement une prédatrice sexuelle abusant de certaines de ses élèves, mais encore la pourvoyeuse de mineures vierges qu’elle manipulait pour les livrer à l’appétit de débauche de son amant, le pervers Jean-Paul Sartre ?
C’est cela le féminisme ?
Ces accusations terribles sont documentées et les héritiers intellectuels de la Beauvoir et de Sartre, fondateurs de la gauche moderne, ne les nient plus.
Plusieurs livres et articles publiés depuis 20 ans ont établi que Simone de Beauvoir fut la complice de Jean-Paul Sartre dans ses agressions sexuelles en série sur des mineures. Avec un physique plutôt ingrat, Sartre, avait un appétit particulier pour les vierges que Simone de Beauvoir lui livrait après les avoir elle-même séduites. Elle les choisissait souvent parmi ses élèves.
L’une d’entre elles, Bianca Lamblin, a décrit comment les deux dépravés ont abusé d’elle à l’âge de 16 ans dans son autobiographie intitulée Mémoires d’une jeune fille dérangée. C’est l’expression utilisée par Simone de Beauvoir pour la décrire avec un mépris hautain dans sa correspondance avec Sartre, rendue publique après sa mort. Choquée et humiliée par la duplicité de l’égérie de Sartre à son endroit, elle a écrit : « J’ai découvert que Simone de Beauvoir puisait dans ses classes de jeunes filles une chair fraîche à laquelle elle goûtait avant de la refiler, ou faut-il dire plus grossièrement encore, de la rabattre sur Sartre. » Elle raconte que Sartre lui a déclaré en la souillant pour la première fois, dans un hôtel miteux, qu’il y avait pris le pucelage d’une autre fille la veille.
Après l’invasion allemande en 1940, les deux complices d’agression sexuelle contre elle la fuient. Elle pense que c’est parce qu’elle est juive qu’ils ont déguerpi.
Une autre victime du couple repoussant, Nathalie Sorokine, une lycéenne de 17 ans, fut elle aussi séduite par de Beauvoir pour le lit de Sartre. Ses parents ont porté plainte à la police. En 1943, de Beauvoir fut accusée de séduction de mineure. L’enquête criminelle n’ira nulle part. Mais Simone de Beauvoir perdra le droit d’enseigner en France.
Conséquents dans leur perversion, Beauvoir et Sartre ont signé des pétitions en 1977 appelant à la dépénalisation de la pédophilie, dénonçant la condamnation de trois hommes pour avoir eu des relations sexuelles avec des enfants de 12 et 13 ans.
09:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
À PARIS, AU-DELÀ DES PARTIS, UNE LISTE D'UNION DES DROITES CONDUITE PAR SERGE FEDERBUSCH EST EN COURS DE CONSTITUTION
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08:51 Publié dans MUNICIPALES 2020 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE COMBAT CONTRE LES IMPLANTATIONS D'ÉOLIENNES, THÉORISÉ DANS LE LIVRE D'ALBAN D'ARGUIN, "ÉOLIENNES UN SCANDALE D'ÉTAT", SORTI EN 2017, S'AMPLIFIE...
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08:50 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 16 janvier 2020
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
15:53 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un certain Monsieur Poutine
Par Jarente de Sénac
Vladimir Poutine, 67 ans, vient d’organiser son avenir qui ne passe pas par la case retraite. Quand on est l’homme qui a redonné à la sainte Russie toute sa fierté, suite à l’hécatombe de l’épisode soviétique, lâcher le pouvoir ne figure pas sur sa feuille de route. Or, la Constitution russe ne permet pas de se représenter plus d’une fois à la suite d’un premier mandat. L’épisode Dmitri Medvedev ne l’ayant pas convaincu – l’homme fut toutefois un docile prête-nom – Vladimir Poutine vient de l’obliger à démissionner avec tout son gouvernement. Il est remplacé par Mikhaïl Michoustine, 53 ans, l’actuel patron du fisc russe et parfait inconnu. Medvedev a été recasé dans un placard doré comme vice-président du Conseil de sécurité de la fédération de Russie. Exit Medvedev.
Dans la foulée, Vladimir Poutine propose une réforme de la Constitution dans laquelle le pouvoir sera éclaté dans les différents lieux de pouvoir que sont le Parlement, le Sénat, la Cour suprême et les Conseils informels que sont les Conseils de sécurité et le Conseil d’Etat. Le pouvoir ne sera plus concentré entre les mains d’un seul homme comme c’est le cas aujourd’hui.
Là où est le coup de génie de Vladimir Poutine est que pour permettre le bon fonctionnement de tous ces lieux de pouvoir et d’harmoniser en quelque sorte leurs actions, sera réactivé le Conseil d’Etat, un organe qui, jusque-là, n’avait aucun pouvoir réel. Et c’est de cet organisme que Vladimir Poutine prendrait la tête, ce qui revient, in fine, à conserver la main sur les rênes du pouvoir. Vladimir Poutine n’est pas Trump, il n’aura jamais un quelconque Sénat pour venir lui passer les c….
Et les Russes ne feront que plébisciter une nouvelle fois un homme qui, via Michoustine, vient d’annoncer des dépenses faramineuses dans le social. Il se dit que l’on pourrait assister à des législatives ou des présidentielles anticipées.
Et c’est ainsi que Poutine est grand !
12:13 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 19 janvier à Paris : mobilisation contre la PMA et la GPA
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11:54 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |