jeudi, 16 janvier 2020
JEUDI 16 JANVIER, JEAN-FRANÇOIS TOUZÉ, DÉLÉGUÉ GÉNÉRAL DU PDF, INVITÉ DE L'ÉMISSION (TÉLÉVISÉE) "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
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TAïWAN : UNE ELECTION MAJEURE PASSÉE INAPPERCUE
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Le 11 janvier dernier, 19 millions de Taïwanais étaient convoqués aux urnes pour élire leur président, leur vice-président et leurs députés. L’enjeu était de taille : ou la petite Chine nationaliste s’enfonçait, lentement mais sûrement, sur la voie de la soumission à Pékin, ou elle réaffirmait sa volonté d’indépendance face à sa monstrueuse « sœur » continentale.
La fiction « d’une seule Chine »
Jamais depuis 1949, où le vieux chef nationaliste, le maréchal Tchang-Kaï-Chek, s’était réfugié à Formose, l’antique Formosa des Portugais, pour échapper avec son armée à la capture communiste, les Taïwanais n’avaient t eu à ce point leur destin en main. Longtemps, le gouvernement nationaliste du Kuomintang, le KMT, a revendiqué la théorie d’une seule Chine, le gouvernement de Taïpeh étant le seul alors reconnu pour toute la Chine. Au fil du temps et des reconnaissances du régime de Pékin comme étant le seul gouvernement de la seule Chine par les occidentaux, la fiction s’est effilochée, pour finir par s’effondrer. Il y a longtemps que la « République de Chine » ne siège plus à l’ONU, et que ses chancelleries ferment les unes après les autres, ne laissant subsister des ambassades que dans des pays mineurs, bien souvent ses obligés, petits États du Pacifique ou d’Amérique centrale.
La terrible mue du Kuomintang
Paradoxalement, c’est le Kuomintang, parti initialement le plus anti-communiste de l’île, l’ennemi historique de la « Chine de Mao », qui bénéficiait du soutien silencieux et confidentiel de cette même Chine continentale vantant son fameux slogan, « Un pays, deux systèmes », pour mieux attraper Taïwan dans ses filets. Mais les habitants de l’île ont vu comment les enclaves de Macao et de Hong-Kong, « normalisées » depuis 1997 suite à leur abandon, respectivement par les Portugais et les Britanniques, ont été traitées : de vulgaires colonies où les libertés individuelles et publiques sont un leurre. Comment pouvait-il en être autrement dans une Chine doublement totalitaire, livrée à la fois à la dictature communiste et à l’exploitation capitaliste la plus éhontée ?
Le KMT était, initialement, la plus anti-communiste des formations politiques insulaires. Petit à petit des liens économiques et touristiques se sont noués entre « les deux Chine », permettant une double pénétration, une réciprocité faisant baisser, dans un premier temps, la tension entre les deux armées. Mais à ce petit jeu, Pékin était le plus fort. La présidente sortante, Tsai Ing-Wen, en place depuis 2016, avait fait promulguer une loi dite « anti-infiltration » visant à empêcher la Chine communiste d’utiliser son fort potentiel capitaliste pour manipuler, infiltrer, voire saboter l’économie de l’île. Le lobbyng, les donations et la propagande chinoise étaient interdites, les contrevenants pouvant s’exposer à des années de prison et à de très fortes amendes. Hurlements des sbires de Pékin, protestations du néo KMT, couinements de ceux attachés à la politique de détente avec la Chine continentale. Sérieusement étrillé lors des élections locales et provinciales, - le Parti démocrate progressiste perdant 7 des 13 villes et comtés qu’il détenait auparavant -, la présidente sortante et « cheffe » du PDP, ne partait pas en position de favorite.
Un sursaut pour les indépendantistes ?
À l’issue des primaires de juillet dernier, c’est le maire de Kaohsiung, Huan Kuo-Yu qui était donné vainqueur de la consultation interne de son parti, avec comme colistier, Chang San-Cheng. Le KMT était en ordre de bataille, quasiment certain de l’emporter pour la plus grande joie de Pékin qui n’accepte que bout des lèvres la théorie des « deux Chine », et voit comme un casus belli la possibilité pour Taïwan de se proclamer en « État » séparé, indépendant. Contre toute attente, c’est madame Tsai Ing-Wen qui l’emportait par 57,13% des voix, soit 8 170 231 suffrages, contre 38,61% et 5 522 119 votants pour Mr Han Kuo-Yu du KMT, tandis qu’un troisième larron, James Soong, ancien gouverneur de l’ïle, déjà candidat à quatre reprises, engrangeait seulement 608 590 électeurs, soit 4,26% des exprimés.
Élection nette et « sans bavures » d’une autre « dame de fer » avec un respectable taux de participation de 74,90%, soit une hausse de 8 points par rapport à la consultation précédente. Madame Tsaï Ing-Wen avait eu chaud, son premier ministre de 2017 à 2019 William Laï, ayant eu des velléités de se présenter à sa place. Finalement, la proposition du poste de vice-président avait calmé ses ardeurs ! La présidente avait connu un rebond de popularité lorsque, répondant à Xi Jinping qui décrivait « l’unification de Taïwan au continent comme inévitable », elle avait affirmé avec énergie « que jamais son peuple ne renoncerait à ses libertés démocratiques », et qu’elle avait exprimé son soutien total aux courageux manifestants hongkongais.
Nul doute que le sort réservé aux deux anciennes enclaves coloniales, surtout la britannique, en a douché plus d’un, et que les sirènes de Pékin ont sonné dans le vide. Petit à petit, par touches successives, Taïwan, au grand dam du Parti communiste chinois, semble s’éloigner de la fiction des « deux Chine » et s’orienter vers l’émergence d’un État spécifiquement taïwanais qui correspondrait bien plus à la réalité des choses : une société mentalement différente du continent, un fonctionnement démocratique, une personnalité géopolitique distincte voulant jouer, et jouant déjà, marginalement, un rôle dans le monde.
Pour l’heure, le gouvernement de Taïpeh est encore celui de la République de Chine, le seul que tolère Pékin qui le considère comme une autorité de fait exerçant sa souveraineté sur une « province dissidente » de la république populaire. Si Taïpeh passait outre, et se proclamait capitale de la république de Taïwan, quelles en seraient les conséquences ? Nous entrerions-là dans une zone de grands dangers. Pour l’heure, la Chine de Xi Jinping en est aux grandes intimidations, par un accroissement des patrouilles de sa marine et le survol du détroit de Taïwan, où les ilots de Quemoy et Matsu sont, toujours, aux avant-postes. Même si la réduction de son format militaire a quelque peu désarmé l’île face au continent, l’armée de l’air, avec ses F-16 américains et ses Mirage français, est des plus modernes. En cas d’agression, les Chinois du continent auraient probablement fort à faire, et la conquête de Formose ne serait pas une promenade de santé. Sans compter qu’aucun président républicain américain digne de ce nom, ne laisserait faire ce nouvel anschluss qui n’oserait pas dire son nom. Avec Trump à la barre, les Taïwanais peuvent dormir tranquilles.
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Jean Lassalle / Eric Zemmour sur C News
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Vendredi 17 janvier à Dijon : Galette des Rois de Jeune Nation
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mercredi, 15 janvier 2020
Une Hollandaise pulvérise le féminisme en 5 minutes
Intervention d' Eva Vlaardingerbroek lors du congres du parti FVD. Une bonne réponse au courant pseudo-féministe qui détruit la société et déstabilise le statut des femmes.
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Rendez-nous la France
Le billet de Patrick Parment
La France, comparée à d’autres pays, pourrait faire figure de pays de cocagne dans la mesure où les travailleurs, si chers au cœur du regretté (enfin pas vraiment !) Georges Marchais, y sont plutôt bien traités. Situation que nous envient d’ailleurs nombre de pays européens. Raison pour laquelle aussi de nombreux migrants cherchent à s’y installer. Et ce, avouons-le, malgré une administration qu’on ne peut que comparer à celle de l’ex-Union soviétique. L’Etat-nation que les Français ont bâti est un Etat centralisateur qui entend tout régenter de la vie de ses concitoyens. Cet apparent bien-être a un coût : une fiscalité lourde et qu’entretient jalousement un ministère des finances quel que soit le bord auquel il obéit. Revers de la médaille, et non des moindres, un Etat figé dans ses pesanteurs et qui n’a pas su procéder à la modernisation de ses modes de fonctionnement et régénérer ses outils industriels. Et ce au point qu’une classe politique, détachée des réalités et embringuée dans la spirale infernale d’un libéralisme fou a continué d’appliquer les bonnes vieilles recettes qui font que c’est toujours le peuple qui règle les additions et non ceux qui en sont responsables. Les riches s’en foutent, les pauvres le restent, et la classe moyenne trinque.
C’est ainsi qu’on en est arrivé à la situation qui est la nôtre aujourd’hui : une société bloquée. Des Gilets jaunes aux grévistes d’hier et d’aujourd’hui, ce gouvernement a mis le feu aux poudres. Par incompréhension du réel.
Après avoir dézingué une classe politique moribonde et en laquelle les Français n’apportaient plus aucun crédit, Emmanuel Macron n’a pas pu échapper au sérail dont il est issu : l’Ena. Pas plus qu’il n’a pu prendre son autonomie face à une Europe à la botte de Washington via l’omniprésence de l’Allemagne dans toutes les décisions européennes. Le paradoxe est que l’on se retrouve aux basques d’un très surréaliste Donald Trump qui pratique un nationalisme aussi pur que la prose de Monsieur Jourdain. En quittant l’Europe, les Anglais vont en faire la douloureuse expérience même s’ils partagent avec les Américains la même folie boursière.
Pour en revenir à nos moutons, nous dirons que Monsieur Macron n’avait pas le bagage idéologique nécessaire pour s’affranchir de certaines tutelles et inaugurer une réforme méthodique de ce pays. Et en premier lieu de rendre la France aux Français. Car tout le problème est là. Les Français ont trop le sentiment – et c’est la triste réalité – d’être dépossédés de leur pays, de ses traditions, de ses mœurs jetées à l’encan par une classe politique transfusée à l’air du temps où ne s’ébrouent qu’homos, féministes, transgenre et autres déviants de toute nature. Papa, maman, la bonne et moi ne fait pas marrer Macron et ses thuriféraires.
Tout se détraque, la justice, l’Education nationale, les flics, les juges shootés aux droits de l’homme, etc. Et surtout une absence de justice fiscale puisque la première mesure prise par Macron le cul à peine posé à l’Elysée a été de faire des cadeaux fiscaux aux riches au mépris du peuple et de ses pauvres.
A cela s’ajoute l’aveuglement de toute la classe politique, y compris des macronistes, des dégâts collatéraux causés par l’immigration. Dégâts qui ont abouti à une désagrégation de tout le tissu social et du laxisme à l’égard de l’islam. Tous ces facteurs confondu nous amènent à la situation que nous connaissons aujourd’hui où des pans entiers de la société sont entrés en dissidence. Car, bien au-delà des revendications catégorielles, c’est bien d’un mal être qu’il s’agit et dont les Gilets jaunes ont été la première et forte expression. Aujourd’hui, c’est l’hôpital, ce sont les avocats, les flics, les cheminots, victimes des chambardements successifs de la SNCF sous les régimes de droite comme de gauche, qui sont dans la rue. Autre dégât collatéral, la perte d’emploi par la désindustrialisation opérée par de hauts fonctionnaires irresponsables – ils ne paient jamais l’addition – qui ont détruit et vendu nos fleurons industriels. C’est Juppé bradant Thomson pour Un euro. Il serait temps que Macron comprenne que rien ne se fera de durable dans ce pays sans l’assentiment du peuple et surtout sans lui rendre sa fierté. A lui de trouver le mode d’emploi.
10:05 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 14 janvier 2020
Désinformation sur la colonisation : Quand Arte se surpasse...
16:16 Publié dans Communiqués de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tandis que nos soldats se battent au Sahel, les djihadistes rentrent en France.
La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, vient d'ouvrir grand la porte au retour des djihadistes "français" sur le sol national où, à condition qu'ils ne parviennent pas entre temps à s'enfuir, qu'ils ne soient pas considérés comme des malades mentaux au discernement affaibli et donc dispensés de peines, et que les tribunaux veuillent bien reconnaître leurs méfaits, ils devraient être incarcérés.
15:12 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chanson blasphèmatoire sur France Inter : la réaction d'Alain Escada, président de Civitas
Un communiqué d'Alain Escada :
Le vendredi 10 janvier, sur les ondes de la radio France Inter, une « chanson » ordurière intitulée Jésus est pédéa été diffusée, entonnée par le soi-disant « humoriste » Frédéric Fromet.
Pour que chacun mesure la gravité du blasphème, voici quelques extraits de ce qui a été diffusé par une radio du service public.
« Jésus est pédé, membre de la LGBT… du haut de la croix pourquoi ne pas l’avoir encu**. »
« Jésus de Nazareth était en vérité, Jésus du quartier du Marais. »
« Jésus est pédé, il n’y a pas que l’hostie qu’il faut sucer. »
« Cette manif qu’on appelle la Cène fut la première gay pride. »
« Jésus est pédé, chante Boutin et de Villiers. »
« Jésus est pédé, à tous les homophobes » – comprendre à « tous les chrétiens ».
Ce « chanteur-humoriste » Frédéric Fromet n’en est pas à sa première provocation foncièrement antichrétienne. Il s’était déjà illustré sur cette même radio France Inter en chantant Elle a cramé la cathédrale – aux paroles également ignobles – quelques jours seulement après l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Le blasphème public diffusé par France Inter vendredi dernier a entraîné l’hilarité des animateurs présents sur la plateau radio.
Il est bien évident qu’il serait inconcevable que France Inter diffuse une chanson qui se moquerait de façon équivalente du judaïsme ou de l’islam. Sous couvert d’humour, c’est le christianisme qu’ils haïssent publiquement.
CIVITAS appelle tous les catholiques a réagir massivement. Non pas par une pétition, mais en protestant directement auprès de France Inter. Nous devons exiger des excuses publiques et des sanctions à l’égard des responsables récidivistes d’actes antichrétiens.
Par mail : presidence@radiofrance.com
Par téléphone : 01.45.24.70.00 / 01.56.40.22.22
Par courrier postal : Maison de la Radio – France Inter, 116 avenue du Président Kennedy, 75220 Paris Cedex 16
Notre silence serait impardonnable. L’antichristianisme qui sévit en ce moment ne se résume ni à des paroles ni à des dessins immondes. Il se traduit aussi, en France, par de très nombreuses profanations de lieux de culte et même parfois des tentatives d’incendie de lieux de culte.
Cela doit cesser !
Site de Civitas cliquez ici
14:13 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEUDI 23 JANVIER : REMISE DU PRIX DES LECTEURS DE PRÉSENT ET DE LIVR'ARBITRES
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lundi, 13 janvier 2020
Trier les ordures : un devoir citoyen !
Depuis trop longtemps, les contribuables, les parents et les électeurs assistent béats à la destruction de notre civilisation par des technocrates qui imposent leurs schémas et leurs dogmes, au nom d’un égalitarisme impalpable.
Quiconque s’oppose à cette décérébration mondialiste se voit taxer de « politiquement incorrect ». Ceux qui se battent depuis des années contre les valets de BIG BROTHER sont poursuivis en France, ou ailleurs en Europe, par la police de la pensée.
Cela a trop duré ! Nous sommes responsables de l’héritage légué par nos ancêtres et du patrimoine que nos aïeux ont enrichi à force de ténacité et de sueur au cours des siècles. Nous devons en répondre devant nos enfants et leurs descendants. Socialement, économiquement et culturellement il est urgent d’opérer une révolution mentale.
Il faut en finir avec la dictature socialo libérale qui permet l’ascension des parasites au détriment de l’individu compétent. Il faut en finir avec la Nouvelle Religion « droit de l’hommiste » qui génère la crapule s’imposant face aux honnêtes gens. Il faut punir ce régime de pourriticards qui a enfanté des bataillons de corrompus, petits et grands, en ridiculisant les personnes intègres.
La Liberté doit accoucher d’un Front du Refus. Quand l’oisiveté et le vice prennent le pas sur la compétence et l’efficacité, alors la révolte se justifie par des rejets populaires. La rébellion des « Gilets jaunes » en est la parfaite illustration, avant sa récupération par les activistes gauchistes.
Pourquoi? Parce que :
* les parents ont vu s’effondrer les jalons qui garantissaient un enseignement de qualité et vu aussi la violence envahir les salles de cours, parce que la discipline est absente !
* les enfants ont constaté que de nombreux diplômes ne leur permettaient que l’accès au chômage. Par ailleurs, il existe aussi plus de 1.500.000 analphabètes dans l’Hexagone. Surprenant.
* les patrons, artisans et commerçants sont spoliés par l’Administration et ne sont plus défendus par leur corporation. En 2019, la pression fiscale atteint 46% du PIB, la plus forte du monde et pour la seconde année consécutive.
* les automobilistes, englués dans des bouchons sans fin, sont cloués au pilori pour le moindre prétexte et proprement rackettés par les taxes, accises et autres amendes.
* les contribuables français voient d’année en année leurs impôts et les taxes augmenter et le gouffre de la dette s’approfondir (2.432 milliards € au 12 janvier 2020, soit 38.726 euros par habitant : c’est criminel). Chaque jour la dette augmente de 230 millions d’euros !
Partout, le malaise est palpable et c’est ce que nous constatons tous les jours dans nos quartiers : l’envahissement de notre économie par des multinationales étrangères, le métissage de notre population par une immigration hors contrôle et l’insécurité permanente dans nos rues et transports publics.
Trois aspects de notre quotidien imposés par les laquais du mondialisme et les gourous du multiculturel. Leur échec est évident !
Pour sortir du gouffre, il faudra donc éliminer les incapables et trier les ordures politiques lors des prochains scrutins.
22:23 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Retraites : pourquoi un fiasco aussi spectaculaire
La retraite à points est très souhaitable, mais l’accumulation d’erreurs, de maladresses et de manque de franchise du gouvernement a laissé le champ libre non seulement aux critiques recevables mais surtout aux mensonges éhontés de nombre d’adversaires de la réforme, juge l’économiste et consultant Nicolas Bouzou pour Le Figaro.
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11:13 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La crise aura bien lieu…
Marc Rousset
Au cours de la semaine écoulée, le CAC 40 s’est finalement replié de 0,12 %. La guerre semble s’éloigner dans l’immédiat, mais Trump est bel et bien englué dans les pièges du Levant et de l’Afghanistan. Des attentats, des assassinats, des attaques de bases américaines ne sont pas à exclure en 2020, au Moyen-Orient, tandis que l’Iran relance son programme nucléaire. La Bourse de New York, elle, a terminé en légère baisse vendredi, après un rapport sur l’emploi très décevant.
Nous vivons dans le monde merveilleux de l’argent gratuit en quantité illimitée, ce qui rend les crises, les cycles économiques et les krachs impossibles dans l’immédiat. L’activité économique a, cependant, toujours connu d’une façon naturelle, jusqu’à présent, des cycles courts (Juglar) ou longs (Kondratieff) qui entraînaient des hausses de taux d’intérêt par les banques centrales, d’où des crises et des krachs passagers, avec des variations de masse monétaire très limitées par les banques centrales (politique de l’« open market » ou de l’escompte sur des titres à moins de 90 jours).
L’élément nouveau, c’est que les marchés financiers qui relevaient des investissements, des obligations, des actions, de l’épargne et les marchés monétaires qui relevaient des banques centrales et des crédits à court terme ne sont plus séparés. La politique du « QE » mélange les torchons et les serviettes. Nos dirigeants actuels croient avoir découvert la pierre philosophale avec une croissance économique obligée, sans cycles et mécanismes d’ajustements naturels, en créant de la monnaie en quantité illimitée, avec des taux zéro ou négatifs et impossibilité de retour en arrière, jusqu’au jour où il y aura perte de confiance, refus de la monnaie et écroulement du Système hyper-endetté.
Certains républicains ont qualifié en 2019 l’économie américaine, qui affiche une croissance de moins de 2 % et un ratio dette/PIB de plus de 100 %, d’économie la plus puissante du monde, mais vu le montant de la dette, du déficit commercial et de la dédollarisation en cours, ils se font de douces illusions. L’automobile et l’industrie allemandes, face à la concurrence chinoise et des pays émergents, sont au plus bas : en 2019, seuls 5,9 % de toutes les voitures vendues dans le monde étaient issues d’Allemagne, contre 11,8 % en 1998. La croissance dans le monde, selon la Banque mondiale, sera de 2,5 %, en 2020, au lieu de 2,4 %, en 2019, en raison de l’augmentation de la croissance des pays émergents de 3,5 % à 4,1 %, mais au prix du bondissement de la dette totale des pays émergents de 115 % du PIB, en 2010, à 170 %, en 2018. Selon l’assureur-crédit Euler Hermes, les défaillances d’entreprises ont augmenté de 9 % en 2019, plus particulièrement en Asie. On assiste, de plus, à une décorrélation entre une quasi-récession industrielle dans de nombreux pays et les seuls services, qui continuent à croître, ce qui est une source de fragilisation des économies.
Avec la campagne présidentielle aux États-Unis et l’élection de Lagarde à la BCE, le laxisme monétaire et les taux négatifs vont perdurer en 2020, mais il est clair que les effets négatifs sur les banques, les compagnies d’assurance et les épargnants sont de plus en plus insupportables. Selon Stéphane Boujnah, président d’Euronext, « les effets de la chute des taux sont dévastateurs ». Cette situation lui rappelle L’Apprenti sorcier, de Disney : comme dans le dessin animé, l’excès de liquidités finit par créer un dégât des eaux monstrueux. Ce n’est pas pour des prunes que l’or, au plus haut cette semaine, jusqu’à 1.600 dollars l’once, en augmentation de 25 % depuis juin 2019, devient une valeur refuge.
Le système ne fait que repousser les dates d’échéance, au prix d’une très violente catastrophe à venir car, selon Joseph Stigliz, prix Nobel d’économie, les banques centrales ne pourront plus baisser les taux en cas de crise, tout comme les gouvernements ne pourront plus relancer l’activité par une politique de dépenses publiques et de stimulus fiscal.
Les facteurs de crise sont trop nombreux dans un monde interconnecté avec tous les agents économiques et la plupart des États hyper-endettés. Une récession en 2021 pourrait bien sonner l’hallali.
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10:30 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 12 janvier 2020
Bilan de 30 mois de macronie : analyse d’un désastre annoncé
Michel Geoffroy, Polémia cliquez ici
La super classe mondiale a promu en 2017 Emmanuel Macron pour qu’il conduise les changements qu’elle souhaitait imposer à la France.
Hélas, sa présidence tourne au mauvais vaudeville. Et les oligarques commencent à se demander s’ils n’ont pas fait le mauvais choix.
Macron n’est pas Thatcher
Il ne faut pas oublier qu’Emmanuel Macron a été élu grâce à un coup d’état médiatique et judiciaire qui a éliminé François Fillon du second tour de l’élection présidentielle.
Cette manœuvre a réussi mais elle a eu cependant deux lourdes conséquences pour l’avenir politique d’Emmanuel Macron :
– D’abord, son élection de 2017 ne résulte d’aucun mouvement populaire en sa faveur. Le premier parti de France ce n’est pas LREM – qui n’a pas dépassé 16% des inscrits en moyenne – mais… les abstentionnistes et le Rassemblement national !
– Ensuite, le projet politique porté par Emmanuel Macron ne correspond nullement à l’attente majoritaire des Français, comme le montrent avec constance les différents sondages d’opinion, mais seulement aux demandes des différents lobbies qui l’ont porté au pouvoir
Cela signifie que la coupure entre le pays légal – la macronie – et le pays réel – la France périphérique – atteint un niveau sans précédent sous la Ve république. Et aucune « grâce d’Etat » n’est venue la combler, bien au contraire.
Car, circonstance aggravante, l’homme que l’oligarchie a choisi pour « réformer » – c’est-à-dire déconstruire – la France n’est manifestement pas à la hauteur de son mandat. A l’évidence, Macron n’est pas Thatcher.
Homme de cabinets et de sérails, parachuté à 40 ans au sommet de l’Etat par la magie des médias et l’argent des lobbies, Emmanuel Macron manque cruellement d’expérience et donc de sagesse politique. Et l’on n’a pas tardé à s’en rendre compte, tant en France qu’à l’étranger.
Résultat : après 30 mois de pleins pouvoirs macroniens, la France s’enfonce dans le chaos social et politique.
La France qui tombe
La propagande gouvernementale omniprésente a bien du mal à cacher, en effet, que l’arrogant Emmanuel Macron se montre incapable de faire mieux que ses prédécesseurs, bien qu’il dispose d’une Assemblée nationale et de médias à sa dévotion. Et qu’il bénéficie du soutien du patronat et de toute l’oligarchie française.
En 30 mois, la France est devenue le premier pays de l’OCDE pour le poids des impôts. Les dépenses publiques ne cessent d’augmenter (55,6% en 2019), comme la dette publique (elle a atteint 100 % du PIB en 2019).
A l’exception de la Finlande, la France est désormais le seul pays européen à présenter son budget en déficit primaire, c’est-à-dire hors dette. La balance commerciale ne s’améliore pas non plus.
L’insécurité explose et pas seulement à Paris. Enfin, le taux de pauvreté a grimpé de 0,2 point à 14,3% en 2018. 9,1 millions de personnes vivaient ainsi sous le seuil de pauvreté en France.
L’indice de Gini, qui mesure les inégalités, a connu sa plus forte progression depuis 2010. Et les usines continuent de fermer et l’immigration de continuer de plus belle : la France devient en 2019 le premier pays pour l’accueil des « demandeurs d’asile » !
Mais il est vrai que les profits des entreprises du CAC 40 se portent bien.
La risée du monde entier
A l’étranger, le bilan n’est pas meilleur car tout le monde a fini par se lasser des palinodies françaises. Dans le domaine des relations internationales, l’« en-même-temps » macronien et la com ne marchent plus. En effet, seuls comptent les rapports de force.
On se lasse en Europe des déclarations à l’emporte-pièce de ce président français, jamais suivies d’effet concret. L’Otan est en état de « mort cérébrale » ? Mais pourquoi alors la France continue-t-elle d’y adhérer ? La Russie n’est « pas une ennemie » ? Mais alors pourquoi la France s’associe-t-elle aux « sanctions » contre elle ? L’Union européenne est en crise ? Mais quelles initiatives la France prend-elle ? Aucune !
Emmanuel Macron aime bien embrasser ou tripoter les chefs d’Etats étrangers sous l’œil attendri des caméras de BFM TV. Mais dès qu’il leur tourne le dos, ceux-ci se moquent de lui et il n’obtient jamais rien ! Sans compter les nombreux dirigeants avec lesquels Emmanuel Macron s’est fâché, là encore sans aucun résultat positif pour notre pays.
La « start-up » macronienne devient la risée du monde entier et la France l’homme malade de l’Europe.
La macronie sombre dans la crise sociale
Personne n’ignore à l’étranger que la macronie s’enfonce dans la contestation sociale et que la crédibilité politique d’Emmanuel Macron suit une tendance baissière, comme on dit sur les marchés financiers.
Personne n’ignore dans les chancelleries que ce président donneur de leçons de démocratie… à l’étranger, ne peut plus aller nulle part en France sans susciter des manifestations d’hostilité.
Personne n’ignore que cela fera… 59 semaines que les Gilets Jaunes manifestent chaque samedi en France contre sa politique et contre sa personne !
Comme cela fait maintenant 10 mois que le personnel hospitalier manifeste et fait grève, tout en assurant son service d’urgence. Les sapeurs-pompiers sont, eux, en grève reconductible depuis le mois de juin 2019. Du jamais vu en France !
En octobre dernier, 27 000 manifestants ont défilé à l’appel des syndicats de policiers, pour une « marche de la colère ». Les agriculteurs manifestent aussi.
En vérité, on ne connaît pas un secteur professionnel qui n’exprime pas en France un mécontentement contre la politique du pouvoir. Comme on ne sait plus ce qui marche encore normalement dans notre pays, paralysé par les réformes brouillonnes. Désormais en France quand il neige, il n’y a plus d’électricité, les routes sont bloquées et les trains ne circulent plus.
La retraite du macronisme
La réforme des retraites devait être, avec la déconstruction du droit social et les privatisations, le grand œuvre de la macronie, conformément au mandat que lui ont donné la super classe mondiale et la commission européenne. Les fonds de pension et les banques se positionnaient déjà pour rafler de juteux profits.
Las, l’opposition à la réforme des retraites rassemble de nouveau une majorité des Français contre le gouvernement. Et plus encore si on ne s’intéresse qu’à ceux que concerne vraiment la réforme : pas les retraités aisés qui répondent aux sondages !
Avec cette réforme, au surplus mal gérée, la macronie a réussi la performance de redonner vie aux organisations syndicales et de fournir un nouveau souffle à la contestation populaire. Déjà plus de 25 jours que la grève contre le projet gouvernemental dure, soit plus qu’en 1995 ! Le gouvernement escomptait un essoufflement de la contestation avec les fêtes de Noël, mais cette stratégie de la « trêve » a fait long feu.
En outre, le projet de réforme « universelle » prend l’eau de partout. Anxieux d’éteindre une grogne sociale croissante, le gouvernement ne cesse de reculer : au profit des policiers, des militaires, des routiers ou des… sénateurs. Et chaque entorse au projet « universel », renforce la détermination de ses opposants. Car si la réforme était si avantageuse que le dit le gouvernement, pourquoi donc en préserver certaines professions ? Poser la question revient à y répondre. Tout le monde a compris en effet qu’il ne s’agissait pas d’un progrès mais d’une nouvelle régression – d’une nouvelle agression – sociale.
Macron s’empêtre dans la contestation
En un mois, De Gaulle avait mis fin aux évènements de mai 1968 et remis la France au travail, avec la dissolution de l’Assemblée Nationale, de nouvelles élections et des accords sociaux. En 1984, François Mitterrand, politique avisé, avait eu la sagesse de mettre fin à la guerre scolaire pourtant déclarée par sa propre majorité parlementaire, avec le projet Savary.
Emmanuel Macron, lui, n’arrive pas à se dépêtrer d’une crise politique et sociale qui dure depuis bientôt 18 mois.
Pour répondre à une contestation qui prend une ampleur jamais vue dans notre pays, Emmanuel Macron a en effet choisi le mépris, l’enfumage, la censure et la répression. C’est-à-dire qu’il a choisi l’affrontement avec la France réelle.
Mais, alors que le mécontentement enfle, cette stratégie autiste trouve désormais ses limites. La répression a certes dans un premier temps brisé l’élan des Gilets Jaunes ; mais au fil du temps, elle a renforcé la conviction des opposants à la macronie en donnant un contenu palpable à la nouvelle lutte des classes qui s’installe dans notre pays.
Une nouvelle lutte des classes dont Emmanuel Macron apparaît désormais à la fois comme le symbole et l’artisan, honni par une France qui commence à se réveiller de sa torpeur.
Emmanuel Macbeth
Car pour un nombre croissant de Français, Emmanuel Macron incarne l’oligarque xénocrate qui préfère les métropoles boboïsées et les banlieues de l’immigration à la France rurale ou périphérique.
L’oligarque qui préfère les racailles, les immigrants et les étrangers aux autochtones, « gens qui ne sont rien [1] » que l’on rencontre dans les gares ou qui « boivent de la bière et mangent avec les doigts » comme le dit si bien son ministre de l’action (sic) et des comptes publics [2] et que l’on peut matraquer et gazer en toute impunité.
Le président qui a toujours une pensée pour les musulmans, mais jamais pour les catholiques, ces fachos qui ne comprennent rien à la révolution arc-en-ciel [3] ni à la laïcité.
L’homme qui a force de dire tout et son contraire a perdu toute crédibilité.
Retranché dans son palais de l’Elysée que protègent encore les robocops du ministère de l’intérieur, Emmanuel Macron se croit à l’abri de la révolte qui gronde. Mais pour les prochaines municipales, on conseille déjà aux candidats LREM de mettre leur sigle en veilleuse. Mauvais présage.
Emmanuel Macron fait de plus en plus penser à l’usurpateur Macbeth de la tragédie de Shakespeare. Lui qui aime tant parler anglais, devrait pourtant méditer cette prédiction que les sorcières avaient fait à Macbeth : « Birnamwood shall come to Dunsinane ». Sa forteresse finira par être prise et il perdra tout.
Mais comme Macbeth, Emmanuel Macron ne semble pas avoir compris l’avertissement. Brigitte, qui fut professeur de lettres, pourrait-t-elle lui en expliquer le sens ?
Notes
[1] Allocution lors de l’inauguration de la station F ; Le figaro.fr du 3 juillet 2017
[2] Interview de Gérald Darmanin à Paris Match du 19 décembre 2019
[3] On se rapportera avec profit au livre de Martin Peltier « la Révolution Arc-En-Ciel en Marche » , DIE éditeur, 2019
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Réunion du Bureau politique du Parti de la France
12:08 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Remarquable émission des Brigandes sur la désinformation...
12:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pour le Gouvernement, l'heure du début de la retraite à sonner.
02:05 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 11 janvier 2020
Journal du chaos
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09:54 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 10 janvier 2020
GROTESQUES ATTAQUES ORCHESTRÉES PAR LES LARBINS DU SYSTÈME : LA RÉPONSE DES BRIGANDES
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2020 : la reconquête a commencé
L’éditorial de Natacha Polony est, comme d'habitude, frappé au coin du bon sens. Aujourd’hui, on ne peut plus esquiver les défis tout à la fois écologique et économique qui sont devant nous. Il y va de notre propre survie.
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jeudi, 09 janvier 2020
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Vent de révolte contre les éoliennes !
Voici le reportage de la manifestation du 30 novembre dernier dans les rues de Laon 02 pour exprimer la colère de la population aux projets et constructions de centaines d'éoliennes qui tuent les gens et les animaux et qui remplissent surtout les poches de ceux qui les installent et les élus qui se croient tout permis comme les marchands du temple.
Reportage réalisé par l'équipe du Groupe Identité et Démocratie
15:22 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Strasbourg, vendredi 10 janvier : inauguration du local de Vent d'Est
11:14 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Entretien avec Michel Onfray
Michel Onfray commet un nouvel ouvrage, politique celui-là – Grandeur du petit peuple - où il prend la défense du peuple – et donc des Gilets jaunes – contre la clique des laquais politiques et intellectuels, tous à genoux devant « le mécanisme de fer de l’Etat maastrichtien ». Il fait ce constat accablant qu’à droite – les Giscard Chriac, Juppé, Bayrou -, comme à gauche - le PS, le PCF, Hollande, les écolos -, et même les extrêmes comme Jean-Luc Mélenchon ou Marine Le Pen, tous se soumettent à la même loi d’airain du capitalisme maastrichtien. Pour Valeurs actuelles, il répond aux questions de Raphaël Stainville.
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09:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Robert Ménard : « À Béziers, ce soir-là, aucune voiture n’a brûlé ! »
1457 voitures ont été brûlées lors de cette Saint-Sylvestre. Soit 237 de plus que l’année dernière. Ce bilan est pour le moins inquiétant. Cela pose question…
C’est une sorte d’ensauvagement de notre société. Un journaliste polonais disait à la télévision « si dans mon pays, on avait brûlé cent fois moins de voitures, on serait scandalisé ». On a le sentiment de s’habituer à cela. 1450 voitures, un peu plus de voitures ou un peu moins, c’est dans l’ordre des choses. Cela n’arrive pas seulement la nuit de la Saint-Sylvestre, mais aussi à Halloween. Deux jours par an, on peut brûler des voitures, ce n’est pas si grave … Cette idée est insupportable !
Le ministère de l’Intérieur s’est félicité de voir moins de faits graves qu’à l’accoutumée. C’est comme une volonté de chercher du positif là où on peine à en trouver…
Le ministre de l’Intérieur n’est pas venu à Béziers. Je n’ai donc pas eu l’occasion de lui dire de vive voix que celui qui se fait arrêter pour avoir brûlé une voiture, est aussi celui qui met le feu à l’école d’à côté. C’est ce qui s’est passé à la Devèze au moment d’Halloween.
Il y a trois ans, il commençait par mettre le feu à des poubelles, ensuite à une voiture et maintenant à une école. Cela ne choque pas monsieur Castaner, mais comme il n’a pas trouvé le temps de venir à Béziers pour constater sur place. Ces informations ne sont peut-être pas arrivées jusqu’à ses oreilles. Il est choquant qu’il ne s’offusque pas de ces chiffres-là. Ces chiffres ne font plus la une des médias. C’est comme si on s’y habituait.
Dans un tout autre domaine, deux islamistes radicaux ont attaqué des gens en une semaine. Et si cela s’était passé il y a cinq ans ? On vit dans une société qui accepte cela. Je trouve qu’on n’a pas à trouver supportable l’idée que plus de 1400 voitures soient brûlées en une seule nuit.
Il y a quelques années, un certain ministre avait dit que les Français devaient s’habituer à vivre avec le terrorisme. Est-on en train de le vivre ?
On ne doit s’habituer à vivre ni avec le terrorisme ni avec les voyous. On n’a pas à accepter que des gens se comportent ainsi. Tuer quelqu’un est encore plus grave que de brûler une voiture, mais même une voiture brûlée, c’est inacceptable ! A la Devèze, celui qui brûle une voiture, brûle ensuite une école. C’est la réalité. Le maire que je suis ne veut pas accepter cela.
À Béziers, avez-vous constaté une augmentation des incivilités et des destructions par rapport à l’année dernière ?
Absolument pas. Il y avait une compagnie de gardes mobiles dans le quartier de la Devèze, où est brûlé traditionnellement un certain nombre de voitures. À Béziers, la nuit de la Saint-Sylvestre aucune voiture n’a été brûlée. Quand on se donne les moyens, on arrive à faire un certain nombre de choses. Quand on refuse de baisser la tête devant ce qui serait quasi naturel maintenant, on obtient des résultats. À Béziers, grâce à une présence policière très importante ce soir-là, aucune voiture n’a brûlé. Je rends d’ailleurs hommage au préfet et à l’État.
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mercredi, 08 janvier 2020
Conférence à Vervins ce 1er février par Mariana Alvès Pereira
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REPRISE DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" (TÉLÉVISÉE) : JEUDI 16 JANVIER 2020
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13:38 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Parution prochaine du nouveau numéro de Réfléchir et Agir
12:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro (n°82) de Terre et peuple est sorti
En savoir plus cliquez ici
12:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Et si son intervention militaire en Libye était d’abord pour la Turquie un moyen de pression pour obtenir la révision du Traité de Lausanne qui fixa ses frontières maritimes en 1923 ?
de Bernard Lugan
Trois événements de grande importance rebattent le jeu géopolitique méditerranéen :
11:03 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |