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samedi, 11 avril 2020

Journal du chaos

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vendredi, 10 avril 2020

Après l’Eurogroupe, l’Union européenne est la nouvelle victime du coronavirus !

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Bernard Monot

En dépit de la gesticulation médiatique des dirigeants européens pour tenter de nous faire croire que l’Europe a toujours un bel avenir, la preuve est faite que leurs désaccords sont trop profonds, explique Bernard Monot, ancien député européen et stratégiste économique. Tribune.

Tout comme le Conseil européen du 26 mars dernier, la réunion de la dernière chance entre les 27 ministres des Finances de l’Union européenne dite « Eurogroupe » pour préparer des solutions ambitieuses et communes, n’est parvenue à aucun accord sur les moyens de sortir des crises multiples : sanitaire, économique et de confiance. C’est une impasse totale. Pourtant depuis le début de la catastrophe sanitaire du Covid-19, les gesticulations médiatiques des dirigeants de l’UE, pour tenter de faire croire aux peuples européens qu’il existe une « souveraineté européenne », ne marchent plus.

Au nom d’une fausse solidarité, les eurofédéralistes espéraient encore une fuite en avant grâce à de nouveaux instruments de dettes financés à terme par un impôt européen sur les états-membres : des euro-bonds rebaptisés pour l’occasion « corona-bonds » ; le « Mécanisme européen de stabilité », MES ; un plan d’urgence pour le chômage partiel « SURE » de 100 milliards d'euros ; un fonds de solidarité paneuropéen de 240 milliards d'euros. Cependant, la chancelière Angela Merkel, adepte du tout fédéralisme et de l’austérité, veut « plus d’Europe » mais en même temps l’Allemagne refuse de mutualiser les dettes publiques dans la zone euro, notamment celles de l’Italie. Soyons réalistes avec ces divisions européistes constatées lors des négociations de cet Eurogroupe, « l’eurodivergence » financière entre les pays du nord (Allemagne, Hollande,...) et les pays du sud (Italie, Espagne, Portugal, France...) est à son comble.
 
Le patriotisme économique, une solution crédible

Une seule prise de conscience générale, quel que soit le détonateur, la crise économique mondiale va être très profonde, probablement même une dépression. La Banque de France vient d’ailleurs d’annoncer un recul de 6 % annualisé du PIB sur le 1er trimestre alors que notre pays n’a été confiné que 15 jours en mars. Politiquement, les citoyens européens sont en train d’assister au début de la dislocation institutionnelle de l’UE. Mais en France contrairement à l’Italie, le risque subsiste que Bruno Le Maire, notre ministre de l’Economie, actionne seul, le funeste « Mécanisme européen de stabilité ». Ce déclenchement de « l’usine à gaz » du MES, est inutile et très coercitif budgétairement. Pire, cela constituerait un coup d’état financier de l’Union européenne contre la France, avec la complicité du gouvernement.

Les Français doivent refuser le MES et se tourner vers des solutions crédibles de patriotisme économique. Comme en temps de guerre, l’urgence est de survivre, maintenant, pour qu’il y ait un avenir, après. Y aura-t-il une dissolution définitive de l’Union européenne ?  C’est encore trop tôt pour l’affirmer catégoriquement. Faut-il déprimer ? Non au contraire.  Afin d’éviter le sort de la miséreuse Grèce, cette destruction créatrice va être une formidable opportunité de transformation. Chaque nation va reprendre son indépendance et agir efficacement dans l’intérêt général de ses citoyens et recréer une vraie prospérité en Europe. Les patriotes de tous les pays, vont pouvoir rebâtir ensemble un nouvel ordre pour les européens. Il faut trancher le nœud gordien de la tragique Union européenne. Aussi pour mettre les emplois, les entreprises et l’épargne des Français à l’abri de la pandémie financière et bancaire qui vient, les amoureux de la France doivent présenter rapidement un plan alternatif comme « bouclier anti-banqueroute ».

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Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (VENDREDI 10 AVRIL)

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Droits de l’homme ou Salut public ?

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Bernard Plouvier

Depuis le milieu des années 2010, les nouveaux fous d’Allah, les fanatiques djihadistes de « l’islam radical » (si tant est que ces deux mots ne forment pas un pléonasme) se sont lancés dans le terrorisme tous azimuts.

Par l’utilisation de moyens inédits et très spectaculaires – tueries de masse et décapitations filmées, enfants et femmes kamikazes, vandalisme architectural, maniement en virtuose de tous les moyens de communication et du camion-bélier, en plus des classiques poignards ou de leur version moderne, le couteau en céramique, et de l’inusable kalachnikov -, ils ont créé puis entretenu l’enthousiasme meurtrier des moins accessibles au raisonnement : les jeunes gens à la fois obsessionnels, incultes et mal insérés dans la société... les tueurs d’allah se recrutent en grande partie chez les délinquants qui se recyclent par désir de « bonne conscience ».

Confrontés à l’irruption de la violence, parfaitement incontrôlable par les moyens classiques, les gouvernements occidentaux réagissent de la pire façon qui soit. On prône le « dialogue interculturel », on prononce moult discours en invoquant les fausses pucelles Démocratie & Liberté, on espère même une « rééducation de déviants mal informés », au nom d’un humanisme que l’on saluerait volontiers d’utopique si la tournure des événements ne forçait à le qualifier de grotesque, tant il est inadapté à la situation. Et l’on dépense ainsi en pure perte des milliards d’unités de compte (£, $ ou euros), alors que l’on ferme des écoles, des postes et des services hospitaliers !

Face au terrorisme aveugle (c’est-à-dire non ciblé), face à la pure haine religieuse et raciale, ce n’est pas de paroles qu’ont besoin les peuples autochtones d’Europe occidentale. Ce n’est même pas du renforcement des polices, de la gendarmerie ou de l’armée (où l’on a accepté un nombre ahurissant de mahométans et d’extra-européens), dont la nation a besoin, puisque leur inefficacité n’est que trop évidente.

Car, le résultat de l’immigration-invasion en Occident, ce sont les milliers de cités et de quartiers de non-droit (au moins 2 000 pour la seule France), la haine anti-Blancs, les émeutes raciales en France, en Belgique, en Grande-Bretagne aussi bien qu’aux USA - le pays des responsables premiers de ce gâchis, qu’en d’autres temps des individus mal embouchés eussent appelé « un merdier ».

Les populations ont besoin d’être protégées par de très puissantes branches action des services secrets. Tout activiste présumé doit être suivi quelques jours pour repérer d’éventuels contacts, puis il doit être arrêté, interrogé sans ménagement, enfin discrètement éliminé. Car il est absurde de croire récupérable un « idéaliste » qui a fait, avant même de passer à l’action violente, le sacrifice de sa vie, dans l’espoir de gagner sa place au mythique paradis du dieu que son cerveau a imaginé ou qu’il s’est laissé imposer par l’effet d’un bourrage de crânes.

Pour obtenir ce résultat de Salut Public, il faut répudier, aussi longtemps que nécessaire – soit jusqu’à l’éradication de l’hydre terroriste -, la notion, si délicate à manier en temps de péril grave, des droits de la défense des individus. Seul compte, en ces temps de guérilla religieuse et de haine raciale anti-Blancs, la protection de la majorité honnête et laborieuse des populations. C’est le fondement même du pacte social.

On ne doit plus voir décapité au couteau à céramique ou poignardé un honnête citoyen, du seul fait qu’il est blanc ou non mahométan. On ne doit plus voir exploser, au sein d’une foule, une voiture piégée ni un kamikaze dément. On ne doit plus assister à l’attaque aux armes automatiques, aux roquettes et aux mortiers, de commissariats et de gendarmeries. L’action des « forces de l’Ordre » (le terme de « faibles » serait plus adapté à la triste réalité française) doit être préventive, menée rudement et secrètement, soit à l’abri de l’hystérie médiatique et de la démagogie politicienne.

À l’évidence, sauf pour les aveugles et les sourds, la doctrine du « Vivre ensemble » n’est que l’expression d’une nouvelle Collaboration avec des envahisseurs qui sont très vite devenus des Occupants, utilisant l’arme de la terreur à des fins de conquête territoriale et d’asservissement de la nation d’accueil. 

Si les maîtres de l’État ne sont pas capables de protéger les honnêtes citoyens, alors il incombe à la fraction la moins timorée et la plus active de la Nation d’organiser elle-même sa défense.     

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19:40 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand la science sert de cache-sexe*

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Par Eric Zemmour

La science a pris le pouvoir. Le Président n’a pas un mais deux conseils scientifiques pour l’en- tourer. Le premier ministre ne prononce plus une phrase sans citer le patron de l’OMS. Le ministre de la Santé avoue qu’il consulte les médecins avant de prendre ses décisions. La science dirige les moindres pas de la politique, qui est fière de son assujettissement. C’est le triomphe du saint-simonisme qui, dès le 19e siècle, prophétisait le remplacement du « gouvernement des hommes » par le « gouvernement des choses ». Mais voilà, la science n’est pas la vérité ; elle est, comme le dit fort pertinemment Henri Guaino, une méthode pour accéder à la vérité. L’histoire des sciences est pleine de bruit et de fureur, comme toute histoire humaine. Les querelles de doctrines et d’ego ne sont pas moins fiévreuses que dans la politique, les affaires, l’administration, l’armée, la justice, la littérature, l’art, le journalisme, etc.

Depuis le début de cette épidémie, les médecins se déchirent et disent tout et son contraire. Untel parle de « grippette », puis prend des accents apocalyptiques. Un autre tient le confinement généralisé pour une méthode du Moyen Âge, puis s’y rallie. La soi-disant autorité suprême, l’OMS, est une vraie girouette. Un jour contre les masques pour tous, puis pour ; un jour contre les tests pour tous, puis pour. Ce n’est pas parce qu’elle s’occupe de santé que l’OMS n’est pas une organisation internationale comme les autres, avec ses luttes d’influence, en particulier entre Chinois et Américains.

En France, il en est de même. On sait désormais que le Pr Raoult s’est fait de nombreux ennemis et que cela influence beaucoup de jugements négatifs de ses pairs sur le traitement qu’il propose. On sait aussi qu’au sein des conseils scientifiques, les lois de la science sont bien souvent écartées au profit des vieux principes de la courtisanerie. On avait pu l’observer lors des prétendues consultations de conseils scientifiques à propos de la PMA. Le pouvoir veut organiser les municipales ? La science dira que ce n’est pas dangereux. Il y a pénurie de masques ? La science dira que le masque n’est pas indispensable. On n’a pas de tests ? La science dira que le test pour tous est une hérésie.
Le pouvoir politique est à la fois le maître de ces manipulations et sa victime. Emmanuel Macron, Édouard Philippe, Olivier Véran essaient de dissimuler sous l’auguste manteau de la science la litanie de leurs carences, échecs, injonctions contradictoires. L’ennui, c’est que cela se voit. Personne n’est dupe. Les scientifiques étant mis sur le pavois, le peuple s’empare de leurs querelles et fait de l’un d’entre eux, le Pr Raoult, son héros. L’affrontement du peuple contre les élites, de la Province contre Paris, se déplace sur le terrain scientifique et médical. Raoult devient malgré lui « gilet jaune » d’honneur. Comme si, avec son allure de druide, ce savant chercheur était le nouvel opposant au « système » d’un peuple qui cherche désespérément une force d’alternance politique qu’il enrage de ne pas trouver.

(*) le titre est de la rédaction

Source : Figaro Magazine 11/04/2020

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Pour le retour du politique

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Le billet de Patrick Parment

Il y a un aspect du problème que pose le coronomachin et qui n’est pas du tout exploré par nos médias, c’est bien celui du politique et son l’absence dans le concert viralo-pandémique. Mais, allez-vous me rétorquer, il n’y a que ça, les Macron, Philippe et consorts ne font que défiler à la téloche ! On notera à ce sujet l’étourdissant mutisme de l’opposition de droite comme de gauche. Sauf que ces interventions ministérielles n’ont rien de politique. Ce ne sont que le commentaire d’une ordonnance dressée par la médecine pour cause de coromachin dont on ne sait plus d’ailleurs par quel bout le prendre. L’Etat macronien, qui jusqu’alors se contentait de gouverner par simple gestion budgétaire, est totalement désemparé.

On vous invite, mais n’en faites pas une nécessité, à relire Carl Schmitt et son excellent exégète français, Julien Freund. Pour faire court et résumer brièvement ce qu’est le politique, on dira que c’est d’abord la mise en acte d’une vision du monde et la désignation de l’ennemi. Etant entendu que la notion d’ennemi n’a rien de moral. L’ennemi, ce n’est pas l’adversaire, c’est d’abord ce vers quoi on ne veut pas aller, celui que l’on combat. La désignation de l’ennemi est fondamentale et au cœur du politique.

Vue du monde avons-nous dit. Celle-ci n’est autre que l’idée même que l’on se fait du pouvoir que l’on exerce au nom d’un peuple pour assurer sa sécurité, son bien-être, sa prospérité et sa pérennité. Les rois de France, n’en déplaise à certains, n’avaient pas d’autres préoccupations. Ils étaient les pères de la nation. Leur grandeur était d’abord celle de leur peuple.

Ramené aux circonstances présentes, on s’aperçoit bien que nos gouvernants ne font pas de politique depuis l’avènement de la IIIe République qui a enchaîné deux guerres mondiales qui ont détruit le socle culturel sur lequel nos républiques ont posé leur séant. L’économie ayant logiquement pris le pouvoir, la dérive du capitalisme patrimonial en capitalisme financier est venue tout d’un coup buter sur un virus qui affectant la population mondiale entrave la bonne marche d’une mondialisation excessive où l’homme n’est plus qu’une simple variable d’ajustement et de régulation des bénéfices pour l’unique et seul bonheur des actionnaires.

Ce que l’on peut espérer, sans tomber dans la démagogie de ceux qui s’imaginent que le Système va fondamentalement changer, c’est que de nouveau place soit donnée au retour de l’humain dans les préoccupations majeurs de nos gouvernants et que le curseur, en France mais aussi en Europe, ne soit plus le ministère de l’Economie et des finances. Ce virus aura fait sérieusement bouger la carte géopolitique mondiale. Espérons qu’il permettra aux Européens de prendre conscience qu’une plus grande indépendance dans tous les domaines est l’unique garantie de notre survie. Pour cela, il faut faire de la politique, redéfinir l’idée que nous nous faisons de l’Europe en tant que puissance et prendre conscience que nous n’avons pas d’amis mais des concurrents – ennemis - qui ne nous veulent pas nécessairement du bien comme Donald Trump ne cesse de nous le rappeler. Les Européens doivent impérativement comprendre que leur grandeur d’hier est avant tout le produit de leur race et que s’ils veulent un avenir, ils ont tout intérêt à la préserver. Qu’on l’aime ou non, c’est ce qu’a compris un homme comme Vladimir Poutine.

 

07:06 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 09 avril 2020

Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (JEUDI 9 AVRIL)

21:27 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’éolien industriel accapare l’argent de la Santé ! Halte au scandale. Signez la pétition !

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Cette pétition est automatiquement adressée par mail au Président de la République, Emmanuel Macron avec copie à Monsieur Edouard-Philippe, Premier Ministre, et Madame Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire !


Il vous  suffit de remplir la  fiche suivante et confirmer  en cliquant sur le lien du  mail que  vous recevrez.

Monsieur le Président,

Lors de l’une de vos récentes interventions télévisées, vous avez déclaré que notre pays était en guerre contre le coronavirus.

Dans le même temps, votre premier ministre, Monsieur Edouard Philippe et votre ministre de l’économie nous ont expliqué que cette crise sanitaire allait coûter des centaines de milliards d’euros à la nation pour à la fois, doter le secteur de la Santé des moyens qui lui font défaut depuis des années, aider les entreprises pour permettre le redémarrage de notre économie, réindustrialiser notre pays en s’affranchissant d’une mondialisation excessive mettant en péril notre souveraineté.

Alors qu’un effort sans précédent est demandé à la nation, nous ne comprenons pas que rien ne soit fait au sein du gouvernement pour faire cesser le scandale financier des subventions de tous ordres accordées aux promoteurs éoliens , scandale qui s’aggrave de jour en jour.

Par ailleurs, le très net ralentissement de l’activité économique qui engendre la baisse de la demande en électricité rend actuellement complètement inutile les quelques pourcents de la production électrique éolienne déjà largement excédentaire, et pourrait même faire courir un risque dans la stabilité de nos réseaux.

La Fédération environnement durable vous demande de prendre dans l’urgence les mesures suivantes :

Mesure n°1

En votre qualité de Président de la République  donner instruction à la ministre de la Transition écologique et solidaire de transférer au ministère de la Santé les crédits et subventions  versés  quotidiennement à la filière industrielle éolienne.

Comme vous le savez parfaitement, la  Cour des comptes en 2013 et 2018 puis la commission d’enquête parlementaire en 2019 ont  conclu que cette filière avait pénalisé en 2019 la France de 7 milliards d’euros par des taxes  alors qu’après  15 ans   elle n’avait  fourni  que  5% de l’électricité française, et avait  renchéri les tarifs de l’électricité de 35%.

Ce  montant de 7 milliards d’euros  transféré  au ministère de la Santé permettrait  d’augmenter de 9%  le budget des  hôpitaux  actuellement de  80 milliards d’euros et de renforcer leurs effectifs pour faire face à la crise sanitaire.

Mesure n° 2

Stopper immédiatement toutes les subventions à la filière éolienne, tous les avantages financiers accordés, notamment les tarifs d’obligation d’achat et mécanismes compensatoires de prix.

Aligner les tarifs de rachat de l’électricité éolienne sur le marché.

Mesure n°3

Ordonner aux gestionnaires des réseaux le délestage obligatoire de l’éolien dès que la production électrique globale devient excédentaire.

Cela aura pour effet d’éviter l’export de Mwh à des prix négatifs, et permettra d’échapper à la mise en danger des centrales à flu continus, seuls équipements capables d’assurer la sécurité en énergie du pays en cette période de crise, et plus tard dans une programmation pilotée de notre relocalisation industrielle.

L’ensemble de ces mesures pourrait être pris très rapidement par un ensemble de décrets comme vient de le faire votre gouvernement dans le domaine de la santé, de l’économie, et de l’ordre public.

13:02 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le signe indien du quinquennat

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Georges Feltin-Tracol

Expression d’origine anglaise, le « signe indien » désigne une malédiction, un maléfice, un mauvais sort que des chamanes amérindiens auraient jeté contre les colons européens au moment de la conquête de l’Ouest américain. Vaincu en 1811 par les Étatsuniens à la bataille de Tippecanoe, le chef shawnee Tecumseh, futur allié des Britanniques, aurait formulé une incantation hostile au président des États-Unis : chaque président élu une année se terminant par le chiffre zéro décéderait de manière brutale avant la fin de son mandat renouvelé ou non.

En 1841 meurt de pleurésie le neuvième président William Henry Harrison. Abraham Lincoln est assassiné en 1865. En 1881 voit l’assassinat du vingtième président, James Abraham Garfield. Le vingt-neuvième président, Warren Gamaliel Harding succombe en 1923 d’une apoplexie. Enfin, en 1963, tombe à Dallas John Fitzgerald Kennedy. Quarantième président des États-Unis, Ronald Reagan semble avoir vaincu le signe indien en survivant à l’attentat du 30 mars 1981. Élu en 2000, George W. Bush resta huit ans à la Maison Blanche pour le plus grand malheur de l’Afghanistan, de l’Irak, de l’Iran et du Venezuela.

Lancée par l’ancien chef de l’État français Valéry Giscard d’Estaing, reprise par le Premier ministre socialiste Lionel Jospin et accepté après une nouvelel volte-face de l’insignifiant Jacques Chirac, la réforme du quinquennat présidentiel est soumise au référendum, le 24 septembre 2000. Si 73,21 % approuvent cette détestable mesure, cet assentiment ne représente que 7 407 697 oui contre 2 710 651 non. Outre 1 940 340 bulletins blancs et nuls, l’abstention s’élève à 69, 81 %, soit 27 880 073 électeurs. Un record ! Dans bien des pays, une si forte abstention aurait provoqué l’annulation du scrutin, pas en France, grande donneuse de leçons démocratiques au monde entier. Le quinquennat imposé aux Français à leur corps défendant n’aurait-il pas suscité à son tour une sorte de « signe indien » ?

En dix-huit ans de pratique quinquennale, force est de constater la brièveté du séjour des élus à l’Élysée. Premier à étrenner le mandat de cinq ans en 2002, Jacques Chirac, malade de ses excès nasaux empoudrés, ne se représente pas en 2007. Son successeur, Nicolas Sarközy, ne fait heureusement qu’un seul mandat, car il perd en 2012. François « Flamby » Hollande renonce à l’automne 2016 à solliciter un nouveau mandat en raison d’une impopularité record largement justifiée. Quant à Emmanuel Macron, quelques commentateurs politiques hardis avancent dès à présent qu’il ne se briguerait pas un second mandat en 2022 ou qu’il serait vaincu dès le premier tour… Ces hypothèses audacieuses méritent néanmoins d’être étayées dans les prochains mois.

À cette liste, il faut y adjoindre Georges Pompidou. Le deuxième président de la Ve République décéda au cours de sa présidence alors qu’il s’approchait d’un quinquennat en 1974. D’ailleurs, un an plus tôt, lors d’un message lu au Parlement, il avait suggéré un mandat de cinq ans. Le texte a beau avoir été adopté par les deux chambres, Pompidou renonce finalement à convoquer le Congrès, craignant de ne pas obtenir la majorité qualifiée des trois cinquièmes. Cette révision constitutionnelle avortée révèle une nouvelle fois Georges Pompidou en vrai « anti-De Gaulle »…

Si le septennat avait été maintenu, la crise économique de 2008 aurait sévi dans les dernières années de la présidence Chirac. Le social-libéral Dominique Strauss-Kahn aurait probablement accédé à la présidence sans connaître le moindre problème hôtelier…

En choisissant cinq ans au lieu de sept ans, les politicards ont grappillé quatre ans, soit un quasi-mandat élyséen. Le quinquennat favorise une rotation plus rapide des titulaires, ce qui tend vers toujours plus d’incompétence et de médiocrité. Le raccourcissement de la durée du mandat du président de la République dévalorise sa fonction, ce que comprennent les Français prêts à user sans modération du « siège éjectable » de l’élection – reine du cirque hexagonal. Dans ces conditions, Emmanuel Macron parviendra-t-il à briser le « signe indien » du quinquennat ? On ne le souhaite vraiment pas.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°167 cliquez ici

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mercredi, 08 avril 2020

LE JOURNAL DE TV LIBERTÉS (MERCREDI 8 AVRIL)

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De mieux en mieux : Macron félicite le 9-3 pour sa discipline !

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Olivier Piacentini

En visite le 7 avril dans un hôpital de Pantin, Macron a félicité le département de Seine Saint Denis, pour… son respect admirable du confinement ! Oui, vous avez bien lu, il tresse les louanges du 93 pour sa discipline. Alors même qu'un attroupement totalement illégal s'est formé autour de lui avant qu'il ne pénètre dans l'enceinte de l'hôpital ! Pourtant tout le personnel hospitalier du département témoigne de l'afflux massif de malades, à cause du total irrespect du confinement. Et ensuite il lui faut subir des agressions à longueur de journée venant de racailles et d'abrutis, les mêmes qui cranent en se regroupant en bas des barres d'immeubles, et qui, une fois contaminés, hurlent qu'il faut les sauver en priorité…

Discipliné, le 93 ? Demandez aux policiers, qui s'y font cracher dessus quand ils demandent de présenter l'attestation, qui se font caillasser par des bandes de racailles encore aujourd'hui, et se trouvent en situation de faiblesse face aux meutes sauvages qui veulent maintenir leurs trafics coute que coute…

Mais peu importe, pour le président, le 93 a droit à un satisfecit. Mais peut être que le mérite du département se trouve ailleurs, à ses yeux : 24 % de voix au premier tour, 79 % au deuxième tour, le 93 est un bon client, qui mérite bien quelques entorses avec la vérité, non ?

Riposte laïque cliquez là

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mardi, 07 avril 2020

Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (MARDI 7 AVRIL)

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Un bémol d’importance à propos des masques réputés protéger des virus et des bactéries

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Bernard Plouvier

Cela fait un mois que l’on s’étripe entre politiciens, « experts » et clowns des media à propos des masques – ceux qu’on a, ceux dont on n’a que de trop faibles stocks, ceux que les États se volent mutuellement (et l’on a osé accuser le Mossad – un service pourtant réputé pour sa parfaite honnêteté, voire sa bienfaisance – d’avoir organisé des détournements de masques à grande échelle).

Or, une étude réalisée à Hong Kong vient de rappeler ce qu’on savait depuis 40 ans à savoir qu’un masque de coton très fin (style « masque chirurgical ») ou de papier n’offre qu’une protection très courte, de ce fait assez illusoire contre un virus en phase de diffusion accélérée – ce qui définit une pandémie.

Tout le monde, en chirurgie ou en réanimation, sait que ce type de masque ne protège plus une fois qu’il a été humidifié par la respiration et surtout par la salive du porteur. L’étude asiatique récente vient de quantifier ce qu’on savait de longue date.

Pour se protéger tant soit peu des virus, il faut être bien couvert et porter des gants, lorsqu’on a affaire à un virus à enveloppe lipidique, qui s’accroche fortement à l’enduit lipo-acide de la peau et se laver la peau et les cheveux avec n’importe quel détergent.  

Pour protéger ses voies aériennes (narines et bouche) d’un virus ou d’une bactérie transmis par l’air et les gouttelettes de salive, il faut un masque en plastique dur... ou tout simplement une écharpe de coton repliée en 2 ou 3  épaisseurs et changée dès qu’elle est humidifiée.   

Avant de hurler à l’assassin et de conspuer nos politiciens – certes incompétents, mais c’est une caractéristique durable depuis plus d’un demi-siècle -, il vaut mieux réfléchir un peu, se souvenir des acquis du XXe siècle et agir avec bon sens.

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18:18 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une autre crise dans la crise économique qui suivra la crise sanitaire.

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Pieter KERSTENS

Les gouvernements occidentaux, particulièrement en Europe, ont imposé l’assignation à résidence à leurs populations, contrairement à certains pays asiatiques qui, eux en première ligne, ont permis une liberté de circulation à leurs concitoyens, forts de leurs expériences passées face à diverses épidémies.
En effet, la « grippe de Hong Kong » en 1968 avait entrepris le tour du monde et tué 31.226 personnes en France en décembre 1969 et janvier 1970 (soit 2 fois plus de morts que la canicule en 2003). L’Asie avait affronté le SRAS en 2003, et la grippe H1N1 en 2009. La Chine, le Japon, Singapour, Hong Kong, la Corée du Sud ou la République de Taïwan conseillent le port d’un masque pour tous, le dépistage massif, une hygiène stricte et disposent par ailleurs d’une infrastructure hospitalière adéquate et rapidement mobilisable pour une épidémie mortelle.

Le Monde est « un village » ?

C’est avec cette affirmation chère aux laquais du mondialisme, que les Eurocrates de Bruxelles ont facilité les échanges et la circulation incontrôlée des biens, des hommes et des finances, avec la bénédiction de Pascal Lamy, ancien commissaire européen pour le commerce de 1999 à 2004 et directeur général de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMS) de 2005 à 2013. Ce sont eux, les Romano Prodi, les Jacques Delors, les Pascal Lamy, les principaux responsables du chaos social, économique, culturel, financier et sanitaire que nous vivons depuis des décennies. Car les mêmes nous ont imposé leurs dogmes socialauds-humanistes et leur credo d’une mondialisation « heureuse », pour le plus grand bénéfice de l’Empire du Milieu.

Bien évidemment des voix se sont élevées, notamment en Europe, pour s’opposer à l’invasion de produits à prix bradés et de mauvaise qualité en provenance de pays asiatiques, invasion responsable de la destruction de pans entiers de notre économie : agriculture, chantiers navals, mines, sidérurgie, textile, chimie, etc. ...Ces euro mondialistes ont combattu sans relâche les nationalistes européens, seuls adversaires des tabous et totems érigés et imposés par les directives de Bruxelles pour asservir les Européens au nom d’un hédonisme bon marché.

Depuis le Traité de Maastricht en novembre 1993, on a pu faire le bilan de cette désastreuse politique, l’inventaire des ravages dans notre économie et notre vie quotidienne et constaté l’impuissance et le laxisme de la Commission Européenne face aux défis auxquels nous avons été confrontés depuis 27 ans.
Guerre du Golf en 2003, crise bancaire et financière en 2008, guerre en Lybie en 2011, conflit en Syrie depuis 2012, vague de terrorisme islamiste depuis 2015 et maintenant une crise sanitaire, quelques domaines parmi d’autres, où les dirigeants européens ont toujours montré leur incompétence et leur suffisance.
Dans ce village « mondial », s’il y en a un qui éternue, tout le monde tousse...sans frontières.

« Il n’y aura pas d’épidémie en France ! »

C’est la déclaration de Yazdan Yazdanpanah, membre du Conseil scientifique créé par le Président Micron. Ce chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Bichat à Paris l’avait affirmé en janvier sur France 5 et répété sur RTL en précisant : « parce qu’on sait faire, on sait contenir, on sait isoler ces patients » !  Et on voit maintenant les résultats des certitudes de cet expert auprès de l’OMS. La ministre de la Santé, Agnès Buzyn avait pour sa part affirmée le 26 janvier « qu’il n’y avait aucun risque de pénurie de masques en cas d’épidémie du Covid-19 en France ». Au 6 avril, certains services hospitaliers et sanitaires attendent toujours les livraisons promises depuis 10 semaines ! Incurie, impéritie et incompétence, c’est le tiercé infamant des assistants arrogants du docteur Micron.

Et si les cercueils viennent à manquer, nous devons tout de même relativiser la mortalité de ce corona virus, par rapport à la mortalité générale et à la population de chaque pays, selon les stratégies adoptées et les moyens prévus par anticipation par les gouvernements, dès l’annonce du début du Covid-19 dans la province du Hubei en Chine le 17 novembre 2019, depuis bientôt 5 mois...

Pendant le confinement, faites des enfants !

De telle manière, nous n’aurons plus besoin d’immigrés pour assumer certains travaux et plus la population augmentera, plus il y aura de cotisations pour les caisses de retraites.

Mais ailleurs, comment ont-ils réagi ?
Au 3 avril et depuis le début de l’épidémie, au Japon (130 millions d’habitants) il y avait 56 décès, alors que la mortalité normale atteint 110.000 personnes par MOIS ; en Espagne (47 millions d’habitants) on comptait 10.003 morts pour une mortalité mensuelle de 30.000 personnes ; en France 4.503 décès pour une population de 67 millions et une mortalité mensuelle de 52.000 personnes ; en Allemagne, 84 millions d’habitants, 997 décès pour une mortalité mensuelle de 80.000 individus ; à Taïwan, 24 millions d’habitants, on ne dénombrait que 3 décès au Covid-19 pour une mortalité normale de 13.600 personnes chaque mois ; en Corée du Sud, 52 millions d’habitants, 169 morts du corona virus depuis janvier alors que la mortalité mensuelle est 25.000 personnes ; en Belgique, 12 millions d’habitants, 1.143 décès de Covid-19, pour une mortalité normale de 8.440 personnes tous les mois ; quant à l’Italie, 61 millions d’habitants, 13.915 sont mortes du Covid-19 et que 53.000 personnes décèdent normalement tous les mois.

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17:55 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rebâtir une industrie française

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Par Laurence Daziano*

Cette épidémie entraîne une crise économique mondiale inédite car elle combine à la fois un choc d’offre (la production est stoppée) et un choc de demande (le confinement empêche de consommer). Nous ne sommes ni dans la crise de 1929 (crise monétaire) ni dans celle de 2008 (crise financière) : les remèdes qui avaient servi à juguler ces deux crises ne sont pas les réponses adaptées. Les conséquences économiques, industrielles, sociales ou politiques sont encore inconnues dans leur ampleur, de même que le temps nécessaire pour les résorber et les traces qu’elles laisseront sur la société. Les réponses apportées pour répondre à cette crise doivent être fortes et originales, notamment pour soutenir puis reconstruire notre tissu industriel dans la nouvelle compétition mondiale qui s’ouvre.

Si la mondialisation a démontré certaines limites, elle ne sera fondamentalement pas remise en cause. Elle a permis de sortir de la pauvreté la moitié de l’humanité, de baisser la mortalité infantile de 50 % depuis 1990 et a soutenu le pouvoir d’achat des Occidentaux grâce à la production manufacturière au moindre coût. Dans ce cadre, la France doit s’employer à rebâtir son industrie. Maintenir un tissu industriel sur le territoire et préserver une souveraneté dans des industries stratégiques sont devenus un impératif économique.

Il faut rebâtir le cadre d’intervention dans lequel notre industrie évolue. L’Etat doit y jouer un rôle d’orientation et de financement des  filières stratégiques. Les grands fleurons industriels français sont nés dans le giron public, de Saint- Gobain, héritière de la Manufacture royale des glaces, à nos grandes entreprises énergétiques. Un « MITI » français pourrait regrouper, comme au Japon, l’industrie et la recherche dans un ministère unique pour faciliter le pilotage. Une Agence de la reconstruction industrielle (ARI) serait créée et financée par une quote-part de la CSG. Elle aurait pour mission d’investir dans les programmes de recherche. Le MITI aurait la tutelle de l’Agence des participations de l’Etat qui prendrait une participation de 10 à 15 % au capital de toutes les industries stratégiques françaises, notamment les industries pharmaceutiques et numériques. Les investissements initiaux seraient remboursés, à terme, par les dividendes générés et la création de valeur. Un chef de file serait désigné dans chacune des filières, par exemple Orange dans le numérique ou EDF dans les énergies. Enfin, des seuils minimaux de localisation des productions stratégiques seraient fixés sur le territoire national, afin de garantir notre souveraineté industrielle.

La politique industrielle de la France ne devra céder ni à la crainte de l’intervention de l’Etat, ni aux dogmes de la concurrence, mais trouver sa propre voie. Comme l’écrivait John Maynard Keynes, « la difficulté n’est pas de comprendre les idées nouvelles, mais d’échapper aux idées anciennes ».

(*) Laurence Daziano, maître de conférences en économie à Sciences Po, est membre du Conseil scientifique de la Fondapol.

Source : Les Echos 7/04/202

13:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 06 avril 2020

Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (LUNDI 6 AVRIL)

22:44 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

MACRON ? C’EST… « VIRUS  SANS  FRONTIERES ! »

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

« Gouverner, c’est prévoir ». Toutefois, on ne peut pas accuser ce gouvernement de n’avoir passu envisager cette vaste pandémie qui a surpris tout le monde. En revanche, dès que l’ampleur du phénomène s’est révélée, d’abord en Chine, - laquelle a menti sur le nombre de personnes touchées et sur les dates de départ de l’épidémie, notamment à Wuhan -, et chez notre voisin italien, des mesures adéquates auraient dû être prises.

Or, au contraire, les autorités françaises ont traité au début ce coronavirus avec légèreté, une quasi insouciance. N’est-ce pas le président de la république lui-même qui, allant au théâtre avec madame, priait les gens d’avoir une vie normale, juste avant, quelques jours plus tard, d’inviter le peuple à se calfeutrer ?

Pourquoi avoir procédé par étapes, d’abord la fermeture des établissements scolaires, puis des lieux publics, tout en autorisant, scandaleusement, 3 000 supporters italiens à venir le 26 février, soutenir leur club, la Juventus, à Lyon ? Et ensuite, de ne  décider seulement que fin mars, le confinement total ? Prenant la parole le 12 mars, le chef de l’État annonçait la fermeture des écoles, mais se refusait à fermer les frontières pour éviter « l’écueil », disait-il, du « repli nationaliste », alors qu’Allemands et Italiens bouclaient les leurs, refoulant sans scrupules nos ressortissants ! La veille, son ministre de l’éducation dite « nationale », Jean-Michel Blanquer, avait affirmé quant à lui, que « nous n’avons jamais envisagé de fermeture totale de toutes les écoles ». Qui était dans le vrai ?

Incohérence totale

Quelle incohérence, quelle absence de concertation. Il s’est trouvé une « sommité » de la Salpêtrière, dont les diplômes ont probablement l’épaisseur d’un bottin alors que les miens ont celle d’un ticket de métro, pour affirmer qu’il était inutile de fermer les dîtes frontières, car le Covid-19 les franchissait allègrement. Bien sûr qu’il les franchit, mais porté par un humain, ou véhiculé dans des camions ou des wagons qu’il aurait suffi de décontaminer.

Par idéologie, par un sectaire aveuglement, par peur de devoir s’aligner sur les nationaux, nationalistes, identitaires et autres populistes, le monde macronien a laissé  les barrières ouvertes. Est-ce une attitude criminelle ? Ce sera à la commission d’enquête parlementaire qui ne manquera pas d’être mise sur pied, - n’en doutons pas -, de lancer des investigations à l’issue de la crise et, éventuellement, de saisir la Cour de justice de la république.

Les faits étant têtus, et devant l’ampleur du bilan chaque jour égréné par le docteur Salomon (1), le gouvernement s’est enfin résigné : « halte, on ne passe plus ! ». Pourtant, souvenons-nous du début de la tragédie, quand des avions rapatrièrent de Chine des expatriés qui furent mis en quarantaine, les équipages militaires, eux, ayant des permissions de sortie. Or, nous savons que le Covid-19 qui a contaminé le département de l’Oise, première poche repérée en France avec le Haut-Rhin, est parti de la base aérienne de Creil, département de l’Oise !

Menteurs ou incapables ?

Ces dirigeants sont, soit des menteurs, soit des incapables ou, pire, « les deux mon général » ! Le 24 janvier, premier jour de l’apparition… « officielle » du virus en France, c’est Édouard Philippe, premier ministre, qui déclarait « Les risques de propagation du virus dans la population sont très faibles ».

À l’heure où j’écris ces lignes, nous déplorons presque 9 000 morts, des médecins sont « crucifiés » devant les choix qu’ils doivent faire, face au manque de lits et de respirateurs. Pour les plus de 70 ans qui seraient atteints, c’est le risque d’être dirigé, tout de suite, vers « la grande faucheuse » qui n’épargne personne, pas même les personnalités : voir le rapide décès de Patrick Devedjian. (Ou l’hospitalisation du Premier ministre britannique Boris Johnson, à qui nous souhaitons de s’en sortir !). Au début de la crise, selon nos excellences, les masques n’étaient pas un impératif nécessaire, aujourd’hui elles se battent à l’international pour en importer des millions et des millions ! Ayons, l’honnêteté, tout de même, d’encourager ces efforts. Incohérence, valse-hésitation, c’est toute l’ambiguïté du « Macronisme » et de sa formule, le fameux « en même temps ». « Nous sommes en guerre », a dit le président. Mais quand on est « en guerre », il faut donner des uniformes, des armes et des munitions aux troupiers. Or, nos personnels soignants,  déjà en nombre insuffisant, n’ont pas été équipés comme ils l’auraient dû. Faute d’avoir eu la possibilité d’effectuer des tests et d’avoir suffisamment de masques, comme Taiwan, le Japon ou la Corée du Sud, nos dirigeants n’avaient pas d’autre solution, il est vrai, que d’imposer le confinement, avec quelques aménagements pour permettre à la population de s’alimenter. (Les habitants des banlieues « ethniques » n’ont pas, ou peu, respecté les consignes.) Afin d’éviter des  « incidents », Nunez, le secrétaire d’état à l’intérieur, a donné consigne à ses troupes de ne pas contrôler, encore moins de verbaliser ces gens-là !

Chapeau à tous « les obscurs et les sans grade »

Au passage, chapeau aux petites mains des grandes surfaces, derrière leurs caisses, et aux gros bras derrière leurs volants, qui ravitaillent le pays. Comme les éboueurs, qui continuent leur travail ingrat, tous, malgré les risques qu’ils encourent, comme infirmier(e)s et médecins, d’ailleurs. Le plus triste, le plus émouvant dans cette épreuve que traverse l’Europe et particulièrement notre pays, c’est que les familles des personnes qui décèdent ne peuvent pas revoir, une dernière fois, leurs parents, ni assister à leurs funérailles.

C’est l’horreur, comme l’est sous nos yeux ce véritable mini « holocauste » dans les EHPAD, ces « casernes à vieux », transformées par la contamination en véritables mouroirs. Tout cela se déroule sur fond de polémique entre « mandarins », les uns prônant telle ou telle solution, d’autres écartant d’emblée les idées du professeur Raoult, atypique spécialiste marseillais des infections virales.

Les différentes versions de Mme Buzyn

Scandale dans le scandale, l’attitude de madame Buzyn, ci-devant ministre de la santé, abandonnant son poste en pleine bataille, pour se consacrer aux élections municipales parisiennes, après la défection forcée de son camarade Benjamin Griveaux. (Sur ordre du président ? Et pourquoi avoir maintenu ce premier tour où ont été infectés, probablement, électeurs et assesseurs, malgré les précautions prises ?).

Dans une interview publiée dans Le Monde daté du 17 mars, elle affirmait avoir prévenu le gouvernement sur l’importance et la gravité de ce virus, alors que le 24 janvier, sensiblement à la même époque, juste avant l’apparition de la pandémie en France, elle disait que « les risques de propagation du virus sont faibles ».

Que croire, qui  croire ? On lui aurait su gré d’avoir démissionné pour avoir sonné le tocsin sans succès, et non pour concourir dans la course municipale parisienne où, d’ailleurs, elle a pris « une veste ». La suite de ses déclarations était assez lamentable,  gémissant sur son sort : « je me demande ce que je vais faire de ma vie », s’interrogeait-elle, alors que les victimes du Covid-19 tombaient, tombent, comme des mouches.

Qu'elle ne se fasse pas trop de souci, son époux Yves Levy, ancien PDG de l’INSERM, Institut national de la santé et de la recherche médicale, vient d’être nommé au Conseil d’État ! Comme jadis d’autres hiérarques socialistes, serait-elle, seront-ils, « responsables, mais pas coupables », alors qu’ils nous apparaissent totalement irresponsables dans la gestion de la crise, tout au moins à ses débuts ? Simples citoyens, mais électeurs, - qu’ils s’en rappellent -, Il ne nous appartient pas de sanctionner, mais d’évaluer, de juger. Et nous avons assisté à un festival d’atermoiements, de va – et - vient préjudiciables à la santé du pays. Certes, nous ne pouvons pas méconnaitre l’énorme pression psychologique qui pèse sur les épaules des « sachants », lesquels conseillent les « chefs », avant que ces derniers n’arrêtent leurs décisions. Mais, une fois l’épreuve passée et  les plaies douloureusement refermées, le pays demandera des explications, ce sera l’heure des comptes.

Après tout, les membres de l’exécutif, au premier rang desquels trône le président de la république, ont cherché par le suffrage universel à occuper les postes de haute responsabilité où une faible majorité les a installés. Mais, « à toute chose, malheur est bon », nous enseigne un dicton : le nombre des accidents de la route a diminué ! Mais, surtout,  aux yeux de tous, l’Eurocratie bruxelloise s’est révélée totalement inutile, elle qui a  passé son temps à chercher des « poux dans la tête » du Hongrois Victor Orban, et à négocier l’entrée dans l’UE, tenez-vous bien, de la Macédoine du Nord et de l’Albanie, venues avec leur sébile ! « Eh, Manu, que dirais-tu d’un petit  "Nuremberg" post-Coronavirus » ?

(1) Directeur-général de la santé publique, il fut membre, en compagnie de Benjamin Griveaux, du cabinet de Marysol Touraine, ministre de la santé sous le quinquennat de François C’est pendant cette mandature, que les masques commandés par la précédente ministre Roselyne Bachelot pour lutter contre le H1N1, « s’évaporèrent »….

12:28 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le système est condamné mais, nonobstant l’Italie, n’explosera pas dans l’immédiat !

bombe-a-retardement.pngMarc Rousset

Alors qu’en février, le taux officiel de chômage était de 3,5 % aux États-Unis, 6,65 millions de personnes se sont inscrites du 21 au 28 mars, contre 3,3 millions la semaine précédente, ce qui porte le nombre des nouveaux chômeurs à 10 millions de personnes en deux semaines : du jamais-vu dans l’histoire économique des États-Unis, puisque le record hebdomadaire de 2008 était de seulement 665.000. Il semble que l’on se rapproche des projections les plus pessimistes de la Banque de Saint-Louis, soit très rapidement 47 millions de chômeurs, c’est-à-dire un taux de chômage de 30 % pour une population américaine active d’environ 160 millions de personnes. Goldman Sachs évalue le taux de chômage à seulement 15 %, d’ici le milieu de l’année. 40 % des Américains sont déjà incapables de couvrir une dépense inattendue de 400 dollars sans emprunter. La Maison-Blanche estime les victimes de la maladie dans une fourchette entre 100.000 et 240.000 morts.

En France, comme a pu dire la virologue Christine Rouzioux, citée dans un article du Monde, « ça ne sert à rien de dire que l’on n’était pas prêt pour une pandémie, on n’était prêt à rien ». Le ministre du Travail Muriel Pénicaud a annoncé, vendredi, après trois semaines de confinement, cinq millions de travailleurs concernés par le chômage partiel.

L’Union européenne se dirige vers un « plan Marshall européen » par le biais du Mécanisme européen de stabilité (MES), doté de 410 milliards d’euros disponibles, un FMI européen qui emprunte l’essentiel de ses ressources avec la garantie des États, ce qui est une forme de mutualisation. Une ligne de crédit de 240 milliards d’euros pourrait être ouverte à certains pays. La Banque européenne d’investissement (BEI) pourrait donner sa garantie pour financer 200 milliards d’euros d’investissements des PME. 100 milliards de la Commission pourraient aider à financer le chômage partiel. Reste à en fixer les conditions, ce qui ne réjouit pas l’Italie. Si l’on additionne les mesures au plan national et les 870 milliards d’euros de rachats de titres par la BCE, cela représente plusieurs milliards d’euros. L’Union européenne et les nations européennes font tapis, comme les États-Unis.

Avec un endettement actuel de 135 % du PIB, le risque de voir Rome faire défaut est dans toutes les têtes. Les « corona bonds » sont refusés à juste titre par l’Allemagne et l’Europe du Nord, sous peine de voir s’enclencher la démagogie de l’endettement irresponsable sans fin, avec la mutualisation des dettes et la faillite de l’Allemagne à la clé. En 2010-2012, le taux italien avait bondi jusqu’à 7 %. Il est actuellement de 1,52 % contre -0,48 % pour le Bund allemand à 10 ans.

Alors que Janet Yellen avait osé dire que regarder diminuer l’encours des titres du QE américain « sera[it] aussi ennuyeux que de regarder de la peinture sécher », l’encours de la Fed augmente à la verticale et atteint déjà 5.500 milliards de dollars ! Il y a pénurie d’or aux États-Unis et en France avec des primes stratosphériques, 1 vendeur pour 99 acheteurs, et certains analystes évoquent un cours de 2.500 euros l’once pour le troisième trimestre 2020.

Il est probable que les Bourses vont s’orienter vers « une deuxième jambe de baisse », une rechute qui pourrait se rapprocher, en France, des 3.000 points, les marchés n’étant pas rassurés. La reprise ne sera pas en V mais en U, s’il n’y a pas d’explosion en L du système, ce qui est probable, tant les moyens investis sont colossaux partout dans le monde. La Chine repart, mais tout comme pour le prix du pétrole, des doutes sont permis, avec une croissance nulle, selon la Banque mondiale, dans le scénario le plus noir. L’effondrement économique est mondial, systémique, Afrique et pays émergents inclus.

Les fondations du système financier se fissurent dangereusement. L’explosion finale, nonobstant l’Italie, ne sera probablement pas pour 2020, mais tous les pays du monde seront, d’ici la fin de l’année, le dos au mur après avoir tout mis sur la table, avec un hyperendettement monstrueux et des banques centrales bourrées de créances irrécouvrables. Si une dépression s’installe en 2021, une explosion générale du Système, avec une montée lente de l’inflation jusqu’à une hyperinflation généralisée et incontrôlable, est alors fort possible, car la marche arrière, après la fuite en avant, comme on le voit actuellement avec la Fed, le Japon et la BCE, ne peut d’ores et déjà plus être enclenchée.

Lire aussi Boulevard Voltaire cliquez là

00:03 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 05 avril 2020

LA PAROLE EST À L'ECP (ÉQUIPE COMMUNAUTAIRE PARIS)

Lucien Lachance
 
Depuis plusieurs années déjà l'équipe communautaire Paris (ECP) s'est imposée dans le milieu nationaliste parisien comme étant une plateforme dynamique, engagée et pleine de vivacité. Avec 200 membres en île de France et des dizaines d'activités hebdomadaire, l'ECP a su enchainer les succès en s'élevant au dessus des bagarres de chapelles idéologiques et en rassemblant parmi elle toutes personnes de bonne volonté. 

En 2020, nous lançons enfin un volet médiatique à notre groupe : "Le Soleil se lève !". Il s'agit d'une émission mensuelle sur YouTube ayant vocation à rassembler les personnalités de la droite nationale pour parler d'actualité et de thématiques choisies. En trois mois, nombreux sont ceux qui sont déjà passés sur nos ondes : Piero San Giorgio, Adrien Abauzit, Jean-Yves Dufour, Kroc Blanc...

Aujourd'hui, nous vous proposons notre dernière émission accueillant Gabriele Adinolfi et Thomas Ferrier pour parler du livre "Fascismes d'Europe" cliquez ici publié aux éditions Synthèse nationale de notre ami Roland Hélie. 

Afin de nous aider, nous vous incitions à aller partager cette vidéo et à laisser un pouce bleu sous celle-ci, ce nous sera très utile. 

Bon visionnage et au plaisir de tous vous retrouver à la journée de Synthèse nationale de 2020 !
 

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10:31 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Grands Gourous et solutions miraculeuses !

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Bernard Plouvier

Dans la traversée de sa Vallée de larmes, l’humanité espère depuis l’aube des temps préhistoriques – et espèrera toujours, car la nature humaine est perpétuellement demanderesse de solutions exceptionnelles – qu’un génie ou qu’un grand initié en communication avec l’au-delà le guérisse des maux... même lorsque l’imprévoyance, l’irréflexion, l’avidité sont les principaux responsables du fléau.

En nos jours de pandémie, on s’accroche à des promesses fallacieuses, comme celle de « l’immunité à vie » après le contact avec un agent infectieux ou une vaccination. Alors même que l’on sait depuis la seconde moitié du XXe siècle que sont labiles l’immunité humorale – liée aux anticorps –, qui dure au mieux une vingtaine d’années. L’immunité cellulaire – liée au couple macrophages & T-lymphocytes – dépend d’un tas de facteurs exogènes (alcool, tabac, médicaments immuno-déprimants pour prendre des exemples très simples) ou endogènes (diabète, cancer, insuffisances rénale ou hépatique).

Il vaut mieux compter sur de nouveaux contacts avec le même agent ou un de ses « cousins » pour réactiver l’immunité. C’est ainsi que les sujets ayant eu survécu à la grippe asiatique de 1957-58 (1,5 à 2 millions de morts avec 1000 fois plus de sujets atteints et guéris) sont passés sans trop de problème à travers la pandémie de 1968-70 (pourtant issue d’un virus simplement « cousin » du précédent et qui semble avoir tué 1 million de personnes) ou que des Européens du Moyen Âge n’ont pas été touchés par Yersinia pestis, ayant eu durant leur jeunesse une infection à Yersinia pseudo-tuberculosis ou à Y. enterocolitica).

La médecine est chose complexe. Sa science et son histoire s’apprennent et cela demande beaucoup de temps, de pratique, d’étude et de remises en cause de ce qu’on croyait assuré. Il n’est pas trop certain que les « experts » qui « causent dans les postes » soient tous compétents... par expérience, on sait qu’un vrai praticien hospitalier a tendance à fuir la publicité, parce qu’elle est chronophage et que la première leçon qu’un médecin apprend lors de son internat, c’est le caractère très relatif des succès, rarement complets et de toute façon jamais définitifs.

Certes, le premier rôle d’un médecin est d’empêcher quiconque de mourir prématurément. L’on comprend de ce fait que lorsque l’on est confronté à une situation (presque) inédite, où la mortalité est grande (ce n’est pas forcément le cas du Coronavirus 2019 où le nombre de malades est probablement cent fois inférieur à celui des contaminés porteurs sains – et immunisés pour une vingtaine d’années sauf baisse de leur défenses à l’occasion d’une maladie ou de causes externes, cf. supra -, et où la mort ne frappe qu’environ 5% des malades – les sujets les plus vieux et les plus faibles), certains puissent se dire : « Tout est bon » ou « On peut tout essayer ». Et ceci introduit les « médicaments miracles », car le Covid-19 n’est qu’une énième resucée du « fléau qui va faire disparaître l’humanité ».

À la fin du XIXe siècle, la syphilis – ou grande vérole... on se demande bien pourquoi parce que la « petite », la variole, tuait davantage et bien plus rapidement que la soi-disant « grande » - semblait la peste des temps modernes qui allait « décimer l’humanité ». Un médecin assoiffé de publicité proclama que son arséno-benzène allait guérir tous les malades atteints de cette maladie vénérienne qui tuait (très) lentement mais de façon irrémédiable, tout en étant fort contagieuse. Il publia des résultats quasi-miraculeux et fut nobélisé en 1908. Puis, l’on s’aperçut que son Salvarsan était beaucoup moins efficace et nettement plus toxique que ne le prétendait le médecin miraculeux. En réalité, le médicament tuait plus rapidement certains malades – par insuffisance rénale et troubles cardiaques liés à une anémie sévère – que ne le faisait la vérole. Vers 1930, tous les médecins doués de bon sens s’étaient détournés du Salvarsan de Paul Ehrlich, mais on en commercialisa divers dérivés toujours toxiques jusque dans les années 1960 !

De même en 1900, il avait bien fallu condamner en justice – oh, à une toute petite peine ! – le Pr Albert Neisser qui testait un vaccin contre la syphilis (qui n’a jamais marché) et qui, pour aller plus vite dans ses recherches folles, inoculait la vérole à de jeunes prostituées non encore atteintes et qu’il avaient « vaccinées » au préalable... on reprocha à ce « bienfaiteur de l’humanité » d’avoir fait tout cela sans demander le consentement de ses pratiques (cf. Vollman, 1996).

De nos jours encore, combien de médicaments dits « révolutionnaires » ont dû être retirés du marché dans les 4 ou 5 ans qui ont suivi leur commercialisation, en raison d’effets secondaires dangereux, officiellement non dépistés lors des études toxicologiques chez l’animal et lors des études de phase clinique surveillée (par de grands professeurs, parfois assez avides d’argent) ?

D’agents destinés à dilater les coronaires (épouvantablement photo-sensibilisants) à la merveille qui devait régénérer les nerfs paralysés (génératrice d’une chute dramatique des globules blancs et d’infections graves), en passant par divers antihypertenseurs et divers antibiotiques, un médecin ayant exercé durant les années 1970-2010 a pu en connaître une vingtaine (pas tous commercialisés en France où la vigilance reste forte). 

Lorsque l’on a la chance d’utiliser des médicaments connus de longue date et que l’on veut utiliser pour d’autres pathologies que celles étudiées auparavant, il faut au moins respecter les contre-indications formelles (pour la chloroquine : les maladies graves du myocarde, les myopathies, les épilepsies mal contrôlées et les pathologies graves de la rétine) et surveiller de façon stricte la survenue d’effets secondaires cliniques ou biologiques et pas seulement se contenter d’électrocardiogrammes.

Enfin et surtout, aucun médecin, même très talentueux, ne devrait se poser en gourou, en « détenteur de La Vérité »... parce qu’il n’y a pas de vérité sauf celle de l’essence même de l’être humain et cette « vérité » est rarement belle et pure. Il n’y a que des réalités, apportées par l’étude des faits.

Et il est un fait réel qui amène à se poser une vraie question : une pandémie qui en un peu plus de 4 mois de diffusion à l’hémisphère Nord n’a pas tué 100 000 personnes mérite-t-elle que l’on inflige à l’humanité actuelle une crise économique mondiale, qui génèrera une crise sociale aux conséquences dramatiques ?

Jusqu’à sa disparition par extinction massive, par mutation en surespèce ou par génocide radical (comme celui commis par nos ancêtres Homo sapiens sapiens sur la concurrence moins intelligente, moins habile ou moins vicieuse des H. s. neandertalensis, floresiensis, denisoviensis etc.), l’humanité restera une « mendiante de miracles ».

Mais l’on pourrait espérer de l’Européen civilisé qu’il se rende enfin compte que toutes les nations ne sont pas synchrones dans leur développement et que, tant qu’il persistera des continents où une majorité d’humains ont un mode de vie fort éloigné de nos conditions d’hygiène, il faut maintenir des barrières de protection... quoi qu’en disent les profiteurs de l’économie globale et du brassage des races et des ethnies.

Enfin, il serait bon qu’une majorité d’électeurs se détourne des clowns incompétents, ni sages, ni savants et bien davantage préoccupés d’eux-mêmes que de la gestion du Bien public. On ne veut retenir de l’indéniablement grand spécialiste Didier Raoult que son rôle de lanceur d’alerte et d’auteur d’un plan de protection des populations après les deux épidémies de coronavirus de 2002 et 2009... et comme tous les vrais savants, il n’a pas été écouté des politiciens !

Si la France ou l’Italie sont mal dirigées, la faute en incombe en dernier ressort à la stupidité des électorats. 

Référence bibliographique :

John Vollman : Informated consent in human experimentation before the Nuremberg Code, British Medical Journal, 1996, volume 313, p. 1445-1447

10:16 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Coronavirus : des conséquences de premières grandeur

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Entretien avec Alain de Benoist

Breizh-info.com : Tout d’abord, que vous inspire la direction du gouvernement, qui semble ne pas vraiment savoir où donner de la tête depuis le début de cette pandémie ? Michel Onfray évoque une fin possible de régime en conséquence, y croyez-vous alors que les cotes d’opinion d’Emmanuel Macron et d’Édouard Philippe n’ont jamais été aussi hautes ?

Alain de Benoist : Michel Onfray a dit, avec plus de talent que je n’en ai, tout ce qu’il y avait à dire sur la désastreuse gestion de la crise sanitaire actuelle par l’équipe d’Emmanuel Macron. J’avais écrit il y a quelques années que c’est dans le cas d’exception que l’on pourrait prendre la pleine mesure du personnage. On sait maintenant ce qu’il en est. Un homme d’État décide, ordonne, réquisitionne. Macron s’en remet au conseil des « experts » qui, comme d’habitude, ne sont pas d’accord entre eux. Il redécouvre les vertus de la « souveraineté nationale et européenne », mais c’est après avoir multiplié les réformes libérales qui ont favorisé les délocalisations et la dépendance aux importations. Il salue et remercie ceux qui se battent et qui se dévouent, mais nul n’a oublié qu’avant l’arrivée du Covid-19, il s’était refusé à entendre leurs revendications.

En témoigne l’état lamentable de nos services de santé, à qui l’on a imposé des objectifs de rentabilité à courte vue, et dont on mesure aujourd’hui le délabrement : masques et tests de dépistage manquants, lits supprimés, personnel soignant au bord du collapsus, services hospitaliers saturés. On a voulu inclure dans la logique du marché un secteur qui est par définition hors marché. On a systématiquement affaibli et détruit les services publics. Nous en payons le prix. Et ce n’est qu’un début, car le confinement va encore durer des semaines, sinon des mois. Nous ne sommes pas à la fin du début, et encore moins au début de la fin.

Je ne crois pas un instant à la montée de la cote de popularité d’Emmanuel Macron. Dans un premier temps, comme il est de règle, tout le monde s’est serré les coudes. Mais quand on en sera arrivé au « jour d’après », et que le moment sera venu de rendre des comptes, le jugement du peuple sera impitoyable. Si, comme je le crois, toute cette affaire débouche sur une crise sociale de première ampleur, le mouvement des Gilets jaunes apparaîtra plus que jamais comme une répétition générale. On voit bien d’ailleurs dès maintenant que c’est pour les classes populaires et les classes moyennes que le confinement est le plus difficile à vivre.

Breizh-info.com : La figure du Professeur Raoult, qui a émergé récemment, ne vous apparaît-elle pas comme un besoin pour les médias, une fois de plus, de dresser des icônes (d’un côté, l’icône gouvernementale, de l’autre l’icône un peu rebelle ?) à proposer à nos concitoyens. N’est-on pas finalement en plein cœur de la société du spectacle dans cette crise ?

Alain de Benoist : Le professeur Raoult est apparemment le seul qui ait commencé à obtenir des résultats dans la lutte contre l’épidémie. Au lieu de lui en tenir gré, on l’a présenté comme un rigolo et comme l’« idole des conspirationnistes » ! On annonce maintenant des recherches « plus approfondies » qui ont surtout pour objet de mettre au point un médicament qu’on présentera comme « bien meilleur » que la chloroquine et qui aura surtout pour avantage de coûter (et donc de rapporter) beaucoup plus cher. Société du spectacle ? Nous avons plutôt affaire ici à une guerre des egos et à une querelle de gros sous.

Breizh-info.com :  Il y a un mois vous nous évoquiez votre scepticisme eu égard à la fermeture des frontières. L’êtes-vous toujours alors que l’intégralité des États ont pris ces mesures ?

Alain de Benoist : Je suis bien sûr partisan de la fermeture et du contrôle des frontières. J’ai seulement voulu dire qu’il est techniquement presque impossible d’empêcher quiconque d’entrer ou de sortir d’un pays, et qu’une frontière fermée n’est pas une frontière étanche. La preuve en est que le coronavirus fait aujourd’hui des ravages dans tous les pays, y compris ceux qui ont été les premiers à fermer leurs frontières.

Breizh-info.com : L’Union européenne n’est-elle pas en train de définitivement se suicider du fait de cette crise sans précédent ? Il semblerait en effet que ce soit chacun pour soi désormais…

Alain de Benoist : Elle ne s’est pas suicidée pour la simple raison qu’elle était déjà morte. L’un des mérites de la crise a seulement été de permettre à tout le monde de voir son cadavre. Devant l’épidémie, les dirigeants de la Commission européenne sont apparus en état de sidération. Ils vont maintenant débloquer de l’argent qu’ils distribueront par « hélicoptère », après avoir fait fonctionner un peu plus la planche à billets. Mais concrètement, rien n’a suivi. Ce n’est pas l’Europe qui est venue au secours de l’Italie, mais la Chine, la Russie et Cuba. Revanche posthume de Fidel Castro !

Breizh-info.com : Quelles conséquences économiques voyez-vous à l’horizon, dans les mois, années à venir… Le fait que l’on ne puisse plus acheter de l’or, que les États fassent tourner la planche à billets, est-ce que cela devrait nous inquiéter ?

Alain de Benoist : Je m’attends à une crise économique qui aura au moins l’ampleur de celle de 1929. Elle durera beaucoup plus longtemps que l’épidémie actuelle, fera beaucoup plus de dégâts et tuera beaucoup plus de monde. Si elle se double d’une crise financière planétaire, on assistera à un tsunami : crise économique, et donc sociale, crise financière, crise sanitaire, crise écologique, crise migratoire. J’avais publié en 2011 un livre intitulé Au bord du gouffre. Il me semble que nous y sommes.

Mais il faut s’attendre aussi à des conséquences politiques et géopolitiques de première grandeur. Le développement de l’épidémie dans un pays comme les États-Unis, dont le système de santé, organisé bien sûr sur le mode libéral, est l’un des moins performants du monde, est appelé à jouer un rôle décisif et mérite d’être suivi de très près (l’épicentre mondial de l’épidémie se trouve aujourd’hui à New York). Les États-Unis risquent de s’en sortir beaucoup plus affaiblis que la Russie et la Chine, qui sont leurs deux seuls rivaux du moment. Encore une fois, nous n’en sommes qu’au commencement.

Source : le site Breizh-info

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samedi, 04 avril 2020

Décès du Docteur Xavier Dore

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Figure militante incontournable de la lutte contre l'avortement depuis plus de quarante ans, le Dr Xavier Dor est décédé hier vendredi atteint du coronavirus.

Que l'on soit d'accord ou pas avec son engagement ou avec ses méthodes d'action, force est de reconnaître et de saluer le courage et la persévérance de cet homme affable et passionné qui a tout sacrifié pour la cause qui lui était chère.

R.I.P.

Retrouvez certaines émissions avec le Dr Dor sur Radio Courtoisie cliquez ici

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RAPPEL : PLUSIEURS RENDEZ-VOUS AVEC "SYNTHÈSE NATIONALE" REPORTÉS

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Communiqué de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale :

Pour des raisons bien indépendantes de notre volonté que vous comprendrez aisément, nous sommes dans l'obligation de reporter plusieurs rendez-vous programmés ces prochaines semaines par Synthèse nationale.

Il s'agit :

- du dîner annuel des Amis franciliens qui devait se tenir à Paris le samedi 4 avril avec comme invité Jean-Gilles Malliarakis (les nombreuses réservations déjà reçues seront renvoyées dans les jours qui viennent),

- de la réunion préparatoire des 14èmes Journées " Bleu Blanc Rouge " des 10 et 11 octobre prochains qui devait elle aussi avoir lieu à Paris le 4 avril dans l'après-midi,

- de notre journée régionale de Nieppe, près de Lille, prévue fin avril.

Il en va de même pour les émissions "Synthèse" sur Radio Libertés. La prochaine devait être diffusée jeudi 19 mars avec comme invité l'économiste Bernard Monot.

Mais, rassurez-vous, ces rendez-vous ne sont pas annulés, loin s'en faut, ils sont seulement reportés à des jours plus cléments.

Notre service VPC synthèse-éditions, quant à lui, continue à fonctionner. Profitez de cette période de retraite forcée pour vous procurer nos différents livres. Par la même occasion, vous aiderez Synthèse nationale à passer cette période difficile  cliquez ici.

Nous continuerons aussi, bien entendu, à vous donner régulièrement des informations sur ce site.

En attendant, prenez soin de vous et de vos proches car le combat continue.

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Les soignants de l’hôpital Lariboisière escortés par des vigiles

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Par Franck Deletraz

L’épidémie de coronavirus accaparant l’actualité médiatique  depuis maintenant plusieurs semaines, d’aucuns pourraient croire que l’ensauvagement de notre pays a connu comme un « ralentissement » ces derniers temps. Or, non seulement il n’en est rien, mais les agressions ciblant les soignants, supposés être en possession de médicaments et de matériel médical, ont littéralement explosé. Au point que, à l’hôpital Lariboisière, dans le 10e arrondissement de Paris, la direction s’est vue obligée de recruter des agents de sécurité pour escorter son personnel jusqu’aux gares et aux stations de métro alentour.

Il faut dire que l’hôpital Lariboisière est situé à deux pas de la gare du Nord, haut lieu du trafic de stupéfiants dans la capitale, et que le quartier a été au fil du temps complètement abandonné à la pègre ethnique et aux drogués. Ici, inutile pour la police de chercher à faire respecter le confinement : c’est l’émeute assurée... Aussi, on n’aura pas été étonné d’y voir grimper en flèche durant ces dernières semaines les agressions verbales et physiques contre les médecins, infirmières et autres personnels soignants de l’hôpital. Drogués et autres petites frappes tentent notamment de leur extir- per de l’argent, d’autres vont même jusqu’à fouiller leurs sacs pour en vérifier le continu et voir s’ils peuvent y trouver des médicaments ou encore des masques à revendre... Interviewée par BFMTV, qui a eu l’heureuse idée de consacrer mercredi un reportage à ces agressions honteuses, une soignante de l’hôpital racontait ainsi : « Avant [le confinement] il y avait toujours du monde, maintenant, on se sent vraiment seul. Et c’est vrai qu’on est facilement abordés pour avoir de l’argent ou des choses comme ça. On ne se sent pas en sécurité. »

Convoyés jusqu’à la gare et au métro !

Et médecins et infirmières sont loin d’être les seuls dans ce cas puisque c’est l’Ordre des pharmaciens qui alertait l’Etat face à la très forte hausse des agressions qu’il a enregistrée depuis le début de l’épidémie de coronavirus. Aussi, pour protéger son personnel et tenter de le rassurer, la direction de l’hôpital Lariboisière s’est vue contrainte de recruter des agents de sécurité pour l’escorter jusqu’aux gares et aux stations de métro alentour. Un déplacement qui – on croit rêver ! – a tout du convoi de pionniers de l’Ouest escorté par la cavalerie : c’est ainsi que les gardes du corps accompagnent les soignants qui le demandent jusqu’aux transports toutes les vingt minutes, entre 18 et 22 heures ! Une situation intolérable. D’autant plus que, comme le confiait l’un des agents de sécurité à BFMTV, ces soignants, qui donnent tout depuis des semaines pour sauver des vies, au risque de perdre la leur, « ne sont pas venus au travail pour subir ce genre de choses après leur service » !

source Présent 03/04/2020

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Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

04:48 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Des financements pour les hôpitaux , pas pour les promoteurs éoliens !

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Des chiffres édifiants et dramatiques puisque "la vie et la mort sont en cause..." pour des milliers de personnes victimes de la situation actuelle dans toutes les structures de santé, et particulièrement dans les hôpitaux.... 
Un seul mot résume la situation actuelle :  "SCANDALEUX..."
Ci dessous les calculs de "l'équivalent santé" pour seulement.... 7 éoliennes…
Calculez bien, il y en a 8000 éoliennes en France

« On est arrivés désarmés" face au coronavirus. Invité jeudi 26 mars sur France info, le diabétologue André Grimaldi, membre des Collectifs inter-hôpitaux, a vivement critiqué la politique hospitalière de ces dernières années. "
Les  hôpitaux  ont été affaiblis depuis des années par des reformes  pour "faire des économies"
Pendant ce temps des subventions gigantesques étaient  allouées aux promoteurs de l’éolien. Certains d’entre eux  sont devenus milliardaires

source: environnementdurable.net

 
 

01:41 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Boris Le Lay sur le COVID-19 & la crise économique

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00:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Professeur Didier Raoult – Un portrait que les médias ne diffuseront pas

Professeur Didier Raoult : portrait d'avant le Coronavirus. Portrait véridique du Pr Raoult, au-delà de la campagne de désinformation menée par les médias en France lors de la crise de la pandémie du Coronavirus (covid-19). * Vidéo en témoignage d'admiration profonde à l'endroit du Pr. Raoult, le Pasteur du 21ème siècle.

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00:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Coronavirus : les chiffres sont faux » :

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Source : E&R

 
 

00:25 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 03 avril 2020

« fake news » made in Amazon

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La chronique de Philippe Randa

Amazon-ci, Amazon-ça… Incontournable Amazon, géant yankee de diffusion, d’abord de livres, puis de tout ce qui peut se vendre via internet. Tout, absolument tout… C’est dire si la pandémie coronavirienne doit être, objectivement, une aubaine pour cette société. À tel point que le 17 mars dernier, elle annonçait le recrutement de 100 000 personnes afin de faire face aux commandes en ligne.

Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, a même un temps envisagé l’autorisation de réouverture des librairies afin que le monstre ne dévore pas tout crû le marché, accédant ainsi au monopole de la distribution des livres ; un objectif dont il ne s’est jamais caché et dont il se serait rapproché en récupérant les ventes des librairies indépendantes qui seraient donc, elle, deux fois victimes du coronavirus.

Oui, mais… Une semaine plus tard, autre annonce d’Amazon qui va restreindre les achats de produits peu « prioritaires » en France et en Italie. Même si la liste « …des produits considérés comme tels n’est toutefois pas précisée dans le détail, Amazon ayant seulement indiqué par voie de presse que ce seront les produits de base pour la maison ou d’hygiène qui auront la priorité sur les autres, en France et en Italie, comme aux États-Unis », précise Le Monde. Car figurez-vous que dès la première semaine de confinement, un diffuseur parisien nous apprenait qu’il allait restreindre encore plus que prévu ses activités car il n’avait non seulement plus de « commandes libraires » (fermeture oblige), mais également plus d’Amazon, ni même des FNAC.

Les « 100 000 emplois » ont donc été annoncés un peu (trop) rapidement… ou de mauvais esprits pourraient considérer que cela n’a été qu’un simple effet d’annonce d’Amazon soit, dans le jargon actuel, une « fake news »… ou bien un simple « coup de pub » facile et pas cher.

EuroLibertés cliquez ici

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