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vendredi, 07 juillet 2023

Emeutes : après le déni total de nos gouvernants, la salutaire et éclairante rencontre entre Boualem Sansal et Florence Bergeaud-Blackler sur l’islam et l’islamisme dans nos sociétés occidentales.

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Michel Festivi

Le grand écrivain algérien, Boualem Sansal (ci-dessus), qui vient de recevoir le prix Constantinople et qui publie, Gouverner au nom d’Allah, islamisation et soif de pouvoir dans le monde arabe, chez Folio, et Florence Bergeaud-Blacker (FBB, ci-dessous), qui vient de recevoir le prix de la Revue des deux Mondes pour son ouvrage sur Le Frérisme et ses réseaux, chez Odile Jacob, que nous avons largement commenté ici, viennent d’être réunis par le Figaro Magazine pour un entretien croisé étincelant.

A l’heure où Monsieur Darmanin se refuse à prendre conscience de la réalité des cités de notre pays, confrontées à des bandes qui veulent en découdre, animées par une haine de la France et de ses institutions, et ce, qu’ils soient « français » ou non, cet entretien est à lire absolument.

Car pour Boualem Sansal : « Ne parler que d’islamisme est une façon de détourner le regard. La civilisation qui s’installe en France, c’est l’islam, l’islamisme n’est pas une civilisation, c’est un mouvement politico-religieux vulgaire, dont l’histoire commence au tout début de l’islam ».  Et lorsque l’on lui demande s’il fait une distinction entre islam et islamisme il a cette réponse : « l’islamisme, se veut en quelque sorte l’avant-garde l’islam, auquel il épargne les considérations prosaïques ».

 FBB, définit cette montée de l’islam ou de l’islamisme par « la ruse mobilisée dans toute lutte asymétrique…l’objectif c’est la société islamique. Les Frères européens n’ont pas une préférence pour la guerre ou les moyens coercitifs violents…Les frères peuvent utiliser des moyens beaucoup plus sournois et délétères. »

Décidemment nos décideurs publics ont les paupières fermées et les oreilles bouchées par le déni absolu de la réalité, mais leurs paroles sont trompeuses et mensongères.

Boualem Sansal qui a vécu en Algérie les années de plomb, où les soldats de l’islam se sont abattus sur ce pays, et qui connait donc parfaitement le problème nous alerte : « Les propos que j’entends en France me rappellent ceux que nous tenions à Alger lorsque l’islamisme commençait à installer ses bases ».  Il décrit très bien la multiplication du port du voile, alors que notamment dans les villes ce port était tombé en désuétude.

Quant à FBB, elle indique indirectement à Monsieur Pap Ndiaye, qui n’ose jamais prononcer le mot « islamisme » et qui a la foi de l’aveugle volontaire chevillé au corps, que l’école et l’université ont été le terrain de prédilection de l’emprise des Frères musulmans. Et elle précise : « Les Frères ont des alliés dans beaucoup de secteurs notamment grâce aux syndicats et aux partis de gauche comme LFI ou EELV, ce que l’on appelle les relais "islamo-gauchistes". La France Insoumise est allée jusqu’à draguer ouvertement les voix fréristes et le parti est devenu en quelque sorte son obligé, idem pour les élus locaux qui s’engagent dans des deals avec des chefs religieux dont ils auront du mal à sortir. On ne pactise pas avec les Frères sans payer un prix d’entrée ou de sortie… ». Certains maires qui ont vu leurs mairies incendiées devraient y réfléchir.

Pour l’instant, on a le sentiment que toutes ces paroles profondes et justes n’ont aucun effet concret sur notre oligarchie, notre caste politico-médiatique, à de trop rares exceptions près. Et comme l’a titré Mathieu Bock-Côté dans une chronique du 16 juin dernier au Figaro Vox « Faible avec l’islamisme, fort avec les chrétiens », car ajoute-t-il avec pertinence : « ce n’est pas la religion qui revient, c’est l’islam qui arrive. Ceux qui parle indistinctement du « phénomène religieux » sous prétexte de ne pas cibler une religion en particulier oublient que toutes les religions ne sont pas interchangeables ». Comme l’avait déclaré Albert Camus, « Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde. » Le peuple doit forcer nos gouvernants à le reconnaître et à lui donner la parole, c’est plus qu’urgent.

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Soutien aux étudiants patriotes angevins et à Jean-Eudes Gannat

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Vendredi dernier, à Angers, le local des jeunes étudiants nationalistes et identitaires a été attaqué par une horde de racailles gauchistes. Les militants patriotes ont défendu avec courage et détermination leur local. C'est tout à leur honneur.

Depuis hier, notre camarade et ami Jean-Eudes Gannat, figure emblématique de la jeunesse non-conformiste angevine, est inquiété par les autorités qui, une fois de plus, confondent agresseurs et agressés.

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Jean-Eudes était l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio : 

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« Sud global » contre « Occident collectif » ?

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Longtemps écartée de l’Université au profit des « relations internationales » et mal vue des géographes et des politistes, la géopolitique retrouve une notoriété certaine aux lendemains de la chute du Mur de Berlin, de la fin de la Guerre froide, de la disparition du bloc soviétique et de l’éclatement de l’URSS. Le mot devient tendance au point qu’on l’accommode avec tout et n’importe quoi : « géopolitique des goûts », « géopolitique des couleurs » ou « géopolitique des mentalités ». Si certaines combinaisons se révèlent pertinentes, d’autres témoignent d’un conformisme veule et d’un regrettable détournement sémantique.

Il est par exemple excessif de parler de « Sud global ». Cette notion apparue dans la décennie 1980 remplacerait maintenant  le concept de « Tiers-Monde » que forge en 1952 le démographe français Alfred Sauvy. Le « Tiers-Monde » coïncide en partie avec les États membres du Mouvement des non-alignés inauguré lors de la Conférence afro-asiatique de Bandung en 1955 et officialisé à Belgrade en 1961. L’Indien Nehru et le Yougoslave Tito cherchaient à se dégager de l’étreinte mortelle du condominium planétaire soviéto-étatsunien. Si Charles De Gaulle avait été plus audacieux tant en matière de participation dans les entreprises qu’en politique étrangère, la France des années 1960 aurait pu devenir la figure de proue du non-alignement.

Interrogé par Le Figaro du 22 juin 2023, le professeur d’économie en Sciences Po, Bertrand Badie, définit le « Sud global » comme « un ensemble de pays d’Afrique et d’Asie qui, durant la Guerre froide, furent exclus de l’ordre mondial soit parce qu’ils étaient dominés et colonisés, soit parce qu’ils étaient totalement marginalisés, humiliés, écrasés ». Les participants au Sud global « se caractérisent, poursuit-il, par un faible PIB et surtout une situation défavorable en terme d’indice de développement humain ». Mais les critères de ce développement humain qui sont d’origine occidentale, sont-ils les plus idoines pour des peuples non occidentalisés en profondeur ? L’économiste hétérodoxe François Partant ne cessait de vitupérer contre les théories fallacieuses du développement à la mode euro-nord-américaine. En 2023, ce « Sud global » regrouperait des États d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine. Ses coryphées seraient la Chine populaire et l’Union indienne. Cet ensemble disparate ne forme nullement un nouveau bloc géopolitique bien qu’il a pu montrer une neutralité officielle à propos du conflit russo-ukrainien en ne suivant pas les consignes occidentales.

Au Sud global qui dépasse – et de loin ! - les simples BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), Moscou aimerait opposer le concept d’« Occident collectif ». L’association de ces deux mots désigne le monde occidental moderne américanomorphe et ses déclinaisons institutionnelles (OTAN, Union dite européenne, FMI…). Dans plusieurs de ses discours qui justifient l’actuelle guerre en Ukraine, le président russe Vladimir Poutine use de cette expression et cible les méfaits du gendérisme et de la doxa LGBTQIA+++. Cet « Occident collectif » pensé à l’intérieur de l’appareil de propagande russe correspond à l’« Occident globalitaire » cher aux oligarchies cosmopolites tels que le Bilderberg ou la Commission Trilatérale. La priorité accordée aux enjeux sociétaux favorables à une indifférenciation généralisée ne relève pas d’un quelconque esprit complotiste.

Sous la plume de Marielle Vitureau, Le Figaro du 23 juin 2023 explique que « l’Estonie autorise le mariage pour tous » et que cette loi entrera en vigueur le 1er janvier 2024. Le texte législatif remplace les mots « homme » et « femme » par « personnes physiques », ce qui est une nouvelle et sordide discrimination envers les animaux, les plantes, les appareils électro-ménagers et les bâtiments. Selon un sondage du Centre estonien des droits de l’homme - oh pardon !, des personnes physiques -, 53 % de la population estonienne, y compris au sein de l’importante minorité russophone souvent discriminée, soutiendraient cette loi. Rédactrice en chef lesbienne de la revue en ligne Feministeerium, Kadi Viik, se félicite de cette approbation qui « reflète le fait que nous sommes orientés vers les valeurs occidentales ».

Pour sa part, la présidente de l’association LGTB d’Estonie, Aila Kala, déclare qu’« il existe plusieurs moyens de montrer que notre société est occidentale et évidemment, le mariage pour tous est l’un de ses moyens ». Dans Le Monde du 22 juin 2023, le député social-démocrate estonien, Eduard Odinets, estime que ce « vote nous permet de rompre une bonne fois pour toutes avec l’idéologie et les valeurs de l’ère soviétique ». Il considère qu’« en autorisant le mariage pour tous, nous disons clairement aux Russes et à la Russie que nous ne sommes pas dans leur camp, mais dans celui qui défend la liberté et l’égalité, et nous montrons à nos frères et sœurs européens que nous partageons leur conception de ce que doivent être les fondements de la société ». Cet élu ne comprend pas que la liberté et l’égalité ne font jamais bon ménage...

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10:14 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Face à la meute politico-journalistique, Jean Messiha explique pourquoi il a lancé la cagnotte pour aider le policier

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00:09 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LES DEALERS SIFFLENT LA FIN DE PARTIE

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Ce ne sont pas les Macron et autre Darmanin  qui ont ramené le calme dans les cités exotiques, jusqu’à la prochaine explosion, avec armes à feu  cette fois. Non, ces   « zones de non droit »  que les derniers résidents «  de souche »  et immigrés intégrés à la société française cherchent à fuir, sont sous la suzeraineté de néo-féodaux. Ces derniers ont presque droit de vie et de mort sur les habitants de tous ces « quartiers difficiles ». Sont-ils dans ces nouveaux fiefs, les descendants de Barbaresques conquérants qui, par-delà les siècles, sembleraient vouloir prendre leur revanche ?

1300 bâtiments incendiés ou  sévèrement dégradés, et pas moins de 5700 véhicules carbonisés, des millions d’euros de dégâts plus tard, les maîtres du trafic de drogue ayant estimé qu’à la longue, les émeutes étaient nuisibles pour leur business,  ont sifflé la fin de la récré !

« Ca suffit les petits, les grands frères ont autre choses à faire que  d’aller à la dépouille »…Le juteux trafic de stups. doit reprendre, et les désordres sont évidemment nuisibles au commerce. Que chacun reprenne sa place, les caïds au sommet de la pyramide, et les guetteurs aux marges des cités, à leur poste, pour prévenir de l’éventuelle arrivée des « keufs ».

Demain, sans l’avouer, combien de maires et autres élus municipaux négocieront la paix sociale avec les « grands frères », maitres de la rue et des barres d’immeubles, des plus grandes conurbations aux plus petites zones d’HLM dans  d’anonymes sous-préfectures ? Pourra-t-on leur jeter la pierre, alors que l’État est incapable d’assurer la sécurité des biens et des personnes, et qu’il freine les capacités de sa police et de sa gendarmerie dans la répression, de peur de nouvelles « bavures » ? Il faut voir avec quelle rapidité, sans attendre les premières constatations de la justice, le système a condamné le motard auteur du tir qui a tué le jeune Nahel. Lequel policier, jusque-là bien noté et en passe d’être promu au grade supérieur, est maintenu au-delà de toute décence derrière les barreaux à la Santé, alors qu’il pourrait être mis en résidence surveillée à son domicile.

Le plus croustillant si je puis dire, vient de l’Iran  et de l’Algérie. Le premier, qui ne manque pas de toupet, semble s’indigner de la manière dont nous réprimons les émeutiers, alors que le régime des enturbannés n’a pas hésité à faire tirer sa police,  à balles réelles, sur des manifestantes qui protestaient contre le port du voile obligatoire. Quant à la seconde, elle nous a habitués depuis juillet 1962 à des actes permanents contraires à nos intérêts. Outre que son hymne national réintroduit un couplet hostile à notre patrie, son  président qui devait venir en visite officielle à Paris, ose s’inquiéter du sort de sa (trop) importante communauté dont, hélas, une bonne moitié est « binationale »… Sans compter qu’un certain nombre des siens font partie des casseurs arrêtés. L’hôpital qui se moque de la charité, en quelque sorte.

Vite, vite, en place, un Gouvernement de défense des intérêts nationaux vitaux, à la main ferme, qui ne tremble pas et qui ne transige ni avec la camarilla gauchiste, complice des émeutiers, ni avec les communautés ethniques en rébellion. Les « nounours, les petites fleurs et autres marches blanches » qui ponctuent sans cesse l’actualité française, ça suffit : ordre doit rester à la loi, notre loi, pas celle des voyous, des voleurs, des violeurs et autres barbares !

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jeudi, 06 juillet 2023

Solidarité raciale et haine du pays d'accueil

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Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France :

À la différence d'un grand nombre d'afro-maghrébins occupant notre pays, les Français de souche ne ressentent aucune solidarité ethnique avec les délinquants et criminels blancs. Ceux-ci s'excluent eux-mêmes de la communauté nationale par leur comportement asocial et se retrouvent naturellement marginalisés.

Il s'agit d'un fossé civilisationnel fondamental. Pour les allogènes, la haine viscérale du pays d'accueil et de ses symboles d'autorité prime largement sur toute notion d'honnêteté, de respectabilité et de probité individuelle. Pour ces gens-là, soutenir une petite crapule comme Nahel Mezrouk tombe sous le sens. Ils s'identifient sans difficulté à ses proches ou à lui-même.

Le « vivre ensemble » est une chimère. Notre société multiraciale est une poudrière constamment prête à exploser à la moindre étincelle.

L'unique salut possible pour le peuple français est la remigration d'une majorité d'extra-européens. Tout le reste n'est qu'illusion et voué à l'échec.

Source cliquez ici

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mercredi, 05 juillet 2023

Bilan carbone...

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Une petite question, comme ça, en passant, pour Marine Tondelier et ses "matons de Panurge" d'Europe Ecologie les Verts : on a beaucoup parlé du bilan matériel et humain des ces cinq jours d'émeutes ; mais qu'en est-il du bilan carbone ? Eh oh, les écolos, notre maison France brûle, et vous regardez ailleurs ?

 

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Retour sur les victoires électorales de L’Alternative pour l’Allemagne (A.F.D)

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Michel Festivi 

L’AFD a été créée en 2013 d’une dissidence de la CDU, pour initialement lutter contre les institutions européennes, contre l’Euro et pour le retour du Deutsche Mark. Aujourd’hui les dirigeants ont changé, et l’AFD se présente désormais comme un parti anti-immigrationnistes, voulant protéger les frontières du pays et défendre la sécurité des allemands.

Malgré plusieurs crises internes et une volonté gouvernementale de la supprimer politiquement et juridiquement, l’AFD a rapidement obtenu des élus. Au Bundestag, après avoir échoué d’un cheveu avec 4,7% des voix en 2013 à obtenir des députés (le seuil est de 5%), en 2017 l’AFD obtient 12,6% et 94 députés, et en 2021, alors que le parti était en proie à des tiraillements internes considérables et à des poursuites judiciaires, le parti réalisa un score de 10,3% et obtint 83 députés.

Actuellement, l’AFD dispose de 11 députés européens et de plus de 150 députés régionaux, surtout dans les régions Est, très défavorisées.

Tout dernièrement, l’AFD vient de remporter deux victoires particulièrement symboliques, qui ont marqué les esprits. Fin juin, l’AFD a obtenu de gouverner seule, le Landkreis de Sonneberg dans le Land de Thuringe, un district dans l’Est du pays. Robert Sesselmann, a conquis cet arrondissement territorial de 56 000 habitants avec 52,8% des suffrages. Les médias allemands se sont déchainés en évoquant « Un séisme », « un coup de poing pour les autres partis », « un signal d’alarme », bref toute la panoplie habituelle, que l’on connait que trop bien, pour effrayer les électeurs et tenter de les détourner de ce parti « sulfureux ».

Mais la classe politique et médiatique n’a pas eu le temps de souffler, puisque le dimanche 2 juillet, L’AFD a remporté sa première victoire à des municipales d’importance. Avec 51% des voix, Hannes Loth a été élu maire de Raguhn-Jessnitz, commune de 9000 Habitants, toujours dans l’Est de l’Allemagne, dans le Saxe-Anhalt. Comme le souligne avec effroi la presse, jusqu’à présent l’AFD ne gérait que de petites communes rurales, où les maires étaient des bénévoles, ce qui ne sera pas le cas cette fois-ci.

Le porte-parole du parti et Président du groupe AFD au Bundestag, Tino Chrupalla a déclaré à l’issue de cette victoire : « Hannes Loth devient le premier maire AFD Nouvelle Normalité : nous sommes un parti qui représente le peuple ».

Car ce qu’il faut souligner et qui fait sursauter toute la classe politique allemande, c’est que l’AFD a résisté à « un front commun », qui allait de la CDU, en passant par les écolos, les libéraux, et la gauche radicale. De plus, actuellement, tous les sondages montrent que si des élections générales avaient lieu, l’AFD obtiendrait près de 19% des voix, faisant jeu égal avec le SPD. Il faut dire que la coalition de gauche, écologiste et libérale actuellement au pouvoir est particulièrement impopulaire, suite notamment de sa politique d’ouverture des frontières à tout -va. Les préoccupations de l’AFD, qu’elle relaie sur le terrain, sont outre la lutte contre l’immigration, les questions énergétiques, la politique de sécurité, et l’arrêt de la guerre en Ukraine.

Ce qui est frappant et réjouissant, c’est que la CDU ne profite nullement de l’impopularité du gouvernement actuel, alors qu’elle avait promis en 2018, de réduire par deux le score de l’AFD. Encore un effort et le score de l’AFD sera multiplié par deux ! Après l’Italie, l’Espagne, la France et ses 89 députés RN, et certains pays scandinaves, les droites populistes ont le vent en poupe. Comme le disait un personnage célèbre : « pourvu que ça dure ».

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Dans le dernier numéro de Lectures françaises, un grand entretien avec Michel Festivi sur son nouveau livre consacré à Miguel Primo de Rivera : cliquez ici

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Oran, 5 juillet 1962 : ne jamais oublier...

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La facture des vandales

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Gaëtan de Capèle

Magasins pillés, bâtiments publics ravagés, écoles détruites, voitures calcinées... Les émeutes des derniers jours laissent, un peu partout en France, un paysage dévasté. Les images de la télévision et les vidéos sur les réseaux sociaux ne diront jamais totalement la réalité de ce que vivent dans leur chair les victimes des voyous. Il faut entendre le désarroi de ceux qui, ne demandant rien à personne, se levant chaque matin pour aller travailler ou tenir un commerce, ont tout perdu. Le vandalisme endémique - « gilets jaunes », manifestations contre les retraites... - qui gangrène le pays devient leur pire cauchemar. À travers ces saccages, c’est toute leur vie professionnelle et familiale qui part en fumée. Ils n’ont que faire, et on les comprend, des grandes explications sociologiques sur la dérive des jeunes pillards. Encore moins des larmes de crocodile de cette gauche qui, après avoir témoigné d’une coupable bienveillance à l’égard de leurs agresseurs, les assure maintenant de son soutien.

Ce grand carnage n’aura, paraît-il, aucun impact sur l’économie française, ni sur notre attractivité. On aimerait le croire, mais on en doute. Les mises à sac à répétition de nos centres-villes, qui font le tour du monde, ont déjà lourdement entamé notre réputation. Leur coût, énorme, devra bien, quant à lui, être épongé par quelqu’un. Les compagnies d’assurances en prendront bien sûr une partie en charge. Mais l’État, c’est-à-dire le contribuable, sera lui aussi contraint de participer, une fois encore, au règlement de la facture. Les Français subiront alors la double peine de réparer des équipements qu’ils ont déjà payés. Et les vandales, dans tout cela ? Les bonnes âmes nous expliquent à quel point il serait injuste, puisqu’ils sont des victimes de la société, de les faire payer. Combien ajouter de la misère à la misère risquerait de conduire au chaos. Comme si l’impunité dont ils bénéficient n’avait pas déjà produit ce résultat. Abasourdi par les événements, Emmanuel Macron serait, paraît-il, prêt à sanctionner financièrement les familles des délinquants. La grande majorité des Français n’attend que cela.

Source : Le Figaro 5/7/2023

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LA MOUVEMENT NATIONAL-DÉMOCRATE PRÉSENTE SON PROJET POUR ORGANISER LA REMIGRATION

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Vincent Vauclin, président du Mouvement national-démocrate

En quelques jours, la France a basculé dans le chaos. Des milliers de véhicules incendiés, de commerces pillés, de mairies et de commissariats attaqués, d'écoles et de bibliothèques vandalisées, des centaines de policiers et de pompiers blessés... Tel est le bilan - encore provisoire - de ces quelques nuits d'émeutes durant lesquelles les pouvoirs publics ont été débordés malgré le déploiement de 45 000 policiers et gendarmes sur l'ensemble du territoire. Une situation quasi-insurrectionnelle mêlant violences gratuites, attaques ciblées contre les représentants de l'État et pillages systématiques, y compris dans des villes de taille moyenne jusqu'ici épargnées par les émeutes urbaines.

Après des décennies de laxisme judiciaire et migratoire, la France est toujours confrontée aux conséquences inévitables du multiculturalisme et de la faillite de son modèle d'assimilation. Multiplication des zones de non-droit, sédition communautariste, ressentiment et racisme anti-français assumé : le déni n'est plus permis, et seul le Ministre de l'Intérieur peut encore prétendre qu'il n'existe aucun lien entre ces évènements dramatiques et l'immigration massive imposée à notre pays depuis plus de quatre décennies.

Ces nuits d'émeutes ne sont que la préfiguration de l'embrasement qui menace la France à court terme si rien n'est fait. Mais une autre politique est encore possible, à condition d'aller au-delà des considérations superficielles et du déni dans lequel les médias subventionnés entendent enfermer l'opinion publique. Voilà pourquoi le Mouvement National-Démocrate dévoile aujourd'hui son dossier CTRL+Z : le projet des nationaux-démocrates pour organiser la remigration cliquez ici

Site du MND cliquez là

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mardi, 04 juillet 2023

Les islamo-gaucho-écolos vs les « M’sieurs-dames tout en un »

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La chronique de Philippe Randa

Je relatais dernièrement (Nouveau Présent du 20 juin 2023 « Poor lonesome wokistes »), les soucis outre-atlantique des « M’sieurs-dames tout en un » avec le conseil municipal 100 % musulman de Hamtramck dans le Michigan qui a interdit le déploiement du drapeau LGBTQ+ Pride sur les propriétés publiques de la ville… Mais outre-Manche également, tout ne va pas pour le mieux dans le meilleur des paradis fantasmé LGBTQXYZ (et plus si affinités).

À Londres, c’est par les écologistes que la 51e Marche des Fiertés a été contrarié. Quelques minutes seulement, certes, mais le temps ne fait rien à l’affaire et quand on veille à enquiquiner son prochain, qu’importe l’arc-en-ciel des sentiments : le groupe Just Stop Oil a bloqué un char du cortège dénoncé comme « le pire pollueur plastique au monde » ; rien que ça !

Et quel est ce char impie frappé par l’opprobre escrologique ? Celui de Coca-cola qui a ainsi pu tester l’efficacité de son nouveau slogan 2023 « Taste the feeling/goûte la sensation » (qui a remplacé celui datant de 2009 : « Ouvre un Coca-Cola, ouvre du bonheur ») !

Car, nous apprend le site euronews, « Just Stop Oil avait auparavant demandé aux organisateurs de renoncer à être sponsorisé par “des industries hautement polluantes”. La Marche des Fiertés compte parmi ses plus grands sponsors la compagnie aérienne United Airlines »… et Coca-Cola a signé en 2007 avec United Airlines un accord de cinq ans sur les boissons, devenant ainsi son principal fournisseur de boissons non alcoolisées… C’est ballot, tout de même !

Mais comme si les déboires LGBTruc-machins d’outre-Altlantique et d’outre-Manche n’étaient pas déjà si révélateurs d’un « pas vivre avec tout le monde », voilà qu’« outre-Couesnon », en Bretagne extrême, donc ! le bar LGBT Happy Café à Brest a été obligé, « en catastrophe, de fermer ses portes après un signalement de messages haineux des émeutiers sur les réseaux sociaux » parce que pris pour cible sur les réseaux sociaux par de susceptibles « chances pour la France » qui se répandaient depuis le début des émeutes de la fin de semaine en messages d’amour explicites tels que : « Les gars priorité à l’happy Café on brule les PD qu’ils crèvent en enfer le Coran », « Exploser l’happy café faut respecter notre religion Allah Akbar », « Happy café zéro pitié »… et autres aimables sentiments de fraternité religieuse !

Seuls, bien sûr, des esprits chagrins se réjouiraient de voir tout ce beau monde s’entre-dévorer ainsi à pleines dents et leur souhaiteraient « bon appétit ! »

Eurolibertés cliquez ici

19:52 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès du « petit ange », au profil de racaille.

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Pieter Kerstens

Le docteur Micron et son assistante, Elisabeth Borne, avaient déclaré publiquement que la mort de l’adolescent à Nanterre était « inexcusable », « injustifiable » et « intolérable », en condamnant l’acte du policier dès le lendemain, mercredi 28 juin.

Après les prises de positions des plus hauts responsables de l’Etat français, quelle place reste-t-il encore à la Justice ?

Avec quelle sérénité le dossier va-t-il être instruit ?

Et contrairement à ces déclarations et aux affirmations des footeux et artistes divers, Nahel n’était pas tout à fait un « ange », mais un véritable délinquant connu des services de police à Nanterre pour plusieurs « refus d’obtempérer » et délits divers, sans avoir été condamné et donc avec un casier judiciaire vierge.

MIEUX VAUT OBEIR AUX FORCES DE L’ORDRE.

On peut se demander s’il est normal qu’un garçon de 17 ans conduise une Mercédès immatriculée en Pologne, sans permis de conduire, ni assurance. Les motards de la police avaient pris Nahel en chasse, car celui-ci roulait dans un couloir réservé aux bus et aux véhicules de secours. Refusant une première fois de s’arrêter, Nahel grille un feu rouge et manque d’écraser un piéton, puis ensuite de renverser un cycliste. Ce n’est que dans les embouteillages que les deux flics arrivent à coincer le véhicule, dont le conducteur refuse d’obéir aux injonctions des forces de l’Ordre et repart, ce qui déclenche le tir mortel.

Il est absolument inacceptable que le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, se mêle des faits divers en France et exige du docteur Micron que celui-ci « protège les citoyens algériens résidants dans l’Hexagone » !

Les syndicats de la police ont bien raison de parler de la « guerre aux nuisibles ».

En outre, la population a bien compris que le fond de ce drame concernait évidemment les séquelles de l’échec d’une intégration mal vécue. Suite à un sondage du Figaro auprès de 71.000 lecteurs, 84% sont favorables à la cagnotte lancée en faveur de la famille du policier actuellement en garde à vue. Ce mardi 4 juillet, cette cagnotte s’élevait à 1.380.000 euros, quand la cagnotte pour Nahel ne recueillait, elle, que 340.000 €, soit quatre fois moins !

PILLAGES ET RAZZIAS SONT LES DEUX MAMELLES DE LA CRAPULE.

Dès le mardi soir, 27 juin, partout en France (en aussi en Belgique) les émeutes ont émaillé les villes où des jeunes issus de l'immigration ont montré qu'ils se considéraient comme des Français de papier en déversant leur haine contre nos lois et règlements, contre nos us et coutumes, en cassant et en brûlant tout ce qui leur tombait sous la main, qu’il s’agisse de biens publics ou privés.

La racaille jeune et moins jeune s’est abattue comme un vol de prédateurs sur les commerces les plus divers (tabacs, électroniques, parfumeries et boutiques de luxe), dont les vols se montent à plusieurs centaines de millions d’euros, qui s’additionnent à tous les dégâts survenus aux bâtiments publics et privés, ce qui va aboutir à une addition que les contribuables français vont devoir payer dans l’avenir. Merci aux gouvernants qui, au fil des années, ont ignoré les conséquences d’une immigration sauvage, dénoncée par mes camarades d’Ordre nouveau en juin 1973 et relatée par Jean Raspail dans son livre prémonitoire « Le camp des saints » la même année.

19:45 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce n'est pas nous qui le disons...

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"Un pitbull avec un air de cocker" (Paul Benayoum)

Synthèse nationale

Avec les émeutes, de nombreux commentateurs se souviennent brusquement du "père de la rénovation urbaine (...) qui porta l'un des plus grands programmes publics en faveur des quartiers difficiles" (selon Le Point), Jean-Louis Borloo, ministre délégué à la Ville sous Chirac, de l'Ecologie sous Sarkozy puis auteur d'un plan d'action pour les banlieues qu'Emmanuel Macron enterra sans fleurs ni couronnes en 2018....

Espérons qu'ils se souviennent également de ce que l'intéressé déclarait en 2002, dans Un homme en colère (éd. Michalon), un livre écrit par Jean-Paul Brighelli (l'auteur de La fabrique du crétin) :

"Je me souviens d'une époque où la peau d'un flic, dans le cadre de sa mission, était sacrée. Je souhaite (...) que, sauf preuves contraires, comme pour les douanes, la parole d'un policier dans l'exercice de ses fonctions prédomine. Il me paraît, par ailleurs, indispensable que les délits constitués à l'encontre du policier dans le cadre de ses fonctions (...) vaillent double sanction à leurs auteurs".

"A côté du délit de faciès (...) se développe aujourd'hui surtout le délit d'uniforme. Oui, nos forces de sécurité sont en péril, démobilisées, démoralisées, abandonnées (...). Oui, j'en ai assez de voir nos gendarmes et nos policiers pris pour cibles, non respectés (...)". 

"Si l'on n'y prend pas garde, il y aura de plus en plus de bus qui brûleront, de gamins qui se drogueront, d'échecs scolaires qui deviendront des violences urbaines (...). La sécurité pour tous est une impérieuse nécessité de l'Etat. Dans ce domaine, on constate en partie sa défaillance (...). Défaillance dans les résultats, défaillance dans l'état d'esprit des commentateurs pour qui il n'y a de bavures que policières".

"L'absence de répression est une forme d'oppression, car elle revient à supprimer tout repère (...). Le meilleur moment pour dire non, c'est le premier. Disons non tout de suite, à la première déviance".

 On le voit : comme trop souvent, des constatations et des réflexions frappées au coin du bon sens... qui, au final, ont débouché sur rien ou pas grand chose... Derrière les mots, l'inaction... Paroles, paroles, paroles, encore et toujours des paroles, chantait Dalida... Aujourd'hui, vingt-et-un ans après ces propos du "pitbull avec un air de cocker", les Français constatent les résultats de la politique du chien crevé au fil de l'eau. Espérons que cette fois, ils sauront en tirer les bonnes conclusions et voter en conséquence...

18:01 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand il n'y a ni immigrés ni migrants, il n'y a pas d'émeutes

Logo-Callac.jpegUn communiqué de la

Coordination Partout Callac :

Le jeune Nahel est mort à Nanterre le mardi 27 juin lors d’un refus d’obtempérer, au volant d’une voiture de grosse cylindrée, alors qu’il n’avait ni permis de conduire ni assurance et après avoir été repéré par la police pour de multiples infractions au code de la route.

Nahel n’était pas un inconnu des services de police : 17 mentions au casier judiciaire et 5 refus d’obtempérer au compteur, avant celui de mardi dernier.

Pourtant c’est lui qui fut présenté comme la victime et le policier comme l’horrible personnage de l’histoire.

Toute la gauche et les bien-pensants ont récupéré l’affaire et relancé l’inacceptable : « la police tue ».

Même le président de la république déclara que cette mort était « inexcusable », condamnant ouvertement le policier en cause avant même que l’enquête n’établisse s’il avait commis ou pas une faute et au mépris de la présomption d’innocence.

Dans les banlieues, prenant prétexte de cette mort, d’un bout à l’autre du pays ce fut une explosion de violence contre la police, contre tout ce qui représente l’autorité et porte un uniforme.

Des bâtiments publics (écoles, mairies, commissariat de police, bibliothèque,… etc.) ont été détruits par le feu. De même une multitude de véhicules ont été incendiés, ainsi que des bus et des tramways.

À cela il faut ajouter les pillages qui eurent lieu sur le mode « razzias » dans les magasins, notamment de centre-ville et zones commerciales, dont le butin fut ramené dans les quartiers.

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17:46 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Franc-Maçonnerie : révélations politiques d’un ex-Vénérable Maître - Serge Abad-Gallardo

Serge Abad-Gallardo est un ancien haut fonctionnaire territorial qui a passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain qui est une obédience mixte et internationale. Il a occupé la plupart des postes d'officier de loge, y compris celui de Vénérable Maître. Revenu à la foi chrétienne en 2012, il témoigne de sa connaissance du monde de la franc-maçonnerie dans de nombreuses conférences qu'il donne en France et à travers le monde.

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Ce livre est disponible ICI

16:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

" Sound of Freedom " La terrible réalité

Ce 4 juillet 2023 sortira – enfin – dans les salles de cinéma américaines le film Sound of Freedom réalisé et coécrit par Alejandro Monteverde. Il met en vedette l’acteur catholique Jim Caviezel, qui a notamment interprété le Christ dans le film La Passion réalisé par Mel Gibson. Cette fois, Caviezel joue Tim Ballard, un ancien agent du gouvernement devenu justicier et qui se lance dans une mission pour sauver les enfants des trafiquants sexuels en Colombie.

Il s’agit d’une histoire vraie. Tim Ballard a quitté son emploi d’agent spécial auprès de US Homeland Security Investigations (HSI) pour devenir justicier et se lancer dans une mission de sauvetage d’enfants prisonniers des cartels et des trafiquants d’êtres humains en Amérique latine.

Ballard a personnellement demandé à Jim Caviezel de tenir son rôle, même si l’acteur ne lui ressemble pas.

Le tournage a commencé à l’été 2018. Une partie du film a été tournée aux États-Unis (Calexico, Californie), mais la plupart des tournages ont eu lieu à Carthagène, en Colombie.

Le film a été achevé il y a plus de quatre ans et un accord de distribution avait été conclu avec la 21st Century Fox. Mais, lorsque ce studio a été acquis par Walt Disney Pictures, le film Sound of Freedom a été rangé au placard. Les cinéastes ont passé des années à batailler avec Disney pour essayer de récupérer les droits de distribution et pouvoir le projeter enfin en salles.

En mars 2023, la bonne nouvelle s’est répandue qu’Angel Studios avait acquis les droits de distribution mondiaux, avec une sortie prévue au cours du second semestre 2023. Angel a ensuite fixé une date de sortie au 4 juillet 2023.

Angel a utilisé le financement participatif pour collecter les fonds nécessaires au marketing et encourager les clients à “payer pour un autre” afin de permettre à d’autres personnes de venir gratuitement regarder ce film. Goya Cares, une fondation contre la traite des êtres humains, a annoncé son soutien en tant que producteur exécutif pour la sortie.

Le 30 juin 2023, Deadline a rapporté que les préventes de billets avaient déjà rapporté 7,2 millions de dollars et concernaient 2 626 salles de cinéma, avant même sa sortie officielle aux États-Unis ce 4 juillet 2023.

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16:27 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une odeur de révolution colorée en France

Quel sens donner aux émeutes en France ?

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15:24 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Angers. Racailles et militants antifas ont attaqué le local du RED ce lundi soir

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Source Breizh info cliquez ici

La racaille et l’ultra gauche se sentent pousser des ailes à Angers depuis qu’une certaine presse, mais aussi les pouvoirs publics, semblent avoir fait des jeunes du Rassemblement des étudiants de droite (RED) une cible prioritaire. Résultat, depuis samedi soir, chaque soirée est ponctuée par de violentes attaques par des bandes armées, en plein centre ville d’Angers, attaques visant le local qui appartenait par le passé à l’Alvarium.

A chaque fois, les jeunes présents dans le local tentent de riposter et de faire fuir des agresseurs de plus en plus nombreux et armés. Les vidéos, diffusées sur les réseaux sociaux, montrent que manifestement, les forces de l’ordre ont des consignes pour ne pas mettre hors d’état de nuire les assaillants (il est impossible de se battre aussi longtemps sans intervention policière, sinon cela signifie que même le centre ville d’Angers n’est plus protégé de rien)

Nous vous laissons découvrir les vidéos, aux allures de véritable guerre ethnique, et les violences auxquelles font face, seuls contre tous (la presse mainstream et les politiques déformant totalement la réalité), les jeunes militants identitaires.

Lire la suite sur Breizh info cliquez ici

NDLR SN : à Nantes, la Librairie Dobrée elle-aussi aussi attaquée cliquez ici

11:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Emeutes en France : Comment en est-on arrivé là ? Le déni du « gauchisme culturel ».

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Michel Festivi 

Il est toujours particulièrement valorisant, dans le cadre du combat des idées, de trouver chez ceux qui peuvent apparaître à des années lumières des convictions du camp dit « patriotique » ou « national » pour faire très court, des arguments forts qui vont dans notre sens et qui donnent de l’eau à notre moulin.

Je ne rapporterai donc pas, cette fois, les propos solides d’un intellectuel de droite, voire « d’extrême droite », ou d’un chroniqueur régulier d’un périodique de notre famille de pensée, mais celle d’un historien de la Shoah, d’un intellectuel d’origine juive qui avait subi par le passé la vindicte des bien- pensants de l’islamo-gauchisme, pour avoir affirmé que les banlieues promouvaient l’antisémitisme.  

Je veux évoquer ici, Georges Bensoussan (ci-dessus), qui avait dirigé en 2002 déjà, un ouvrage collectif qui avait fait grand bruit alors, Les Territoires perdus de la République, qui lui avait attiré les foudres des élites aveuglées et contaminées par le refus d’appréhender le réel. 2002, nous étions alors en plein chiraquisme, c’est-à-dire dans un déni total de réalité et ça continue allègrement depuis.

Que nous dit d’éclairant Georges Bensoussan, dans un entretien du 2 juillet 2023 au Figaro ? Il n’a pas apprécié visiblement, l’incompréhensible minute de silence imposée à l’Assemblée nationale. Cela ne lui inspire que « du chagrin et de la pitié », et aucune minute de silence « pour Sarah Halimi, ni pour d’autres victimes civiles ou policières » dénonce-t-il.

Il professe que le déni est l’une des causes majeures de la situation actuelle, déni « entretenu par les classes dirigeantes qui, pour partie, dominent médiatiquement ce pays ». C’est le nœud de son propos.

Implicitement, il compare la situation actuelle avec la montée du nazisme, que les élites de l’époque se refusaient à percevoir alors. Aujourd’hui, tout le monde voit le naufrage arriver, mais les gouvernants se sont tellement auto-entravés, auto-censurés, qu’ils sont d’une impuissance absolue, qu’ils sont paralysés face aux drames qui arrivent. Et il reprend le mot de Walter Benjamin : « le cheminement vers la catastrophe ». Nous y sommes en plein. 

Et les références pleuvent. La haine entretenue à l’égard du pays d’accueil que notait Pierre Legendre, historien du droit et psychanalyste, haine facilitée par la volonté mortifère de refuser d’imposer nos lois et nos mœurs aux arrivants. L’hyperviolence des adolescents des cités, devenus des « enfants-roi », fonctionnant au « code de l’honneur » « par un sentiment de toute puissance et d’absence de limites », caractères qui ont été analysés par le pédopsychiatre Maurice Berger, qui déplorait le laxisme judiciaire, surtout celui de la politique pénale des mineurs.

L’analyse de l’ethnologue Germaine Tillon, qui dans son ouvrage, Le harem et les cousins, avait disséqué que dans les sociétés maghrébines où : « Le garçon… plus particulièrement le fils aîné- est un roi fainéant, autour duquel convergent les attentions serviles de toutes les femmes de la famille… il doit (être) continuellement disposé à égorger tous les hommes et à violer toutes les femmes ».

Selon Georges Bensoussan, Germaine Tillon faisait le distinguo entre « une société des cousins » et « une société des citoyens », où le « code de l’honneur » affronte frontalement nos sociétés dites « libérales ». Et d’ajouter opportunément : « Les accusations de racisme pleuvent. Répétées ad nauseam, elles vont condamner ce pays à une atrophie du débat public. ». C’est déjà le cas.

Il fustige l’antiracisme dévoyé qui ne permet plus une vision saine du réel, allant jusqu’à « travestir la réalité et trafiquer le passé historique ». On le constate avec des déclarations inconséquentes de Macron ou de Borne qui vont jusqu’à falsifier de l’Histoire de France.

Et c’est ce même Georges Bensoussan qui nous dit : « Le chantage à l’extrême-droite a rendu impossible la peinture vraie de la réalité française ». Cela conduit tout droit, nous affirme-t-il, à taire le sort fait aux jeunes filles, aux femmes célibataires ou divorcées dans les cités, à taire l’identité des auteurs de viols collectifs etc…Comme à taire l’identité de ceux qui égorgent, les attaques aux couteaux ayant subi une augmentation considérable ces dernières années.

A quoi alors ont servi depuis 40 ans les 14 plans banlieues ?  A rien à l’évidence, sauf à une augmentation effarante de la fiscalité française, l’une des plus importante des pays de l’OCDE.

Il pointe du doigt le grand patronat, qui a voulu et mis en place à partir du séisme de mai 1968, et avec la complicité de tous les pouvoirs publics successifs, une politique migratoire démesurée et finalement incontrôlée pour peser sur les salaires, dans le cadre d’une main d’œuvre à très bon marché, mais avec toutes les conséquences sociales que cela a induit, dans le cadre de la mondialisation dévoyée à la Georges Soros, et Jacques Attali, et l’incontrôlable regroupement familial.

La faillite de l’intégration est soulignée avec comme corollaire, « la multiplication des proclamations sur la République, la laïcité et la citoyenneté qui toutes évitent soigneusement le mot Nation. » Et d’enfoncer brillamment le clou, dans une envolée que n’aurait pas renié ni Charles Péguy ni Maurice Barrès : « Le contenu charnel (de la nation) dont le paysage français témoigne depuis la plus petite église romane de Saintonge jusqu’au plus modeste des monuments aux morts de 1914-1918. La nation… c’est notre héritage et la perspective d’un avenir commun. ». Bref le rappel de la France de la terre et des morts. Rappelons-nous que Chirac s’était fortement opposé à l’affirmation des racines chrétiennes de l’Europe dans le projet de constitution européenne, et une Europe sans racine, c’est une construction totalement artificielle mais qui promeut le port du voile. 

Bien sûr, l’islamisation, voire la « palestinisation » de nos sociétés sont évoquées, ce qu’il nomme « l’archipélisation » de la France, déstructurant tout, du fait dit-il « de la chute de la pratique religieuse, une véritable révolution anthropologique concomitante de l’effondrement des grandes structures d’encadrement de jadis. », une analyse que Patrick Buisson a fait sienne depuis longtemps.

Car c’est bien « un antiracisme dévoyé qui nous a empêché pendant des années de nommer la réalité », et il faut lutter contre les discours moutonniers invoquant le racisme, ou les conditions socio-économiques pour expliquer ces émeutes qui pourraient s’apparenter à des prémices de guerre.  La loi du nombre dans le cadre de l’immigration illégale et massive faisant le reste. La libanisation de la France approche à une vitesse qui prend tous les jours de l’ampleur.

11:28 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aux armes citoyens… Formez vos bataillons…

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Jarente de Senac

A l’initiative de l’homme politique et chroniqueur Jean Messiha, a été lancé un compte sur la plateforme Godfundme afin de venir en aide a la famille du policier qui a tiré et tué le jeune Nahel, 17 ans, fils d’immigrés, dans des circonstances qui ne sont pas encore totalement établies. En attendant, le policier a été mis en examen. En a peine trois jours, la cagnotte constituée pour venir en aide à sa famille a déjà recueilli plus de 1,3 million d’euros de la part de plusieurs milliers de donateurs quand celle lancée pour la famille de Nahel, Laetchi,  atteint péniblement les 180 000 €.

Godfundme est une plateforme américaine de collecte de fonds de crowfunding (financement participatif). Celle-ci a fait savoir que les conditions de la collecte étaient parfaitement régulières et que les fonds recueillis seraient versés à la famille. Car il ne s’agit nullement, d’un soutien financier pour la défense juridique du policier. La loi française interdit d’ouvrir des souscriptions pour indemniser des frais de condamnation judiciaire. Ce qui n’est pas le cas. Et le montant recueilli en si peu de temps en dit long sur le sentiment et l’exaspération des Français.

Inutile de dire que dans la majorité comme à gauche, les pleureuses ne se sont pas faits attendre pour dénoncer cette initiative et valider une incitation à l’émeute. Les médias publics comme ceux de gauche – en fait la même chose -, montent au créneau et dénoncent un « appel à la haine ». Sauf que les Français disent le contraire.

Ils en ont marre d’une violence qui est dans sa grande majorité la conséquence de l’immigration. Une immigration qu’elle soit contrôlée ou non et qui aboutit aujourd’hui à des émeutes, où le pays est mis à feu et à sang, où des maires sont menacées quand ce n’est pas leur famille qui est visée comme ce fut le cas à Lhaÿ-les-Roses.

Les Français en ont marre de cette gauche autant que de cette majorité qui voudraient de surcroît soupoudrer nos campagnes de cette racaille incontrôlable comme ce fut le cas à Callac et à Saint-Brévin-les-Pins. Marre de leur politique de la ville qui est un échec depuis Bernard Tapie et dans laquelle tous les gouvernements, de gauche comme de droite, ont investi des milliards… en vain.

Les Français en ont marre de cette insécurité qui gangrène nos villes et nos villages. Marre aussi de cet Etat qui ne cesse de nous montrer sa trouille et son impuissance et qui laisse la société s’islamiser, les soignants, les pompiers, les policiers se faire agresser, caillasser, insulter. Ces émeutes ne sont rien moins qu’un état de guerre civile. Ces jeunes émeutiers de 13 ans et plus sont désormais irrécupérables. Ils sont en guerre contre la République et ses lois. Et le pire c’est qu’ils agissent en toute impunité sous l’œil goguenard d’un Mélenchon ou d’une Sandrine Rousseau et de toute cette gauche qui a détruit l’école, piétiné l’histoire de France, vomi l’armée et dont l’idéologue délétère tend à nous faire prendre des vessies pour des lanternes. La gauche… ce grand mensonge national, cette haine de l’autre !  

Et le pire dans cette histoire, est que les Darmanain et autres Dupond-Lajoie-Moretti vont vouloir jouer les gros bras en enchristant des manifestants dans des prisons déjà surchargées d’immigrés où ils pourront renforcer tout à loisir leur haine de ce pays et de sa République.

03:41 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Condamnations très dures pour le mouvement italien Casapound : « Nous ne reculerons pas d’un mètre »

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Audrey D’Aguanno

Il y a exactement vingt ans, le mouvement Casapound occupait un immeuble dans le centre de Rome, rue Napoléon III. Accusés d’occupation abusive, dix de leurs militants viennent d’écoper de peines de prison de deux ans et deux mois, ainsi que d’amendes très élevées. Une décision politique comme l’indiquent, en miroir, la complaisance et le financement publics des occupations opérées par les organisations d’extrême gauche.

L’édifice de six étages était à l’origine une école publique désaffectée, squattée et réduite à taudis par des immigrés en situation irrégulière, où trafic de drogue et délinquance étaient la norme. Les “fascistes du troisième millénaire”, comme les surnomment les médias – le terme de fasciste n’étant pas en Italie synonyme de totalitarisme, mais renvoyant à une idéologie de troisième voie et une période historique précise – nettoient, réparent, remettent en état le bâtiment. Ils en font un espace social où sont organisées, entre autres, rencontres, conférences, expositions et autres initiatives à caractère social et culturel. Mais pas que. Car de nombreuses familles y trouvent refuge, dans un contexte de grave crise immobilière après que dans les années 90, les banques ont spéculé rachetant la plupart des logements vides, avec comme conséquence une augmentation drastique des prix des loyers. Des milliers de Romains se retrouvent à la rue.

À côté de cela, de nombreuses occupations rouges sont financées par les pouvoirs publics, recevant des centaines de milliers d’euros. Même lorsqu’elles ne sont que des squats où règnent l’anarchie, le délabrement et… le meurtre comme, celui de l’adolescente Desirée Mariottini, morte des suites d’un viol collectif par quatre migrants africains qui fréquentaient l’endroit. Sans aller jusqu’au décès, les histoires sordides sont légion, et les riverains se plaignent de la détérioration et de l’insécurité qui font suite à l’installation abusive de centres sociaux d’extrême gauche, notoires repères d’illégalité.

Rien de tel, ne s’est produit au 8, rue Napoléon III à Rome. Tout au contraire. Si le quartier entier n’était pas laissé à l’abandon par la politique de la ville, on pourrait même parler de requalification. Pourtant, c’est cette occupation non-conforme qui est visée par les autorités, une association qui avait fait de la défense du logement sa priorité.

Parmi les accusés,  le Président Gianluca Iannone, Simone et Davide Di Stefano qui ont quitté le mouvement. Une amende immédiate de 20.000 euros, l’indemnisation à l’État, et l’évacuation ont aussi été ordonnées. Nous publions ci-dessous le communiqué signé Casapound :

« Alors qu’à Rome, la Mairie achète avec des millions d’euros des espaces et les offre aux centres sociaux comme dans les cas du Porto Fluviale et du Spin Time, on frappe l’unique occupation non-conforme de la ville où des familles italiennes ont trouvé au fil des années un lieu d’aide et de confrontation. Sans Casapound, l’immeube de la rue Napoléon III serait l’énième symbole de la dégradation de la capitale, alors qu’il est actuellement un point de rencontre culturel, social et politique dans un quartier totalement délaissé par la politique.

Dans tous les cas, cette sentence ne nous trouve pas pris au dépourvu : nous sommes prêts à défendre l’immeuble et les familles en difficulté qui y ont trouvé un endroit sûr et nous recourrons évidemment en appel. Il s’agit du premier cas où, pour une occupation qui remonte, qui plus est à deux décennies, on en arrive à des condamnations de plus de deux ans impliquant même des familles en situation d’urgence qui avaient trouvé un toit en Casapound. Cela démontre, une fois de plus, de quel côté sont ceux qui combattent depuis des années un système pourri et qui, de l’autre, joue au rebelle avec le soutien de la politique et de la magistrature, comme les centres sociaux et l’extrême gauche. Qu’il soit bien clair à tout le monde que nous ne reculons pas d’un mètre ».

Source Breizh info cliquez ici

00:22 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 03 juillet 2023

IL N'Y A PAS PIRES SOURDS QUE CEUX QUI NE VEULENT PAS ENTENDRE

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11:39 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le n°2 de la revue "Omerta" est sorti

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14,90 €, chez votre marchand de journaux

Site Omerta cliquez ici

10:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rétablir la sécurité et organiser la remigration, c'est juste une question de volonté politique.

téléchargement.pngUn communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France :

Si j'étais aujourd'hui à la tête de l'État, je n'hésiterais pas à faire appel à une milice privée, de type Wagner, pour rétablir l'ordre en France avec une impitoyable férocité.

Pour accomplir leur mission sans la moindre entrave juridique, une immunité totale serait accordée à ces mercenaires qui n'auraient ni à se soucier des lois françaises ni des droits de l'homme.

En quelques jours, le pays serait pacifié. En quelques semaines, plusieurs millions d'extra-européens seraient expulsés grâce à la réquisition de la flotte aérienne publique comme privée.

Pour financer tout cela, la suppression de toutes les aides sociales pour les étrangers et les Français de papier serait largement suffisante.

Rétablir la sécurité et organiser la remigration, c'est juste une question de volonté politique.

Site du PdF cliquez ici

10:11 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 02 juillet 2023

ÉMEUTES - MAINTENANT IL FAUT RÉPONDRE PAR LA FORCE

Protéger les Français, rétablir la paix civile, est la seule et unique priorité, et il faut être prêt à l’assumer jusqu’au bout.  Sans avoir la main qui tremble, et sans baisser les yeux devant les caïds qui utilisent un prétexte pour mettre le pays à feu et à sang.

À situation exceptionnelle, mesures d’exception.

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Source : Tatiana Ventôse

23:20 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Expiation

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Bernard Plouvier

Les émeutes raciales qui agrémentent la vie des Français de souche européenne depuis plus de trente ans ne sont qu’une expiation d’à peu près 50 années d’une lâcheté qui confine au crime contre la Nation - le seul crime irrémissible, n’en déplaise aux théologiens, ces gens qui osent faire parler une ou des divinités !

50 années, cela nous ramène au règne désastreux de Valéry Giscard de notre destin. Le 17 janvier 1975, la Loi Veil dépénalise l’avortement non-thérapeutique et promeut ainsi le droit à l’avortement de complaisance. En pratique, seules des femmes de souche européenne – en plus de quelques prostituées exotiques – y ont recours, privant ainsi la France d’environ 225 000 enfants de souche européenne chaque année.

Le complément naturel de cette loi dévastatrice, édicté pour stimuler la consommation intérieure, fut le Décret du 29 avril 1976 (Giscard–Chirac) instaurant le regroupement familial pour les travailleurs immigrés. Les conditions légales pour en bénéficier furent très vite dépassées, oubliées !

Et ce fut une arrivée massive d’Africains, noirs et maghrébins, suivis de Proche-Orientaux, puis d’Afghans, Tchétchènes et autres ressortissants de pays où la culture du pavot est une institution nationale, tandis que la culture du cannabis et la consommation du Haschisch suivent fidèlement les progrès de l’extension de l’islam – c’est une notion bien connue des historiens.

De 1981 à nos jours, les merveilleux électeurs français n’ont jamais cessé de d’attribuer les apparences du pouvoir aux partisans de l’immigration massive, en dépit de ses nuisances (années 1980-90), puis de ses crimes (viols massifs, émeutes raciales, attentats terroristes et assassinats racistes) qui font notre quotidien joyeux au XXIe siècle.

Le Président perpétuel, interchangeable car obéissant aux mêmes ordres issus des globalo-mondialistes, Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande-Macron poursuit la noble œuvre giscardienne : immigration massive ; destruction systématique de l’industrie, « délocalisée » ; disparition des infrastructures publiques, sauf dans les grandes villes où les émeutiers détruisent ad libitum, ce qui exige une reconstruction permanente, d’où une absence de crédit pour les campagnes et les petites villes encore calmes car peu envahies de voyous.

Et nos prostitués de la politique et des media en rajoutent sur la repentance, alors que les soi-disant « bavures policières » sont toujours réactionnelles aux ignominies comportementales des voyous de l’immigration et des voyous gaucho-fils-à-papa friqués.

La prostitution de nos chefs n’est que le reflet du crétinisme de l’électorat. 40% des électeurs ne vont plus voter, dégoûtés de la nullité, de la démagogie, de la corruption du personnel qui fait semblant de diriger la Ripoublique depuis le départ gaullien en 1969… de ce fait, De Gaulle passe pour un grand homme, alors qu’il était surtout un géant de la mégalomanie. On partage l’écœurement de ces Français ; on comprend moins leur passivité, qui est une complicité de crime contre la Nation.    

Environ 35% d’électeurs lobotomisés suffisent à placer à la tête de l’État les petits génies qui font semblant de nous gouverner avec le soutien du bourrage de crânes des prostitués fort bien payés des media-menteurs.

Les 25% restant – d’ailleurs incapables de se regrouper derrière un vrai chef honnête et droit – sont diabolisés. Ce sont les « Fâchos » indispensables à la propagande des pourris qui manipulent les crétins, pendant que la racaille ravage notre pays.

En définitive, les Français n’ont que ce qu’ils méritent : corruption et incapacité « en haut », sauvagerie importée sans qu’aucun avis n’ait été demandé au Peuple Souverain, et pleurs imbéciles « en bas ». Le Président-perpétuel attend que les envahisseurs naturalisés soient en nombre suffisant pour décider d’un referendum sur l’immigration extra-européenne !

Les Français de souche européenne expient leur crime contre la Nation française. Leurs descendants se révolteront ou seront esclaves.          

22:19 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 01 juillet 2023

SONT-ILS LÂCHES LES COMMERCANTS, CRAINTIFS, OU ONT-ILS, EUX, CONTRAIREMENT AUX VOYOUS, PEUR DE LA LOI ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Je suis atterré de voir des commerçants, restaurateurs et autres boutiquiers, se lamenter devant les saccages de leurs biens.

Que ne se sont-ils ligués, solidairement, côte à côte dans les centres commerciaux, dans les rues du même tabac, pour attendre les émeutiers, gourdin et puissant aérosol de défense à la main, avec des pancartes d’avertissement du genre, « le premier qui entre ne sortira pas debout » ? Quand les braves gens deviennent des gens braves, les bandits reculent. La légitime défense a un sens !

Face au grand nombre de « bavures », la « justice » ne pourrait pas instruire dix, cent, mille affaires !

Il parait que dans un État de droit, on ne peut pas faire justice soi-même. Soit. Mais justement, où est le respect du droit, notamment du droit de propriété dans cette violente situation ? Faire confiance à la « justice » ? Elle est partiellement livrée au Syndicat gauchiste de la magistrature, qui préfèrera toujours le coupable à la victime, l’ouvrier au patron, l’immigré à l’autochtone. Et puis, pour beaucoup des émeutiers, l’excuse de minorité est là. Ils ont déjà quitté les commissariats pour rentrer chez eux. La  canaille, dont certains de ses membres sont d’origine étrangère, « issue de » – même si, ici ou là, quelques « Gaulois » sont allés aussi à la « dépouille » - est, hélas, IRRECUPÉRABLE.

C’est là le résultat de 50 années de lâcheté et d’abandon. Nous avons - nous, ceux du FN et membres de  mouvements parallèles ou identiques - crié dans le désert sous l’opprobre de certains de nos concitoyens, et les insultes des médias pourris : nous avons eu le tort d’avoir raison trop tôt. Les évènements actuels, sur le sujet de l’immigration, donnent totalement raison à Jean-Marie Le Pen. Trop tard, le cancer est là, quasiment inguérissable sauf CHIRURGIE !

Hélas, je ne vois guère de monde capable de prendre le bistouri avec fermeté et détermination. Il faudrait bien pourtant en passer par là si nous voulons sauver l’essentiel : pas le pouvoir d’achat, pas l’âge de départ à la retraite, pas la semaine des quatre jours, pas le télétravail, pas les horaires flexibles, pas l’intéressement, non, tout simplement la France… française !

16:58 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'actu vue par Ignace :

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Les albums de dessins d'Ignace cliquez ici

14:12 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nuits chagrines… nuits d’émeutes

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Le billet de Patrick Parment

La presse frémit, nos politiques s’indignent, le président s’interroge et demande à ses ministres de lui offrir des solutions. Les flics, contraints et ficelés par des lois encadrant leurs actions n’osent même plus se défendre au risque de passer pour des tueurs. Et la justice aux mains de certains magistrats « politiques » prend la défense des agresseurs plus sûrement que celle des policiers. La lâcheté de nos politiques gangrène depuis des décennies la société française, tant ceux-ci se refusent de voir la réalité en face. De gauche comme de droite. Le seul à avoir dénoncer cette atmosphère délétère, c’est Jean-Marie Le Pen. Mais que vaut la parole d’un soi-disant « facho » ? L’autre raison que l’on cache soigneusement sous le tapis, c’est l’école. Depuis que la gauche n’a eu de cesse de déconstruire le roman national, depuis que nos ancêtres ne sont plus les Gaulois, il y a errance en la demeure et le petit écolier ne sait plus à quoi il appartient, d’où il vient et pourquoi défendre ce bout de terre où il use ses baskets. Alors, vous comprendrez pourquoi, ce n’est pas à l’école que le petit Maghrébin va apprendre l’amour de sa patrie d’adoption. Ni pourquoi il irait se fondre dans une République qui ne correspond en rien aux enseignements du coran. D’ailleurs, c’est ce que ne cesse de lui rappeler son imam à l’école coranique. Et ceux qui fréquentent les écoles catholiques n’en savent pas plus non plus. Et pour cause, elle se doit d’accueillir toute la misère du monde.

Tout ce fatras aboutit au final à ce que la rue devienne un lieu d’expression d’on ne sait quoi ? Des gamins qui se défoulent, parce que c’est quand même plus marrant que l’école et la cité quand ils ne font pas le guet pour leurs frères dealers de drogue. Parce que la France est à leur yeux un no man’s land autant qu’une vache à lait grâce à des lois et des aides qui leur permettent de revendiquer des droits qu’ils n’auraient pas dans leur pays d’origine. Combien vivent de ces allocations diverses et variées ? Une majorité eu égard à ceux qui travaillent réellement. On a même assisté au spectacle de ces élus de droite qui refusent la régularisation de sans-papiers qui bossent au noir chez les esclavagistes du bâtiment ou de la restauration. Et le Medef d’applaudir. Quand nos politiques valident la planète des singes, il est normal que le singe se rebiffe. Les responsables de ces événements ce sont bien nos politiques. Les émeutiers n’en sont que la conséquence. On se demande bien comment politiques et gouvernants confondus vont sortir de ce merdier dans lequel ils se sont fourrés ! Car le nombre de forces de l’ordre dans la rue n’y changera rien. Et comme d’habitude, ce sont les « gilets jaunes » qui paieront l’addition.

07:21 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |