samedi, 31 août 2024
Chemin de croix
Gaëtan de Capèle
Cela fait maintenant quarante-six jours qu’Emmanuel Macron est à la recherche d’un mouton à cinq pattes pour Matignon. Un extraterrestre qui mènerait une politique à la fois de droite - mais point trop - et de gauche - point trop non plus - pour espérer coaliser un bloc central jusqu’ici introuvable. Et dont la première priorité serait d’établir un budget pour l’an prochain. Souhaitons-lui bon courage ! Alors qu’il ne reste que quelques jours pour boucler cet exercice, aux dernières nouvelles, la situation, déjà critique, ne fait qu’empirer : les recettes attendues ne sont pas au rendez-vous et les dépenses des collectivités territoriales s’envolent. Résultat, l’objectif de ramener le déficit de 5,5 % du PIB à 5,1 % - chiffres déjà cauchemardesques - ne sera pas atteint.
Ce grand dérapage devrait faire dresser les cheveux sur la tête de n’importe quel parlementaire soucieux des finances publiques. L’Assemblée nationale - particulièrement celle dernièrement élue - compte, hélas, davantage de démagogues que de représentants de cette espèce en voie de dis- parition. Voilà bien le cœur du problème : comment réunir une majorité en prônant, si ce n’est la rigueur, ce faux épouvantail dont nous avons depuis longtemps perdu le sens, du moins un peu de sérieux budgétaire ? Par quel miracle trouver avec un Parlement en mille morceaux les économies que l’on a échoué à faire avec une troupe en ordre de marche? Lorsque neuf députés sur dix préconisent de nouvelles dépenses (augmentation du smic, embauche de fonctionnaires, remise en cause de la réforme des retraites...), ce n’est plus une discussion budgétaire qui s’annonce, c’est un chemin de croix.
Depuis plusieurs années, la France, quoique gérée en dépit du bon sens, bénéficie d’une grande clémence. Promettant beaucoup avant de s’asseoir systématiquement sur ses engagements, elle n’a jamais eu à subir les foudres de Bruxelles ni des marchés. Mais cela, c’était avant que la dérive de ses comptes atteigne à ce point la cote d’alerte. Et avant que le désordre politique qui s’installe donne la dangereuse impression d’un pays en train de se paralyser tout seul.
Source : Le Figaro 31/8/2024
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vendredi, 30 août 2024
Comme chaque année, Synthèse nationale sera présente aux Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil (86)
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18:57 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 29 août 2024
Jean-Claude Nadot, figure des milieux nationalistes parisiens, nous a quitté
C’est avec une grande tristesse que nous apprenons le décès de Jean-Claude Nadot, fidèle camarade parisien de la cause nationale. Il était né le 20 août 1939 et s’en est allé le 27 août 2024, à 85 ans,
Jeune appelé du contingent en Algérie, il servit dans le service de santé des Troupes de Marine. De retour à Paris, il entra dans la banque où il fit une belle carrière,. Il soutiendra toute sa vie les associations patriotiques et partis nationalistes, il fut régulièrement candidat du Front national à l’époque où il n’y avait rien à gagner à part des ennuis.
Ce bon vivant, célibataire, toujours d’humeur égale, était particulièrement généreux. Il était une figure du milieu nationaliste parisien apprécié aussi pour ses invitations à des repas pantagruéliques.
Il avait à cœur de faire partager ses opinions politiques radicales et ses goûts pour le cinéma, Toujours en costume cravate, il était incollable sur l’histoire politique et avait une mémoire infaillible concernant les noms et les alliances familiales, Il a été de toutes les manifestations, meetings et congrès. Il ne manquait jamais une Journée Bleu-Blanc-Rouge de Synthèse nationale...
Nous nous retrouverons, Cher Jean-Claude, aux Alyscamps, au Paradis ou au Valhalla pour raconter des souvenirs de vieux fachos...
B C A
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Le pire n’est jamais certain… la preuve en BD !
La chronique de Philippe Randa
Ayant acquis un lot de bandes dessinées chez un brocanteur pour une exorbitante somme de 50 euros pour 33 albums, choisis d’un (très) rapide coup d’œil, je pensais qu’il y aurait beaucoup de « très moyen » sinon du « pas terrible » en espérant, on ne sait jamais, acquérir une ou deux pépite(s), des fois que…
L’une de ses BD est intitulée La voyageuse de petite ceinture (Ed. Dargaud, 1986) ; j’y découvre dès la deuxième page cette phrase en exergue : « Par des images enthousiasmantes, nous voulons affirmer une France arc-en-ciel » et c’est signé « Frida, Candida et Barbara, “rouleuses” de l’antiracisme »… Oups !
J’ai donc décroché le gros lot d’une belle histoire qui ne va pas du tout, du tout, du tout me plaire, mais bon ! quitte à boire la cigüe de la propagande mondialisante et repantante jusqu’à la lie, je me console avec le prix de mon acquisition qui atténue tout de même mon épreuve !
Surprise ! De pages en pages, cette épreuve non seulement ne survient pas et au contraire, d’étonnements en surprises, je découvre sinon tout le contraire de ce à quoi je me suis attendu, du moins une vision très réaliste – et honnête – de la société française des années 80 du siècle dernier… telle que je l’ai connue.
Et où tous les protagonistes mis en scène, qu’ils soient européens, africains ou nord-africains en prennent pour leur grade ! Sans distinction ! Il ne faut donc jamais jurer de rien… et ne pas se fier aux apparences, le pire n’étant jamais certain.
L’histoire est celle de Naïma, une vagabonde d’origine nord-africaine, en rupture familiale, vivant d’expédients dans et autour du réseau ferroviaire de l’ancienne petite ceinture parisienne. Elle rêve tout éveillée d’une autre vie, forcément merveilleuse : celle d’être une princesse aimée et admirée de la Belle Époque avec « étole d’Astrakan et aussi un manchon »… Mais elle n’est « que » fille d’immigrés, honnêtes et travailleurs avec un grand frère prêt à sombrer dans la délinquance et un petit frère qu’elle veut et doit protéger des mauvaises fréquentations.
Son grand frère ? Mal lui en pris d’être retourné au bled où, la nuit de son arrivée, ses cousins lui ont fait son sac pour lui piquer son walk-man, ses santiags, son cuir, etc., tandis que son tonton, « un vrai sauvage qui se croit toujours dans l’armée de libération », lui a clairement signifié sa conception de la place de la femme dans la société : « Tout juste s’il (lui) a pas déchargé son flingot dans les tripes parce qu’(il) avait emmené la petite Yasmina au ciné »… et de conclure, désabusé : « Y sont vraiment pas comme nous… » (Le Pen ! Zemmour ! sortez de ce corps !)
Quant à Saïd, avec lequel ce fut « la première fois », il avait beau se faire appeler Dave (« Dave ! J’vous demande un peu, avec sa tronche !), la mère de Naïma « se méfiait de son mauvais genre » et son père l’avait jugé au premier et sûr coup d’œil : « Un bon à rien, qu’ce serait jamais un ouvrier qualifié », c’est-à-dire comme lui, ce dont il était fier ! Autre temps, autre dignité que celle procurée par « France travail » (ex-Pôle emploi, ex-ANPE) de 2024 !
Dave-Saïd alternant comme on s’en doute les séjours en prison et le trafic de stupéfiant, Naïma sera amenée à arracher in extremis son jeune frère des « pattes de cette ordure »…
Même une vagabonde rêveuse d’une vie princesse doit assurer le quotidien et pour cela, pourquoi ne pas faire un don rémunéré de sa jolie personne dans une soirée organisée pour cela. Oui, mais par des garçons qui croient « fort » dans le multiculturalisme (à l’époque, on ne les appelait pas encore « bobos »), surtout lorsque leurs généreuses idées peuvent servir leurs intérêts professionnels auprès de plus riches qu’eux portés sur des aventures aussi galantes qu’exotiques.
L’alcool aidant, notre héroïne ne pourra s’empêcher de rappeller que « les boxons français y-z-ont toujours, été comment vous dîtes ? multiracieux… pas vrai ? », mettant tout le monde mal à l’aise et s’attirant aussitôt la colère d’une grassouillette Africaine qui la traitera, entre autres amabilités, de « sac d’os » et, pour bien faire comprendre à l’assemblée le fond de sa pensée, de « mocheté de bougnoule ». Ambiance !
Naïma ayant quelque peu gâché la soirée, elle quittera les lieux sans problème, au grand dam de son « client » insatisfait hurlant qu’on appelle la police, mais non, impossible « avec la dope qui traîne »… Du beau monde, décidément, comme aurait dit ma grand-mère !
Évidemment, si j’ai été « déçu en bien » avec cette vision de « l’antiracisme » aux antipodes de celle imposée de nos jours – le racisme n’y étant pas dénoncé comme exclusivement européen – d’autres lecteurs n’ont évidemment pas partagés cet avis, jugeant ainsi sur internet qu’il « manque également de bonnes idées pour faire avancer l’ensemble. »
On imagine de quelles « bonnes idées » on parle… celles qu’on peut aisément trouver du côté de La France insoumise, à n’en pas douter.
Ah ! signalons également que les personnages les plus sympathiques finalement, sont certains employés (tous européens) du chemin de fer croisés ici ou là, s’inquiétant pour la sécurité de Naïma, la recueillant après qu’elle se soit évanouie entre les voies, lui offrant de voyager « dans le train de marchandise en partance pour Bercy (même si) c’est pas régulier » et lui offrant de partager « la gamelle qui réchauffe sur le pot d’échappement. »
On ne peut donc que constater, grâce à Pierre Christin et Annie Goetinger, les auteurs de La voyageuse de petite ceinture, que l’antiracisme proclamé en 1986 des « rouleuses » de celui-ci, n’a plus guère de rapports avec celui beuglé en 2024 par les autoproclamés indigènes de la République et leurs complices !
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19:35 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
TUCKER - PAVEL L'interview choc ! Version doublée en français
L'application de médias sociaux Telegram compte plus de 900 millions d'utilisateurs dans le monde. Son fondateur, Pavel Durov, a accordé à Tucker Carlson une rare interview dans ses bureaux de Dubaï.
Traduction : Elo Traduction et Quadrillage Traduction
Doublage Quadrillage Traduction et Quantum Leap Traduction
17:50 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Discours complet de Robert Kennedy Jr. doublé en français
Robert F. Kennedy Jr., candidat indépendant à la présidence des États-Unis, a annoncé qu’il suspendait sa campagne et apportait son soutien à Donald Trump. Cette décision a été révélée lors d’une conférence de presse, où Kennedy a critiqué le Parti démocrate, citant des préoccupations concernant la liberté d’expression et la guerre en Ukraine comme raisons de son soutien à Trump.
Kennedy a précisé que son nom resterait sur les bulletins de vote dans de nombreux États, mais qu’il se retirerait des bulletins dans environ dix États clés où sa candidature pourrait influencer le résultat. Il a également noté qu’il n’avait plus de « chemin réaliste vers la victoire » en raison de ce qu’il appelle une « censure systématique » dans le paysage politique américain.
Sa décision a été accueillie avec des réactions mitigées de la part de certains membres de sa famille, qui ont exprimé leur désaccord avec son choix de soutenir Trump. Mais Kennedy ne s’en est pas laissé compter et a expliqué dans un discours émouvant les raisons de sa décision, prise après une longue prière et un recueillement intérieur.
17:33 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 28 août 2024
Il y a 83 ans, la mort sacrificielle d’Honoré d’Estienne d’Orves
Didier Lecerf
Le 29 août 1941, le capitaine de frégate Honoré d’Estienne d’Orves, 40 ans, père de cinq enfants, était fusillé au Mont-Valérien, avec deux autres membres du réseau Nemrod, Maurice Barlier et Jan Doornik. Ses deux compagnons et lui-même tombèrent sans haine, en pardonnant à leurs bourreaux.
Issu d’une famille profondément catholique, de sensibilité royaliste légitimiste, acquise aux idées, aux actions du catholicisme social ; descendant des généraux vendéens d’Autichamp et Suzannet qui combattirent jusqu’au bout pour "Dieu et le Roi" ; filleul du commandant Driant, le gendre du général Boulanger et héros du bois des Caures en février 1916, Honoré d’Estienne d’Orves peut être rattaché à la droite nationale, monarchiste, catholique et sociale.
Dans le chaos de 1940, à l’heure où, comme l’a souligné Pierre Nora, « l’occupation (força) les hommes à choisir explicitement leur allégeance », cet officier de la Royale, comme beaucoup de ses camarades, fit son choix. Les valeurs transmises par les siens, sa foi chrétienne, sa conception de l’honneur, son amour de la patrie l’amenèrent, malgré la sanglante attaque britannique contre Mers-el-Kébir, à opter pour la poursuite de la lutte sous les couleurs françaises au côté des Anglais, dans les rangs gaullistes. Pour « la libération intégrale » du pays et le maintien de « l’intégralité de l’Empire français ».
Pour autant, il ne retira pas son respect au Maréchal Pétain et ne voua pas aux gémonies ceux qui, au même moment, firent un autre choix que le sien (parmi lesquels plusieurs de ses amis, dont Paul Fontaine, directeur du cabinet de l’amiral Darlan ou Bertrand de Saussine du Pont de Gault, mort en novembre 1940 à bord de son sous-marin, au large du Gabon, après avoir tenté de couler un aviso anglais )…
Complexité et ambiguïtés de l’époque…
« Que personne ne songe à me venger. Je ne désire que la paix dans la grandeur retrouvée de la France. Dites bien à tous que je meurs pour elle, pour sa liberté entière, et que j’espère que mon sacrifice lui servira. »
Honoré d’Estienne d’Orves, 28 août 1941.
Pour commander le Cahier d'Histoire du nationalisme (n°18) consacré à Honoré d'Estienne d'Orves cliquez ici
20:53 Publié dans Didier Lecerf, Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Michel Festivi présente son nouveau livre, La désinformation autour du Parti communiste "français", sur TV Libertés
L’Histoire du PC "F" ne fut que constructions de mensonges, trahisons, mystifications, complicités avec les pires totalitarismes, au nom "des lendemains qui chantent".
Dans son ouvrage "La désinformation autour du Parti communiste "français"", Michel Festivi, avocat honoraire, revient sur la non résistance des communistes "français" jusqu’au 22 juin 1941, expose la nature totalitaire bolchevique du PC "F", son emprise sur ses militants, ses listes noires, la liquidation de ses opposants, l’escroquerie historique du Parti des "75 000 fusillés".
Sont décrits les liens organiques et financiers du PC "F" avec la IIIème Internationale et l’URSS jusqu’en 1991, l’aveuglement toujours existant des dirigeants français pour les pires régimes et tyrans : Lénine, Staline, Mao, Castro, Pol Pot, Kim.
L’auteur plaide enfin sur la nécessité d’un Nuremberg du communisme pour arrêter de falsifier l’histoire. Un ouvrage qui relie en permanence l’histoire et l’actualité du PC "F", qui est toujours "une passion française".
TV Libertés
Pour commander ce livre cliquez ici
18:03 Publié dans Michel Festivi, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 6 octobre, en Vendée : rentrée militante du Rassemblement vendéen
Rassemblement vendéen cliquez ici
17:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Du coup de blues macronien au retour des Jacobins
Bernard Plouvier
En aucun cas, le mot « jacobinisme » n’est synonyme de centralisation. Celle-ci fut d’origine monarchique, enclenchée en France à la jonction des XIIIe et XIVe siècles par Philippe IV Le Bel (Homme) et son équipe, poursuivie jusqu’à la fin du règne désastreux du colossal mollasson Louis XVI, qui a, par sa faiblesse et sa profonde nullité, largement mérité son sort : il n’était pas fait pour être roi, mais pour être un merveilleux artisan, bon époux et tendre père de famille.
Le jacobinisme est la doctrine parlementaire, née en 1791, qui faisait des élus du domaine législatif les surveillants, voire les maîtres de l’Exécutif, en une époque où la Constitution donnait au roi des Français le droit de nommer les ministres, qui étaient des techniciens et non des politiciens.
De façon tout-à-fait abusive, les IIIe et IVe Républiques – que le millier de petits rois élus transforma trop souvent en Ripoubliques inefficaces et corrompues – furent fondées sur le principe jacobin qui permettait à tout élu, à condition d’être fortement soutenu par un groupe d’influence ou un relais médiatique, de devenir ministre un jour ou l’autre. Et pour qu’un maximum de ces augustes personnages influents puisse jouer aux excellences d’un semestre, il fallait organiser la foire connue sous l’expression : instabilité gouvernementale.
Pour le malheur des deux tiers des Français – un tiers d’abstentionnistes par mépris de la racaille politicienne et un tiers d’opposants à Sa Seigneurie -, le sieur Emmanuel Macron fut élu Jeunot Ier en 2017. Sa prestation ayant été lamentable, on pensait en finir très vite avec lui, quand un virus très peu meurtrier – sauf dans la propagande intéressée des fabricants de vaccins bizarres – lui permit de retrouver une assise. En 2022, il put jouer Macron-II, Le Retour, grâce à un discours « Je vous ai sauvés », très prisé des retraités, aimant beaucoup le plus jeune de nos Présidents.
Pourtant, ce discours ressemblait un peu trop à celui de 1958 : « Je vous ai compris », qui fut à l’origine d’un état de guerre civile. Macron recommença à faire peu et très mal, car il est difficile d’œuvrer pour une Nation, quand l’on est arrivé aux apparences du pouvoir grâce au soutien de la finance cosmopolite et de quelques très grosses multinationales. Macron-II, ce fut la négation de l’immigration-invasion et de l’insécurité publique. Et tout naturellement, le Président archi-détesté d’une majorité de Français prit 3 raclées électorales en juin-juillet 2024, suivies d’un coup de fatigue.
Car le désastre des élections européennes (en juin) avait déterminé une réaction de colère d’un individu émotionnellement immature. Le brillant énarque, très mal éduqué – il avait déclaré publiquement qu’il « avait envie d’emmerder les Français », du moins ceux qui ne vénéraient pas ses immenses qualités -, cassa son jouet (une petite majorité à la Chambre) et en appela à un électorat… qui, pourtant à l’évidence, le haïssait à hauteur des trois-quarts. Les deux baffes supplémentaires de juin-juillet désarçonnèrent Sa Suffisance, qui tenta d’amuser la galerie grâce à une présence très médiatisée aux Jeux Olympiques. Hélas, les problèmes non résolus ne s’effacèrent pas : aucun coup de baguette magique n’avait agi.
Bien au contraire, l’abominable Mélenchon – le grand vaincu des législatives : allez consulter le nombre d’élus de son petit groupe en le comparant à celui de la précédente législature – et ses très arrogantes pom-pom girls réclamèrent le pouvoir, tout le pouvoir, pour leur soi-disant Nouveau Front Populacier, qui n’avait fait que rééditer la supercherie de 1936 : en cas d’alliance républicaine des partis du centre et de gauche, ce sont les plus gueulards, les plus démagogues qui l’emportent.
Le résultat final des législatives n’a démontré qu’une chose : le caractère anti-démocratique du scrutin d’arrondissement qui, en l’occurrence, a mis en place une Assemblée qui ne peut dégager de majorité stable de gouvernement, mais peut – pour la première fois depuis 1958 – jouer à l’obstruction, à l’immobilisme, et donner libre cours aux querelles de Divas, qui sont l’essence même du jacobinisme.
On avait tort de voir en Emmanuel Macron un dictateur. C’est un « roseau peint en fer » (comme on disait autrefois en terres germaniques), soit un vrai faible qui joue au dur, mais se révèle désemparé lorsque les concurrents ne veulent plus accepter de jouer selon ses règles. Pour la première fois depuis l’instauration de la Ve République, l’Exécutif de la France est à l’encan. Et l’on assiste au déchaînement d’arrogance et de capacité de nuire des mille petits rois de nos deux assemblées.
Si par bonheur, E. Macron démissionnait, il faudrait sauter sur l’occasion pour élire un vrai chef d’État et réformer une Constitution qui n’est fonctionnelle qu’avec d’authentiques hommes de gouvernement – à défaut d’hommes d’État qui sont des exceptions - et qui n’offre pas assez d’indépendance au Pouvoir Judiciaire, d’où doit être bannie l’influence du demi-monde de la politique, des sectes et des syndicats. Le Législatif est là pour voter ou repousser des projets de loi. C’est à l’Exécutif de gouverner.
Il faut cesser le mélange des genres et en revenir aux fondamentaux, qui sont immuables et ne dépendent absolument pas du type de régime. Toutes les institutions sont bonnes si elles sont adaptées à ce qu’il y a de mieux chez l’homme ; toutes sont mauvaises lorsqu’elles laissent libre cours au malsain, au grotesque et au malhonnête.
16:13 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’Espagne submergée par une arrivée massive de migrants
Míchel Festivi
16:09 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Arrivée de Thaïs d'Escufon dans l'émission de Cyril Hanouna sur Europe 1
La réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :
L'arrivée de Thaïs d'Escufon dans l'émission de Cyril Hanouna sur Europe 1 est une excellente nouvelle. Contrairement à beaucoup d'autres, la jeune femme n'a jamais adouci son discours identitaire plutôt radical. Saluons tout ce qui va dans le bon sens !
10:28 Publié dans Communiqués de presse, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 27 août 2024
2 heures d’interrogatoire pour Pierre Cassen : merci aux députés LFI Kerbrat et Amiot
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17:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sur le site Terre & peuple : un bel article sur le Cahier d'Histoire du nationalisme consacré aux identitaires blancs américains
Jean-Paul Lorrain
Rémi Tremblay est un militant patriote québécois qui fait partie de la direction du magazine identitaire Le Harfang.
Il est bien connu des Editions de Synthèse nationale, puisqu’auteur de deux Cahiers d’Histoire du nationalisme : « Adrien Arcand, le fascisme canadien » et « Oswald Mosley, l’Union Fasciste Britannique ».
Il vient de récidiver toujours dans le cadre des Cahiers d’Histoire du nationalisme sur le thème de la mouvance identitaire blanche aux Etats-Unis.
Pourquoi cette histoire ? Tout d’abord, parce que peu de livres en français ou en anglais traitent d’une façon globale ce sujet.
D’autre part, Rémi Tremblay est allé aux sources premières « ce qui m’était facilité par mon réseau de contacts et par le fait que j’habite moi-même en Amérique du Nord, tout près du pays étudié. »
Ainsi, Rémi Tremblay a pu dépouiller une énorme documentation, manifestes, œuvres de fiction et des milliers de pages de revues et journaux. Il a pu également consulter les rapports du Federal Bureau of Investigation (FBI) et ceux de la police.
Il a aussi pris contact avec un grand nombre de participants directs qui ont accepté de se confier et de l’orienter vers de nouvelles sources peu connues.
Ce travail exceptionnel fera l’objet de trois volumes. Le premier est déjà paru. Après une introduction explicative du sujet, ce tome aborde la période débutant avec l’indépendance américaine et se termine avec la fin de la seconde guerre mondiale qui ouvrit la porte à la déségrégation. Ce tome, bien sûr, consacre un dossier au K.K.K.
Les tomes deux et trois, non parus, traiteront la période allant de 45 à nos jours, de façon thématique.
Plus précisément, le tome deux évoquera les mouvements blancs ayant une approche plus traditionnaliste, selon laquelle la défense de la race se combinait avec des préoccupations pour la constitution, la religion ou la liberté.
Le tome trois traitera des groupes pour lesquels la position racialiste se mariait à une approche révolutionnaire.
Ce travail inégalé sera vraisemblablement LA référence sur la mouvance identitaire blanche aux Etats-Unis. A ne pas manquer !
Source cliquez là
Pour commander Synthèse nationale : Collection Les Cahiers d’Histoire du nationalisme N°25 - 190 pages 24,00 € (+ 6,00 € de port) cliquez ici
17:04 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 26 août 2024
Une rentrée politique rocambolesque
Le billet de Patrick Parment
« La droite française a pu, par le passé, se diviser, décevoir et échouer : arrêtons de nous diviser, reconnaissons nos erreurs et rebâtissons de fond en comble une nouvelle droite », ainsi parlait Laurent Wauquiez en escaladant le mont Mezenc, histoire de se la jouer façon Mitterrand. Pour ce qui le concerne, ce serait plutôt Sisyphe devant à chaque fois remettre sur le tapis le souhait d’une grande formation de droite comme c’était le cas avec les partis gaullistes jusqu’au RPR. Car c’est peu dire que le RPR et le parti socialiste ont fait le lit du Front national et le font encore aujourd’hui avec le Rassemblement national. Sauf que d’année en année, le RN est devenu le premier parti de France et pèse plus de 20% de l’électorat, voire plus. Or, cette réalité, la gauche comme ce qui reste de la droite dite républicaine, se refusent de la voir et continue de diaboliser et d’exclure de toutes les instances politiques cette majorité de Français. Bel exemple de démocratie au pays des soi-disant droits de l’homme. On n’est pas en dictature – quoique et de manière déguisée -, mais nos politiques torturent à souhait la Constitution comme le droit pour empêcher le RN d’avoir accès aux prérogatives auxquelles il a droit. Une situation pour le moins unique en Europe que se gardent bien de dénoncer nos partenaires.
Raison pour laquelle Laurent Wauquiez prête à sourire car l’équation n’a pas changé : sans les voix du RN, pas d’accès au pouvoir. Le choix d’Eric Ciotti était le bon, sauf qu’il l’a fait pour sauver sa peau. Le premier obstacle pour Wauquiez est que son parti est un compromis entre un centre et une droite qui a peur de son ombre avec en arrière-plan la puissance des lobbies, notamment le Crif et les francs-macs. Non que les Juifs aient peur du RN, loin s’en faut, mais il s’en servent comme repoussoir au sein de la communauté. Car voici belle lurette, à l’exception de quelques radicaux très isolés, que l’antisémitisme a déserté les rives de ce que l’on appelle l’extrême droite, celle-ci ayant compris depuis longtemps que c’était un combat perdu d’avance. Ce qui n’est pas le cas à gauche avec les factions pro-palestinienne, Jean-Luc Mélenchon en tête.
Pour ce qui est des francs-maçons, leur vision très mondialiste refuse toute approche identitaire au même titre que leur anticléricalisme bien souvent radical. Mais, au même titre que les homosexuels, ils forment un groupe de pression qui transcende la gauche comme la droite, ce qui explique en grande partie la pauvreté – mieux la médiocrité -, du débat politique en France. Ce n’est pas un hasard si les vrais intellectuels, dits de gauche, ont déserté les rives depuis belle lurette. Je pense notamment à Régis Debray ou Michel Onfray.
Voici ce à quoi se heurte ce brave Laurent Wauquiez : la quadrature du cercle. Il n’en sortira pas, faute de courage tant politique qu’intellectuel. Le paysage politique est pour le moins singulier, il n’y a personne. Et le paradoxe de cette affaire est que face à une France électorale fortement portée à droite, Jeanne d’Arc est aux abonnés absents. Le Rassemblement national n’est pas en mesure de gouverner. Pas plus que la gauche en général, fortement brouillée avec l’économie – elle a pour habitude de vider les caisses -, et une droite qui n’a aucun programme et surtout aucune vision, condamnée qu’elle est d’être à la traîne du patronat et donc du mondialisme. Si la nature a horreur du vide, le chaos n’est pas un état fait pour durer. Aussi la question que l’on se pose est : que va-t-il sortir de ce chaos ?
13:10 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 25 août 2024
L’Allemagne : entre attaque islamiste, montée de l’AFD et censure politique
Michel Festivi
Le 23 août dernier dans la ville de Solingen, à l’Ouest du pays, lors de festivités locales placées « sous le signe de la diversité (sic) », un individu d’origine syrienne a perpétré une attaque au couteau qui a fait au moment où j’écris cet article, 3 morts, 8 blessés dont 5 graves, cet attentat aurait été revendiqué par l’État islamique. Aussitôt la seule réponse de la classe politique fut « l’indignation » comme à l’accoutumée. Le seul débat ouvert serait l’interdiction du port de couteaux dans l’espace public, comme si cela allait changer quelque chose, vis-à-vis de terroristes islamistes décidés et implacables. Mais aucun parti du système n’a envisagé que le problème se situait peut-être au niveau de l’immigration massive, débridée et totalement incontrôlée. Déjà, le 2 juin dernier un jeune policier de 29 ans avait été mortellement poignardé par un afghan à Mannheim.
Aujourd’hui, la classe politique des partis traditionnels est en émoi, que ce soit le SPD, les verts, les libéraux du FDP ou la CDU. En émoi non pas à cause de cette nouvelle tragédie, mais parce qu’ils craignent une victoire de l’AFD dans les Länders qui vont élire leurs députés en septembre. Car le 9 juin dernier, l’AFD avait enregistré le meilleur résultat national de son histoire avec 15,9% des voix et 15 députés européens. Trois Länders de l’Est du pays, le 1er septembre en Thuringe et en Saxe, le 22 septembre dans le Brandebourg vont renouveler leurs parlements régionaux.
Or, tous les sondages, même s’il faut s’en méfier, donne l’AFD en tête. Un autre parti dénoncé comme « populiste », mais d’extrême gauche obtiendrait aussi de très bons résultats. Il s’agit du mouvement BSW, issu d’une scission avec le parti Die Linke, ce BSW serait crédité de 11 à 19 % des voix. L’AFD serait créditée de 30% des suffrages. Dès lors, pour les partis mainstream, - ceux qui se succèdent au pouvoir en se passant la rhubarbe et le séné -, cette attaque islamiste tombe au plus mauvais moment. Ce parti BSW, que l’on traduit en français sous les termes : « Pour la raison et la justice », a été crée en début d’année par Sarah Wagenknecht. Son programme pour faire court est très à gauche économiquement et très à droite politiquement, critiquant une immigration incontrôlée, elle s’oppose aussi grandement, tout comme l’AFD, a tout envoi d’armes en Ukraine.
Nous verrons bien dans quelques jours, ce que donnera le résultat des urnes, car en Allemagne, toutes les élections se jouent sur un seul tour, ce qui évite les fraudes et les manipulations comme en France. En tout cas l’Allemagne, tout comme la France, est soumise à une censure politique généralisée et à un abaissement considérable des libertés publiques fondamentales. Le 14 avril dernier, un chef de l’AFD en Thuringe, Björn Höcke, a été condamné à 13 000 euros d’amende par un tribunal régional de Halle-sur-Saale, pour soi-disant avoir utilisé un slogan nazi. Fichtre : avait-il levé le bras ou crié « Heil Hitler » ? Que nenni ! il avait tout simplement, en 2021, lors d’un discours déclaré « Tout pour notre patrie, tout pour la Saxe-Anhalt, tout pour l’Allemagne ! ». Or les lois allemandes sur la dénazification (à quand la décommunisation ?), interdisent la reprise de slogans imaginés comme étant d’origines nationaux-socialistes. Figurez-vous, cher lecteur, que « Tout pour l’Allemagne » aurait été le cri ralliement des Sections d’Assaut de Ernst Röhm. J’imagine bien volontiers que déclarer que l’on souhaite tout pour son pays, a été prononcé bien avant les années 1920 et bien après. Mais non, dans l’Allemagne d’aujourd’hui, dire que sa patrie doit passer avant toute chose est strictement verboten et puni pénalement ! Ainsi va la démocratie dans notre pauvre Europe. George Orwell n’avait décidément rien inventé.
19:53 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'ASLA CENSUREE PAR FACEBOOK ET INSTAGRAM ! NOUS VIVONS SOUS LA DICTATURE DE LA PENSEE UNIQUE !
Un communiqué de l'ASLA (Soutien aux lanceurs d'alertes) :
L’ASLA et d’autres personnalités patriotes censurées sur les réseaux sociaux
La société Meta propriétaire de Facebook et Instagram a désactivé hier notre compte ainsi que ceux d’Alice Cordier (Collectif Némésis) du média Occidentis et de Une Bonne Droite de manière totalement arbitraire.
Les GAFAM poursuivent leur travail de censure politique contre les patriotes.
Cette attaque est d’autant plus grave pour notre association qui défend justement la liberté d’expression et vient en aide juridiquement et financièrement aux lanceurs d’alerte.
La liberté d’expression doit être garantie sur les plateformes sociales, d’autant plus dans des périodes d’instabilité politique comme celle que nous traversons.
Nous avons fait appel de cette décision et attendons le retour de Meta*.
Nous nous tenons prêts à engager une procédure judiciaire si la suspension n’est pas levée.
Pour contrer ces censures arbitraires, suivez-nous sur X/Twitter et Telegram.
* Au moment où nous écrivons ces lignes, nous ne savons toujours pas si nous allons récupérer nos comptes Facebook et Instagram.
10:48 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un nouvel âge des ténèbres ou le réveil de l’Occident aveuli ?
Bernard Plouvier
1 - La décadence des vieux peuples civilisés…
Dans son roman Classe 22 (publié en Allemagne en 1928 et en français l’année suivante), l’excellent romancier Ernst Glaeser, ni marxiste, ni national-socialiste, décrivait l’ambiance fin de civilisation régnant dans le Reich en 1918, vaincu par le blocus ennemi et par la révolution judéo-bolchevique davantage que par les victoires militaires alliées : « La classe patricienne meurt. Une nouvelle classe, dont la philosophie de la vie est différente de la nôtre, prend les commandes ».
Cette description est applicable à l’effondrement actuel de la civilisation humaniste en Europe occidentale et scandinave, sous l’assaut d’une invasion extra-européenne massive et de l’islam conquérant, sectaire, intolérant et meurtrier : le nombre d’Européens massacrés au poignard depuis 15 ans – en période de paix, du moins officielle - atteint le chiffre hallucinant de près d’un demi-millier !
À l’œil de l’historien ou du philosophe, un culte s’avère totalitaire s’il exige du fidèle une absolue obéissance au dogme et une soumission aveugle à ses rites et à ses pratiques. Qu’il soit d’inspiration politique – ce fut le cas de la barbarie marxiste - ou d’essence religieuse – l’islam en est un excellent exemple -, le mouvement veut saisir l’homme dans son intégralité : esprit et corps à la fois, voire cette âme, censée représenter une émanation de la divinité.
Quoi qu’on en dise, les deux phénomènes totalitarisme politique et totalitarisme religieux sont de même nature, naissant tous de la perversion de la conscience éthique de l’être humain.
Une théocratie réclame son dû au nom du dieu, présenté comme seul authentique - les autres n’étant que le fruit de l’imagination délirante d’imposteurs. Un totalitarisme politique pose la même exigence au nom d’un idéal social, patriotique ou racial. Et certaines croyances mêlent leur dieu à l’imposition d’un racisme endogamique ou d’un égalitarisme, qui reste toujours théorique, car le haut-clergé et les haut-dignitaires de l’État restent toujours au-dessus des lois : en régime non-démocratique, il existe toujours des gens « plus égaux » que d’autres !
Il n’est rien de nouveau dans tout cela, et depuis la plus haute Antiquité. Généralement, les grands-prêtres d’un culte finissent par adoucir leur sectarisme, en dépit de nombreuses protestations de fanatiques menant un combat d’arrière-garde. Le mouvement accomplit alors une Renaissance humaniste, dans laquelle s’instaure une cohabitation entre fidèles et libres-penseurs, non sans agressions verbales et littéraires, cela va sans dire ! Seules une débâcle économique majeure ou une défaite militaire écrasante peuvent faire disparaître le mouvement.
Le drame de l’Occident des premières décennies du XXIe siècle était prévisible dès les années 1970. Était alors en gestation le réveil d’un islam agressif, conquérant, intolérant et l’implantation de théocraties en pays mahométans. Et tout cela était directement provoqué par la générosité des Occidentaux, payant d’énormes royalties alors qu’ils avaient découvert puis réalisé à grands frais l’exploitation des richesses enfouies depuis des millénaires dans le sous-sol des pays mahométans, que les autochtones avaient été trop arriérés pour les détecter et les commercialiser !
Dans les années 1944-45, Adolf Hitler en avait perçu les prémices, mais ses vainqueurs, occupés à se congratuler de leur victoire et à se partager le monde, ne trouvèrent rien de mieux à faire sur le moment que d’écraser de façon sanglante les indépendantistes – soit les islamistes et leurs inspirateurs marxistes.
00:28 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 24 août 2024
Orange, samedi 7 septembre : université d'ét de Reconquête !
Vous êtes adhérent Reconquête? Alors inscrivez-vous à l’université d’été qui se déroulera le samedi 7 septembre prochain à Orange (84) : cliquez ici
15:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Geadis Geadi : « Cinquante ans plus tard, les Chypriotes aspirent toujours à retrouver leurs maisons ancestrales »
Source Breizh info cliquez ici
Chypre, une île située dans la Méditerranée orientale, a été divisée de facto depuis 1974. Cette année-là, un coup d’État soutenu par la Grèce, visant à rattacher Chypre à la Grèce, a conduit à une intervention militaire de la Turquie. En conséquence, l’île a été divisée en deux : le sud, contrôlé par la République de Chypre (reconnue internationalement), et le nord, sous contrôle turc.
La partie nord de l’île s’est déclarée indépendante en 1983 sous le nom de « République turque de Chypre du Nord » (RTCN). Cependant, cette entité n’est reconnue internationalement que par la Turquie. La majorité de la communauté internationale, y compris l’Union européenne (UE), considère toujours l’ensemble de l’île comme appartenant à la République de Chypre, même si la législation de l’UE est suspendue dans les zones contrôlées par la RTCN .
La division de l’île a des implications politiques et économiques majeures. Les Chypriotes turcs, bien que vivant dans un territoire contrôlé par la RTCN, sont techniquement citoyens de l’UE, puisqu’ils sont également citoyens de la République de Chypre. Cependant, la reconnaissance limitée de la RTCN crée des défis pour les relations internationales et le commerce.
Geadis Geadi est diplômé en sciences politiques de l’Université de Chypre et a été élu député européen pour le Front national populaire (Ethniko Laiko Metopo-ELAM) lors des élections européennes du 9 juin 2024. Notre confrère Álvaro Peñas l’a interviewé, traduction par nos soins, pour comprendre la situation sur place.
Le 20 juillet a marqué le 50e anniversaire de l’agression et de l’invasion turques du nord de l’île. Quelle est la situation à Chypre aujourd’hui ?
Geadis Geadi : Chypre est restée séparée et occupée depuis l’invasion turque de 1974, la République de Chypre, reconnue internationalement, n’étant pas en mesure de contrôler 37 % de son territoire. Mais la Turquie ne s’est pas arrêtée là : en 1983, dans une tentative de légitimer le transfert forcé de population et la sécession illégale, la Turquie a unilatéralement déclaré un pseudo-État appelé « République turque de Chypre du Nord ».
Cette déclaration arbitraire d’indépendance, sur un territoire militairement occupé, dépendant de la Turquie et contrôlé politiquement et économiquement par elle, a été faite en violation du droit international et n’a aucune substance ni reconnaissance.
Depuis lors, quelque 40 000 soldats turcs sont stationnés en permanence dans les territoires occupés, des milliers de Chypriotes vivent en tant que réfugiés sur l’île et ne peuvent pas rentrer chez eux, et des centaines de personnes sont toujours portées disparues. La Turquie refuse de coopérer sur cette question humanitaire cruciale, tandis que les efforts déployés pour modifier le caractère démographique de l’île se poursuivent avec l’envoi de colons turcs.
Cinquante ans plus tard, les Chypriotes aspirent toujours à retourner dans leurs foyers ancestraux, avec une vision de libération.
Le gouvernement Erdogan et sa politique « néo-ottomane » de récupération du passé ottoman ont-ils aggravé les tensions ?
Geadis Geadi : Les politiques « néo-ottomanes » du gouvernement Erdogan, qui mettent l’accent sur un retour à l’influence et au pouvoir ottomans, ont exacerbé les tensions dans la région. Ces politiques comprennent des positions affirmées en Méditerranée orientale, des différends frontaliers maritimes, des positions militaires et des assassinats de civils (1996), ce qui a encore compliqué la situation déjà fragile de Chypre.
La position de la Turquie sur la question chypriote reste intransigeante : en raison de sa position géopolitique, elle veut contrôler entièrement Chypre, ignorant les réalités historiques et démographiques de l’île. Dans les négociations et sur le terrain diplomatique, la Turquie intensifie malheureusement ses exigences afin d’accroître son influence sur l’île par le biais de compromis.
Au contraire, notre camp, depuis des décennies, fait des concessions à tort et adopte les positions turques dans le cadre d’une politique d’apaisement similaire à l’approche de Chamberlain avec Hitler, ce qui alimente l’intransigeance turque. Par exemple, la position actuelle des dirigeants politiques chypriotes, qui soutiennent une fédération bizonale et bicommunautaire, reflète une position turque antérieure.
Outre ce conflit, Chypre a été affectée par la guerre en cours à Gaza. Le Hezbollah a menacé Chypre d’une guerre si elle soutenait Israël et autorisait les avions israéliens à utiliser ses aéroports.
Geadis Geadi : En raison de sa position stratégique, Chypre ressent inévitablement l’impact des conflits régionaux tels que la guerre en cours à Gaza. Les menaces du Hezbollah sont prises au sérieux, car elles contribuent à l’atmosphère déjà volatile de la région. Si nous nous attachons à garantir notre sécurité nationale, nos actions sont guidées par les principes du droit international et par notre engagement en faveur de la stabilité régionale.
11:05 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 23 août 2024
Christian Wirtz, militant de toujours, nous a quitté jeudi
12:19 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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Samei 5 octobre, en Mayenne : Academia christiana fête la Saint-Michel
09:35 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mardi 17 septembre, à Paris : Stéphane Ravier invité du Centre Charlier
09:33 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 22 août 2024
Gueule de bois !
Une fois de plus Natacha Polony, dans son édito de Marianne, met le doigt sur ce qui fait mal : l’indifférence de nos dirigeants et plus encore de ces énarques qui ont pris le contrôle de l’Etat, pour la France rurale et les petites métropoles qui se vides peu à peu de leur sang. Pour nos énarques, il n’existe qu’une seule France, celle du CAC 40. Totalement déculturés, nos gouvernants, ceux d’aujourd’hui comme ceux de demain risquent fort d’avoir à affronter de cruelles désillusions. Du moins on l’espère. Car la France des Gilets jaunes n’est pas morte ;
Lire la suite ICI
Source : Marianne 22/8/2024
11:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 21 août 2024
Jeu de dupes
Jim Jarrassé
C’est un petit théâtre d’ombres chinoises que l’on pourrait trouver distrayant s’il ne déterminait pas l’avenir de la France. Depuis le second tour des législatives anticipées, le 7 juillet, le jeu de dupes bat son plein au sein d’une classe politique en pleine crise identitaire. On rédige des lettres que personne ne lit et auxquelles personne ne répond, on élabore des « pactes » sans lendemain, on organise des consultations jouées d’avance... Tous les partis mettent un point d’honneur à participer à ce concours de faux-semblants. Mais la palme revient, encore une fois, aux Insoumis de Jean-Luc Mélenchon, qui, le matin, prétendent vouloir jouer le jeu de la cohabitation et, l’après-midi, cèdent à leurs pulsions néorévolutionnaires en brandissant la menace de la destitution. Savonnant sciemment la planche de leur candidate à Matignon, Lucie Castets. La vérité est que toutes les oppositions n’ont que la prochaine présidentielle en tête et refusent de monter sur le Titanic gouvernemental, sur lequel les violonistes ont déjà cessé de jouer. On peut les comprendre de ne pas vouloir rejoindre un président à l’origine de ce marasme et qui ne semble plus avoir d’autre projet que la conservation anxieuse du pouvoir. Ce vendredi, Emmanuel Macron organisera un énième débat avec les oppositions, à la recherche d’un in- trouvable compromis. A-t-il en tête que, ce jour-là, son équipe de ministres battra le triste record du plus long gouvernement démissionnaire - 38 jours -, détenu jusqu’alors par un obscur attelage de la IVe République ? En attendant, les députés profitent de leurs vacances et l’indifférence gagne les Français, encore grisés par des Jeux olympiques réussis sans gouvernement. Pourquoi ne pas continuer comme ça ? Dangereuse illusion. Car, dans la vie réelle, les défis de la France sont immenses : redressement budgétaire, crise du logement, lutte contre l’immigration illégale, réindustrialisation, soutien de l’école et des hôpitaux, transition écologique... Notre pays a besoin d’un gouvernement. Et vite.
Source : Le Figaro 21/8/2024
11:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 8 septembre, près de Rennes : vous avez rendez-vous à la fête du cochon...
10:35 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
In memoriam : Jean-Claude Bardet, le « grand-père » des Identitaires
Un texte d’hommage de Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia, à Jean-Claude Bardet, ancien militant et homme politique, mort le 20 août 2024 à l’âge de 83 ans.
Les jeunes militants identitaires n’ont sans doute jamais entendu parler de Jean-Claude Bardet.
Un homme d’une autre génération, né en 1941, qui participa aux combats de l’Algérie Française, ce qui lui valut 3 ans de prison. Une solide formation dont il parlait toujours avec l’humour détaché qui le caractérisait.
Devenu docteur en droit, il fit une belle carrière dans le secteur privé, à l’Union des industries métallurgiques et minières puis aux laboratoires Beaufour. Ce qui ne l’empêcha pas de conduire une action politique et idéologique sur plus de 40 ans.
Proche de Dominique Venner, il participe en 1968 à la création de l’Institut d’études occidentales.
Il est aussi actif au GRECE dans les années 1968-1975 et participe à la fondation du club de l’Horloge, le 10 juillet 1974. C’est là qu’il rencontrera Bruno Mégret et deviendra son lieutenant aux Comités d’actions républicaines (l’ancêtre de « la droite hors les murs ») puis au Front national.
Président du groupe FN au conseil régional de Lorraine, il donnera bien du fil à retordre au président UDF de la région… Gérard Longuet.
Mais c’est surtout à la délégation générale du FN auprès de Bruno Mégret qu’il donnera sa pleine mesure. Il créera et dirigera pendant 10 ans la très belle revue doctrinale « Identité » dont tous les thèmes traités restent d’une profonde actualité. Une revue qui, par son titre comme par son contenu, sera à l’origine de tout le courant identitaire.
Retiré de la vie politique dans les années 2000, Jean-Claude Bardet avait un fils Nicolas à qui nous adressons nos plus sincères condoléances ainsi qu’à Ina sa mère, l’épouse de Jean-Claude.
Jean-Yves Le Gallou
20/08/2024
Source Polémia cliquez ici
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mardi, 20 août 2024
Se passer du passé ?
Le philosphe Alain de Benoist dans le dernier numéro d’Eléments (209) pose cette question essentielle : peut-on se passer du passé ? Aujourd’hui il est de bon ton de réécrire l’histoire, une histoire par trop éloigné de ce roman national qui avait pour vertu de faire comprendre à tout citoyen à quelle communauté de destin il appartenait et de s’en montrer fier. On a pu une fois de plus, le constater avec cette inique présentation des Jeux olympiques, véritable ode à ce monde ultra minoritaire de ce que l’on appelle les LBGT, ramassis de déviants sexuels que la génétique ne cesse de contredire. Et le pire, dans cette affaire, c’est que cela s’est produit avec la complicité de l’Etat. On comprend mieux pourquoi l’Education nationale est à la dérive et totalement déboussolée.
Lire la suite ICI
Source : la revue Eléments, n° 209
08:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 19 août 2024
Mieux connaître Codreanu : plusieurs livres publiés par Synthèse nationale
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