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lundi, 14 mars 2022

ESPAGNE : LA DROITE NATIONALE ENTRE POUR LA PREMIÈRE FOIS DANS UN GOUVERNEMENT RÉGIONAL

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Xavier Eman Présent cliquez ici

C’est une petite révolution dans le paysage politique ibérique. Le parti nationaliste espagnol Vox va en effet faire pour la première fois son entrée dans un gouvernement régional, dirigé par la droite en Castille-et-Léon (centre), ont annoncé jeudi 10 mars cette formation et le Parti Populaire (PP, droite).

«Nous sommes parvenus à un accord de législature avec Vox (…) qui va permettre l’entrée en fonction d’un gouvernement stable et solide», a déclaré sur Twitter le président sortant de cette région, Alfonso Fernandez Mañueco (PP), qui va pouvoir être reconduit dans ses fonctions grâce à cet accord.

Vox a indiqué de son côté qu’il détiendrait la vice-présidence du gouvernement de cette région proche de Madrid, qui dispose, comme les autres régions d’Espagne, de très larges compétences dans ce pays très décentralisé.

Lors d’un scrutin anticipé en février en Castille-et-Léon, remporté par le Parti Populaire (PP) mais sans majorité absolue, Vox avait totalisé 17,6% des suffrages et 13 sièges de députés régionaux sur 81 (contre un seul au dernier suffrage).

Le parti socialiste au pouvoir en Espagne a évidemment immédiatement dénoncé, des trémolos scandalisés dans la voix, l’entrée de Vox au sein de ce gouvernement régional, qualifiant l’accord avec le PP de «pacte de la honte»

Il ne reste plus qu’à espérer que cette expérience « d’union des droites » soit plus probante et efficace que celles, par exemple, qu’a pu connaître l’Italie et qui ont abouti à des fiascos tant pratique qu’idéologique.

 

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dimanche, 27 février 2022

Les mémoires courtes...

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samedi, 26 février 2022

Xavier Moreau : il était possible d’éviter la guerre en Ukraine

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Xavier Moreau,

fondateur du centre d’analyse politico-stratégique Stratpol,

déclare sur Sputnik :

“Il faut revenir sur l’histoire de ce conflit, et surtout des accords de Minsk. Ceux-ci ont été signés il y a maintenant sept ans, quasiment jour pour jour, et ont été validés par une résolution du Conseil de sécurité de l’Onu. Or, dans ces accords, il y avait une date de péremption, c’est-à-dire que tout ce qui était exigé vis-à-vis de Kiev –qui a signé ces accords après avoir perdu la guerre, notamment lors de la bataille de Debaltseve– devait être exécuté d’ici à décembre 2015.

Cela fait donc sept ans que la Russie patiente et demande à Kiev de respecter les accords de Minsk, réclame à la France et à l’Allemagne de les faire respecter par Kiev puisqu’elles en étaient garantes. En outre, comme il y a une décision du Conseil de sécurité de l’Onu, personne ne peut en sortir. Ni l’Ukraine, ni même la France, les États-Unis ou l’Angleterre et les membres des Nations unies qui étaient signataires de cette résolution et qui devaient obliger l’Ukraine à les appliquer. Cela n’a pas été fait!

Je pense que Vladimir Poutine avait un plan B et que ce plan B est ce à quoi nous assistons. Lorsque Vladimir Poutine a commencé à négocier il y a quatre mois, à proposer des garanties de sécurité, lorsqu’il a accepté de relancer il y a quelques semaines le format Normandie avec les conseillers diplomatiques qui se sont réunis à Paris et à Berlin, lorsqu’il a rencontré Emmanuel Macron, lorsqu’il a eu un entretien avec Scholz et a rencontré Blinken, il était possible d’éviter que la Russie passe à ce plan B.

Malheureusement, cela n’a absolument rien donné. On a même eu des situations totalement grotesques, comme lors de la conférence de presse à Kiev avec Volodymyr Zelensky où Emmanuel Macron a apporté son soutien aux combattants ukrainiens qui étaient sur le front depuis 2014. Je pense que là, Vladimir Poutine a compris que jamais ni Paris ni Berlin ne feraient pression sur l’Ukraine pour qu’elle applique les accords de Minsk.

Dans la mesure où, une fois de plus, Kiev se mettait à bombarder toute la ligne de front dans le Donbass, ils ont décidé de passer au plan B. Je ne vous cache pas quelle a été ma surprise. Je pensais que la riposte russe serait plus proportionnée. Désormais, l’objectif est annoncé: c’est dénazification et démilitarisation. C’est-à-dire que si cela continue ainsi, dans trois jours, il n’y aura plus que des lance-pierres en Ukraine.

[…] Pour moi, il y a bien sûr la responsabilité du gouvernement ukrainien. Cela dit, lorsque Zelenski s’est fait élire Président, il est arrivé sur un programme de réconciliation avec la Russie et de réconciliation avec les russophones. Il a fait exactement comme son prédécesseur Porochenko qui, lui aussi, en 2014, est arrivé avec un programme de réconciliation. Il a au contraire fait un programme de persécution de la langue russe, de persécution des Russes, de mise en avant des soi-disant héros de la Deuxième Guerre mondiale qui étaient des collaborateurs nazis, comme Stepan Bandera ou Roman Choukhevytch. Il a fait absolument le contraire de ce pour quoi il a été élu.

Malgré tout, si la France et l’Allemagne avaient fait leur travail, c’est-à-dire de faire pression sur Kiev pour l’application des accords de Minsk, il n’y aurait pas eu d’autre alternative pour Kiev que d’obéir à ces injonctions sous peine de perdre l’aide européenne. Même les plus radicaux de l’entourage de Zelenski auraient dû se soumettre et enfin appliquer les accords de Minsk. Donc, je pense que la responsabilité est partagée.

[…] Rendez-vous compte qu’Emmanuel Macron est rentré de Kiev sans même un échange de prisonniers, ce qui avait été le cas il y a quelques années. Par ailleurs, à aucun moment dans cette conférence de presse il n’évoque avec Zelenski les points des accords de Minsk. Ils sont pourtant très précis, avec une chronologie. Il doit y avoir un échange de prisonniers, une amnistie, un changement dans la Constitution ukrainienne, la prise d’un statut d’autonomie du Donbass, des élections locales et ensuite seulement la restitution à l’Ukraine de ses frontières. Emmanuel Macron n’a évoqué aucune de ces questions!

Je pense qu’il porte une responsabilité particulière, davantage que Scholz, qui vient d’arriver et qui récupère les dossiers au débotté. Le grand perdant, celui qui a provoqué cet échec –parce que le recours à la force militaire est un échec–, c’est incontestablement Emmanuel Macron.

Pour compléter cette analyse du même Xavier Moreau en vidéo :

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vendredi, 25 février 2022

Russie-Ukraine, les frères ennemis…

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Roland Hélie

En octobre 2014, suite au précédent conflit russo-ukrainien, nous avions consacré un numéro (n°37) à ce sujet. Vous pourrez lire (ou relire) ci-dessous la présentation du dossier que nous avions publié. Quelques exemplaires de ce numéro sont encore disponibles, vous pouvez les commander en cliquant ici

Nous abordons dans cette 37e livraison de Synthèse nationale l’épineux conflit qui secoue actuellement l’Ukraine. Depuis bientôt un an ce pays est quasiment en proie à une guerre civile qui devrait aboutir à sa partition.

Dans un récent éditorial (cf. Synthèse nationale n°34) j’avais déjà évoqué ce conflit. Celui-ci est complexe et force est de reconnaître que chacun peut avoir ses bonnes et aussi ses mauvaises raisons.

Les Ukrainiens ont en mémoire le lourd tribut qu’ils durent payer à l’Union soviétique dans les années 30. Plus de six millions de personnes moururent alors en raison de l’effroyable famine engendrée par la faillite du système communiste…

Les Russes, aujourd’hui sortis non sans difficultés de l’ère soviétique, retrouvent pour leur part leur fierté et un début de prospérité. Ils ne tiennent donc pas à voir naître à leurs portes des Etats qui se rangeraient ouvertement dans le camp américano-mondialiste.

Tout l’enjeu de ce conflit est bel et bien là. L’Ukraine est le maillon faible de la région. Depuis son indépendance, il y a près d’un quart de siècle, elle n’a jamais réussie à avoir un gouvernement stable. La corruption est généralisée et l’Etat est totalement dévalué. Les mondialistes ont parfaitement compris la situation et ils se servent volontiers de ce malheureux pays pour « chatouiller » la Russie et tenter de discréditer son Président.

Fort de sa popularité (82% de satisfaction selon un récent sondage – même chiffre que celui des insatisfaits en France de Hollande) Vladimir Poutine contrattaque en récupérant la Crimée, que Nikita Khrouchtchev avait offert en 1954 à ce qui était alors la République socialiste soviétique d’Ukraine, et en soutenant la République populaire du Donbass récemment proclamée dans la partie où les russophones sont majoritaires.

Alors qu’elle doit être la position des nationalistes français dans tout cela ?

Tout d’abord nous ne pouvons que regretter que deux peuples frères en soient arrivés à se battre entre eux. Ce genre de conflits qui opposent deux peuples européens ne peut que desservir notre civilisation déjà tant menacée.

Quelques-uns soutiennent les nationalistes ukrainiens. Cela peut sembler logique. Entre nationalistes, on devrait être fait pour s’entendre. C’est le côté romantique de certains de nos amis... On ne va pas se fâcher pour cela. On demandera juste un peu de réflexion.

Etre nationaliste, c’est avant tout défendre les intérêts de son propre pays. Or, le monde est à nouveau divisé en deux. D’un côté, il y a ceux qui veulent uniformiser la planète en édifiant un ordre mondial à la botte de la Haute finance apatride et de l’autre ceux qui, comme nous, refusent ce projet funeste. Dans l’état actuel des choses, force est d’admettre que la Russie est le plus important obstacle aux manœuvres des mondialistes. Nous ne devons donc pas nous laisser entrainer dans une quelconque dérive idéaliste et avoir une vision réaliste des choses.

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Eric Zemmour et le conflit russo-ukrainien

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mercredi, 02 février 2022

LEGISLATIVES PORTUGAISES du 30 janvier 2022 : victoire du Parti socialiste et progression de Chega qui devient la troisième force politique.

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Robert Neboit

L'Assemblée de la République, le parlement monocaméral du Portugal, se compose de 230 députés élus pour 4 ans à la proportionnelle. Ce système permet une représentation de presque tous les courants d’opinions et les députés peuvent se constituer en groupe parlementaire à partir de deux sièges.

Le Premier ministre actuel, le socialiste Antonio Costa, gouvernait avec une majorité relative en s’appuyant au cas par cas avec deux petites formations de la gauche radicale. Il avait été obligé de convoquer des élections législatives anticipées lorsque ses alliés d’extrême gauche eurent décidé de ne pas voter le projet de loi de finances 2022.

Le pari était risquée mais, finalement, il a tourné en sa faveur puisque le Parti socialiste obtient de justesse la majorité absolue et pourra ainsi gouverner sans dépendre de ses encombrants "alliés". Ceux-ci reculent fortement, le CDU (communistes et écologistes) perd la moitié de ses députés, et le Bloc de gauche, plus radical encore, passe de 19 à 5 députés.

L’autre nouveauté de cette élection est l’ancrage du parti populiste Chega sur la scène politique en tant que troisième force politique après le Parti socialiste et le Parti social-démocrate.

Apparu en 2019 avec l’élection de son dirigeant André Venture comme premier député populiste, il confirme sa progression lors de l’élection présidentielle de 2021 en arrivant en troisième position avec 11,93 %. Ces législatives sont un nouveau succès puisqu’il passe de 1 à 6 députés.

Le combat de Chega ne sera pas aisé dans un pays imprégné d’idéologie de gauche depuis la révolution des œillets de 1974. Son adversaire principal, plus encore que le Parti socialiste, sera le Parti social-démocrate avec lequel son dirigeant André Venture avait rompu en 2019. Un parallèle peut d’ailleurs être fait avec l’apparition de Vox en Espagne, qui était le produit d’une scission de Parti populaire. André Ventura comme Santiago Abascal ont en commun la jeunesse, le talent politique et une idéologie que l’on pourrait qualifier de national conservatrice et face à eux une droite classique qui ne se différencie guère des socialistes.

Le Parti social-démocrate portugais se retrouve dans une impasse, il stagne électoralement et avec 28 % de l’électorat ne peut espérer être une alternative au pouvoir socialiste. Seule une coalition avec Chega pourrait à terme changer la donne. Il n’en est pas question pour le moment, le combat pour la première place dans l’opposition aux socialistes ne fait que commencer.

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mercredi, 24 novembre 2021

Samedi dernier, les Phalangistes de Madrid ont rendu hommage à José Antonio Primo de Rivera

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En savoir plus sur José Antonio cliquez ici

Lire aussi cliquez là

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jeudi, 11 novembre 2021

Samedi 13 novembre : Roland Hélie interviendra lors des 15e Journées de la dissidence organisées à Madrid

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Le site de "Fides ediciones" cliquez ici

vendredi, 24 septembre 2021

Rencontre à Budapest aujourd'hui

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samedi, 18 septembre 2021

Belgique francophone : le Mouvement Nation a une nouvelle présidente

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Nancy Van Den Eede reçoit le drapeau de Nation des mains de Hervé Van Laethem, fondateur du mouvement.

Dans le grand livre de NATION, un nouveau chapitre commence avec une nouvelle présidence et une nouvelle équipe pour diriger le mouvement NATION.

A la tête de cette équipe, Nancy Van Den Eede, 37 ans, qui vient d’être élue présidente du Mouvement lors du 14e Congrès qui s’est déroulé samedi dernier.

Nous avons tenu à l’interroger sur la manière dont elle voyait les choses pour l’avenir de NATION.

Nancy, avant tout, parlez-nous un peu de vous !

Je me situe dans la catégorie des gens dont on peut dire qu’ils appartiennent à la « génération NATION », n’ayant jamais milité pour d’autres formations politiques. Militante depuis 6 ans au sein de NATION, je me suis engagée avant tout pour l’avenir de mes enfants et en songeant à la Belgique que nous allons leur laisser. J’ai estimé qu’il était temps que le peuple ouvre les yeux sur la situation catastrophique que nous vivons. Je ne pouvais pas rester sans réagir car je me suis rendue compte qu’il y avait des manquements énormes de la part de nos politiciens par rapport au Belge dit « de souche »…Et mon engagement a grandi au fur et à mesure que je prenais conscience des errances du monde politique.

Au sein du Mouvement, j’ai gravi les échelons un par un, devenant d’abord responsable local dans la région de Tournai, puis présidente de section dans la même région, pour ensuite entrer dans la direction du mouvement comme Secrétaire Politique. Ensuite, j’ai élue co-présidente avec Hervé Van Laethem pour aujourd’hui être élue présidente de NATION.

Vous avez été élue à l’unanimité, comment y réagissez-vous ?

Je pense que les militants m’ont élue d’abord parce qu’ils me connaissent bien. En effet depuis 6 ans au sein de NATION, j’ai participé à quasiment tous les grands évènements qu’a connu et/ou organisé NATION. Mais je crois qu’ils m’ont aussi élue car ils savent que je suis une militante fidèle et loyale au Mouvement et à ses idées. Pour rappel, j’ai d’ailleurs aussi fait partie de l’équipe qui a complètement retravaillé le programme du Parti en 2020. Et donc je pense que pour la majorité d’entre eux,  c’était une évidence que je reprenne le flambeau.

Je tiens d’ailleurs à les remercier pour leur confiance, j’espère aussi revoir ceux qui n’ont pas eu l’occasion de venir au Congrès, et bien sûr rencontrer les nouveaux adhérents.

Que sera NATION dans l’avenir ?

Ces dernières années, j’ai pu constater que NATION s’était un peu dispersé…Nous avons souhaité ouvrir nos portes à différentes sensibilités politiques, et il faut bien avouer que cela n’a pas été sans incidence. Mais malgré les difficultés rencontrées, NATION est en train de se régénérer !

Je pense et j’espère que ce 14e congrès était la dernière phase de cette régénération…En tous cas, il est temps que NATION redevienne NATION !

Sous ma présidence :

  • NATION gardera son ADN identitaire, social et profondément anti-système
  • NATION va redevenir la communauté militante d’avant
  • NATION va retrouver une plus grande cohésion politique
  • NATION continuera à être le poil à gratter pour irriter le système politico-financier

Pour ce qui est du fonctionnement, j’estime que nous perdons trop d’énergie à essayer de s’implanter partout en même temps. Nous allons donc recentraliser le fonctionnement  du Mouvement. Non pas que nous voulons abandonner le travail local mais nous voulons pouvoir le faire mieux, avec plus de moyens et de manière plus coordonnée.

Je compte aussi restructurer le mouvement… Les cartes seront donc redistribuées et avec mon équipe, nous allons réfléchir à comment simplifier un peu les choses tout en restant tout aussi productifs et actifs. De même, en ce qui concerne la communication sur les réseaux sociaux ou autres. Depuis le confinement, le numérique a pris le dessus sur le contact humain qui pourtant reste, selon moi, la base d’un vrai travail politique. S’il faut bien entendu continuer à communiquer, cela ne doit pas se faire au détriment du travail de terrain.

Enfin et comme vous le savez, NATION n’a aucun subside et le blackout médiatique ne nous aide pas non plus à nous faire connaitre. Et comme malheureusement l’argent est le « nerf de la guerre »,  avec mon équipe, nous allons également réfléchir à revoir le système des adhésions. Mais ici aussi  pour plus d’efficacité ! Je voudrais d’ailleurs en profiter pour remercier tous ceux qui nous soutiennent financièrement par des dons réguliers.

Un dernier mot pour les militants ?

Je voudrais dire aux militants et aussi à ceux qui n’ont pas pu être présents au Congrès, que même si je suis présidente, je reste avant tout une militante et surtout une camarade. Ça ne va pas être facile de présider sans Hervé et si je suis prête à relever le défi, j’aurai en tous cas besoin de vous, de votre aide et de votre soutien.

Pour NATION, un nouveau chapitre commence avec de nouvelles histoires. Au lieu d’en être de simples lecteurs, devenez-en les acteurs !

Source Nation cliquez ici

NDLR SN : il faut saluer le travail remarquable de notre ami Hervé Van Laethem qui a participé à tous les combats en Wallonie depuis la fin des années 1970. 

Pour mieux connaître l'histoire du mouvement Nation, nous vous conseillons de lire le Cahier d'Histoire du nationalisme (n°19) qu'il lui a consacré et qui est paru il y a quelques mois cliquez ici

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mercredi, 18 août 2021

Rome : sortie du nouveau numéro de la revue Nova Historica dirigée par Massimo Magliaro

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lundi, 15 février 2021

VOX ARRIVE EN TÊTE DE L’OPPOSITION EN CATALOGNE

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Robert Neboit

Les élections régionales catalanes du 14 février se traduisent par la continuation d’une majorité indépendantiste. Les trois partis de cette mouvance, l’historique ERC (Gauche Républicaine Catalane) avec 33 députés, Junts per Cat (Ensemble pour la Catalogne) du "président en exil" de la "République catalane" Charles (Carles) Puigdemont avec 32 députés et la CUP (Candidature d’Unité Populaire) un conglomérat de gauchiste "nationaliste" et "féministes" avec 4 députés, obtiennent une majorité en sièges de 74 sur 135 même s’ils restent minoritaires en votes avec 47,60 % des voix. En effet la répartition des sièges par circonscriptions défavorise la capitale Barcelone où la langue espagnole prédomine au profit de "des provinces catalanes" de Gérone, Lérida et Tarragone, plus petites et plus indépendantistes. Il faut noter que ces trois partis ouvertement sécessionniste peuvent compter avec l’appui de deux alliés informels le PSC et ECP-PEC. Le PSC (Parti Socialiste de Catalogne) a doublé sa représentation en passant de 17 à 32 députés. Autrefois nettement différencié des indépendantistes, il a évolué vers un crypto indépendantisme sous couvert de fédéralisme. Enfin les gauchistes "fédéralistes" de ECP (En Comu podem, Ensemble nous pouvons) liés à Podemos et qui sont prêt à s’allier avec les indépendantistes obtiennent 8 députés.

La principale nouveauté de ce scrutin est la remarquable percée de Vox. Il réussit un coup de maître pour sa première participation électorale aux élections catalanes. Avec 11 députés et 7,7 % des voix il devient le premier parti de l’opposition à l’indépendantisme, devançant le Parti Populaire, premier parti de la droite parlementaire qui n’obtient qu’un ridicule 3,9 % des voix et 3 députés. Ciudadanos (Citoyens) du centre gauche anti-indépendantiste s’écroule passant de 36 à 6 députés.

La lutte pour la prise de contrôle de l’opposition face calamiteux gouvernement du socialiste Padro Sanchez, allié au gauchiste Pablo Iglesias, et au danger sécessionniste qui existe, entre le Parti populaire et Vox tourne à l’avantage de ce dernier. Il faut dire que les électeurs ont pu constater avec le temps que le Parti populaire ne représentait qu’une fausse droite, hypocrite et timorée, toujours prête aux compromissions quand ce n’est pas la trahison.

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jeudi, 07 janvier 2021

Acca Larentia : l'Europe nationaliste se souvient

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Il y a 43 ans, le 7 janvier 1978, Acca Larentia à Rome, près d'un local du MSI (Mouvement social italien cliquez ici), trois militants du Front de la Jeunesse étaient assassinés par les communistes. Chaque année, les jeunes nationalistes italiens organisent des marches à travers le pays pour commémorer ce crime resté impuni. Il y a trois ans une gigantesque manifestation s'est déroulée à Rome (photo ci-dessous).

Cette année, en raison des restrictions sanitaires, l'organisation d'une telle démonstration de force est impossible. Cependant, à l'initiative des amis de notre camarade Gabriele Adinolfi, directeur du Centre Polaris, une vidéo a été réalisée cliquez ici

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Sur la manifestation du 8 janvier 2018 :

Lire l'article publié le 10 janvier 2018 cliquez là

Lire l'article publié le janvier 2018 cliquez ici

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Quand l'Amérique s'éveille...

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Sans doute quelques excentriques, quelques excités et peut-être même quelques provocateurs...

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...assurément une grande frousse pour la bien-pensance institutionnalisée...

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Mais, surtout, une Amérique qui n'entend pas mourir (avec ou sans Trump) et qui se réveille avec fracas pour manifester sa foi en son avenir ! 

 

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vendredi, 27 novembre 2020

Lionel Baland répond aux questions de Valeurs nationales

Le blog de Lionel Baland cliquez ici

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vendredi, 09 octobre 2020

Les services de renseignement allemands persécutent les nationalistes et leurs structures, tant politiques qu’intellectuelles

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Lionel Baland cliquez ici

L’Office fédéral de protection de la Constitution (Bundesamt für Verfassungsschutz – BfV) est un service allemand de renseignement actif dans toute l’Allemagne, avec pour mission essentielle de surveiller les activités contraires à la Constitution. Chacun des seize États allemands dispose également de son propre Office de protection de la Constitution, qui lui est inféodé. Les structures nationalistes, tant politiques qu’intellectuelles, subissent les pressions et attaques de cette organisation.

Persécutions contre l’AfD 

Le parti politique patriotique allemand Alternative pour l’Allemagne (AfD) est soumis aux pressions de l’Office fédéral de protection de la Constitution.

Ainsi, en 2019, l’aile nationale de l’AfD est-elle considérée par l’Office de protection de la Constitution comme « cas suspect », au même titre que l’organisation de jeunesse du parti Junge Alternative (JA).

Au début de l’année 2020, il apparaît que cette organisation espionne, depuis peu de temps, en utilisant des méthodes de services secrets, trois responsables de l’AfD : le dirigeant de l’AfD de Thuringe Björn Höcke, le dirigeant de l’AfD du Brandebourg Andreas Kalbitz et le député au sein du Parlement de Saxe-Anhalt Hans-Thomas Tillschneider. Tous les trois sont membres de l’aile nationaliste du parti. Il est même annoncé, dans la presse du système, que d’autres responsables politiques de cette aile devraient être, dans le futur, eux-aussi, surveillés.

Les fonctionnaires de l’Office fédéral de protection de la Constitution, ainsi que ceux des autorités de l’Office de protection de la Constitution des États allemands concernés [donc : Thuringe, Brandebourg, Saxe-Anhalt], établissent un dossier et collectent du matériel contre les trois personnes concernées à propos de leurs activités extra-parlementaires. Donc les conversations téléphoniques et les courriels privés et intimes de ces personnes sont archivés.

L’aile nationaliste de l’AfD est placée sous observation par l’Office de protection de la Constitution en mars 2020. L’organisme considère que Björn Höcke (Thuringe) et Andreas Kalbitz (Brandebourg) sont d’« extrême droite ». Les autorités estiment que cette aile compte 7 000 membres. En conséquence, la direction de l’AfD demande l’auto-dissolution de son aile nationaliste et l’obtient.

À la mi-mai 2020, la direction fédérale de l’AfD exclut du parti le chef de l’AfD du Brandebourg et chef du groupe des élus de l’AfD du Brandebourg Andreas Kalbitz, qui peut être considéré comme le numéro 2 de l’aile nationaliste auto-dissoute de l’AfD, derrière Björn Höcke, par 7 voix contre 5, pour ne pas avoir déclaré son appartenance dans sa jeunesse à l’organisation nationaliste radicale Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ) ainsi que son adhésion, entre la fin 1993 et le début 1994, au parti politique patriotique die Republikaner (Les Républicains). Kalbitz avait écrit au sein d’un document de cinq pages, réalisé sous la pression de la direction du parti, avoir possiblement et probablement visité un rassemblement du HDJ, qui entretemps a été introduit sur la liste des incompatibilités de l’AfD. Selon un rapport de l’Office de protection de la Constitution, un numéro lié à la « Famille Andreas Kalbitz » figure dans le dossier du HDJ.

En mai 2020, le co-dirigeant de l’AfD Tino Chrupalla compare l’Office de protection de la Constitution à la Stasi, la police politique de l’ancienne Allemagne de l’Est communiste.

En juin 2020, l’AfD du Brandebourg devient, pour l’Office de protection de la Constitution, un objet d’observation, après qu’un long examen a conduit à estimer que les conditions pour que cette mesure soit décrétée sont remplies. L’Office de protection de la Constitution peut désormais utiliser des écoutes ou des espions afin de confirmer l’« extrémisme de droite » de l’AfD du Brandebourg.

Fin août 2020, le dirigeant de l’Office fédéral de protection de la Constitution Thomas Haldenwang confirme officiellement que l’ancien dirigeant du groupe des élus de l’AfD au sein du Parlement de Brandebourg Andreas Kalbitz figure sur une liste de membres de l’organisation radicale interdite depuis lors Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ), alors que l’appartenance supposée de Kalbitz à la HDJ était le principal élément qui avait conduit l’AfD à exclure Kalbitz de ses rangs.

Source Breizh-info cliquez là

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mardi, 22 septembre 2020

Italie : la Ligue premier parti du pays, Fratelli d'Italia libère Les Marches

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Magnifique succès de nos amis de Fratelli d'Italia qui, aux élections régionales italiennes qui se sont tenues dimanche et lundi, emportent Les Marches et, au sein d'une coalition de droite, n'échouent que de très peu dans Les Pouilles.
 
La Ligue de Matteo Salvini, si elle ne parvient pas à emporter la Toscane, fief historique de la gauche, conserve facilement la Vénitie et la Ligurie et reste la première formation du pays.
 
La conquête de la Toscane aurait été une étape majeure sur le chemin de la reconstruction italienne. Le temps n'était pas encore venu. Le combat politique est un combat de longue haleine.

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mardi, 04 août 2020

Les Lansquenets d'Europe ont tenu, malgré les contraintes, leur rencontre estivale dans le sud de la France

 

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Compte-rendu de la session 2020 des Lansquenets d’Europe

Malgré les nombreuses difficultés actuellement imposées par le pouvoir politique, les Lansquenets d’Europe, association continentale d’ambition métapolitique pan-européenne animée par Gabriele Adinolfi (ci-dessus lors de la réunion de 2019), ont été les seuls de la période estivale à honorer leur rendez-vous annuel dans le Midi de la France. Précisons que cette réunion se tenait dans un lieu privé, en Provence, et, le plus souvent en plein air.

Du 23 au 26 juillet 2020 se sont donc tenues leurs cinquièmes rencontres près d’Aix-en-Provence. Malgré une faible affluence due à la crise sanitaire et à ses conséquences économiques, une trentaine de personnes, venues de France, d’Italie, de Belgique, d’Espagne, des Pays-Bas, de Pologne et de Suisse, ont néanmoins tenu à s’y inscrire.

Répartis au gré des activités tantôt en trois commissions linguistiques distinctes (français, italien et anglais) d’études et d’analyses, tantôt en quatre équipes portant chacune le nom d’une divinité de la santé issue des panthéons européens et une couleur s’y référant (gris pour le Celte Grian - ou Grannus -, blanc pour le Gréco-Romain Asclepios - ou Esculape -, bleu pour le Gallo-Lusitanien Borvo - ou Boru ou Bruich – et rouge pour Endovelicus le Lusitanien),  les Lansquenets ont, pendant trois jours, non seulement réfléchi au monde post-covid qui se met en place, mais aussi pris des initiatives à court et moyen terme. Ils ont en outre pratiqué quatre épreuves sportives. Vu les circonstances, pas de football ni de tir à la corde ! Plutôt le bon vieux jeu de l’épervier, un concours nocturne de bras de fer, une compétition de course d’endurance rapide et un tournoi de pétanque.

Nourris par une cuisine qui sut mettre les petits plats dans les grands comme ce délicieux poulet à la bière ou la désormais traditionnelle séance des spaghetti al dente à minuit, les participants ont pris connaissance des réalisations audacieuses entreprises en Pologne par le mouvement Troisième Voie, en Espagne par le Cercle Alphonse Premier et, en Italie, dans la région de Florence, par l’association Casaggi. Ils ont enfin suivi une excellente intervention de Lucien Cerise sur les nouvelles pratiques d’ingénierie sociale intitulée « De la société de la communication au transhumanisme ».

Au terme de ces trois journées fructueuses en discussions et en remue-méninge, tous les convives ont reçu de la part de Gabriele Adinolfi une attestation de participation qui proclame avec fierté que « la fidélité est plus forte que le covid ». C’est ça aussi, l’esprit européen !

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Le message de Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, aux Lansquenets d'Europe :

Chers Camarades européens,

Chers Amis Lansquenets,

Cher Gabriele.

En écrivant ces quelques mots, je dois dire que j’éprouve beaucoup de peine. Beaucoup de peine car j’ai la détestable impression d’abandonner un Ami en rase campagne. Et, croyez-le, cela bien malgré moi.

En effet, depuis près de 40 ans que je connais Gabriele, jamais celui-ci ne m’a déçu, il a toujours répondu « présent » lorsque je lui ai proposé de venir participer à l’une ou l’autre des réunions, et Dieu sait qu’il y en a eu de nombreuses, que j’ai organisées à Paris ou en province. Gabriele est toujours venu nous éclairer, ou tout du moins tenter de nous éclairer, car nous autres Français avons parfois du mal à suivre les méandres de l’histoire politique italienne. Mais il ne semble pas nous en tenir trop rigueur puisque, imperturbablement, il continue à prêcher la bonne parole auprès de nos compatriotes qui, non seulement l’apprécient, mais l’admirent car il fait partie de ces hommes qui ont tout sacrifié pour la noble cause qui est la nôtre.

C’est donc avec un infini regret que, cette année, je ne peux pas venir suivre les travaux des Rencontres estivales des Lansquenets. Les quelques mois pénibles que nous venons de passer m’obligeant à remettre en marche beaucoup de choses au sein de nos éditions et organisations et, par conséquent, à rester en Bretagne pour cela.

Le souvenir du merveilleux moment passé parmi vous tous l’an dernier rend ce choix encore plus difficile. Mais ce n’est que partie remise...

Vous allez, durant ces quelques jours, travailler sur les différents projets européens initiés par Gabriele Adinolfi. Ceux-ci sont importants car ils permettent de renforcer la cohésion entre les différentes forces nationales que vous représentez, chacun chez vous, sur notre continent. Ils le sont d’autant plus que nous savons que la riposte aux défis qui nous sont imposés par nos ennemis, quels qu’ils soient, ne peut être qu’européenne. Pour triompher des oligarchies mondialistes qui l’asservissent, l’Europe doit être conçue comme une complémentarité de Nations combattantes. Il en va de l’avenir de notre civilisation.

En fait, la synthèse nationale que nous essayons de réaliser en France est aussi en train de se réaliser en Europe grâce au travail exemplaire réalisé par les différents cercles animés par Gabriele.

Notre ami Georges Feltin-Tracol qui, lui, est parmi vous aujourd’hui vous tiendra informés, si vous le souhaitez, de toutes nos activités en France. Il nous fera aussi un rapport complet sur les travaux et décisions prises lors de ces journées. Rapport que nous diffuserons largement auprès des nationalistes et identitaires de notre pays. Même si, comme je vous l’ai dit, la première partie de cette année 2020 n’a pas été facile pour Synthèse nationale en raison des restrictions et du confinement imposé par le gouvernement, ce ne sont pas les projets d’avenir qui nous manquent.

Je vous remercie, Chers Amis, pour votre compréhension et vous souhaite à tous un bon et studieux séjour en Provence.

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dimanche, 28 juin 2020

Face aux calomnies gauchistes, le Portugal se réveille...

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Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi 27 juin dans les rues de Lisbonne, à l’appel du jeune parti nationaliste portugais Chega (« Assez ») afin de dénoncer les accusations de racisme propagées à l'encontre du Portugal par la presse mondialiste locale.

« Portugal, Portugal, Portugal… », ont scandé les manifestants sur la principale artère de la capitale derrière de nombreuses banderoles et drapeaux nationaux.

Entourée d'un solide service d'ordre, cette manifestation a été une réponse populaire aux troublions gauchistes qui sèment le désordre en accusant de racisme et de violences la police portugaise dans la foulée du mouvement déclenché par la mort du repris de justice George Floyd aux Etats-Unis.

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dimanche, 24 mai 2020

Espagne : énorme succès pour les "Caravanes de la Libertés" lancées dans tout le pays par VOX...

Samedi, pour exiger la démission du gouvernement Sanchez et l'organisation immédiate de nouvelles élections, Vox a occupé avec des gigantesques "Caravanes de la Liberté" aux couleurs nationales, sang et or, les rues de toutes les villes du pays...

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lundi, 18 mai 2020

Tommie Lindh, un jeune Suédois, tente de s'opposer au viol d'une jeune fille par un migrant, il est assassiné par ce dernier

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Clément Martin (FB)

Il s’appelait Tommie Lindh. Il y a quelques jours, ce Suédois de 19 ans se ballade dans la rue quand il surprend une scène glaçante : une jeune fille de son âge est en train de se faire violer par un Africain. Il sent le sol se dérober sous ses pieds mais ne réfléchit pas, il fonce. Une bagarre éclate. Tommie ne pense qu’à protéger celle qui pourrait être sa sœur. Malgré la différence d’âge (le migrant a 22 ans), Tommie ne recule pas et tente de repousser le violeur. Face au courage de ce jeune Suédois, le migrant voit rouge. Il sort un couteau. Tommie refuse de s’écarter. Il est alors poignardé à plusieurs reprises. L’adolescent s’effondre sur le sol. Quelques heures plus tard, il décèdera à l’hôpital.

Agressions, viols, assassinats... les Européens n’en finissent plus de payer les ravages de l’invasion migratoire.

Rendons hommage à Tommie, non pas à la victime, mais au héros. Il a agi comme chacun de nous devrait le faire dans la même situation. Puisse son exemple nous inspirer et son courage couler dans nos veines.

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vendredi, 03 avril 2020

3 avril 2010 : il y a 10 ans, Eugène Terre'Blanche était assassiné

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Christian Gilbert (FB)

Aujourd'hui, c'est le triste anniversaire de l'assassinat, le 3 avril 2010, de Eugène Terre'Blanche, leader du Mouvement de résistance afrikaner (Afrikaner Weerstandsbeweging - AWB).

Il combattait pour l'établissement d'un Volkstaat, (État du peuple) concept politique visant à la création d'un État souverain ou d'une province autonome, linguistiquement et culturellement blanche afrikaans. Plusieurs embryons de Volkstaat existent depuis le début des années 1990 avec Orania située dans le désert du Karoo dans la province du Cap-du-Nord ou Kleinfontein, située près de Pretoria dans la province du Gauteng (ancien Transvall), villes qui sont des havres de paix et de civilisation dans le monde de la violence barbare des extrémistes noirs en Afrique du Sud.

La ville d'Orania reste une communauté libre d'accès, contrairement à la ville de Kleinfontein qui est une communauté fermée.

Eugène Terre'Blanche a d'abord été policier et est ensuite devenu fermier.

Dans sa ferme, la nuit du 3 avril 2010, âgé de 69 ans, il est battu à mort durant son sommeil à coups de gourdin et tué à la machette par Chris Mahlangu et un autre sauvage. Cet assassinat a sans beaucoup de doute été planifié par les leaders noirs locaux.

Depuis cette période, les Afrikaners, notamment les fermiers, continuent à être les victimes en grand nombre d'assassinats encouragés par le pouvoir noir et le plus souvent impunis.

Soutenons la résistance des Blancs afrikaners en Afrique du Sud !

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dimanche, 15 mars 2020

LISEZ "NOVA HISTORICA", LA REVUE ITALIENNE DE MASSIMO MAGLIARO

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mardi, 12 novembre 2019

VOX DEVIENT LA TROISIEME FORCE POLITIQUE ESPAGNOLE.

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Robert Neboit

Le président du gouvernement et secrétaire général du Parti Socialiste Ouvrier Espagnol, le beau, le grand, l’ambitieux Pedro Sanchez vient de perdre son pari. Insatisfait de ses 123 députés et des 28% des voix lors des législatives du 28 avril 2019 il avait préféré provoquer de nouvelles élections. Il espérait ainsi améliorer ses résultats afin de négocier en position de force les alliances électorales nécessaires pour l’obtention de la majorité absolue de 176 députés. Le vote concernait également le Sénat dont les compétences ne sont pas négligeables en ce qui concerne le contrôle des Communautés autonomes (les régions).

Les résultats des nouvelles législatives du 10 novembre déçoivent ses espoirs et modifient substantiellement l’échiquier politique.

Le Parti socialiste qui espérait progresser obtient 120 députés, en léger recul, il perd 3 députés. Plus grave, au Sénat il perd la majorité absolue, indispensable pour mettre en œuvre l’article 155 afin de s’opposer aux tentatives de sécessionistes.

Podemos le parti populisto-gauchiste subit un recul bien plus important mais qui ne met pas en cause sa permanence politique. Il perd 7 députés, passant de 42 à 35 députés.

Les différents partis nationalistes régionaux maintiennent et parfois même améliorent légèrement leurs résultats.

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samedi, 09 novembre 2019

Vox termine sa campagne par un immense meeting à Madrid

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Vendredi 9 novembre 2019, Vox a tenu un énorme meeting de fin de campagne électorale à Madrid pour le scrutin législatif du 10 novembre 2019.

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jeudi, 07 novembre 2019

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, participera aux 14e Journées de la dissidence à Madrid les 8, 9 et 10 novembre

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Organisées par Fides ediciones cliquez ici

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lundi, 28 octobre 2019

De bonnes nouvelles d'Europe

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Björn Höcke a conduit l'AfD de Thuringe 

En Thuringe (Allemagne) et en Ombrie (Italie), se déroulaient ce dimanche des élections partielles. Partout, les droites nationales et identitaires locales triomphent. Nous vous invitons à consulter le site de notre ami Lionel Baland cliquez ici pour avoir les résultats détaillés de ces scrutins.

En Allemagne, l'AfD double son score par rapport à la précédente consultation et écrase la CDU, le parti de Merkel. En Italie, la Ligue et ses alliés sont en tête et vont désormais gouverner cette région libérée. 

On ne peut que se féliciter de voir les choses ainsi bouger. Comme nous l'avons expliqué lors de nos journées BBR il y a 15 jours, nous n'avons plus le temps ni les moyens de faire les "fines bouches". Ces mouvements ne sont peut être pas parfaits, mais les résultats qu'ils obtiennent signifient le début d'une prise de conscience.

Plus que jamais les nationalistes à travers l'Europe doivent se positionner comme étant les pôles vers lesquels le curseur doit continuer à se déplacer...

Synthèse nationale

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samedi, 19 octobre 2019

Cet après-midi à Rome : immense rassemblement pour soutenir Mattéo Salvini et exiger des élections immédiates

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Suivre sur le site de Lionel Baland cliquez là

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samedi, 14 septembre 2019

Hymne de France-Albanie, un couac qui aurait été évité… par des militaires !

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Thierry Decruzy, Polémia cliquez ici 

A force de tirer sur les budgets, de vouloir faire des économies, de n’écouter que les technocrates, on en arrive à l’incident diplomatique et le Président de la République se trouve obligé d’intervenir, sans éviter l’humiliation. La musique n’est pas une simple affaire d’argent...

France-Albanie au Stade de France, samedi 7 septembre. Dans la cérémonie d’ouverture du match la sono fait entendre l’hymne de l’Andorre, stupeur sur la pelouse où les joueurs sont alignés et dans les gradins où attendent les supporters. Stupeur doublée de scandale quand le présentateur du Stade de France, ancien animateur radio, confond dans ses excuses l’Albanie avec l’Arménie !

La France ridiculisée

L’organisation et la Fédération française de football sont ridiculisées. 80 000 spectateurs plus les télévisions du monde entier, l’ambassadeur d’Albanie, les représentants du football européen… le scandale est immense. Le match va débuter avec sept minutes de retard. Ils se sont tous confondus en excuses, président de la Fédération, sélectionneur de l’équipe de France… Le Premier ministre albanais parle de « gaffe scandaleuse », obligeant le Président de la République lui-même à présenter les excuses de la France.

Les ministres et les médias savent très bien donner des leçons sur la prétendue homophobie des supporters, les uns comme les autres sont incapables d’assurer une prestation internationale.

Se défausser sur un lampiste

Ce que les médias se gardent bien de dire, c’est que l’incompétence n’est pas celle du technicien qui se serait trompé de nom de fichier — faut toujours accuser un lampiste –, il n’est pas censé connaitre les hymnes et n’a pas à écouter les fichiers-sons qui lui sont fournis. Et d’ailleurs, distinguer l’hymne de l’Albanie de celui de la Principauté d’Andore, même à “Question pour un champion” ils n’auraient pas osé !

La responsabilité de cette erreur colossale incombe aux plus hautes instances de la FFF qui ont accepté la dégradation du cérémonial. En effet, ces prestations étaient traditionnellement fournies par des orchestres militaires, des musiciens professionnels connaissant parfaitement les hymnes et donc incapables de commettre de telles bévues. Sauf que dans la logique financière actuelle, les orchestres militaires facturent leurs prestations. Pour les technocrates, une simple bande-son libre de droits fait largement l’affaire. Et tout le monde sait que les journalistes n’aiment pas la musique militaire. On peut constater le lamentable résultat et ses conséquences internationales en matière d’image de marque pour la France et sa diplomatie.

Remplacer des musiciens par un enregistrement

La prestation d’un orchestre est un spectacle apprécié du public. En juin 2017, la musique de la Garde républicaine avait mis le feu au Stade de France pour l’ouverture du match France-Angleterre avec une chanson en hommage aux victimes de l’attentat de Manchester. Ces musiciens savent s’adapter, ils préparent une mise en scène et exécutent une chorégraphie dans une tenue irréprochable, ce service a un coût. Sa contrepartie se traduit par une qualité et une émotion qu’un enregistrement envoyé dans les circuits de sonorisation ne peut transmettre, surtout pas avec une inversion de fichier, mais ce sont des critères qui n’entrent pas dans les calculs des technocrates.

Il ne faudrait pas trop les pousser dans cette voie pour que ces individus nous proposent de mettre en place des matchs virtuels sur écrans géants. Dame ! terminés les cachets stratosphériques des joueurs, leurs déclarations jugées racistes et l’homophobie des supporters…

Nul doute qu’un “crâne d’œuf” du ministère des Sports a déjà conçu une nouvelle nomenclature performante pour gérer des hymnes nationaux enregistrés et libres de droits, jusqu’à la prochaine erreur du technicien. Qui pourrait leur dire que la musique n’est pas une affaire de techniciens, mais d’artistes ?

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lundi, 02 septembre 2019

Allemagne : l'AFD fait un tabac aux élections

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Lionel Baland

Ce dimanche 1 septembre, les électeurs de Saxe et du Brandebourg ont été appelés à élire leur Parlement. Les scrutins se déroulant dans ces deux États de l’est de l’Allemagne – qui ont connu autrefois le communisme – voient une poussée inédite des patriotes de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) et constituent une lourde défaite pour la CDU, le parti de la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel, et son allié gouvernemental social-démocrate, le SPD.

Alors que la Saxe a été au cours des trente années qui nous séparent de la chute du communisme un bastion de la CDU – ce parti atteignant toujours avant le début du XXIe siècle la majorité absolue lors de ce type de scrutin -, cette dernière y subit un nouveau recul, cette fois de 7,3 points, tout en restant le premier parti avec 32,1 % des voix. L’AfD la talonne en récoltant 27,5 % – contre 9,7 % en 2014 -. Le parti post-communiste Die Linke est en fort recul à 10,4 % et les sociaux-démocrates du SPD chutent lourdement et se retrouvent à 7,7 %. Les écologistes progressent et obtiennent 8,6 %.

Au Brandebourg, l’État qui englobe celui de Berlin, l’AfD arrive deuxième avec 23,5 %, derrière le SPD qui, reculant de 5,7 points, tombe à 26,2 %. La CDU chute de 7,4 points et dégringole à 15,6 %, alors que les post-communistes de Die Linke reculent de 7,9 points et se retrouvent à 10,7 %. Les écologistes augmentent leur score.

Selon la chaîne de télévision publique ZDF, l’AfD est le premier parti chez les hommes lors des scrutins en Saxe et au Brandebourg avec respectivement 33 et 30 %, alors que chez les femmes il obtient 22 % en Saxe et 19 % au Brandebourg.

La percée de l’AfD constitue un exploit. En effet, cette jeune formation politique a vu le jour seulement en 2013. En six ans, partie de rien, elle est entrée au sein de la Chambre des députés, ainsi que dans les assemblées des seize États qui composent le pays. Elle a réussi cette incroyable performance alors que le système tout entier la combat. La presse, les autres partis politiques, les églises, les syndicats et les associations patronales s’opposent frontalement à ce parti patriotique, qui se voit insulté et souvent privé de salles pour ses réunions alors que ses locaux et ses cadres politiques sont sous la menace permanente d’attaques violentes orchestrées par des voyous se réclamant de la gauche radicale. La victoire de l’AfD lors de ces deux scrutins représente donc, non seulement, un énorme espoir de redressement futur de l’Allemagne, mais également une victoire de la vraie démocratie face à des personnes et des organisations qui se réclament systématiquement de cette dernière tout en ne la respectant pas dans les faits.

Le blog de Lionel Baland cliquez ici

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