samedi, 09 novembre 2019
Vox termine sa campagne par un immense meeting à Madrid
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jeudi, 07 novembre 2019
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, participera aux 14e Journées de la dissidence à Madrid les 8, 9 et 10 novembre
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lundi, 28 octobre 2019
De bonnes nouvelles d'Europe
Björn Höcke a conduit l'AfD de Thuringe
En Thuringe (Allemagne) et en Ombrie (Italie), se déroulaient ce dimanche des élections partielles. Partout, les droites nationales et identitaires locales triomphent. Nous vous invitons à consulter le site de notre ami Lionel Baland cliquez ici pour avoir les résultats détaillés de ces scrutins.
En Allemagne, l'AfD double son score par rapport à la précédente consultation et écrase la CDU, le parti de Merkel. En Italie, la Ligue et ses alliés sont en tête et vont désormais gouverner cette région libérée.
On ne peut que se féliciter de voir les choses ainsi bouger. Comme nous l'avons expliqué lors de nos journées BBR il y a 15 jours, nous n'avons plus le temps ni les moyens de faire les "fines bouches". Ces mouvements ne sont peut être pas parfaits, mais les résultats qu'ils obtiennent signifient le début d'une prise de conscience.
Plus que jamais les nationalistes à travers l'Europe doivent se positionner comme étant les pôles vers lesquels le curseur doit continuer à se déplacer...
Synthèse nationale
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samedi, 19 octobre 2019
Cet après-midi à Rome : immense rassemblement pour soutenir Mattéo Salvini et exiger des élections immédiates
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samedi, 14 septembre 2019
Hymne de France-Albanie, un couac qui aurait été évité… par des militaires !
Thierry Decruzy, Polémia cliquez ici
A force de tirer sur les budgets, de vouloir faire des économies, de n’écouter que les technocrates, on en arrive à l’incident diplomatique et le Président de la République se trouve obligé d’intervenir, sans éviter l’humiliation. La musique n’est pas une simple affaire d’argent...
France-Albanie au Stade de France, samedi 7 septembre. Dans la cérémonie d’ouverture du match la sono fait entendre l’hymne de l’Andorre, stupeur sur la pelouse où les joueurs sont alignés et dans les gradins où attendent les supporters. Stupeur doublée de scandale quand le présentateur du Stade de France, ancien animateur radio, confond dans ses excuses l’Albanie avec l’Arménie !
La France ridiculisée
L’organisation et la Fédération française de football sont ridiculisées. 80 000 spectateurs plus les télévisions du monde entier, l’ambassadeur d’Albanie, les représentants du football européen… le scandale est immense. Le match va débuter avec sept minutes de retard. Ils se sont tous confondus en excuses, président de la Fédération, sélectionneur de l’équipe de France… Le Premier ministre albanais parle de « gaffe scandaleuse », obligeant le Président de la République lui-même à présenter les excuses de la France.
Les ministres et les médias savent très bien donner des leçons sur la prétendue homophobie des supporters, les uns comme les autres sont incapables d’assurer une prestation internationale.
Se défausser sur un lampiste
Ce que les médias se gardent bien de dire, c’est que l’incompétence n’est pas celle du technicien qui se serait trompé de nom de fichier — faut toujours accuser un lampiste –, il n’est pas censé connaitre les hymnes et n’a pas à écouter les fichiers-sons qui lui sont fournis. Et d’ailleurs, distinguer l’hymne de l’Albanie de celui de la Principauté d’Andore, même à “Question pour un champion” ils n’auraient pas osé !
La responsabilité de cette erreur colossale incombe aux plus hautes instances de la FFF qui ont accepté la dégradation du cérémonial. En effet, ces prestations étaient traditionnellement fournies par des orchestres militaires, des musiciens professionnels connaissant parfaitement les hymnes et donc incapables de commettre de telles bévues. Sauf que dans la logique financière actuelle, les orchestres militaires facturent leurs prestations. Pour les technocrates, une simple bande-son libre de droits fait largement l’affaire. Et tout le monde sait que les journalistes n’aiment pas la musique militaire. On peut constater le lamentable résultat et ses conséquences internationales en matière d’image de marque pour la France et sa diplomatie.
Remplacer des musiciens par un enregistrement
La prestation d’un orchestre est un spectacle apprécié du public. En juin 2017, la musique de la Garde républicaine avait mis le feu au Stade de France pour l’ouverture du match France-Angleterre avec une chanson en hommage aux victimes de l’attentat de Manchester. Ces musiciens savent s’adapter, ils préparent une mise en scène et exécutent une chorégraphie dans une tenue irréprochable, ce service a un coût. Sa contrepartie se traduit par une qualité et une émotion qu’un enregistrement envoyé dans les circuits de sonorisation ne peut transmettre, surtout pas avec une inversion de fichier, mais ce sont des critères qui n’entrent pas dans les calculs des technocrates.
Il ne faudrait pas trop les pousser dans cette voie pour que ces individus nous proposent de mettre en place des matchs virtuels sur écrans géants. Dame ! terminés les cachets stratosphériques des joueurs, leurs déclarations jugées racistes et l’homophobie des supporters…
Nul doute qu’un “crâne d’œuf” du ministère des Sports a déjà conçu une nouvelle nomenclature performante pour gérer des hymnes nationaux enregistrés et libres de droits, jusqu’à la prochaine erreur du technicien. Qui pourrait leur dire que la musique n’est pas une affaire de techniciens, mais d’artistes ?
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lundi, 02 septembre 2019
Allemagne : l'AFD fait un tabac aux élections
Lionel Baland
Ce dimanche 1 septembre, les électeurs de Saxe et du Brandebourg ont été appelés à élire leur Parlement. Les scrutins se déroulant dans ces deux États de l’est de l’Allemagne – qui ont connu autrefois le communisme – voient une poussée inédite des patriotes de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) et constituent une lourde défaite pour la CDU, le parti de la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel, et son allié gouvernemental social-démocrate, le SPD.
Alors que la Saxe a été au cours des trente années qui nous séparent de la chute du communisme un bastion de la CDU – ce parti atteignant toujours avant le début du XXIe siècle la majorité absolue lors de ce type de scrutin -, cette dernière y subit un nouveau recul, cette fois de 7,3 points, tout en restant le premier parti avec 32,1 % des voix. L’AfD la talonne en récoltant 27,5 % – contre 9,7 % en 2014 -. Le parti post-communiste Die Linke est en fort recul à 10,4 % et les sociaux-démocrates du SPD chutent lourdement et se retrouvent à 7,7 %. Les écologistes progressent et obtiennent 8,6 %.
Au Brandebourg, l’État qui englobe celui de Berlin, l’AfD arrive deuxième avec 23,5 %, derrière le SPD qui, reculant de 5,7 points, tombe à 26,2 %. La CDU chute de 7,4 points et dégringole à 15,6 %, alors que les post-communistes de Die Linke reculent de 7,9 points et se retrouvent à 10,7 %. Les écologistes augmentent leur score.
Selon la chaîne de télévision publique ZDF, l’AfD est le premier parti chez les hommes lors des scrutins en Saxe et au Brandebourg avec respectivement 33 et 30 %, alors que chez les femmes il obtient 22 % en Saxe et 19 % au Brandebourg.
La percée de l’AfD constitue un exploit. En effet, cette jeune formation politique a vu le jour seulement en 2013. En six ans, partie de rien, elle est entrée au sein de la Chambre des députés, ainsi que dans les assemblées des seize États qui composent le pays. Elle a réussi cette incroyable performance alors que le système tout entier la combat. La presse, les autres partis politiques, les églises, les syndicats et les associations patronales s’opposent frontalement à ce parti patriotique, qui se voit insulté et souvent privé de salles pour ses réunions alors que ses locaux et ses cadres politiques sont sous la menace permanente d’attaques violentes orchestrées par des voyous se réclamant de la gauche radicale. La victoire de l’AfD lors de ces deux scrutins représente donc, non seulement, un énorme espoir de redressement futur de l’Allemagne, mais également une victoire de la vraie démocratie face à des personnes et des organisations qui se réclament systématiquement de cette dernière tout en ne la respectant pas dans les faits.
Le blog de Lionel Baland cliquez ici
10:29 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 09 août 2019
SOLIDARITÉ AVEC CASAPOUND ! NOS CAMARADES ITALIENS DANS LE COLLIMATEUR DE LA MAIRIE DE ROME
Matteo Petrachi Terre et peuple cliquez ici
Rome, le 25 Juillet 2019
C'est en fin de matinée qu'a pointé le bout de son nez le Maire de Rome, Virginia Raggi, accompagnée de policiers au siège de nos camarades de la Casapound, située « via Napoleone III ». En effet, les lettres de marbre ornant la façade de l'immeuble sont jugées « abusives »... Il est vrai que dans le quartier « populaire » de l'Esquilino, cela ferait presque « brutta figura1 »... ! D'autant plus que nos chers camarades à la Tortue Fléchée, toujours aussi clairvoyants et prompts à systématiquement se remettre en question, ont suspendu une longue bannière plus haut sur la façade sur laquelle est écrit : « Questo è il problema di Roma », littéralement « Ceci est le problème de Rome ». Pour Virginia Raggi, peut-ête la provocation de trop, ou peut-être une occasion de pouvoir faire évacuer une bonne fois pour toutes les militants.
Casapound Italia a donc été mise en demeure de retirer la bannière ainsi que les lettres de marbre, sous peine d'amende et d'évacuation forcée. Cependant, au gouvernement, l’évacuation du bâtiment ne semble pas être considérée comme une priorité, bien qu'il eut été soi-disant estimé depuis 2003 un « dommage public » supérieur à 4 millions d’euros pour les « pertes de recettes » du fait de « l'occupation » des lieux.
Début juillet, l’Agenzia Del Demanio2 avait déjà déposé une plainte pour demander l’évacuation : une plainte qui, selon ladite agence publique, « promet de faire bondir au sommet de la liste des expulsions le siège de CasaPound » mais jusqu’à présent, il ne semble pas y avoir eu de mesures allant dans ce sens. Alors que la Raggi essayait de notifier sa mise en demeure, la Lega et le M5S ont rejeté à la Chambre un ordre du jour proposé par le Parti Démocrate qui engagerait le gouvernement à faire évacuer le bâtiment.
Rome, le 06 Août 2019
Nouvelle venue de Virginia Raggi et ses sbires en fin d'après-midi, sommant nos camarades de retirer immédiatement leurs lettres de marbre. C'est après de longues discutions visant à apaiser les tensions et surtout pour faire entendre raison à Madame le Maire que les militants ont finalement décidé de s'exécuter.
« Virginia Raggi marque un point. Dans une ville devenue latrine et blague de l’Italie, la beauté d’une écriture de marbre parfaitement en ligne avec le style rationaliste d’un palais des années 1930 dénote trop. Nous l’enlevons momentanément en attendant la renaissance de Rome qui aura lieu le jour – désormais proche – dans lequel le fléau taliban de Madame Raggi sera définitivement vaincu et chassé de Notre ville ». C’est ainsi que CasaPound a motivé sa décision de supprimer la célèbre inscription en marbre de la façade de l’édifice de via Napoléon III.
Casapound, le problème de Rome. Vraisemblablement, faire partie d'un mouvement nommé « 5 Étoiles » ne fait pas briller de par son bon sens Madame le Maire, qui semble oublier ou ne pas voir ce qui se passe dans les rues de sa ville : Ordures non ramassées et accumulées, végétation non entretenue, routes et ouvrage d'art dégradés, migrants parfois drogués et/ou alcoolisés, violents ou parfois nus, faisant leur besoins en pleine rue à la vue de tous, sans oublier les « oubliés » : ces familles Italiennes sans ressources, dont certaines d'entre elles sont justement hébergées par « le problème de Rome ».
Nous faisons naturellement part de tout notre soutien à nos camarades Italiens, en leur souhaitant de savoir rester les derniers debout dans l'Arène. Et comme le chante notre camarade et ami Gianluca Iannone, à notre tour nous leur disons : « Tenete duro, non mollare, ne vedrete delle belle ! Arremba Sempre ! »3
Notes
1 Trad : « Mauvaise Image »
2 Organisme public gérant les propriétés appartenant à l'état.
3 « Tenez-bon, ne lâchez rien, vous en verrez de belles ! Toujours à l'abordage ! » Zetazeroalfa, Disperato Amore, RTP / Perimetro 2010.
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vendredi, 12 juillet 2019
Filip Dewinter, notre Ami de toujours, devient Président du Parlement flamand
La démission du président du Parlement flamand Kris Van Dijck entraîne l’arrivée du premier vice-président, le Vlaams Belang Filip Dewinter, au perchoir de l’assemblée. Une nouvelle victoire pour la résistance identitaire européenne.
Lire Le Soir de Bruxelles cliquez là
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mardi, 18 juin 2019
Samedi dernier, 15 juin, s'est tenue à Valence en Espagne une conférence européenne...
Gabriele Adinolfi
D'une manière générale, quiconque me connais sait que je suis assez prudent dans mes appréciations et que j'ai plutôt tendance à garder une certaine réserve par rapport aux choses, en particulier celles que j'organise ou celles auxquelles je participe.... Néanmoins, pour une fois, je fais une exception. : la réunion des Lansquenets sur le thème "Nous sommes l'Europe" qui se tenait samedi dernier à Valence en Espagne a été enthousiasmante. Autant par la qualité des intervenants (et des interventions) que par le public attentif et passionné, cette réunion m'a particulièrement touchée. Pas moins de 130 personnes ont participé à cet événement d'élite.
Les discours d’Alexander Markovics (Institut Suworow, Autriche), de Kamil Gil (Troisième Voie, Pologne), de Vincent Vauclin (La Dissidence française, France) et d’Irène Dimopoulos Papas (Empros/Golden Dawn - Grèce) ont été remarquables parce qu’ils réunissaient analyses, réflexions, bilans des activités en cours et des perspectives concrètes...
Voilà plus de quatre ans que nous avons entrepris ce travail de cohésion au niveau européen et je me réjouis de voir enfin des résultats concrets qui légitiment notre entreprise.
Après les interventions politiques, une vidéo avec un message de Jean-Marie Le Pen, figure tutélaire des mouvements nationalistes européens, réalisée spécialement pour cet événement a été projetée.
S'en suivit un débat sur l'Europe que nous voulons avec des discours remarquables de José Alsina, camarade d'une culture politique considérable, ainsi que celle de Rafael Ripoll, conseiller d'Alcalà de Henares.
Ripoll a une position plutôt eurosceptique (il veut sortir de l'UE et il préconise le retour à la peseta), opposée à la mienne, ce qui entraina un débat vif et courtois entre nous. A l'issue de celui-ci, Rafael Ripoll m’a dit que je lui avais ouvert de nouvelles perspectives auxquelles il n’avait jamais pensé, ce dont il me remercia amicalement.
Le moment qui particulièrement ému fut lorsque Juan Antonio Lopez Larrea m’a remis la distinction de président honoraire de l'Association en mémoire à Juan Ignacio, organisatrice de cette réunion. Rappelons que Juan Ignacio était un responsable du Front de la Jeunesse espagnole qui a été assassiné en décembre 1980 par des agents des services spéciaux. Juan Antonio est toujours resté fidèle à sa mémoire et à son engagement, pour lequel il a également passé quelques années en prison. Pour moi, c'est un suprême honneur d'avoir reçu une telle marque d'amitié .
Au cours de la soirée, nous avons enfin comparé les progrès accomplis par Les Lansquenets européens dans l’élaboration d’un manifeste qui sera non seulement idéologique, mais qui contiendra aussi des objectifs concrets pour l’action à venir. Nous espérons conclure ce travail avant notre prochain rendez-vous européen qui est programmé dans le sud de la France du 25 au 28 juillet. Un rendez-vous qui acquiert chaque jour plus d'importance et auquel je vous invite à participer...
Renseignements, inscriptions :
assoc.artemis@gmail.com
Retour sur la conférence de l'an passé qui s'était déroulée à Barcelone cliquez ici
Lire aussi El Cadenazo cliquez là
10:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, En Europe et ailleurs..., Gabriele Adinolfi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 09 juin 2019
Le Général Franco reste à la Vallée de Los Caidos
Francesca de Villasmundo
Medias presse infos cliquez ici
Le mausolée de la Valle de los Caidos conservera la dépouille du général Franco, du moins pour un certain temps encore.
Dans le but d’effacer toutes traces du général et toute possibilité d’importantes commémorations sur sa tombe, dès son arrivée au pouvoir en juin 2018, le président du gouvernement espagnol Pedro Sanchez, socialiste, avait annoncé l’exhumation de la dépouille de Franco du gigantesque mausolée et proposé de l’inhumer dans le cimetière d’El Pardo, près de Madrid.
Opposés à l’idée de bouger les restes du général, ses descendants ont proposé au gouvernement socialo-maçonnique Sanchez, d’enterrer le général dans le caveau familial qu’ils possèdent dans la crypte de la Cathédrale de Madrid. Une proposition qui a nettement mis dans l’embarras le gouvernement Sanchez : le lieu, en plein centre de Madrid, est aussi hautement symbolique et fréquenté que la Valle de los Caidos. Ce n’est pas ainsi que les Espagnols oublieront le Caudillo !
En mars 2019, le gouvernement espagnol annonce que l’exhumation et «la ré-inhumation des restes de Franco aura lieu le 10 juin au matin», et qu’ils iront «au panthéon de Mingorrubio-El Pardo, qui appartient à l’État», dans le cimetière du nord de Madrid où est enterrée son épouse. La famille de l’ancien dictateur dépose un recours devant la Cour suprême.
Ce 4 juin, la Cour suprême espagnole a donc décidé de suspendre à titre conservatoire l’exhumation de la dépouille du général Franco, le temps que le recours en justice de la famille puisse être examiné sur le fond.
Pour la plus haute instance judiciaire espagnole, cette suspension a pour but d’éviter le «préjudice» qui pourrait être causé à la famille mais aussi à l’État, si le recours des descendants de Franco était in fine accepté. Ce qui aurait obligé à ramener la dépouille là où elle se trouve actuellement.
11:08 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 03 juin 2019
Conférence européenne à Valence en Espagne samedi15 juin
15:11 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 27 mai 2019
Autre satisfaction du soir : Manuel Valls perd lamentablement à Barcelone et arrive cinquième.
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samedi, 25 mai 2019
L’EUROPE TECHNOCRATIQUE INITIATRICE DU GOUVERNEMENT MONDIAL
Depuis l’après-guerre toujours le même discours et le même idéal mondialiste.
Une preuve parmi d’autres :
Chez un bouquiniste parisien du passage Verdeau j’ai trouvé en 1983 un document qui trainait dans un bac. Ce document émane de l’Union Européenne des Fédéralistes. Selon WIKIPEDIA : L'UEF est une organisation non gouvernementale, dont le but est de promouvoir une Europe fédérale. Représentée dans une vingtaine de pays, elle est active aux niveaux européen, national et local depuis 1946.
Les membres de l’UEF énumérés dans cette brochure :
Enzo GIACCHERO : vice-président du groupe démocrate-chrétien dès 1952 en Italie membre du Mouvement Fédéraliste Européen et de la Haute Autorité de la CECA
Henri FRENAY : un des fondateurs de l'Union démocratique et socialiste de la Résistance (UDSR) sein du Rassemblement des gauches républicaines
Arthur CALTEUX : membre de la cour suprême de justice du Luxembourg et membre avec Paul-Henri SPAAK du comité d’étude pour la constitution Européenne de 1952 à 1953.
Miss France Louise JOSEPHY : membre du parti libéral Britannique.
Ernst Von SCHENCK : figure politique de Suisse Alémanique.
Raymond RIFFLET : membre de la commission Européenne à partir de 1967
Ce document (que vous pouvez consulter ci-dessous) énonce les idées force pour l’Europe que veulent créer les responsables de cette Union. Le document date de 1957 et n’a pas pris de rides sur les développements principaux.
Dans l’ordre :
- Spécialisation de l’agriculture pour augmenter les rendements p 17
- Problématique du morcellement monétaire p 21
- L’automatisation de l’industrie avec la nécessité d’un vaste marché de consommateur p 30
- Nécessité d’une gestion Européenne de l’énergie Nucléaire p 31
- Nécessité de l’Europe Fédérale face au recul de la diplomatie Européenne p 39
- Danger du Nationalisme !! p 40
- Le Gouvernement Mondial à venir p 43 (en encart ci-dessous)
- La Fédération Européenne étape indispensable p 45
- Fin nécessaire du Colonialisme p 51 pour créer une « entité harmonieuse où la division du travail puisse être pleinement réalisée »
Des références à un marxisme de bon aloi version symbiose avec la technocratie p 41 et p 54
Après, lisez la profession de foi de LREM cliquez là ; vous y retrouverez les mêmes thèmes de fond avec la touche du marketing écologique et l’agitation des mêmes spectres !
En fait, pas de complot stricto sensu mais des idées bien arrêtées avec en toile de fond la construction du nouvel ordre mondial donc du gouvernement mondial.
Louis Roy
Pourquoi unifier l'Europe cliquez là
19:47 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 24 mai 2019
Nigel Farage pulvérise les adversaires du Brexit, et affole Merkel-Macron
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mercredi, 22 mai 2019
Le Vlaams Belang et la nouvelle génération font trembler l'establishment politique
(Pour un environnement politique plus propre: aidez-nous au grand nettoyage) sous le balai vous voyez: gaspillage, hystérie climatique...
La campagne électorale bat son plein en Flandre. Ce qui inquiète la classe politique est cette nouvelle génération d'électeurs et candidats sur les listes de Vlaams Belang. Les sondages chez les jeunes nous montrent qu'un grand pourcentage d'entre eux rejette une certaine mentalité politico-affairiste qui comme en France ne voit que les intérêts des lobbys, des grands groupes financiers et du grand capital.
Notre vieux camarade dessinateur KORBO soutient d'ailleurs cette jeunesse prometteuse qui a l'ambition et la volonté de mettre un terme à cette mise en faillite de notre civilisation. Malheureusement, la réalité dépasse souvent ses caricatures.
L'homme qui fait peur à cette maffia politique est Dries Van Langenhove. (costume bleu) Il est le fondateur d'un mouvement de jeunes "Schild & Vrienden" (Bouclier & Amis) qui regroupe surtout des étudiants et intellectuels qui seront demain les cadres d'une nouvelle représentation politique en Flandre. Il s'est fait remarqué récemment en organisant à Bruxelles, avec succès, la manifestation contre le traité de Marrakech.
En Belgique les électeurs devront s'exprimer comme partout en Europe pour élire des nouveaux représentants au parlement européen mais également les députés du parlement belge et les représentants régionaux
Dries Van Langenhove est tête de liste à la Chambre de représentants de Belgique dans le Brabant flamant et notre ami Laurent Houllez, (parfaitement bilingue) qui est sur la même ligne de pensée est candidat au parlement flamand dans cette même et belle région non loin de Bruxelles.
Filip Dewinter en campagne :
Quant à notre ami Filip Dewinter, député d'Anvers, il prend aussi une part active dans la campagne. Il était la semaine dernière en Espagne pour convaincre les nombreux Flamands installés dans ce pays de voter pour le Vlaams belang.
18:20 Publié dans En Europe et ailleurs..., Européennes 2019, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 21 mai 2019
Le gouvernement autrichien tombe : machination internationale ?
Lionel Baland dans Boulevard Voltaire
Le président de la République autrichienne Alexander Van der Bellen s’est prononcé, ce dimanche 19 mai 2019, en faveur d’élections législatives anticipées qui seront organisées en septembre 2019, si possible au début du mois. Il a, auparavant, discuté avec le chancelier social-chrétien Sebastian Kurz (ÖVP) de plusieurs scénarios possibles pour le gouvernement jusqu’à ce scrutin et il rencontrera le président – tout récemment – désigné du FPÖ Norbert Hofer et les dirigeants des partis d’opposition.
Le gouvernement regroupant l’ÖVP et les patriotes du FPÖ est donc tombé, car deux des figures de proue du FPÖ, le président du parti et vice-chancelier Heinz-Christian Strache et le président exécutif du groupe des élus du FPÖ à la Chambre des députés Johann Gudenus, ont été victimes d’une machination réalisée par des professionnels disposant de gros moyens financiers – et ont démissionné de leurs fonctions.
Alors que le gouvernement ÖVP-FPÖ est en place depuis décembre 2017 et est le résultat des élections législatives d’octobre 2017, une vidéo, réalisée le 24 juillet 2017, a été envoyée, quelques jours avant les élections européennes de mai 2019, à des organes de presse allemands, qui l’ont publiée.
Les images montrent les deux cadres du FPÖ discutant avec la soi-disant nièce d’un richissime homme d’affaires russe désirant investir 250 millions d’euros en Autriche et lui proposant de mettre financièrement la main sur le Kronen Zeintung, le quotidien le plus lu du pays, tout en lui expliquant comment contourner les obstacles légaux afin de financer le FPÖ et en proposant d’octroyer à cette dame des avantages en matière d’investissement dans le domaine public lorsque le FPÖ accédera au pouvoir.
Ces images ont été prises sur l’île espagnole d’Ibiza – où Heinz-Christian Strache prend habituellement ses vacances d’été – dans une villa louée et piégée à l’aide de caméras, les véhicules se trouvant devant cette bâtisse étant aussi loués.
Ce traquenard – « coup monté », comme l’écrit Le Monde – réalisé par des professionnels disposant de moyens importants relève de pratiques barbouzardes qui portent atteinte à l’intégrité du système politique autrichien.
Les succès du FPÖ, depuis la prise du contrôle du parti par son aile nationale en 1986, dérange à l’étranger et surtout en Allemagne – autre entité germanophone -, au sein de laquelle le FPÖ constitue un modèle pour certains et une menace pour les partis du système.
Cette formation politique a déjà été victime, dans le passé, de pratiques anormales. Ainsi, lorsque le FPÖ était arrivé au pouvoir en Autriche aux côtés de l’ÖVP, au début de l’année 2000, le gouvernement avait dû subir, avant même d’être entré en fonction, d’énormes pressions internationales et Jörg Haider, qui avait conduit son parti au pouvoir en ayant engrangé, durant quatorze ans, de nombreux succès électoraux, avait dû renoncer au poste de vice-chancelier ou chancelier.
Cette fois, le système politique autrichien est touché par la publication de la vidéo, alors qu’une vague patriotique conduite par le vice-Premier ministre italien léghiste Matteo Salvini déferle, à la veille des élections européennes, sur l’Europe et que la présence au pouvoir, en Autriche et en Italie, de partis politiques patriotiques et favorables au pouvoir en place en Russie dérange.
17:44 Publié dans En Europe et ailleurs..., Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 20 mai 2019
Eurovision : heureusement, le ridicule peut encore tuer...
09:48 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 29 avril 2019
Espagne : l'espoir est de retour
Forum SI cliquez ici
Après les élections générales espagnoles du 28, qui voient l’extrême droite enfin de retour au Parlement avec les 24 sièges de Vox, la première réaction s’exprime par une brève formule : « ¡arriba España! »
Ceci dit, il convient de se garder de tout triomphalisme excessif. Tel est le sens du communiqué, traduit de l’italien par ForumSi, mis en ligne par Gabriele Adinolfi, le 28 avril dans la nuit :
« Résultats en Espagne.
Vox, avec 10,2 %, obtient 24 sièges.
Les socialistes et Podemos obtiennent la majorité relative et, pour gouverner, doivent s’entendre avec les séparatistes basques et catalans.
L’avancée des populistes espagnols a, par conséquent, un sens en soi, mais n’a pas d’incidence sur un cadre général qui a empiré.
Ceci indépendamment de considérations sur la direction ultralibérale de Vox, qui laisse perplexe, mais qui, en l’état actuel, n’est qu’un élément secondaire.
En somme, le Système tient, s'il ne se renforce pas, même là où les scénarios politiques contraignent les partis de gouvernement à se remettre lentement à évoluer et la déception populaire s’exprime avec des chiffres significatifs. »
En résumé, le séparatisme catalan et la politique immigrationniste débile du PSOE ont provoqué l’exaspération de l’électorat et remis l’extrême droite espagnole en selle. Que celle-ci, comme nombre de mouvements populistes, soit, en partie dotée d’une direction « ultralibérale » est évidemment un facteur de perplexité, comme l’écrit Adinolfi. Cela étant, certains dirigeants de Vox ont quand même une facilité à tendre le bras qui laisse penser que, sous le verni libéral, des tendances plus profondes peuvent se manifester, si l’occasion s’en présente. On verra bien. En attendant, ne boudons pas notre plaisir : l’émergence de Vox est un élément de forte perturbation du Système qui va dans le bon sens. Souhaitons qu’il soit exploité comme il convient…
NDLR SN : Forum SI a bien raison : "ne boudons pas notre plaisir". Depuis le regretté Blas Pinar (président de Fuerza Nueva, décédé en 2014), à la fin des années 1970 et au début des années 1980, la droite nationale espagnole était complètement absente aux Cortes.
Il faut savoir que celle-ci, depuis 40 ans, subissait une escroquerie un peu comparable à ce que fut le gaullisme en France à la même époque. En effet, tout reposait sur une ambiguïté. En 1976, lorsque eurent lieux les premières élections "démocratiques", fut créé à l'initiative d'un ancien ministre du Général Franco, Manuel Fraga Iribarne, un mouvement sensé incarner la continuité. Il s'agissait de l'Alliance populaire. Celle-ci se transforma au début des années 1990, après le retrait de son fondateur, en "Parti populaire". Ce changement de nom coïncida avec un changement d'orientations politique et idéologique puisque le PP devint très vite un parti libéral-conservateur comparable à ce qu'était le RPR en France. Mais, en douce, le Parti populaire continuait à s'accaparer les voix nationales en jouant sur ses racines post franquistes... tout en appliquant une politique de soumission aux désidératas de la finance mondialiste. Mis à part quelques organisations lucides et courageuses comme la Phalange (bien que divisée), tout le monde semblait se satisfaire de cette situation peu reluisante. L'émergence de VOX marque probablement la fin de cette OPA douteuse...
Ce qui est hallucinant depuis ce matin, c'est d'entendre les commentaires fielleux de certains journalistes français qui, en serviles chiens de garde du Système qu'ils sont, s'évertuent à diminuer la victoire des nationalistes espagnols. Pourtant, partis de rien, insultés à longueur de journées par les médias "bien-pensants", culpabilisés pour un passé dont ils n'ont pourtant pas à rougir, les nationalistes de VOX débarquent de manière spectaculaire sur la scène politique ibérique. Que cela plaise ou non aux plumitifs aux ordres, il en est ainsi.
L'Espagne était, jusqu'à ces derniers mois, restée en dehors du vaste mouvement de renaissance nationale et identitaire qui s'apprête à libérer l'Europe du joug des mondialistes. Aujourd'hui, ce vide est comblé... et nous ne pouvons que nous en réjouir.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Il reste quelques exemplaires de ce n°47 de Synthèse nationale consacré à la crise espagnole de 2017 cliquez ici
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mercredi, 10 avril 2019
L'arrière-petit-fils du Duce candidat aux élections européennes en Italie
Il est dirigeant d'entreprise et il a 50 ans, c'est sur les listes de Fratelli d'Italia qu'il se présente aux élections européennes de mai prochain en Italie. Caio Giulio Cesare Mussolini, arrière-petit-fils de Benito Mussolini, l'a annoncé dans un entretien avec le journal Il Messaggero publié ce mardi.
"Tout le monde veut mettre Mussolini sur le bulletin de vote", déclare cet ancien officier sous-marinier. Il reconnait n'avoir jamais fait de politique, mais il assure avoir "respiré" la politique toute sa vie.
Déjà une Mussolini eurodéputée
Ce n'est pas la première fois que le patronyme Mussolini fait campagne en Italie. Caio Giulio Cesare est le petit-cousin d'Alessandra Mussolini, petite-fille du Duce, eurodéputée depuis 2014 après avoir été sénatrice et députée nationale.
09:00 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 07 avril 2019
Genève, samedi 27 avril : conférence de Georges Feltin-Tracol
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samedi, 16 mars 2019
30 mars, à Bruxelles, un meeting européen
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lundi, 11 février 2019
Bonnes nouvelles d'Italie : les élections régionales dans les Abruzzes gagnées par la droite nationale, menée par Fratelli d'Italia (ex MSI)
Matteo Salvini (Ligue), Giorgia Meloni (Frères d’Italie), le candidat Marco Marsilio (Frères d’Italie) et Silvio Berlusconi (Forza Italia).
Dimanche 10 février se déroulaient dans les Abruzzes des élections régionales. La droite (Léga, Forza Italia, Fratelli d'Italia - une des émanations de l'ex MSI) menée par Marco Marsilio (Fratelli d'Italia) arrive en tête. Ce dernier devient donc Président de la région.
En savoir plus : Lionel Baland cliquez ici
09:12 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 10 février 2019
L'ESPAGNE SE RÉVEILLE POUR DÉFENDRE SON UNITÉ
Plusieurs centaines de milliers d'Espagnols se sont rassemblés ce dimanche après-midi sur la Plaza Colon et dans les avenues du centre de Madrid pour défendre l'unité de l'Espagne et pour s'opposer à la politique du pouvoir socialiste.
Cette impressionnante démonstration des forces patriotiques espagnoles n'est pas sans nous rappeler celles des 20 novembre (anniversaires de la mort du Général Franco en 1975 et de celle de José Antonio Primo de Rivera en 1936) des années 1970 et 1980. Espérons seulement que désormais, après 45 ans de gabegie démocratique, lors des prochaines élections les Espagnols sauront transformer électoralement leur colère.
Notons tout de même une petite tache dans cette manif : l'apparition furtive de Manuel Valls, l'ancien Premier ministre socialiste français de triste mémoire, visiblement peu gêné de se retrouver en pareille compagnie. Curieux personnage...
S.N.
16:53 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 28 janvier 2019
Samedi 9 mars : conférence sur l'Europe à Genève organisée par Résistance helvétique
09:16 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 23 janvier 2019
26 janvier : Pascal Lassalle donne une conférence sur l'Ukraine en Suisse
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lundi, 14 janvier 2019
Qu'est-ce qui est plus crétin qu'un Manuel Valls ? Une bande de gauchistes catalans qui le prennent pour un "fasciste"...
Source cliquez ici
La campagne de Manuel Valls pour la mairie de Barcelone est décidément bien compliquée.
Alors que les sondages semblent ne pas lui être favorables, sa sortie dans un quartier de la capitale catalane a été perturbé, mardi 4 décembre par quelques dizaines de militants d’extrême-gauche ou indépendantistes.
Certains, munis de drapeaux antifascistes et de banderoles prônant la liberté d’expression n’ont pas hésité à le qualifier de fasciste, raciste et lui intimant de rentrer en France.
Manuel Valls n’a pas pu prononcer son discours jusqu’au bout dans les rue de Barcelone.
Il a dû finir par quitter le quartier, escorté par des forces de l’ordre jusqu’au métro.
NDLR SN : trop drôle... mais surtout, gardez-le et arrêtez d'insulter le fascisme !
14:13 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 11 janvier 2019
7 janvier 2019 : Rome a rendu un vibrant hommage aux militants du Front de la Jeunesse assassinés en 1978
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11:14 Publié dans En Europe et ailleurs..., TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 07 janvier 2019
Rome, 7 janvier 1978 : trois militants du Front de la Jeunesse étaient assassinés par la police
Zentropa cliquez ici
Le 7 janvier 1978, trois militants nationalistes tombent sous les balles de terroristes et de la police.
Les trois jeunes Italiens militaient au Front de la Jeunesse (FGD-Fronte della Gioventù). La première fusillade se déroula quand les militants sortaient alors d’une réunion du Mouvement social italien (MSI-Movimento sociale italiano). Ils furent mitraillés par cinq ou six extrémistes de gauche qui attaquèrent avec des armes automatiques.
Franco Bigonzetti, un étudiant en médecine de 20 ans est tué. Francesco Ciavatta, 18 ans, est blessé ; il parvint à quitter les lieux, pendant que trois autres militants réussissent à revenir au local du MSI, dont Vincenzo Segneri, également blessé par balles.
Les lâches criminels poursuivent Francesco et l’abattent, dans le dos. Il décèdera dans l’ambulance qui le conduit à l’hôpital. Une manifestation spontanée s’organise alors contre ce crime ignoble. Dans une atmosphère tendue, un journaliste de la RAI se livre à un acte tout aussi ignoble : il va éteindre sa cigarette dans le sang de l’une des victimes. Un mouvement de protestation gronde dans la foule ; la police intervient alors est le capitaine de police Edward Sivori abat Stephen Recchini. L’intention de tuer est certaine puisqu’il tire en pleine tête, entre les deux yeux du jeune militant de 19 ans, par ailleurs guitariste du groupe Janus.
Stephano Recchioni décède après deux jours d’agonie.
L’action criminelle des marxistes fera une quatrième victime : le père de Francesco Ciavatta se suicide quelques mois plus tard.
Un cinquième militant nationaliste sera assassiné suite à cette affaire. Un an après le massacres, les organisations nationalistes italiennes veulent démontrer publiquement en souvenir de leurs camarades et pour protester contre l’inaction de la police et de la justice. La marche est interdite par les autorités. Une manifestation spontanée aura pourtant lieu et se déroulera sans le moindre incident.
Alors qu’il rentre chez lui avec un camarade, Alberto Giaquinto est approché par une voiture de police banalisée. Des policiers finissent par en descendre est l’un d’eux tire une balle dans la nuque d’Alberto. Grièvement blessé, il tombe à terre ; les policiers s’enfuient, laissant leur victime mourir. Il demeure plus de 20 minutes dans la rue sans qu’aucun secours n’arrive. Transporté à l’hôpital, il y décède peu après.
Alors qu’il meure, sa famille à ses côtés, le domicile de ses parents est vandalisé par des policiers qui veulent se couvrir et cherchent des preuves – mais agissent sans mandat. Ils prétendirent en effet qu’Alberto était armé, ce qui était faux.
Albert Giaquinto avait 17 ans. La justice n’a jamais condamné les assassins. Plusieurs criminels rouges ont été identifiés : Mario Scrocca, Fulvio Turrini, Cesare Cavallari, Francesco de Martiis e Daniela Dolce. Sans aucun doute coupables, le premier s’est suicidé, le dernier s’est enfui. Les autres seront finalement acquittés.
Les flics tueurs ont également été acquittés.
Trente ans après, aucun des criminels n’a été condamné.
Depuis, nos camarades italiens commémorent la mort de leurs camarades sur les lieux du drame.
09:50 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 18 décembre 2018
A Bruxelles : gigantesque démonstration de force contre le Pacte génocidaire de Marrakech
11:29 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 05 décembre 2018
Madrid, 15 décembre : plusieurs représentants européens à la Marche des nationalistes espagnols
12:25 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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